AUDIT ENDOSCOPIE CH DU PAYS D APT H. DE RANCE/D. CARRIERE 22 MAI 2015 ARLIN CORSE
|
|
- Aurore Dupont
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 AUDIT ENDOSCOPIE CH DU PAYS D APT H. DE RANCE/D. CARRIERE 22 MAI 205 ARLIN CORSE
2 OBJECTIFS Objectif principal - Evaluer la prévention/maitrise du risque infectieux d'origine exogène en endoscopie par rapport à l état de l art et mesurer les écarts aux référentiels dans les établissements de santé (ES) ayant une activité d endoscopie
3 Objectifs secondaires OBJECTIFS - Mesurer le niveau d'implication de l'établissement (en particulier la direction de l établissement), - Sensibiliser les personnels aux recommandations existantes, - Harmoniser les pratiques au sein d'un ES en tenant compte des spécificités de chaque spécialité (parfois plusieurs sites d'endoscopie), - Aider les ES à s'organiser de façon optimale et favoriser la mise en place d'un système de qualité autour de l'endoscopie, - Fournir des arguments pour une éventuelle centralisation du traitement
4 Caractéristiques de l audit Audit mixte: analyse documentaire (procédures), évaluation des ressources (matériel, consommables), déclaration par auto- questionnaire et observation des pratiques Niveaux de l audit: Etablissement, site de traitement, personnel et endoscope Inclusion: Endoscopes souples non autoclavables avec canaux internes Personnel: L audit s adresse à toute personne prenant en charge le traitement des endoscopes, que ce soit de manière régulière ou occasionnelle
5 METHODOLOGIE - Période de l audit 5/04 au 0/05/205 - Coordination par l EOH, (communication, information, organisation pratique et observation) - Implication d une IDE du bloc en charge du questionnaire personnel ( réfèrent endoscopie)
6 Outils Un tronc commun: - fiche établissement - fiche site de traitement - fiche personnel - fiche observation du traitement
7 Outils Quatre outils complémentaires (non abordés) - Enceintes de stockage des endoscopes thermosensibles (ESET) : évaluation des qualifications lors de la mise en service, des performances, validations des qualifications - Maintenance: évaluation de l existence d inventaire, de la mise en service, des modalités de maintenance préventive et curative des LDE et endoscopes
8 Outils - Contrôle microbiologique: évaluation des techniques de prélèvements, des techniques microbiologiques, de l interprétation des résultats microbiologiques sur les prélèvements d endoscopes ou de laveur-désinfecteur d endoscopes - Traça-test: utilisation d un outil élaboré pour pouvoir tester la performance du système de traçabilité dans les différents secteurs d endoscopie à partir de plusieurs scénarii évaluant des situations rencontrées par les équipes d endoscopie
9 Présentation de l ES - CH d environ 200 lits ayant une activité d endoscopie qui augmente progressivement - Services UMC, HJ/HS, Maternité, SSR, USLD, - Services UMC, HJ/HS, Maternité, SSR, USLD, Urgences, Bloc, EHPAD
10 Présentation de l ES - Pas de service d endoscopie identifié - Un seul opérateur - Les patients sont hospitalisés en HJ (demain restructuration de l établissement présence d un service ambulatoire) - En 204: 88 endoscopies digestives
11 FICHE ETABLISSEMENT outils RESULTATS
12 RAPPORT ETABLISSEMENT Nombre d'items* : 2 Réalisés : 8 Partiellement réalisés : 3 Non réalisés : *Les NA sont exclus des calculs 8 3 Activité endoscopique de l'établissement Nombre d'actes d'endoscopie réalisés l'année précédente : 2 04 Digestive Bronchique Urologique Gynécologique ORL Nombre de sites de traitement des endoscopes dans l'établissement : 0
