Marie Jacqué MCF en Sociologie. Université d Aix-Marseille Laboratoire Population Environnement Développement (LPED) UMR 151 IRD

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Marie Jacqué MCF en Sociologie. Université d Aix-Marseille Laboratoire Population Environnement Développement (LPED) UMR 151 IRD"

Transcription

1 Marie Jacqué MCF en Sociologie Université d Aix-Marseille Laboratoire Population Environnement Développement (LPED) UMR 151 IRD

2 Le social La société s organise autour d une «conscience collective», c est-à-dire que les membres d une même société partagent un ensemble de valeurs Ces valeurs sont traduites en normes, qui sont présentées comme incontournables, voire immuables

3 Ces normes et valeurs sont transmises au cours du processus de socialisation, d abord dans la famille, ensuite à l école et dans le milieu professionnel Les valeurs et normes fondamentales d une société, incarnées dans des institutions et transmises par l éducation s organisent dans un système qui a une cohérence et une stabilité forte

4 Ce que nous pensons être des vérités, sont des valeurs traduites en normes qui bien que semblant figées se transforment avec l évolution des rapports sociaux Ces rapports sociaux renvoient au rapports entretenus entre des classes sociales différenciées.

5 Education à l environnement et socialisation La socialisation à de nouvelles normes environnementales se généralise au nom de la formation de l écocitoyen Multiplication des vecteurs pédagogiques : Education nationale, médias, formations professionnelles, entreprises, etc. La prédominance de l apprentissage gestuel et comportemental

6 Les pratiques écocitoyennes consistent essentiellement en une implication économique des individus par leur participation aux dispositifs gestionnaires L acceptation sociale de ces nouvelles normes de comportement est rendue possible par la requalification des valeurs anciennes d économies en valeurs environnementales

7 La portée normative des pratiques écocitoyennes s accompagne d une forme d exclusion et de sanctions sociales pour les individus qui ne se conforment pas à ces dispositifs gestionnaires La formation écocitoyenne fonctionne comme une caution et une légitimité morale pour les politiques publiques environnementales et de ce fait efface toute critique écologique. XVIII ème Congrès de l'aislf, Istanbul 7-11 juillet 2008, «Régulations globales et régulations locales en tension"

8 Le changement social Toute transformation observable dans le temps, qui affecte, d une manière qui ne soit pas provisoire ou éphémère, la structure ou le fonctionnement de l organisation sociale d une collectivité donnée et modifie le cours de son histoire. Le changement social ne peut s expliquer par une cause ou un facteur. Une interdépendance et interrelation des fracteurs liée à une situation historique.

9 Les facteurs de changements : structurels (modification de la structure économique et sociale), les conflits entre groupes sociaux, l émergence d un nouveau système de valeurs, le progrès technique, Les acteurs du changements : les élites (prise de décision, définition des situations, exemplarité), mouvements sociaux et groupes de pression, acteurs social et innovation

10 Environnement et changement social L émergence de la question environnementale : exemple d analyse du changement social Des changements structurels Un transformation des modes de pensée Des groupes sociaux émergents et contestataires

11 Intégration et normalisation sociale des enjeux environnementaux Institutionnalisation Intégration économique Normalisation sociale : diffusion du mode de pensée environnementale

12 Les paradoxes de l engagement écocitoyen L écocitoyenneté : un engagement normatif au nom d une socialisation environnementale versus une critique écologique du mode de développement L impératif environnemental crée alors un conflit chez les individus entre les valeurs auxquelles ils adhèrent et la traduction pratique de cet engagement.

13 L exemple du choix des transports Enquête menée dans le cadre d une recherche action Enquête par questionnaire auprès des usagers du site de Luminy

14 La voiture : une contrainte voulue Une utilisation majoritaire chez les salariés et dominante chez les étudiants. L utilisation de la voiture : une recherche de maîtrise du temps et la valorisation de l individualité par l autonomie et la liberté Un mode de vie socialement affirmé

15 Le recours à la voiture, parce qu il s inscrit dans l accès à un «mode de vie idéal», relève avant tout des logiques de distinction et de consommation Une pratique différenciée en fonction de l âge : plus on vieillit, plus on prend la voiture Posséder un jour une voiture est important pour ceux qui n en ont pas aujourd hui

16 Les transports en commun : un choix subi L utilisation d un mode de transport plus doux est déterminé par le revenu Parmi les gens qui ne prennent pas leur voiture, 70% sont des étudiants et 30% des salariés. Cette population correspond aussi à celle qui a les plus faibles revenus. L utilisation de la voiture est directement corrélé au revenu Les transports en commun, une solution d attente

17 Les individus qui adhèrent le plus aux valeurs environnementales ne modifient pas pour autant leur mode de transport L engagement pour l environnement relève d un aménagement des modes de vie : les actions envisagées : lever le pied, acheter une voiture moins polluante

18 L exemple du tri des déchets Trier ses déchets : une pratique socialement acceptée et relativement partagée La justification de la pratique : le recyclage Un détournement de l engagement?

