1 Qu est-ce qu une biotechnologie? Page 236

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "1 Qu est-ce qu une biotechnologie? Page 236"

Transcription

1 Verdict Chapitre 8 1 Qu est-ce qu une biotechnologie? Page Quelle est la différence entre une biotechnologie et une technologie? Une biotechnologie est une technique appliquée à des êtres vivants ou à des substances provenant d êtres vivants, tandis qu une technologie n implique pas nécessairement des êtres vivants. 2. Qui suis-je? a) Pour me reproduire, je dois m introduire dans une cellule afin d utiliser ses structures. b) Je permets d accélérer des réactions chimiques de l organisme. c) Je suis un organisme unicellulaire dépourvu de noyau cellulaire. Virus. Enzyme. Bactérie. d) Je suis un champignon unicellulaire. Levure. e) Je suis un segment d information génétique en forme d anneau. f) Je suis une molécule contenant toute l information génétique d un individu. Plasmide. ADN. 2 Les biotechnologies traditionnelles Pages 237 à Quand les êtres humains ont-ils commencé à faire de la biotechnologie? Il y a environ ans, lorsqu ils sont passés du statut de chasseurs-cueilleurs à celui d agriculteurs et d éleveurs. 1 VERDICT DU CHAPITRE 8

2 Nom : Groupe : Date : 4. Qu est-ce qui distingue la reproduction sélective de la reproduction naturelle? La reproduction sélective est réalisée intentionnellement par l être humain, tandis que la reproduction naturelle se fait sans intervention humaine. 5. Les épagneuls bretons sont excellents pour pointer et rapporter le gibier, car ils ont été sélectionnés pour leur calme, leur prudence et leur flair. Donnez deux exemples de caractéristiques recherchées ayant permis de créer la race des huskies. Exemples de réponses possibles : Une fourrure épaisse ; des pattes courtes ; une grande force physique ; un caractère obéissant ; beaucoup d endurance ; une aptitude à travailler en groupe. A 6. Observez les photos ci-contre. a) Parmi ces produits, lequel ou lesquels sont fabriqués à l aide d enzymes? Le fromage (B). B b) Lequel ou lesquels sont fabriqués à l aide de levures? Le pain au levain (A). C D VERDICT DU CHAPITRE 8 2

3 3 Les biotechnologies modernes Pages 239 à Nommez deux raisons qui expliquent le développement des biotechnologies modernes. Une meilleure connaissance de la cellule. Une meilleure connaissance de l ADN. 8. Dans le domaine des cultures cellulaires, que signifie l expression «croissance cellulaire»? La croissance cellulaire désigne l augmentation du nombre de cellules dans une culture cellulaire. 9. Les illustrations ci-dessous montrent, dans le désordre, les étapes à suivre pour réaliser une culture cellulaire d êtres vivants unicellulaires. Replacez ces étapes en ordre et nommez-les. A B C D A Incubation dans des conditions favorables (étape 3). B Obtention de nouvelles cellules (étape 4). C Transfert dans un milieu de culture approprié (étape 2). D Prélèvement d un échantillon dans le milieu d origine (étape 1). 3 VERDICT DU CHAPITRE 8

4 Nom : Groupe : Date : 10. Un milieu de culture cellulaire doit fournir tous les éléments nécessaires à la croissance des cellules. a) Quels sont les sept principaux paramètres à contrôler dans un milieu de culture cellulaire? 1 La teneur en eau ; 2 la composition en nutriments ; 3 la teneur en minéraux ; 4 la teneur en gaz (dioxygène et dioxyde de carbone) ; 5 la température ; 6 le ph ; 7 la quantité de lumière (s il y a lieu). b) Quelles sont les deux sortes de milieux de culture? Le milieu liquide ; le milieu solide (gélatineux). 11. Le diagramme ci-contre montre la courbe de croissance d une culture cellulaire typique en fonction du temps. Nommez les quatre phases illustrées et donnez-en une courte description. A Phase d adaptation : il n y a pratiquement pas de croissance cellulaire. B Phase de croissance rapide : les cellules se divisent rapidement. C Phase stationnaire : il y a autant de cellules qui meurent que de nouvelles cellules produites. D Phase de déclin : le nombre de cellule diminue. VERDICT DU CHAPITRE 8 4

