Les jeunes d origine migrante et issus des minorités aux Etats-Unis : droits, appartenance et exclusion¹
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- Eveline Marie-Claire Lecours
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1 1 Les jeunes d origine migrante et issus des minorités aux Etats-Unis : droits, appartenance et exclusion¹ Sunaina Maira, titulaire d un doctorat Maître de conférences à la faculté des études américano-asiatiques Université de Californie Davis Davis, Californie, Etats-Unis smaira@ucdavis.edu Le sujet de l exclusion et de l intégration de la jeunesse, en particulier des jeunes d origine migrante, est profondément lié à la question de la citoyenneté. La citoyenneté est une préoccupation centrale rattachée aux thèmes suivants : le nationalisme, la mondialisation, l immigration, le pluralisme culturel, la démocratie et les droits de l homme. Une analyse de la citoyenneté est indispensable pour comprendre comment l Etat régit, intègre et encadre ses sujets, y compris les jeunes. La jeunesse, en particulier, est considérée comme un élément essentiel des processus de construction du nationalisme par l Etat et la société civile ; c est le cas notamment dans des institutions comme les établissements publics d enseignement secondaire, où l enseignement de la culture et de l histoire nationales vise à produire de «bons citoyens». Les jeunes eux-mêmes expriment leur appartenance nationale de manières diverses, dans différents contextes tels que la culture populaire, la scolarité, le travail, l immigration, le maintien de l ordre, les services sociaux, le système militaire ou pénitentiaire. Cependant, que ce soit dans la recherche ou le discours public, on considère que les perceptions des jeunes concernant la citoyenneté ne sont pas parfaitement formées et qu elles sont plus sensibles à l influence de forces externes que celles des adultes. En général, la subjectivité politique des jeunes, outre le fait de ne pas être prise au sérieux, est considérée comme une menace potentielle. Certes, les jeunes suivent un processus continu de développement social et cognitif et acquièrent davantage de droits et de responsabilités lorsqu ils entrent dans l âge adulte. Mais on suppose généralement qu il faudrait les amener à une «citoyenneté consensuelle» manière implicite de préserver le statu quo, qui suggère par ailleurs que les jeunes ne sont pas en mesure de réfléchir et d exprimer leurs propres critiques sur la citoyenneté et l identité nationale. Citoyenneté culturelle Mes travaux de recherche s intéressent principalement aux jeunes migrants d Asie du Sud (Inde, Pakistan, Bangladesh) qui résident aux Etats-Unis depuis le 11 septembre Il s agit d examiner leurs conceptions de la citoyenneté, et surtout de la citoyenneté culturelle, ou encore leurs perceptions au quotidien de l appartenance et de l exclusion. Des définitions culturelles de ce qu est vraiment un «Américain» modulent les droits des citoyens et des migrants. Le concept de citoyenneté culturelle est au cœur des questions d égalité et d exclusion, de droits et de justice, et dépasse le cadre des définitions officielles de la citoyenneté. Pourtant, il existe encore
2 2 des distinctions juridiques importantes entre les citoyens et les non-citoyens, ainsi que des problèmes pressants concernant les droits des migrants et la citoyenneté économique ou civique. Cette étude portait principalement sur de jeunes migrants musulmans de la classe ouvrière récemment arrivés d Asie du Sud et scolarisés dans un établissement public d enseignement supérieur d une petite ville des Etats-Unis. J ai étudié leur perception de la citoyenneté culturelle au quotidien dans les contextes de l école, du travail, de la famille et de la culture des jeunes. Examiner comment s exprime la citoyenneté culturelle chez des jeunes issus de communautés victimes de suspicion depuis le 11 septembre nous permet de comprendre certains des paradoxes de l appartenance nationale pour une génération de migrants aujourd hui majeurs. Cela éclaire aussi les débats plus larges sur la citoyenneté pour les jeunes issus des minorités aux Etats-Unis et dans les autres pays. Depuis 2001, les allégeances nationales des musulmans, des arabes et des Asiatiques du Sud aux Etats-Unis sont examinées de près à la recherche de signes de trahison envers la nation. Les débats sur les opinions politiques de la jeunesse musulmane sont influencés par des angoisses sociales plus profondes, non seulement au sujet de «l islam radical» mais aussi de la culture nationale, des relations raciales et de la politique nationale mise en œuvre au Moyen-Orient et en Asie du Sud. Dans mes travaux, je mets en relation les expériences de jeunes migrants et des questions de politique nationale, interne et étrangère, pour montrer comment leurs vies sont modelées par des forces politiques plus importantes auxquelles ils sont contraints de se confronter. La guerre contre la terreur La guerre contre la terreur, lancée par les Etats-Unis après le 11 septembre, s est traduite par des détentions et des expulsions massives de musulmans, d Asiatiques du Sud et d Américains d origine arabe, innocents