13 RAPPORT ETABLISSEMENT Critère - Gestion du risque infectieux Démarche qualité en rapport avec l endoscopie déjà réalisée Signalement interne des EI organisé et utilisé en endoscopie Evaluation du risque MCJ organisée Procédure MCJ complète Prise en charge du traitement des endoscopes, la nuit, le WE, les jours fériés dans le respect des bonnes pratiques Critère 2 - Politique d'achat des équipements et consommables pour le traitement des endoscopes Sollicitation de l EOH pour les achats d équipements Sollicitation de l EOH pour les achats de consommables Critère 3 - Maintenance et prêt Existence d un inventaire actualisé du parc des endoscopes avec traçabilité de la date de mise en service Existence d une maintenance pour l ensemble des LDE, modules semi-automatisés, ESET lorsqu ils existent Existence d une traçabilité des interventions de maintenance Existence d une fiche de liaison en cas de prêt d endoscope Fourniture d une attestation du dernier traitement à réception d un endoscope emprunté Critère 4 - Contrôles microbiologiques Existence d une procédure pour la surveillance microbiologique Fréquences des prélèvements, seuils microbiologiques et CAT prévus pour les endoscopes
14 FICHE SITE DE TRAITEMENT
15 Critère - Equipement pour le traitement des endoscopes LDE Modules semiautomatisés Paillasses sans pompe 2 0 Critère 2 - Procédures et protocoles RESULTATS Une procédure complète de traitement manuel existe 0 0 Une procédure complète de traitement en LDE existe 0 0 Critère 3 - Matériels et produits La dilution des produits est conforme aux recommandations du fabricant L acide peracétique est le seul désinfectant utilisé Des bandelettes sont disponibles pour vérifier la concentration du bain de solution désinfectante Les écouvillons sont adaptés Critère 4 - Les locaux Respect du principe de la marche en avant 0 0 Stockage adapté des endoscopes désinfectés - 0
16 FICHE PERSONNEL
17 CRITERE. activité du personnel IDE / IDE spécialisé / Total Cadre (N=3) Activité régulière Activité occasionnelle Total AS / AP (N=3) Activité régulière Activité occasionnelle. Poste occupé Fiche de poste Contenu de la fiche de poste Traitement des endoscopes Prélèvements des endoscopes Prélèvements d'eau des LDE Prélèvements des ESET 4. Ancienneté dans l'activité an ans ans ans et plus 3 2
18 FICHE PERSONNEL ACTIVITES DU PERSONNEL: 6 agents ont renseigné une fiche, 3 IDE et 3 AS Sur les 6 agents, 5 ont une activité régulière en endoscopie Tous ont une fiche de poste et pour agent l activité d endoscopie n est pas mentionnée dans sa fiche de poste Concernant les prélèvements d endoscope seules les IDE sont concernées L ancienneté dans l activité de situe de 2 à ans et plus
19 CRITERE 2. formation du personnel IDE / IDE spécialisé / 5. Formation avant prise en charge seul du traitement des endoscopes Si oui, formation assurée par : Total Cadre (N=3) Activité régulière Activité occasionnelle Total AS / AP (N=3) Activité régulière tutorat interne l'eoh un organisme extérieur 0 les fabricants le service biomédical Formation lors de la mise en service de nouveaux matériels Sytématiquement Souvent Parfois Jamais Fréquence de formations continues (ancienneté > an) Au moins fois / an Activité occasionnelle
20 FICHE PERSONNEL FORMATION DU PERSONNEL: 6 agents ont eu une formation avant la prise en charge du traitement des endoscopes Pour 5 agents elle a été assurée par tutorat interne, par l EOH, par un organisme extérieur Tous les agents ont suivi une formation lors de la mise en service de nouveaux matériels 3 agents suivent une formation moins d une fois par an et 3 ne font jamais de formation
21 FICHE PERSONNEL ACCESSIBILITE AUX DOCUMENTS: Tous les agents ont accès aux documents via notre GED et un classeur se trouvant en service agent ne sait pas où trouver la documentation concernant le module semi-automatisé
22 FICHE PERSONNEL PARTICIPATION ET FORMATION A LA SURVEILLANCE MICROBIOLOGIQUE: Seules les IDE participent aux prélèvements microbiologiques Tous les agents sont informés des résultats et de la conduite à tenir en cas de non conformité
23 CRITERE 3. accessibilité des documents IDE / IDE spécialisé / Cadre (N=3) AS / AP (N=3) Total Activité régulière Activité occasionnelle Total Activité régulière Activité occasionnelle 8. Les professionnels savent où trouver les protocoles de l'établissement pour le traitement des endoscopes les fiches d'utilisation des produits les manuels des fabricants concernant : l'entretien de chaque endoscope l'utilisation du LDE l'utilisation du module semi-