5 12. Pourquoi faut-il stériliser le matériel de laboratoire avant et après une culture cellulaire? Il faut stériliser avant pour s assurer que le milieu de culture et le matériel de laboratoire ne contiennent aucun micro-organisme qui pourrait croître en même temps que les cellules qu on désire cultiver. Il faut stériliser après pour éviter toute contamination. 13. Les énoncés suivants décrivent différents traitements utilisés pour stériliser le matériel de laboratoire. Nommez le traitement décrit dans chaque cas. a) Ce traitement tue les micro-organismes en les chauffant dans un four. Traitement au four à chaleur sèche. b) Ce traitement tue les micro-organismes en les exposant à des rayonnements. Traitement par rayonnements. c) Ce traitement tue les micro-organismes en les exposant à une flamme. Traitement à la flamme. d) Ce traitement tue les micro-organismes en les exposant à une solution ou à un gaz. Traitement chimique. e) Ce traitement tue les micro-organismes en utilisant une pression et une chaleur élevées. Traitement à la vapeur d eau. 14. On parle beaucoup des OGM dans notre société. a) Que signifie le sigle OGM? OGM signifie : organisme génétiquement modifié. b) Quel procédé permet d obtenir des OGM? Le procédé des transformations génétiques. 5 VERDICT DU CHAPITRE 8

6 Nom : Groupe : Date : c) Quelles sont les six étapes généralement suivies pour obtenir un OGM? 1 Identification d un besoin ou d un désir. 2 Identification d une caractéristique qui peut répondre au besoin ou au désir exprimé. 3 Identification et isolement du gène responsable de la caractéristique recherchée. 4 Réplication du gène. 5 Transfert du gène dans les cellules de l organisme à modifier. 6 Culture des cellules génétiquement modifiées. 15. Le clonage soulève la controverse dans notre société. a) Qu est-ce que le clonage? Le clonage est une technique qui consiste à produire un être vivant génétiquement identique à un autre. b) Quel est le principe du clonage artificiel? Remplacer le noyau d un ovule ou d un œuf non fécondé par le noyau d une cellule prélevée sur l individu que l on désire cloner. c) Qu est-ce qui distingue le clonage reproductif du clonage thérapeutique? Le clonage reproductif cherche à donner naissance à un individu génétiquement identique à celui qui se fait cloner. Le clonage thérapeutique peut servir à produire du tissu ou des organes de rechange. VERDICT DU CHAPITRE 8 6

7 d) Quelle est la position du Canada concernant le clonage humain? Au Canada, toute forme de clonage humain est actuellement interdite. 16. Le clonage existe aussi à l état naturel. a) Donnez un exemple de clones naturels chez les végétaux. La reproduction asexuée. b) Donnez un exemple de clones naturels chez les animaux. Les vrais jumeaux. 17. Pourquoi certains éleveurs recourent-ils à l insémination artificielle plutôt qu à une méthode de reproduction naturelle pour augmenter la taille de leurs troupeaux? Pour produire des animaux reproduisant les qualités de certains spécimens particulièrement recherchés. 4 Quelques applications agroalimentaires Pages 249 à Les OGM soulèvent la controverse. a) Donnez trois exemples qui démontrent l utilité des OGM. Trois des réponses suivantes : Création de végétaux résistant aux herbicides ; création de végétaux résistant aux insectes ravageurs ; création de végétaux résistant aux virus ; création de végétaux mûrissant plus lentement ; création de végétaux offrant des huiles de meilleure qualité ; création de végétaux contenant davantage de substances nutritives ; création de végétaux moins susceptibles de causer des allergies ; création d animaux dont la croissance est plus rapide ; création d animaux produisant un fumier moins nocif pour l environnement ; création d animaux produisant du lait sans lactose ; production d animaux produisant du lait plus semblable au lait humain ; obtention de résultats souhaités au bout d une seule génération ; transfert d un gène utile d une espèce à une autre ; mise sur pied de banques de gènes. b) Indiquez trois craintes suscitées par l utilisation des OGM. Trois des réponses suivantes : Puisqu on ne connaît pas entièrement l action des gènes, on pourrait accidentellement créer des OGM dangereux pour l être humain ou pour d autres espèces ; les aliments génétiquement modifiés pourraient entraîner l apparition de nouvelles allergies alimentaires ; si l on ne cultive que des plantes transgéniques, cela peut menacer la biodiversité ; les OGM pourraient accroître la résistance bactérienne aux antibiotiques ; la résistance aux insectes nuisibles que possèdent certaines plantes transgéniques pourrait mener 7 VERDICT DU CHAPITRE 8

