DECHETS HOSPITALIERS : TYPOLOGIE RISQUES SANITAIRES ET ENVIRONNEMENTAUX TRAITEMENT REGLEMENTATION
|
|
- André Lanthier
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 DECHETS HOSPITALIERS : TYPOLOGIE RISQUES SANITAIRES ET ENVIRONNEMENTAUX TRAITEMENT REGLEMENTATION Brigitte CHARDON - CEDDES - FRANCE
2 LES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS «Les déchets d activités de soins sont les déchets issus des activités de diagnostic, de suivi et de traitement préventif, curatif ou palliatif, dans les domaines de la médecine humaine et vétérinaire. Sont assimilés aux déchets d activités de soins les déchets issus des activités d enseignement, de recherche et de production industrielle ainsi que ceux issus des activités de thanatopraxie». France : Article R.44-1du Code de la Santé Publique - Décret du 6 novembre 1997
3 SOURCES GENERATRICES DE DAS Sources majeures hôpitaux cliniques laboratoires centres de recherche morgues et centres d autopsie recherche animale banques de sang établissements de soins pour personnes âgées Sources mineures cliniques dentaires établissements spécialisés (psychiatriques, pour handicapés) acupuncteurs services ambulanciers soins à domicile piercing, tatouage
4 TYPOLOGIE DES DAS DECHETS ASSIMILES AUX DECHETS MENAGERS 85% de la production ne présentent pas de risques pour la santé et pour l environnement déchets de secrétariat, de restauration, d hôtellerie, emballages de matériel stérilisé, plâtres non souillés, DECHETS A RISQUES 15% de la production présentent des risques infectieux 10 % chimique et toxique radioactif 5% grandes quantités de matières organiques compostables, et de matériaux recyclables
5 PERSONNES EXPOSEES AUX RISQUES LIES AUX DAS personnel soignant des établissements de soins patients visiteurs personnel des services annexes : blanchisseries, manutention, transport personnel des installations d élimination des déchets grand public
6 DAS A RISQUE INFECTIEUX (DASRI) «Déchets susceptibles de contenir des agents pathogènes (bactéries, virus, parasites, champignons) en quantité ou en concentration suffisante pour causer des maladies chez des hôtes sensibles» (OMS) cultures et stocks d agents infectieux des laboratoires piquants coupants tranchants déchets de chirurgie et d autopsie de patients à maladies infectieuses déchets anatomiques déchets des patients en isolement déchets en contact avec des patients sous hémodialyse animaux infectés des laboratoires tout instrument ou matériel en contact avec des personnes ou des animaux infectés
7 LE RISQUE INFECTIEUX ASSOCIE AUX DAS Le risque infectieux est dû à la présence de micro-organismes pathogènes dans les DAS. Il varie selon la nature, la quantité, le métabolisme du micro-organisme concerné. Les micro-organismes pathogènes sont responsables de maladies infectieuses classiques, et d infections opportunistes. L exposition à ces micro-organismes peut survenir tout au long de la filière d élimination. Ils peuvent se transmettre selon différents modes : - par contact : mains, supports inertes - par voie cutanéo-muqueuse : effraction sur une peau saine ou lésée - par aérosolisation - par un vecteur
8 LA FILIERE D ELIMINATION DES DASRI tri conditionnement entreposage intermédiaire collecte entreposage centralisé enlèvement transport traitement
9 TRI ET CONDITIONNEMENT DES DASRI Le tri C est l étape clé de la gestion des DAS. - il doit se faire à la source même du déchet. - il doit être fiable et pérenne : respect des critères de simplicité, sécurité, cohérence, stabilité dans le temps, suivi Le conditionnement Il a pour objectif de protéger les personnes et d éviter la dispersion. Les emballages sont : à usage unique, identifiés (code couleur, symbole du risque biologique), adaptés aux différents types de déchets (sacs, boîtes à aiguilles, ), aux conditions de leur production, aux spécificités externes et internes de la filière d élimination. Risques : par accidents d exposition au sang (AES) : blessure et transmission de maladies (VHB,VHC,VIH)
10 COLLECTE ET ENTREPOSAGE DES DASRI La collecte Elle se fait par chariots identifiés, faciles à charger, à décharger, à nettoyer. L entreposage Il se fait en deux étapes : intermédiaire, centralisé. Deux problèmes majeurs : - l emplacement du local n est pas toujours prévu. - s il existe, il ne répond pas toujours aux normes réglementaires (accès, ventilation, sécurité, identification ) Risques -AES - ergonomie
11 DELAIS D ELIMINATION DES DASRI (entre production et traitement) pays en développement pays industrialisés France : arrêté du 7 septembre 1999 climat tempéré 72 heures en hiver 48 heures en été climat chaud : 48 heures en saison froide 24 heures en saison chaude production supérieure à 100 kg par semaine : 72 heures entre 100 kg par semaine et 5 kg par mois : 7 jours inférieure à 5 kg par mois : 3 mois
