La Rachianesthésie. Dr. KHOUADJA Hosni. Service anesthésie réanimation chirurgicale CHU Farhat HACHED Sousse

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La Rachianesthésie. Dr. KHOUADJA Hosni. Service anesthésie réanimation chirurgicale CHU Farhat HACHED Sousse"

Transcription

1 La Rachianesthésie Dr. KHOUADJA Hosni Service anesthésie réanimation chirurgicale CHU Farhat HACHED Sousse

2 Introduction

3 Introduction Blocs centraux: Arsenal technique: Rachianesthésie Rachianesthésie continue Anesthésie péridurale Péri-rachianesthésie combinée Technique anesthésique: simple Fiable Efficace Rapports anatomiques et conséquences physiologiques: Communes à tous les blocs centraux Chaque bloc possède ses propres caractéristiques

4 Rappel Anatomique

5 Rappel anatomique La Moelle Epinière (ME): C1-L2 2 racines spinales naissent de la ME: Racines postérieures ou sensitives avec son ganglion spinal Racines antérieures ou motrices Nerfs rachidiens (31): union des 2 racines spinales Chaque nerf rachidien comporte: Fibres nerveuses sympathiques Fibres nerveuses sensitives Fibres nerveuses motrices

6 Rappel anatomique

7 Rappel anatomique Arachnoïde Pie mère Dure mère Moelle épinière LCR Espace sous arachnoïdien (Intrathécal) Espace péridural ou épidural Ligament jaune

8 Rappel anatomique

9 Définition

10 Définition: La rachianesthésie ou anesthésie spinal: injecter une solution d anesthésique local (AL) dans l espace sous arachnoïdien au contact des nerfs rachidien et de la moelle épinière. Cette injection intrathécale se fait habituellement en dessous de la terminaison médullaire (L2). Le reflux du LCR permet de localiser précisément cet espace.

11 Physiopathologie

12 Physiopathologie L interruption de la conduction nerveuse au niveau des nerfs rachidiens dans le LCR induit: Effets neurologiques Effets cardiovasculaires Effets respiratoires Effets sur le tractus gastro-intestinal

13 Physiopathologie: effets neurologiques Le bloc anesthésique: Les fibres sympathiques (ε) sont les premiers à être bloquées Puis blocage des fibres sensitives Enfin blocage des fibres motrices installation bloc (ε) puis bloc sensitif puis bloc moteur Régression du bloc se fait dans le sens inverse La systématisation du bloc anesthésique respecte la systématisation nerveuse

14 Physiopathologie: effets neurologiques Principaux territoires sensitifs ou dermatomes: mamelons T4 appendice xiphoïde T6 ombilic T10 pli de l aine T12 périnée S3, S4 et S5

15 Physiopathologie: effets neurologiques Rachianesthésie en selle: Anesthésie lombaire basse et sacrée Rachianesthésie basse: Le niveau est à T10 Rachianesthésie moyenne: Le niveau est à T6 Rachianesthésie haute: Le niveau est à T4

16 Physiopathologie: effets cardiovasculaires Dépend de l étendue du bloc (ε) : Tonus artério-veineux: fibres (ε) entre T5-L2 Bloc haut : HypoTA retour veineux résistances vasculaires périphériques Séquestration sanguine par vasoplégie Bloc partiel (<T10): TA ± stable Cœur :fibres (ε) entre T1-T4 bradycardie

17 Physiopathologie: effets respiratoires En fonction de l étendue du bloc: Bloc moteur des muscles respiratoires accessoires: intercostaux et abdominaux Sujet normal: peu de modifications BPCO: plus graves Bloc des centres respiratoires: RA totale accidentelle étendue au tronc cérébrale

18 Physiopathologie: autres effets Le bloc (ε): Tube digestif: Relâchement sphinctérien Augmentation péristaltisme Hypersécrétion digestive Urinaire: Rétention d urine par relâchement du détrusor Cutanée: Vasodilatation: hypothermie

19 Indications Type de chirurgie Type de patient Durée de la chirurgie

20 Indications: type de chirurgie Chirurgie membres inférieures: (orthopédiques ou vasculaires) Chirurgie urologique Chirurgie périnéale Chirurgie abdominale et pariétale sous ombilicale Chirurgie gynécologique et obstétricale

21 Indications: type de patient Asthme, insuffisance respiratoire (T<7) Vieillard diabétique Hyperthermie maligne Porphyries Myopathies Allergies Insuffisance rénale et hépatique Intubation difficile, mais!!!