8 Nom : Groupe : Date : à la disparition d insectes utiles ; la culture d OGM résistant aux insectes pourrait favoriser l émergence de populations d insectes qui leur sont résistants ; la résistance aux herbicides de certains OGM pourrait être transférée à des mauvaises herbes ; le pollen des OGM cultivés pourrait envahir d autres champs de culture. Le contrôle des OGM serait alors menacé. 19. Nommez trois caractéristiques qui ont déjà été transférées à des plantes dans le but d améliorer le rendement des récoltes. Trois des réponses suivantes : Création de végétaux résistant aux herbicides ; création de végétaux résistant aux insectes ravageurs ; création de végétaux résistant aux virus ; création de végétaux mûrissant plus lentement ; création de végétaux offrant des huiles de meilleure qualité ; création de végétaux contenant davantage de substances nutritives ; création de végétaux moins susceptibles de causer des allergies. 20. Pourquoi certains agriculteurs préfèrent-ils cultiver des plants génétiquement modifiés résistant aux herbicides? Parce qu ils peuvent ainsi épandre des herbicides dans leur champ afin de tuer les mauvaises herbes sans endommager leurs cultures. 21. Nommez trois plantes génétiquement modifiées cultivées en grande quantité au Canada. Le maïs ; le soja ; le canola. 22. Pourquoi est-il plus facile de transformer génétiquement une plante qu un animal? Donnez deux raisons. Les coûts de la recherche sur les animaux sont plus élevés que ceux de la recherche sur les plantes. Les manipulations requises pour créer des animaux transgéniques sont plus complexes que celles nécessaires pour créer des plantes génétiquement modifiées. VERDICT DU CHAPITRE 8 8

9 23. La pasteurisation est un traitement qu on fait subir à certains aliments. a) Quel est le but de la pasteurisation? Détruire la plupart des micro-organismes nuisibles contenus dans un aliment. b) Comment réalise-t-on une pasteurisation? On pasteurise un aliment en le chauffant à une certaine température pendant un certain temps. c) Pourquoi pasteurise-t-on certains aliments et non d autres? On pasteurise les aliments qui constituent un milieu de culture idéal pour la croissance de micro-organismes indésirables. 5 Quelques applications médicales Pages 253 à Les vaccins permettent de développer une immunité face à certains agents infectieux. Qu est-ce que l immunité? Une immunité est la capacité de résister à l apparition d une maladie causée par un agent infectieux. 25. Observez les illustrations suivantes. Nommez le type de vaccin représenté par chacune. Vaccin vivant. 9 VERDICT DU CHAPITRE 8

10 Nom : Groupe : Date : Vaccin inerte. 26. Selon le calendrier régulier de vaccination au Québec, tous les enfants devraient recevoir un vaccin nommé RRO. a) Contre quelles maladies ce vaccin permet-il de développer une immunité? La rougeole, la rubéole et les oreillons. b) Combien de doses un enfant devrait-il recevoir et à quel âge? Deux doses. La première, à 12 mois et la seconde, à 18 mois. 27. Qu est-ce que la procréation médicalement assistée? C est un ensemble de pratiques médicales qui ont pour but d aider les femmes à devenir enceintes. 28. Les illustrations suivantes montrent quatre techniques employées pour traiter l infertilité. Nommez-les. 1 2 Stimulation ovarienne. Fécondation in vitro. VERDICT DU CHAPITRE 8 10

11 3 4 Insémination artificielle. Fécondation par micro-injection. 29. Notre organisme comprend deux classes de cellules : les cellules spécialisées et les cellules souches. a) Définissez ces deux classes de cellules. Cellule spécialisée : Cellule qui joue un rôle particulier dans l organisme. Sa division donne des cellules ayant la même spécialisation qu elle. Cellule souche : Cellule qui ne joue pas de rôle particulier dans l organisme. Elle a cependant la capacité de se diviser indéfiniment et de se transformer en différentes cellules spécialisées. b) Pourquoi la culture des cellules souches soulève-t-elle la controverse? La culture des cellules souches peut mener à la transgression de certains principes moraux. 11 VERDICT DU CHAPITRE 8

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert

Plus en détail

Information génétique

Information génétique chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.