12 TRANSPORT DES DASRI En accord avec - les réglementations nationales ou, si elles sont absentes, les «Recommandations pour le transport des marchandises dangereuses» des Nations Unies - les réglementations internationales si traitement des déchets à l étranger Europe ADR : «Accord européen relatif au transport international des marchandises dangereuses par route» Les DASRI sont définies comme la classe 6.2. Principes de base : identification et traçabilité conditionnements : couleur, pictogramme du danger biologique, code UN 3291, bordereau de suivi, transporteurs agréés, installations d élimination autorisées pays en développement transport sécurisé : tri, décontamination avant transport dans des collecteurs de sécurité, note de colisage conforme aux normes réglementaires nationales ou internationales Risques professionnels, pour la population, pour l environnement
13 PARAMETRES A EVALUER AVANT LE CHOIX D UNE OPTION DE TRAITEMENT ET D ELIMINATION dans les pays industrialisés - étude préalable de la production de déchets - contraintes structurelles - contraintes organisationnelles - réglementation et normes - filières d élimination possibles - contexte socio-politique local - résultats économiques des scénarii possibles dans les pays en développement - quantité de déchets produits - existence de sites appropriés - possibilités de traitement dans des installations centrales ou proches (zones urbaine, périphérique, rurale) - précipitations et profondeur des nappes souterraines - moyens de transport fiables - examen des options utilisées dans le pays - existence d une législation nationale - existence d un plan et d une politique à l échelle nationale - existence d une réglementation de l environnement - existence d équipements et de fabricants dans le pays - acceptation par la société des méthodes et des sites de traitement et d élimination - existence de ressources humaines, financières, matérielles
14 TRAITEMENT DES DASRI Incinération pays industrialisés incinération en installation classée pour la protection de l environnement (ICPE) 850 C, récupération d énergie pays en développement incinération contrôlée ou non, incinérateurs de tailles variables basse température : < 400 C : fours à simple chambre température moyenne : C : fours à double chambre haute température : C : fours tournants
15 RISQUES LIES A L INCINERATION - Une température trop basse amène à une combustion imparfaite des DASRI : persistance du risque infectieux, risques de piqûres avec les cendres, risques de pollution du sol et de l eau, production de déchets secondaires. - L émission non contrôlée des rejets dans l atmosphère entraîne la formation de gaz toxiques : dioxines, furanes, PCB, oxydes d azote, de soufre, particules. (Europe : seuil d émission pour les dioxines : 0,1ng/Nm3) Contamination de la chaîne alimentaire (bioaccumulation) : la majeure partie de l exposition provient de l alimentation. - exposition de faible intensité et durable : atteinte du système immunitaire, anomalies de développement des systèmes nerveux, endocrinien,reproducteur - exposition de forte intensité et de courte durée : lésions cutanées, atteinte de la fonction hépatique
16 RECOMMANDATIONS POUR L INCINERATION application de bonnes pratiques à la conception, à la construction, à l exploitation, à la maintenance tri et réduction de la production de déchets outils favorisant les bonnes pratiques sélection de dispositifs sans PVC, recyclage promotion de nouvelles techniques élaboration de guides nationaux, plans, législations
17 AUTRES METHODES DE TRAITEMENT DES DASRI procédés thermiques - autoclavage - micro-ondes - dépolymérisation - torche à plasma procédés chimiques irradiation procédés biologiques
18 ELIMINATION DES DASRI Enfouissement - in situ - décharge sauvage hors site - décharge contrôlée hors site risques - professionnel (secteurs formel et informel) - pour la population - pollution du sol et de l eau
19 TRAITEMENT DES AIGUILLES ET DES SERINGUES deux possibilités : jeter l ensemble, ou séparer sur place extracteur d aiguilles destructeur d aiguilles désinfection chimique encapsulation fusion des seringues dans un four spécifique
20 DECHETS PHARMACEUTIQUES médicaments inutilisables - date de péremption dépassée - expiration de la date limite d utilisation après ouverture - autres motifs (campagne de rappel ) pays industrialisés regroupement par la pharmacie centrale de l établissement, retour aux répartiteurs et fabricants, incinération en ICPE pays en développement traitement in situ - encapsulation - neutralisation - enfouissement ou déversement dans les égouts si petites quantités retour aux fournisseurs des médicaments périmés résidus de médicaments dans les eaux de réseaux des eaux usées : risques sanitaires et écologiques - apparition de bactéries multirésistantes - génotoxicité - bioaccumulation - pollution des eaux de surface, souterraines, eaux potables