Projet de mise en place de l Enquête Emploi du temps en Algérie

Projet de mise en place de l Enquête Emploi du temps en Algérie Projet de mise en place de l Enquête Emploi du temps en Algérie Mechti samia, Mokri samia, Roggaz Nacera Direction de la Population et de l Emploi, ONS Objectif L enquête Nationale sur l Emploi du temps

Plus en détail

PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE

PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE PARTENAIRE COMMERCIAL DE MSD CODE DE CONDUITE «Nos valeurs et nos règles» pour nos partenaires commerciaux Code de conduite pour le partenaire commercial de MSD [Édition 1] MSD est engagée dans une démarche

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Etudes internationales de l Université Paris-Sud Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section des Formations et des diplômes

Plus en détail

Réunion du cluster Habitat Bâtiment Intelligent (HBI) 17 Mars 2014 L I NTELLIGENCE ENERGÉTIQUE

Réunion du cluster Habitat Bâtiment Intelligent (HBI) 17 Mars 2014 L I NTELLIGENCE ENERGÉTIQUE Réunion du cluster Habitat Bâtiment Intelligent (HBI) 17 Mars 2014 P RÉSENTATION DU PROJET ADVICE ACCEPTA BILITÉ ET DROIT DE L I NTELLIGENCE ENERGÉTIQUE Présentation du Projet ADvICE En quelques mots La

Plus en détail

MASTER PROFESSIONNEL MÉDIATION ET MODÈLES DE DÉVELOPPEMENT. Description des UE, semestres 3 et 4 2011-2012

MASTER PROFESSIONNEL MÉDIATION ET MODÈLES DE DÉVELOPPEMENT. Description des UE, semestres 3 et 4 2011-2012 MASTER PROFESSIONNEL MÉDIATION ET MODÈLES DE DÉVELOPPEMENT Description des UE, semestres 3 et 4 2011-2012 UE 1 Médiation et communication dans les organisations 40h CM, 20h TD - 6 ECTS, coefficient 2 Session

Plus en détail

S O M M A I R E. Objet du Marché ARTICLE 1. Pièces constitutives du marché ARTICLE 2. Programme d'étude ARTICLE 3. Délais d exécution ARTICLE 4

S O M M A I R E. Objet du Marché ARTICLE 1. Pièces constitutives du marché ARTICLE 2. Programme d'étude ARTICLE 3. Délais d exécution ARTICLE 4 S O M M A I R E ARTICLE 1 Objet du Marché ARTICLE 2 Pièces constitutives du marché ARTICLE 3 Programme d'étude ARTICLE 4 Délais d exécution ARTICLE 5 Propriété des études et documents ARTICLE 6 Secret

Plus en détail

Les aspects paiements de la loi sur l ouverture à la concurrence du marché des jeux d argent et de hasard en ligne

Les aspects paiements de la loi sur l ouverture à la concurrence du marché des jeux d argent et de hasard en ligne Making a Play in the French Online Gambling Market : Part II Gambling Application and Requirements 26/05/2010 - Le Méridien Etoile (France) Les aspects paiements de la loi sur l ouverture à la concurrence

Plus en détail

PARTENAIRES DES 30 MIN POUR CONVAINCRE

PARTENAIRES DES 30 MIN POUR CONVAINCRE UN VRAI REGIME DE CADRES APPLIQUE AUX NON SALARIES! 1- SECURISATION ET FIDELISATION DE VOS CLIENTS RODUIT Un partenariat qui protège vos clients Vous conservez si vous le souhaitez votre courtier. Pas

Plus en détail

Recensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes

Recensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes Recensement des flottes de véhicules à motorisation alternative en Rhône-Alpes Estimation du potentiel de développement SYNTHÈSE DES RÉSULTATS 2014 avec le soutien de Enquête 2014 Pour la seconde fois

Plus en détail

«Marketing /site web et la protection des données à caractère personnel»

«Marketing /site web et la protection des données à caractère personnel» «Marketing /site web et la protection des données à caractère personnel» Incidence de la réforme de la loi «Informatique et libertés» et de la loi «Économie Numérique» Emilie PASSEMARD, Chef du service

Plus en détail

Jean-Claude Kaufmann "L'invention de soi - Une théorie de l'identité"

Jean-Claude Kaufmann L'invention de soi - Une théorie de l'identité Séminaire de sociologie des migrations et des relations interethniques. Jean-Claude Kaufmann "L'invention de soi - Une théorie de l'identité" Introduction Le collectif comme ressource L'identité fournit

Plus en détail

Journée d information du 5 novembre 2012. Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine. économiques

Journée d information du 5 novembre 2012. Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine. économiques Journée d information du 5 novembre 2012 Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine économiques Gabrielle LABESCAT Principales tendances du tourisme urbain impactant la mobilité

Plus en détail

ASSOCIATION «HABITER ENFIN!» Loi de 1901 STATUTS

ASSOCIATION «HABITER ENFIN!» Loi de 1901 STATUTS 1 ASSOCIATION «HABITER ENFIN!» Loi de 1901 STATUTS ARTICLE 1 - DENOMINATION La présente Association a pour dénomination : «Habiter Enfin!». ARTICLE 2 - SIEGE Le siège de l association est fixé au : 14

