édito Sommaire Organiser le marché de la rénovation

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "édito Sommaire Organiser le marché de la rénovation"

Transcription

1

2

3 Sommaire n 14 Printemps 2006 Spécial SIDEC 6-12 SONEPAR SUD-EST Le salon SIDEC crée l'événement en mars, à Lyon et à Marseille. Dominique Vinay, président exécutif du SSE nous en explique les enjeux. Actualités LA RT 2005 A INTERCLIMA+ELEC HOME&BUILDING 13 Des bâtiments plus économes grâce à des équipements plus efficaces Les industriels parés pour la Réglementation Thermique VIVRELEC 16 Maison individuelle, le comportement des ménages Mon client m a demandé LA PROTECTION FOUDRE 29 Attention, les orages arrivent! Parafoudres, généralisation de l'offre 34 Installations photovoltaïques, elles craignent aussi la foudre Mon métier BÂTIMENT Le diagnostic de performance énergétique Produits Une sélection de produits de l'electricienplus 41-42La fiche s@ti - service lecteurs Mon cahier Ambassadeurs de la nouvelle électricité. Première édition réussie pour le concours Electricien Top Plus. Les fournisseurs me proposent SARLAM p.2 / SEAE p.4 / EYROLLES p.12 / SCHNEIDER p.18 / HAGER p / LEGRAND p.28 / GENERIC ELECTRIC p.29 / DEHN p.30 / SOULE/HELITA p.31 / DEHN p.33 / CITEL p.34 / THORN p.35 / THEBEN p.35 / GEWISS p.37 / GENERIC ELECTRIC p.38 / PROMODUL p.39 / FIRSTINNOV p.43 / EUROFORMATION p.43 / FERMAX p.44 ENCARTS EN JETÉ LIBRE EN DÉBUT DE REVUE : MOELLER / IGE-XAO 45 Abonnement gratuit Electricienplus Organiser le marché de la rénovation édito Incontestablement, l'isolation thermique est au cœur de la performance énergétique des bâtiments. C'est pourquoi, l'association Promodul, qui vient d'achever sa mutation, s'est fixé comme mission d'organiser le marché de la rénovation où la réhabilitation thermique représente un enjeu majeur. C'est dans ce contexte que, courant juin, le lancement de la BAO (Boîte à Outils) Promodul représentera le premier acte fort du repositionnement de l'association. Ce logiciel s'inscrit dans la décision du législateur de rendre obligatoire, dès juillet 2006 (voir pp. 36 et 37), la fourniture, pour tout acte de vente d'un bien immobilier, d'un Diagnostic de Performance Energétique (DPE). La BAO répondra aux préoccupations des professionnels chargés d'effectuer et de proposer, à partir d'un DPE normalisé, des solutions performantes à ceux qui souhaitent faire réaliser des travaux d'amélioration de leur confort thermique. À suivre dans la prochaine édition... Jacques Darmon Directeur des rédactions Pour plus d'information : SEPP, 23, rue Galilée F Paris Tél. +33 (0) Fax +33 (0) Directeur de la publication / rédacteur en chef : Jacques Darmon Secrétaire de rédaction : Véronica Velez Collaborations : Fabien Gantois, Michel Laurent, François-Xavier Jeuland, Frédérique Guérin (saisie), Catherine Legrand (corrections). Diffusion promotion : Brigitte Arnoud, assistée d Alex Gallardo Publicité : Carmen Costa i Montal, assistée de Joëlle Daemen PAO, gravure : Planète Graphique Studio, Paris Impression : Imprimerie de Champagne, Langres Routage : Presto SEPP, Paris. Reproduction interdite. Toutefois, des photocopies peuvent être réalisées avec l autorisation de l éditeur. Dépôt légal : mars 2006 N 14 PRINTEMPS

4 Un savoir-faire de plus de 50 ans dans la conception, fabrication, commercialisation d appareils d éclairage INDUSTRIELS ET TERTIAIRES. EXTÉRIEURS - BUREAUX - COMMERCES - ECOLES - SALLES BLANCHES - SALLES DE SPORT... Décoratifs - Spots - Downlights - Plafonniers apparents et encastrés - Lignes continues... Encastrés de sol Bornes Projecteus Spots tbt Appliques Downlights Plafonniers Encastrés Salles blanches Etanches

5 Sonepar Sud-Est Spécial SIDEC Dominique Vinay Faire vivre la filière électrique En 2004, Sonepar Sud-Est (SSE) créait l événement SIDEC (Salon Industrie, Domosic, Eclairage et Climatic) organisé, d une part, à Lyon et, d autre part, à Marseille. Dominique Vinay, président exécutif de SSE, nous explique les raisons de sa création et nous présente les deux rendez-vous de mars 2006 : les 8 et 9 mars à Lyon-Eurexpo ; les 22 et 23 mars à Marseille-Parc Chanot. Dominique Vinay a rejoint le groupe Sonepar fin Auparavant, son implication professionnelle au cœur de la région Sud-Est s est traduite par plusieurs expériences de direction commerciale chez Taraflex (Gerland) «Bâtiment» Brossette, puis de direction générale chez Emile Maurin, groupe familial lyonnais spécialisé dans la distribution de fournitures industrielles. En 1997, Dominique Vinay a pris la direction générale de la région Est (de Strasbourg à Perpignan) de Klöckner Distribution Industrielle (KDI), spécialisée dans la distribution de produits sidérurgiques et de fournitures industrielles business to business. «Réunir les quatre pôles de compétences de Sonepar Sud-Est.» Telle a été la motivation essentielle ayant nourri la création du SIDEC, rappelle Dominique Vinay. À savoir quatre spécialisations : l automatisation Industrielle, la Domotique, l Eclairage et le génie Climatique. «Ces spécialisations représentent notre véritable fer de lance ainsi qu un réel levier de promotion», poursuit le président exécutif de SSE, en se félicitant qu au cours des deux premiers rendez-vous, en 2004, professionnels se sont déplacés à Lyon et à Marseille, venus des quatre coins de la grande région Sud-Est pour s informer auprès de 153 fournisseursexposants. «Tout porte à croire que ces participations seront encore plus grandes cette année», avance-t-il. En effet, le SIDEC est devenu un véritable creuset d interactivité, très business, source de communication privilégiée entre les hommes de terrain, de promotion de nouvelles solutions technologiques et d actions commerciales par l intermédiaire de l ensemble du réseau d agences de Sonepar Sud-Est. Par exemple, vis-à-vis de la clientèle artisanale, a été confirmé le renforcement du partenariat tant en termes de formations et d aides à la prescription, qu aux montages d affaires et de suivis de projets. «Un de nos rôles, en qualité de distributeur, n est-il pas de faire vivre la filière électrique, notamment par le biais de tels événements spécifiques?» conclut Dominique Vinay. Propos recueillis par Jacques Darmon SIDEC Lyon Sonepar Sud-Est spécial Lyon 8-9 mars Marseille mars 2006

6

7 Sonepar Sud-Est Spécial SIDEC André Geindre Grâce aux spécialistes aider à vendre des solutions et services via les généralistes «Au-delà du métier de généraliste, qui représente encore 80 % de nos activités, notre développement s appuie sur plusieurs spécialités : l industrie, avec RAM (Réseau Automatisme Mesure) ; la productique avec le pôle Productic ; la domotique, avec le Comptoir des Courants Faibles et le département Domosic ; l éclairage, avec NRA ; les réseaux VDI, avec Datacom ; le génie climatique, avec le département Climatic». Nous devons cette réflexion à André Geindre qui, aujourd'hui directeur des marchés de SSE, travaille depuis près de 25 ans au développement de spécialités au sein de cette entité régionale de Sonepar France. La tâche est permanente face à l évolution des marchés et donc du métier de distributeur. Pour en débattre, à la veille des événements Sidec de Lyon et de Marseille, André Geindre a réuni 6 responsables d enseignes : Jean-Guy Erard (Comptoir Central d Électricité) ; Roland Beauval (Lyon Electricité) ; René Colomb (Teissier) ; Michel Martinez (AED) ; Manuel Crenes (SDME) ; Jean-Charles Charmet (Cabus & Raulot). Le résumé de leurs débats est riche d enseignements. «Comment les distributeurs de matériel électrique appréhendent-ils l évolution des technologies et, demain, qui installera les produits et systèmes qu ils commercialisent?» Pour répondre à ces questions, prenons l exemple de la sécurité, l un des facteurs les plus porteurs dans les années à venir. «Doit-on appréhender ce domaine en se limitant à ce que de plus en plus d électriciens deviennent capables de poser la petite alarme qui va bien ou devons-nous être des porteurs d affaires et des formateurs à destination de professionnels spécifiquement orientés confort et environnement sécuritaire?» interroge René Colomb. Aujourd'hui, deux typologies de clients se développent : des installateurs sous-traitants ; des installateurs spécialisés parfois dédiés à un seul fournisseur, surtout si son offre est globale. Par ailleurs, quid demain de l arrivé, par exemple, de Microsoft dans le bâtiment? Qu on le veuille ou non, au niveau de la maison intelligente, ce leader informatique sait maîtriser l ensemble du réseau de communication. Les bons services au bon moment, au bon endroit Restons dans l informatique avec Roland Beauval qui rappelle que «il y a 5 ans, IBM vendait 50 % de produits et 50 % de services. Aujourd'hui, 70 % des activités du groupe américain proviennent des services». Cette évolution débarque en Europe et notamment en France évolution que la distribution doit accompagner au rythme de la culture des installateurs et des marchés sur lesquels ils interviennent. Malheureusement, regrette Roland Beauval, «quand on est généraliste, il est difficile d être précurseur, notamment en termes de nouvelles solutions». Et pourtant! Chaque agence possède sa problématique particulière, comme en témoigne Jean-Guy Erard, soucieux de mettre en adéquation les directeurs d agences et ses équipes, d une part, avec l historique de l entreprise, et, d autre part, avec les marchés sur lesquels elle exerce. «C est la seule façon, d abord, de conserver des clients qui nous sont chers pour, ensuite, tenter de gagner une frange de clientèle que nous ne touchons pas encore.» Tout en restant persuadé que les attentes des clients privilégient toujours la disponibilité des produits, les «bons» prix et les conseils. Car, dans des régions plutôt rurales, comme celles que couvre le Comptoir Central d Electricité, «les technologies mettent plus de temps pour monter en régime». En effet, il est difficile de prescrire à un utilisateur final des technologies ne représentant pas son souci quotidien. «À nous de savoir apporter les bons services, au bon moment et au bon endroit à des clients qui m apportent satisfaction.» En 2005, le pôle Productic Les entrées, en juin 2005, de la société savoyarde Dimat et de la société stéphanoise Aulagnon, au sein de SSE, renforcent le pôle Productic déjà constitué par les compétences de Linatec (depuis 1991 chez Sonepar Sud-Est) et de Audimatec (depuis 2004). Animé et coordonné par André Geindre, ce pôle Productic sera présent au SIDEC PRINTEMPS

