SOMMAIRE EFFETS DES TRAITEMENTS OSTEOPATHIQUES SUR LES PLAINTES SUBJECTIVES DE MEMOIRE DES PERSONNES DE 50 ANS ET PLUS

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "SOMMAIRE EFFETS DES TRAITEMENTS OSTEOPATHIQUES SUR LES PLAINTES SUBJECTIVES DE MEMOIRE DES PERSONNES DE 50 ANS ET PLUS"

Transcription

1 SOMMAIRE EFFETS DES TRAITEMENTS OSTEOPATHIQUES SUR LES PLAINTES SUBJECTIVES DE MEMOIRE DES PERSONNES DE 50 ANS ET PLUS Mémoire présenté en mai 2015 devant jury au Collège d Études Ostéopathiques de Montréal par Marie-Claude Laroche PROBLÉMATIQUE Les problèmes de mémoire peuvent se présenter de différentes façons au court d une vie mais sont plus fréquents chez la population vieillissante. Les plaintes subjectives de mémoire décrivent les problèmes de mémoire rapportés par les gens qui remarquent que leur mémoire est moins bonne (que ce soit comparé aux autres personnes du même âge ou par rapport à ellesmêmes). Ces difficultés sont légères et ne briment pas l autonomie des personnes concernées mais peuvent être irritantes dans leur quotidien. Au niveau physiologique, les études indiquent que certaines régions du cerveau des gens ayant des plaintes subjectives de mémoire sont légèrement atrophiées, entre autre, les structures du lobe temporal médian, et ces atrophies sont dans la même lignée des dégénérescences cérébrales de la maladie d Alzheimer (Striepens et al., 2010). Aussi, les personnes concernées par les plaintes mnésiques ont plus de chances de se détériorer vers un déficit cognitif léger et la maladie d Alzheimer au fil des années (Juncos-Rabadan et al., 2012; Scheef et al., 2012). Plusieurs études révèlent que les gens ayant des plaintes subjectives de mémoire présentent des symptômes plus élevés sur les échelles d anxiété et de dépression (Balash et al., 2013; Young, Anstey, et Cherbuin, 2012). Il semble aussi qu un haut niveau d éducation, une bonne gestion du stress, une bonne forme physique, une bonne santé et un sommeil récupérateur sont d autant de facteurs d un style de vie permettant de préserver de bonnes capacités cognitives en vieillissant (Patel et Holland, 2012; Suzuki et al., 2012). En ostéopathie, à peine quelques recherches portant sur la mémoire ont été retracées et ne sont pas suffisantes pour indiquer si l ostéopathie peut aider à améliorer la mémoire (Lacoste, Yannick, 2012; Vernouillet, 1992). Par contre, des recherches montrent des améliorations intéressantes de certains facteurs favorisant les plaintes de mémoire suite à des traitements ostéopathiques (en lien avec le stress, l anxiété, la dépression, la douleur chronique ) (Filler, 2014; Franke, Franke, et Fryer, 2014; Morand, 2009; Richard, 2011; Robin William, 2010). MÉTHODE Une recherche de type expérimentale randomisée à 2 groupes (expérimental et témoin) a permis d étudier les hypothèses stipulant que les traitements ostéopathiques améliorent la mémoire épisodique et diminuent le niveau de plainte chez les personnes de 50 ans et plus ayant des plaintes subjectives de mémoire. Les traitements ostéopathiques ont respecté la méthodologie du collège priorisant les lésions les plus importantes selon les besoins de chaque sujet et portant une attention particulière à la sphère crânienne et au corelink.

2 2 43 sujets, de 50 ans et plus, rapportant avoir des problèmes subjectifs de mémoire, ont complété l étude entre le mois de septembre 2013 et juin 2014, dont 22 ont fait partie du groupe expérimental recevant trois traitements d ostéopathie entre la 1 re et 2 e évaluation et 21 ont fait partie du groupe témoin gardant les mêmes habitudes de vie pendant la période de l étude. Au total, trois évaluations étaient réalisées sur une période de deux mois. À chacune des évaluations, l Échelle d auto-évaluation des difficultés cognitives de Mac Nair et Khan ainsi que le Test de mémoire épisodique RI-48 étaient réalisés. Plusieurs autres données ont été compilées pour comparer les groupes (âge, scolarité, activité physique, qualité du sommeil, présence de douleur chronique ) ainsi que l évolution des niveaux d anxiété et de dépression en début et fin d expérimentation. Voir le Tableau 1 pour voir les étapes du déroulement de l expérimentation. Tableau 1 Déroulement de l expérimentation Semaines Différentes étapes, questionnaires et tests Semaine 0 (suite au recrutement) Semaine 1 (1 re évaluation) - Explication et remise de la lettre d information accompagnée de la feuille de consentement; - Remise du formulaire d identification; - Remise du questionnaire ostéopathique; - Remise du questionnaire d anxiété générale de Spielberger; - Remise du questionnaire de dépression QIDS-SR16; (Ces questionnaires ont pu être lus et remplis par les sujets au meilleur de leur connaissance dans les journées avant la 1 re évaluation) - Vérification et signature de la feuille de consentement (une copie remise au sujet et une copie conservée); - Vérification et achèvement des questionnaires remis précédemment; - Évaluation ostéopathique; - Passation du MoCA (si le résultat est < 25/30, les sujets ont été exclus de l étude); - Questionnaire de l échelle de plainte de mémoire de Mac Nair; - Évaluation de la mémoire épisodique par le test RI-48; Pige au hasard pour le groupe expérimental ou témoin en présence du sujet. * Le groupe expérimental reçoit le 1 er traitement ostéopathique durant la 1 re semaine Semaine 2 - Le groupe expérimental reçoit le 2 e traitement ostéopathique. Semaine 3 - Le groupe expérimental reçoit le 3 e et dernier traitement ostéopathique. Semaine 4 (2 e évaluation) Semaine 8 (3 e évaluation) - Réévaluation ostéopathique ; - Questionnaire de l échelle de plainte de mémoire de Mac Nair; - Réévaluation la mémoire épisodique par le test RI Questionnaire d anxiété générale de Spielberger; - Repasser le questionnaire de dépression QIDS-SR16 ; - Questionnaire de l échelle de plainte de mémoire de Mac Nair; - Réévaluation la mémoire épisodique par le test RI-48.