Plus en détail

Les relations réciproques Ecole Familles en grandes difficultés

Les relations réciproques Ecole Familles en grandes difficultés Familles en grandes difficultés et école : des relations complexes Résumé du rapport de recherche : Les relations réciproques Ecole Familles en grandes difficultés Rapport de recherche du CERSE Université

Plus en détail

Mode d emploi de la Caution locative étudiante (CLE)

Mode d emploi de la Caution locative étudiante (CLE) Mode d emploi de la Caution locative étudiante (CLE) 1 Se créer un compte Lokaviz ou s identifier Les démarches sont indiquées sur le site de LOKAVIZ (www.lokaviz.fr) sur l onglet CAUTION CLE : Le dispositif

Plus en détail

Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental

Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental Natalie Rinfret, Ph.D. Colloque de l Association des directeurs généraux des services

Plus en détail

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI

LA VERSION ELECTRONIQUE FAIT FOI REGLEMENT INTERIEUR Document GEN REF 02 Révision 04- juin 2012 SOMMAIRE ARTICLE 1 - OBJET... 3 ARTICLE 2 MEMBRES DE L ASSOCIATION... 3 ARTICLE 3 - ASSEMBLEE GENERALE... 3 ARTICLE 4 - ADMINISTRATEURS...

Plus en détail

Principes généraux. www.architectes.org mars 2015 1 Les enjeux des Agendas d Accessibilité Programmée (Ad AP) en 9 points

Principes généraux. www.architectes.org mars 2015 1 Les enjeux des Agendas d Accessibilité Programmée (Ad AP) en 9 points www.architectes.org mars 2015 1 Les enjeux des Agendas d Accessibilité Programmée (Ad AP) en 9 points Au 1er janvier 2015, seule une partie des établissements recevant du public (ERP) ont répondu aux obligations

Plus en détail

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation

Guide sur les mutuelles de formation. Règlement sur les mutuelles de formation Guide sur les mutuelles de formation Règlement sur les mutuelles de formation ÉDITION AVRIL 2008 Dans le cadre d une entente de délégation prévue par la Loi sur le ministère de l Emploi et de la Solidarité

Plus en détail

Conditions d'utilisation de la plateforme Défi papiers

Conditions d'utilisation de la plateforme Défi papiers Conditions d'utilisation de la plateforme Défi papiers Préambule : La lecture et l acceptation des présentes conditions d utilisation, ci-après les «Conditions d Utilisation», sont requises avant toute

Plus en détail

Chapitre 17 Action publique et régulation

Chapitre 17 Action publique et régulation CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 16 novembre 2014 à 19:40 Chapitre 17 Action publique et régulation Introduction Pourquoi les pouvoirs publics interviennent-ils dans les économies contemporaines?

Plus en détail

Présentation des CMS au CIFOM-EAA

Présentation des CMS au CIFOM-EAA Présentation des CMS au CIFOM-EAA http://www.esne.ch/infogestion/laboratoires/ldi/enseignement/article_0000.html filière informatique de gestion - Dominique Huguenin 1 sommaire Introduction 1 ère partie

Plus en détail

Campus Paris Saclay. Enquête sur les usages, transports, logements et services. L enquête en ligne. Les bonnes pratiques identifiées par le benchmark

Campus Paris Saclay. Enquête sur les usages, transports, logements et services. L enquête en ligne. Les bonnes pratiques identifiées par le benchmark Campus Paris Saclay L enquête en ligne Les déplacements : des spécificités par statut L équipement : un intérêt marqué pour les transports doux et les services pratiques Le logement : des attentes et des

Plus en détail

COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN

COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN COMMISSION SCOLAIRE DE LA BEAUCE-ETCHEMIN Page 1 de 7 DIRECTIVE RÉGISSANT LES ACTIVITÉS FINANCIÈRES DÉCOULANT DE LA PERCEPTION DES REVENUS DANS LES ÉTABLISSEMENTS 1.0 FONDEMENTS 1.1 Devoir d'établissement

Plus en détail

Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil

Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil Retour au sommaire Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil BIM n 05-12 février 2002 Karin BARLET ; Bonnie BRUSKY Nous vous présentions en novembre dernier les outils d étude de marché

Plus en détail

Plan de cours. Comportement organisationnel

Plan de cours. Comportement organisationnel ÉCOLE NATIONALE D ADMINISTRATION PUBLIQUE Plan de cours ENP 7106 Comportement organisationnel Hanoi Avril 2011 Joanne Greene, M. Ps. joanne.greene@enap.ca Ce cours permet à l étudiant d approfondir sa

Plus en détail

Promouvoir l identité coopérative via la RSE? Quelques premiers résultats sur données européennes et françaises

Promouvoir l identité coopérative via la RSE? Quelques premiers résultats sur données européennes et françaises Promouvoir l identité coopérative via la RSE? Quelques premiers résultats sur données européennes et françaises Nadine Richez-Battesti (Lest et Université de la Méditerranée) nrichezbattesti@wanadoo.fr

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

Evaluation générale de la qualité des données par âge et sexe

Evaluation générale de la qualité des données par âge et sexe Analyse démographique pour la prise des décisions. Tendances, et inégalités de mortalité et de fécondité en Afrique francophone : les outils en ligne de l UNFPA / UIESP pour l'estimation démographique.

