Préparation des cytotoxiques en séries Audrey Hurgon

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Préparation des cytotoxiques en séries Audrey Hurgon"

Transcription

1 Préparation des cytotoxiques en séries Audrey Hurgon Pharmacie Institut Curie Paris

2 Cytotoxiques: Dose banding et fabrication en séries Dose banding La définition Son concept clinique Méthodologie : exemple de l Institut Curie Organisation de la fabrication Fabrication en séries automatisée Résultats 2

3 3 DOSE BANDING: DEFINITION

4 «Dose banding» issu du concept anglais : Définir des bandes ou fourchettes de dose avec des intervalles définis ( par exemple écart +/- 5 % fixé de façon arbitraire ou selon l index thérapeutique de l anticancéreux) Exemple : Endoxan Intervalles de dose (band) Dose standard SC comprise entre 725 mg mg 750 mg 1, 45 1, 55 m² 775 mg 825 mg 800 mg 1, 55 1,65 m² 825 mg 875 mg 850 mg 1,65 1, 75 m² Détermination de la dose standard qui correspond en général à la moyenne des doses de la «band». (1 et 2) Selon la surface corporelle du patient et la posologie, calcul de la dose prescrite en se rapportant au tableau Exemple pour une SC à 1, 72 m² à 500mg/m², dose sans standardisation de 860 mg, si en standardisation 850 mg seront precrits (1) Plumridge RJ, Sewell GJ : Dose-banding of cytotoxic drugs : a new concept in cancer chemotherapy. Am J Health Syst Pharma 2001;58: (2) Kaestner SA, Sewell G :J : Chemotherapy dosing part II : alternative approaces and future prospcts. Clin Oncol 2007 ; 19 :

5 Prescription et fabrication de doses arrondies Réalisation habituelle en milieu hospitalier mais non systématisée Selon le flaconnage Selon le volume à prélever Selon le prescripteur. Standardisation des doses est de systématiser la pratique d arrondi en s appuyant sur la clinique et la concentration du produit. 5

6 DOSE BANDING: CONCEPT CLINIQUE 6

7 Adieu le concept du mg près 1966 : Posologie d anticancéreux ajustée à la surface corporelle (SC) pour diminuer la variabilité intra et interindividuelle patient(1) et index thérapeutique faible des anticancéreux. Doses uniques aussi efficaces que celles calculées avec la SC : rituximab, trastuzumab, docétaxel, cisplatine, vinorelbine (2) Interrogation sur l ensemble des facteurs pouvant influencer la dose systémique réelle (2) (calcul imprécis de la SC ) Prescription des formes orales des anticancéreux, des thérapies ciblées orales, de certains anticorps, des antalgiques. Preuves en pharmacocinétique du concept de standardisation des doses (2) (3) Application en clinique de la standardisation des doses (4), (5) (1 ) Pinkel D, Cancer Res 1958; Freireich EJ et al. Cancer Chemother Rep 1966 (2) Mathijssen, R. H.J. et al. Oncologist 2007;12: et essais de phase I (3) E Chatelut: Dose banding as an alternative to body surface area based dosing of chemotherapy agents;bjc 2012 (4) Katsner.. Acceptation des medecins (5) AL Pouliquen

8 La surface corporelle Mathijssen, R. H.J. et al. Oncologist 2007;12:

9 Posologie et surface corporelle PRESCRIPTION Index thérapeutique faible des anticancéreux va conditionner leur maniabilité Détermination de la dose lors des essais de phase I ou I-II en déterminant la dose maximale tolérée Historique de prescription des premiers anticancéreux Objectif : limiter la variabilité interindividuelle Pinkel (1958) : lien entre surface corporelle et détermination des doses (études d évaluation de substances actives anticancéreuses) Freireich (1966) : meilleure corrélation entre les doses toxiques lorsque rapportées à la surface corporelle chez homme et animal SURFACE CORPORELLLE: surface de peau (en fonction de la taille et du poids) Hypothèse de corrélation de tous les paramètres physiologiques à la surface corporelle (volume sanguin, taux de protéines plasmatiques, fonction rénale) datant de la fin du XIX ème siècle 9 pharmacocinétique et pharmacodynamique Adaptation de la posologie des anticancéreux en fonction de la surface corporelle

10 Rationnel de la SC remis en cause Erreur de calcul Selon la formule de calcul de surface corporelle utilisée Lors de la prise des mesures (toise, balance) non réévaluées lors des autres cycles Risque d erreur lié à l utilisation de réglettes et nomogrammes : 13 % Imprécisions et approximations Arrondir à la dose entière la plus proche (100 mg pour 97 mg) Limiter la surface corporelle à 2 m² Réduire arbitrairement la dose chez les patients âgés Rarement escalade de dose en absence de toxicité Risque de sous dosage Cas particulier de l obésité Poids corporel actuel / Poids corporel idéal (pas de formule actualisée) 10

11 Rationnel de la SC remis en cause Gillian : how to implent dose banding of chemotherapy, cancer network pharmacist forum,