3 3 RÉSULTATS Les groupes se sont avérés homogènes en début d étude sur toutes les variables attributs et confondantes (nombre de femmes et d hommes dans chaque groupe, années d éducation, âge, score au MoCA, niveau d activité physique, niveau de douleur chronique, qualité de sommeil, niveau d anxiété et de dépression), ainsi que sur les résultats obtenus lors de la première évaluation en ce qui a trait à l auto-évaluation des capacités cognitives et au test de mémoire épisodique RI-48. Questionnaire d auto-évaluation des difficultés cognitives Une diminution significative du niveau de plainte de mémoire a été observée chez le groupe expérimental comparé au groupe témoin grâce au questionnaire d auto-évaluation des difficultés cognitives (p=0,017). En effet, tel que présenté à la Figure 1, il y a une diminution significative entre la première et deuxième évaluation ainsi qu entre la deuxième et troisième évaluation et évidemment entre la première et la troisième évaluation pour le groupe expérimental, tandis que cette diminution du niveau de plainte n est pas significative dans le groupe témoin ni entre les temps un et deux, que deux et trois, que un et trois Figure 1. Niveau de plainte de mémoire aux trois évaluations

4 4 Test RI-48 Une amélioration non-significative du groupe expérimental comparé au groupe témoin a été observée pour le test de rappel indicé RI-48 (p=0,057) évaluant la mémoire épisodique. L hypothèse de départ est donc rejetée. Les deux groupes ont démontré une amélioration significative entre les différentes évaluations mais non de différence significative entre les deux groupes tel que présenté dans à la Figure 2. Il aurait fallu 38 participants par groupe (au lieu de 21 et 22) pour que la tendance actuelle puisse démontrer une puissance significative suffisante. Figure 2. Résultats du test RI-48 aux trois évaluations Niveau d anxiété, niveau de dépression et qualité du sommeil En parallèle, les niveaux d anxiété et de dépression des sujets entre le début et la fin de l étude ont diminués significativement mais de façon équivalente quel que soit l appartenance aux groupes. Il n y a donc aucune différence significative entre les deux groupes pour toutes ces variables. En effet, tel que présenté dans les figures 3-4-5, les courbes observées entre le début et la fin de l étude, sont passablement identiques peu importe le groupe. Figure 3. Niveau d anxiété

5 5 Figure 4. Niveau de dépression Figure 5. Qualité du sommeil DISCUSSION Proportion hommes/femmes Le fait qu il y ait beaucoup moins d hommes que de femmes dans cet échantillon (10 hommes pour 33 femmes) ne semble pas être représentatif de la population en général qui a des plaintes subjectives de mémoire. Il est fort probable que les femmes soient plus enclines à participer à des recherches comme celles-ci, et que les hommes, même s ils peuvent se sentir interpelés par le sujet, ne feront pas les démarches pour y participer. Effectivement, dans cette

6 6 présente recherche, plusieurs hommes étaient les conjoints de femmes intéressées par l étude et qui étaient également concernés par les plaintes mnésiques. Cet écart dans la proportion hommes/femmes amène donc une erreur d échantillonnage et ainsi, les sujets de cette étude ne seraient pas représentatif de la population en général concernée par les plaintes subjectives de mémoire (Fortin, 2010). Par contre, en ce qui a trait aux autres variables, il est plausible de croire qu elles sont représentatives de la population générale ayant des plaintes mnésique et se rapprochent de la réalité de cette population (Âge, années d éducation, score au MoCA, niveau d anxiété de dépression, qualité du sommeil, niveau de douleur chronique, niveau de plainte de mémoire, résultats au RI-48 ). Années d éducation Il a aussi été remarqué qu il y a davantage de personnes ayant moins de 12 années d éducation dans les participants. Effectivement, dans les recherches sur la mémoire, il est souligné que les personnes ayant un plus haut niveau d études ont moins de chances de se plaindre de leur mémoire et que leur cerveau semble plus efficace et résilient. Il n est donc pas surprenant de constater qu il y a davantage de personnes avec peu d années d étude dans cette recherche sur les plaintes de mémoire. Questionnaire d auto-évaluation des capacités cognitives L hypothèse que les plaintes de mémoires diminuent suite aux traitements ostéopathiques (quantifiée par le questionnaire d auto-évaluation des capacités cognitives de Mc Nair) a été validée par une diminution significative du niveau de plainte de mémoire du groupe expérimental comparé au groupe témoin. Il est important de rappeler que l effet placebo n était pas contrôlé dans cette étude puisque les sujets savaient faire partie du groupe expérimental ou non. Les traitements d ostéopathie en s adressant, entre autre, aux lésions crâniennes, cervicales et de tout le corelink ont possiblement facilité la circulation des liquides (sang et liquide céphalo-rachidien) au niveau du cerveau pour ainsi favoriser la nutrition des tissus cérébraux et en débarrasser les déchets et toxines. Une meilleure vitalité de la SSB et du sacrum a été constatée chez le groupe traité lors des évaluations ostéopathiques, ainsi qu un meilleur mouvement des hémisphères cérébraux et des ventricules latéraux. Cela montre que le mouvement respiratoire primaire pouvait mieux s exprimer et qu un meilleur mouvement des structures y était présent pouvant possiblement favoriser les fonctions du cerveau. Cette augmentation de la vitalité, du mouvement et de la circulation des liquides a pu favoriser la neuroplasticité du cerveau et la neurogénèse des cellules de l hippocampe et globalement aider la mémoire des sujets. Test RI-48 L hypothèse que la mémoire épisodique se verrait améliorée suite aux traitements ostéopathiques n a pu être validée puisque l amélioration du groupe expérimental n était pas significativement plus élevée que celle du groupe témoin. La principale raison pourquoi les résultats n ont pas été assez puissants est possiblement le fait que les problèmes subjectifs de mémoire ne sont pas toujours corrélés par des résultats objectifs inférieurs à la normale lors de tests psychométriques et, qu ainsi, la possibilité d amélioration n était pas suffisante pour apparaitre significative. Aussi, si l échantillon avait été