Plus en détail

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes

Questionnaire. sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes adultes Questionnaire Université du Luxembourg, Version novembre 2013 Ulla Peters, Julia A. Jäger, Danielle Lellinger sur l évaluation interne Qualité dans les centres d accueil pour enfants, adolescents et jeunes

Plus en détail

2008 Presses de l Université du Québec. Édifice Le Delta I, 2875, boul. Laurier, bureau 450, Québec, Québec G1V 2M2 Tél.: (418) 657-4399 www.puq.

2008 Presses de l Université du Québec. Édifice Le Delta I, 2875, boul. Laurier, bureau 450, Québec, Québec G1V 2M2 Tél.: (418) 657-4399 www.puq. TABLE DES MATIÈRES ACRONYMES... XIII INTRODUCTION... 1 Vivianne Châtel et Shirley Roy Partie 1 RÉFLEXION LIMINAIRE Chapitre 1 DE L EXCLUSION À LA VULNÉRABILITÉ Continuité et rupture... 13 Shirley Roy 1.1.

Plus en détail

Marquage CE des Granulats

Marquage CE des Granulats REFERENTIEL SECTORIEL POUR LA Page 1 sur 11 MAÎTRISE DE LA PRODUCTION DES GRANULATS (Système d'attestation de conformité 2+) SOMMAIRE : Article 1 Objet et domaine d application Article 2 Intervenants dans

Plus en détail

TABLE DES MATIERES (les numéros renvoient aux pages)

TABLE DES MATIERES (les numéros renvoient aux pages) TABLE DES MATIERES (les numéros renvoient aux pages) Table des abréviations... 7 Introduction... 11 Partie I - L enregistrement des noms de domaine... 31 Titre 1 Ŕ L existence de domaines de premier niveau,

Plus en détail

Guide de la demande d autorisation pour administrer un régime volontaire d épargneretraite

Guide de la demande d autorisation pour administrer un régime volontaire d épargneretraite Guide de la demande d autorisation pour administrer un régime volontaire d épargneretraite Mars 2015 TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 À QUI S ADRESSE CE GUIDE?... 3 AVANT DE DÉBUTER... 4 SERVICE DE

Plus en détail

L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement

L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement Johann Jacob, M.A.P. et Richard Marceau, Ph. D. Centre de recherche et d expertise en évaluation (CREXE) Colloque annuel

Plus en détail

CONSEIL & FORMATION EN MANGEMENT ET RESSOURCES HUMAINES. Du sens pour progresser et réussir ensemble. Coaching d'équipe

CONSEIL & FORMATION EN MANGEMENT ET RESSOURCES HUMAINES. Du sens pour progresser et réussir ensemble. Coaching d'équipe CONSEIL&FORMATION ENMANGEMENTETRESSOURCESHUMAINES Dusenspourprogresseretréussirensemble Coaching d'équipe 1 LE COACHING D EQUIPE : démarche et finalité Le coaching d équipe est une méthode d intervention

Plus en détail

DÉCLARATION D IMMATRICULATION D UNE SOCIÉTÉ CIVILE RÉSERVÉ AU CFE G U I D B E F K T

DÉCLARATION D IMMATRICULATION D UNE SOCIÉTÉ CIVILE RÉSERVÉ AU CFE G U I D B E F K T M0 SOCIÉTÉ CIVILE N 13958*01 DÉCLARATION D IMMATRICULATION D UNE SOCIÉTÉ CIVILE RÉSERVÉ AU CFE G U I D B E F K T Pour celle dont l activité est agricole, utiliser l imprimé spécifique M0 agricole Pour

Plus en détail

Guide d accueil des chercheurs étrangers

Guide d accueil des chercheurs étrangers I N S P I R I N G I N N O V A T I O N I I N N O V A N T E P A R T R A D I T I O N Guide d accueil des VERSION FRANÇAISE Mars 2008 Le souhait des Services de l'etat et des acteurs du développement économiques

Plus en détail

squadra Présentation de Squadra Gestion Ensemble établissons de nouvelles règles... SQG PRÉS 100610

squadra Présentation de Squadra Gestion Ensemble établissons de nouvelles règles... SQG PRÉS 100610 squadra G E S T I O N Présentation de Squadra Gestion Ensemble établissons de nouvelles règles... SQUADRA ASSURANCES a développé sa plate forme de gestion: SQUADRA GESTION. Ses équipes dédiées partagent

Plus en détail

POSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION?

POSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION? N 372 LAMEUL Geneviève 1 POSTURE PROFESSIONNELLE ENSEIGNANTE EN QUESTION? Le développement croissant de l usage des technologies perturbe l école dans son organisation interne, dans son rapport à la société,

Plus en détail

LEAD Business School. Stephanie.lemarec@animaeconseil.com Boubakar Bena6a

LEAD Business School. Stephanie.lemarec@animaeconseil.com Boubakar Bena6a Stephanie.lemarec@animaeconseil.com Boubakar Bena6a Les 6 fondamentaux du management 2 Programme Les mécanismes de la rela6on et de l individu Autoritarisme vs autorité Vision! Puni6on vs sanc6on Le paradoxe

Plus en détail

Deuxième Cycle d Evaluation. Addendum au Rapport de Conformité sur la Hongrie

Deuxième Cycle d Evaluation. Addendum au Rapport de Conformité sur la Hongrie DIRECTION GENERALE DES DROITS DE L HOMME ET DES AFFAIRES JURIDIQUES DIRECTION DES MONITORINGS Strasbourg, 11 juin 2010 Public Greco RC-II (2008) 4F Addendum Deuxième Cycle d Evaluation Addendum au Rapport

Plus en détail

Forum associatif Coulounieix Chamiers 7 septembre 2013 Aspects juridiques et droit des associations

Forum associatif Coulounieix Chamiers 7 septembre 2013 Aspects juridiques et droit des associations Forum associatif Coulounieix Chamiers 7 septembre 2013 Aspects juridiques et droit des associations Centre de Ressources et d Information des Bénévoles Ce que l on va aborder Propos introductifs : l esprit

Plus en détail

l'avenir de de décès

l'avenir de de décès Assurer l'avenir de votre famille en cas de décès Mutuelles santé prévoyance AUTONOMIE retraite Pourquoi souscrire un contrat de prévoyance? Le décès, un risque trop fréquemment sous-estimé 1 personne

Plus en détail

MODELE DE STATUTS D ASSOCIATION ---- ----

MODELE DE STATUTS D ASSOCIATION ---- ---- MODELE DE STATUTS D ASSOCIATION ---- ---- NOTICE EXPLICATIVE Ce document comporte deux parties : La présente notice explicative (4 pages) qui vous aidera à rédiger des statuts adaptés à votre association,

Plus en détail

(texte en vigueur le 1 er janvier 2008) LISTE DES INSTRUCTIONS

(texte en vigueur le 1 er janvier 2008) LISTE DES INSTRUCTIONS INSTRUCTIONS ADMINISTRATIVES POUR L APPLICATION DE L ARRANGEMENT DE MADRID CONCERNANT L ENREGISTREMENT INTERNATIONAL DES MARQUES ET DU PROTOCOLE Y RELATIF (texte en vigueur le 1 er janvier 2008) LISTE

Plus en détail

Synthèse Mon projet d emploi

Synthèse Mon projet d emploi Synthèse Mon projet d emploi Nom : Date : Complété par : TÉVA Estrie 2012 La synthèse permet de recueillir les informations notées dans les questionnaires et de constater les ressemblances et les différences

Plus en détail

1. Permettre au gouvernement du Nunavut d offrir ses services et ses communications dans toutes les langues officielles du Nunavut.

1. Permettre au gouvernement du Nunavut d offrir ses services et ses communications dans toutes les langues officielles du Nunavut. PRÉAMBULE Le ministère de la Culture, de la Langue, des Aînés et de la Jeunesse est déterminé à offrir des services de traduction de documents dans les diverses langues officielles du Nunavut aux ministères

Plus en détail

Formations et diplômes. Master Sociologie. Université Toulouse II Jean Jaurès UT2J (déposant) Ecole des hautes études en sciences sociales - EHESS

Formations et diplômes. Master Sociologie. Université Toulouse II Jean Jaurès UT2J (déposant) Ecole des hautes études en sciences sociales - EHESS Formations et diplômes Rapport d'évaluation Master Sociologie Université Toulouse II Jean Jaurès UT2J (déposant) Ecole des hautes études en sciences sociales - EHESS Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague

Plus en détail

Administration canadienne de la sûreté du transport aérien

Administration canadienne de la sûreté du transport aérien Administration canadienne de la sûreté du transport aérien Norme relative au système de gestion des fournisseurs de services de contrôle de l ACSTA Octobre 2009 La présente norme est assujettie aux demandes

Plus en détail

Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t

Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t Partenaires: w w w. c o g m a s t e r. n e t Une approche interdisciplinaire et intégrative neuropsychologie psychologie neuroanatomie linguistique philosophie SCIENCES COGNITIVES logique/probas neurosciences

Plus en détail

LOI N 2006-01 portant Code des Postes

LOI N 2006-01 portant Code des Postes REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,

Plus en détail

Turquie. Date d adoption de la Loi : 9 novembre 2007 CHAPITRE 1. Objectif, Champ d application, Définitions et Abréviations

Turquie. Date d adoption de la Loi : 9 novembre 2007 CHAPITRE 1. Objectif, Champ d application, Définitions et Abréviations Turquie Traduction non officielle 1 de la Loi n o 5710 2 relative à la construction et à l exploitation de centrales nucléaires et à la vente de l énergie produite par ces centrales Date d adoption de

Plus en détail

[BASE DE DONNEES BSPACE]

[BASE DE DONNEES BSPACE] [BASE DE DONNEES BSPACE] Outil de promotion et d aide à l implantation d investisseurs potentiels CONDITIONS D UTILISATION Service Public de Wallonie DGO6 - SAE Mai 2012 Version 1.0 Page2 Table des matières

