Élaboration d une méthodologie de cartographie des risques d inondation et application à l échelle régionale à la région de Dakar
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- Eric Fortier
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1 République du Sénégal Ministère de l intérieur du Sénégal Direction de la protection Civile Projet d appui au programme national de prévention, de réduction des risques majeurs et de gestion des catastrophes naturelles au Sénégal dans le contexte de la réduction de la pauvreté Élaboration d une méthodologie de cartographie des risques d inondation et application à l échelle régionale à la région de Dakar Rapport analytique provisoire Janvier 2009 Bocar DIALLO, Msc SIG, Certif. géomatique Spécialiste en analyse de l information géographique Consultant 1
2 SOMMAIRE 1. Rappel des Termes De Références (TDR) Contexte des inondations dans la région de Dakar Présentation de la région de Dakar Méthodologie de cartographie et application Présentation de la méthodologie Données d entrée Traitements Détermination de l aléa d inondation Submersion Récurrence Carte de l aléa pluviométrique Détermination de la vulnérabilité Données de sortie Carte des risques d inondation Matrice des risques Reclassification Analyse Recommandations Annexes
3 1. Rappel des Termes De Référence (TDR) Contexte de l étude Plusieurs rapports scientifiques dont ceux du Groupe d Experts Intergouvernemental sur l Évolution du Climat (GIEC) établissent un lien très étroit entre le réchauffement de la planète et la recrudescence de certains phénomènes extrêmes comme les sécheresses, les feux de forêt, les cyclones ou encore de fortes précipitations suivies d inondations. Ces dernières pourraient notamment augmenter d'ampleur et de fréquence au niveau des régions côtières et dans plusieurs régions arides et semi-arides dont le Sénégal. En raison de la récurrence de ces phénomènes et considérant les dommages tant humains que matériels qu ils produisent, le gouvernement du Sénégal en collaboration avec ses partenaires au développement dont le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) a mis en place un projet dénommé «Projet d appui au programme national de prévention, de réduction des risques majeurs et de gestion des catastrophes naturelles au Sénégal dans le contexte de la réduction de la pauvreté». Ainsi, dans le cadre de ses activités et conformément à la mission qui lui a été assignée, ce projet d appui domicilié à la Direction de la Protection Civile du Ministère de l Intérieur de la République du Sénégal désire mener une étude portant sur l élaboration d une méthodologie d analyse et de cartographie des risques d inondation basée sur l utilisation des systèmes d information géographique. Objectif principal L objectif principal de cette étude est de cartographier les risques d inondation sur l ensemble de la région de Dakar en vue de leur intégration dans les études d aménagement du territoire et d élaboration de Plan de Prévention des Risques d inondation (PPRI) Mission du consultant Le consultant aura pour principales tâches de : Déterminer une méthodologie de cartographie des risques d inondation; Collecter les paramètres physiques, humains, socio-économiques et environnementaux pertinents pour l établissement d une cartographie des risques d inondation; Établir une carte de l aléa d inondation mettant en évidence les territoires susceptibles d'être soumis à des inondations par débordement de cours d eau, par cumul de précipitations ou par la combinaison simultanée de plusieurs facteurs; Établir une carte de la vulnérabilité exprimant les dommages potentiels des éléments vulnérables, c'est-à-dire sensibles à l inondation, implantés dans des zones soumises à l aléa inondation ; Établir une carte des risques d inondation exprimant à la fois l aléa et la vulnérabilité dans la région de Dakar. 3