7 7 plus nombreux (38 sujets par groupe ou plus), la même tendance des résultats aurait pu être significative. Choix de tests de mémoire Le choix du test de rappel indicé de 48 mots est justifié puisqu il permet de pouvoir observer une légère amélioration qu un test de rappel de 10 mots, par exemple, ne pourrait pas permettre. Par contre, pour éviter l accoutumance à ce test, il aurait été possible de passer trois tests différents de mémoire épisodique au lieu de passer le même à trois reprises. De cette façon, il n y aurait pas eu de possibilité d apprentissage des mots et les performances auraient pu tout de même être comparées entre les groupes, même si les résultats n auraient pas pu l être entre les tests directement. Des exemples de tests de mémoire épisodiques bien connus sont le California Verbal Learning Test (CVLT), les 15 mots de Rey et il y aurait eu également le RI-16 des mêmes auteurs que le RI-48. Aussi, étant donné que le cortex frontal peut aider à compenser le rôle de la région de l hippocampe lorsque l activité cérébrale y est moins active (et où la mémoire épisodique a davantage lieu), il serait intéressant, dans une prochaine étude, d inclure un test psychométrique plus spécifique au rôle du cortex frontal pour tenter de constater une différence à ce niveau (Erk et al., 2011). Cela dit, comme la population visée trouve que sa mémoire est moins bonne, elle risque de vouloir investiguer médicalement à ce sujet éventuellement et, malheureusement, par leur participation à ces tests dans le cadre d une recherche, ceux-ci se retrouveraient brûlés, c est-àdire qu étant donné que les personnes connaitraient déjà ces tests, leurs résultats en serait faussés comparé à des personnes qui n ayant jamais fait ce genre de tests et cela pourrait nuire à une bonne prise en charge médicale. Pour une prochaine étude, si la population visée a des problèmes de mémoire plus importants, il serait pertinent d avoir une prise en charge complète avec médecin et neuropsychologue pour s occuper des participants Niveau d anxiété, niveau de dépression, qualité du sommeil Au départ, il était plausible de croire que les traitements ostéopathiques auraient eu une certaine influence positive sur les niveaux d anxiété, de dépression et sur la qualité du sommeil et que cela aurait pu aider à améliorer la mémoire, mais de façon très claire dans cette présente recherche, les résultats ont démontré qu il n y avait eu aucune différence entre les groupes expérimental et témoin. La diminution des plaintes de mémoire n a donc pas été influencée par ces facteurs. L effet Hawthorne explique sûrement le mieux pourquoi les deux groupes ont eu des diminutions significatives de leur taux d anxiété et de dépression de façon équivalentes qu ils aient été traités ou pas. L effet Hawthorne explique qu une amélioration des résultats peut se faire chez les participants d une étude simplement par le fait d y participer et d être observé. CONCLUSION Les traitements d ostéopathie peuvent aider à diminuer le niveau de plainte de mémoire perçu par les personnes de 50 ans et plus ayant des plaintes subjectives de mémoire tel que constaté avec l échelle d auto-évaluation des capacités cognitives de Mac Nair et Khan. La mémoire épisodique des sujets traités n a pas montrée d amélioration significative suite aux traitements ostéopathiques possiblement parce que les problèmes subjectifs de mémoire ne sont pas toujours corrélés par des résultats objectifs inférieurs à la normale lors de tests

8 8 psychométriques et, qu ainsi, la possibilité d amélioration n est pas suffisante pour apparaitre significative. Finalement, comme les niveaux de dépression et d anxiété ont baissés de façon significative également dans les deux groupes, aucune corrélation avec la baisse des plaintes de mémoire ne peut être faite. De futures recherches ostéopathiques portant sur la mémoire doivent être faites pour approfondir les connaissances sur ce sujet et étudier différentes populations pouvant avoir des problèmes de mémoire. RÉFÉRENCES Balash, Y., Mordechovich, M., Shabtai, H., Giladi, N., Gurevich, T., et Korczyn, A. D. (2013). Subjective memory complaints in elders: depression, anxiety, or cognitive decline? Acta Neurologica Scandinavica, 127(5), Erk, S., Spottke, A., Meisen, A., Wagner, M., Walter, H., et Jessen, F. (2011). Evidence of neuronal compensation during episodic memory in subjective memory impairment. Archives of General Psychiatry, 68(8), Filler, C. (2014). The effect of global osteopathic treatment on individuals diagnosed with obstructive sleep apnea. Collège d Études Ostéopathique de Montréal. Fortin, M.-F. (2010). Fondements et étapes du processus de recherche: méthodes quantitatives et qualitatives (2e ed.). Chenelière Éducation. Franke, H., Franke, J.-D., et Fryer, G. (2014). Osteopathic manipulative treatment for nonspecific low back pain: a systematic review and meta-analysis. BMC Musculoskeletal Disorders, 15, Juncos-Rabadan, O., Pereiro, A. X., Facal, D., Rodriguez, N., Lojo, C., Caamaño, J. A., Eiroa, P. (2012). Prevalence and correlates of cognitive impairment in adults with subjective memory complaints in primary care centres. Dementia and Geriatric Cognitive Disorders, 33(4), Lacoste, Yannick. (2012, June). Étude clinique pilote sur l Impact du traitement ostéopathique auprès de la personne âgée atteinte de troubles cognitifs. (Mémoire du Collège d Études Ostéopathiques, Montréal). Morand, A.-J. (2009). Effet du traitement ostéopathique sur la perception du stress chez les proches aidants. (Mémoire du Collège d Études Ostéopathiques, Montréal). Patel, B. B., et Holland, N. W. (2012). Mild cognitive impairment: Hope for stability, plan for progression. Cleveland Clinic Journal of Medicine, 79(12), Richard, A. (2011). Effet du traitement ostéopathique chez les personnes atteintes d apnée du sommeil. (Mémoire du Collège d Études Ostéopathiques, Montréal). Robin William, J. (2010). The effect of the osteopathic treatment aiming for the HPA axis on self perceived stress. (Mémoire du Collège d Études Ostéopathiques, Montréal). Scheef, L., Spottke, A., Daerr, M., Joe, A., Striepens, N., Kölsch, H., Jessen, F. (2012). Glucose metabolism, gray matter structure, and memory decline in subjective memory impairment. Neurology, 79(13), Striepens, N., Scheef, L., Wind, A., Popp, J., Spottke, A., Cooper-Mahkorn, D., Jessen, F. (2010). Volume loss of the medial temporal lobe structures in subjective memory