de tout acte de terrorisme et en majorité victimes de rafles opérées pour cause de suspicion publique ou d infraction à la législation en matière d immigration. Ces évènements ont eu un impact sur la jeunesse de ces communautés dont les allégeances nationales étaient considérées comme potentiellement suspectes. Les Américains musulmans ont été les boucs émissaires des attentats du 11 septembre. On dénombre ainsi une multitude d incidents de harcèlement, d agressions et d actes de discrimination fondés sur le profilage racial, religieux ainsi que politique. Après le 11 septembre, les jeunes musulmans ont commencé à être confrontés à la «disparition» de leurs proches, car aucun des détenus n a été identifié publiquement et leurs lieux de détention ont été tenus secrets. L Etat a aussi élaboré des politiques pour contrôler et rassembler des informations de manière officielle sur les migrants musulmans (le profilage), en particulier les hommes, jeunes ou adultes, comme le National Security Entry-Exit Registration System (système d enregistrement d entrée et de sortie du territoire aux fins de sécurité nationale), appelé aussi Special registration (enregistrement spécial). Ce programme ainsi que les détentions et les expulsions massives ont effrayé les communautés musulmanes des Etats-Unis et fait craindre une mobilisation politique. Aujourd hui encore, les musulmans et leurs communautés font l objet d une surveillance et d un contrôle incessants de la part du FBI, qui mène aussi des interrogatoires et procède à des arrestations dans les aéroports une politique qui affecte les jeunes dans leur vie quotidienne et lorsqu ils voyagent à l étranger.
3 3 De plus, les migrants sans papiers de la classe ouvrière se sont trouvés davantage exposés à la discrimination faute de ressources économiques et juridiques sur lesquelles compter en cas de détention ou d expulsion. L enquête minutieuse qui a été menée sur leurs croyances religieuses, leurs opinions politiques et leurs réseaux sociaux a profondément marqué les jeunes Américains musulmans. Les jeunes musulmans et originaires du Moyen-Orient ont alors été considérés comme foncièrement opposés aux visions occidentales de citoyenneté libérale. Pour certains, les jeunes hommes musulmans étaient des activistes et des fanatiques, tandis que les jeunes femmes étaient des opprimées qu il fallait protéger de leurs traditions. Cela complique la relation de ces individus à la citoyenneté culturelle, contraints qu ils sont de devoir prouver qu ils sont des citoyens loyaux qui soutiennent les politiques des Etats-Unis. La guerre contre la terreur, véritable lutte pour la citoyenneté culturelle, vient nourrir un discours culturel qui met en avant «l affrontement des civilisations» et la «radicalisation» de la jeunesse musulmane qui est, semble-t-il, étrangère aux valeurs «occidentales» et aux principes de la démocratie libérale. Pourtant, les aspects politiques de cette question ne sont pas examinés suffisamment en détail. On s interroge en effet sur la radicalisation des jeunes migrants musulmans, mais on ne s intéresse pas assez à l impact des politiques nationales qui ont radicalement modifié la vie des jeunes, des familles et des communautés, et engendré une profonde indignation et une désolidarisation de l Etat. La question qui doit se poser est la suivante : qui tire avantage de ces politiques et de cette radicalisation? Quel rôle jouent ces politiques dans la justification et la poursuite de la guerre contre la terreur? La guerre contre la terreur s est appuyée sur une surveillance des limites de la citoyenneté non seulement sur le plan juridique mais aussi culturel, qui s est traduite par le fait de définir le comportement requis de «bons» citoyens dans le contexte du «patriotisme coercitif» post-11 septembre. Il convient aussi de ne pas oublier que la guerre contre la terreur est une extension de la «guerre contre l immigration», ravivée par les groupes d extrême droite et anti-migrants depuis la fin des années 1980, qui a dépouillé les non-ressortissants de leurs droits civiques et servi à justifier des descentes de police ou des expulsions massives de migrants clandestins qui, traditionnellement, fournissent une main d œuvre à bas prix aux Etats-Unis. La «guerre contre le terrorisme» a été menée en premier lieu contre les migrants, creusant le fossé entre les citoyens et les non-citoyens et faisant de la citoyenneté une question fondamentale dans la brèche ouverte par le 11 septembre. Face à ces expériences d exclusion et aux enjeux de l appartenance, ma recherche a révélé que les jeunes migrants musulmans originaires d Asie du Sud ont développé trois manières d exprimer la citoyenneté culturelle : la citoyenneté transnationale : une appartenance nationale double, à la fois aux Etats- Unis et aux pays d Asie du Sud desquels ils sont originaires (Inde, Pakistan, Bangladesh). Ces jeunes restent en contact avec l Asie du Sud par le biais de la télévision satellite et des films ou encore de la musique qui circulent à travers les frontières, mais essayent dans le même temps de s immerger dans la culture et la société traditionnelles américaines, principalement grâce à l école et à leurs emplois à temps partiel (principal contexte dans