22 Indications: durée de la chirurgie Durée de la chirurgie < durée d action de l anesthésique locale

23 Contre-indications Absence de médicaments et moyens de réanimation Refus du patient Allergie aux AL Hypovolémie absolue (hémorragie) ou relative Etats de chocs HTIC Infection au site de ponction Une septicémie

24 Contre-indications HTA non contrôlée Insuffisance cardiaque décompensée Rétrécissement aortique serré Rétrécissement mitral serré Myocardiopathies hypertrophiques obstructives Troubles de la conduction: BAV Péricardite constrictive

25 Contre-indications Anomalies de l hémostase: Plaquettes < 50000/mm TCA > 1,5 xtemoin, INR > 1,5, fibrinémie < 1,5g/l HBPM à dose prophylactique < 12 h ou curative < 24 h HNF (héparine sodique ) < 4 heures Maladies constitutionnelles ou acquises de l hémostase La prise thiénopyridines (ticlopidine, clopidogrel)

26 Contre-indications La prise d Aspirine et d AINS N est pas une CI absolues à condition que: Pas de prise d autres anticoagulants Ponction unique Pas d anomalies d hémostase associées Surveillance neurologique post-op rigoureuse La lidocaïne (xylocaïne ) par voie intrathécale

27 Préparation du patient

28 Préparation: information du patient Dès la consultation d anesthésie et lors de la visite pré-anesthésique: Information claire et précise: Les avantages Les risques, incluant le risque de l échec et le recours à l AG L éventualité de complications neurologiques même si elles sont exceptionnelles L éventualité de changement de la technique justifiée par le changement de la procédure chirurgicale

29 Préparation: préparation de la salle Même conditions que AG: Préparer le respirateur, matériel d intubation Préparer le plateau d induction Monitorage: Électro-cardioscopes PANI Saturomètre VVP de bon calibre: au moins 18 G Remplissage vasculaire: pré << co Cristalloïdes 15 à 20 ml/kg Colloïdes 10 ml/kg

30 Préparation: préparation de la salle Matériels: Champs stériles Gants stériles Compresses stériles Solution anti-septiques Aiguilles de RA: Petit calibre: 25G ou 27G Pointe crayon +++ ( Sporotte ou Whitacre ) Biseau court tranchant (Quincke )

31 Préparation: préparation de la salle Asepsie chirurgicale rigoureuse +++ Lavage des mains Désinfection cutanée Ports de calot, gants, masque par l opérateur Masque facial et calots pour tout le personnel de la salle d intervention!!!

32 Préparation: position du patient Ligne de Tuffier

33 Préparation: position du patient Variations anatomiques de la position de la ligne de Tuffier

34 Voies de ponction

35 Voie de ponction: voie médiane

36 Voie de ponction: voie médiane Contact osseux

37 Voie de ponction: voie paramédiane

38 Quelle solution AL?

39 Solution AL Ropivacaïne 0.75% Bupivacaïne 0.5% Lévobupivacaïne O.5% La Lidocaïne n a plus l AMM pour la RA

40 Solution AL: facteurs influençant l extension et la durée du bloc Facteurs Extension Durée Dose Volume + - Baricité ++ + Concentration - - Niveau de ponction + - Vitesse d injection + - Pression abd.(grossesse obésité) + - Position (selon baricité) + - Âge ± - Taille + -