12 Qu est ce qui joue sur la dose systémique reçue par le patient? La maladie elle même : localisation tumorale, ascite, chirurgie, cachexie, infection, le volume tumoral Traitement de chimiothérapie: voie, modalités de préparation, d administration temps de perfusion, les traitements concomittants Caractéristiqu es du patient : sexe, ethnie, poids, taille, âge La surface corporelle et ses limites de mesure Exposition du patient Polymorphism e génétique Mathijssen, R. H.J. et al. Oncologist 2007;12: Les médicamments associés : antifongiques, antihypertenseurs, antibiotiques, anxyolitiques, supplémentations, les vitamines, la phytothérapie et autres traitements Les données biologiques: fonction rénale, la fonction hépatique, le taux d albumine Mode de vie du patient : Adhérence au traitement Nourriture, la phytothérapie

13 Substance active anticancéreuse Busulfan IV Capécitabine Cisplatine Cyclophosphamide Docétaxel Doxorubicine Epirubicine Etoposide Conclusions Pas de corrélation entre surface corporelle et clairance. La posologie pédiatrique est exprimée en fonction du poids. Pas d influence de la surface corporelle sur les paramètres pharmacocinétiques Pas de corrélation entre la clairance et la surface corporelle Corrélation négative entre le poids et la clairance après ajustement à la surface corporelle Seul effet cliniquement significatif sur la diminution de la clairance : modification du taux d enzymes hépatiques Clairance non corrélée à la surface corporelle - Aucune corrélation entre la surface corporelle et les paramètres pharmacocinétiques ou le degré de neutropénie - La normalisation de la dose d épirubicine selon la surface corporelle ne semble pas réduire les variabilités PK et PD - Chez 10 patients, une large variation de clairance a été retrouvée (de 500 à 2000 ml/min), corrélée au poids corporel maigre, mais pas à la surface corporelle ni au poids corporel total - Sur 45 patients randomisés en deux groupes : étoposide 125 mg/m²/jour ou dose individualisée : aucune relation entre la clairance de l étoposide et la surface corporelle n a été retrouvée. - Une corrélation entre la clairance de l étoposide et l albuminémie, les protéines sériques, la créatinine sérique a été retrouvée, mais aucune corrélation n a été démontrée avec la surface corporelle. 5-Fluorouracile Ifosfamide Irinotecan Méthotrexate Topotécan La surface corporelle n a pas d influence significative sur la clairance Clairance non corrélée à la surface corporelle La surface corporelle ne prédit pas la clairance ni la pharmacocinétique de SN-38 La normalisation selon le poids ou la surface corporelle n affecte pas la variabilité interpatient Haute variabilité inter et intrapatient quand la dose est calculée selon la surface corporelle

14 Substance active anticancéreuse Conclusions Busulfan per os La surface corporelle est un paramètre significatif de la clairance Eniluracil/5FU Clairance corrélée à la surface corporelle Gemcitabine Paclitaxel Temozolomide PK influencée par le sexe, la surface corporelle et la durée de perfusion Relation significative entre clairance et taille Distribution du paclitaxel significativement corrélée à la surface corporelle Clairance augmentée avec la surface corporelle La dose de témozolomide devrait être individualisée selon la surface corporelle 14

15 Quelques médicaments non prescrits en fonction de la BSA Antibiotiques Antihypertenseurs Antidabétiques Antalgiques Carboplatine Thérapies ciblées orales Anticorps 15

16 Conclusion du rationnel de surface corporelle Imprécision importante de sa détermination Pas de corrélation avec les paramètres de pharmacocinétique Arrondi de dose pour les prescriptions de chimiothérapie per os Concept de détermination de dose remis en question 16

17 Flat dose et chimiothérapie cytotoxique Mathijssen, R. H.J. et al. Oncologist 2007;12:

18 18 BJC, 2012

19 Dose banding : expérience UK Kaestner et Sewell Je connais Les patients attendent J accepte 19

20 METHODOLOGIE EXEMPLE DE L INSTITUT CURIE 20

21 Évaluation de la faisabilité de la standardisation des doses dans deux centres hospitaliers Données de Curie Thèse AL. Pouliquen, oct 2008, Paris XI 21

22 Évaluation de la faisabilité de la standardisation des doses dans deux centres hospitaliers Données de Curie Recensement des anticancéreux prescrits sur l année 2007 (Chimio, Phedra T2A) Détermination des substances actives à standardiser Fréquence de fabrication > 250/an Stabilité physicochimique Arguments financiers Cohorte homogène de patients, réattribution possible Facilité d obtention des données (liste hors GHS) 7 substances actives 4 anticorps monoclonaux : cétuximab, rituximab, trastuzumab, bévacizumab 3 substances actives anticancéreuses : gemcitabine, paclitaxel, docétaxel 22

23 Évaluation de la faisabilité de la standardisation des doses dans deux centres hospitaliers Données de Curie Critères de détermination des doses 5 doses standards maximum Pourcentage de standardisation de la production > 60 % Volume facile à prélever Stabilité des préparations Possibilité de trouver des doses arrondies communes sur 2 établissements Dose standardisation of anticancer drugs,anne-lise Pouliquen Laurence Escalup Nathalie Jourdan Paul Cottu Pierre Faure Isabelle Madelaine-ChambrinInt Int. J Clin Pharm, 2011 Jan