4 4 lequel ils ont des relations avec d autres jeunes migrants et issus des minorités, faute de temps et d argent pour les loisirs) ; la citoyenneté multiculturelle : liée aux politiques multiculturelles concernant l éducation et aux expériences quotidiennes d interaction de ces jeunes avec d autres minorités raciales ; certains ont commencé à ressentir une affinité politique avec des jeunes issus de groupes traditionnellement exclus de la pleine et entière citoyenneté culturelle, comme les Américains originaires d Afrique ou d Amérique latine ; la citoyenneté dissidente : née des préoccupations de ces jeunes migrants musulmans d une part au sujet du profilage racial aux Etats-Unis, et d autre part à propos de l invasion de l Afghanistan et de l Irak et de la politique étrangère des Etats-Unis au Moyen-Orient. La citoyenneté transnationale La citoyenneté culturelle est nécessairement liée au travail et à l éducation, autant de questions interdépendantes pour la jeunesse d origine migrante de la classe ouvrière. Pour les Asiatiques du Sud aux Etats-Unis, l expérience souvent brutale de la discrimination après le 11 septembre a été un choc, car ils avaient longtemps été considérés comme une «minorité modèle». Pourtant, les jeunes d Asie du Sud, et aussi d Amérique latine, d Afrique, du Moyen-Orient et d autres régions d Asie émigrent de plus en plus aux Etats-Unis avec leurs familles pour trouver un emploi généralement faiblement rémunéré. Les jeunes concernés par cette étude occupaient des emplois à temps partiel dans le commerce de détail ou la restauration rapide, parallèlement à leurs études. Ces jeunes travailleurs fournissent la main d œuvre flexible sur laquelle repose l économie américaine mondialisée, mais ils estiment que les politiques d immigration et de citoyenneté établissent une distinction entre les travailleurs américains et ceux qui sont nés à l étranger, ainsi qu entre les travailleurs musulmans et non musulmans depuis le 11 septembre. Pour la jeunesse migrante, ces expériences brisent le rêve américain qui l animait. Le paradoxe actuel de la citoyenneté transnationale est que, pour certains, elle est souhaitable et pour d autres, dangereuse. Les relations transnationales ont été favorisées et engendrées par le capitalisme mondial ; elles paraissaient être non seulement positives mais aussi nécessaires et même séduisantes. Cela étant, si dans certains cas la flexibilité de la citoyenneté est considérée comme favorable et encouragée par l Etat, dans d autres cas, elle apparaît comme une menace. Après le 11 septembre, du fait des liens avec des communautés, des organisations, des œuvres de charité ou des entreprises musulmanes hors du pays, les migrants musulmans ont été présentés comme des menaces potentielles pour la sécurité des Etats-Unis. Ce phénomène a affecté l existence des familles et des jeunes. Pourtant les débats théoriques, et parfois même les débats politiques sur les jeunes migrants musulmans, ignorent souvent ces questions de travail et de classe, se focalisant sur des questions d identification religieuse ou d allégeance politique, quitte à exclure quelque peu la jeunesse musulmane du marché du travail et des relations de classe, sans mentionner les politiques nationales. La citoyenneté multiculturelle Dans la sphère politique comme dans la culture quotidienne, les conceptions du multiculturalisme aux Etats-Unis favorisent la notion d une inclusion et d une exclusion
5 5 modelées principalement par des questions d appartenance et de différence culturelles, faisant généralement fi des questions d inégalité de classe et d exclusion structurelle. La «diversité» est devenue un ingrédient à célébrer et à consommer, plutôt qu une question de différence liée au problème d inégalité et d inclusion, non seulement culturelle mais aussi structurelle. Le multiculturalisme s est imposé comme une composante essentielle des politiques d éducation aux Etats-Unis, favorisant le développement du programme centré sur l Occident. Les différences culturelles, raciales et religieuses continuent pourtant d être des critères de discrimination, même dans les établissements scolaires, et d exclusion dans la sphère publique plus large. On observe souvent une contradiction puisque les groupes plus conservateurs de la société continuent à s opposer au multiculturalisme, tandis que ses partisans libéraux éludent les questions complexes concernant le pouvoir de l Etat. Les jeunes migrants musulmans de l étude estimaient aussi que certaines différences raciales ou religieuses, considérées trop menaçantes ou trop «étrangères», constituaient des justifications arbitraires à la soi-disant nécessité de surveiller et de contrôler la jeunesse musulmane, et même de la priver des droits civiques et des migrants. Alors que la citoyenneté multiculturelle soulève ces contradictions, les jeunes migrants musulmans ont essayé de faire le lien entre les questions de différence culturelle et raciale et les politiques nationales d inclusion et d exclusion, en créant des alliances avec d autres jeunes issus de minorités qui