SOMMAIRE. L exposition Auguste et Cécile Bougourd. Du paysage normand à l Orientalisme. Les artistes : Auguste et Cécile Bougourd

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1 DOSSIER PEDAGOGIQUE

2 SOMMAIRE L exposition Auguste et Cécile Bougourd. Du paysage normand à l Orientalisme Page 3 Les artistes : Auguste et Cécile Bougourd Pages 4 et 5 La peinture de paysage Pages 6 à 8 L Ecole de Barbizon Pages 9-10 La peinture orientaliste Page 11 Lecture d un paysage : une approche pluridisciplinaire Pages Visuels Pages 14 à 18 Intérêt pédagogique et conditions de visite Page 17 2

3 L exposition Auguste et Cécile Bougourd. Peintres de Pont-Audemer. Du paysage normand à l Orientalisme. Parmi ses collections de peintures du 19 e siècle, le musée Canel possède plusieurs œuvres d Auguste Bougourd ( ) et de sa fille ( ), Cécile- Augustine. Ces paysagistes normands font partie de la catégorie des petits maîtres méconnus qu une exposition permet de révéler le talent. Nés tous deux à Pont-Audemer, Auguste Bougourd et sa fille quittent la ville dans les années 1890 pour s installer à Nantes. Ils laissent alors déjà une œuvre conséquente dont témoignent les tableaux conservés au musée. S en suivent alors des déplacements qui les conduisent toujours plus au sud jusqu en Tunisie où ils demeurent de 1900 à Intitulée «Auguste et Cécile Bougourd. Peintres de Pont-Audemer. Du paysage normand à l Orientalisme», l exposition retrace la vie de ces deux artistes. Elle suit leurs parcours de Pont-Audemer jusqu à la Tunisie et traite exclusivement de leur pratique du paysage. L exposition fait la part belle aux techniques employées par les deux peintres, aux sujets de prédilection de chacun et aux grands mouvements auxquels ils ont appartenus tels que l Orientalisme. L exposition rassemble quelques soixante-dix œuvres (aquarelles, huiles sur toile, dessins, carnets de croquis) et des documents historiques (photographies). Elle est l occasion de mettre en valeur les œuvres de ces deux artistes présentes dans les collections du musée et bénéficie de prêts de collectionneurs particuliers. Un catalogue illustré de 102 pages de l exposition sera publié. 3

4 Les artistes : Auguste et Cécile Bougourd Auguste BOUGOURD (Pont-Audemer 1830 Toulon 1917) Peintre paysagiste de l Ecole Française. Issue d une famille de la haute bourgeoisie, il hérite, à 22 ans, de la banque de ses parents Bougourd-Lambert à Pont-Audemer. En épousant Louise-Eugénie Brunet-Debaines, il entre dans une famille d artistes. En 1863, Auguste suit les cours aux Beaux-arts de Paris. Puis il apprend les rudiments de la peinture et du dessin auprès de Jean Joseph Bellel, qui excelle dans le dessin. Il expose au Salon de 1868 à 1887 des paysages et particulièrement des sites normands. Il expose également dans les salons normands : Caen, Rouen, Evreux. Plus tard il revendique comme ses maîtres les grands noms de l Ecole de Barbizon. Il devient le conservateur du nouveau musée de Pont-Audemer en La vie d Auguste est bouleversée dans les années La banque et les biens immobiliers d Auguste sont partagés avec sa nièce, après le décès de sa sœur Laurence. La banque est liquidée et les biens fonciers répartis par tirage au sort. En 1892, Auguste et Louise Bougourd, accompagnés de deux de leurs enfants Cécile et René, partent alors s installer à Nantes chez leur gendre René le Houelleur, le mari d Hélène. Après la mort de Mme Bougourd, sur les conseils de son médecin qui le trouvait morose, Auguste s établit à Toulon avec sa fille Cécile. Il apporte à ses paysages du midi son regard et ses habitudes de normand : ses recherches d atmosphères, d éclairage feutré qui sont très différents des préoccupations des artistes provençaux attachés aux puissants contrastes de lumières, plus qu aux nuances, aux valeurs qui donnent au motif sa structure et sa puissance. Cette manière inattendue d aborder la campagne méridionale donne leur prix aux œuvres de Bougourd, d autant plus 4