4 2. Contexte des inondations dans la région de Dakar Au cours de ces dernières années, Dakar, capitale politique et économique du Sénégal, a enregistré des quantités de précipitations exceptionnelles provoquant ainsi de nombreuses inondations dans les banlieues de Pikine et Guédiawaye où vivent près de 2 millions de personnes (ANDS, 2005). En dehors du facteur climatique, les inondations dans la région de Dakar sont amplifiées voire exacerbées par la combinaison d un ensemble de conditions défavorables parmi lesquelles l existence de facteurs topographiques, hydrogéologiques, anthropiques et lithologiques assez particuliers, le manque voire l absence d un réseau fonctionnel de drainage des eaux de pluviales et la faiblesse dans l aménagement du territoire et le non respect du plan directeur d urbanisme à Dakar. En effet, les politiques et pratiques d aménagement du territoire qui se sont succédées n ont pas pu juguler l exode rurale encore moins empêcher la spéculation foncière. Elles n ont pas pu par ailleurs déconcentrer une bonne partie des activités socio-économiques et industrielles hors de la région de la région de Dakar. Enfin, ces politiques n ont pas pu empêcher les populations de s installer dans des milieux naturels non habitables topographiquement basses et à nappes phréatiques affleurantes. Cette situation est aggravée par la nature lithologique du sol présentant en plusieurs endroits des textures limono-argileux qui sont généralement imperméables. La combinaison de tous ces facteurs fait de la région de Dakar un milieu particulièrement exposé aux inondations. Les inondations survenues en 2005 ont fait plus de sinistrés selon les statistiques du Ministère en charge de la Santé Publique (intégrer les statistiques du Ministére de l Intérieur et des éléments de la dernière inondation de 2008) et ont eu de graves répercussions économiques et sociales. Ces fortes pluies ont révélé l extrême vulnérabilité des populations et les déficiences dans les réseaux de drainage des eaux de pluies et dans l aménagement urbain de manière général. Ces événements pluviométriques ont, par conséquent, fortement affecté la mobilité urbaine, la santé et le cadre de vie des populations ainsi que la productivité des agents économiques augmentant du coup la vulnérabilité des ménages et la pauvreté. A cette situation s ajoute un manque d informations spatiales sur ces événements pluvieux et particulièrement sur les niveaux de vulnérabilité des populations et des biens, la spatialisation des aléas et le rôle des différents facteurs du milieu naturel dans la survenance des inondations. Ce manque d informations réduit, non seulement, la capacité des pouvoirs publics et locaux à proposer des solutions durables mais aussi expose davantage les populations, les biens et les infrastructures stratégiques dans une situation de vulnérabilité. 4
5 Ainsi, la viabilité de Dakar en tant qu établissement humain se pose de plus en plus avec acuité et cela dans un contexte de changement climatique, d accroissement rapide de la population, de raréfaction des ressources financières publiques, de faiblesse des investissements privées et publiques dans les infrastructures urbaines ( à nuancer ou à étayer avec des chiffres réels), d occupation anarchique de l espace et d inefficacité des politiques d aménagement du territoire. Des solutions rapides et durables s imposent alors. Dans une optique d aménagement durable du territoire, et d atténuation des impacts des inondations sur les populations, nous proposons une approche de cartographie des risques d inondation dans la région de Dakar. Cette approche permettra de combler les besoins en information spatiale, de disposer d outils d analyse, de gestion des inondations et d aide à la décision (cartes des risques d inondation) et permettra aussi de formuler un plan intégré d aménagement du territoire de la région de Dakar. 