Charte de l animation socioculturelle: comparaison entre les textes de Lucerne, de Lausanne et du Valais.

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1 Charte de l animation socioculturelle: comparaison entre les textes de Lucerne, de Lausanne et du Valais. Afin de réaliser une comparaison de ces trois chartes, nous allons commencer par observer la forme de ces documents avant de reprendre les points communs et les divergences des contenus de chacune des Chartes. Nous ferons ensuite des propostions pour la création d une charte romande. Pour finir, nous listerons quelques questions que nous nous sommes posées lors de l élaboration de ce travail. Parallèlement, nous avons créer deux tableaux synoptiques présentés en anexe résumant nos analyses. La forme des chartes En comparant les trois chartes, nous avons pu ressortir le schéma suivant concernant la structure des documents : contexte de création but/objectif du document la charte approbations/signatures, validité du document. De plus, la charte valaisane est accompagnée d une vidéo présentant l animation socioculturelle (ASC). Au niveau de la forme, la Charte lucernoise se présente sous forme d ébauche. La première partie (contexte de création) est complète, mais précise explicitement qu il s agit là d une première tentative de réflexion. Il est important de soulever que cette charte vise l animation socioculturelle au sens large sans se limiter à un territoire géographique défini. En ce sens, elle se veut volontairement plus ouverte afin d inclure au maximum les diverses pratiques existantes dans ce domaine. Le texte de la charte comprend à plusieurs reprises des termes vagues et utilise souvent le terme «etc». Au final, elle est très épurée, notamment à cause de sa présentation en forme «d inventaires» relativement courts, et nous constatons qu elle nous semble inaboutie et elle ne représente, selon nous, pas assez la profession et les valeurs de l animation socioculturelle. La Charte lausannoise, quant à elle, est beaucoup plus rédigée. Elle se constitue de textes très précis, mentionnant d autres travaux sur lesquels elle est basée. Le contexte nous

2 apprend que la dite charte a vu le jour afin de redéfinir l animation socioculturelle, notamment pour les politiques. De ce fait, c est sous une forme d explicitation, un peu à la manière des règles d un jeu, que la charte est écrite en expliquant clairement chaque action, en les justifiant et en spécifiant le rôle et les limites de chaque acteur. Ainsi, le document est beaucoup moins lisible, visuellement parlant, mais beaucoup plus complet et précis. La dernière partie (Approbation/signature, validité du document) se veut très précise en précisant que la charte est à réactualiser tous les trois ans. Pour finir, la Charte valaisanne est, à notre avis, le document le plus travaillé au niveau de sa forme visuelle. Récemment remise à jour par un important collectif (43 personnes!), elle est particulièrement bien présentée et structurée, notamment grâce à l utilisation de chapitres et de sous chapitres. On peut la situer à mi chemin en comparaison avec les deux autres documents étudiés, c est à dire sous forme de liste mais tout de même constituée de phrases complètes rendant la lecture facile. La dernière partie de la Charte contient les signatures de tous les participants à sa réalisation, ce qui la rend excessivement importante par rapport au reste du document. La vidéo accompagnant la charte valaisane se présente sous la forme de l interview de deux travailleurs sociaux ayant participé à sa réalisation. La militance, la réflexion sur la pratique qu est l animation socioculturelle et la promotion de la profession sont mis en avant dans ce reportage. Nous avons trouvé interressant d utiliser l outil qu est la vidéo pour illustrer une charte, sans pour autant concidèrer que cela apportait un réellement quelque chose de plus à la charte en question. Le contenu des chartes Valeurs : La Charte lucernoise donne une idée très «générale» des valeurs qu elle défend en les énumérant sous une forme de liste. Il lui manque, selon nous, un meilleur développement des points évoqués. La Charte valaisanne quant à elle, est plus précise en ce qui concerne la revendication de leurs valeurs. Bien plus détaillée, elle donne des informations plus concrètes sur leurs valeurs et revendications en appuyant sur l importance de la militance dans le travail social.

3 La Charte lausannoise n évoque ni valeurs, ni militance, se limitant probablement à un discours bien rodé, principalement destiné aux personnes à mêmes de leurs octroyer des subventions. Au niveau des points communs, nous avons pu constater de manière globale que les trois chartes promeuvent le développement de l autonomie et l auto organisation. Lucerne et le Valais évoquent les Droits de l Homme et la justice sociale alors que la Charte lausannoise n en fait pas mention. Les Chartes de Lausanne et du Valais se rejoignent par l évocation de la notion d environnement. En effet, Lausanne parle de l environnement local et le Valais parle plutôt de développement durable mais elles ont toutes les deux cette valeur d une appropriation de l espace, urbain ou pas. En revanche, la Charte du Valais mentionne la prévention sanitaire et en ce qui concerne cette dimension c est la seule à l évoquer. Rôle / place de l animateur rice : En ce qui concerne le rôle et la place de l ASC aucune des trois chartes n a de point de convergence proprement énoncés. Les Chartes de Lucerne et de Lausanne évoquent le fait que l ASC est une instance intermédiaire qui sert, entre autre, à faire le lien entre la ou les populations et les autorités et autres instances politiques. Le Valais et Lucerne mentionnent que l ASC est également amené e à porter le chapeau de médiateur rice, lorsque cela est nécessaire. Ces deux chartes rappellent également l importance de favoriser le lien social entre les individus. Les Chartes de Lausanne et du Valais parlent du fait que l ASC est également là pour répondre aux besoins divers d un quartier afin d améliorer le développement local de celuici. D un point de vue général, la Charte du Valais est la plus complète quant au rôle de l ASC. En effet, elle évoque de nombreuses notions telles que la militance et le fait qu un des rôles de l ASC est de favoriser le développement de sa pratique, notamment par la production de documentation à ce propos.