8 Spécial SIDEC Sonepar Sud-Est Accompagner les clients pour les aider à mieux vendre Jean-Charles Charmet (Cabus & Raulot) Jean-Charles Charmet le confirme : «Se distinguent deux typologies de clientèles : les généralistes touche à tout ; les spécialistes qui attendent des réponses spécifiques.» Dès aujourd'hui, il faut se préparer à répondre à ces deux catégories d installateurs, ce qui oblige la distribution à s organiser autour d équipes ou de points de vente spécialisés. «Sinon, ces professionnels iront chercher ailleurs les compétences et les produits.» De plus, il convient de poursuivre la formation du client et, en conséquence, d équipes qui, au sein des points de vente, deviennent elles aussi de plus en plus pointues. «Tout cela signifie investir», souligne Jean-Charles Charmet, notamment pour accompagner les clients installateurs auprès des utilisateurs afin de les aider à vendre de nouvelles solutions de confort, de sécurité, de communication et de maîtrise de l énergie. Et le distributeur de regretter : «Quand s affiche, dans bon nombre de maisons individuelles, le haut niveau de prestations des sanitaires et des carrelages, on ne peut être qu affligé par le bas niveau des prestations de l appareillage électrique.» Et Jean- Charles Charmet de ponctuer. Tant dans le résidentiel que dans l industrie et le tertiaire, «il existe des solutions innovantes que trop de nos clients ne sont toujours pas capables, aujourd'hui, de vendre aux maîtres d ouvrage». Malheureusement, regrette-t-il, «le jeu du chat et de la souris perdure» entre l électricien et son distributeur. «Si je t emmène chez mon client, dit le premier, tu vas lui vendre, ensuite, le matériel en direct.» Prenons l exemple du plombier qui, dans bien cas, envoie son client choisir le matériel qu il installera ensuite. «Quand ce dernier entre chez ce fournisseur, il compte acheter une baignoire acrylique à 150. Généralement, il ressort avec une baignoire à bulles qui lui convient bien.» QUATRE QUESTIONS À Jean-François Bianchi (Ets Bianchi) «Commercialement parlant, en quoi le territoire que vous couvrez se singularise-t-il? Jean-François Bianchi Le marché corse est en adéquation avec le territoire qu il recouvre. La Corse étant une île, les «intrusions» commerciales des grossistes du continent restent limitées du fait du coût d approche, aussi bien pour les marchandises que pour les équipes commerciales. La typologie des clientèles y est également particulière : les entreprises nationales y sont peu présentes ; les installateurs représentent la part principale du marché avec des incidences sur le recouvrement Enfin, la segmentation du marché par familles de produits reflète l économie de la région : le résidentiel et les logements collectifs sont très développés, alors que l industrie représente une part marginale des ventes. L étendue des activités et des technologies s élargit. Comment adaptez-vous vos équipes techniques et commerciales? J.-F. B. Les courants faibles réunissent des familles de produits appelés à se développer grâce aux fonctionnalités nouvelles qu elles apportent à l utilisateur final. Domotique, vidéo, réseaux informatiques, automatismes représentent autant de besoins domestiques nouveaux. Il en va de même pour la partie industrielle. Ces développements nous ont conduits à développer, en interne, des compétences spécifiques via un responsable d activité ayant pour mission de sélectionner les fournisseurs et les produits, de définir les mises en stock et, surtout, de former les forces de vente et les clients afin de démocratiser, autant que faire se peut, la vente de ces produits. L expérience et la capacité de négociation du groupe nous permettent de progresser à grands pas, et de rester compétitifs sur ce marché. «Papy boom» oblige, bon nombre de petites entreprises d installation, représentant l essentiel de votre clientèle, vont «changer de mains» ou disparaître. Préparez-vous cette évolution? J.-F. B. Plus que jamais, la présence sur le terrain, auprès de nos clients installateurs, nous permettra d anticiper et de gérer au mieux les transmissions d entreprises, ainsi que les reports de parts de marché d un client à l autre. Le recrutement de forces de vente est d ailleurs aujourd'hui notre axe prioritaire. À l inverse, de jeunes professionnels, venant de divers horizons et de plus adeptes des nouvelles technologies de l information et de la communication, vont prendre la succession. Pensez-vous travailler autrement avec eux? J.-F. B. Avec la montée en puissance des jeunes dans notre clientèle, l utilisation des NTIC (1) devient une obligation, les outils Internet nous permettant de mieux informer nos clients, à toute heure du jour ou de la nuit. Nous devons donc intégrer ces nouveaux outils dans notre démarche commerciale mais aussi veiller à ce que nos rapports avec les installateurs électriciens ne se limitent pas à un double clic! La technologie peut apporter l information, l homme doit délivrer le service. La connaissance des marchés, des produits, le relationnel sur les affaires, l expérience du terrain sont la base de notre valeur ajoutée et doivent le rester pour notre pérennité. (1) NTIC : Nouvelles Technologies de l Information et de la Communication. 8 PRINTEMPS

9 Sonepar Sud-Est Spécial SIDEC L avènement de la RT 2005 nous ne comprenons pas qu au-delà des «Si 80 % des matériels électriques cachés dans les murs ou dans des locaux techniques, on compte 95 % de cas où les installateurs ne profitent d aucune capacité d intervention, nous n évoluerons jamais!» Pour René Colomb, on ne peut accuser l électricien d être un mauvais vendeur puisque, pratiquement, il ne le peut pas. Car les clients, voyant peu les produits qu il installe, même s ils sont technologiques, ne s y intéressent pas. «Heureusement, cette année, l arrivée de la RT (1) 2005 doit représenter, pour la filière électrique, un angle de prescription nouveau sur les marchés tertiaires et résidentiels. En effet, la RT 2005 offre une possibilité considérable de repositionner des solutions» ; en sachant qu elle concerne directement deux professions : d une part, les électriciens ; d autre part, les plombiers. Dans ce contexte, souligne René Colomb, «à nous d aider à revaloriser le savoir-faire et la technicité de l installateur électricien». Non seulement à cause des nouvelles réglementations, mais aussi grâce au développement de solutions et concepts nouveaux, tout en continuant pour s organiser à rester performant sur les marchés traditionnellement accessibles à la distribution professionnelle Elle aussi concurrencée par l arrivée de nouveaux réseaux experts des marchés de consommation. (1) Réglementation Thermique René Colomb (Teissier) Papy boom oblige, bon nombre de petites entreprises d installation, représentant l essentiel de votre clientèle, vont changer de mains ou disparaître. Préparez-vous cette évolution? Roland Beauval Les artisans transmettent leur entreprise souvent à un membre de leur famille ou à un collaborateur, les nouvelles technologies n étant pas la priorité de leurs préoccupations. À nous d être proches d eux pour les aider à accompagner les changements. A l inverse, de jeunes professionnels, venant de divers horizons et de plus adeptes des nouvelles technologies de l information et de la communication, vont prendre la succession. Pensez-vous travailler autrement avec eux? R. B. Les PME, si ce n est déjà fait pour certaines d entre elles, se structurent et envisagent d utiliser Internet pour passer leurs commandes ou avoir accès à des fichiers techniques, etc. Il nous faudra donc disposer d outils de plus en plus performants pour les fidéliser (développement de sites extranet, par exemple). Plus ils vendront de la technique à leurs clients, plus ils seront exigeants vis-à-vis de leurs fournisseurs! Dans ce schéma, ils souhaiteront scinder leurs propres activités en deux structures distinctes : - la première, généraliste, exécutera des travaux traditionnels d installations ; - la seconde, spécialisée, réalisera les programmations, les mises en service Nous allons également assister à la multiplication de regroupements d entreprises ainsi qu à la création de petits groupes régionaux. En revanche, je ne suis pas sûr que les jeunes professionnels, issus d horizons où les nouvelles technologies sont présentes, soient ceux qui, demain, vont assurer la succession dans une PME. A mon avis, ils ont plus envie d entrer dans les grands groupes Comment comptez-vous «travailler autrement» avec votre environnement professionnel? R.B. Je crois qu il faut savoir identifier les attentes de nos clients, et connaître ce qui se fait chez nos concurrents, d éviter de créer des systèmes coûteux et lourds. TROIS QUESTIONS À Roland Beauval (Lyon Elec) RT 2005, à 14 h 30 chaque jour La Réglementation Thermique : quels enjeux pour la filière électrique? Tout savoir sur la RT Ce qui change par rapport à la RT 2000! Les nouvelles exigences et méthodes de calcul. PRINTEMPS