41 Pharmacodynamie AL en RA (ponction L4-L5) Recommandations pour la pratique clinique/ AFAR 26 (2007)

42 Solution AL: facteurs influençant l extension et la durée du bloc Dose de Bupivacaïne 0.5% hyperbare: 7.5mg (1.5ml) T12 10mg (2ml) T10 15mg (3ml) T6

43 Morphinomimétiques Mode d action: Dépriment la transmission des messages nociceptifs: par une action directe sur les récepteurs opioïdes des couches superficielles de la ME Par une action indirecte au niveau supraspinale Associés aux AL, prolongent: La durée du bloc sensitif La qualité du bloc sensitif Action analgésique synergique Mais n entraîne:!!! Ni bloc moteur Ni bloc sensitif

44 Les morphinomimétiques La liposolubilité du morphinique conditionne: Le délai d apparition La durée de l effet Trois classes de morphiniques: Liposolubilité faible: morphine Liposolubilité intermédiaire: péthidine, alfentanil Liposolubilité élevée: fentanyl, sufentanil

45 Morphinomimétiques La morphine: Hydrosoluble: élimination lente du LCR Analgésie: Installation lente: 30mn-3h durée prolongée: 12-24h Dose: µg Risque de dépression respiratoire prolongée (H6 H24)

46 Morphinomimétiques Fentanyl et sufentanil: Liposolubles: élimination rapide du LCR Analgésie: Installation rapide: qques mn Durée brève: 1-4h Doses: Fentanyl: 10-50µg Sufentanil: 2.5-5µg Risque de dépression respiratoire est précoce (<30 H6)

47 Les adjuvants Buts: Renforcer le bloc anesthésique Augmenter la durée du bloc Sans modifier l étendue du bloc Mode d action: Effet anti-nociceptifs par stimulation des RC α2 adrénergiques de la corne post. de la ME

48 Les adjuvants Produits: adrénaline: Dose 1-5 µg/kg Clonidine: Dose: µg/kg E II: Hypotension Bradycardie sédation

49 Evaluation de la RA

50 Evaluation de la RA: bloc sympathique Surveillance rapprochée: hémodynamiques: PA FC Clinique: Nausée, vomissements Bâillement

51 Evaluation de la RA: bloc sensitif Test discriminatif chaud/froid (bloc sympathique) Perte du toucher léger (niveau sensitif) La connaissance du niveau métamérique à atteindre en fonction de l acte chirurgical est impérative Lors d une rachianesthésie, le bloc sympathique se fixe en moyenne 2 niveaux au-dessus du bloc sensitif, qui se situe luimême 2 niveaux au-dessus du bloc moteur

52 Evaluation de la RA: bloc moteur

53 Comment gérer une RA?

54 Comment gérer une RA? Echec de la technique: Echec de ponction: Obésité âge avancé déformation rachidienne installation inadaptée expérience de l opérateur Anesthésie insuffisante Conversion AG

55 Comment gérer une RA? Anesthésie inadaptée: Bloc latéralisé ou insuffisamment étendu d un côté: Solution hyperbare: mettre le patient en DL du côté non parfaitement bloqué pendant qq mn Bloc n est pas assez haut: Solution hyperbare: mettre patient en léger Trendelenbourg mais!!! Bloc trop haut: Solution hyperbare: mettre patient en léger proclive + surveillance rapprochée des paramètres hémodynamiques et respiratoires

56 Comment gérer une RA? Apparition nausées, vomissements et bâillement : Vérifier PA Apparition de frissons: Réchauffer patient + oxygénothérapie

57 Complications hémodynamiques respiratoires neurologiques infectieuse Céphalées post-rachianesthésie

58 Complications hémodynamiques Hypotension artérielle: Mécanismes: Blocage des fibres (ε) artériolaires surtout si niveau haut PAS de plus de 30% par rapport aux valeurs de base ou PAS<90mmHg Signes annonciateurs: Nausées, vomissements Sueurs, pâleur Agitation inconfort