3. Présentation de la région de Dakar La région de Dakar est située à l extrême ouest du Sénégal, comprise entre les latitudes et Nord et les longitudes et Ouest. Elle est limitée au nord, au sud et à l ouest par l océan atlantique et à l est par la commune de Diamniadio (Diamniadio fait partie de la région de Dakar). Elle couvre une superficie de 550km², soit 0.03% du Sénégal et concentre prés de 50% de la population urbaine. La carte suivante donne une vue générale du territoire administrative de la région de Dakar. La région est aussi située sur les routes de l'atlantique centrale et méridionale et constitue la terre la plus rapprochée de l'amérique. Elle constitue la région la plus petite du Sénégal avec seulement 0,28 % de la superficie totale et est subdivisée en quatre (4) Départements, quarante trois (43) Communes d'arrondissement et deux (2) Communautés Rurales. La région de Dakar se caractérise principalement par trois faits majeurs : son fort taux d urbanisation et d industrialisation et son incapacité à fournir un bon cadre de vie à ses habitants. La région de Dakar se particularise par son degré d urbanisation. Elle regroupe plus de la moitié de la population urbaine du Pays (53%). Il convient cependant de noter que le développement de nouveaux pôles d équilibre a fortement influencé sur la place qu occupait Dakar dans la hiérarchie urbaine. La ville de Dakar joue un rôle capital dans l'économie du Sénégal. Elle concentre 55 % de la Production Intérieure Brute (PIB) ; 83 % des entreprises modernes du Sénégal. Cette part est variable selon les secteurs et était de 88 % pour l'industrie des Mines (avec 75% de leurs chiffres 5
6 d affaire, 71% de leur valeur ajoutée et 71% des effectifs) 1, 95 % pour la Construction, 82 % pour le Commerce et l'hôtellerie, 94 % pour les Banques et 83 % pour les Assurances. L'environnement urbain est caractérisé par la dégradation du cadre de vie qui est devenue préoccupante. Cette situation s'explique par l'inexistence de systèmes efficaces de gestion des déchets solides, industriels, hospitaliers (à nuancer d importants efforts ont été fournis pour le traitements des déchets biomédicaux) et de rejets de gaz dans l'atmosphère, parculièrement de CO2 à cause des problémes de mobilité. Carte 1 : Présentation administrative de la région de Dakar Carte 2 : Présentation administrative : Communes d arrondissement potentiellement inondables 1 Conseil régional de Dakar (2004) : Plan de développement régional 6
7 4. Méthodologie de cartographie des risques d inondation 4.1. Présentation de la méthodologie Nous avons implémenté une méthode dite «Multi paramètres» pour cartographier des risques d inondation dans la région de Dakar. Cette méthode s inspire de celle développée par le CEMAGREF pour cartographier les risques d inondation dans plusieurs bassins versants en France. La méthode que nous avons développée pour la région de Dakar prend en compte les spécificités et les conditions biophysiques et infrastructurelles propres à la région. Vu les termes de référence de la mission et vu aussi les délais de réalisation qui nous ont été impartis, nous n avons pas modélisé les paramètres hydrologiques comme cela se fait dans un contexte de recherche. L utilisation de modèle hydrologique permettrait certes d appréhender la question des risques d inondations sous un angle différent et avec une résolution et des échelles encore plus fines mais n enlève en rien à la pertinence et aux avantages qu offre notre méthode Les données d entrée Une base de documents a été constituée comprenant des données biophysiques (morphologie, altimétrie, géomorphologie), socio- économiques (population, densités humaines, l occupation du sol, les réseaux et les équipements majeurs). La sérié pluviométrique ( ) de même que les données hydrométriques (Hauteurs d eau, durées de submersion) concernant les crues de 1995, 1989 et 2005 ont été aussi intégrées dans cette base. La plupart de ces données ont été spatialisées et une série de cartes portant sur l altimétrie, la répartition de la population, l occupation du sol, l état du réseau de drainage a été élaborée Les traitements Après ces traitements de base, des traitements plus évolués ont été effectués sur les données pluviométriques. Les systèmes d Information géographique ont permis d analyser et de spatialiser ces données selon le canevas présenté dans la méthodologie Détermination de l aléa d inondation L aléa est appréhendé comme étant la manifestation d un phénomène naturel (séisme, éruptions volcaniques, glissements de terrain, pluviométrie exceptionnelle, débordements de rivière, etc.). Dans le cadre de la région de Dakar, il s agit plutôt de crue, de pluies exceptionnelles cumulées sur une période de temps courte. La carte reprend les zones sur lesquelles des inondations sont susceptibles de se produire, de façon plus ou moins étendue et fréquente. Elle repose sur la combinaison de deux notions : la récurrence et la submersion. 7