24 navelbine

25 Matériel et Méthodes Définir les molécules et les doses arrondies Modalités de prescription Création d un groupe pluridisciplinaire médecins, pharmacologue, infirmiers, financier, préparateurs, pharmaciens Définir le type de préparation s (stock ou pas) Le circuit pharmacote chnie et les équipement s (automate, pompes )

26 Choix des doses arrondies Recueillir toutes les doses prescrites sur une période définie (selon évolution des protocoles) par molécule Analyser la fréquence de prescription de chaque dose Déterminer avec le groupe les arrondis acceptables cliniquement (toxicité, essais phase I, expérience clinique, rythme d administration (J1 ou en Jn)),vérifier la cohérence par protocole (Ex : FEC) et détermination également le volume de DCI à prélever Acter ces arrondis au sein de l ensemble des prescripteurs Définir qui fera l arrondi de dose : Médecins prescripteurs, pharmaciens ; programmer dans le logiciel de prescription ou non ; selon le malade ou en systématique Révision régulière en fonction des évolutions cliniques 26

27 Travail préliminaire Création d un groupe de travail : médecin leader, pharmacien leader, IDEs, préparateurs Les doses arrondies ont été déterminées selon les analyses des prescriptions antérieures (sur 2 années) et validées par les cliniciens : Comedims et réunion DOM Co-développement avec Computeur Engenerring d un nouveau module de prescription en «dose standard» (en attente pour le module de la fabrication) Programmation de la base de donnée (révision des stabilités, des modalités de conservation et programmation des fourchettes de dose) Organisation de l UPAC, équipement de stockage 27

28 Mise en place Mise en production en janvier 2010 : Taxotère ( 5 dosages: 150, 160, 170, 180, 190) puis en mars prise en charge de la Navelbine (4 dosages 35, 40, 45, 50 mg) Puis avril : 5FU (5 dosages 750,800, 850, 900, 1000 mg) Endoxan (5 dosages 750, 800, 850, 900, 1000 mg) Epirubicine (4 dosages 40, 50, 80, 100 mg) Prise en charge du paclitaxel par l automatisation 2011 Reste le trastuzumab non encore pris en charge en fabrication à l avance mais prescrit en dose arrondie 28

29 Endoxan :analyse des doses prescriptions concernant l HDJ (FEC-AC)/an 72 doses différentes de 400 mg à 1500 mg 29

30 Endoxan scriptions doses prescrites

31 Endoxan Doses en mg Intervalle de dose Intervalle de SC pour 500 mg/m² Nombre de doses 750 mg mg mg mg mg m² % de doses arrondies

32 Epirubicine 97 doses différentes pour 1874 préparations De 50 mg à 200 mg 32

33 Epirubicine nombre de préparations doses en mg 33

34 Epirubicine Perfusion du produit par IVD donc préparation en seringue (surveillance lors de l administration) Préparation de seringues de volume différents qui seront combinées: Seringues à 40, 50,80 et 100 mg Ajustement des posologies de dix en dix. 34

35 Gemcitabine 74 doses pour 655 prescriptions Allant de 980 mg à 2500 mg 35

36 Gemzar

37 Herceptin 105 doses et 3142 préparations Allant de 90 mg à 790 mg 37

38 Herceptin

39 Herceptin Doses en mg Intervalle de dose en mg Intervalle de poids à 6mg/kg Nombre de doses 300 mg kg- 55 kg mg kg- 65 kg mg kg-75 kg mg kg-85 kg % des prescriptions 39

40 ORGANISATION DE LA FABRICATION 40

41 Problématique actuelle des unités EXIGENCES Augmentation d activité : GH ; sous-traitance. Progression des HDJ Limiter le temps d attente des patients CONTRAINTES Moyens affectés : personnel, équipements, locaux Contraintes de fonctionnement : techniques (maintenance), calendrier (semaines à 3 ou 4 j) ; horaires d ouverture Variabilité de la production sur 2 jours consécutifs : +/- 20%. Doses arrondies/ anticipation 41 41

42 Choix des circuits pharmaceutique et mode de fonctionnement 42

43 Définir le type de préparation des doses arrondies 1. Préparations anticipées sans prescription (stock de doses arrondies) 2. Préparations anticipées avec prescription 3. Prescription en dose arrondie uniquement (préparation au fil de l eau) Selon l organisation le choix des bons candidats à la standardisation évolue 43

44 Le médecin prescrit soit : En dose arrondie Sans arrondi Stock de préparations Dispensation Contrôle de dispensation Envoi dans le service Si retour de la préparation remise en stock Préparation soit par anticipation soit en temps réel Contrôle Envoi au service Si retour : réattribution à un autre patient systématique Préparation Contrôle Envoi au service Si retour difficulté de le réattribuer 44

45 Les bons «candidats» à la standardisation pour une préparation anticipée sans prescription (stock) 1 DCI = 5/6 doses standard maximum Pourcentage de standardisation doit être supérieur à 60 % Cohorte importante de patient permettant une réattribution Volume facile à prélever Si choix de seringues : DT = max 3 seringues dispensées Stabilité physicochimique > 14 jours (optimum 21 jours) de la préparation Coût de la DCI Facilité de préparation ( solution prête à l emploi), volume de prélèvement limité 45