21 LES DECHETS GENOTOXIQUES pays industrialisés déchets de préparation, produits lors de la reconstitution des médicaments flacons vides, seringues, gants souillés filière DASRI flacons de produits, pleins ou entamés filière déchets industriels spéciaux (DIS) déchets de soins, produits lors de l administration aux patients compresses, aiguilles, poches filière DASRI excréta des patients (urines, selles, vomissures) neutralisation et rejet vers la station d épuration ou méthodes chimiques in situ ou incinération Compte tenu des risques toxicologiques et génotoxicologiques, la réglementation vise avant tout la protection du personnel. pays en développement encapsulation si petites quantités incinération supérieure à 850 C retour aux fournisseurs des produits périmés
22 LES DECHETS CHIMIQUES très grande diversité des risques explosif, facilement inflammable, extrêmement inflammable, comburant, toxique, très toxique, irritant, nocif, corrosif, dangereux pour l environnement très grande diversité des déchets exemple des déchets toxiques des laboratoires : liquides (produits périmés..), solides (matériel de protection souillé..) mixtes (couronnes des automates d analyse automatique ) pays industrialisés : tri, collecte séparée, traitement sur place (neutralisation ), traitement en ICPE pays en développement : incinération si petites quantités, mise en décharge contrôlée, désinfection et rejet dans les égouts si petites quantités, retour aux fournisseurs
23 LES DECHETS MERCURIELS Sources diverses tensiomètres et stimulateurs cardiaques lampes et tubes fluorescents : collecte sélective et valorisation en ICPE thermomètres (utilisation interdite dans les établissements de santé en France depuis le 20 juillet 1999) piles : collecte spécifique in situ, valorisation amalgames dentaires L équipement des cabinets dentaires en France en séparateurs est obligatoire depuis l arrêté du 30 mars 1998 : collecte spécifique, traitement en ICPE. Risques - pour la santé : surtout par l alimentation effets délétères sur les systèmes nerveux, digestif, respiratoire, immunitaire, reins - pour l environnement air (incinération) eaux (rejets non traités)
24 DECHETS RADIOACTIFS DES ETABLISSEMENTS DE SOINS générés par les sources non scellées utilisées pour - des applications in vivo, diagnostiques et thérapeutiques - des radioanalyses in vitro - faible quantité de déchets par service de production - faible ou très faible activité - extrême diversité de types de déchets - solides : piquants, mous - liquides : solvants, urines des patients - mixtes : applications in vitro - gazeux : effluents d exploration pulmonaire - présence éventuelle d autres risques sanitaires : infectieux, chimique
25 PRINCIPE DE GESTION DES DECHETS RADIOACTIFS classification des déchets en 3 types en fonction de la période radioactive T type I : T inférieure à 6 jours type II : T entre 6 et 71 jours type III : supérieure à 71 jours 2 modes de traitement selon le type de déchet types I et II traitement local par décroissance radioactive et élimination par la filière des déchets ménagers ou des DAS à risques type III pays à secteur nucléaire : prise en charge par l agence nationale responsable de l élimination, pour traitement spécifique et stockage en sites spécialisés pays en développement : retour aux fournisseurs pour traitement
26 REGLEMENTATION au niveau international 2 Accords internationaux Convention de Bâle: sur le contrôle des mouvements transfrontaliers des déchets dangereux Convention de Stockholm : sur les polluants organiques persistants (POP) 4 principes - du pollueur payeur - de précaution - du devoir de diligence - de proximité Agenda 21 (1992) prévenir et réduire la production des déchets favoriser la réutilisation et le recyclage traiter les déchets par des méthodes sans risques pour l environnement éliminer les résidus de traitement par enfouissement dans des sites contrôlés au niveau national législation nationale document politique et directives techniques
27 RECOMMANDATIONS POUR AMELIORER LA GESTION DES DAS (CGH Environmental Strategies-Vermont-USA-juillet 2002) définir clairement le problème mettre l accent sur le tri mettre en place un système de gestion des déchets piquants mettre l accent sur la réduction de la quantité de déchets assurer la sécurité des travailleurs par la formation, le port des équipements de protection garantir la sécurité de la collecte et du transport établir des plans et des politiques investir dans la formation et les équipements pour le retraitement des matériaux investir dans des technologies de traitement et d élimination sans risques développer une infrastructure pour l élimination sans risques et le recyclage des déchets dangereux développer une infrastructure pour l élimination sans risques des déchets solides ménagers
MODE OPERATOIRE NORMALISE : Date d application :
1 / 14 Prénom / Nom Date, signature Rédacteur : Tony Jamault Vérificateur : Anthony Loussouarn Approbation : Isabelle Calard Table des matières 1 OBJECTIF DU MODE OPERATOIRE ET DOMAINE D APPLICATION...