10 Spécial SIDEC Sonepar Sud-Est Savoir se diversifier Michel Martinez (AED) de nos préoccupations est de diversifier «Une nos activités, poursuit Michel Martinez, en sachant convaincre nos clients électriciens qu ils doivent s intéresser aux nouvelles technologies et à d autres systèmes que ceux qu ils installent traditionnellement.» C est du boulot! Car ces derniers ne sont pas toujours réceptifs même si de nouvelles générations d électriciens se montrent plus attirées par de nouvelles techniques. A ce propos, il convient de rester très vigilants vis-à-vis d entreprises d installation dont le fondateur se prépare à passer la main. Dans bien des cas, les repreneurs arrivent avec de nouvelles méthodes de gestion et de travail notamment vis-à-vis de ses fournitures de matériels. Encore aujourd'hui, l électricien peut passer deux fois par jour au comptoir de ventes. Demain, ça ne sera plus qu une fois et, après-demain, une fois par semaine. «Et un jour il dira, illustre Michel Martinez : M. AED, si je ne peux passer commande via Internet, tu m intéresses moins!» DEUX QUESTIONS À Michel Martinez (AED) «Papy boom» oblige, bon nombre de petites entreprises d installation, représentant l essentiel de votre clientèle, vont «changer de mains» ou disparaître. Préparez-vous cette évolution? Michel Martinez Le transfert de génération, effectif depuis deux ans au sein de notre clientèle, se traduit par la perte de clients, suite à des rachats par des groupes, par la centralisation des commandes et par des pertes de marges. De plus, le phénomène «fidélité» disparaît, la réactivité devenant donc indispensable (par exemple relance immédiate après une offre et suivi de celle-ci). A l inverse, de jeunes professionnels, venant de divers horizons et de plus adeptes des nouvelles technologies de l information et de la communication, vont prendre la succession. Pensez-vous travailler autrement avec eux? M. M. La nouvelle génération de professionnels, plus exigeante, informatisée et structurée (bons de commande, contrôle des factures, accusés de réception), souhaite plus de communication par s, des demandes de catalogues en ligne et des délais de livraison plus courts. Par ailleurs, la mise en place de suivi de commandes devient indispensable. Les enseignes Sonepar Sud-Est Au sein de Sonepar France, dirigée par Hubert Stourm, Sonepar Sud-Est, dont Dominique Vinay assure la présidence exécutive, compte 22 enseignes représentant 177 agences. A savoir : Comptoir Lyonnais d Électricité, à Lyon (35 agences) ; Appareillage Electrique Dauphinois, à Grenoble (6 agences) ; Approvisionnement Électrique, à Toulon (14 agences) ; Aulagnon, à Saint-Etienne (1 agence) ; Cabus & Raulot, à Marseille (20 agences) ; Cecci, à Nice (13 agences) ; DIMAT, à Saint-Sauveur (2 agences) ; DAEM, à Monte-Carlo (2 agences) ; Maclary, à Nice (2 agences) ; Comptoir Central d Electricité, à Perpignan (6 agences) ; Teissier, à Saint-Etienne (28 agences) ; Lyon Electricité, à Lyon (7 agences) ; Real, à Pringy (13 agences) ; SDME, à Dijon (13 agences) ; Comptoir des Courants Faibles, à Feyzin (1 agence) ; Linatec, à Feyzin (5 agences) ; NRA International et NRA Lyon, à Lyon (1 agence) ; Ets Bianchi, à Furiani (6 agences) ; Audimatec, à Vitrolles (1 agence) ; Distrelec, à Saint-Sauveur (1 agence). A ces 22 enseignes, il convient d ajouter celle des deux Mat Electrique implantés à Lyon et à Dijon. > ATEX, à 10 h 30 chaque jour. Qui, quand, pourquoi, comment? Les normes. Serez-vous prêts au 1er juillet 2006? 10 PRINTEMPS

11 Sonepar Sud-Est Spécial SIDEC Appréhender les évolutions idées ne sont bonnes que si elles tiennent dans la durée.» Pour Manuel Crenes, «Les il convient de ne pas oublier que, face aux évolutions s imposant à la profession, «plus on développe nos spécialités, plus on risque d appauvrir nos généralistes notre gagne-pain». Aussi, former des spécialistes, c est bien, mais continuer à former des généralistes, c est bien aussi. Il y a peutêtre une trentaine d années que l on dit déjà ça! «A nouveau, nous devrions donc savoir passer l évolution qui se manifeste, portés par la vertu qui a toujours guidé Sonepar Sud-Est à anticiper les événements». A Lyon et à Marseille, le Sidec 2006 en témoignera à nouveau. J. Manuel Crenes (SDME) «Papy boom» oblige, bon nombre de petites entreprises d installation, représentant l essentiel de votre clientèle, vont «changer de mains» ou disparaître. Préparez-vous cette évolution? Patrice Blin La transmission des petites entreprises, lorsqu elle se fait, profite souvent à un collaborateur, voire à un enfant du fondateur. Bien sûr, nous suivons l évolution de ces différentes entreprises. De plus, nous sommes abonnés aux chambres de métiers afin de connaître les nouvelles créations. A l inverse, de jeunes professionnels, venant de divers horizons et de plus adeptes des nouvelles technologies de l information et de la communication, vont prendre la succession. Pensez-vous travailler autrement avec eux? P. B. Nous organisons des interventions dans les lycées professionnels où nous constatons, qu effectivement, les jeunes sont plus adaptés aux nouvelles techniques de l information. Dans ce contexte, il nous faut développer notre système informatique dans le cadre de la gestion des commandes et l ensemble de l organisation qui suit derrière. DEUX QUESTIONS À Patrice Blin (Approvisionnement Electrique et Cecci) SEPP, 23, rue Galilée F Paris Tél. +33 (0) Fax +33 (0) Directeur de la publication / rédacteur en chef : Jacques Darmon Secrétaire de rédaction : Véronica Velez Collaborations : Julie Favrot (SSE), Catherine Legrand (saisie). Diffusion promotion : Brigitte Arnoud, assistée d Alex Gallardo Publicité : Carmen Costa i Montal, assistée de Joëlle Daemen la mise en lumière PAO, gravure : Planète Graphique Studio, Paris Impression : Imprimerie de Champagne, Langres Routage : Presto SEPP, Paris. Reproduction interdite. Toutefois, des photocopies peuvent être réalisées avec l autorisation de l éditeur. Dépôt légal : mars 2006 PRINTEMPS

12

13 LA RT 2005 À INTERCLIMA + ELEC HOME & BUILDING Actualité Des bâtiments plus économes grâce à des équipements plus efficaces La marche forcée vers les économies d'énergie se poursuit. En effet, la Réglementation thermique 2005 (RT 2005) devrait entrer en application au troisième trimestre 2006 afin d'augmenter les performances énergétiques des bâtiments neufs. Le point sur ce nouveau contexte réglementaire. L a Réglementation thermique 2005 (RT 2005), vouée à prendre la suite de l'actuelle RT 2000, est presque prête. Les décrets d'application sont sur le point de paraître et elle devrait s'appliquer pour toutes les constructions neuves, en résidentiel ou non, dont le permis de construire aura été déposé après le 1er septembre L'enjeu majeur de cette nouvelle mouture est simple : augmenter les performances énergétiques des bâtiments d'environ 15 %. Pour ce faire, la nouvelle réglementation devrait renforcer les exigences sur les équipements et matériaux, continuer à faire la chasse aux ponts thermiques, mais aussi valoriser encore plus le recours aux énergies renouvelables. Diminuer de 40 % la consommation de nos constructions à l'horizon 2020 En effet, le bâtiment est responsable de 25 % des émissions de CO 2, l'un des principaux responsables de l'effet de serre, et de 42 % de la consommation d'énergie finale en France. Aussi, pour se conformer aux exigences du protocole de Kyoto, que la France a ratifié, les pouvoirs publics espèrent diminuer de 40 % la consommation de nos constructions à l'horizon Après la RT 2000, la RT 2005 représente un second pas vers le bâtiment à énergie positive, c'està-dire celui qui produit plus d'énergie qu'il n'en consomme. Dans l'esprit, la réglementation doit aussi bénéficier au client final. Si le coût de construction risque d'augmenter, il devrait s'amortir rapidement sur la facture d'énergie, sans parler du confort de vie à l'intérieur... Pour leur part, les industriels devraient être en mesure de tirer profit des nouvelles contraintes en fournissant des équipements et des matériaux à plus forte valeur ajoutée. Enfin, les professionnels du bâtiment devraient surtout bénéficier des mesures en faveur des énergies renouvelables. Une consommation maximum à ne pas dépasser La RT 2005 s'appliquera à toutes les constructions neuves destinées à être chauffées à plus de douze degrés. C'est-à-dire à toutes les habitations, au tertiaire et à des locaux de soin, de spectacle, d'enseignement Elle constitue une évolution importante de la réglementation, mais pas une révolution, si ce n'est qu'elle introduit une consommation maximum à ne pas dépasser. Tout d'abord, les indices de performances seront simplifiés pour acquérir plus de lisibilité et favoriser l'affichage des consommations de chaque bâtiment. Ainsi, les clients pourront avoir une visibilité sur les consommations possibles de leur maison, de la même manière qu'avec l'affichage de la consommation d'une machine à laver ou d'un réfrigérateur. Autre nouveauté, la RT 2005 intègre l'obligation de calculer la production de CO 2 /m 2 de chaque bâtiment. Calcul par solutions techniques Dans la précédente réglementation, le calcul par solutions techniques permettait de vérifier la conformité de la construction de manière simple, en attribuant des points pour chaque système installé. Il sera de nouveau possible de l'employer dans le cadre de la RT 2005 pour La réglementation thermique 2005 était au cœur de préoccupations des plus de visiteurs du salon Interclima + Elec Home & Building, avec en particulier de nombreux produits liés aux énergies renouvelables. Qui décide du contenu de la RT 2005? C'est le ministère de l'equipement, des Transports et du Logement qui rédige la RT Mais, pour mettre au point ce texte, les pouvoirs publics se sont adjoint les services d'un comité scientifique constitué des acteurs majeurs du monde de la construction, tels que les artisans du bâtiment, des représentants des grands fournisseurs d'énergie nationaux, le CSTB, l'ademe, des bureaux d'études... Ce comité pilote dix groupes de travail : applicateurs, bioclimatique, éclairage, énergies renouvelables, enveloppes, perméabilité du bâti, régulation, systèmes chauffage/refroidissement, TH-Clim, ventilation. Ces groupes intègrent des membres du comité scientifique, mais aussi des organisations professionnelles d'industriels et d'autres experts de chaque domaine. N 14 PRINTEMPS