46 Les bons «candidats» à la standardisation pour une préparation anticipée avec prescription (préparation nominative la veille) 1 DCI = 5/6 doses standard maximum Pourcentage de standardisation doit être supérieur à 60 % Volume facile à prélever Si choix de seringues : DT = max 3 seringues dispensées Stabilité physicochimique > 14 jours de la préparation 46

47 Les bons «candidats» à la standardisation pour une préparation au fil de l eau en dose arrondie 1 DCI > 5 à 6 doses avec intervalle faible correspondant uniquement à des : Volumes faciles à prélever pour améliorer la qualité de prélèvement Cohorte homogène de patient pour réattribution 47

48 En pratique : Les bons «candidats» Historiquement : 5FU ; cyclophosphamide ; methotrexate (protocole CMF) ; epirubicine ; gemcitabine carboplatine vinorelbine Actuellement : Anticorps Posologies en mg/m² ou mg/kg Futures AMM en doses fixes Anticancéreux : Taxanes ; pemetrexed ; oxaliplatine ; etopophos ; bortezomib Une même spécialité peut avoir plusieurs % d acceptation : ex : 5FU : bolus et diffuseur Tenir compte de la toxicité des spécialités : ex : cisplatine. Homogénéité de prescription retrouvée permet de proposer meme DS : ex : docetaxel ; gemcitabine 48

49 En pratique : les autres spécialités Certains : ne pas proposer : ex : prescriptions de pédiatrie ; busulfan, vinblastine. Nouvelles spécialités : onéreuses et avec peu de données de stabilité : proposer les doses standard après quelques mois d observation des posologies? 49

50

51

52 FABRICATION EN SERIES AUTOMATISEE 52

53 Pourquoi automatiser? Ergonomie de travail à améliorer Difficulté de recrutement de préparateurs et attractivité de ce travail en série Standardisation des doses Augmentation d activité à m2 constant 53

54 MARCHE DES AUTOMATES 2 catégories de systèmes automatisés : Les pompes de remplissage Repeater Onco Plus Smartfiller Les systèmes robotisés Cytocare RIVA Pharmahelp IV station Onco 54

55 MARCHE DES AUTOMATES Les pompes de remplissage Repeater Smartfiller Onco Plus Diana Simples mais non sécurisées Préparation de monoproduit car tubulure unique 55

56 MARCHE DES AUTOMATES Les systèmes robotisés Cytocare RIVA Pharmahelp IV station Onco Réalisent des tâches plus complexes, contrôles intégrés Validation 56 des outils

57 MARCHE DES AUTOMATES Les systèmes robotisés 1 er type: Cytocare, RIVA, IV Station, Apoteka

58 MARCHE DES AUTOMATES Les systèmes robotisés 2ème type: Pharmahelp Integra Choix de l Institut Curie 58

59 ORGANISATION DU PROCESS AUTOMATISE Travail en séries DCI et dosages pris en charge par l automate Nombre de séries/jour Planification Anticipation Effectifs Matériel et outils associés 59

60 ORGANISATION DU PROCESS AUTOMATISE Ex de planification Ordre de préparati on Date DCI/dosage Nom bre de prep N camp agne Reliquats nb flac ons Flacons lot / péremption Poches lot / péremption 14/05/ mai 5FU 800 mg mai 14- mai 14- mai 14- mai 02H30D 08/2014 Endoxan 800 mg K783 11/2015 Reconstitutio n K783 11/2015 Paclitaxel 138 mg Taxotère 160 mg CG /2014 2F861A 05/ GCF261 03/ GCF261 03/ FHL243 08/ GCF101 02/ GCF101 02/

61 ORGANISATION DU PROCESS AUTOMATISE Stérilisation du matériel Pose et purge des perfuseurs 61

62 ORGANISATION DU PROCESS AUTOMATISE Pesée initiale des poches et flacons Reconnaissance par capture vidéo des flacons 62

63 ORGANISATION DU PROCESS AUTOMATISE Process Pesée finale des poches et flacons Etiquetage 63

64 ORGANISATION DU PROCESS AUTOMATISE Libération pharmaceutique Entrée en stock 64

65 65

66 66

67 67

68 68 RESULTATS

69 nombre de prescriptions Endoxan : graphe de la variabilité doses prescrites : Endoxan doses prescrites 69

70 Herceptin : graphe de la variabilité doses prescrites : Herceptin

71 Résultats Doses arrondies/ totalité des doses en %(valeur cible) A 3 mois de des DA Adhésion des médecins en % En 2011 A 3 mois En 2011 Epirubicine 97 (97) 99, FU 86 (91) Temps en minutes de mise à disposition de la poche 16.2 (6-35) Endoxan 83,5 (83) Vinorelbine 96,6 (88) (0-30) Docetaxel +130; 200 mg 61 (61) (3-40) Paclitaxel (2011) 64 (74) 90 71

72 Résultats de préparations réalisées dont pour l HDJ adulte (69%) soit séjours Doses arrondies stockées (hors herceptin) 36.66% de l ensemble des préparations et 46 % de l HDJsont réalisées en doses standards 72