5 qu elles montrent beaucoup d élégance dans l écriture déliée et un heureux équilibre dans l harmonie toute classique de la composition. C est en 1901, qu il fait son 1 er séjour en Tunisie, en compagnie de sa fille Cécile. Son fils René, qui n a pas connu une grande réussite de courtier maritime, a acheté une maison en 1898 à Smindja, à une cinquantaine de kilomètres au sud de Tunis. Il voyage souvent entre Toulon et Tunis. En 1913, il s installe définitivement à Toulon. Cécile BOUGOURD (Pont-Audemer 1857 Toulon 1941) Elève de son père. Sa première exposition connue remonte à 1886 à Evreux, aux cotés de son père. Au début de sa carrière, elle se spécialise dans la représentation de bouquets de fleurs, sujet que l on retrouve dans les carnets de croquis de son père. Elle va également peindre quelques portraits, exercice auquel son père ne semble ne s être jamais essayé. A Nantes, puis à Tunis, elle se consacre aux paysages aux côté de son père. En 1904, elle expose pour la première fois à Paris, au Salon des Orientalistes. C est une des seules femmes à jouer un rôle important au salon de la société des peintres orientalistes français à Paris et aux premières expositions du Salon tunisien entre 1904 et

6 La peinture de Paysage Paysage, peinture de : genre pictural qui élève la nature au rang de sujet. Alors qu en Orient et en particulier en Chine, le paysage joue dans l art un rôle primordial depuis des époques reculées, c est seulement au 16e siècle qu il devient un genre à part entière dans la peinture occidentale, cependant moins prisé, à l origine, que le portrait. Si les éléments de paysage épars dans les représentations artistiques de l ancienne Égypte et de la Grèce antique se limitaient à une fonction symbolique ou décorative, les Romains en revanche, semblent être les premiers à vouloir dépeindre la nature pour elle-même, à l instar de leur poésie ; Pline l Ancien évoque à ce titre au 1 er siècle de notre ère «la mode de décorer les murs de peintures représentant maisons campagnardes, portiques, jardins, bosquets, bois, collines, étangs, canaux, cours d eau ou rivages». Quelques fragments de telles peintures murales subsistent dans l ancienne cité de Pompeï, ensevelie lors de l éruption du Vésuve en l an 79 apr. J-C. Pendant la majeure partie du Moyen-âge, la fonction et la finalité de l art étant presque exclusivement religieuses, le paysage n apparaît dans la peinture que rarement et de façon accessoire. C est aux alentours du 14e siècle que la représentation de la nature commence à acquérir ses lettres de noblesse. Il devient de plus en plus fréquent de situer les scènes religieuses dans un environnement à la fois bucolique et pittoresque. Cette évolution est le signe d une part, d une redécouverte spirituelle de la nature (introduite dans la religion chrétienne par Saint- François d Assise) et, d autre part, de l esprit d observation scientifique qui marque la Renaissance. Les historiens d art s accordent généralement à reconnaître dans la Pêche miraculeuse (1444, Musée d Art et d Histoire, Genève), de l artiste suisse Konrad Witz, la première représentation identifiable d un lieu existant, en l occurrence un rivage du lac Léman. Par ailleurs, c est à l Allemand Albrecht Altdorfer que l on attribue les plus anciens tableaux parvenus jusqu à nous exempts de tout personnage. Parmi ceux-ci figure le Paysage à la passerelle (1520), conservé à la National Gallery de Londres. 6