Plus en détailGestion des déchets dangereux dans les entreprises
Actualités Gestion des déchets dangereux dans les entreprises Avril 2012 - Fiche n 1 Rédigée par Margot Liatard CCIR Champagne-Ardenne Qu est ce qu un déchet dangereux? Les déchets dangereux sont des déchets
Plus en détailLe Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux. Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux?
Le Plan Régional d Élimination des Déchets Dangereux Comment mieux maîtriser production et gestion des déchets dangereux? Qu est-ce qu un Tout le monde produit des déchets dangereux via ses activités quotidiennes
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
PAGE 1/7 DATE DE MISE A JOUR : 16/11/2011 1/ - IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Identification du produit : Gaines, films, housses, et/ou sacs transparents et colorés en polyéthylène. Famille
Plus en détailTermes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires»
Termes de référence du groupe de travail «Risques professionnels et sanitaires» 1 Contexte et justification du groupe de travail 1.1 Présentation de la Plateforme Re-Sources est une Plateforme pour la
Plus en détailFiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31
Page : 1/5 1 Identification de la substance/du mélange et de la société/l'entreprise Identificateur de produit Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations déconseillées
Plus en détail3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux
3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central
Plus en détail1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants
Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier
Plus en détailFICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC
1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance
Plus en détailEmis le : 5/08/2011 Mis à jour : 10/2014
Emetteur : CRMA Limousin Page 1 sur 6 1. Quelle réglementation s applique à mon entreprise? Emis le : 5/08/2011 Toute entreprise artisanale ou industrielle est soumise au règlement sanitaire départemental.
Plus en détailMétallerie / Serrurerie
Votre activité peut être liée à celles de traitement de surface/polissage et de décapage. Si vous êtes dans ce cas, reportezvous aux fiches correspondantes. 1 Les déchets Les déchets issus de votre activité
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS
01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence
Plus en détailProcédure de tri et traitement des déchets Pro 032
Service de Sécurité Ferme de la Mouline Tél. 021 692 2570 / Fax 021 692 2575 Procédure Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Contenu 1. Objet... 1 2. Domaine d application... 1 3. Abréviations...
Plus en détailFiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3
Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.
Plus en détailA-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ
A-ESSE s.p.a. USINE OXYDES de ZINC FICHE DE SÉCURITÉ Oxyde de zinc 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM DU PRODUIT: DÉNOMINATION COMMUNE, COMMERCIALE ET SYNONYMES: UTILISATION DE
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit 2T QUAD R BIODEGRADABLE Page 1/5 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Néant Néant Non concerné 1. IDENTIFICATION
Plus en détailFICHE DE DONNÉES DE SÉCURITÉ conformément au Règlement (CE) nº1907/2006 REACH Nom : KR-G KR-G
KR-G Page 1 de 5 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE 1.1 Identificateur de produit : Nom du produit : KR-G 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance
Plus en détailFiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31
Page : 1/5 SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l'entreprise 1.1 Identificateur de produit 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations
Plus en détailSECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise Identificateur de produit Nom commercial Utilisations identifiées pertinentes de la substance ou du mélange et utilisations
Plus en détailAnnexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets
Annexe III du Protocole au Traité sur l'antarctique, relatif à la protection de l'environnement Elimination et gestion des déchets ARTICLE 1 OBLIGATIONS GENERALES 1. La présente Annexe s'applique aux activités
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ SANTÉ SANTÉ PUBLIQUE. Santé environnementale. Direction générale de la prévention des risques
SANTÉ SANTÉ PUBLIQUE Santé environnementale MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Direction générale de la prévention des risques
Plus en détailSECTION 3: Composition/informations sur les composants 3.2. Mélanges % CAS # (EC) No 1272/2008 1999/45/EC Deuterium oxide 99.