Plus en détail

Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage

Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage Présentation du jeu de négociation autour de la problématique de l orpaillage «La façon de nous voyons les choses est la source de la façon dont nous pensons et de la façon dont nous agissons Jamais nous

Plus en détail

Devenez expert en éducation. Une formation d excellence avec le master Métiers de l Enseignement, de l Education et de la Formation

Devenez expert en éducation. Une formation d excellence avec le master Métiers de l Enseignement, de l Education et de la Formation Institut Universitaire de Formation des Maîtres Université de Provence - Aix-Marseille Université 20 ans d expérience dans la formation des professionnels dans les métiers de l enseignement, de l éducation

Plus en détail

Présentation de l application I Pad Saône en partenariat avec le Grand Chalon

Présentation de l application I Pad Saône en partenariat avec le Grand Chalon Présentation de l application I Pad de la ville de ChalonChalon-sursur-Saône Saône en partenariat avec le Grand Chalon Dossier de Presse Contact presse Pauline Blazy - AnneAnne-Camille Giumelli 03 85 90

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

LES SANCTIONS DU POUVOIR DANS LES SOCIETES AU VENEZUELA

LES SANCTIONS DU POUVOIR DANS LES SOCIETES AU VENEZUELA LES SANCTIONS DU POUVOIR DANS LES SOCIETES AU VENEZUELA Carlos Eduardo Acedo Ancien professeur de responsabilité civile aux cours de spécialisation de la Faculté de droit de l Université Centrale du Venezuela,

Plus en détail

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie

Le système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation

Plus en détail

QUESTIONNAIRE PARENTS D'ELEVES

QUESTIONNAIRE PARENTS D'ELEVES Le questionnaire a été envoyé par courriel à 478 parents d'élèves. 251 parents ont répondu, soit un taux de réponse de 53%. Globalement, comment appréciez-vous le cadre du collège? Une amélioration de

Plus en détail

Pour faciliter l accès au crédit des personnes présentant un risque aggravé de santé,

Pour faciliter l accès au crédit des personnes présentant un risque aggravé de santé, Mini-guide téléchargé depuis le site www.lesclesdelabanque.com - e-mail : cles@fbf.fr Mini-guide n 25 - Janvier 2007 La Convention AERAS (s Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé) Pour faciliter

Plus en détail

Title Text. Outil intégré de collecte, d'analyse et de visualisation de données de mobilité

Title Text. Outil intégré de collecte, d'analyse et de visualisation de données de mobilité Title Text Outil intégré de collecte, d'analyse et de visualisation de données de mobilité Contenu de la présentation Schéma général et avancement Suivi et administration Validation des entrevues Enrichissement

Plus en détail

La convention AERAS en 10 points-clés

La convention AERAS en 10 points-clés La convention AERAS en 10 points-clés Signée par les pouvoirs publics, les fédérations professionnelles de la banque, de l assurance et de la mutualité et les associations de malades et de consommateurs,

Plus en détail

Bac Pro Gestion-Administration. Nice - Formation Académique des 10 et 17 février 2012 1

Bac Pro Gestion-Administration. Nice - Formation Académique des 10 et 17 février 2012 1 Bac Pro Gestion-Administration Nice - Formation Académique des 10 et 17 février 2012 1 Exemples de scénarios pédagogiques sur les trois années de formation D après l Académie de Toulouse 2 A partir des

Plus en détail

LES MISES A DISPOSITION DE SALARIÉS

LES MISES A DISPOSITION DE SALARIÉS UNIVERSITE PAUL CEZANNE AIX-MARSEILLE III Faculté de Droit et de Science Politique COLLECTION DU CENTRE DE DROIT SOCIAL Guillaume SAINCAIZE LES MISES A DISPOSITION DE SALARIÉS Préface Bernard TEYSSIÉ Professeur

Plus en détail

CHARTE ETHIQUE DE WENDEL

CHARTE ETHIQUE DE WENDEL CHARTE ETHIQUE DE WENDEL Mars 2015 1 Message du Directoire Wendel est l une des toutes premières sociétés d investissement en Europe. Grâce au soutien d un actionnariat familial stable, Wendel a su se

Plus en détail

Mini-guide n 25 - Septembre 2011

Mini-guide n 25 - Septembre 2011 Mini-guide téléchargé depuis le site www.lesclesdelabanque.com - e-mail : cles@fbf.fr Mini-guide n 25 - Septembre 2011 La Convention AERAS La Convention AERAS (s Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé

Plus en détail

Règlements de compte courant

Règlements de compte courant Règlements de compte courant Jean-François LAE et Numa MURARD À quoi ressemble une vie humaine vue d un guichet de banque? Les règles à géométrie variable de l institution bancaire font que la morale de

Plus en détail

Présenter/rappeler l «itinéraire d un appareil usagé» à l aide de l aff iche (annexe 1).