59 Complications hémodynamiques Traitement: Vasopresseurs: Ephédrine: bolus de 6-9mg IVD Sympathomimétique indirect (libération NA terminaisons nerveuses adrénergiques) Effet α et β Phényléphrine: Sympathomimétique direct pure Effet α exclusif: TA sans tachycardie bolus µg IVD Adrénaline: bolus 100µG Diluer une ampoule de 1mg avec 9 cc sérum phy. Noradrénaline: exceptionnelle

60 Complications hémodynamiques Traitement curatif: Accélération du remplissage + administration précoce de vasopresseurs Traitement préventif: Utilisation de doses minimales efficace d AL Utilisation d un opiacé liposoluble Remplissage vasculaire (avant par les colloïdes) et après RA En obstétrique: Prévention de la compression aorto-cave Utilisation systématique des vasopresseurs Utilisation de moyens mécaniques/ bas antithromboses

61 Complications hémodynamiques Bradycardie: FC<50 Peut être un signe d hypovolémie Plus grave si associée à une hypota Peut précéder un Arrêt Cardiaque Traitement: Préventif: Remplissage vasculaire adéquat +++ Traitement précoce de toute hypota Curatif: Éphédrine et atropine (0.5mg) Pas de phényléphrine!!!

62 Complications hémodynamiques Arrêt Cardiaque: Souvent précéder par une bradycardie Peut survenir en SSPI Causes: Bloc sympathique étendu >T4 avec dépression myocardique surtout si terrain favorisant Injection intravasculaire d AL

63 Complications hémodynamiques Arrêt Cardiaque: Traitement: Prévention et traitement précoce de toute hypota Si inefficacité au bout de mg d éphédrine adrénaline Sinon RCP: oxygénation + MCE + Adrénaline ± intralipides (si passage IV)

64 Complications respiratoires Dépression respiratoire : en SSPI ou en per-opératoire Causes: Bloc étendue: RA totale Surdosage en morphinique Décompensation chez un IRC

65 Complications respiratoires Traitement: Préventif: Doses minimales efficaces AL et de morphiniques Surveillance rapprochée en per-op et en post-op surtout si sédation Curatif: Oxygénothérapie Stimulation verbale Ventilation au masque ou intubation trachéale Naloxone en titration

66 Complications neurologiques Urgence Rechercher la cause dès que patient ne récupère pas dans les délais Évaluation neurologique dès SSPI+++ Si troubles neurologiques: TDM ou IRM EMG Urgence thérapeutique: Chirurgie de décompression+++ Prise en charge multidisciplinaire: physiothérapeute, antalgique, soutien psychologique

67 Complications neurologiques Lésions nerveuses traumatiques: Paresthésie ou douleurs unilat. Lors de la réalisation de la ponction Cause: lésion directe d une racine nerveuse par l aiguille Retrait immédiat de l aiguille

68 Complications neurologiques Syndrome neurologique transitoire: Dysesthésie à type de brûlures irradiant vers les fesses et les jambes Apparition après la levée du bloc sans signes neurologiques objectifs Transitoire: disparaît au bout d une semaine cause: irritation direct du nerf par AL (lidocaïne > bupivacaïne)

69 Complications neurologiques Syndrome de la queue de cheval: Atteinte pluriradiculaire IRREVERSIBLE Troubles sphinctériens Incontinence urinaire et anale Impuissance et défaut d éjaculation Hypo ou anesthésie du périnée Paraplégie flasque Cause: neurotoxicité AL

70 Complications neurologiques Hématomes compressifs: Rares Causes: trouble de l hémostase Lombalgies intenses + paraplégie Diagnostic positif: TDM ou IRM: collection sanguine compressive CAT: chirurgie de décompression en extrême urgence sinon séquelles irréversible Hématome sous durale: Exceptionnel Céphalées non positionnelle Diagnostic positif: TDM CAT: chirurgie

71 Complications neurologiques Syndrome de l artère spinale antérieure: Paraplégie sans aucun troubles sensitifs Cause: ischémie médullaire à cause d une hypota prolongée Urgence diagnostic: IRM médullaire: Nle et élimine une compression Récupération à long terme selon importance de la nécrose