14 Actualité LA RT2005 À INTERCLIMA + ELEC HOME & BUILDING éviter de lourds calculs que seuls des bureaux d'études spécialisés et équipés de logiciels spécialisés savent réaliser. Cependant, il est encore trop tôt pour connaître le barème des points attribués à chaque solution. A noter, cette méthode devrait devenir possible pour les maisons à ossature bois. Par ailleurs, la RT 2005 lance un pari audacieux : limiter le recours à la climatisation, dont la consommation sera prise en compte dans le calcul de performances globales du bâti, tout en renforçant les exigences en matière de confort d'été. Aussi, elle devrait faire la part belle à une conception bio-climatique, qui limite les apports solaires en été mais les optimise en hiver, ainsi qu'aux techniques passives telles que la simple inertie, le puits canadien ou la ventilation nocturne des locaux. Les industriels parés pour la Réglementation Thermique 2005 Les industriels sont prêts pour la Réglementation thermique 2005 (RT 2005). C'est en tout cas ce qu'ils se sont appliqué à démontrer lors du salon Interclima + Elec Home & Building. Chauffage, récupération d'énergie, rafraîchissement, ventilation, éclairage... la RT 2005 devrait avoir un impact important sur tous ces produits. Dernier cri de la technologie, la ventilation double flux limite les déperditions énergétiques. À ce titre, elle est valorisée dans les calculs de la RT Le plancher chauffant est l'incontestable vedette des solutions de chauffage domestiques. Le chauffage électrique représentait en 2000 encore 43 % des parts de marchés dans le logement neuf. Mais le convecteur électrique ordinaire a ses beaux jours derrière lui. En effet, il devient à proscrire dans le cadre de la Réglementation thermique 2005, au profit, a minima, de panneaux rayonnants. Ce dispositif devra impérativement être complété par un gestionnaire de chauffage. Le panneau rayonnant remplace le convecteur Cependant, les solutions à base de plancher chauffant basse température sont plus valorisées. Et les énergies renouvelables sont encore plus intéressantes. Là, le solaire thermique, le bois énergie, mais aussi les pompes à chaleur tiennent la corde. Et les industriels du chauffage qui exposaient à Interclima + Elec Home & Building ne s'y sont pas trompés. En effet, rares étaient ceux qui ne présentaient aucune de ces énergies. La présence au salon de François Loos, ministre délégué à l'industrie, a en outre démontré l'implication du gouvernement dans la recherche d'une plus grande performance énergétique, l'un des grands enjeux actuels dans le secteur du bâtiment. D'ailleurs, les trophées de l'innovation, qui récompensent des produits particulièrement innovants, ont été attribués à divers systèmes de récupération d'énergie ou de climatisation plus performants que la moyenne. Ainsi, Sanyo, le géant japonais de l'équipement, a raflé un prix et une nomination pour respectivement une pompe à chaleur et un climatiseur réversible. Compacte, silencieuse, performante, la pompe à chaleur primée est emblématique du développement de ce secteur. Récupération d'énergies tous azimuts Autre produit récompensé, le récupérateur de chaleur Vertigo pour les cuisines professionnelles, de France Air. Cet appareil permet de récupérer des calories sur l'air extrait pour préchauffer l'air insufflé ou un circuit d'eau chaude. Ce produit, ajouté à tous les systèmes de récupération de calories présentés au cours d'interclima + Elec Home & Building, illustre la tendance actuelle : ne plus laisser l'énergie partir en fumée. Et l'énergie solaire participe à ce mouvement de fond. Les panneaux thermiques font désormais partie intégrante des gammes des fabricants, tandis que le photovoltaïque continue de progresser. D'ailleurs, dans le cadre de la RT 2005, la production autonome d'électricité est soustraite à la consommation globale de la maison, ce qui permet d'atteindre plus facilement le niveau d'économie demandé. L'enjeu du confort d'été Le confort d'été, pour sa part, représente également un véritable enjeu. Pour preuve, le nombre important de climatiseurs présentés lors d'interclima + Elec Home & Building. Il s'agit de concilier l'effet canicule, qui a fait prendre conscience de l'importance de limiter les brusques hausses de température, avec un impératif d'économie 14 N 14 PRINTEMPS 2006

15 LA RT2005 À INTERCLIMA Actualité Les autres mesures de la RT 2005 La Réglementation thermique 2005 comprend un vaste éventail de mesures destinées à favoriser les économies d'énergie. La RT 2005 concerne donc tous les corps de métier. Voici quelques points saillants de cette réglementation : la chasse aux ponts thermiques est ouverte. Ces déperditions liées aux défauts d'isolation entre différents éléments de maçonnerie et/ou de menuiserie seront désormais très pénalisées par les méthodes de calcul. Objectif : faire totalement disparaître les ponts thermiques à l'horizon 2010 ; la valorisation de la conception bioclimatique du bâtiment avec un rapport de référence surface de baies/surface habitable, une inertie moyenne de référence ou encore la valorisation des toitures végétalisées ; les épaisseurs d'isolation doivent être renforcées et l'une des prochaines étapes pourrait être l'isolation par l'extérieur, mais aussi l'apparition du triple vitrage ; la carte de France des zones climatiques, qui influe sur le niveau d'exigence imposé à la construction, a été revue et affinée avec pas moins de (??) zones qui ont vu le jour, contre trois auparavant pour le confort d'hiver, et quatre pour l'été. De plus, la RT 2005 prend en compte l'altitude (trois niveaux) et l'exposition au bruit (trois niveaux) ; comme l'impose la directive européenne sur la performance énergétique des bâtiments, cette réglementation thermique sera applicable aux bâtiments existants de plus de 1000 m_ faisant l'objet de travaux de réhabilitation. d'énergie. Dans ce contexte, les climatiseurs gourmands en électricité ne sont pas vraiment en odeur de sainteté. La réglementation sépare deux types de locaux. D'une part, le tout-venant des constructions, les CE1, pour lesquels la clim n'est pas considérée comme nécessaire. Pour ceux-là, elle n'est pas formellement interdite, mais les calculs n'en prévoient pas. Aussi, les constructeurs désireux d'y installer un climatiseur devront faire d'importants efforts sur d'autres plans afin d'atteindre l'objectif de consommation global. Les locaux CE2 sont considérés comme pouvant normalement prétendre à la clim. Il s'agit des bâtiments résidentiels, d'enseignement ou d'hébergement installés à basse altitude dans les zones climatiques les plus chaudes et où l'exposition au bruit est importante. Les bureaux où l'ouverture des fenêtres est impossible (conformément à certaines réglementations) ou rendue difficile par le bruit font aussi partie de cette catégorie. Enfin, les commerces, salles de spectacle, de conférences et les locaux dédiés aux soins pourront aussi avoir leur clim. Mais attention, une consommation de référence est alors prévue. Impossible donc d'installer un équipement trop gourmand. Solutions passives pour rafraîchissement économe Au final, ce sont donc des solutions passives qui sont favorisées par la RT Par exemple, une ventilation nocturne, un puits canadien, et, surtout, une conception et une implantation qui prennent en compte les paramètres naturels. La surface vitrée orientée au sud, le type de vitrage, les protections (volets, stores) Cette partie de la RT 2005 ouvre naturellement le dossier de la ventilation. En effet, comment limiter les besoins énergétiques lorsqu'un appareil électrique extrait de l'air intérieur pour le remplacer par celui de l'extérieur? Le but de la RT 2005 est donc bien évidemment de limiter la ventilation aux seules nécessités. Cela veut dire adapter la ventilation aux besoins du local. Les appareils hygroréglables, dont le débit varie en fonction du taux d'humidité intérieur, acquièrent donc le statut de matériel de référence. Garantir les performances de la ventilation Afin de garantir les performances de la ventilation de manière durable, les fabricants, à l'instar du leader Aldes, préconisent désormais des conduits rigides. Intérêt : les méandres des conduits souples qui provoquent des pertes de charge, et parfois leurs défauts d'étanchéité, sont limités. Quant aux technologies double flux, la RT 2005 valorise la récupération d'énergie sur l'air extrait (grâce à un simple échangeur). Mais les systèmes de ventilation double flux thermodynamique, qui assurent également le rafraîchissement de l'air insufflé en été, représentent un surplus de consommation. De l'aveu même des fabricants, seuls les systèmes avec des moteurs très peu consommateurs et des échangeurs à haute performance peuvent se montrer avantageux. L'éclairage aussi se met au vert Enfin, le tour d'horizon de cette RT 2005 ne serait pas complet si on n'évoquait pas les questions d'éclairage. Car, désormais, tous les bâtiments doivent prévoir de diminuer ce poste de consommation. Jusqu'alors, seuls les locaux tertiaires, où la lumière peut représenter jusqu'à 18 % de la facture énergétique, étaient concernés. La RT 2005 impose donc aussi aux constructions domestiques de prévoir un apport de lumière solaire important et des appareils à basse consommation (fluocompacts, lampes avec ballasts électroniques). Dernière tendance pour les panneaux rayonnant : ils ne se cachent plus mais se camouflent en objets décoratifs. Le solaire connaît une forte croissance ces dernières années et son avenir s'annonce radieux puisque cette technique devrait être valorisé dans la RT La climatisation n'est pas exclue de la RT 2005, mais cette réglementation fixe un cadre stricte à son installation. N 14 PRINTEMPS

16 Actualité VIVRELEC Maison individuelle Le comportement des ménages D.R. Chaque année, EDF fait réaliser par Ipsos/Caron Marketing une enquête téléphonique portant sur le comportement des ménages acquéreurs d'une maison individuelle. Cette dernière permet de valider Qui achète aujourd'hui une maison individuelle et à qui et Comment ces achats sont effectués et en fonction de quels critères? Convention nationale C'est le jeudi 30 mars prochain que se tiendra, à Paris, la Convention Nationale de l'uncmi (Union Nationale des Constructeurs de Maisons Individuelles). «Cette manifestation, qui représente un moment fort autour de la Maison Individuelle et de ses enjeux, rassemble tous les acteurs de la filière pour suivre nos travaux», se félicite Dominique Duperret, secrétaire général de l'uncmi. Menée en 2004 sur le thème Choix des ménages et processus d'achat d'une maison individuelle, l'enquête 2005 est plus précisément orientée sur la sensibilité des ménages aux thèmes de l'environnement et du développement durable ainsi que sur l'image des différentes énergies. En effet, les constructeurs s'interrogent, aujourd'hui, sur l'évolution de la réglementation thermique et sur les opportunités commerciales liées à l'évolution de la sensibilité écologiste des ménages. Menée en octobre 2005, cette enquête porte sur un échantillon de 400 ménages accédant à la maison individuelle au cours de l'année. Les Cmistes toujours majoritaires Les CMI (Constructeurs de maisons individuelles, communément appelés Cmistes) représentent 61 % du marché. Leurs atouts sont essentiellement la sécurité du contrat et la simplicité de l'achat «clef en main», leur principale faiblesse restant l'image d'une qualité douteuse du produit. Les maîtres d'œuvre et l'auto construction directe avec les artisans représentent aujourd'hui près de 40 % du marché. Pour les premiers, leur atout principal est l'image du vrai et du «sur-mesure», du produit librement conçu avec le ménage, et leur faiblesse, les honoraires, en particulier ceux liés à la conception, considérés comme des dépenses inutiles. Enfin, pour les seconds, le prix, ainsi qu'une image de qualité traditionnelle, sont leurs principales qualités juste contrebalancées par le fait que l'achat soit moins sécurisé. Globalement, 72 % des maisons construites mesurent moins de 150 m 2 habitables (moyenne d 129 m 2 ), les CMI construisant des maisons nettement plus petites (116 m 2 ). L'enquête permet de souligner, également, que les terrains en lotissement sont en moyenne moitié moins grands (905 m 2 ) que les terrains isolés (2 281 m 2 ) pour un prix en moyenne supérieur : environ contre Placement et choix des énergies En termes de placement des différents types d'énergies, l'enquête montre une chute de pénétration de l'ordre de 8 % pour le gaz naturel et de 50 % pour le fuel. L'électricité par effet Joule se maintient tandis que l'électricité en thermodynamique croît de 100 %. Les Cmistes placent 66 % de chauffages électriques, soit le double des maîtres d'œuvres et artisans en direct (35 %). En revanche, ils affichent un fort retard sur l'offre thermodynamique. Le choix de l'énergie électrique est motivé, pour plus de 80 % des personnes interrogées, par : - le budget d'installation moins cher et souvent compris dans le prix de base des constructeurs ; - la prévision d'une hausse des prix moins élevée pour l'électricité que pour les autres énergies ; - la simplicité d'utilisation (pratique, sans entretien ). En ce qui concerne le gaz naturel, le coût de consommation moins élevé ainsi que l'obligation de cette énergie sur certains lotissements et la qualité du confort obtenu restent prédominants. Enfin, l'anticipation d'une hausse des prix de l'énergie, permettant de rentabiliser plus rapidement un investissement important ainsi que les préoccupations écologiques, porte la thermodynamique. > Sur Téléchargez l étude complète VIVRELEC 2005 Dossier de la semaine du 20/02/ N 14 PRINTEMPS 2006