24 FICHE OBSERVATION 7 observations réalisées: 3 gastroscopes 4 coloscopes Traitement en LDE
25 Type d endoscopes Type d'endoscopes observés DNI DHN Gastroscope 3 Coloscope 4 Duodénoscope 0 Entéroscope 0 Echo-endoscope 0 Bronchoscope 0 Nasofibroscope 0 Autre 0 Cholangioscope / Cholédoscope 0 Cystoscope 0 Urétéroscope 0 Hystéroscope 0 Total 7 0
26 Observation du traitement (7 observations sur site) Statut MCJ tracé Pré-traitement Transport Test d'étanchéité Brossages, écouvillonnages Premier nettoyage Premier rinçage Deuxième nettoyage Deuxième rinçage Désinfection Rinçage terminal Traitement LDE Fin de traitement Séchage si stockage agent ne faisait le béquillage de l endoscope, réajustement immédiat Dans 2 observations pas identification d endoscopes désinfectés L entretien des bacs n est pas fait convenablement Traçabilité 0 2 Nombre de sites Traçabilité du prétraitement non réalisé
27 RESULTATS CH APT Fiche établissement Type d'endoscopes observés DNI DHN Critère - Gestion du risque infectieux Gastroscope 3 Démarche qualité en rapport avec l endoscopie déjà réalisée Coloscope 4 Signalement interne des EI organisé et utilisé en endoscopie Duodénoscope 0 Evaluation du risque MCJ organisée Entéroscope 0 Procédure MCJ complète Echo-endoscope 0 Prise en charge du traitement des endoscopes, la nuit, le WE, les jours fériés dans le respect des bonnes pratiques Bronchoscope 0 Critère 2 - Politique d'achat des équipements et consommables pour le traitement des endoscopes Nasofibroscope 0 Sollicitation de l EOH pour les achats d équipements Autre 0 Cholangioscope / Cholédoscope 0 Sollicitation de l EOH pour les achats de consommables Critère 3 - Maintenance et prêt Cystoscope 0 Existence d un inventaire actualisé du parc des endoscopes avec traçabilité de la date de mise en service Urétéroscope 0 Existence d une maintenance pour l ensemble des LDE, modules semi-automatisés, ESET lorsqu ils existent Hystéroscope 0 Existence d une traçabilité des interventions de maintenance Total 7 0 Existence d une fiche de liaison en cas de prêt d endoscope Fourniture d une attestation du dernier traitement à réception d un endoscope emprunté Critère 4 - Contrôles microbiologiques Existence d une procédure pour la surveillance microbiologique Fréquences des prélèvements, seuils microbiologiques et CAT prévus pour les endoscopes DNI : Désinfection de niveau intermédiaire DHN : Désinfection de haut niveau Sites de traitement audités (N=) Critère - Equipement pour le traitement des endoscopes LDE Modules semi-automatisés Paillasses sans pompe 2 0 Critère 2 - Procédures et protocoles Une procédure complète de traitement manuel existe 0 0 Une procédure complète de traitement en LDE existe 0 0 Critère 3 - Matériels et produits La dilution des produits est conforme aux recommandations du fabricant 0 0 L acide peracétique est le seul désinfectant utilisé - 0 Des bandelettes sont disponibles pour vérifier la concentration du bain de solution désinfectante - 0 Les écouvillons sont adaptés 0 0 Critère 4 - Les locaux Respect du principe de la marche en avant 0 0 Stockage adapté des endoscopes désinfectés - 0 Observation du traitement (7 observations sur site) Statut MCJ tracé Pré-traitement Transport Test d'étanchéité Brossages, écouvillonnages Premier nettoyage Premier rinçage Deuxième nettoyage Deuxième rinçage Désinfection Rinçage terminal Traitement LDE Fin de traitement Séchage si stockage Traçabilité 0 Nombre de sites 2
28 AXES D AMELIORATION Réaliser une visite de risque Mettre place la maintenance du module semi automatisé et la tracer Formation initiale des personnels Identifier le circuit sale et circuit propre Mettre en place la traçabilité du pré traitement
29 ARCHITECTURE INTERNE D UN ENDOSCOPE (Olympus)
Vous avez dit: armoires??