72 Complications infectieuses Méningite: Rares Contexte septique Défaut d asepsie cutanée Non respect des règles d hygienne Germes retrouvés: cocci gram+ (staphylocoque ou streptocoque salivarius ou viridans) Flore cutanée du patient Flore oro-pharyngée des soignants

73 Céphalées post-rachianesthésie Fuite LCR avec traction sur les structures méningées encéphaliques Se voit surtout chez le sujet jeune (enceinte+++) rarement sujet âgé Cliniques: Céphalées posturales: Max. position debout, soulagées par le décubitus Apparition 24-48h après RA Diffuse en casque ou fronto-occipitale Nuque souple mais douloureuse +++ Signes associées: Diplopie, photophobie, difficulté d accommodation Hypoacousie, acouphènes, bourdonnement d oreille Parfois surdité

74 Céphalées post-rachianesthésie C.A.T./ Rassurer et informer patient Repos stricte au lit Hyperhydratation: 3l sérum phy. au minimum Antalgiques classe I ou II Si persistance au-delà de 48h: Blood-patch+++

75 Conclusion

76 Conclusion «la rachianesthésie restera une technique sûre d anesthésie tant que nous serons convaincus qu elle est potentiellement dangereuse» Zetlaoui P. MAPAR 2009

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH) CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.

PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait

Plus en détail

Avis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA

Avis 23 avril 2014. BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 avril 2014 BARITEKAL 20 mg/ml, solution injectable Boîte de 10 ampoules de 5 ml (CIP : 34009 585 896 3 8) Laboratoire NORDIC PHARMA DCI Code ATC (2012) Motif de l

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire

Plus en détail

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008 Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas

Plus en détail

E04a - Héparines de bas poids moléculaire

E04a - Héparines de bas poids moléculaire E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique

Plus en détail

ROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005)

ROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005) ROLE IADE EN NEUROANESTHESIE. (C.Muller 2005) PLAN : - Lieux d exercice. - Rappel des notions essentielles à connaître en NeuroAnesthésie. - Rôle IADE. - Cas particulier de l enfant. LIEUX D EXERCICE.

Plus en détail

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).

Pseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR). Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».

Plus en détail

Maternité et activités sportives

Maternité et activités sportives Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations

Plus en détail

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

QUI PEUT CONTRACTER LA FA?

QUI PEUT CONTRACTER LA FA? MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du

Plus en détail

URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor

URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il

Plus en détail

E03 - Héparines non fractionnées (HNF)

E03 - Héparines non fractionnées (HNF) E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine

Plus en détail

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à

Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

phase de destruction et d'élimination de débris

phase de destruction et d'élimination de débris LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale

Plus en détail

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)

La migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme) La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire

Plus en détail

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

Bien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte

Bien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,

Plus en détail

STAFF ALR. 21 février 2013

STAFF ALR. 21 février 2013 STAFF ALR 21 février 2013 «La Revue de presse» 1 2 3 4 1 2 3 Approche du nerf suprascapulaire Au niveau du bloc supraclaviculaire Yan Buntinx «La Revue de presse» SUITE CWI: Bolus :10ML Débit :10mL/h

Plus en détail

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le

Plus en détail

Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque

Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,

Plus en détail

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.

Cette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise. Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se

Plus en détail

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE

LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait

Plus en détail

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion

Plus en détail

Opération de la hernie discale. Des réponses à vos questions

Opération de la hernie discale. Des réponses à vos questions Opération de la hernie discale Des réponses à vos questions Introduction Quel objectif? Cette brochure résume les informations reçues lors de l entretien que vous avez eu avec le neurochirurgien concernant

Plus en détail

Les différentes maladies du coeur

Les différentes maladies du coeur Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par

Plus en détail

LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER

LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre

Plus en détail

Maladies neuromusculaires

Maladies neuromusculaires Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie

Plus en détail

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip

sur la valve mitrale À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip À propos de l insuffisance mitrale et du traitement par implantation de clip sur la valve mitrale Support destiné aux médecins en vue d informer les patients. À propos de l insuffisance mitrale L insuffisance