73 Résultats sur le délai de mise à disposition : analyse d une semaine Délai entre la validation et la mise à disposition dans le service des doses arrondies: 14 minutes (minimum 5 min, maxi 1H si associée à une autre chimio) Délai des préparations prescrites le jour même: 1h01 (min 30 min- maxi 2h05 ( Essais cliniques) Délai avec préparations anticipées: 30 min (min 0-2h05) Délai global avec anticipation et doses arrondies: 24 min Délai avant ces résultats 75 minutes 73

74 Autres résultats % de récupération : 100 % des doses arrondies retournées sont réattribuées (491 poches) Versus préparations non arrondies : 71 % réattribuées % de poches jetées : Préparations non arrondies : 435 jetées soit 1, 4% Préparations arrondies : non-conformité automate 102 poches et 113 poches périmées soit 1,4 % de la production arrondies 74

75 Avantages Aucune plainte d un médecin sur un arrondi Temps d attente patient diminué Réorganisation des unités avec meilleure qualité de préparation Réattribution simplifiée Gestion des reliquats facilitée Des pertes 75

76 Des nouvelles possibilités organisationnelles Combinaisons de seringue (modèle anglais) Préparation prête à l emploi : de la préparation magistrale à la préparations par campagnes/lots Préparations manuelles ou avec l aide d un automate : pompes, robots Étape d attribution : 20 mn au lieu de 1h15 : Permet de faire face aux prescriptions tardives De lisser l activité de production et de contrôle. 76

77 Statut de la préparation Préparations hospitalières à privilégier? (obligatoire si poche mère répartie ensuite, obligatoire si chaque préparation n a pas un identifiant unique) Contrôles et assurance qualité validées Microbiologique : - Environnement avant et après lot de fabrication (libération aux résultats de ce contrôle) - Prélèvement d une poche? Sensibilité des tests microbiologiques d anticancéreux De teneur : soit par analytique (sur la poche mère et sur les préparations finales) si par répartition s assurer que le volume final de la poche est correct, soit par pesée en validant l ensemble du processus (validation analytique initiale) et contrôle par pesée tout au long du processus Soit par video 77

78 De nouveaux risques d erreurs à anticiper Validation médicale devient «automatique»? Ne pas généraliser à toutes les spécialités Si préparations à l avance : étape d attribution devient une nouvelle étape à sécuriser : double contrôle de dispensation Troubles musculo-squelettique des préparateurs 78

79 Conclusion Toutes les unités sont concernées le stress des unités et des services de soin ; améliorer la qualité des soins et le bien être patient Débuter par les DCI les plus manipulées et pour lesquelles un consensus se dégagent Changement de mentalités : expliquer, communiquer, communiquer, communiquer. D autres centres se sont lancés : CH Lausanne, Saint Germain en Laye, Saint Louis, Henri Mondor. et d autres en font sans le savoir au moins en prescription 79

NAVELBINE voie orale

NAVELBINE voie orale DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription

Plus en détail

Ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative

Ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative Ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Sous-direction qualité et fonctionnement des établissements de santé

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

Situation de la chimiothérapie des cancers en 2009

Situation de la chimiothérapie des cancers en 2009 TRAITEMENTS, SOINS ET INNOVATION Situation de la chimiothérapie des cancers en 2009 C O L L E C T I O N Rapports & synthèses ANALYSE DE L ÉVOLUTION DE L USAGE DES MOLÉCULES INSCRITES SUR LA LISTE «EN SUS

Plus en détail

Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!»

Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Semaine Sécurité des patients «Le mystère de la chambre des erreurs!» Vous avez été X à prendre le risque d entrer dans notre chambre des erreurs, à présent découvrez les erreurs ou risques potentiels

Plus en détail

2.4. Les médicaments de la «liste en sus»

2.4. Les médicaments de la «liste en sus» 2.4. Les médicaments de la «liste en sus» Dans le cadre de la tarification à l activité (T2A), le financement des médicaments administrés au cours d un séjour hospitalier est assuré selon plusieurs modalités.

Plus en détail

LISTE DES DCI SOUMISES A L'ACCORD PREALABLE

LISTE DES DCI SOUMISES A L'ACCORD PREALABLE ANTALGIQUES Morphine et morphinomimétiques FENTANYL MORPHINE CANCEROLOGIE Agents cytostatiques ANASTROZOLE BICALUTAMIDE EXEMESTANE GOSERELINE LANREOTIDE LETROZOLE MEGESTROL OCTREOTIDE TRETINOINE TRIPTORELINE

Plus en détail

Semaine Sécurité des patients

Semaine Sécurité des patients Bienvenue dans le «mystère de la chambre des erreurs»! Découvrez le tableau de synthèse des réponses du matériel nécessaire à la mise en place de la chambre des erreurs ainsi que les réponses attendues

Plus en détail

AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine

AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine AUDIT 2009 des UCPC de Lorraine Nom de l'établissement Date Nombre de préparations / an : Date d'installation: Personnes présentes Nom / Prénom Fonction Signature Réseau Oncolor 2010 1 SOMMAIRE Page I

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

La formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la

La formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la La formation dans tous ses états Programme et méthode de formation continue sur la «Préparation des médicaments anticancéreux» Répond à (Art R 950-4 al 1 du Code du Travail) Par qui, Comment et Pourquoi.