9 9 impairment. Dementia and Geriatric Cognitive Disorders, 29(1), Suzuki, T., Shimada, H., Makizako, H., Doi, T., Yoshida, D., Tsutsumimoto, K., Park, H. (2012). Effects of multicomponent exercise on cognitive function in WMS-LM older adults with amnestic mild cognitive impairment: a randomized controlled trial. BMC Neurology, 12(1), Vernouillet, R.-B. (1992). Fonction Mémoire et Structures du lobe temporal. (Mémoire du Collège d Études Ostéopathiques, Montréal). Young, J., Anstey, K. J., et Cherbuin, N. (2012). Online memory screening--are older adults interested and can it work? Aging et Mental Health, 16(7),

Analyse. Comment stimuler la confiance en soi des aînés par rapport à l apprentissage des nouvelles technologies?

Analyse. Comment stimuler la confiance en soi des aînés par rapport à l apprentissage des nouvelles technologies? Analyse Comment stimuler la confiance en soi des aînés par rapport à l apprentissage des nouvelles technologies? À découvrir dans cette analyse Sans motivation, il n y a pas d apprentissage. Et l un des

Plus en détail

La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien

La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Hôpital Cochin Samedi 1 er avril 2006 Forum Saint Jacques La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Dr Jean-Baptiste Fassier 1,2 Centre d Etude et

Plus en détail

Définition, finalités et organisation

Définition, finalités et organisation RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients

Plus en détail

LES TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES ET DE SANTÉ PSYCHOLOGIQUE DANS LES CENTRES D URGENCE 9-1-1

LES TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES ET DE SANTÉ PSYCHOLOGIQUE DANS LES CENTRES D URGENCE 9-1-1 LES TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES ET DE SANTÉ PSYCHOLOGIQUE DANS LES CENTRES D URGENCE 9-1-1 Georges Toulouse a, Louise St-Arnaud b Renée Bourbonnais bc, Jean Damasse b, Denise Chicoine a a Institut de

Plus en détail

squelettique Importance pressentie des troubles de santé psychologique Sollicitation par les centres d urgence d

squelettique Importance pressentie des troubles de santé psychologique Sollicitation par les centres d urgence d Étude chez les prépos posés s des centres d appels d d urgence : la première phase d une d démarche de prévention des troubles de santé psychologique et musculo-squelettique squelettique Présenté par Louise

Plus en détail

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées

Questions / Réponses. Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Questions / Réponses Troubles du sommeil : stop à la prescription systématique de somnifères chez les personnes âgées Quelques chiffres sur les troubles du sommeil et la consommation de benzodiazépines

Plus en détail

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction

Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie. Etudes cliniques dans l autisme. Introduction Critères de Choix d une Echelle de Qualité De Vie Etudes cliniques dans l autisme Marie-Christine Picot Congrès Epsylon 5 avril 2013 Introduction Mesurer la Qualité de Vie liée à la Santé : Evaluer les

Plus en détail

Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation

Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire

Plus en détail

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS:

CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: CONTRAINTES PSYCHOLOGIQUES ET ORGANISATIONNELLES AU TRAVAIL ET SANTE CHEZ LE PERSONNEL SOIGNANT DES CENTRES HOSPITALIERS: Infirmier(e)s et aides soignant(e)s ETUDE ORSOSA État de santé, conditions de travail

Plus en détail

L usage du questionnaire ÖMPQ afin de réduire le risque d invalidité prolongée chez les travailleurs blessés

L usage du questionnaire ÖMPQ afin de réduire le risque d invalidité prolongée chez les travailleurs blessés L usage du questionnaire ÖMPQ afin de réduire le risque d invalidité prolongée chez les travailleurs blessés International Forum on Disability Management Section de la santé mentale Le 21 septembre 2010

Plus en détail

SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES TMS EN ENTREPRISES : LES RESULTATS DU SUIVI A TROIS ANS DE LA COHORTE COSALI

SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES TMS EN ENTREPRISES : LES RESULTATS DU SUIVI A TROIS ANS DE LA COHORTE COSALI SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES TMS EN ENTREPRISES : LES RESULTATS DU SUIVI A TROIS ANS DE LA COHORTE COSALI Elise CHIRON 1, Yves ROQUELAURE 1, Catherine HA 2, Annie TOURANCHET 3, Annette LECLERC 4, Marcel

Plus en détail

Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial)

Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial) Etude MAPT (Multidomain Alzheimer Preventive Trial) F Portet CMRR CHU de Montpellier (J Touchon) et Inserm U 888 Promoteur : CHU Toulouse (B Vellas) MAPT : objectif principal évaluer l efficacité d une

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail

Maîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail

Maîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail Maîtriser le risque de TMS du membre supérieur lies au travail Dr Michel APTEL Laboratoire de Biomécanique et d'ergonomie Centre de recherche de l'inrs Les Troubles Musculo-Squelettiques (TMS) liés au

Plus en détail

RAPPORT SYNTHÈSE. En santé après 50 ans. Évaluation des effets du programme Les médicaments :

RAPPORT SYNTHÈSE. En santé après 50 ans. Évaluation des effets du programme Les médicaments : S A N T É P U B L I Q U E RAPPORT SYNTHÈSE Évaluation des effets du programme Les médicaments : Oui Non Mais! En santé après 50 ans Depuis janvier 1997, la Direction de santé publique s est associée à

Plus en détail

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS)

Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU

Plus en détail

Comment la proposer et la réaliser?