Plus en détail

Soins Inrmiers aux brûlés

Soins Inrmiers aux brûlés Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter

Plus en détail

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques

Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p

Plus en détail

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)

Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances

Plus en détail

Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux

Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Gestion périopératoire et des évènements hémorragiques sous nouveaux anticoagulants oraux Anne GODIER Service d Anesthésie-Réanimation Hopital Cochin Paris Table ronde anticoagulants 15 novembre 2013 Conflits

Plus en détail

INFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE

INFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE SERVICE D ANESTHÉSIE HOPITAL SIMONE VEIL INFORMATIONS CONCERNANT l ANESTHESIE Ce document, élaboré par la Société française d anesthésie et de réanimation (Sfar), est destiné à vous informer sur l anesthésie.

Plus en détail

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles

SOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du

Plus en détail

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème? Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte

Plus en détail

Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire

Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Notions de base Gestion du patient au bloc opératoire Vieillissement de la population Augmentation du nombre de patients porteurs de stimulateurs cardiaques et défibrillateurs implantables Augmentation

Plus en détail

REEDUCATION DU POST-PARTUM

REEDUCATION DU POST-PARTUM Communauté Périnatale de l Agglomération Versaillaise Association Loi 1901 n 0784014641 29 rue de Versailles - 78150 Le Chesnay Tel : 01.39.43.12.04 Fax : 01.39.43.13.58 E-Mail : cpav@medical78.com Web:

Plus en détail

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse

Plus en détail

La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle

La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Tronc Artériel Commun

Tronc Artériel Commun Tronc Artériel Commun Cardiopathie congénitale conotroncale. 1.4% des cardiopathie congénitales. (1/10000) CIV Diagnostic anténatal Souvent associé à un 22q11. Anomalies associées Définition EMBRYOLOGIE

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES

IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité

Plus en détail

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES

Plus en détail

En souvenir du P r Olivier Dizien, décédé le 1 er juillet 2007

En souvenir du P r Olivier Dizien, décédé le 1 er juillet 2007 En hommage au D r Marc Maury, ancien médecin chef du CRM de Fontainebleau et ancien vice-président de l APF, pour son œuvre sur la paraplégie et son action au service du rapprochement associations / médecine

Plus en détail

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée

Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,

Plus en détail

K I N é S I T H é R A P I E & D B C

K I N é S I T H é R A P I E & D B C KINéSITHéRAPIE & DBC KINéSITHéRAPIE & DBC Informations T (+352) 23 666-810 kine@mondorf.lu Rééducation Individuelle Le service de de Mondorf Domaine Thermal propose une gamme complète de traitements individuels

Plus en détail

Que savoir sur la chirurgie de la HERNIE INGUINALE A la clinique SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE?

Que savoir sur la chirurgie de la HERNIE INGUINALE A la clinique SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? Que savoir sur la chirurgie de la HERNIE INGUINALE A la clinique SAINT-PIERRE en hospitalisation AMBULATOIRE? VOUS ALLEZ ETRE OPERE(E) A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE D UNE CURE DE HERNIE INGUINALE EN AMBULATOIRE

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

Épreuve d effort électrocardiographique

Épreuve d effort électrocardiographique Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment

Plus en détail

1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin

1 La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin La scintigraphie myocardique au Persantin ou Mibi Persantin Pour mieux connaître l état de votre cœur, votre médecin vous a demandé de passer une scintigraphie myocardique au Persantin. Cette fiche explique

Plus en détail

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse

Plus en détail

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)

Plus en détail

SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE

SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE SOINS INFIRMIERS EN HEMODIALYSE PLAN I) Rappels d anatomie physiologie II) IRC: Définition Traitement: hémodialyse, dérivation péritonéale, greffe III) Hémodialyse Définition Principes Législation IV)

Plus en détail

LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport

LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES

Plus en détail

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre

o Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des

Plus en détail

Collection Soins infirmiers

Collection Soins infirmiers Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic

Plus en détail

UN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie

UN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.