17

18 Altira le 45x45 carrément plus malin! Alombard crée une nouvelle offre pour les bâtiments du tertiaire. Carrément astucieux avec les prises de courant Rotoclip, puits droit (90 ) modifiable en puits incliné (45 ) directement sur le chantier en un tour de main. Carrément pratique avec les prises RJ45, toujours positionnées dans le sens utilisateur, qu elles soient posées en colonne ou en goulotte. Carrément performant avec des fonctions électroniques évoluées. Carrément abordable avec 4 couleurs de base au même prix que le blanc. Altira, la gamme qui simplifie tous vos chantiers Chorus direct à votre service ; du lundi au vendredi de 8 h à 18 h.

19 CONCOURS «ELECTRICIEN TOP PLUS» Mon cahier Première édition réussie Bravo aux 5 lauréats Récompenser les hommes et les femmes entreprenants, exerçant leur métier de façon performante et créative. Comment participer? En sélectionnant une installation singularisée au niveau de la sécurité (protection intrusion et contrôle d accès), du confort (gestion du chauffage, de la climatisation et des ambiances lumineuses, automatismes) et de la communication (réseaux VDI). Bien sûr, les installations sélectionnées devaient également respecter la sécurité électrique. Réuni le 10 janvier dernier, le jury, présidé par Jean-Claude Albarran, membre fondateur du SVDI et vice-président de la FFIE (Fédération française des installateurs) a, en fait, attribué 5 prix (et non 4) car, au regard de la qualité des dossiers reçus, un prix spécial du jury a dû être ajouté aux autres prix préalablement définis. Le grand enseignement tiré de cette première édition du concours Electricien Top Plus? Il se confirme que, grâce aux clients de plus en plus nombreux à tirer le marché vers le haut, bon nombre d électriciens progressent au niveau de la pratique de leur métier, quitte à adopter la cotraitance. Dans ce contexte, félicitations aux lauréats et grand merci à Schneider Electric et à Legrand qui ont soutenu l organisation de cette première édition du concours. A PRÉSENT, RENDEZ-VOUS POUR L ÉDITION Le journal l ElectricienPlus, édité par le groupe CPi Média, a choisi le cadre du salon Interclima + Elec Home & Building (du 17 au 20 janvier 2006) pour lancer la 1 re édition du concours Electricien Top Plus, à destination de ses lecteurs professionnels. Créé en partenariat avec le SVDI (Syndicat français des professionnels sécurité-voix-données-images), rappelons les objectifs de ce concours! LES AMBASSADEURS DE LA NOUVELLE ÉLECTRICITÉ Le 19 janvier dernier, sur le stand CPi Média, à Interclima + Elec, 5 distinctions ont été remises pour 4 catégories de prix : prix spécial du jury attribué, dans la catégorie habitat neuf, à l entreprise Jo Cornec, installateur électricien établi près de Vannes, qui, en collaboration avec la société Marsollier Domotique, implantée à Corps-Nuds (35), a mis en œuvre les réseaux énergie et communicants dans l habitation d un entrepreneur en maçonnerie (voir le reportage ci-après) ; prix «habitat neuf» attribué à l entreprise Landry Elec, implantée à Vigneux-sur-Seine (91), pour ses travaux réalisés dans les 61 logements collectifs de la SCI Vert Coteau, construits à Corbeil-Essonne ; prix «habitat existant» attribué à l entreprise Archangelec, implantée dans le XVIII e à Paris et dirigée par le maître-artisan Ramzi Nammour, pour sa contribution électriques dans un immeuble d habitation versaillais : prix tertiaire/locaux d enseignement attribué à l entreprise Gandiol, implantée à Colombes (92), pour le chantier «exemplaire» du CFAEE Delépine à Paris XI e ; prix tertiaire locaux d hébergement de personnes âgées attribué à l entreprise Brunet, implantée à Châteaubernard (16), pour sa contribution électrique au foyer pour personnes âgées Guy Gauthier, à Cognac (16). Michel Laurent. RENSEIGNEMENTS : Brigitte Arnoud Tél. : barnoud@cpi-media.com De gauche à droite, on reconnaît les lauréats du concours : Didier Marsollier, Jo Cornec, Jean-Claude Masse, Armand Rodriquez, Ramzi Namour, Eric D Haene et Stéphane Mira. Puis les membres du jury : Ramez Fakih, Jacques Darmon, Jean-Claude Albarran, Michel Dubézy, Dominique Roche, et François-Xavier Jeuland. N 14 PRINTEMPS

20 Mon cahier RÉSEAUX CONCOURS DE COMMUNICATION «ELECTRICIEN TOPRÉSIDENTIELS PLUS» Prix Etablissement d enseignement Prix attribué à Armand RODRIGUEZ (Entreprise Gandiol) J.C. Masse à droite accompagne Armand Rodriguez. Rénover des locaux dédiés à l enseignement est une spécialité de l entreprise d installations électriques Gandiol, créée en La famille Masse s appuie sur une longue tradition professionnelle et peut compter sur la fidélité de ses collaborateurs. Armand Rodriguez en fait partie, à son actif 28 années de bons et loyaux services. «Ce prix nous récompense tous, explique-t-il, après deux mois de travail mené pendant la période estivale (fermeture de l établissement), et portant, entre autres, sur l installation d un chauffage par plafond rayonnant modulaire.» Une installation performante et esthétique qui séduit aujourd'hui les élèves du CFAEE (1) Delépine à Paris XI e, eux-mêmes de futurs électriciens en herbe! Moralité : nous sommes toujours jugés par nos pairs et nos successeurs. (1) CFAEE : Centre de formation d apprentis de l équipement électrique. Bâtiment scolaire exemplaire La principale difficulté du chantier représenté par le CFAEE Delépine? «Les contraintes de temps», répond Armand Rodriguez qui a rejoint l entreprise Gandiol à l âge de 17 ans après une formation en mécanique. En effet, en seulement 7 semaines, il a fallu mener une rénovation lourde : chauffage, ventilation, sécurité incendie, amélioration de l éclairage des salles de classes... jusqu au plan de calepinage. «Sans oublier l importante prise en main de la GTB, seule capable d assurer le confort requis dans une démarche MDE» (Maîtrise de la demande d énergie), explique-t-il. Pour «gagner ce pari», ils se sont mis à deux : - à lui le chauffage par PRM (Plafond rayonnant modulaire) associé aux armoires de commande et à la GTB (Gestion technique du bâtiment) ; - à Jean-Claude Masse, petit-fils du créateur de l entreprise Gandiol, l installation électrique (éclairage, armoires, poste de transformation), le transformateur pyralène qui devait être remplacé courant Remise aux normes Construit en 1971, le CFAEE (3) nécessitait une sérieuse remise aux normes en matière de sécurité incendie et d éclairage tout en résolvant un problème d inconfort qui s accentuait, d année en année, dès que la température extérieure «tombait sous zéro». Les travaux à mener étaient donc de trois natures : protection incendie, électricité, chauffage et ventilation. Prioritaire, la rénovation du système de sécurité incendie fut réalisée en Pour le reste, il convenait d assurer la dépose du transformateur pyralène HT/BT, la rénovation des armoires électriques divisionnaires réparties dans le bâtiment, la réalisation des raccordements électriques de l ensemble des installations existantes et nouvelles, la dépose des installations de chauffage et des équipements de ventilation non réutilisées et leur remplacement dans le cadre de la solution retenue. Remplacer un chauffage obsolète «De toutes les solutions électriques envisageables, celle du PRM est très vite apparue comme la plus appropriée», estime Jean-Jacques Maridet, chargé de l étude (BE Secotherm). Ce pour deux raisons : - d une part sur le plan technique. Non seulement le PRM était à même d offrir une homogénéité de température incomparable, mais pouvait également permettre, grâce à sa régulation programmation, de maîtriser les consommations d énergie et prendre en compte l intermittence d occupation des différentes salles ; - d autre part, sur le plan pratique. En effet, la plupart des salles de cours étaient déjà équipées d un plafond suspendu et les hauteurs sous plafond dans les couloirs permettaient la pose d ossature. En outre, pour répondre aux normes d éclairage, il fallait intervenir sur des plafonds qui avaient subi l outrage du temps. En une seule opération, le maître d ouvrage disposait d un système de chauffage performant, d un plafond neuf et d une nette amélioration de l acoustique. (1) Au total, m 2 de locaux sur 6 niveaux. COMBIEN? Les consommations (chauffage/ventilation), sur la base d un contrat de fourniture d électricité tarif vert A5, s établissent à 140 MWh avec un ratio de coût de 2,60 /HT/m 2 /an hors prime fixe. > QUI A FAIT ET FOURNI QUOI? Maître d ouvrage : CFAEE Delépine ; Maître d œuvre : Industelec Ile-de-France (Cergy-Pontoise) ; Bureau d études : Secotherm (92 Bezons) ; Installateur électricien : Gandiol SA ; Distributeurs-grossistes (où le matériel électrique a été acquis) : Litt Gennevillers (ossature faux plafond) ; Trilogie Paris 16 (Gestion technique du bâtiment) ; Distrem (convecteurs, ventilos convecteurs, rideaux d air chaud) ; Avivair Pantin (CTA matériel de ventilation) ; VDS Colombes (équipements matériels électriques) ; Cablexel Moissy Cramavel (câblerie) ; SEAE (appareils d éclairage) ; France Air (extraction cuisine) ; Normande de Transformateur Duriez (transformateur poste EDF) ; Principaux fabricants d équipements courants forts et courants faibles : Société ; Delta Dore ; Trilogic : Saint-Gobain Ecophon ; Airelec ; Ciat ; Avivair ; France Air ; Frico ; Obbo Betterman ; Schneider Electric. 20 N 14 PRINTEMPS 2006

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état

Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Améliorer la performance énergétique, les aides de l'état Le secteur du bâtiment est un des plus grands consommateurs d'énergie et émetteurs de gaz à effet de serre. C'est donc sur ce secteur que s'est

Plus en détail

T. BONNARDOT 17/12/2010

T. BONNARDOT 17/12/2010 CYTHELIA Conseil & Expertise La Maison ZEN 350, route de la traverse 73 000 MONTAGNOLE Tel +33 (0) 4 79 25 31 75 www.cythelia.fr SARL au capital de 140 000 - RCS Chambéry B 393 290 937 - APE 7219 Z RT

Plus en détail

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.