7 En 1600, le paysage (le terme lui-même apparaît dans la langue française au 16e siècle) devient un véritable genre artistique, davantage pratiqué dans le nord que dans le sud de l Europe. C est au siècle suivant, en Hollande (dans une nation récemment libérée du joug espagnol), qu il connaît sa première grande période. Les spécialistes considèrent généralement Jacob Van Ruysdael, artiste du milieu du 17e siècle, comme le plus grand paysagiste hollandais aux côtés de nombreux autres artistes de talent (Albert Cuyp, Jan Van Goyen). Alors que le paysage hollandais est marqué par le naturel, une conception différente du paysage «idéal» se développe en Italie, caractérisée par un ordonnancement scrupuleux des éléments du tableau, arrangés en d élégantes compositions qui mettent en valeur des sujets mythologiques ou religieux. Ce style, qui apparaît pendant la première décennie du 17e siècle, est magnifiquement exploité par le Bolonais Annibal Carrache, mais ses plus célèbres représentants restent le Lorrain et Nicolas Poussin, peintres français actifs à Rome au milieu du siècle. S inspirant de l art de la Rome antique, leurs œuvres transmettent les principes classiques d ordre, de clarté et de sérénité. Le paysage idéal ou classique, devenu fort prisé des artistes, influence la peinture de nombreux autres pays. Au début du 18e siècle, un mouvement sentimental se dessine en France en faveur de la nature. Il repose sur un courant littéraire qui trouve sa meilleure expression dans l œuvre de Jean-Jacques Rousseau. En même temps grâce aux encyclopédistes s éveille une curiosité pour les merveilles de la nature ainsi que pour les pays lointains. Nobles et grands bourgeois achètent de petites maisons aux environs de Paris, le jardin à la française est abandonné au profit du jardin anglochinois où se multiplient les «fabriques» en forme de ruines gothiques, de temples antiques, de tentes turques., microcosme qui reflète l univers en abrégé. Les goûts se portent en particulier sur l antiquité et les ruines. La peinture de paysage s infléchit vers le pittoresque, mais elle acquiert son autonomie. Ce style demeure florissant jusqu au 19e siècle, côtoyant d autres approches comme celles de Caspar David Friedrich, en Allemagne, et de Joseph Mallord William Turner, en Grande-Bretagne, tous deux cherchant à traduire le côté mystique qui se dégage de la nature. Aux Etats-Unis, l Ecole de l Hudson River relève du même 7

8 esprit, associé toutefois à une glorification patriotique de la beauté des paysages, dans des toiles qui pour la plupart représentent des vues de montagnes. A la même époque, des artistes tels que Camille Corot en France et John Constable, en Grande-Bretagne, enrichissent cette tradition picturale d un nouveau regard, observation bienveillante d un quotidien idéalisé. Leurs œuvres, surtout par leur tentative de rendre la fugacité des effets lumineux influencent les impressionnistes français, dont le style amènera le triomphe du paysage. Au 20e siècle, ce genre reste le thème de prédilection de peintres figuratifs. Il constitue, en outre, un point de départ pour les peintres d avant-garde, comme on le constate en particulier dans certaines compositions abstraites, ainsi que dans les toiles oniriques des artistes surréalistes. 8

9 L Ecole de Barbizon L'école de Barbizon désigne le centre géographique et spirituel d'une colonie de peintres paysagistes désirant travailler «d après nature». L'appellation tient son nom du village de Barbizon, situé en lisière de la forêt de Fontainebleau en Seine-et- Marne, autour duquel certains artistes peintres affluèrent pendant près de cinquante ans entre 1825 et Unis dans leur opposition aux conventions picturales classiques idéalisées par la très conservatrice Académie des beaux-arts, les peintres de l'école de Barbizon s'inspirent du courant anglais contemporain de la peinture de paysages, notamment des œuvres de John Constable et de Richard Parkes Bonington, mais également des paysagistes hollandais du 16 e siècle. Des artistes comme Rousseau ou Daubigny s'inscrivent en réaction à l'industrialisation naissante et à la pollution urbaine. Le retour à la nature apparaît évident, en lutte contre l industrialisation, sans scène dramatique, la tranquillité de la contemplation prennent le dessus sur le charivari de la cité. En France, les peintres de Barbizon se distinguent en traitant le paysage comme un sujet en soi et par leur habitude de peindre sur le vif, en extérieur, avant de terminer leurs tableaux en atelier. Ainsi, par l'importance qu'ils attachent au naturel et à la simplicité, de même que par l'usage de couleurs fraîches appliquées, dès 1855, par fines hachures juxtaposées pour augmenter la lumière, ils jouent un rôle fondamental dans la genèse de l'impressionnisme. L'école de Barbizon compte parmi ses membres Théodore Rousseau, chef de file, Charles François Daubigny, Narcisse Virgile Diaz de la Peña, Jules Dupré, Charles- Emile Jacque, Constant Troyon et Jean-François Millet. 9