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10 Submersion La submersion d une inondation est caractérisée principalement par son étendue et sa profondeur. Sa détermination nécessite l utilisation de modèles hydrauliques où la topographie des lits mineurs et majeurs des cours d eau est reproduite numériquement. En cas d indisponibilité des données nécessaires à l utilisation des méthodes hydrauliques, la submersion est caractérisée par son étendue en appliquant la méthode dite des «courbes enveloppes», basée notamment sur des informations issues des cartes topographiques et pédologiques numérisées. Dans cette étude, la submersion a été déterminée à partir des données hydrométriques de l événement pluviométrique le plus important sur une normale climatique (hauteur d eau, vitesse d écoulement, durée de submersion) mais aussi à partir de l information morpho pédologique et altimétrique. Dans le cadre d une crue ou de pluies exceptionnelles, la vitesse d écoulement va être substituée par la durée de stagnation des eaux. Une matrice résultant d un croisement entre les données de hauteurs d eau maximale enregistrées durant la crue la plus importante enregistrée depuis 30 ans et la durée de stagnation de celles-ci dans différents bassins versants de la région de Dakar a été constituée. Figure 2 : Matrice de submersion Récurrence La récurrence d une inondation est liée à une période de retour de débits de crues, ce qui implique des calculs statistiques sur une série historique de débits ou sur une série synthétique reconstituée à partir de mesures de précipitations via un modèle hydrologique intégré. En cas d indisponibilité des données nécessaires aux calculs statistiques, la récurrence peut être définie par l évaluation, sur base d observations et d enquêtes de terrain, de l'occurrence d inondations. Dans le cadre de cette étude, une série de données pluviométriques sur une normale climatique ( ) et portant sur plusieurs stations a été utilisée. 10
11 Carte 3 : Modèle Numérique de Dakar Carte 4 : Submersion des eaux 11
12 - Détermination d une normale climatique et d un seuil pluviométrique d inondation Nous avons travaillé sur la normale climatique car c est sur cette période que l on a réellement commencé à parler d inondations du fait de l augmentation de la population, de l extension du bâti conséquences d un exode rurale massif vers Dakar et du croit naturel de la population. Mais dans la réalité c est à partir des années 1980 que le processus d urbanisation s est accéléré augmentant du coup les enjeux. Nous constatons que la moyenne pluviométrique durant cette normale climatique tourne entre 400 et 420 mm et les années où il y a eu inondations les moyennes dépassaient 400 mm. C est le cas en 1989 avec mm et en 2005 avec mm de pluie Considérant les enjeux et les conditions biophysiques dans la région de Dakar ainsi que la structure des précipitations au Sénégal (3 mois de pluies et 80% en moyenne des pluies au mois d aout), un seuil moyen de 410 m a été par conséquent retenu comme étant la valeur au-delà duquel la probabilité d inondation dans l année est importante. - Calcul des moyennes pluviométriques au niveau des stations secondaires Nous avons déterminé pour les stations secondaires et postes pluviographiques (Yoff, Hann, Pikine, principale, Rufisque, Bambilor) les moyennes de pluies reçues sur la normale pluviométrique. Du fait de la non disponibilité des données et des lacunes sur les stations secondaires, le modèle hydrologique HMS HEC nous a permis de simuler les pluies pour certaines stations. (appronfondir l analyse sur le choix des stations pour une meilleure compréhension entre les deux phrases du paragrahes) - Détermination des fréquences d occurrence et spatialisation des valeurs A partir du tableau des moyennes pluviométriques ( ), les années où les moyennes sont égales ou supérieures à 410 mm sont répertoriées et des fréquences d occurrence ont été calculées. En fonction de ces fréquences, des seuils d occurrence ont été fixés comme le montre le tableau suivant : Tableau 1 : Fréquence d occurrence Pourcentage Désignation 0-25 Faible Moyenne Forte Très forte Les couleurs de légende sur la fréquence d occurrence du tableau et celles des carte 5,6 doivent etre inversées 12