LE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que

Plus en détail

BLEU CIEL D EDF, L EXPERTISE D EDF AU SERVICE DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE

BLEU CIEL D EDF, L EXPERTISE D EDF AU SERVICE DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE 26 FEVRIER 2013 BLEU CIEL D EDF, L EXPERTISE D EDF AU SERVICE DES ÉCONOMIES D ÉNERGIE Contact presse : Colette Génin Tél : 01 44 82 48 84 e-mail : edf-presse@consultants.publicis.fr www.edf.fr EDF SA au

Plus en détail

Réussir son installation domotique et multimédia

Réussir son installation domotique et multimédia La maison communicante Réussir son installation domotique et multimédia François-Xavier Jeuland Avec la contribution de Olivier Salvatori 2 e édition Groupe Eyrolles, 2005, 2008, ISBN : 978-2-212-12153-7

Plus en détail

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA

Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Amanlis le 10 mai 2014 AUDIT THERMIQUE EHPAD LANGOURLA Cet Audit de l existant a été effectué suite à la visite du 17/02/2014. Il prend en considération tous les points ayant un rattachement à la thermique

Plus en détail

Zone Région de Bruxelles Capitale

Zone Région de Bruxelles Capitale Objet Zone Au Fédéral Région Wallonne Région de Bruxelles Capitale Région Flamande Audit énergétique Thermographie infrarouge Pour audit énergétique (auditeur agréé PAE1 ou 2) dans habitation existante,

Plus en détail

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE :

REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : RECONNU GARANT DE L ENVIRONNEMENT Date de mise en application : 20/02/2014 QUALIFELEC RE/0010 indice A 1 SOMMAIRE 1. DOMAINE D APPLICATION... 4 1.1 Objet...

Plus en détail

DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé

DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 VOUS AVEZ UN PROJET. Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé VOUS AVEZ UN PROJET DE RENOVATION? GUIDE DES AIDES FINANCIÈRES 2015 EDITION 2015 avec la mention RGE et le CITE Confort amélioré Economies d'énergie Patrimoine valorisé SOMMAIRE ECO PTZ P.2 CREDIT D IMPÔT

Plus en détail

CATALOGUE FORMATIONS CLIENTS 2012 SPÉCIAL ÉNERGIES RENOUVELABLES

CATALOGUE FORMATIONS CLIENTS 2012 SPÉCIAL ÉNERGIES RENOUVELABLES CATALOGUE FORMATIONS CLIENTS 2012 SPÉCIAL ÉNERGIES RENOUVELABLES FORMATIONS 100% PRO TOUTE L ANNÉE. TROUVEZ VOTRE FORMATION QUALIFIANTE. -10% SUR CERTAINES FORMATIONS DU CATALOGUE. î à Cher client, Le

Plus en détail

Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012)

Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Comprendre la réglementation thermique 2012 (RT2012) Sommaire 1 Un engagement fort du Grenelle de l environnement 1 Calendrier et champ d application 2 Les nouveautés 3 Les exigences 9 Les quatre niveaux

Plus en détail

ET LA DOMOTIQUE VOUS SIMPLIFIE LA VIE

ET LA DOMOTIQUE VOUS SIMPLIFIE LA VIE ET LA DOMOTIQUE VOUS SIMPLIFIE LA VIE PILOTAGE À DISTANCE Je commande mes volets, mes éclairages, mon alarme et mon chauffage à distance PILOTAGE CHAUFFAGE Je fais des économies sur le poste chauffage

Plus en détail

Besoin et offre de formation dans les métiers du Bâtiment en lien avec le Grenelle de l Environnement

Besoin et offre de formation dans les métiers du Bâtiment en lien avec le Grenelle de l Environnement Phase 2: Analyse du besoin des entreprises Besoin et offre de formation dans les métiers du Bâtiment en lien avec le Grenelle de l Environnement Les plus fortes demandes en «Construction durable» Estimation

Plus en détail

Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants

Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants PARCOURS COMPLET DE PROFESSIONNALISATION Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants proposer un ensemble de prestations liées à l amélioration de la performance thermique

Plus en détail

Comment optimiser la performance énergétique de son logement?

Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Comment optimiser la performance énergétique de son logement? Janvier 2014 AHF / J.M. VOGEL Plan de la présentation Contexte Objectifs Faire un premier bilan énergétique Les différents travaux d économies

Plus en détail

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13

Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif de l audit énergétique de la copropriété 1 relais de la Poste à RANTIGNY 25/11/13 Récapitulatif du l audit énergétique de RANTIGNY 1 Sommaire I. Introduction... 3 II. Visite du site... 4

Plus en détail

Le bâtiment, nouvel outil de performance pour l entreprise. Solutions STIBIL et GILIF

Le bâtiment, nouvel outil de performance pour l entreprise. Solutions STIBIL et GILIF Le bâtiment, nouvel outil de performance pour l entreprise Solutions STIBIL et GILIF Un immeuble tertiaire à réinventer Les entreprises sont régulièrement confrontées à de profonds changements de leur

Plus en détail

Atelier énergies. Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique

Atelier énergies. Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique CONGRÈS DES ECO-TECHNOLOGIES POUR LE FUTUR 2012 Atelier énergies Usage direct des énergies renouvelables : les enjeux sociétaux et environnementaux, moteurs de l innovation technologique 14 juin 2012 Lille

Plus en détail

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter

Profitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?

Plus en détail

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en

ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,

Plus en détail

L HABITAT. Technologie 5ème

L HABITAT. Technologie 5ème L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,

Plus en détail

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016.

Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. FINANCER MON PROJET Crédit d'impôt développement durable Ce dispositif fiscal, mis en place en 2005, est en vigueur jusqu'en 2016. Mais attention, il ne s'applique pas dans les mêmes conditions et au même

Plus en détail

Génie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité

Génie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité Génie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité Préambule Venir chez SE2M, c est vous faire profiter de notre expertise de plus de 10 ans d expérience dans l exercice de notre

Plus en détail

40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère.

40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. «Consommer moins en consommant mieux» 40 ECO-CONSEILS 7 fiches pour une consommation annuelle d énergie plus légère. Maîtriser notre consommation en électricité, c est nous engager à adopter des gestes

Plus en détail

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?

QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation

Plus en détail

Classification des actions d efficacité énergétique

Classification des actions d efficacité énergétique Gestion active des bâtiments Classification des actions d efficacité énergétique dans le cadre de la rénovation des bâtiments existants Les bâtiments représentent à eux seuls 43% de la consommation d énergie

Plus en détail

CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas?

CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES. Un crédit d impôt : pourquoi? AVANT-PROPOS. Un crédit d impôt : comment? Un crédit d impôt : dans quels cas? Mise à jour mars 2006 CRÉDIT D IMPÔT LES GRANDS PRINCIPES AVANT-PROPOS Le crédit d impôt en faveur des économies d énergie et du développement durable constitue une triple opportunité : Il offre à l utilisateur

Plus en détail

L opération étudiée : le SDEF

L opération étudiée : le SDEF L opération étudiée : le SDEF Situation géographique 29 Landivisiau Finistére Zone H2a Altitude : 34 m Acteurs de l opération Maitrise d ouvrage Maître d œuvre / Architecte BET Thermique SDEF Atelier 3

Plus en détail

La Gestion Technique Centralisée. Qu est ce que c est? A quoi ça sert?

La Gestion Technique Centralisée. Qu est ce que c est? A quoi ça sert? La Gestion Technique Centralisée. Qu est ce que c est? A quoi ça sert? Cet article a pour objectif de rappeler les notions principales relatives à la Gestion Technique Centralisée. Mais qu entend on par

Plus en détail

CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE

CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE Chauffage électrique et eau chaude sanitaire Sommaire Chauffage électrique VOUS SOUHAITEZ VENDRE LA SOLUTION ADAPTÉE Valoriser les radiateurs intelligents et

Plus en détail

Simplifiez-vous la rénovation énergétique avec Énergies POSIT IF

Simplifiez-vous la rénovation énergétique avec Énergies POSIT IF Simplifiez-vous la avec www.energiespositif.fr , les spécialistes de la et de son financement en Île-de-France 400 000 logements franciliens à rénover d ici à 2020, c est 18 % des copropriétés L énergie

Plus en détail

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009

Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009 Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter concernant la part maximale

Plus en détail

AQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw

AQUACIAT2 HYBRID LA SOLUTION BI-ÉNERGIES COMPACTE PAC & CHAUDIÈRE GAZ. Puissances frigorifiques et calorifiques de 45 à 80 kw COMMERCIALISATION 2 ÈME TRIMESTRE 2014 C O N F O R T Q U A L I T É D A I R O P T I M I S A T I O N É N E R G É T I Q U E PAC & CHAUDIÈRE GAZ AQUACIAT2 HYBRID Puissances frigorifiques et calorifiques de

Plus en détail

Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro

Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos travaux d économies d énergie : l éco-prêt à taux zéro Financez vos économies d énergie l éco-prêt à taux zéro SOMMAIRE Écoutez vos envies d économies d énergie............ 3 Un éco-prêt à

Plus en détail

Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? EFFICACITÉ POUR LES MAISONS

Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? EFFICACITÉ POUR LES MAISONS Comment peut-on produire du chauffage et de l'eau chaude à partir de l'air? Découvrez la gamme Aquarea de Panasonic Pompe à chaleur Source Air CONÇUE POUR LES MAISONS Une pompe à chaleur Aquarea avec Source