Plus en détail

Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes

Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NAC) Société STAGO -HOTEL MERCURE 22 Novembre 2012 - Troyes 1 Marché global des anticoagulants Un Marché en explosion: 6 milliards de $ en 2008 9 milliards de $ attenduen

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200

Plus en détail

L arthrose, ses maux si on en parlait!

L arthrose, ses maux si on en parlait! REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une

Plus en détail

Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus

Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier

Plus en détail

Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques

Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)

Plus en détail

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris

Céphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité

Plus en détail

Infections urinaires chez l enfant

Infections urinaires chez l enfant Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous

Plus en détail

INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP

INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP INSUFFISANCE CARDIAQUE DROITE Dr Dassier HEGP I Définition L'insuffisance cardiaque droite (IVD) se traduit par une augmentation des pressions de remplissage télédiastolique du ventricule droit (VD). Le

Plus en détail

Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement

Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Exercices pour renforcer les muscles abdominaux après l accouchement Pendant la grossesse, les muscles du ventre, appelés abdominaux, s étirent beaucoup et perdent souvent de la force. Il est important

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil

Plus en détail

Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat

Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des

Plus en détail

Traitement actuel de la migraine

Traitement actuel de la migraine Traitement actuel de la migraine Pr M. AIT- KACI - AHMED Chef du Service de Neurologie E.H.S Ali Aït Idir (Alger) Alger, 04 Juin 2009 Importance du sujet 1. Sur le plan médical - 12 à 15 % de la population

Plus en détail

Item 175 : Prescription et surveillance des antithrombotiques

Item 175 : Prescription et surveillance des antithrombotiques Item 175 : Prescription et surveillance des antithrombotiques Collège des Enseignants de Cardiologie et Maladies Vasculaires Date de création du document 2011-2012 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE

Plus en détail

Cure de Hernie discale lombaire

Cure de Hernie discale lombaire Cure de Hernie discale lombaire QU EST CE QUE LA HERNIE DISCALE ET LA SCIATIQUE Les vertèbres lombaires (L1 à L5) et le sacrum (S1) sont séparées par les disques intervertébraux qui jouent un rôle d'amortisseur.

Plus en détail

A healthy decision LA DOULEUR

A healthy decision LA DOULEUR A healthy decision Mieux vivre avec LA DOULEUR Tout à propos de la douleur, de ses causes et de ses possibilités de traitement. Parlez-en avec votre médecin ou pharmacien. Contenu Qu est-ce que la douleur

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS

Céphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées

Plus en détail

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?

TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal

Plus en détail

le traitement de la douleur

le traitement de la douleur le traitement de la douleur Chère patiente, cher patient Vous allez bientôt être admis dans l un des hôpitaux de jour de l az groeninge en vue d un traitement de la douleur. Dans cette brochure, vous trouverez

Plus en détail

Comprendre la mort cérébrale

Comprendre la mort cérébrale Comprendre la mort cérébrale Imprimeur de la Reine pour l Ontario, 2010. Adaptation et reproduction autorisées. 1 Comprendre la mort cérébrale Il est difficile d imaginer une expérience plus douloureuse

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

Les maladies valvulaires

Les maladies valvulaires CENTRE CARDIO-THORACIQUE DE MONACO information du patient Les maladies valvulaires Maladies, diagnostic et traitements 1 Les maladies valvulaires ou valvulopathies Elles désignent l ensemble des maladies

Plus en détail

NACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale. Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles

NACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale. Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles NACO - Antiplaquettaires et anesthésie locorégionale Ph MAHIOU Clinique des Cèdres 38130 Echirolles Les problèmes Savoir gérer la balance des risques? d un patient sous NACO et/ou AAP du chirurgien de

Plus en détail

Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE

Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter

Plus en détail

PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR

PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR Pr BETASERON Interféron bêta-1b Le présent dépliant constitue la troisième et dernière partie de la monographie de produit publiée à la suite de l approbation

Plus en détail

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT

Plus en détail