Plus en détail

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament

Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Formation sur la sécurisation du circuit du médicament Virginie Roué, Ingénieur Qualité-Risques Réseau AQuaREL Santé Dr Brigitte Paulmier, Pharmacien coordonnateur de la gestion des risques CH Saumur CONTEXTE

Plus en détail

Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux

Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

Simulation en aviation

Simulation en aviation Hôpitaux Universitaires de Genève Intérêt de la simulation en pharmacotechnie Pr Pascal BONNABRY Pharmacien-chef JFSPH 23 avril 2015 Etre les premiers pour vous Simulation en aviation 2 1 Simulation en

Plus en détail

La raison d être des systèmes d information

La raison d être des systèmes d information La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi

Plus en détail

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale

Suivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

Collaboration MRS (MRPA) - Pharmacie

Collaboration MRS (MRPA) - Pharmacie Collaboration MRS (MRPA) - Pharmacie 5 mars 2015 Laurent Lamard Sales Manager Care Pharmacien Tom Claes BU Manager Corilus Pharma Pharmacien Hugues Florquin Agenda Le cadre de la TUH Comment démarrer?

Plus en détail

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation

La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation La Pharmacie Clinique en Belgique : Pratique et Formation Céline Michel, pharmacien hospitalier clinicien Charline Artoisenet, pharmacien hospitalier clinicien Université Catholique de Louvain, Cliniques

Plus en détail

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion

Plus en détail

1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?

1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux? La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants

Plus en détail

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique

Plus en détail

Poitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit

Poitou-Charentes. Commission Sécurisation du circuit du médicament Groupe informatisation du circuit Observatoire Régional du MEdicament et des Dspositifs Médicaux Stériles Page 1 sur 17 Ce document a été élaboré par le groupe (informatisation du circuit du médicament) travaillant dans le cadre de l ORMEDMS.

Plus en détail

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var

Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000

Plus en détail

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement

Plus en détail

Guide méthodologique pour les EVALUATIONS Demandées au Contrat de Bon usage 2009-2011 PACA Corse

Guide méthodologique pour les EVALUATIONS Demandées au Contrat de Bon usage 2009-2011 PACA Corse OMIT PACA CORSE Agence Régionale de l Hospitalisation de Provence Alpes Côte d Azur Guide méthodologique pour les EVALUATIONS Demandées au Contrat de Bon usage 2009-2011 PACA Corse OMIT ARH PACA CORSE

Plus en détail

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa

Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres

Plus en détail

Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes

Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux. Au Centre hospitalier de Valenciennes Sécurisation du circuit des médicaments et des dispositifs médicaux Au Centre hospitalier de Valenciennes 1 Le centre hospitalier de Valenciennes MCO Psychiatrie SSR Soins de longue durée Maison de retraite

Plus en détail

OUVERTURE ET MISE EN PLACE

OUVERTURE ET MISE EN PLACE OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite

Plus en détail

Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC)

Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement

Plus en détail

COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES

COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

ANNEXES AU REGLEMENT N 06/2010/CM/UEMOA

ANNEXES AU REGLEMENT N 06/2010/CM/UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ------------------------- La Commission ANNEXES AU REGLEMENT N 06/2010/CM/UEMOA LES ANNEXES AU REGLEMENT RELATIF AUX PROCEDURES D HOMOLOGATION DES PRODUITS

Plus en détail

Bilan du suivi des produits traceurs 2008

Bilan du suivi des produits traceurs 2008 OMIT PACA CORSE Agence Régionale de l Hospitalisation de Provence Alpes Côte d Azur PACA Corse OMIT ARH PACA CORSE Page 1 sur 77 Sommaire Introduction Préambule Contexte Objectifs du dispositif national

Plus en détail

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC

Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations

Plus en détail

LE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE

LE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel

Plus en détail

DISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL

DISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL DISPOSITIONS RELATIVES AUX ETABLISSEMENTS PHARMACEUTIQUES DE FABRICATION ET DE DISTRIBUTION DE GAZ MEDICINAL Ces dispositions s appliquent spécifiquement aux établissements fabriquant ou distribuant des

Plus en détail

Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015

Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis

Plus en détail

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or

Plan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence

Plus en détail

Ainsi plusieurs dispositions ont été prises pour enrichir les informations disponibles sur les médicaments et dispositifs médicaux :

Ainsi plusieurs dispositions ont été prises pour enrichir les informations disponibles sur les médicaments et dispositifs médicaux : des produits et prestations en sus des tarifs d hospitalisation renforcent la nécessité d une information partagée sur l utilisation de ces produits au sein des établissements de santé. Ainsi plusieurs

Plus en détail

Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims

Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims Les facteurs de croissance lignée blanche Polynucléaires neutrophiles Grastims 12 2014 HEMATOPOIESE Progéniteurs puis précurseurs Stimulation par facteur : activation spécifique de leur récepteur Moelle

Plus en détail

Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir

Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du

Plus en détail

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012 Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab

Plus en détail

Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire

Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d

Plus en détail

Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302

Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Communiqué de presse Relations avec les médias : Annick Robinson Dominique Quirion Merck NATIONAL Annick.robinson@merck.com dquirion@national.ca 514 428-2890 514 843-2302 Relations avec les investisseurs