Vous avez dit: armoires?? Prononcer : ESET Enceinte de Stockage des Endoscopes Thermosensibles Pr. René LAUGIER Dr. Joseph HAJJAR Recommandations de bonnes pratiques d utilisation des ESET Promoteurs :
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailMonitoring d un Datacenter du concept à la réalisation
Monitoring d un Datacenter du concept à la réalisation Par Norbert Andrey Tél: ++41(0)21 316 26 00 - Fax: ++41(0)21 316 27 26 Page 1 Objectifs - Détecter les défauts de fonctionnement et les notifier -
Plus en détailGestion de parc et qualité de service
Gestion de parc et qualité de service Journée Josy, 14 octobre 2008 A. Rivet Gestion de parc et qualité de service Gestion de parc Fonctions de base GT «Guide de bonnes pratiques» Référentiels et SI ITIL/ISO
Plus en détailRecommandations de la Société française d Endoscopie Digestive pour l organisation et le fonctionnement d un plateau technique en endoscopie digestive
Acta Endosc. DOI 10.1007/s10190-013-0334-4 RECOMMANDATIONS DE LA SFED / SFED RECOMMENDATIONS Recommandations de la Société française d Endoscopie Digestive pour l organisation et le fonctionnement d un
Plus en détailLA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret. La recherche infirmière. Cas concret : où se déroule-t-il?
LA RECHERCHE INFIRMIERE: une exigence professionnelle / cas concret 2ème journée infirmier(e)s / sages-femmes Université des Sciences de la Santé 20 novembre 2004 Stéphanie OGER 1 La recherche infirmière
Plus en détailREFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE
REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CQP AIDE DENTAIRE 1 ACTIVITES TECHNIQUES AIDE DENTAIRE / GESTION DU RISQUE INFECTIEUX Préparer et entretenir la salle de soins Entretenir la salle de stérilisation
Plus en détailRéférent et management
Référent et management Manager pour une efficacité de prévention Rôle, mission du référent et relais avec l encadrement Comment fédérer tous les acteurs de soins Référent et management Manager pour une
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailZone de commentaires. Convention EFS / ES ( document à joindre) II, Les systèmes d'information OUI NON NC Zone de commentaires. Zone de commentaires
5. ENSEMBLE DES PIECES CONSTITUANT LE DOSSIER A FOURNIR A L'AGENCE REGIONALE DE L'HOSPITALISATION POUR UNE DEMANDE D AUTORISATION DE FONCTIONNEMENT D UN DEPÔT DE SANG DANS UN ETABLISSEMENT DE SANTE I.
Plus en détailLa gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais
14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailPOLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :
POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page
Plus en détailMINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ. Direction générale de la santé
MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ Direction générale de la santé * Réponses à des questions fréquemment posées au sujet de l application de l instruction n DGS/RI3/2011/449 du 1er décembre
Plus en détailLa communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe
La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien
Plus en détailGestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional
Gestion du traitement personnel des patients : Enquête et audit régional Marion Alpy Jean-Marie Kinowski Journée OMEDIT 3 avril 2014 Contexte La prise en charge du traitement personnel du patient peut
Plus en détailCystoscopie vidéo mobile KARL STORZ
URO 43 7.0 07/2015-FR Cystoscopie vidéo mobile KARL STORZ La technologie d'image numérique 2 Solution numérique complète Cystoscopie vidéo mobile KARL STORZ Utilisé avec l'écran transportable C-MAC à éclairage
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.
Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011
Plus en détailEvaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation
Evaluation d un nouveau vidéo endoscope bronchique à usage unique avec canal opérateur en réanimation Mémoire de DESC de réanimation Soutenu le 10 décembre 2014 par le Dr Julie Mankikian Directeur de mémoire:
Plus en détailGESTION DE STOCK. July 2009. Hilde De Boeck
GESTION DE STOCK July 2009 Hilde De Boeck Table des matières Introduction Organisation du stock centrale 1. Gestionnaire de stock 2. Stockage: - Les Conditions - Rangement des produits 3. Les outils de
Plus en détailDocuments d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire
Plus en détailLiaison Bac Pro ASSP - BTS
Brigitte Rougier IEN SBSSA Sandrine Martinez PLP STMS Sarah Zemmouri PLP STMS L élaboration du plan de formation en Baccalauréat professionnel Liaison Bac Pro ASSP - BTS Baccalauréat professionnel «Accompagnement,
Plus en détailMESURE DE L ÉNERGIE ET DES FLUIDES
MESURE DE L ÉNERGIE ET DES FLUIDES MESURER EN CONTINU TOUTES VOS CONSOMMATIONS D ÉNERGIE ET DE FLUIDES POUR PERMETTRE UNE OPTIMISATION DE VOS PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES Instrumenter vos immeubles à
Plus en détailCommunauté de Communes du Pays de Livarot
Rue des Frères Lumière 14120 MONDEVILLE 02 31 35 64 35 02 31 35 64 36 Email : contact@inea-be.com Communauté de Communes du Pays de Livarot Aménagement de l ancienne usine Leroy en un Pôle de Santé Libéral
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailELEMENTS D'ASSURANCE QUALITE EN HYGIENE RELATIFS AU CONTRÔLE MICROBIOLOGIQUE DES ENDOSCOPES ET À LA TRAÇABILITE EN ENDOSCOPIE
DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins Conseil supérieur d hygiène publique
Plus en détailMise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier
Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailPROCEDURE ENREGISTREMENT
Page 1 sur 7 ANNULE ET REMPLACE LES DOCUMENTS SUIVANTS référence 04/PR/001/02/V01 04/PR/001/02/V02 04/PR/001/02/V03 04/PR/001/02/V04 04/PR/001/02/V05 04/PR/001/02/V06 04/PR/001/02/V07 04/PR/001/02/V08
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailNuméro Spécial- octobre 2014 Prochain numéro Décembre 2014 Page 1
hinfooct2014_hinfo 09.10.14 13:30 Numéro Spécial octobre 2014 t St Laurent du Pon ospitalier H e r t n du C e nal r u jo Le Enquête sur La satisfaction au travail U n questionnaire, préparé par la DRH,
Plus en détailUDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE
UDSG CLASSIFICATION DOSSIER DOCUMENTAIRE 2 SOMMAIRE I. LES FAMILLES PROFESSIONNELLES... 5 II. LES FONCTIONS GENERIQUES... 12 FAMILLE ETUDES ET CONCEPTION......... 15 ASSISTANT D ETUDES ET CONCEPTION...16
Plus en détail4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES
PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage
Plus en détailPlan de formation Personnel de l UCE
Plan de formation Personnel de l UCE Juin 2015 Sommaire Contexte Termes de référence du consultant Environnementales et Sociales Termes de référence pour l archivage électronique des documents Proposition
Plus en détailREF01 Référentiel de labellisation des laboratoires de recherche_v3
Introduction Le présent référentiel de labellisation est destiné aux laboratoires qui souhaitent mettre en place un dispositif de maîtrise de la qualité des mesures. La norme ISO 9001 contient essentiellement
Plus en détailChaîne de production des médicaments
Chaîne de production des médicaments GPAO : Aspects légaux et pharmaceutiques 2 Principe de base Une préparation n est entreprise que si la pharmacie possède les moyens appropriés pour la réaliser et la
Plus en détailCONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012
CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :
Plus en détailAccueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale. Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA
Accueil et Formations du personnel recruté en Stérilisation Centrale Présenté par Dany GAUDELET et le Dr. Julien MOLINA PLAN Introduction Réglementation Circuit du personnel Procédure de Formation Accueil
Plus en détailRéglage, paramétrage, contrôle, modification. Salle de conférence.