FICHE TECHNIQUE SANTE-SECURITE Selon la règlementation (CE) n 1907/2006 Date de la modification: 07/10/14 www.restek.com SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise
Plus en détailEcoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets
Ecoval : Solution économique et écologique pour le traitement de déchets Présentation d Ecoval Maroc 2 Sommaire Présentation d Ecoval Maroc Perception du Marché de déchets Objectifs de la plateforme Ecoval
Plus en détailStockage des Marchandises Dangereuses 1 Jour Transport Route 2 jours
Stockage des Marchandises Dangereuses 1 Jour Transport Route 2 jours Objectif Être capable : - d'appliquer la réglementation relative au transport des marchandises dangereuses et au stockage. - de rechercher
Plus en détailAF 2014-2015. Secteur. Titre. Comité. multimédia et récepteurs. Luminaires. nucléaires. Aspects systèmes Réseaux industriels
Demandes approuvées au regard du CAN-P-2018 AF 2014-2015 Comité CEI/CISPR/A CEI/CISPR/I CEI/SC17A CEI/SC31G CEI/SC31J CEI/SC34D CEI/SC45A CEI/SC45B CEI/SC62A Titre Mesures des perturbations radioélectriques
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailPOLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST)
POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) Etapes Actions Pilote de l action Description et type de documents 1 Définition d une politique Santé Sécurité au Travail Top Management + externe
Plus en détailVulcano Pièges Fourmis
FDS Conforme au règlement 1907/2006/CE et 1272/2008/CE 16-12-10- Page 1/5 FICHES DE DONNEES DE SECURITE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIETE Produit : Utilisation : Fournisseur : Vulcano Pièges
Plus en détailQu est ce qu un gaz comprimé?
Qu est ce qu un gaz comprimé? Il existe plusieurs produits à base de gaz ou de mélanges de gaz sous pression conservés dans des bouteilles 1. La plupart de ces gaz sont classés dans la catégorie des «gaz
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS. L exemple de l agence 13/84. Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84
ENGAGEMENTS ISO 14001 ET GESTION DES DECHETS L exemple de l agence 13/84 Service Hygiène et Sécurité Agence 13/84 Présentation Rappel de l engagement ISO 14001 de l ONF Quelques généralités sur la gestion
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailPH Moins 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE. Postbus 12 5373 ZG Herpen Pays-Bas +31 (0) 486 416 959
1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/DU MÉLANGE ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom de product Acide phosphorique 59% Article no. Substance/préperation substance L utilisation de la substance ajustement du ph
Plus en détailFICHE DE DONNEE SECURITE
Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit
Plus en détaileedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7
eedd LA PLANETE N EST PAS UNE POUBELLE 1/7 I- ETUDE D UNE PHOTOGRAPHIE DE YANN ARTHUS-BERTRAND : Stockage d ordures dans la périphérie de Saint-Domingue en République dominicaine au cœur des Caraïbes Légende
Plus en détailmodèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE
modèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE à partir du tableau SIMDUT et des fiches signalétiques Les commissions scolaires, les experts de la formation en entreprise. Durée : 3 heures Les étapes de l atelier
Plus en détailDéchets infectieux Élimination des DASRI et assimilés Prévention et réglementation
Déchets infectieux Élimination des DASRI et assimilés Prévention et réglementation L Institut national de recherche et de sécurité (INRS) Dans le domaine de la prévention des risques professionnels, l
Plus en détailSOCIETE SAMSIC ECO CONCEPTION D UN SERVICE DE NETTOYAGE INDUSTRIEL BILAN APPEL A PROJET RECHERCHE EN ECO CONCEPTION 2008.
BILAN APPEL A PROJET RECHERCHE EN ECO CONCEPTION 2008 SOCIETE SAMSIC ECO CONCEPTION D UN SERVICE DE NETTOYAGE INDUSTRIEL Pourquoi agir Pour les acheteurs publics et privés, les attentes en matière d hygiène
Plus en détailEpreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE
SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014
Plus en détailCLP : Obligations, impacts et opportunités pour les entreprises
CLP : Obligations, impacts et opportunités pour les entreprises Forum de la Sécurité et Santé au Travail Luxexpo, 27 mars 2014 Laurène CHOCHOIS Helpdesk REACH & CLP Luxembourg www.reach.lu - www.clp.lu
Plus en détailIngrédients No cas % Contrôlé par SIMDUT. Propane 74-98-6 >90 Oui Propylène 115-07-1 <5 Oui Hydrocarbures, C4+ 68476-44-8 <2.5 Oui
FICHE SIGNALÉTIQUE 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA COMPAGNIE NOM COMMERCIAL : PROPANE SYNONYMES : Diméthylméthane UTILISATION DU PRODUIT : Carburant NUMÉRO DE LA FS : 251-300 NOM DU FOURNISSEUR NUMÉROS
Plus en détailGestion écoresponsable des déchets
Gestion écoresponsable des déchets R E C Y C L E R, V A L O R I S E R E T E L I M I N E R P O U R P R E S E R V E R L E N V I R O N N E M E N T E T C O N T R I B U E R A U D E V E L O P P E M E N T D U
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détail19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS
19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS Rapport de présentation / Diagnostic Dossier de PLU approuvé 255 19.1 LES ORDURES MENAGERES ET EMBALLAGES MENAGERS RECYCLABLES La prestation de collecte des
Plus en détailRecycler mes lampes? Une idée lumineuse. En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent!
