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1 Gulliver : BIENTRAITANCE versus MALTRAITANCE Organisme de formation : enregistré le 16 octobre 2000 en Préfecture de Région sous le numéro de déclaration d activité Identifiant SIRET : Code NAF : 9499 Z Unité de formation : Votre interlocuteur : Robert ROUX, chargé d études, responsable des formations foxp2@voilà.fr Gérontologie : Agathe BOSSON, psychologue, spécialité : neuropsychologie Jérôme HENAULT, psychologue, spécialité : neuropsychologie Véronique MORIN, D.U. gérontologie Science/environnement : Lénaïc FONDREVELLE, médiation scientifique Cindy VEYRET, éducation à l environnement Informatique : Odile MARTIN, bureautique, NTIC Gulliver, adresse postale : Le Château B.P VILLECROZE Tél. : assoc-gulliver@wanadoo.fr Site Internet : Tél. : assoc-gulliver@wanadoo.fr 1

2 Durée : 2 ou 3 jours. Prix : 850,00 / jour Proposition de formation destinée aux personnels d EHPAD et d USLD S O M M A I R E 1. Préambule page 3 2. Proposition de formation page ans de formation en gérontologie page 7 4. Les ateliers de stimulation sociocognitive en EHPAD et USLD page 8 5. Les partenaires de Gulliver page 8 Tél. : assoc-gulliver@wanadoo.fr 2

3 1. PREAMBULE Prévenir la maltraitance suppose d avoir développé une politique de confiance au sein de l établissement, d avoir fait en sorte que ce sujet ne soit pas tabou et d avoir appliqué une politique de gestion des ressources humaines et de formations, telle que toutes les équipes au sein de la structure sache la reconnaître, l identifier, la dénoncer et s investir pour lutter contre. Mais, de l analyse des réponses des établissements, il ressort que, même lorsque toutes les précautions sont prises, nul n est à l abri d une situation dans laquelle un fait de maltraitance soit révélée un jour. La maltraitance est imprévisible, souvent le fait d agents qui craquent alors que, jusqu alors, rien dans leur comportement n aurait pu laisser présager leur geste. Elle est le résultat d actes commis seuls ou à plusieurs. Elle peut aussi résulter d actes commis par une personne nouvelle, en remplacement par exemple comme il est rapporté dans ce témoignage : «Une personne de sexe masculin en CDD en tant qu ASH depuis plusieurs mois dans une maison de retraite du milieu rural s énervait régulièrement auprès des résidants il n arrivait pas à contrôler son énervement, ce qui le conduisait à avoir des gestes brutaux. Par exemple, comme il était agacé parce qu il allait faire des heures supplémentaires, il a enfilé le pyjama d un résidant dans le mauvais sens, lui coinçant le bras et lui enlevant un lambeau de peau. Une autre fois, ce même agent qui prenait en charge un résidant dément un peu agité, lui a attaché les bras à la tête du lit pour pouvoir faire la toilette tranquillement!». L objectif de cette formation est d amener les stagiaires à savoir identifier les situations de maltraitance, à savoir réagir face à elles. Que faire? A qui s adresser? Quelles mesures prendre? L apparition d un ou plusieurs cas de maltraitance créent toujours un émoi considérable parmi les équipes. Le temps accordé à cette formation peut-être alors précisément le moment de libérer la parole et de permettre l expression par chacun de son vécu et de procéder ainsi à la mise à plat d un fonctionnement, de pratiques et des protocoles mis en place au sein de l établissement. Tél. : assoc-gulliver@wanadoo.fr 3

4 2. PROPOSITION DE FORMATION BIENTRAITANCE, versus, MALTRAITANCE 1. Définition de la maltraitance dans les textes Protection de la personne âgée : textes supranationaux Le Conseil de l Europe : «La violence se caractérise par tout acte ou omission commis par une personne, s il porte atteinte à la vie, à l intégrité corporelle ou psychique ou à la liberté d une autre personne ou compromet gravement le développement de sa personnalité et/ou nuit à sa sécurité financière.» (Définition, 1990) Classification des violences par le Conseil de l Europe (1992) : - Violences physiques : coups, brûlures, ligotages, soins brusques sans information ou préparation, non satisfaction des demandes pour des besoins physiologiques, violences sexuelles, meurtres (dont euthanasie) - Violences psychiques ou morales : langage irrespectueux ou dévalorisant, absence de considération, chantages, abus d autorité, comportements d infantilisation, non respect de l intimité, injonctions paradoxales - Violences matérielles et financières : vols, exigence de pourboires, escroqueries diverses, locaux inadaptés - Violences médicales ou médicamenteuses : manque de soins de base, noninformation sur les traitements ou les soins, abus de traitements sédatifs ou neuroleptiques, défaut de soins de rééducation, non prise en compte de la douleur - Négligences actives : toutes formes de sévices, abus, abandons, manquements pratiqués avec la conscience de nuire - Négligences passives : négligences relevant de l ignorance, de l inattention de l entourage - Privation ou violation de droits : limitation de la liberté de la personne, privation de l exercice des droits civiques, d une pratique religieuse L organisation des Nations Unis Synthèse. Tél. : assoc-gulliver@wanadoo.fr 4

