Les muscles. Transforme de l énergie chimique en énergie mécanique. Il faut distinguer les muscles squelettiques des muscles blancs.

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1 I) Définition sous son aspect mécanique Les muscles Transforme de l énergie chimique en énergie mécanique. Il faut distinguer les muscles squelettiques des muscles blancs. II) Structure et morphologie du muscle 1) Constitution interne Le fuseau neuro moteur, c est un organe dans le muscle qui a lui-même des organes qui vont réguler le muscle. a) Muscles squelettiques b) Le tendon Le tendon est un organe inextensible non contractile ni élastique. Il transmet la force généré par la contraction musculaire. Il se développe comme tout en fonction des tensions qui s exerce sur lui. S il est peu sollicité, il devient mince etc.le tendon est souvent protégé par une bourse séreuse qui se trouve entre le tendon et l os, et s il est trop sollicité il entrainera une bursite. 2) Structure externe Muscles longs - Les muscles fusiforme : puissant et rapide, se divise en plusieurs chefs dans une des ses extrémité. - Les muscles rubanés : presque semblable au muscle fusiforme mais plus petit, plus gracile, très étroit avec des fibres musculaire parallèle (importance biomécanique). Muscle moins puissant mais plus économique Muscles larges - Les muscles larges et minces : très économique car les fibres musculaire sont parallèle et accroché sur un tendon très large (oblique de l abdomen et deltoïde) - Les muscles larges et épais : peu économique mais très puissant, les fibres sont convergente Muscles courts - Les muscles avec des tendons très long (tenseur du fascialata) - Les muscles unipenné : fibres qui converge d un seul côté du tendon (bipenné converge des 2 côtés du tendon, multipenné comme les arêtes d un poisson s accroche de partout) : Ces muscle sont peu économique et puissant. - Muscle fibre parallèle : carré pronateur - Muscle anellé : sphincter Muscles longs : Fusiformes : puissants et rapides

2 Rubanés : fibres parallèles, économiques mais moins puissants Muscles larges : Minces : économiques car fibres parallèles Epais : peu économiques mais puissants, parce que les fibres en éventails Muscles courts : A long tendon : Penniformes : unipennés, bipennés, multipennés : Ces muscles sont peu économiques, très puissants mais moins rapides A fibres parallèles : Muscles annelés ou sphincters : puissants et rapide III) Innervation du muscle Musclé innervé dans sa partie motrice par le motoneurone alpha, et dans le sens inverse des fibres sensitive. IV) Mode de contraction musculaire Si un muscle n a pas cette capacité, il ne peut jouer son rôle premier qui est de mobilisé ou stabilisé une partie du corps. (On parle des muscles strié) 1) Rappel des propriétés essentielles Extensibilité : Capacité qu a le muscle a se laisser étirer à partir de certaines positions. Non linéaire mais exponentielle. Elasticité : élastique sauf si on va au-delà des caractéristiques d extensibilité. Excitabilité : capacité du muscle à répondre à un influx. - Reflex sur un tendon (mécanique) - Chimique - Electrique Tonicité : controversé, normalement le tonus est une activité permanente musculaire. 0 donc au repos, sauf si on regarde dans les fuseaux neuromoteur qui reste sous tension. 2) Différent type de contraction Toutes les contractions musculaire on comme objectif que le cout énergétique de la contraction soit en rapport avec le service que va rendre la contraction à la personne. Cette capacité est lié à l apprentissage. 3) Propriétés a) Travail statique

3 Travail ou activité musculaire qui ne génère aucun mouvement. Il est souvent associé au travail dynamique. (Quand on écrit, on est en travail statique de l épaule et dynamique des doigts) b) Travail cinétique concentrique Ou travail dynamique (pareil), il y a mouvement. Le travail cinétique est généré par la contraction musculaire qui produit le déplacement de pièces osseuse et donc un mouvement. Soit le travail cinétique est Concentrique : les points d insertion musculaire se rapprochent les uns des autres Soit le travail cinétique est Excentrique : contraction musculaire, mouvement, les points d insertion musculaire s éloignent les uns des autres c) Rapports entre forme et le rôle des muscles L insertion des tendons sur l os, la forme du tendon, sa direction, la forme du muscle définit la puissance Loi de Weber-Fick : Dans les conditions physiologique, le raccourcissement qu un muscle peu subir est égal à la moitié de la longueur de ses faisceaux La force musculaire : Lorsqu on a un muscle qui a un nombre déterminé de fibres, cette force est proportionnelle à sa surface de section. - Loi de Starling : la force contractile d un muscle est directement proportionnelle a la longueur de ses fibres au début de leur contraction. - Loi de Schwann : La force absolue d un muscle diminue à mesure qu il se raccourcie en se contractant. Il est indispensable de contrôler à la fois : - La vitesse d exécution motrice - L amplitude du mouvement Si la vitesse de contraction augmente La force musculaire diminue Si la vitesse de contraction diminue La force musculaire augmente

4 Contrôle de la vélocité du déplacement des chaînons corporels V) Action du muscle sur le squelette La contraction musculaire et son efficacité dépend de la température du muscle VI) Classification fonctionnelle du muscle Lié à leurs actions a un temps T Agonistes Tous les muscles qui aide à effectuer l action. Antagonistes Qui ralentisse le mouvement, action contraire au mouvement principal Synergistes Muscles qui interviennent à distance pour une fonction particulière, qui travaille en même temps que les muscles principaux au mouvement, mais ils complètent, facilite le mouvement (peuvent être agoniste ou antagoniste) Stabilisateurs ou fixateurs Par leurs contraction permettent les mouvement a distance (immobilisation de la scapula pour la mobilisation de l épaule par exemple) VII) Capacité de travail 1) Statique Le produit de la force par le temps Temps maximal : temps durant lequel la contraction peut être soutenue Relation entre le temps limite de maintien d une force et le rapport de cette force à la force maximale 2) Dynamique Puissance de crête : c est la puissance instantanée maximale qu un muscle peut atteindre lors de son raccourcissement. Puissance critique : C est le régime plafond de fonctionnement musculaire. Si on est au-dessus de cette puissance, on a une diminution, une fatigue qui apparaitra asses vite. Si on compare la puissance critique et de crête, on a un rapport de 1/10 (la puissance critique = 1/10 puissance de crête)

5 VIII) La fatigue musculaire 1) Définition Quand une activité musculaire ne peut pas être maintenu ou poursuivi dans son régime initiale, on parlera de fatigue musculaire. (on parlera de fatigue quand le régime de puissante critique sera dépassé) On a des manifestations objectives de la fatigue musculaire : S exprime par la diminution de la force contractile, la diminution de la précision des gestes. Quand la fatigue est très importante, on va avoir des tremblement puis une tétanie. 2) Fatigue en statique Le travail va etre limité et défini une fatigue, se traduisant par des douleurs qui exprime la fatigue musculaire en statique. Il faut rétablir la perfusion sanguine pour éviter la douleur, ce sont des facteurs périphériques 3) Fatigue dans le travail cinétique Facteur périphérique Le système veineux et artérielle se colabe, une lumière diminué, et donc une difusion moins forte et donc moins d apport nutritionel et d évacuation Facteur «central» Le SNC va piloter, variation inter-individu. IX) Rendement musculaire La contraction musculaire se fait au dépend chimique. Rapport entre consommation et rendu. Il faut être attentif a ce rendement musculaire.