Recycler mes lampes? Une idée lumineuse En plus d être économiques, les lampes basse consommation se recyclent! Prévu par deux règlements européens relatifs à l éco-conception des lampes, le retrait progressif
Plus en détailLes impacts cachés des TIC. Quels enjeux et quelles actions concrètes?
Les impacts cachés des TIC Quels enjeux et quelles actions concrètes? Eric Drezet Fête de la Science CRHEA, Valbonne 19/11/2013 1 Plan Conclusion Derrière mon PC une avalanche numérique Des conséquences
Plus en détailSECTION 1- Identification de la substance/du mélange et de la société / entreprise
Famille : AMENDEMENT MINERAL BASIQUE ENGRAIS AVEC ADDITIF AGRONOMIQUE NF U 44-204 Amendement calcaire, dolomie et gypse NFU 44-203 avec préparation microbienne : RHIZOCELL (AMM n 1110014) AGRI-BIOTECH
Plus en détailLe but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION
LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Date de révision : 04/08/2015 Version n 3 SECTION 1. IDENTIFICATION DU MELANGE ET DE LA SOCIETE 1.1 Identificateur de produit Nom : XROL 15 Code produit : 905 1.2 Utilisation
Plus en détailSOMMAIRE SOMMAIRE. Politique Education de la Région Développement Durable Collecte des déchets dans les lycées DEEE
52 000 lycéens 65 lycées publics (1,2 millions de m² de locaux) 39 lycées privés 1 Les priorités comtoises en matière d éducation par de nouvelles politiques L accès pour tous à l éducation Gratuité des
Plus en détailPlan individuel de prévention et de gestion des déchets pour les déchets d équipements électriques et électroniques
Plan individuel de prévention et de gestion des déchets pour les déchets d équipements électriques et électroniques Le plan doit être introduit en langue française ou néerlandaise. Les données sont reprises
Plus en détailPOLITIQUE ADMINISTRATIVE ET PROCÉDURE GESTION DES MATIÈRES DANGEREUSES
Cégep de Saint-Jérôme Politique M A 1 3 2002 POLITIQUE ADMINISTRATIVE ET PROCÉDURE GESTION DES MATIÈRES DANGEREUSES Responsable : Coordonnateur des ressources matérielles Approbation : Comité exécutif
Plus en détail4-DECHETS INDUSTRIELS SPECIAUX (DIS) HORS ACTIVITES SCIENTIFIQUES
4-DECHETS INDUSTRIELS SPECIAUX (DIS) HORS ACTIVITES SCIENTIFIQUES Cette partie regroupe l'ensemble des déchets pouvant être générés par les activités courantes d'un établissement d'enseignement supérieur
Plus en détail«Stockage des déchets ultimes, la solution Stocamine» Siège social : avenue Joseph-Else 68310 Wittelsheim
«Stockage des déchets ultimes, la solution Stocamine» Siège social : avenue Joseph-Else 68310 Wittelsheim Dates et faits marquants 1987 : études de l ANDRA sur le comportement du sel des Mines de Potasse
Plus en détailValorisation matière (réutilisation, récupération, recyclage, compostage, biométhanisation)
GUIDE JURIDIQUE : LES PRINCIPALES RÉGLEMENTATIONS RELATIVES AUX DÉCHETS Dernière révision du document : février 2013 Ce guide propose une approche simplifiée des textes de lois relatifs aux déchets en
Plus en détailRECOMMANDATIONS EN MATIÈRE DE GESTION DES DÉCHETS DE SOINS DE SANTÉ
Conseil Supérieur d Hygiène RECOMMANDATIONS EN MATIÈRE DE GESTION DES DÉCHETS DE SOINS DE SANTÉ ------> TABLE DES MATIERES Conseil Supérieur d Hygiène RECOMMANDATIONS EN MATIÈRE DE GESTION DES DÉCHETS
Plus en détailHUMI-BLOCK - TOUPRET
FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET
Plus en détailFiche de données de sécurité
Produit TRANSOIL 140 Page 1/6 Etiquette du produit ETIQUETAGE (d usage ou CE) Phrases de risque Conseils de prudence ETIQUETAGE TRANSPORT Non concerné Non concerné 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA
Plus en détailFiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3
Nom commercial : GESAL PROTECT SPRAY ANTI-FOURMIS ET Date: 13.0.2010 Nr. Article- Produit : 49142 Page: Page 1 sur En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032
Plus en détailREFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE
REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE 1 ACTIVITES TECHNIQUES AIDE DENTAIRE / GESTION DU RISQUE INFECTIEUX Préparer et entretenir la salle de soins Entretenir la salle de stérilisation
Plus en détailHygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009
Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage Jeudi 28 mai 2009 Alain LEFEBVRE - Cadre supérieur de santé Hygiéniste 1 Le bio nettoyage
Plus en détailGrâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE
la Grâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE Filiale du Groupe Suez Environnement et Leader en France,