Plus en détail

MANIPULATION DES PRODUITS POTENTIELLEMENT DANGEREUX EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE

MANIPULATION DES PRODUITS POTENTIELLEMENT DANGEREUX EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE NUMÉRO 138 : MAI 2003 LINE FONTAINE, PHARMACIENNE INSPECTEURE-CONSEILLÈRE PROFESSIONNELLE MANIPULATION DES PRODUITS POTENTIELLEMENT DANGEREUX EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE La diversité et la quantité de médicaments

Plus en détail

Ministère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes

Ministère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes Ministère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes Direction générale de l offre de soins Personne chargée du dossier : Valérie Salomon mél. : valerie.salomon@sante.gouv.fr Sous-direction

Plus en détail

PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE

PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Journée Club NeuroVasculaire Ile-de-France 27 mai 2014 PLACE DES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX CHEZ LE SUJET AGE Eric PAUTAS Hôpital Charles Foix UFR Médecine G.H. Pitié-Salpêtrière-Ch.Foix Inserm U765

Plus en détail

Cancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009

Cancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009 traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE

Plus en détail

Simulateur de coûts de médicaments Foire aux questions

Simulateur de coûts de médicaments Foire aux questions ASSURANCE COLLECTIVE Simulateur de coûts de médicaments Foire aux questions Pour une vue détaillée de l outil, consultez l aide-mémoire qui est accessible à partir de la section «Liens utiles» du simulateur.

Plus en détail

et l utilisation des traitements biologiques

et l utilisation des traitements biologiques et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents

Plus en détail

ESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie

ESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo

Plus en détail

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional

Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut

Plus en détail

Délivrer le médicament le moins cher :

Délivrer le médicament le moins cher : Délivrer le médicament le moins cher : - Prescrire en DCI - Antibiotiques et antimycosiques Brochure pour les médecins, dentistes et pharmaciens Sommaire 1 Sommaire Introduction... 2 I. Prescription en

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)

Plus en détail

CANCERS BRONCHO-PULMONAIRES

CANCERS BRONCHO-PULMONAIRES OMEDIT Nord-Pas-De-Calais Affaire suivie par : Monique.YILMAZ@ars.sante.fr OMEDIT Aquitaine Affaire suivie par : antoine.brouillaud@omedit-aquitaine.fr morgane.guillaudin@omedit-aquitaine.fr myriam.roudaut@omedit-aquitaine.fr

Plus en détail

La formation comme levier de changement des pratiques

La formation comme levier de changement des pratiques Place des pharmaciens d officine au sein du réseau Onco 94 Ouest La formation comme levier de changement des pratiques 2 ème congrès des Réseaux de cancérologie Rouen Atelier : place de la formation 3

Plus en détail

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences

Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,

Plus en détail

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014 Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA

Plus en détail

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy

Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan

Plus en détail

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse

ALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification

Plus en détail

PROGRAF MC Toutes indications

PROGRAF MC Toutes indications PROGRAF MC Toutes indications AVRIL 2015 Marque de commerce : Prograf Dénomination commune : Tacrolimus Fabricant : Astellas Forme : Capsule Teneurs : 0,5 mg, 1 mg et 5 mg Exemption de l application de

Plus en détail

La politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins

La politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins La politique pharmaceutique à l hôpital (PPH) : élémentaire pour la dispense globale de soins Eléments pour une note de politique Introduction Les médicaments prennent une place de plus en plus importante

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie

Plus en détail

Master UP 6. Mention Santé Publique et Management de la Santé. Spécialité Pharmacologie Clinique. Construire une carrière dans l industrie

Master UP 6. Mention Santé Publique et Management de la Santé. Spécialité Pharmacologie Clinique. Construire une carrière dans l industrie Master UP 6 Mention Santé Publique et Management de la Santé Spécialité Pharmacologie Clinique Construire une carrière dans l industrie pharmaceutique Alain Leclerc, CTPartners 3 mars 2009 Your Executive

Plus en détail

Tout sur les nouvelles cotations des perfusions

Tout sur les nouvelles cotations des perfusions Tout sur les nouvelles cotations des perfusions L arrêté de modification du livre III de la liste des actes et prestations relatif aux perfusions est paru au Journal officiel du 30 septembre 2014. Dans

Plus en détail

MONITORING / SUIVI DES PATIENTS

MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Formation Recherche Clinique OncoBasseNormandie 02/12/2013 MONITORING / SUIVI DES PATIENTS Jean-Michel GRELLARD ARC Coordinateur - Centre François Baclesse Quelques définitions Cahier d observation ou

Plus en détail

Conseil et Etudes de Marché du pareil au même? Audrey Chemin audrey.chemin@pfizer.com European Market Analytics Manager Oncology

Conseil et Etudes de Marché du pareil au même? Audrey Chemin audrey.chemin@pfizer.com European Market Analytics Manager Oncology Conseil et Etudes de Marché du pareil au même? Audrey Chemin audrey.chemin@pfizer.com European Market Analytics Manager Oncology Mon Curriculum Sept 09 - auj Sept 08 Aug 09 Sept 06 Aug 08 Sept 06 Feb 06