13 Carte 5 : Récurrence des inondations dans la région de Dakar (Distribution discrète) Carte 6 : Récurrence des inondations à Pikine, Guediawaye, Rufisque (Distribution continue) 13
14 La carte de l aléa pluviométrique La carte d aléa permet d analyser l exposition du territoire au phénomène d inondation et la probabilité d occurrence de celui-ci en fonction d un ensemble de facteurs. Une matrice d aléa est déterminée par la combinaison entre la submersion et la récurrence. Figure 3 : Matrice de l aléa pluviométrique Occurrence TE M E E TE E M E E E M M M M M F F F M M F M E TE Très élevé Élevé Moyenne Faible Submersion Carte 7 : Aléa pluviométrique dans la région de Dakar 14
15 Détermination de la vulnérabilité aux inondations La vulnérabilité exprime le niveau de conséquences prévisibles sur les enjeux ; ces derniers étant les personnes, biens, activités, moyens, patrimoine, etc. susceptibles d être affectés par un phénomène naturel, en l occurrence l inondation. Trois types de données ont été utilisés pour caractériser les niveaux de vulnérabilité dans la région de Dakar : une carte d occupation du sol de 2008 (Faye, 2008) fournie par le projet ; une carte des densités humaines sur l ensemble de la région de Dakar; une carte décrivant l état de fonctionnalité et/ou d existence d un réseau artificiel de drainage des eaux de pluies comme support dans l analyse des facteurs aggravants la vulnérabilité Matrice de vulnérabilité L analyse croisée des données a permis d établir la matrice de vulnérabilité ci- dessus. Figure 4 : Matrice de vulnérabilité Occupation du sol 2008 Faible Moyenne Forte Très forte Zones marécageuses et végétation > ou = 70%, habitat dense et dispersé inférieur ou égal à (30%), faiblement peuplé Zones marécageuses et végétation inférieur ou égale à 50%, habitat dense et dispersé inf. ou = 50%, Densités humaines moyennes à fortes Bâti dense > ou = 60%, Présence de quelques zones marécageuses inf. ou = 20%, Densités humaines fortes Bâti dense et/ou Équip grdes emprises > ou = 90%, Zones marécageuses, Vegetation inférieur ou egal à 10% Cette matrice a été ensuite spatialisée pour chaque commune d arrondissement de la région de Dakar Tableau 2 : Extrait de la table de vulnérabilité aux inondations (expliquer les chiffres contenus dans la colonne vulnérabilité du tableau) Zones couvertes Vulnérabilité Ndiareme Limamoulaye 2 Golf Sud 2 Pikine Ouest 3 Mbao 4 Pikine Nord 2 Pikine Est 1 Ngor 1 Patte d'oie 2 15
16 Carte 8 : Vulnérabilités dans la région de Dakar (qu est ce qui explique la forte vulnérabilité de Ngor et du plateau) Carte 9 : Vulnérabilités dans les départements de Pikine, Guediawaye, Rufisque 16
17 4.4. Les données de sorties Comme résultat de l application de la méthodologie utilisée, nous avons la carte des risques d inondation sur l ensemble du territoire de la région de Dakar La carte des risques d inondation La carte des risques d inondation est donc une carte de synthèse obtenue à partir de la carte des aléas et de la carte de vulnérabilité. Elle permet d évaluer la contribution des différents paramètres dans la définition et l établissement d une situation de risque à l échelle de la région de Dakar. Elle permet aussi d appréhender le degré de risque sur l ensemble du territoire car basé sur un zonage et sur un ensemble de paramètres décrits en dessus La matrice des risques Une matrice résultante d un croisement entre les données d aléa et celles de vulnérabilité a été élaborée et présentée ci-dessous. Figure 5 : Matrice des risques d inondation Aléa TE M E TE TE E M E E TE M M M E E F F M M M Très élevé Élevé Moyenne Faible F M E TE Vulnérabilité Reclassification L application de cette matrice a permis de constater que la classe «faible» était absente. L analyse SIG n a pas révélé de pixel qui possède la «propriété» vulnérabilité faible et aléa faible. Cela nous a amené à procéder à une reclassification matricielle tenant compte de l altimétrie, de la disponibilité ou non d un réseau fonctionnel de drainage des eaux de pluies et des valeurs de recharge spatialisée de la nappe entre 1987 et 1997 (Cissé, 2000). Au final, 3 classes de risque d inondation ont été retenues : Élevée, Moyenne et faible 17