Plus en détail

12. À chacun son point de vue

12. À chacun son point de vue 12. À chacun son point de vue Secondaire, cycle 1 Durée : 60 min. L agriculture est en crise partout sur la planète. Alors que certains louent les bénéfices de l agriculture conventionnelle moderne, d

Plus en détail

3: Clonage d un gène dans un plasmide

3: Clonage d un gène dans un plasmide 3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

LA A RESPIRATION CELLULAIRE

LA A RESPIRATION CELLULAIRE Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles

Plus en détail

Factsheet Qu est-ce que le yogourt?

Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Description du produit: Le yogourt est un produit laitier acidulé de consistance plus ou moins épaisse. Le yogourt est fabriqué grâce à la fermentation du lait par les

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective 1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de :

Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : GUIDE EXPLICATIF POUR LES CITOYENS RÈGLEMENT SUR L UTILISATION DES ENGRAIS ET DES PESTICIDES Les objectifs du règlement sur l utilisation des engrais et des pesticides sont de : Réduire l apport par ruissellement

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie

Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce

Plus en détail

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband

SKW. Les enzymes dans la technologie des détergents. Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband SKW Schweizerischer Kosmetikund Waschmittelverband Association suisse des cosmétiques et des détergents The Swiss Cosmetic and Detergent Association Les enzymes dans la technologie des détergents Les enzymes

Plus en détail

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme

1.1.2 : Indiquer la voie de pénétration du microorganisme Situation n 2 : EN QUOI L EPIDEMIE DE CHIKUNGUNYA APPORTE T- ELLE DES CHANGEMENTS DANS NOTRE VIE QUOTIDIENNE? Séance n 1 : Le chikungunya Objectif : Prévenir le risque infectieux Tout d un coup, Adeline

Plus en détail

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/

Plus en détail

BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE

BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE Série : Sciences et Technologies de Laboratoire Spécialité : Biotechnologies SESSION 2015 Sous-épreuve écrite de Biotechnologies Coefficient de la sous-épreuve : 4 Ce sujet est

Plus en détail

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca

Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Les futures techniques de lutte contre les punaises de lit Taz Stuart 204.292.8444 tdts@tdts.ca Phéromones d alarme. En phase de recherche. Aldéhydes 4-oxo-hexénal et 4-oxo-octénal chez les punaises de

Plus en détail

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT

CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT CHAPITRE 8 PRODUCTION ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT 1 Relations alimentaires entre les êtres vivants 1 1 Les chaines alimentaires. Une chaine alimentaire est constituée par une succession d êtres vivants

Plus en détail

Annexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22

Annexe 1. Glossaire... 19 Annexe 2. Éléments de gestion de la PFQ de produit GM dans le grain... 22 Projet de politique nationale sur la gestion de la présence de faibles quantités de cultures génétiquement modifiées dans les importations et son cadre de mise en œuvre connexe Septembre 2012 Table des

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel

Plus en détail

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche

Table des matières Introduction Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l eau*de*roche Table des matières Introduction! *! Chapitre*1*:*De*la*matière*sérieuse! 1.1!Les!matériaux! 1.2!Solides,!liquides!et!gaz 1.3!Gaspiller!de!l énergie! 1.4!Le!carburant!du!corps! Chapitre*2*:*Clair*comme*de*l

Plus en détail

Conférence technique internationale de la FAO

Conférence technique internationale de la FAO Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches

Plus en détail

Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer

Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer Complétez le schéma de gestion des déchets nucléaires en vous aidant du panneau, les surfaces des cercles sont proportionnelles à leur importance Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE)

MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) MASTER (LMD) PARCOURS MICROORGANISMES, HÔTES, ENVIRONNEMENTS (MHE) RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE DES PLANTES