Plus en détailLes risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013
Les risques professionnels en EHPAD Carsat-am, juin 2013 Principaux risques professionnels Risques liés aux manutentions /mobilisation de personnes, lombalgie, TMS Déplacements, mobilisation de personnes
Plus en détailNETTOYANT MULTI USAGE ECOLOGIQUE 5L
SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise 1.1 Identificateur de produit Désignation commerciale Code du produit : : PE450 1.2 Utilisations identifiées pertinentes
Plus en détailBRICOLAGE. Les précautions à prendre
BRICOLAGE Les précautions à prendre Chaque année, près de 300 000 personnes arrivent aux Urgences à la suite d un accident de bricolage et/ou de jardinage. Respecter quelques règles simples de prévention
Plus en détailFénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons?
LYCEE FENELON : démarche Qualycée en cours Quels sont les efforts réalisés à Fénelon pour contribuer au tri sélectif et à la valorisation des déchets que nous produisons? 16/03/2015 tri sélectif à Fénelon
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détail1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE
1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PRÉPARATION ET DE LA SOCIÉTÉ/ENTREPRISE Nom commercial Fournisseur Service des renseignements Renseignements en cas d'urgence Andermatt Biocontrol AG Stahlermatten 6,
Plus en détailRéflexe Prévention Déchets
Réflexe Prévention Déchets Secteur des Travaux Publics 2 ème ½ journée Plan de la présentation 1. La prévention, de quoi parle-t-on? Concept, bénéfices attendu, illustrations 2. Produits innovants et retours
Plus en détailFournisseur Safety Kleen Systems, Inc. 2600 North Central Expressway, Suite 200 Richardson, TX 75080 USA T (800) 669 5740
N 82792 FR Conformément à la réglementation américaine suivante : Federal Register / Vol. 77, No. 58 / Monday, March 26, 2012 / Rules And Regulations Date de révision : 11/05/2015 Date de la version :
Plus en détailFiche de données de sécurité selon 1907/2006/CE, Article 31
Page : 1/6 SECTION 1: Identification de la substance/du mélange et de la société/l'entreprise 1.1 Identificateur de produit Code du produit: 5190-8729 1.2 Utilisations identifiées pertinentes de la substance
Plus en détailCahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde
Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?
Plus en détailNotice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 relatif au bordereau de suivi des déchets dangereux
Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 Décret n 2005-635 du 30 mai 2005 Arrêté du 29 juillet 2005 Notice explicative du formulaire CERFA n 12571*01 relatif au bordereau de suivi des déchets
Plus en détailDocument unique d évaluation des risques professionnels
Document unique d évaluation des risques professionnels La loi n 91-1414 du 31 décembre 1991 (article L.230-2 du Code du travail), demande au chef d établissement de prendre toutes les mesures nécessaires
Plus en détailFiche de données de sécurité
1 Identification de la substance/préparation et de la société/entreprise 1.1. - Identification de la substance ou de la préparation FREECAN 1.2.- Emploi de la substance : déboucheur Concentrations utilisées:
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailL AUDIT DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES SUR LE TRI DES DECHETS AU CENTRE DE READAPTATION DE MULHOUSE ET LA DYNAMIQUE D AMÉLIORATION
L AUDIT DES PRATIQUES PROFESSIONNELLES SUR LE TRI DES DECHETS AU CENTRE DE READAPTATION DE MULHOUSE ET LA DYNAMIQUE D AMÉLIORATION Martine HELL - Jean-Claude SCHREPFER 2ème rencontre RMS Strasbourg 25-26
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailFICHE DE DONNEES DE SECURITE. 1 Identification de la Substance / du Mélange et de la Société / l Entreprise
FICHE DE DONNEES DE SECURITE MAURAN SAS Modèle conforme au Règlement Européen n 453/2010 NOM PRODUIT : Indice et Date de mise à jour : Page : 1/7 1 Identification de la Substance / du Mélange et de la
Plus en détailGuide 2015. Ordures ménagères
Guide 2015 Ordures ménagères CDC de Podensac 12 rue du M al Leclerc-de-Hauteclocque Tel 05 56 76 38 00 environnement@cc-podensac.fr www.cc-podensac.fr EDITO Bernard Mateille Président de la CDC Maire de
Plus en détail«Actualités réglementaires en radioprotection»
Contenu des informations à joindre aux D. ou demande d Autorisation Cyril THIEFFRY Sûreté Nucléaire et Radioprotection Arrêté du 29 janvier 2010 portant homologation de la décision n 2009-DC-0148 de l
Plus en détailEst-elle bonne à boire?