18 Carte 10 : Risque d inondation dans la région de Dakar Carte 13 : Risque d inondation dans les départements de Pikine, Guédiawaye et Rufisque Carte 11 : Risques d inondation dans les départements de Pikine, Guediawaye et Rufisque 18
19 5. Analyse La méthode développée analyse le risque comme étant le résultat d une synthèse entre la vulnérabilité et l aléa. C est une méthode d aménagement intégré du territoire applicable aussi bien à une échelle régionale que locale. Son application pourrait aider à une analyse globale du risque d inondation en relation avec les autres paramètres du milieu. La méthode intègre plusieurs données de nature et de formats différents. Nous avons dans un premier temps procédé à des prétraitements qui ont consisté à standardiser toutes ces données sous un format cartographique unique. Cela a été d autant plus facile dans la mesure ou la plupart de ces données était ou pouvait être géoréférençable. Des cartes de base ont été ensuite produite (Densités humaines, altimétrie, géomorphologie) et ont permis de contextualiser la problématique des inondations dans la région de Dakar. Ces cartes de base combinées aux données pluviométriques et hydrologiques dont nous disposions nous ont aussi aidés à définir et à mieux percevoir les niveaux d aléa et de vulnérabilité. En ce qui concerne l aléa, deux matrices (submersion, récurrence) et une carte des points bas ont été élaborées après une analyse géostatistique des données des inondations de 1989 et Au final, une matrice d aléa découlant du croisement des matrices précédentes a été élaborée. Quant à l analyse de la vulnérabilité, elle repose sur une carte d occupation du sol produite en 2008 par Faye (2008) et dérivée d une image satellitaire SOPT 5. Une analyse des classes d occupation du sol a permis d établir une matrice et une carte de vulnérabilité. Enfin, une matrice et une carte des risques d inondation résultant de la synthèse des cartes d aléa et de vulnérabilité La mise en œuvre de cette méthodologie s est heurtée à quelques difficultés. En effet, certaines données pluviométriques des stations secondaires comportaient des lacunes ou étaient parfois insuffisantes pour mener des analyses pertinentes. Ces lacunes ont pu être corrigées dans plusieurs cas avec des données simulées. Par ailleurs, nous n avons pas pu aussi obtenu des données sur les variations de la nappe aux environs des zones potentiellement inondables. Les données piézométriques sur la variation de la nappe ont été remplacées par des données de recharge de la nappe au niveau des stations pluviométriques entre 1987 et 1997 produite par Cissé (2000). Des croisements entre ces valeurs de recharge et les quantités de précipitations produites durant cette période nous ont permis de mieux appréhender la nature de l aléa. Aussi, les données sur la fonctionnalité du réseau de drainage des eaux de pluies nous ont donné une idée sur la vulnérabilité du territoire de la région de Dakar. Mais, dans la mesure où aucune modélisation hydrologique et hydrogéologique n était requise dans cette étude de cartographie ces deux types de données (recharge de la nappe et fonctionnalité du réseau) ont été simplement utilisés pour l analyse des facteurs aggravants et/ou exagérant la vulnérabilité ou l aléa et pour la reclassification de la carte des risques. Par ailleurs, nous n avons pas pu aussi réceptionner à temps la série pluviométrique couvrant la période ainsi que les images ikonos commandées. Nous pensons que travailler sur une longue série pluviométrique ainsi que sur des images de très haute résolution rehausseraient encore plus la qualité 19