Comment la proposer et la réaliser? RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Comment la proposer et la réaliser? Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à aider les professionnels de santé dans la mise en œuvre d un programme

Plus en détail

9.11 Les jeux de hasard et d argent

9.11 Les jeux de hasard et d argent 9.11 Les jeux de hasard et d argent Maud Pousset, Marie-Line Tovar 288 Les jeux de hasard et d argent (JHA) constituent une activité ancienne et répandue, mais longtemps interdite. Leur offre s est étoffée,

Plus en détail

Medication management ability assessment: results from a performance based measure in older outpatients with schizophrenia.

Medication management ability assessment: results from a performance based measure in older outpatients with schizophrenia. Medication Management Ability Assessment (MMAA) Patterson TL, Lacro J, McKibbin CL, Moscona S, Hughs T, Jeste DV. (2002) Medication management ability assessment: results from a performance based measure

Plus en détail

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 %

4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % 4720.5560.46 (septembre 2009) 30 % Prévenir le jeu excessif chez les adolescents C est toujours gagnant! Pourquoi ce dépliant? [ ] Le rôle des parents est déterminant dans la prévention du jeu excessif

Plus en détail

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010 Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus

Plus en détail

L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves

L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves L analyse documentaire : Comment faire des recherches, évaluer, synthétiser et présenter les preuves Cet atelier portera sur 1. la recherche dans la documentation de sources pertinentes; 2. l évaluation

Plus en détail

La recherche et vous. Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche?

La recherche et vous. Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche? La recherche et vous Pourquoi accepter ou refuser de participer à un projet de recherche? La recherche et vous Dépôt légal - octobre 2012 Bibliothèque et archives nationales du Québec Bibliothèque et archives

Plus en détail

Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie

Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Présenté par Mélanie Dessureault, inf. clin. et Caroline Fortin, AIC radio-oncologie Quiz de la radio-oncologie Rôle de l infirmière en radio-oncologie Mise en contexte (création des outils) Premier outils:

Plus en détail

Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral

Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique Beauséjour, Michel Pépin, Isabelle Gélinas, et Michelle McKerral Le traumatisme cranio-cérébral léger chez les personnes âgées : impact sur les processus mnésiques et exécutifs - Mise en relation avec les habitudes de vie Sophie Blanchet, Frédéric Bolduc, Véronique

Plus en détail

Faciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau

Faciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau Faciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau de soins palliatifs du Québec, Montréal Julia Sohi

Plus en détail

Les soins aux personnes âgées atteintes de la maladie d Alzheimer et d autres formes de démence Sommaire

Les soins aux personnes âgées atteintes de la maladie d Alzheimer et d autres formes de démence Sommaire Août 2010 Types de soins Les soins aux personnes âgées atteintes de la maladie d Alzheimer et d autres formes de démence Sommaire La présente étude utilise deux banques de données en expansion de l ICIS

Plus en détail

Les 15 mots de Rey Évaluation de la capacité d apprentissage à court terme.

Les 15 mots de Rey Évaluation de la capacité d apprentissage à court terme. Les 15 mots de Rey Évaluation de la capacité d apprentissage à court terme. Présentation du test: La méthode consiste à lire et à faire répéter à plusieurs reprises au sujet examiné une série de 15 mots

Plus en détail

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION

AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION AVIS DE LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DE L AUTISME DANS LE CADRE DE LA CONSULTATION PUBLIQUE SUR LA LUTTE CONTRE L INTIMIDATION NOVEMBRE 2014 La Fédération québécoise de l'autisme (FQA) est un regroupement

Plus en détail

Coaching PNL et neurosciences

Coaching PNL et neurosciences Coaching PNL et neurosciences Les fondements scientifiques du cadre objectif Par Anne-Laure Nouvion, PhD. Docteure en biologie et coach certifiée en PNL Les fondements scientifiques du cadre objectif Tous

Plus en détail

Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs

Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs 06 NOVEMBRE 2014 Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs Roger Godbout, Ph.D. Laboratoire et Clinique du sommeil, Hôpital Rivière-des-Prairies Département de psychiatrie, Université de Montréal

Plus en détail

Santé mentale au travail Enjeu Clinique ou de Leadership? Maladie ou blessure?

Santé mentale au travail Enjeu Clinique ou de Leadership? Maladie ou blessure? Santé mentale au travail Enjeu Clinique ou de Leadership? Maladie ou blessure? Contexteet facteursqui devraient motiverl ACTIONet l INNOVATION Seulement 41% des employés croient pouvoir reconnaître une

Plus en détail

INNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro

INNOVATION De la rééducation au sport santé. LPG crée le Neuro INNOVATION De la rééducation au sport santé LPG crée le Neuro Physical Training! Bouger pour sa santé, une évidence pour les français? Bien que Faire du sport soit, chaque année, une des résolutions prioritaires

Plus en détail

Orthèse Narval O.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAOS

Orthèse Narval O.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAOS rthèse Narval.R.M. L orthèse innovante et confortable dans le traitement du SAS Traitement du SAS par orthèse Narval.R.M. Entre 19 et 27% 1-2 des patients apnéiques traités par pression positive continue

Plus en détail

Rôle du sommeil dans la consolidation de la mémoire: un dialogue entre structures cérébrales

Rôle du sommeil dans la consolidation de la mémoire: un dialogue entre structures cérébrales Laboratoire Neurobiologie des Processus adaptatifs, UMR 7102, Université Pierre et Marie Curie Ecole Thématique CNRS, Berder 7 avril 2011 Rôle du sommeil dans la consolidation de la mémoire: un dialogue

Plus en détail

Nom et coordonnées des personnes qui fourniront des lettres de recommandations :

Nom et coordonnées des personnes qui fourniront des lettres de recommandations : FORMULAIRE D INSCRIPTION À L INTERNAT EN PSYCHOLOGIE POUR LES MILIEUX DE LA RÉGION DE QUÉBEC Prénom Nom de famille Adresse Téléphone (1 seul numéro)* Courriel (1 seule adresse)* *Coordonnées pour vous

Plus en détail

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines

Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines 18. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines KARILA LAURENT - APPRENTISSAGE DE L EXERCICE MÉDICAL + Objectifs

Plus en détail

Questionnaire pour les parents

Questionnaire pour les parents 6 Questionnaire pour Nom de l enfant: Rempli par: Date: 1. Comment évaluez-vous le développement de votre enfant? Avez-vous remarqué quelque chose de particulier? Comment situez-vous le développement de