Environnement et Travail Gestion de l environnement et des aires naturelles L eau de votre puits Est-elle bonne à boire? 1 Cette série de brochures décrit ce que les propriétaires de puits privés peuvent
Plus en détailProtection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009
Protection de la ressource et Métiers de l Automobile Intervention du 12 octobre 2009 Intervention 1. Le CNPA et le Défi de l Environnement 2. Environnement et Métiers de l Automobile 3. Le parcours du
Plus en détailArrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.
Arrêté royal du 27 mars 1998 relatif à la politique du bien-être des travailleurs lors de l exécution de leur travail (M.B. 31.3.1998) Modifié par: (1) arrêté royal du 3 mai 1999 relatif aux missions et
Plus en détailIDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE ET DE LA SOCIÉTÉ. APPLICATION ET UTILISATION: Huile en aérosol pour contact accidentel avec la nourriture (ACIA N).
FICHE SIGNALÉTIQUE SECTION #1 IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM COMMERCIAL: NEVASTANE LUBE AEROSOL NOMS CHIMIQUES ET SYNONYMES: MÉLANGE NOM ET ADRESSE DU FABRICANT: TOTAL LUBRIFIANTS
Plus en détailPOURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS
Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS
Plus en détail1. Identification de la substance/préparation et de la société/entreprise
1. Identification de la substance/préparation et de la société/entreprise Identification de la substance ou de la préparation Art.-No.: 593 0704, 593 0711, 593 0728, 593 0735, 593 0742 Utilisation de la
Plus en détailÀ recycler ou pas? Guide pratique du tri
À recycler ou pas? Guide pratique du tri Pour trier, quels sont vos équipements? Pour les bouteilles et flacons en plastique, les emballages métalliques, les cartonnettes et les briques alimentaires Pour
Plus en détailPRIMAIRE MUR ET PLAFOND
Fiche de données de sécurité Édition révisée n 2 Date 19/01/2015 PRIMAIRE MUR ET PLAFOND SECTION 1 Identification de la substance/du mélange et de la société/l entreprise 1.1. Identificateur de produit
Plus en détailDIRECTIVES POUR LES BONNES PRATIQUES DE GESTION RATIONNELLE DES PRODUITS CHIMIQUES EN MILIEU INDUSTRIEL
المملكة المغربية Royaume du Maroc Ministère Délégué auprès du Ministre de l Energie, des Mines, de l'eau et de l Environnement, chargé de l Environnement DIRECTIVES POUR LES BONNES PRATIQUES DE GESTION
Plus en détailGUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE
GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs
Plus en détailLES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE
LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE LES DOUCHES ET LES BASSINS OCULAIRES D URGENCE Tous les jours, des milliers de Néo-Brunswickois travaillent près de produits chimiques dangereux. Même si
Plus en détailRéférences et partenaires :
Eric RIPERT, 49 ans, Formateur - Consultant depuis 1995 dans les domaines HYGIENE SECURITE ENVIRONNEMENT. (H.S.E) Formateur et coordinateur de pôle en 2010 dans un centre de formation de premier plan sur
Plus en détailPartie V : DÉCLARATION
FORMULAIRE DE DEMANDE CERTIFICAT D APTITUDE À LA SÉCURITÉ DU MANITOBA (CAS) Nouveau Renouvellement - N CNS : MB Partie I : RENSEIGNEMENTS SUR LE DEMANDEUR Le demandeur est (cochez une seule réponse) :
Plus en détailCONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI)
3, rue Malakoff Immeuble le forum 38031 Grenoble cedex 01 : 04 76 59 59 59 Fax : 04 76 59 57 26 CONVENTION POUR LA COLLECTE DES DECHETS D ACTIVITES DE SOINS A RISQUES INFECTIEUX (DASRI) Convention pour
Plus en détail