4 Populations ciblées : Pour ce point, nous remarquons que les chartes de Lausanne et de Lucerne sont plus axées sur les populations jeunes et adolescentes. Cependant la Charte de Lucerne évoque dans son champs d action«autres groupes cibles» en apposant «nouveaux champs de travail». Cela ouvre tout de même des perspectives dans le travail de l animation avec d autres destinataires, mais ce n est pas précis. Nous soulignons que dans la charte du Valais, il est mentionné «les personnes et les populations». Nous trouvons que ce choix de vocabulaire est moins discriminant et invite toutes les populations et les personnes sans aucune distinction à se sentir concernées par celle ci. La charte de Lausanne est la plus précise quand elle évoque les personnes marginalisées, isolées, les chômeurs, les enfants, les jeunes adolescents et pré adolescents, cependant elle vise ces différentes populations uniquement au niveau de la prévention. Objectif de l animation socioculturelle : Comme pour les valeurs, nous trouvons que la charte du Valais est la plus claire, la plus «progressiste». Elle met, par exemple, en avant la conscientisation, la militance ou encore la promotion citoyenne. C est également le seul de ces trois documents à inclure le fait qu il est important de rendre visible l animation socioculturelle. En ce sens, cette charte demande aux professionnels d être porteurs d une volonté de revendiquer les valeurs propres à l animation. L animation, selon la Charte lausannoise, vise en particulier à répondre aux besoins des enfants, des pré ados et des adolescents, mais elle doit également veiller à favoriser l intégration sociale de toutes populations isolées et marginalisées. Les chartes de Lausanne et du Valais s axent beaucoup sur le développement des compétences de chacun ou collectives. Ces deux chartes mentionnent également la notion de culture «en tout genre», alors que la charte du Valais parle des activités artistiques, culturelles ou sportives. Celle de Lucerne se focalise plus sur les activités induisant les loisirs. Pour finir, la charte de Lucerne et du Valais évoquent l importance de la recherche vers l autonomie pour les personnes ciblées. Notons pour finir que la charte du Valais est la seule à nommer explicitement la notion de culture.

5 Propositions pour une charte romande de l animation socioculturelle Suite à nos lectures des chartes ainsi qu à leur analyse, nous pensons intéressant de mettre en avant certains éléments qui nous ont paru importants à retenir en vue de l élaboration d une charte romande. La forme privilégiée pour rédiger la charte valaisanne nous a semblé claire de par sa construction structurée en quatre points et dont les titres annoncent clairement leur contenu. Grâce à cette mise en page, le lecteur s y retouve mieux et peut, par exemple, s il ne cherche qu une information précise, la trouver sans grande difficulté et sans relire la charte dans son entier. Nous avons également trouvé interressant la façon d aborder la dimension du développement professionnel en valorisant «l amélioration, l exploration et l expérimentation de ses pratiques professionnelles». Effectivement nous pensons que c est un des rôles des ASC que de réfléchir à leurs pratiques professionnelles pour faire évoluer celles ci afin de s adapter aux changements de la société et pour mettre à jour ou créer de nouveaux outils et méthodes d intervention. De plus, nous pensons qu il est important d inclure la notion de militance dans cette charte. L ASC doit, à nos yeux, porter des valeurs et les revendiquer afin d induire un changement social. Ceci peut l amener à remettre en questions des valeurs sociétales telles que l autorité, le paternalisme, la répression, la misogynie ou autre. La terminologie utilisée dans les diverses chartes pour nommer les individus en particulier ou les groupes, nous a semblé représentative de la considération qui était attribué à ces derniers. C est pour cette raison que nous avons préféré aux autres termes ceux utilisé dans la charte valaisanne, soit «des personnes et des populations». Sans autre descriptif, ces appellations permettent d éviter des sentiments liées à la stigmatisation ou à l exclusion. Nous avons constaté, et ceci en dehors des chartes mêmes, que l animation socioculturelles était souvent associée soit à la jeunesse soit à la vieillesse. De ce fait, nous concidèrons la terminologie utilisée dans la charte valaisane comme plus juste car elle ne limite pas l intervention des ASC à ces deux seuls domaines.

6 La co construction de la charte valaisanne par des étudiants en animation socioculturelle, des professeurs ainsi que des professionnels, nous parait pertinente. Effectivement cette collaboration s inscrit dans une démarche participative permettant d avoir divers point de vue quant au contenu de la charte en question. Pour terminer et afin d être le plus égalitaire possible, nous souhaiterions faire la proposition d une charte écrite de manière épicène. Questions/ constatations Lors de nos lectures des différentes chartes nous nous sommes posé de nombreuses questions dont certaines sont restées sans réponses. Nous les avons donc listées ici afin, peut être, de pouvoir les partager avec d autres personnes intéressées à y réfléchir. Comment pouvons nous interpréter la collaboration entre ASC et l Eglise à proprement dit, mentionnée dans la charte de Lucerne? La charte de Lausanne est une charte de la FASL, comment la prendre en compte si on n y travaille pas? C est la seule qui parle de financement. Est elle comparable à la Charte de la FAS e? La charte lausannoise précise qu elle est valable pour une durée de trois ans. Or, la version sur laquelle nous avons travaillé date de 1995, Pourquoi une mise à jour n a pas été réalisée depuis? Que peut on dire du «h» minuscule des Droits de l Homme dans la charte de Lucerne? Est ce un détail ou un choix volontaire? Quelle est la place des personnes âgées dans l animation socio culturelle? Dans quelle mesure faut il prendre en compte spécifiquement cette population lors de la rédaction d une charte?

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