Présenter/rappeler l «itinéraire d un appareil usagé» à l aide de l aff iche (annexe 1). Points de Points de Que faire de ma vieille télé? De mon sèche-cheveux cassé? De mon MP3 sans intérêt? Démodés ou hors d usage, électriques et électroniques peuvent être réutilisés ou recyclés à condition

Plus en détail

L Avenir des Retraites. Après la vie active? Rapport France

L Avenir des Retraites. Après la vie active? Rapport France L Avenir des Retraites Après la vie active? Rapport France Sommaire 4 5 6 7 9 11 14 16 Avant-propos Introduction Principaux résultats Partie 1 - Le départ à la retraite Partie 2 - Les aspirations à la

Plus en détail

Alain FAYOLLE. Éditions d Organisation, 2003 ISBN : 2-7081-2826-4

Alain FAYOLLE. Éditions d Organisation, 2003 ISBN : 2-7081-2826-4 Alain FAYOLLE Le métier de cr éateur d entrepri se, 2003 ISBN : 2-7081-2826-4 Sommaire INTRODUCTION Retrouver l esprit et la liberté d entreprendre...1 Atténuer l un des paradoxes de notre société : entreprendre...4

Plus en détail

L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs

L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945. Exposé des motifs L ORDONNANCE DU 2 FEVRIER 1945 Exposé des motifs Il est peu de problèmes aussi graves que ceux qui concernent la protection de l enfance, et parmi eux, ceux qui ont trait au sort de l enfance traduite

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1 Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une

Plus en détail

Vade-mecum pour la présentation d un projet de club

Vade-mecum pour la présentation d un projet de club Vade-mecum pour la présentation d un projet de club Ce document a pour objectif de donner quelques repères pour la présentation du projet de club : description, valorisation et priorisation des objectifs.

Plus en détail

EDF FAIT AVANCER LA MOBILITÉ ÉLECTRIQUE. Contact presse marie.allibert@edf.fr Tél. : 01.40.42.51.40

EDF FAIT AVANCER LA MOBILITÉ ÉLECTRIQUE. Contact presse marie.allibert@edf.fr Tél. : 01.40.42.51.40 DOSSIER DE presse 1 er octobre 2014 EDF FAIT AVANCER LA MOBILITÉ ÉLECTRIQUE Contact presse marie.allibert@edf.fr Tél. : 01.40.42.51.40 en bref En quelques décennies, les transports ont évolué pour desservir

Plus en détail

MOBILITÉ 2014. Elections Européennes 2014 mobilite2014.eu

MOBILITÉ 2014. Elections Européennes 2014 mobilite2014.eu MOBILITÉ 2014 Elections Européennes 2014 mobilite2014.eu ASSURER LA MOBILITÉ DE DEMAIN L ACA ET LA FIA DEMANDENT AUX DÉCIDEURS EUROPÉENS : d assurer le développement cohérents de la «voiture connectée»,

Plus en détail

Consultation publique relative aux mesures à prendre pour garantir l adéquation des moyens de production conventionnels d électricité en Belgique

Consultation publique relative aux mesures à prendre pour garantir l adéquation des moyens de production conventionnels d électricité en Belgique Consultation publique relative aux mesures à prendre pour garantir l adéquation des moyens de production conventionnels d électricité en Belgique L accord de gouvernement du 10 octobre 2014 prévoit que

Plus en détail

Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise

Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise Questionnaire de vérification pour l implantation de la norme ISO 14001 dans une entreprise La politique environnementale

Plus en détail

Réduisez votre ISF en 2014

Réduisez votre ISF en 2014 Réduisez votre ISF en 2014 et profitez du dynamisme de l industrie du cinéma Investissement au capital d'une PME qui permet de réduire son ISF jusqu à 45.000 euros à hauteur de 47,62 % des sommes investies

Plus en détail

LA CONSOMMATION ENGAGÉE. Dominique Roux, Université Paris Sud Membre du RITM

LA CONSOMMATION ENGAGÉE. Dominique Roux, Université Paris Sud Membre du RITM LA CONSOMMATION ENGAGÉE Dominique Roux, Université Paris Sud Membre du RITM S exprimer par la consommation : boycott Raisons sociales Raisons environnementales Raisons économiques S exprimer par la consommation

Plus en détail

Introduction à l économie circulaire

Introduction à l économie circulaire Introduction à l économie circulaire Rémy Le Moigne 25 juin 2015 Agenda Les limites de l économie circulaire Les enjeux de l économie circulaire La mise en œuvre de l économie circulaire 2 Agenda Les limites

Plus en détail

REGLEMENT INTERIEUR ECOLE PRIMAIRE

REGLEMENT INTERIEUR ECOLE PRIMAIRE Ecole Française du Cap - 101 Hope Street - Gardens 8001 - Cape Town - Afrique du Sud Tél: +27 (0)21 461 2508 - Fax: +27 (0)21 461 5312 - courriel : secretariat@ecolefrancaiseducap.co.za www.ecolefrancaiseducap.co.za

Plus en détail

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS

MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS MÉTHODOLOGIE DE L ASSESSMENT CENTRE L INSTRUMENT LE PLUS ADÉQUAT POUR : DES SÉLECTIONS DE QUALITÉ ET DES CONSEILS DE DÉVELOPPEMENT FONDÉS 1. Introduction Placer la «bonne personne au bon endroit» représente

Plus en détail

Table des matières. A. Les opérations susceptibles d entrer en compte 23 B. Convention de remboursement de compte et conflits d intérêts 24