Plus en détail

D i a g n o s t i q u e u r I m m o b i l i e r Tél. 04 94 19 18 39 Port. 06 60 96 06 83 Fax 04 94 19 22 50

D i a g n o s t i q u e u r I m m o b i l i e r Tél. 04 94 19 18 39 Port. 06 60 96 06 83 Fax 04 94 19 22 50 A DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE Logement (6.2) Décret n 2006-1114 du 5 septembre 2006, Décret n 2006-1147 du 14 septembre 2006, Arrêtés du 15 septembre 2006 INFORMATIONS GENERALES N de rapport

Plus en détail

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0

Fiche d application. 7 octobre 2013 1.0 MINISTÈRE DE L ÉGALITÉ DES TERRITOIRES ET DU LOGEMENT MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Diagnostic de Performance Energétique Fiche d application Date Version 7 octobre

Plus en détail

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement

Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Le nouvel immeuble du groupe BEI : Climat interne et environnement Conçu et équipé pour s adapter aux méthodes de travail et aux exigences de communications des nouvelles technologies, le nouvel immeuble

Plus en détail

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE

VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température

Plus en détail

Daikin. DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif. Pompes à chaleur Air / Eau. Inverter. » Economies d énergie

Daikin. DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif. Pompes à chaleur Air / Eau. Inverter. » Economies d énergie Pompes à chaleur Air / Eau DAIKIN ALTHERMA BI-BLOC, Solution pour le tertiaire et le résidentiel collectif Inverter 1 ère MONDIALE Daikin» Economies d énergie» Faibles émissions de CO2» Flexible» Technologie

Plus en détail

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE

36% T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE T.Flow VMC hygroréglable & chauffe eau thermodynamique QUAND LA VENTILATION RÉINVENTE L EAU CHAUDE. BÉNÉFICIEZ DE 36% DE CRÉDIT D'IMPÔTS Loi de finance 2011 T.Flow Un système révolutionnaire 2 en 1 Seul

Plus en détail

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59

Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse

Plus en détail

Émissions de gaz à effet de serre (GES) pour le chauffage, la production d eau chaude sanitaire et le refroidissement

Émissions de gaz à effet de serre (GES) pour le chauffage, la production d eau chaude sanitaire et le refroidissement SDH - SARL n 23 Avenue Gambetta 17100 Saintes Tél. : 05 46 97 61 34 - Fax : 05 46 97 26 30 N SIREN : 504 761 248 Compagnie d assurance : Generali Assurances n AL169975 Diagnostic de performance énergétique

Plus en détail

3 ème édition. Dossier de présentation

3 ème édition. Dossier de présentation 3 ème édition Dossier de présentation Les trophées Cet événement national et annuel a pour objectif d accompagner les dirigeants de PME-PMI dont les innovations sont en adéquation avec les attentes sociétales

Plus en détail

Maison Modèle BIG BOX Altersmith

Maison Modèle BIG BOX Altersmith Maison Modèle BIG BOX Altersmith SOLUTIONS D ENVELOPPE & DE SYSTÈMES PERFORMANCES RT 2005 & LABELS I. Présentation de la maison BIG BOX - T3...2 II. Enveloppes...3 1. Présentation de l enveloppe...3 2.

Plus en détail

Jeudi 9 décembre 2010. Fanny DUPUIS 04 67 22 86 46 /// 06 07 75 52 82 dupuis.fanny@cr-languedocroussillon.fr

Jeudi 9 décembre 2010. Fanny DUPUIS 04 67 22 86 46 /// 06 07 75 52 82 dupuis.fanny@cr-languedocroussillon.fr Jeudi 9 décembre 2010 La Région et la Banque européenne d investissement lancent un fonds d investissement pour le photovoltaïque en partenariat avec trois banques régionales Le toit du chai viticole du

Plus en détail

ISOLER LA TOITURE INCLINÉE

ISOLER LA TOITURE INCLINÉE Lisez aussi : Fiche 1 INTRODUCTION + Fiche 2 MAÎTRISER L ÉTANCHÉITÉ ET PROTÉGER L ISOLANT + Fiche 10 AMÉLIORER LA VENTILATION RÉNOVER POUR CONSOMMER MOINS D ÉNERGIE : GUIDE PRATIQUE ISOLER LA TOITURE INCLINÉE

Plus en détail

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ 1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à

Plus en détail

Les artisans du bâtiment : une profession aux multiples facettes

Les artisans du bâtiment : une profession aux multiples facettes Les artisans du bâtiment : une profession aux multiples facettes principaux résultats de l'étude Artiscan 4000 conduite par DEVELOPPEMENT CONSTRUCTION sur les artisans du bâtiment L'artisanat du bâtiment

Plus en détail

possibilités et limites des logiciels existants

possibilités et limites des logiciels existants possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.

Plus en détail

VITODATA VITOCOM. bien plus que la chaleur. Télésurveillance et télégestion d installations de chauffage par Internet. Internet TeleControl

VITODATA VITOCOM. bien plus que la chaleur. Télésurveillance et télégestion d installations de chauffage par Internet. Internet TeleControl bien plus que la chaleur VITODATA VITOCOM Internet TeleControl Télésurveillance et télégestion d installations de chauffage par Internet Viessmann S.A. Z.I. - B.P. 59-57380 Faulquemont Tél. : 03 87 29

Plus en détail

Guide d utilisation. Partie VIII - Module DPE

Guide d utilisation. Partie VIII - Module DPE Guide d utilisation Partie VIII - Module DPE Sommaire 1 OBJET DU DIAGNOSTIC... 4 1.1 Préambule... 4 1.2 Définitions... 5 1.3 Applications... 6 1.3.1 Définition... 6 1.3.2 Index des types de DPE... 6 1.3.3

Plus en détail

Laissez-vous guider. au 110 avenue de la Jallère GROUPE

Laissez-vous guider. au 110 avenue de la Jallère GROUPE Laissez-vous guider au 110 avenue de la Jallère GROUPE GROUPE Bienvenue au 110 avenue de la Jallère Adoptons la positive attitude! Au travers de ses différents domaines d activité, le Groupe CILSO est

Plus en détail

Table des matières générale 1)

Table des matières générale 1) 1) page 1 1) 0 CLAUSES COMMUNES Chap. 1 Clauses communes à tous les lots 1/1 Définition de l opération Réglementations Lots 1/2 Spécifications communes à tous les lots 1 PLOMBERIE INSTALLATIONS SANITAIRES

Plus en détail

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc

Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc Activité Travaux d isolation et de finitions (peinture, revêtements, plâtrerie, ) Parc PNR Monts d Ardèche 1-Dynamique du marché Caractéristiques du secteur d activité et perspectives (au niveau national)

Plus en détail

LIVRET GESTES VERTS. GEMME CORIOLIS Saint-Martin d Hères Maître d ouvrage : INPG. JUIN 2013 / Version 3 Diffusé le 08 juillet 2013

LIVRET GESTES VERTS. GEMME CORIOLIS Saint-Martin d Hères Maître d ouvrage : INPG. JUIN 2013 / Version 3 Diffusé le 08 juillet 2013 LIVRET GESTES VERTS GEMME CORIOLIS Saint-Martin d Hères Maître d ouvrage : INPG JUIN 2013 / Version 3 Diffusé le 08 juillet 2013 Adresse Postale CS 60013-38702 - La Tronche Cedex Siège Social / Rue de

Plus en détail

GSE AIR SYSTEM V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains

GSE AIR SYSTEM V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains AÉROVOLTAÏQUE V3.0 L indépendance énergétique à portée de mains Photos non contractuelles www.gseintegration.com L'alliance des économies d'énergie et du confort thermique Édito L énergie solaire est indispensable

Plus en détail

TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE

TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE SOMMAIRE MARCHÉ DES TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE... 2 LA RÉGLEMENTATION DES TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE... 5 L'ACTIVITÉ DES TRAVAUX D INSTALLATION ÉLECTRIQUE...

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie

CAHIER DES CHARGES. Etude de faisabilité : Version septembre 2011. Chaufferie bois. Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie CAHIER DES CHARGES Etude de faisabilité : Version septembre 2011 Chaufferie bois Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie Direction Régionale Ile de France Page 1/8 SOMMAIRE A.- OBJECTIFS

Plus en détail

Bâtiments bois à basse consommation d énergie. L étanchéité à l air. Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois

Bâtiments bois à basse consommation d énergie. L étanchéité à l air. Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois Auvergne Promobois Jean-Pierre Mathé chargé de mission construction bois Objectifs Performance thermique Pérennité du bâtiment Performance acoustique Protection incendie Santé Confort d été Confort ressenti

Plus en détail

fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs

fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs fioul domestique La rénovation thermique des immeubles collectifs Fiche conseil Édition décembre 212 Sommaire P 2 : Obligations P 3 : Démarches volontaires P 4 : Les points clés d une rénovation réussie

Plus en détail

HÔTEL DE VILLE ALLÉES GASTON RODRIGUES BP 105 33173 GRADIGNAN CEDEX TÉL. : 05 56 75 65 26 FAX : 05 56 75 65 65

HÔTEL DE VILLE ALLÉES GASTON RODRIGUES BP 105 33173 GRADIGNAN CEDEX TÉL. : 05 56 75 65 26 FAX : 05 56 75 65 65 Préservez les ressources naturelles par des constructions écologiques n est qu une étape dans la protection de l environnement. Cela passe aussi par des gestes éco-citoyens au quotidien. Pour en savoir

Plus en détail

Énergie décentralisée : La micro-cogénération

Énergie décentralisée : La micro-cogénération Énergie décentralisée : La micro-cogénération Solution énergétique pour le résidentiel et le tertiaire Jean-Paul ONANA, Chargé d activités projet PRODÉLEC PRODuction et gestion de la production d ÉLECtricité

Plus en détail

En route vers la troisième révolution industrielle!