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ

Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Programme Lait canadien de qualité des Producteurs laitiers du Canada Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Utiliser avec le Registre et le Calendrier de DGI pour des dossiers

Plus en détail

Régime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter

Régime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter Régime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter N.B.: Ne pas tenir compte des avertissements concernant des traces de noix, etc, à moins d être allergique précisément à

Plus en détail

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits

LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC. Description des produits LISTE V AU PROTOCOLE A MAROC 04.03 Babeurre, lait et crème caillés, yoghourt, képhir et autres laits et crèmes fermentés ou acidifiés, même concentrés ou additionnés de sucre ou d'autres édulcorants ou

Plus en détail

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS

GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS GUIDE D UTILISATION DES PRODUITS DE MAÏS Refuge Advanced MC SmartStax MC Herculex MC ÉDITION CANADIENNE Le présent guide d utilisation du produit (le guide) établit les exigences pour la culture des hybrides

Plus en détail

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR

Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Fiche documentaire FAIRE LES PRODUITS D USAGE DOMESTIQUE SANS DANGER POUR L AIR Les produits d usage domestique comprennent les produits de nettoyage (p. ex., les nettoie-vitres et les produits de nettoyage

Plus en détail

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la

Plus en détail

Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011

Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Compléments ments alimentaires Les règles du jeu - SCL / Strasbourg-Illkirch 14 octobre 2011 Bureau 4A : Nutrition & Information sur les denrées alimentaires Novel Food, Adjonction V&M, SBNP Compléments

Plus en détail

La Terre mise en scène

La Terre mise en scène Objectif La pièce peut servir d «évaluation des performances» et offrir aux élèves la possibilité de montrer de manière créative ce qu ils ont appris sur la Terre en tant que système. Vue d ensemble La

Plus en détail

RÉPERTOIRE RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES. 2 e édition

RÉPERTOIRE RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES. 2 e édition RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE 2 e édition Juin 2011 Réalisé par : Partenaire financier du CQVB : Objectif : Ce répertoire vise à faciliter le maillage entre les étudiants-chercheurs universitaires et

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration

Hygiène alimentaire en restauration 2 0 1 5 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 8 Sensibilisation à l hygiène

Plus en détail

CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS

CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS (1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE

Plus en détail

LE POINT DE VUE DE FNE

LE POINT DE VUE DE FNE LE POINT DE VUE DE FNE Voir à ce sujet les articles suivants : - «Pour une eau vivante : la fin des barrages?» de la Lettre eau N 2 (juin 1996) - «Rapport de la Commission Mondiale des Barrages : les clés

Plus en détail

Module 6 Envois de matières infectieuses réfrigérés avec de la glace carbonique

Module 6 Envois de matières infectieuses réfrigérés avec de la glace carbonique Module 6 Envois de matières infectieuses réfrigérés avec de la glace Aperçu Page 2 de 28 Emballages appropriés Marquage et étiquetage Documentation exigée Exercice: emballage en présence de glace Page

Plus en détail

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme

Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin

Plus en détail

Allégations relatives à la teneur nutritive

Allégations relatives à la teneur nutritive Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante

Plus en détail

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique

Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Thème sélection génétique des plantes hybridation et génie génétique Exemple d activité : recenser, extraire et exploiter des informations afin de comprendre les caractéristiques et les limites de la modification

Plus en détail

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION

Le but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant

Plus en détail

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis

Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun. ou Phragmites australis Une espèce exotique envahissante: Le Roseau commun ou Phragmites australis Indigène vs exotique Il y a deux sous-espèces de Phragmites australis, L indigène: n envahit pas le milieu, cohabite avec les

Plus en détail

Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson

Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson Canada Province de Québec Ville de Sainte-Marguerite-du-Lac-Masson RÈGLEMENT # 72-2013 Règlement concernant l utilisation des pesticides et des engrais sur le territoire de la Ville de Sainte- Marguerite-du-Lac-Masson.