Réglage, paramétrage, contrôle, modification. Salle de conférence. Session 2011 Enseignants : Laurent BOUSQUET Bernard TAULOU SYSTEME : Salle de conférence THEME D ETUDE : Automatisme du bâtiment CCF sous
Plus en détailMadame Laureen WELSCHBILLIG Chef de projet Système d Information de Santé ARS IDF
Madame Laureen WELSCHBILLIG Chef de projet Système d Information de Santé ARS IDF Système d information MAIA et stratégie régionale Journée MAIA Paris 11 mai 2015 Hôtel de Ville de Paris Systèmes d Information
Plus en détailCertification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse
Certification ISO 9001 de la prise en charge médicamenteuse Jeudi 9 avril 2015 1 Sommaire Présentation de la Maison de santé Marie Galène La démarche de certification ISO 9001 à Marie Galène Pourquoi cette
Plus en détailPandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu
Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière
Plus en détailGAMME DE LDE DE GETINGE UN SYSTÈME PLUS SÛR DE TRAITEMENT DES ENDOSCOPES. Gamme de LDE de Getinge 1
GAMME DE LDE DE GETINGE UN SYSTÈME PLUS SÛR DE TRAITEMENT DES ENDOSCOPES Gamme de LDE de Getinge 1 2 Gamme de LDE de Getinge TRAITEMENT DES ENDOS- COPES - RAPIDE ET À L ABRI DES ERREURS L augmentation
Plus en détailEtablissement Français du Sang
Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité
Plus en détail10 juin 2013. Pharmagest - Villers-Lès-Nancy. Inauguration DataCenter
10 juin 2013 Pharmagest - Villers-Lès-Nancy Inauguration DataCenter 65 millions de dossiers médicaux en France L hébergement de données de santé : un enjeu pour demain Les réformes en cours du système
Plus en détailScénarios des activités pédagogiques en ligne. Christiane Mathy / Izida Khamidoullina
Scénarios des activités pédagogiques en ligne Christiane Mathy / Izida Khamidoullina Intervenants Équipe e-learning Christiane Mathy, collaboratrice mais aussi: Enseignante en informatique de gestion Maître
Plus en détailAgrément des hébergeurs de données de santé. 1 Questions fréquentes
Agrément des hébergeurs de données de santé 1 Questions fréquentes QUELS DROITS POUR LES PERSONNES CONCERNEES PAR LES DONNEES DE SANTE HEBERGEES? La loi précise que l'hébergement de données de santé à
Plus en détailFiche de poste : Agent d entretien FICHE DE POSTE. AGENT d ENTRETIEN 1/7
FICHE DE POSTE AGENT d ENTRETIEN Fiche de poste actualisée le lundi 18 février 2013 1/7 1 SOMMAIRE 2 Positionnement... 3 3 Relations internes et externes... 3 4 Presentation du service entretien... 4 5
Plus en détailListes de fournitures du secondaire pour la rentrée 2015-2016
Listes de fournitures du secondaire pour la rentrée 2015-2016 Classe de 6 ème - Un paquet de pinceaux (gros, moyens, petit) Classe de 5 ème - Un paquet de pinceaux (gros, moyens, petits) Classe de 4 ème
Plus en détailL application doit être validée et l infrastructure informatique doit être qualifiée.
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 Annexe 11: Systèmes informatisés
Plus en détailAUDIT BLOC OPERATOIRE
AUDIT BLOC OPERATOIRE Forum Octobre 2006 G.Bossuat, inf, HPCI, CHUV 1 Rappel théorique Audit vient du mot latin «audire», écouter. L audit, est un processus méthodique, indépendant et documenté permettant
Plus en détailLA FONCTION BATIMENT DANS LES ÉCOLES DU 14 E ARRONDISSEMENT. Jeudi 18 décembre 2014, 18h00 Mairie du 14 e, salle des mariages
LA FONCTION BATIMENT DANS LES ÉCOLES DU 14 E ARRONDISSEMENT Jeudi 18 décembre 2014, 18h00 Mairie du 14 e, salle des mariages L ÉCOLE : UN ÉQUIPEMENT PUBLIC DE PROXIMITÉ La ville de Paris, comme toutes
Plus en détailDémarche de traçabilité globale
Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus
Plus en détailUnité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012
Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche
Plus en détailSTAGE : TECHNICIEN EN BUREAUTIQUE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION STAGE
Plus en détailSOLUTIONS DE CONTRÔLE INDUSTRIEL SYSTÈME AVANCÉ DE COMMANDE DU TRAÇAGE ÉLECTRIQUE NGC-30
SOLUTIONS DE CONTRÔLE INDUSTRIEL SYSTÈME AVANCÉ DE COMMANDE DU TRAÇAGE ÉLECTRIQUE NGC-30 SOLUTIONS DE GESTION THERMIQUE WWW.THERMAL.PENTAIR.COM DIGITRACE NGC-30 Le DigiTrace NGC-30 est un système électronique
Plus en détailMai Thanh LE - Pôle Hygiène