5 1.2. Protection civile des personnes vulnérables La sauvegarde de justice : une mesure provisoire La curatelle La tutelle La protection pénale des personnes âgées Dénonciation des cas de maltraitance La Loi pour tous Précisions concernant les médecins Précisions concernant les personnels. 2. Les acteurs de la maltraitance La famille : la maltraitance intra-familiale Les professionnels. Les facteurs de risque de maltraitance liés à l activité professionnelle La société : approche anthropologique : la vie après 60 ans, une nouvelle frontière? Les représentations de la vieillesse: approche historique. 3. Différentes formes de maltraitance Cas de maltraitances ordinaires : - Au moment de la toilette - Au moment des déplacements - Au moment des repas 3.2. Des situations de maltraitance Violences psychologiques/morales : Violences verbales Non respect de l intimité Non respect du rythme et des envies Privation des aides indispensables à la vie quotidienne Isolement Carences affectives Violences physiques Violences médicamenteuses ou médicales Violences sociales Les violences matérielles et architecturales Les violences financières. Tél. : assoc-gulliver@wanadoo.fr 5

6 Les violences sexuelles Négligences actives (volontaires) ou passives (involontaires) Le stress, la fatigue, le mal-être personnel Des éléments fondateurs de maltraitance. Des professions à risque Des personnes à risque Approches médicale et psychologique du Burn-out et de ses symptômes : Les signes avant-coureurs : a) Les symptômes physiques b) Les symptômes psychologiques c) Que faire en cas de Burn-out 3.3. Des limites confuses De l ignorance à la maltraitance Manque de formation : méconnaissance des conséquences du vieillissement normal et pathologique Le stresse, la fatigue, le mal-être personnel Des éléments fondateurs de la maltraitance Manque de professionnalisme et non respect des limites : soignant/résidant ou patient. 4. Petit traité de bientraitance à l usage des personnels des Institutions La sympathie / l empathie La mise en confiance L écoute et la disponibilité La recherche de la communication (méthodes de communications) L humain au centre de tout Adapter les soins quotidiens au bien-être de résident, au cas par cas. 5. Etudes de cas. - Melle G, aide soignante (pb personnels) - M. F, aide soignant (pas de formation spécifique pour le poste occupé) - M. K, époux d une personne atteinte de troubles psychiatriques - Melle S, infirmière (occupe le même poste depuis 30 ans) 6. Questionnaires et évaluations. Tél. : assoc-gulliver@wanadoo.fr 6

7 3. 10 ANS DE FORMATION EN GERONTOLOGIE Formation continue INTITULE ETABLISSEMENTS Ateliers mémoire pour personnes âgées Centre hospitalier de Montfavet (84) EHPAD public de : Saint-Cannat (13) Les résidants atteints par la maladie d Alzheimer Lambesc (13) Carcès (83) Seillans (83) Centre Hospitalier de Carcassonne Troubles cognitifs (11) EHPAD Public Istres (13) Maladie d Alzheimer, maladie de Parkinson «Vallis Clausa» SSIAD Cavaillon 84 Accueil de Jour Accompagnement des personnes atteintes de maladie d Alzheimer ou de Centre Hospitalier de Valréas (84) troubles apparentés. La prise en charge de personnes âgées atteintes Hôpital Local Pont-Saint-Esprit (30) de troubles cognitifs. OCITEA Outil Commun Informatisé de Traçabilité et d Evaluation des Activités au sein Hôpital Local Oraison (04) de l établissement. Géronto-psychiatrie. Clinique Saint-Joseph Perpignan Vieillissement biologique et psychologique : répercussions sur les comportements au quotidien. Bientraitance versus maltraitance (66) Pôle de Santé du Golfe de Saint- Tropez Centre Hospitalier (83) EHPAD L entraide Salesienne (83) Centre Hospitalier de Carcassonne (11) EHPAD Public de Seillans (83) Formation diplômante en collaboration avec les GRETA INTITULE Diplôme d Etat d Auxiliaire de Vie Sociale ETABLISSEMENTS GRETA de Istres (13) GRETA de Vitrolles (13) GRETA de la Dracénie (83) Liste non exhaustive Tél. : assoc-gulliver@wanadoo.fr 7

8 4. LES ATELIERS DE STIMULATION SOCIOCOGNITIVE EHPAD - USLD 5760 séances d ateliers ont été réalisées entre janvier 2000 et juillet La méthode A.S.C.-AALPAG 1 a été initiée par Gulliver dans une cinquantaine d établissements (EHPAD et Centres Hospitaliers) dans quatre départements : 04, 13, 83, 84. La méthode A.S.C.-AALPAG 2 a été déclinée en trois modèles : 1. Modèle 1, destiné aux EHPAD 2. Modèle 2, destiné aux participants des ateliers A.M.A.DO Modèle 3, destiné aux secteurs Alzheimer d EHPAD et de Centres Hospitaliers Les ateliers sont animés par deux personnes dont un Référent A.S.C.-AALPAG. 5. LES PARTENAIRES DE GULLIVER - l Agence Régionale de Santé (ARS), - le Conseil Régional PACA, - le Conseil Général du Var, - le réseau GRETA de l Académie Aix/Marseille, - le GRETA de la Dracénie. 1 Atelier de Stimulation sociocognitive Activité Attentionnelle et Ludique pour Personnes Agées 2 Enregistré sous le N auprès de l Institut National de la Propriété Industrielle 3 Actions pour le Maintien à Domicile Tél. : assoc-gulliver@wanadoo.fr 8

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