Plus en détail

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel

10 en agronomie. Domaine. Les engrais minéraux. Livret d autoformation ~ corrigés. technologique et professionnel 10 en agronomie Les engrais minéraux Livret d autoformation ~ corrigés 8 Domaine technologique et professionnel Collection dirigée par Madeleine ASDRUBAL Ingénieur d agronomie ENESAD Département des Sciences

Plus en détail

Aspartame ou stévia: le duel

Aspartame ou stévia: le duel Nutri sciences Aspartame ou stévia: le duel L aspartame fait peur, le stévia rassure. L un sort des laboratoires et a une connotation artificielle, l autre est issu des champs de Stevia et cultive une

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES ~--------------~~-----~- ----~-- Session 2009 BREVET DE TECNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES U22 - SCIENCES PYSIQUES Durée: 2 heures Coefficient : 3 Les calculatrices

Plus en détail

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,

Plus en détail

RAPPORT d étude. Saisine «2011-SA-0087- Biotechnologies» Juillet 2013

RAPPORT d étude. Saisine «2011-SA-0087- Biotechnologies» Juillet 2013 État des connaissances sur les applications biotechnologiques en milieu industriel et la réglementation applicable pour protéger la santé des travailleurs Rapport d étude Juillet 2013 Édition scientifique

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

EN AMONT DE LA DÉLÉGATION ACCUEIL ET FORMATION GÉNÉRALE À LA SÉCURITÉ FORMATION AU POSTE DE TRAVAIL

EN AMONT DE LA DÉLÉGATION ACCUEIL ET FORMATION GÉNÉRALE À LA SÉCURITÉ FORMATION AU POSTE DE TRAVAIL EN AMONT DE LA DÉLÉGATION Elaborer un livret d'accueil Etablir la liste des postes à risques particuliers (annexe 1) Prendre en compte la liste des travaux interdits aux intérimaires (annexe 2) Désigner

Plus en détail

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C

Plus en détail

Ensemble nous aurons l air meilleur!

Ensemble nous aurons l air meilleur! Les bons gestes au quotidien pour préserver la qualité de notre air Ensemble nous aurons l air meilleur! Saviez-vous que nous avons besoin d un litre et demi d eau et de 14 000 litres d air par jour pour

Plus en détail

Que sont les sources d énergie renouvelable?

Que sont les sources d énergie renouvelable? Que sont les sources d énergie renouvelable? Comme leur nom l indique, il s agit de sources qui se renouvellent et ne s épuiseront donc jamais à l échelle du temps humain! Les sources non renouvelables

Plus en détail

BRICOLAGE. Les précautions à prendre

BRICOLAGE. Les précautions à prendre BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention

Plus en détail

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs

Liste de contrôle d auto-évaluation pour le niveau de confinement 1 pour les phytoravageurs Bureau du confinement des biorisques et de la sécurité Office of Biohazard, Containment and Safety Direction générale des sciences Science Branch 59, promenade Camelot 59 Camelot Drive Ottawa ON K1A 0Y9

Plus en détail

lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés

lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés lire les Étiquettes et trouver les sucres cachés Objectif : Sensibiliser les élèves à ce qui se trouve dans leur nourriture et les aider à se méfi er des sucres cachés. Matériel Feuille à imprimer : Chaîne

Plus en détail

Moyens de production. Engrais

Moyens de production. Engrais Engrais Moyens de production Lors de la campagne 2012-2013, les tonnages d engrais livrés diminuent de près de 17% en et représentent à peine plus de 1% des livraisons françaises. Cette évolution est principalement

Plus en détail

Tout sur le sucre Octobre 2012

Tout sur le sucre Octobre 2012 1 2 Tout sur le sucre Par Jérémy Anso Extrait 3 Disclaimer A lire 4 Vous êtes en train de lire un extrait du futur guide «Tout sur le sucre» qui sera disponible sur le site à partir du 31 octobre. Ce petit

Plus en détail

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées

Plus en détail

20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en Suisse

20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en Suisse 20 ans après l accident nucléaire de Tchernobyl: Les conséquences en 1. L accident Il y a 20 ans, le 26 avril 1986 à 01h24 heure locale, se produisait l accident le plus grave jamais survenu dans une installation

Plus en détail

L ÉNERGIE C EST QUOI?

L ÉNERGIE C EST QUOI? L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.