10 La peinture orientaliste au 19 e siècle L orientalisme n est pas un mouvement artistique en particulier et a regroupé bon nombre d artistes de différents courants artistiques. Les peintres orientalistes sont, en définition, inspirés par le thème de l Orient. Commencée en 1798, une expédition militaire, menée par Napoléon, composée d un corps expéditionnaire de hommes et de 167 savants et artistes ouvre la voie à l engouement pour les pays d orient (une édition de l ouvrage la Description de l Egypte est conservée au musée Canel). La plupart des artistes voyagent en Afrique du Nord au 19 ème siècle. Leur principale source d inspiration est donc les voyages et les différentes conquêtes de l époque. Les artistes souhaitent découvrir de nouveaux horizons. L orientalisme a connu son apogée au milieu du 19e siècle avec comme représentants : Eugène Fromentin, Alexandre Decamps, Jean-Léon Gerôme et Eugène Delacroix. Ce dernier est connu pour ses œuvres orientalistes, autant que pour ses œuvres romantiques. Il se rend en Afrique du Nord, notamment au Maroc en Grâce à ce voyage, il a peint plus de 80 peintures orientalistes dont les plus connues sont : Les femmes d Alger dans leur appartement (1834), La noce juive au Maroc (1841), Le Sultan du Maroc (1845). Eugène Fromentin visite l Algérie en 1846 et fait des croquis de paysages et d habitants. Il est l un des premiers artistes parisiens à faire de l orientalisme son sujet de prédilection. Alexandre-Gabriel Decamps est parti au Moyen-Orient. Cette expérience lui permet à son retour en France, de donner sa propre vision de l Orient. Jean-Léon Gérôme se rend de son côté en Turquie, ainsi qu en Egypte en Le peintre Léon Belly part en 1850 avec une mission scientifique au Liban, en Palestine et en Egypte. C est à cette époque qu il peint des toiles orientalistes. Une de ses toiles, la plus connue, est conservée au musée d Orsay : Pèlerins allant à la Mecque (1861). Certains artistes vont même jusqu à s installer en Afrique et se convertir à l Islam comme le peintre Etienne Dinet ou suivre des nomades dans le désert tel que Gustave Guillaumet. Les sujets abordés sont variés. Le plus connu est la femme, que les artistes aiment représenter nue dans des harems. D autres sont à mi-chemin entre le rêve et la 10

11 réalité : oasis, déserts, luxueux palais Enfin l étude des habitants, des coutumes locales et des peuples du désert est représentée. Les artistes utilisent le plus souvent des couleurs chaudes pour recréer la chaleur de l Orient et ainsi permettre aux spectateurs de voyager. Certains artistes, dans l impossibilité de rendre en Orient, trouvent donc l inspiration dans les récits de voyage ou les différentes gravures rapportées d Orient. Au 19e siècle, l orientalisme influence le quotidien des riches européens : leurs intérieurs sont ornés de tableaux mais aussi d objets d art d influence orientale. 11