Table des matières. A. Les opérations susceptibles d entrer en compte 23 B. Convention de remboursement de compte et conflits d intérêts 24 Table des matières Introduction 7 Marc Bourgeois et Xavier Pace Les comptes courants d associés : questions choisies en droit commercial et en droit des sociétés 11 Déborah Gol Introduction 11 Chapitre

Plus en détail

Les critères de segmentation Critères Variables retenues Description Exemple Pays, région, ville, Chauffage,

Les critères de segmentation Critères Variables retenues Description Exemple Pays, région, ville, Chauffage, SYNTHÈSE DU CHAPITRE 11 : LA SEGMENTATION DE LA DEMANDE. La segmentation. La segmentation de la demande consiste à définir des groupes de clients (des segments de clientèle) ayant des comportements homogènes

Plus en détail

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte

LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de

Plus en détail

Christelle MAZIERE (30 ans)

Christelle MAZIERE (30 ans) Christelle MAZIERE (30 ans) Villa Orcéa, Lieu-dit Pertérato 20212 Favalello di Boziu 06.35.58.13.21 maziere@univ-corse.fr COMPÉTENCES PARTICULIÈRES Enseignement Gestion de corpus de données : recueil,

Plus en détail

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées SYNTHÈSE BP 823-98845 Nouméa Nouvelle-Calédonie (687) 27 54 81 isee@isee.nc www.isee.nc Directeur de la publication Alexandre Gautier Conception et réalisation Département publications Synthèse N 3 Édition

Plus en détail

RÈGLEMENT RELATIF À L'UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION

RÈGLEMENT RELATIF À L'UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION RÈGLEMENT RELATIF À L'UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION Adopté par le Conseil le 7 février 2006 En vigueur le 7 février 2006 Abrogé par le Conseil et entré en vigueur le 24 avril 2012 Règlement

Plus en détail

TABLE DES MATIERES 521

TABLE DES MATIERES 521 TABLE DES MATIERES 521 Claude GAUTIER Sandra LAUGIER... Présentation...5 I - LES LIEUX DU SENS COMMUN...25 Vincent DESCOMBES... Réflexions sur la pluralité des sens communs...27 Comment définir le sens

Plus en détail

Des banques de données terminologiques en Afrique francophone

Des banques de données terminologiques en Afrique francophone Des banques de données terminologiques en Afrique francophone Le projet d implantation et de développement de banques de données terminologiques en Afrique est un programme d action du Rint. La présente

Plus en détail

Spécialisation Gestion Des Territoires Ruraux (GDTR) Spécialisation Management des Entreprises Agricoles (MEA)

Spécialisation Gestion Des Territoires Ruraux (GDTR) Spécialisation Management des Entreprises Agricoles (MEA) Présentation de la pré-spécialisation Economie des Entreprises et des Territoires (EET) et de ses spécialisations Pré-spécialisation Economie des Entreprises et des Territoires (EET) Adeline ALONSO UGAGLIA

Plus en détail

Construction modulaire pour la Faculté des sciences

Construction modulaire pour la Faculté des sciences Construction modulaire pour la Faculté des sciences Résultat de l'évaluation Outil mis à disposition par l'unité de développement durable du Département des infrastructures de l'état de Vaud. Données concernant

Plus en détail

Guide de candidature. Module 5

Guide de candidature. Module 5 Guide de candidature Module 5 Notez qu il s agit uniquement d une discussion préliminaire. Les candidats potentiels ne doivent pas s appuyer sur les détails présentés dans le programme relatif aux nouveaux

Plus en détail

DOSSIER de présentation

DOSSIER de présentation Projet d Habitat Participatif intergénérationnel et écologique DOSSIER de présentation 2015 Sommaire Mots d Ecoravissants Présentation d Ecoravie Donnez du sens à votre argent Chiffres et dates Contact

Plus en détail

L efficacité énergétique des bâtiments à l épreuve de l usage Mardi 22 mars 2011 - VAULX EN VELIN

L efficacité énergétique des bâtiments à l épreuve de l usage Mardi 22 mars 2011 - VAULX EN VELIN La perception de leur environnement par les salariés du tertiaire. L exemple du HQE Nadine Roudil CSTB - DESH LSPI L efficacité énergétique des bâtiments à l épreuve de l usage Mardi 22 mars 2011 - VAULX

Plus en détail

MANUEL Q S E. Mise à jour : Mai 2014. Qualité - Sécurité - Environnement

MANUEL Q S E. Mise à jour : Mai 2014. Qualité - Sécurité - Environnement MANUEL Q S E Mise à jour : Mai 2014 Qualité - Sécurité - Environnement Editorial BÂTIMENTS - Privé - Public - Industriel La société RIVASI BTP est implantée dans la Drôme et les Bouches-du-Rhône. Elle

Plus en détail

MECANISME DE CAPACITE Guide pratique

MECANISME DE CAPACITE Guide pratique MECANISME DE CAPACITE Guide pratique SOMMAIRE 1 Principes... 4 2 Les acteurs du mécanisme... 5 2.1 Les acteurs obligés... 5 2.2 Les exploitants de capacité... 5 2.3 Le Responsable de périmètre de certification...

Plus en détail