Plus en détail

Fiche de données de sécurité

Fiche de données de sécurité Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION

Plus en détail

Partie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire

Partie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire Partie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire 1 Plantons le décor Les professionnels de l agroalimentaire doivent à leurs clients, les consommateurs que nous sommes tous, de préparer et

Plus en détail

Etnoka.fr. De la démocratie en France

Etnoka.fr. De la démocratie en France Etnoka.fr De la démocratie en France Partie 1 : UN SIÈCLE DE TRANSFORMATIONS SCIENTIFIQUES, TECHNOLOGIQUES, ÉCONOMIQUES ET SOCIALES Séquence 1 : LES GRANDES INNOVATIONS SCIENTIFIQUES ET TECHNOLOGIQUES

Plus en détail

Est-elle bonne à boire?

Est-elle bonne à boire? Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent

Plus en détail

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement

Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l

Plus en détail

que dois-tu savoir sur le diabète?

que dois-tu savoir sur le diabète? INVENTIV HEALTH COMMUNICATIONS - TERRE NEUVE - FRHMG00277 - Avril 2013 - Lilly - Tous droits de reproduction réservés. que dois-tu savoir sur le diabète? Lilly France 24 boulevard Vital Bouhot CS 50004-92521

Plus en détail

D où viennent nos semences. Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto

D où viennent nos semences. Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto D où viennent nos semences Visite virtuelle d un site de production de semences de maïs Monsanto Monsanto a pour objectif de permettre aux agriculteurs de petites et grandes exploitations de produire davantage

Plus en détail

Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB)

Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Spécialisation 3A AgroSup Dijon IAA Microbiologie Industrielle et Biotechnologie (MIB) Responsable : Jean-François Cavin (Pr. Microbiologie Biotechnologie) Tel 03 80 77 40 72, Fax 03 80 77 23 84 jf.cavin@agrosupdijon.fr

Plus en détail

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare

Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare Municipalité de la paroisse de Saint-Lazare PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE LA PAROISSE DE SAINT-LAZARE M.R.C. DE VAUDREUIL-SOULANGES RÈGLEMENT NUMÉRO 627 RÈGLEMENT VISANT À INTERDIRE L UTILISATION

Plus en détail

STÉRILISATION. Réduction des populations. nonus 1

STÉRILISATION. Réduction des populations. nonus 1 Réduction des populations nonus 1 nonus 2 Taux de survie N/No Taux de mortalité No-N /No No : nombre initial de cellules vivantes N : nombre de cellules vivantes après le cycle de stérilisation nonus 3

Plus en détail

eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7

eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 I- ETUDE D UNE PHOTOGRAPHIE DE YANN ARTHUS-BERTRAND : Stockage d ordures dans la périphérie de Saint-Domingue en République dominicaine au cœur des Caraïbes Légende

Plus en détail

Produits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE

Produits nettoyants. Détergents en poudre. Savons à mains DÉTERGENT EN POUDRE POUR LAVE-VAISSELLE Détergents en poudre POUR LAVE-VAISSELLE POUR LA LESSIVE Code Colabor : 4289 4291 13394 18 kg Ce détergent en poudre à mousse contrôlée pour lave-vaisselle est recommandé pour les lave-vaisselle automatiques

Plus en détail

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

HACCP et sécurité sanitaire des aliments HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et

Plus en détail

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I

Plus en détail

Problèmes de qualité du lait? Causes possibles et mesures à prendre

Problèmes de qualité du lait? Causes possibles et mesures à prendre Problèmes de qualité du lait? Causes possibles et mesures à prendre 1 ère édition septembre 2003 Tables des matières 1) Généralités... 3 a) Sources de germes... 3 b) Laver et nettoyer dans les règles de

Plus en détail

PLAN DE PARTENARIAT 2014-2015

PLAN DE PARTENARIAT 2014-2015 PLAN DE PARTENARIAT 2014-2015 LA FONDATION INITIA Fondée en 1992 sous le nom de Fondation des Gouverneurs, la Fondation Initia est un OSBL qui a comme mission d aider les entreprises en agroalimentaire

Plus en détail

Prévenir... par la vaccination

Prévenir... par la vaccination Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé

Plus en détail

IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire

IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire Table des matières I -Liste des laboratoires de culture cellulaire de l IBCP :... 2 II -Conditions requises pour l

Plus en détail

Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016

Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016 Besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique Horizon 2016 Comité agriculture biologique du Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CAAQ) Octobre 2012 mise à jour

Plus en détail

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships.

LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Les pneus sont dangereux dans des piles, pas dans des Earthships. les pneus sont sécuritaires LES PNEUS SONT-ILS DANGEREUX POUR LA SANTÉ ET L ENVIRONNEMENT? Réutiliser un vieux pneu dans un Earthship, où il devient une ressource utile et passe le reste de son temps dans

Plus en détail

Charte PNNS Groupe CASINO Résultats

Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Charte PNNS Groupe CASINO Résultats Calendrier En 2008, Casino a signé Les une engagements charte d engagements de la charte de progrès PNNS ont nutritionnel été appréhendés du PNNS. Elle comprenait 10

Plus en détail

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nom commercial : GESAL PROTECT SPRAY ANTI-FOURMIS ET Date: 13.0.2010 Nr. Article- Produit : 49142 Page: Page 1 sur En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032

Plus en détail

AVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du 7 juillet 1999... I - 1

AVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du 7 juillet 1999... I - 1 III SOMMAIRE Pages AVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du 7 juillet 1999... I - 1 INTRODUCTION...3 TITRE I - LA FRANCE FACE AU DÉFI DES BIOTECHNOLOGIES : APPROCHE GÉNÉRALE...5

Plus en détail

modèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE

modèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE modèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE à partir du tableau SIMDUT et des fiches signalétiques Les commissions scolaires, les experts de la formation en entreprise. Durée : 3 heures Les étapes de l atelier

Plus en détail

QUIZZ! C est toi l expert en énergie! Ta mission: Répondre aux questions du cahier en explorant cette maison sur le site energie-environnement.

QUIZZ! C est toi l expert en énergie! Ta mission: Répondre aux questions du cahier en explorant cette maison sur le site energie-environnement. QI! C est toi l expert en énergie! a mission: Répondre aux questions du cahier en explorant cette maison sur le site energie-environnement.ch i tu réponds correctement, tu obtiendras un code secret qui

Plus en détail

Indications pour une progression au CM1 et au CM2

Indications pour une progression au CM1 et au CM2 Indications pour une progression au CM1 et au CM2 Objectif 1 Construire et utiliser de nouveaux nombres, plus précis que les entiers naturels pour mesurer les grandeurs continues. Introduction : Découvrir

Plus en détail

Sciences de la vie et de la Terre

Sciences de la vie et de la Terre Sciences de la vie et de la Terre Thème 2 B Enjeux planétaires contemporains - La plante domestiquée Table des matières 1 : La plante cultivée : le Maïs...Erreur! Signet non défini. 2 : Les variétés de

Plus en détail

MANAGEMENT DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE

MANAGEMENT DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE MANAGEMENT DE LA SÉCURITÉ ALIMENTAIRE Principes généraux du HACCP 0,7 UEC Mise en œuvre des programmes préalables au système HACCP 1.4 UEC 5 novembre 2014 9 février 2015 22 avril 2015 5SA1402 5SH1501 5SH1502

Plus en détail

Système de management H.A.C.C.P.

Système de management H.A.C.C.P. NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février

Plus en détail

NORME GÉNÉRALE POUR L ÉTIQUETAGE DES DENRÉES ALIMENTAIRES PRÉEMBALLÉES

NORME GÉNÉRALE POUR L ÉTIQUETAGE DES DENRÉES ALIMENTAIRES PRÉEMBALLÉES 1 L Étiquetage des Denrées Alimentaires Préemballées (CODEX STAN 1-1985) NORME GÉNÉRALE POUR L ÉTIQUETAGE DES DENRÉES ALIMENTAIRES PRÉEMBALLÉES CODEX STAN 1-1985 1. CHAMP D APPLICATION La présente norme

Plus en détail

Comment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va?

Comment ça va? Quand ça ne va pas. 4 comment ça va? Comment ça va? 1 Voici quatre dialogues. Dites à quelle situation de communication correspond chacun d eux. Situation a) : consultation chez un médecin. Situation b) : salutations dans la rue, par simple

Plus en détail