Plus en détail

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique 2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique

Plus en détail

Guide de l'animateur. Clarté du leadership et des attentes. Le Centre pour la santé mentale en milieu de travail de la Great-West

Guide de l'animateur. Clarté du leadership et des attentes. Le Centre pour la santé mentale en milieu de travail de la Great-West Guide de l'animateur Clarté du leadership et des attentes Le Centre pour la santé mentale en milieu de travail de la Great-West Clarté du leadership et des attentes Diapositive n o 1 Avant de présenter

Plus en détail

Test de reconnaissance des faux pas (version adulte)

Test de reconnaissance des faux pas (version adulte) Test de reconnaissance des faux pas (version adulte) Version originale V. Stone et S. Baron-Cohen http://www2.psy.uq.edu.au/~stone/faux_pas_recog_test.pdf Adapté et normalisé en français par X. Delbeuck

Plus en détail

Bases de données et RefWorks Sylvain Fiset - Automne 2008. Bases de données et Refworks. Sylvain Fiset

Bases de données et RefWorks Sylvain Fiset - Automne 2008. Bases de données et Refworks. Sylvain Fiset Bases de données et Refworks Sylvain Fiset 1 Plan de l atelier Démontrer l utilisation des bases de données dans un contexte pédagogique. Démontrer l utilisation des bases de données et de RefWorks dans

Plus en détail

Permis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes

Permis de conduire et maladie d Alzheimer. Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Permis de conduire et maladie d Alzheimer Denise STRUBEL Service de Gérontologie et Prévention du Vieillissement CHU Nîmes Introduction Conduite automobile : Tâche complexe à forte exigence cognitive Liberté

Plus en détail

Modèle de Suivi en première ligne des maladies chroniques. Fellow du programme TUTOR-PHC, IRSC Familiale U. de Mtl.

Modèle de Suivi en première ligne des maladies chroniques. Fellow du programme TUTOR-PHC, IRSC Familiale U. de Mtl. Modèle de Suivi en première ligne des maladies chroniques Dr Alain Turcotte, Md,, CMFC Fellow du programme TUTOR-PHC, IRSC Chargé de formation clinique, Département D de Médecine M Familiale U. de Mtl.

Plus en détail

Repérage de la perte d autonomie

Repérage de la perte d autonomie Repérage de la perte d autonomie France Morissette, MSc. Inf Directrice, Opérations soins 24 novembre 2014 LE GROUPE MAURICE PROFIL CORPORATIF, EN BREF Fondé en 1998 Un seul créneau : l habitation pour

Plus en détail

Table des matières. Relation entre le syndrome d'apnées du sommeil et les maladies. But de l'étude, hypothèses de recherche et objectifs 46

Table des matières. Relation entre le syndrome d'apnées du sommeil et les maladies. But de l'étude, hypothèses de recherche et objectifs 46 Table des matières SOMMAIRE LISTE DES TABLEAUX LISTE DES ABRÉVIATIONS REMERCIEMENTS ii vii ix xi INTRODUCTION 1 CONTEXTE THÉORIQUE 5 Le système vasculaire cérébral 6 L'ischémie cérébrale transitoire 9

Plus en détail

Maladie d Alzheimer et maladies apparentées : suivi médical des aidants naturels

Maladie d Alzheimer et maladies apparentées : suivi médical des aidants naturels RECOMMANDATIONS DE BONNE PRATIQUE Maladie d Alzheimer et maladies apparentées : suivi médical des aidants naturels ARGUMENTAIRE Février 2010 1 Les recommandations et la synthèse des recommandations sont

Plus en détail

PROJET DE LOI 15 BILL 15. 1st Session, 56th 58th Legislature New Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007

PROJET DE LOI 15 BILL 15. 1st Session, 56th 58th Legislature New Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007 1st Session, 56th 58th Legislature New Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007 1 re session, 56 58 e législature Nouveau-Brunswick 63-6456 Elizabeth II, II, 2014-2015 2007 BILL 15 PROJET DE

Plus en détail

Qu avez-vous appris pendant cet exposé?

Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux

Plus en détail

Présentation: Aline Mendes

Présentation: Aline Mendes Présentation: Aline Mendes Définition et aspects épidémiologiques; Parcours d un aidant et survenue du fardeau; Modalités d intervention; Institutionnalisation; L aidant professionnel; Réseau à Genève.

Plus en détail

Équivalence et Non-infériorité

Équivalence et Non-infériorité Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.

Plus en détail

C. Cohen, Inf. M.Sc. Professeure HEdS La Source & Intervenante à l IUFRS

C. Cohen, Inf. M.Sc. Professeure HEdS La Source & Intervenante à l IUFRS 3ème Séminaire européen du SIDIIEF «Les maladies chroniques : Formation, recherche et leadership clinique en soins infirmiers» 26 mars 2015 Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV), Lausanne, Suisse

Plus en détail

Les effets nocifs du bruit sur l'homme

Les effets nocifs du bruit sur l'homme La santé n'est pas seulement l'absence de maladie mais un état de complet bien être physique, mental et social (OMS) Le bruit est un ensemble confus de sons non désirés (Littré) ou un ensemble de sons

Plus en détail

Questionnaire pour enfants avec trouble de voix

Questionnaire pour enfants avec trouble de voix 10 504, boulevard St-Laurent, local 1 Montréal, H3L 2P4; 514.332.9593 www.cliniquebeausoleil.com Questionnaire pour enfants avec trouble de voix Voici un formulaire qui peut vous sembler long à remplir,

Plus en détail

Le développement de la temporalité chez les. enfants

Le développement de la temporalité chez les. enfants Conférence à la Société Romande d Audiologie, de Phoniatrie et de Logopédie Le développement de la temporalité chez les Vincent Quartier Plan de la présentation Le temps Temps et hyperactivités Questionnaire

Plus en détail

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES

DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES DOMAINE 7 RELATIONS ET RÔLES 327 Allaitement maternel inefficace (00104) 327 Allaitement maternel interrompu (00105) 328 Motivation à améliorer l allaitement maternel (00106) 329 Tension dans l exercice