ont été victimes de discrimination et soumis à une surveillance policière. Mes travaux ont révélé que certains étudiant commençaient à se rendre compte que des situations d exclusion raciale avaient aussi été vécues par les Américains d origine africaine qui font l objet de profilage et de détention depuis bien plus longtemps et forment la minorité principale dans les établissements d enseignement supérieur et que, de toute évidence, ceux originaires d Amérique latine avaient eux aussi connu les expulsions et le profilage. La citoyenneté dissidente Malgré la surveillance rigoureuse des opinions politiques des Américains musulmans après le 11 septembre, j ai rencontré certains jeunes qui ont courageusement pris position en dénonçant publiquement leur exclusion des droits civiques et des droits des migrants et en s opposant à toute forme de violence, y compris la guerre contre la terreur. Nombreux sont ceux qui ont remis en question les guerres des Etats-Unis en Afghanistan et en Irak au nom des droits de l homme et qui ont exprimé une citoyenneté dissidente malgré un nationalisme patriote dominant. Cela n a pourtant pas été facile pour les jeunes de contester publiquement les politiques américaines, surtout pour les migrants qui n ont pas la citoyenneté légale et craignent d être arrêtés ou expulsés. Les jeunes sont généralement écartés des débats formels sur la politique publique aux Etats-Unis et, lorsqu ils y participent, c est souvent en tant que représentants symboliques de communautés musulmanes définies de façon très générale (par exemple, la majorité des Américains musulmans sont noirs). En outre, les politiques des Etats-Unis lors de la guerre de la terreur se sont de plus en plus centrées sur les Américains musulmans en tant que menace interne et ont essayé dans le même temps de promouvoir la notion de «bons» musulmans, ceux qui sont «pour les Etats-Unis», contre les «mauvais» musulmans, ceux qui critiquent les politiques des Etats-Unis. Ceci étouffe la critique politique et rend difficile le déroulement d un débat démocratique et réellement ouvert.
6 6 Conclusion Au cours de mes recherches, j ai observé que les jeunes issus de communautés qui se heurtent à une exclusion politique, économique et sociale sont profondément conscients du rôle de l Etat dans l orientation de l appartenance nationale. Les jeunes migrants musulmans des Etats-Unis se demandent si la promesse de l Etat envers la démocratie, les droits civiques et l inclusion multiculturelle est valable pour eux aussi, ou s il existe différentes catégories de droits pour différents groupes. En particulier dans la guerre contre la terreur, l idée que certains groupes d individus peuvent être privés de droits a fait de la question de la citoyenneté un sujet délicat et a engendré des cas difficiles d exclusion et des expériences douloureuses de dispersion et de disparition. Les jeunes migrants sont conscients de l impact des politiques nationales et du décalage entre la politique et la pratique dans leurs vies de tous les jours. Des mouvements en plein essor aux Etats-Unis dans lesquels les jeunes migrants sont plus ou moins impliqués ont essayé de s élever contre ces contradictions et excès des politiques nationales. Cela étant, les stéréotypes de jeunes musulmans marginalisés ou «radicalisés» abondent : les expériences quotidiennes des jeunes sont souvent noyées dans des discours hystériques propres à cultiver la peur, auxquels divers sujets fournissent la matière, et notamment des préoccupations plus larges au sujet des changements sociodémographiques, des rencontres avec des personnes d origines religieuses et culturelles différentes, ou encore des remises en question de la hiérarchie sociale et raciale aux Etats-Unis. Les questions du travail, de l immigration et des droits civiques doivent s inscrire comme des priorités pour les débats politiques concernant non seulement les migrants musulmans, mais aussi les jeunes d origine migrante et issus des minorités en général. Il est donc impératif que les responsables de l élaboration des politiques comprennent les véritables préoccupations des jeunes migrants, leurs besoins, leurs espoirs, leurs craintes et leurs doutes, ainsi que les causes profondes de leur frustration ou exclusion, qui sont liées à des questions d inclusion et d exclusion dans les sphères de l éducation, du travail, du vote et de la vie sociale au sein de la nation, et à des questions de liberté, de droits de l homme et de souveraineté dans des contextes internationaux. ¹ Ce document est un résumé de l article intitulé «Migrant and minority youth in the U.S.: Rights, Belonging and Exclusion» présenté lors de la conférence internationale sur la recherche et les politiques de jeunesse (ICYPR) «From Theory to Practice - Evidence Based Youth Policy» (De la théorie à la pratique politique de jeunesse fondée sur des observations) organisée par le ministère fédéral autrichien de l Economie, de la famille et de la jeunesse du 23 au 25 septembre 2009 à Vienne en Autriche. L article dans son intégralité peut être obtenu sur demande à l auteur : smaira@ucdavis.edu
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