Plus en détail

Samuel Bassetto 04/2010

Samuel Bassetto 04/2010 Industrialisation Lean manufacturing 4.2 Réalisé avec V. FIGENWALD - SIEMENS Samuel Bassetto 04/2010 Plan de la partie 2 : Vers une production Lean 1. Valeur Ajoutée et Gaspillages Muda walk 2. Temps de

Plus en détail

Pascal LACHAISE Paul TORNER. Matthieu PICARD

Pascal LACHAISE Paul TORNER. Matthieu PICARD La communication médecins/ pharmaciens/patients Enquête sur les attentes des différents acteurs. Quelles solutions pour améliorer la concertation médecin/pharmacien pour le bénéfice du patient? Pascal

Plus en détail

GEMCITABINE. 38 mg/ml ; 1 g/ml, 200 mg et 1 000 mg poudre ou lyophilisat Publication Juillet 2010

GEMCITABINE. 38 mg/ml ; 1 g/ml, 200 mg et 1 000 mg poudre ou lyophilisat Publication Juillet 2010 I. GEMZAR et génériques- gemcitabine Nom commercial GEMZAR Dénomination commune internationale Laboratoire exploitant ou titulaire de l AMM GEMCITABINE LILLY FRANCE Génériques : ACTAVIS GROUP, EBEWE PHARMA

Plus en détail

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes

Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen

Plus en détail

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du

Plus en détail

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional

Plus en détail

Prix et qualité des médicaments et de la prescription : les médicaments génériques et biosimilaires et la prescription en DCI

Prix et qualité des médicaments et de la prescription : les médicaments génériques et biosimilaires et la prescription en DCI Prix et qualité des médicaments et de la prescription : les médicaments génériques et biosimilaires et la prescription en DCI Paul M. Tulkens, Dr Med., Sp. Biol. Clin. Cellular and Molecular Pharmacology

Plus en détail

Exigences internationales harmonisées pour la certification d un lot

Exigences internationales harmonisées pour la certification d un lot 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 Exigences internationales harmonisées pour la certification d un

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS

ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification

Plus en détail

Objectifs pédagogiques Lecture critique d article

Objectifs pédagogiques Lecture critique d article Objectifs pédagogiques Lecture critique d article groupe V Evaluer les applications cliniques Evaluer les applications cliniques 21 ) Discuter la ou les décisions médicales auxquelles peuvent conduire

Plus en détail

Analyse prospective des risques: application de la méthode AMDEC

Analyse prospective des risques: application de la méthode AMDEC Analyse prospective des risques: application de la méthode AMDEC Prof. Pascal BONNABRY Certificat qualité des soins Genève, 14 avril 2011 Agenda Introduction: analyse de risques Exemple d application de

Plus en détail

LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN

LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN Chaîne de production, exigences réglementaires et accès aux vaccins International Federation of Pharmaceutical Manufacturers & Associations LE CHEMINEMENT COMPLEXE D

Plus en détail

Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments?

Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments? 5 avril 2011 «Pharmaco-épidémiologie» Exposé n 5: Bases IMS, Thalès Quel apport pour la sécurité d emploi des médicaments? Dr Philippe Tcheng Vice-Président Affaires Publiques et Gouvernementales France

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous?

Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? Promouvoir l utilisation sécuritaire des médicaments Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? My-Lan Pham-Dang, MSc. Formatrice ISMP Canada 10 juin 2010 Hôpital Général Juif Institute

Plus en détail

Rapport d audit interne

Rapport d audit interne Rapport d audit interne Thème : Circuit du médicament Titre : Scan rapide du niveau de sécurisation du circuit du médicament dans l unité de soins. Date : Août 2010 Centre Médico-Chirurgical de Kourou

Plus en détail

MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL :

MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL : REPUBLIQUE FRANÇAISE Juin 2009 MEDICAMENTS CONTENANT L ASSOCIATION DEXTROPROPOXYPHENE / PARACETAMOL : Recommandation de l EMEA de retrait de ces médicaments à la suite de l évaluation européenne et avis

Plus en détail

Le guide du bon usage des médicaments

Le guide du bon usage des médicaments Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour

Plus en détail

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines

EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE. Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines EVALUATION DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ ANALYSE MÉDICO-ÉCONOMIQUE Efficacité et efficience des hypolipémiants Une analyse centrée sur les statines Juillet 2010 Mise à jour Septembre 2010 1 Le rapport complet

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise

Plus en détail

Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006

Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

Dictionnaire de données de la Base de données du Système national d information sur l utilisation des médicaments prescrits, octobre 2013

Dictionnaire de données de la Base de données du Système national d information sur l utilisation des médicaments prescrits, octobre 2013 Dictionnaire de données de la Base de données du Système national d information sur l utilisation des médicaments prescrits, octobre 2013 Normes et soumission de données Notre vision De meilleures données

Plus en détail

Health Innovation Forum Thursday 17 September 2009. Haute disponibilité & DRP en milieu hospitalier

Health Innovation Forum Thursday 17 September 2009. Haute disponibilité & DRP en milieu hospitalier Health Innovation Forum Thursday 17 September 2009 Haute disponibilité & DRP en milieu Groupe privé de 3 hôpitaux et 2 polycliniques Propriété des Mutualités Socialistes De 20 à 250 lits par site Distances:

Plus en détail

Médicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014

Médicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement

Plus en détail