20 du travail. En conclusion, nous dirons que cette méthode est valide et applicable à n importe quel bassin versant ou territoire similaire du point de vue biophysique et hydrologique à la région de Dakar. 6. Recommandations Quelques recommandations peuvent être formulées pour cette étude sur la cartographie des risques d inondation dans la région de Dakar : 6.1. Implémenter cette méthodologie au niveau local c'est-à-dire à au niveau des quartiers et groupes de quartiers. La mise en œuvre de cette méthodologie à cette échelle permettrait d avoir une vision plus fine de la réalité et faciliterait considérablement les prises de décision ; 6.2. Élaborer une base de données géo spatiales sur les inondations affectant l ensemble de la région de Dakar. Cette base de données permettrait d intégrer et de centraliser toutes les données sous un même format ce qui faciliterait leur manipulation et leur analyse. Cette base pourrait être mise à jour périodiquement et pourrait aussi être partagé avec les autres acteurs intervenant sur la question (Structures techniques de l État, collectivités décentralisées, agences gouvernementales, ONG, etc.) 6.3. Utiliser des images satellitaires de très haute résolution (Ikonos, Quick bird) pour mieux appréhender l occupation du sol et cerner les éléments de vulnérabilité au niveau local. Ces images coûtent, certes, chères mais sont recommandées pour une cartographie à l échelle locale Commander une étude sur la modélisation hydrologique des inondations dans la région de Dakar. Cette modélisation est importante car elle permettrait de mieux saisir les interactions entre les différents paramètres (biophysique, socio économique, infrastructurelle) et permettrait aussi une mise à jour complète de cette présente cartographie Commander une étude sur la modélisation hydrogéologique des nappes dans les régions de Dakar. Il est important de comprendre le fonctionnement des nappes et leurs variabilités si on veut se situer dans une perspective non plus de détermination ou de localisation des risques mais dans une perspective plus intéressante de prévision et d alerte Mettre en place un système d alerte précoce des inondations qui sera basé sur une modélisation hydrologique et hydraulique ainsi que sur des analyses de corrélation entre la recharge de la nappe et les apports pluviométriques et sur des analyses géostatistique entre différents paramètres comme la hauteur d eau, la durée de la submersion et enfin sur des simulations. Connaissant : la quantité totale de précipitation (Q) tombée sur le territoire hydrologique, les paramètres lithologiques (perméabilité, imperméabilité), la topographie, l occupation du sol, le comportement de la nappe phréatique et le 20
21 fonctionnement du réseau de drainage notre système pourra déterminer à partir de quel moment, de quel niveau d eau certains quartiers de Dakar zone sont en situation d inondabilité donc en situation de risque Mettre en place une cellule de géomatique au sein de la future structure en charge des questions de catastrophes naturelles. Cette cellule aura de multiples tâches dont : Gérer, organiser et analyser l information géographique ; servir de relais auprès des autres structures utilisant des données de géomatique comme par exemple le CSE, le service des travaux cartographiques, les départements spécialisés des universités de Dakar, Ziguinchor et St louis ; fournir l information au public et aux acteurs intéressés par la question 21
22 7. Annexes 7.1. Cartes Cartes en format JPEG (CD) 7.2. Organisation des cartes Cartes finales Carte des risques d inondation (1,1) Carte de la vulnérabilité aux inondations (1,1) Carte de l aléa pluviométrique (1) Cartes intermédiaires Carte submersion (1,1) Carte récurrence (1,1) Carte des zones basses potentiellement inondables (1) Carte des points inondés en 1989 et 2005 (1) Carte occupation du sol (1) (CD) Autres cartes Carte administrative (1,1) Carte des densités humaines (1) Carte population (1,1) Modèle Numérique de Terrain (1,1) Carte de l état de fonctionnalité du réseau de drainage des eaux de pluies (1,1) (1,1) : 2 cartes, une à l échelle de la région de Dakar et une autre centrée sur les départements de Pikine, Guediawaye et Rufisque Inserrer dans la partie annexe une bibliographie pour les références citées dans le texte. 22
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