Plus en détail

INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT

INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie

Plus en détail

LA PENSÉE. À quel point habile est votre pensée en ce moment? 1

LA PENSÉE. À quel point habile est votre pensée en ce moment? 1 LA PENSÉE À quel point habile est votre pensée en ce moment? 1 Il n y a rien de plus pratique qu une pensée saine. Peu importe les circonstances ou les buts, peu importe où vous vous trouvez ou les problèmes

Plus en détail

Où avez-vous entendu parler de la Maison de la Famille Joli-Cœur :

Où avez-vous entendu parler de la Maison de la Famille Joli-Cœur : FORMULAIRE D INSCRIPTION ATELIERS PARENTS/ENFANTS ATELIER Où avez-vous entendu parler de la Maison de la Famille Joli-Cœur : Nom du parent : Date de naissance du parent : Nom de l enfant : Date de naissance

Plus en détail

Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à. l intention des chercheurs évoluant en recherche fondamentale

Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à. l intention des chercheurs évoluant en recherche fondamentale V E R S I O N A V R I L 2 0 1 2 C E N T R E D E R E C H E R C H E C L I N I Q U E É T I E N N E - L E B E L D U C H U S Guide de rédaction d un protocole de recherche clinique à l intention des chercheurs

Plus en détail

Monitoring des données relatives au poids effectué par les services médicaux scolaires des villes de Bâle, Berne et Zurich

Monitoring des données relatives au poids effectué par les services médicaux scolaires des villes de Bâle, Berne et Zurich Promotion Santé Suisse Editorial Feuille d information 1 Les données de poids de plus de 13 000 enfants et adolescents dans les villes suisses de, et ont été collectées pour l année scolaire 2012/2013

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité

Plus en détail

Migraines, céphalées et statut hormonal

Migraines, céphalées et statut hormonal Migraines, céphalées et statut hormonal Vincent Cahagne, service de neurologie et équipe mobile d accompagnement et de soins palliatifs, Chu Rennes Migraine et puberté Le début de la migraine Le début

Plus en détail

Objectifs pédagogiques Lecture critique d article

Objectifs pédagogiques Lecture critique d article Objectifs pédagogiques Lecture critique d article groupe V Evaluer les applications cliniques Evaluer les applications cliniques 21 ) Discuter la ou les décisions médicales auxquelles peuvent conduire

Plus en détail

La cybersanté: une offre de services empreinte de promesses pour la prévention et la gestion des maladies chroniques?

La cybersanté: une offre de services empreinte de promesses pour la prévention et la gestion des maladies chroniques? La cybersanté: une offre de services empreinte de promesses pour la prévention et la gestion des maladies chroniques? José Côté, inf., Ph. D. Titulaire de la Chaire de recherche sur les nouvelles pratiques

Plus en détail

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être

Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian

Plus en détail

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» «Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique

Plus en détail

Réponse à la saisine du 30 octobre 2014 en application de l article L.161-39 du code de la sécurité sociale

Réponse à la saisine du 30 octobre 2014 en application de l article L.161-39 du code de la sécurité sociale ARGUMENTAIRE Réponse à la saisine du 30 octobre 2014 en application de l article L.161-39 du code de la sécurité sociale Identification des troubles mnésiques et stratégie d intervention chez les séniors

Plus en détail

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,

Plus en détail

Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques?

Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Janvier 2011 Les personnes âgées et le système de santé : quelles sont les répercussions des multiples affections chroniques? Introduction Les soins dispensés aux patients souffrant d affections chroniques

Plus en détail

TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE

TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE DOCUMENT SUPPLÉMENTAIRE 6C TDAH ET LA CONDUITE AUTOMOBILE Points clés pour les médecins à réviser avec les adolescents et adultes atteints de TDAH: Données concernant les risques: a) Des études cliniques

Plus en détail

Marie-Thérèse Lussier MD, BSc, MSc, FCMFC Claude Richard PhD, MA Justin Gagnon, MA Jean François Payotte, MSc

Marie-Thérèse Lussier MD, BSc, MSc, FCMFC Claude Richard PhD, MA Justin Gagnon, MA Jean François Payotte, MSc Marie-Thérèse Lussier MD, BSc, MSc, FCMFC Claude Richard PhD, MA Justin Gagnon, MA Jean François Payotte, MSc RCSSSP Initiative pan canadienne de collecte de données sur la santé des patients extraites

Plus en détail

Quand le stress nous rend malade

Quand le stress nous rend malade Yuri Arcurs Quand le stress nous rend malade Tous concernés! De quoi s agit-il? Le stress stimule notre organisme pour qu'il s'adapte à une nouvelle situation, bonne ou mauvaise. Deux hormones sont alors

Plus en détail

Troubles Musculo-Squelettiques de l'utilisation prolongée de l'ordinateur. Comment le Masseur-Kinésithérapeute peut-il intervenir face à ces TMS?

Troubles Musculo-Squelettiques de l'utilisation prolongée de l'ordinateur. Comment le Masseur-Kinésithérapeute peut-il intervenir face à ces TMS? Troubles Musculo-Squelettiques de l'utilisation prolongée de l'ordinateur Comment le Masseur-Kinésithérapeute peut-il intervenir face à ces TMS? Soutenance MKDE Juin 2014 Les Troubles Musculo- Squelettiques

Plus en détail

2. Présentation d une intervention dans l une des entreprises

2. Présentation d une intervention dans l une des entreprises Approche ergonomique des troubles musculosquelettiques (TMS) au sein de trois entreprises basées en Suisse Juin 2007 Andréa Neiva, Aurélia Pellaux, Daniel Ramaciotti ERGOrama sa Genève & Université de

Plus en détail

Qu est-ce que la maladie de Huntington?

Qu est-ce que la maladie de Huntington? Qu est-ce que la maladie de Huntington? Description sommaire Qu est-ce que la maladie de Huntington? La maladie de Huntington (MH) est une maladie neurodégénérative longtemps connue sous le nom de Chorée

Plus en détail

La migraine : quelle prise de tête!