12 Lecture d un paysage : une approche pluridisciplinaire I I Identification de l œuvre 1 Présentation de l œuvre Nature Support technique Auteur Type de peinture Toile de bois Peintre 2 Sujet abordé 3 Contexte Représentation figurative ou abstraite. Quel paysage? Lieu représenté? Date de réalisation? Contexte artistique? Contexte de réception de l œuvre? II Description et observation 1 Effet produit Je note ce qui retient mon attention, mes premières impressions «à chaud», ce que je ressens. Je décris ce que je vois avec un vocabulaire précis et adapté. Je ferme à moitié les yeux pour apercevoir les principaux éléments du paysage. Je dessine les points, lignes et formes essentielles. (base du croquis) 2 Problèmes de compréhension éventuels Je fais d éventuelles remarques sur la lisibilité de l image. 3 Organisation des observations Les données naturelles Les données humaines - Relief à nommer et à situer sur le croquis. -Végétation : quelle place? Quel type? A situer sur le croquis - L eau : à nommer et à situer sur le croquis. -Espaces cultivés : forme et type d activité, à situer sur le croquis. -Présence d hommes : combien? où? qui est ce? III Analyse des éléments observés 1 Analyse des aspects «extérieurs» au sujet Je repère le lieu de la prise de vue du paysage. 12

13 Je repère le moment et la saison (indices temporels). Je repère l angle de la prise de vue (normal, plongée, contre-plongée). 2 La mise en œuvre Je repère les caractéristiques de l éclairage, la netteté et les flous du paysage. Je m interroge sur le réalisme de l œuvre : objectivité ou subjectivité, figuratif ou abstrait. Je m interroge sur l expression des sentiments. Je m interroge sur les techniques utilisées et sur l effet produit : - Aquatinte, Huile, photographie, carte postale - Harmonie/contrastes -Couleurs chaudes/froides -Tons, teintes, nuances IV Les différents éclairages de l œuvre : dans quels contextes a-telle été réalisée? 1 Le contexte historique Je m interroge sur les objectifs éventuels de l artiste et sur les enjeux de l œuvre : témoigner, montrer, démontrer, informer, persuader, émouvoir Contexte politique et «philosophique», mœurs de l époque et état de la société. L artiste dans son époque : adhésion aux valeurs dominantes, opposition, engagement particulier, repli sur soi 2 Le contexte artistique 3 Le contexte biographique 4 La réception de l œuvre V Conclusion : Intérêt et portée de l œuvre Appartenance de l artiste à une école ou à un courant artistique. Influences acceptées, assumées, subies. Place de l œuvre dans la vie de l artiste, dans son évolution intellectuelle. Importance de l œuvre par rapport à l ensemble de sa production : œuvre majeure? Représentative? Par le critique. Par le public. Postérité de l œuvre. Insister sur ce qui constitue la particularité de l aquatinte, de la photographie ou du tableau par rapport à d autres supports. 13

14 Visuels Auguste Bougourd, Pont-Audemer - Rue Place de la Ville, 1870, huile sur toile, collection du musée Alfred Canel. 14

15 Auguste Bougourd, Vallée des Préaux, 1870, huile sur toile, collection du musée Alfred Canel. 15

16 Cécile Bougourd, le Marabout, 1910, huile sur toile, collection particulière 16

17 Cécile Bougourd, Cimetière d El Djellaz à Tunis, 1910, huile sur toile, collection particulière 17

18 Auguste Bougourd, Falaises d Etretat, aquarelle collection particulière 18

19 Intérêt pédagogique Evoquer l histoire de l art : - Le paysage au 19 ème siècle - L Ecole de Barbizon - La peinture orientaliste Aborder des techniques - Peinture à l huile - Aquarelle - Pierre noire Conditions de visite Il faut prévoir environ 1h00 de visite pour tous les niveaux et ¾ d heure pour les CP et les grandes sections de maternelle. Tout retard, de plus d'un quart d heure, sera assimilé à une annulation, sauf si le créneau horaire suivant est disponible. Le groupe scolaire est sous la responsabilité de l enseignant L enseignant doit prendre en charge tous désagrément survenu pendant la visite (vomissements, saignements ) La visite est gratuite Le service des publics se tient à la disposition des enseignants pour préparer leur venue. Un dossier pédagogique est également à la disposition de l enseignant qui le demande. Réservations auprès du service des publics du musée Canel : Magali Pépin, responsable du service des publics Virginie Laisney, médiatrice

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