En route vers la troisième révolution industrielle! En route vers la troisième révolution industrielle! Transition énergétique, Smart Home, Smart Buildings, Smart Cities Quelle place, quel positionnement, quel avenir pour votre entreprise?... Les Spécialistes

Plus en détail

habitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre

habitat RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Comprendre Comprendre RÉNOVATION Quelles qualifications et certifications RGE pour quels travaux? Mise à jour le 15 juin 2015 Près de 40 000 professionnels qualifiés RGE en métropole Les propriétaires, locataires,

Plus en détail

Conseil Interrégional des Chambres des Métiers de la GR 2

Conseil Interrégional des Chambres des Métiers de la GR 2 Initiative du CICM Proposition au Sommet de la GR "Green Deal en vue d une politique énergétique et climatique efficiente dans la GR en coopération avec les PME de l artisanat" L Artisanat de la Grande

Plus en détail

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007

Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire Edition décembre 2007 Aide à l'application Chauffage et production d'eau chaude sanitaire 1. But et objet Une série d'aides à l'application a été créée afin de faciliter la mise en œuvre des législations cantonales en matière

Plus en détail

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre

en rénovation habitat Qualifications et certifications RGE Comprendre Qualifications et certifications RGE en rénovation Les qualifications et certifications RGE éligibles pour vos travaux de rénovation énergétique en métropole Le recours a un professionnel RGE est obligatoire

Plus en détail

Loi de finances pour 2015 Aides à la rénovation énergétique des bâtiments

Loi de finances pour 2015 Aides à la rénovation énergétique des bâtiments Janvier 2015 Loi de finances pour 2015 Aides à la rénovation énergétique des bâtiments (CITE, TVA à taux réduit, Eco-PTZ) INTRODUCTION La loi de finances pour 2015 introduit un certain nombre de mesures

Plus en détail

Extraits d'email reçus : Ce sont les utilisateurs qui savent le mieux parler du logiciel BatiFree Devis et du service d'assistance.

Extraits d'email reçus : Ce sont les utilisateurs qui savent le mieux parler du logiciel BatiFree Devis et du service d'assistance. Extraits d'email reçus : Ce sont les utilisateurs qui savent le mieux parler du logiciel BatiFree Devis et du service d'assistance. # Ce qu'ils disent Notre Commentaire Région 57 "Bonjour, je viens de

Plus en détail

Que nous enseigne la base de données PAE?

Que nous enseigne la base de données PAE? Que nous enseigne la base de données PAE? Séminaire auditeurs PAE 8 juin 2009 Nicolas Heijmans, ir Division Energie et Climat CSTC - Centre Scientifique et Technique de la Construction 00/00/2006 Contenu

Plus en détail

Se raccorder à un réseau de chaleur

Se raccorder à un réseau de chaleur L habitat COMPRENDRE Se raccorder à un réseau de chaleur Le chauffage urbain peut-il être un moyen de diminuer la facture énergétique? Édition : décembre 2013 Pourquoi pas le raccordement À UN RÉSEAU DE

Plus en détail

Le choix du système de chauffage dans les logements neufs

Le choix du système de chauffage dans les logements neufs Le choix du système de chauffage dans les logements neufs Constats et propositions Octobre 2007 D après une enquête conduite par Batim-Etudes auprès des maîtres d ouvrages (particuliers et professionnels)

Plus en détail

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air

Plus en détail

Etude de faisabilité

Etude de faisabilité Etude de faisabilité Modèle de cahier des charges pour chaufferie dédiée Ce modèle de cahier des charges d étude de faisabilité a été réalisé dans le cadre de la Mission Régionale Bois-Energie Il est un

Plus en détail

L Energie Positive. -Mai 2013- DOSSIER DE PRESSE

L Energie Positive. -Mai 2013- DOSSIER DE PRESSE L Energie Positive -Mai 2013- DOSSIER DE PRESSE Sommaire Edito 3 I- La nouvelle mobilité 4 II- O SiToiT, bouquet de solutions à Energie Positive 7 III - La Cité de l Energie Positive, l école des bons

Plus en détail

RESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS

RESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS RESTRUCTURATION DE LA BIBLIOTHEQUE DE TOURS LIEU : SURFACE D INTERVENTION: COÛT : LIVRAISON : ARCHITECTES : ARCHITECTES ASSOCIES : B.E.T. : MAÎTRE DE L OUVRAGE : MISSION : TOURS 3 000 m² (SHON) 3 845 000

Plus en détail

CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE

CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE ET EAU CHAUDE SANITAIRE Sommaire CHAUFFAGE ÉLECTRIQUE VOUS SOUHAITEZ VENDRE LA SOLUTION ADAPTÉE Sélectionner et argumenter pour réussir

Plus en détail

OFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593

OFFRE DE SERVICE. Référence : GA/NT/P.180613593 Etudes & Contrôles thermiques 38, avenue du Midi - 91760 ITTEVILLE Tél. : 01 69 90 86 10 - Fax : 01 69 90 91 59 Adresse postale: BP 70017-91610- BALLANCOURT E-mail : bet.ecic@wanadoo.fr - Site : www.bet-ecic.fr

Plus en détail

Technique de pointe. Une autoconsommation efficace de l'électricité solaire

Technique de pointe. Une autoconsommation efficace de l'électricité solaire Technique de pointe Une autoconsommation efficace de l'électricité solaire Concernant les installations photovoltaïques destinées aux particuliers, jusqu à présent il n a pas été fait de distinction en

Plus en détail

Et la ventilation créa l eau chaude

Et la ventilation créa l eau chaude VENTILATION DOUBLE EFFET VMC BBC + CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE Les P r o d u i t s 75 % D ÉCONOMIES SUR LA CONSOMMATION LIÉE À L EAU CHAUDE CHAUFFAGE DE L EAU JUSQU À 62 C AVEC LA POMPE À CHALEUR 10 %

Plus en détail

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.

de faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance. 9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation

Plus en détail

Travaux d amélioration de la performance énergétique dans les bâtiments existants (2007-2009)

Travaux d amélioration de la performance énergétique dans les bâtiments existants (2007-2009) Travaux d amélioration de la performance énergétique dans les bâtiments existants (2007-2009) Marché de l entretien-amélioration des bâtiments en 2007 Commissariat général au développement durable - Service

Plus en détail

Cafés, hôtels et restaurants Confort & gestion de l énergie

Cafés, hôtels et restaurants Confort & gestion de l énergie ** * Chauffage, climatisation, ECS, GTC Cafés, hôtels et restaurants Confort & gestion de l énergie économie créateur d energie, de solutions confort innovantes et simplicité d utilisation 1 / Cafés, hôtels

Plus en détail

Maximiser la performance de vos projets immobilier de bureaux

Maximiser la performance de vos projets immobilier de bureaux Make the most of your energy* Maximiser la performance de vos projets immobilier de bureaux * Tirez le meilleur de votre énergie www.schneider-electric.fr Schneider Electric France Direction Communication

Plus en détail

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies

En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES. Quercy Energies En MIDI- PYRENEES SOIREE DREAL LES AIDES Quercy Energies Le réseau EIE en Midi-Pyrénées 4 premiers EIE créés en novembre 2001, toute la région est couverte en 2007 avec 11 CIE dans 9 EIE En MIDI- PYRENEES

Plus en détail

Le financement du projet

Le financement du projet Le financement du projet Comment financer mon projet? 14 Votre budget doit faire l objet d une étude approfondie. Pour vous aider à établir votre plan de financement, faites appel à l Association Départementale

Plus en détail

La mise en œuvre BBC. Formation pour entreprises IBSE

La mise en œuvre BBC. Formation pour entreprises IBSE La mise en œuvre BBC Formation pour entreprises IBSE 2 Les labels Maison bioclimatique Maison conçue pour bénéficier de tous les avantages du climat et du terrain ainsi que de la végétation environnante.

Plus en détail

Jean-Yves RICHARD ADEME

Jean-Yves RICHARD ADEME «Matériau de structure,isolant et biocombustible, le bois, une matière au service de la construction durable» - le 12 janvier 2009 Les enjeux environnementaux du bâtiment Jean-Yves RICHARD ADEME Le réchauffement

Plus en détail

Résidence des Badinières

Résidence des Badinières Résidence des Badinières Bienvenue à la 2 ème réunion d information et d échange «chauffage et eau chaude sanitaire» 22 janvier 2010 Réunion "chauffage" des Badinières 1 Sommaire Le contexte général (national)

Plus en détail

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers

NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR. Aspects financiers Luxembourg, le 8 novembre 2013 NOTE A L ATTENTION DE MONSIEUR LE FORMATEUR Aspects financiers Volet 2 : Aides financières dans le domaine de la promotion des énergies renouvelables et de l efficacité énergétique

Plus en détail

Lindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT

Lindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT lindab poutres Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT Eco-énergétique Applications Tertiaires (bureaux, hôpitaux, hôtels...) Modularité et design Neuf et rénovation Simplicité de montage

Plus en détail

Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment

Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment Déroulement de la certification PEB de votre bâtiment La certification énergétique de votre habitation se déroulera en 2 étapes : 1) la visite de votre habitation et le relevé de ses caractéristiques ;

Plus en détail

TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE

TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE TRAVAUX DE PLOMBERIE SOMMAIRE LE MARCHÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 2 LA RÉGLEMENTATION DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 5 L'ACTIVITÉ DES TRAVAUX DE PLOMBERIE... 8 LES POINTS DE VIGILEANCE DES TRAVAUX DE PLOMBERIE...

Plus en détail

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.

Principe de fonctionnement de la façade active Lucido. K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido. Principe de fonctionnement de la façade active Lucido K:\15.Lucido \Dossier d'envoi\annexe\2011_12_explicatif du principe de la façade Lucido.doc 0. Préambule Le présent document est élaboré dans le but

Plus en détail

Technopole de Bourges : Construction d un Centre d Affaires Vendredi 4 février 2011 15H00

Technopole de Bourges : Construction d un Centre d Affaires Vendredi 4 février 2011 15H00 Dossier de presse Technopole de Bourges : Construction d un Centre d Affaires Vendredi 4 février 2011 15H00 Contacts presse : Laurent DEULIN : 02 48 48 58 10 06 63 95 00 23 l.deulin@agglo-bourgesplus.fr

Plus en détail

GITE D'ETAPE "chez Mimile"

GITE D'ETAPE chez Mimile GITE D'ETAPE "chez Mimile" Notre gîte d'étape est en train de voir le jour, après des mois et des années d'études et de recherche de fonds pour sa réalisation. Merci au Conseil Général, à la Région, au

Plus en détail

Bilan électrique français ÉDITION 2014

Bilan électrique français ÉDITION 2014 Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions

Plus en détail

Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire

Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire Service d information sur les économies d énergie Fiche-conseil C5 Production d eau chaude sanitaire 1 Préparation de l eau chaude sanitaire 2 1) Différents systèmes de production A Chaudière combinée

Plus en détail

LE DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DPE

LE DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DPE LE DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ÉNERGÉTIQUE DPE Mars 2008 Qu'est-ce qu'un DIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE? P1 S o m m a i r e Quelles opérations nécessitent un DPE? Le contenu du DPE Validité et valeur

Plus en détail