La migraine : quelle prise de tête! La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également

Plus en détail

Rapport d'expérience final

Rapport d'expérience final Rapport d'expérience final Ricci Arnaud et Garretas Victor 1 juin 2015 Table des matières Introduction Problématique Cadre théorique et résultats précédents Hypothèses générales Méthodologie Participants

Plus en détail

La conduite automobile et le vieillissement

La conduite automobile et le vieillissement La conduite automobile et le vieillissement Présenté par Martin Lavallière, M.Sc. Étudiant au doctorat, Faculté de Médecine Document préparé par Martin Lavallière, Marie Eve Roussel et Philippe Voyer Bonjour,

Plus en détail

Les bonnes pratiques pour les travaux scolaires à la maison

Les bonnes pratiques pour les travaux scolaires à la maison D après LES DEVOIRS ET LES LEÇONS de Marie-Claude Béliveau 1 1 Rappels et définitions. Officiellement, les devoirs à la maison sont interdits depuis 1956 2 à l école primaire mais leur pratique reste très

Plus en détail

QUESTIONNAIRE DES LOCATAIRES CONNAISSEZ-VOUS VOS DROITS? 1. Le locateur peut entrer dans votre appartement en tout temps.

QUESTIONNAIRE DES LOCATAIRES CONNAISSEZ-VOUS VOS DROITS? 1. Le locateur peut entrer dans votre appartement en tout temps. QUESTIONNAIRE DES LOCATAIRES CONNAISSEZ-VOUS VOS DROITS? 1. Le locateur peut entrer dans votre appartement en tout temps. Vrai ou Faux 2. Vous avez le droit de changer les serrures sans la permission du

Plus en détail

Le handicap est plus fréquent en prison qu à l extérieur

Le handicap est plus fréquent en prison qu à l extérieur N 854 - JUIN 2002 Prix : 2,20 Le handicap est plus fréquent en prison qu à l extérieur Aline Désesquelles, Institut National d Études Démographiques et le groupe de projet HID-prisons Plus de trois personnes

Plus en détail

Message du comité exécutif de l AQPMO

Message du comité exécutif de l AQPMO Message du comité exécutif de l AQPMO Il nous fait plaisir de vous présenter, pour une dixième année, notre programme officiel de formation continue. L Association Québécoise de Physiothérapie Manuelle

Plus en détail

EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO

EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO EVALUATION DE LA QUALITE DES SONDAGES EN LIGNE : CAS D UN SONDAGE D OPINION AU BURKINA FASO Auteur Baguinébié Bazongo 1 Ingénieur Statisticien Economiste Chef de l Unité de recherche à l Institut national

Plus en détail

La maladie d Alzheimer mise à jour en 2009

La maladie d Alzheimer mise à jour en 2009 La maladie d Alzheimer mise à jour en 2009 Fadi Massoud Un défi colossal se pose à l échelle mondiale. Dans les années à venir, plus du tiers des personnes de plus de 85 ans sera touché par la démence

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES

A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES IED PARIS 8 A PROPOS DES CRITERES D ATTRIBUTION DES EQUIVALENCES La procédure d équivalence permet de dispenser les étudiants de certains enseignements dans la mesure où ils peuvent justifier de l acquisition

Plus en détail

APPUIS-COUDES MOBILES POUR RÉDUIRE LE TRAVAIL STATIQUE DE LA CEINTURE SCAPULAIRE DU PERSONNEL DENTAIRE

APPUIS-COUDES MOBILES POUR RÉDUIRE LE TRAVAIL STATIQUE DE LA CEINTURE SCAPULAIRE DU PERSONNEL DENTAIRE APPUIS-COUDES MOBILES POUR RÉDUIRE LE TRAVAIL STATIQUE DE LA CEINTURE SCAPULAIRE DU PERSONNEL DENTAIRE PROTEAU ROSE-ANGE Association pour la santé et la sécurité au travail, secteur affaires sociales (ASSTSAS),

Plus en détail

L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif

L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif L utilisation de l approche systémique dans la prévention et le traitement du jeu compulsif Isabelle Cyr, B.sc. Psychologie. B.sc. Service social. T.s. Thérapeute Josée Dostie, B.A. Psychologie. Thérapeute

Plus en détail

Enquête auprès des parents

Enquête auprès des parents Projet Brosse à dents débutant Institut für Hygiene und Arbeitsphysiologie ETH-Zentrum, Clausiusstr. 25 8092 Zürich Adresse électronique: www_zahnbuerstenergonomie@web.ethz.ch Enquête auprès des parents

Plus en détail

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Le rôle des émotions et de la motivation dans la stratégie de régulation de l allure:

Le rôle des émotions et de la motivation dans la stratégie de régulation de l allure: Le rôle des émotions et de la motivation dans la stratégie de régulation de l allure: Les auteurs emploient parfois le terme de sensation, parfois d émotion. Les nuances entre ces notions sont subtiles

Plus en détail

Date de diffusion publique : 4 septembre, 2012

Date de diffusion publique : 4 septembre, 2012 En règle générale, les Canadiens sont confiants de pouvoir reconnaître les signes d une urgence médicale, mais ils sont moins certains d avoir les compétences nécessaires pour intervenir. Quatre Canadiens

Plus en détail

Pour une mobilité sure et durable des

Pour une mobilité sure et durable des Safe Move For older drivers Pour une mobilité sure et durable des conducteurs âgés Claude Marin-Lamellet IFSTTAR-TS2-LESCOT 2 Partenaires Projet miroir en Suède Financeurs 3 Personnes impliquées IFSTTAR

Plus en détail

Insuffisance cardiaque

Insuffisance cardiaque Insuffisance cardiaque Connaître son évolution pour mieux la vivre Guide d accompagnement destiné au patient et ses proches Table des matières L évolution habituelle de l insuffisance cardiaque 5 Quelles

Plus en détail

Personnes âgées et BESOIN d APPRENDRE

Personnes âgées et BESOIN d APPRENDRE Personnes âgées et BESOIN d APPRENDRE I- Savoir résumer ce besoin II- Savoir reconnaître le processus de vieillissement physiologique et ses conséquences A - Le vieillissement physiologique Processus du

Plus en détail

DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS

DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...

Plus en détail

E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL

E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL Bill Pattinson Division de la politique de l information, de l informatique et de la communication

Plus en détail