Sodexo Le Better Tomorrow Plan Nos actions de progrès en bio nettoyage Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Présentation de l entreprise Sodexo Depuis la création de l entreprise en 1966, Sodexo est le partenaire
Plus en détailC.R.T. Informatique 4,1 M (2014) 40% 20% 15% 15% 10% 25 ANS 17 EMPLOYES 2 AGENCES 5 DATACENTERS OPERATEUR RESEAU INFOGERANCE MAINTENANCE DEVELOPPEMENT
C.R.T. Informatique 25 ANS 17 EMPLOYES 2 AGENCES 5 DATACENTERS 4,1 M (2014) 40% 20% 15% 15% 10% OPERATEUR RESEAU INFOGERANCE MAINTENANCE DEVELOPPEMENT Zebra Technologies Sommaire Conception de la solution
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailGroupement ICS eau et William Terry Conseil, représenté par:
Catalogue de Formations THERMALISME Accompagnement à la Certification Aquacert HACCP (Certification basée sur le Guide Bonnes Pratiques de la profession Conforme aux exigences règlementaires de janvier
Plus en détailFNSA 91, avenue de la République 75011 PARIS
Dossier de candidature QUALITASS FNSA 91, avenue de la République 75011 PARIS Documents à fournir Option 1 : Pièces à fournir (obligatoire dans le cadre d une première demande) Ou Option 2 : Engagement
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile. Insuffisance cardiaque
PRADO, le programme de retour à domicile Insuffisance cardiaque Acteurs locaux CPAM/ELSM de Couverture Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer
Plus en détailBUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale
Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..
Plus en détailMise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé
Mise en œuvre de l accréditation dans un laboratoire de biologie médicale privé SELARL ANALYS / SELARL ANALYS-I Une démarche d accréditation multisites Journée du 29 Juin 2010 Thierry Avellan tavellan@free.fr
Plus en détailBonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire
1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,
Plus en détailOffre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt.
2015 Offre de formation itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux Inscription en ligne aux stages https://inscription.cnfpt.fr/ Délégation régionale Basse-Normandie
Plus en détailNomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2. Section M Division 70
Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2 Section M Division 70 70 ACTIVITÉS DES SIÈGES SOCIAUX ; CONSEIL DE GESTION Cette division comprend le conseil et l'assistance à des entreprises et autres organisations
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailGénie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité
Génie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité Préambule Venir chez SE2M, c est vous faire profiter de notre expertise de plus de 10 ans d expérience dans l exercice de notre
Plus en détailComment réaliser votre étude de marché. Pascale GARNIER - MCP MARKETING Estelle DELABRE - SILOUET
Comment réaliser votre étude de marché Pascale GARNIER - MCP MARKETING Estelle DELABRE - SILOUET Sommaire Objectifs de la conférence Préambule Méthode pour organiser votre réflexion Quelques conseils Partie
Plus en détailManuel de management intégré
Manuel de management intégré Versions 1 2015 Manuel de management intégré ETT 04/2015 1 Préface Le manuel de management intégré se veut une présentation succincte de notre organisation. Cette organisation
Plus en détailREFERENTIEL DES ACTIVITES PROFESSIONNELLES
PREAMBULE Le baccalauréat professionnel Electrotechnique Energie Equipements Communicants traite des secteurs d activités : de l industrie, des services, de l habitat, du tertiaire et des équipements publics.
Plus en détailCatalogue Formation 2015
Catalogue Formation 2015 Because you care about CONSUMERS HEALTH HACCP Expertise, votre partenaire en sécurité des aliments Présentation du catalogue Pourquoi faire de la formation? Formation préventive
Plus en détailAP 2nde G.T : «Organiser l information de manière visuelle et créative»
AP 2nde G.T : «Organiser l information de manière visuelle et créative» Les TICE, un mode d accès à mon autonomie bien sûr! «L'autonomie n'est pas un don! Elle ne survient pas par une sorte de miracle!
Plus en détailDossier de partenariat «Endoscopie en un clic»
MOBILE HEALTH SAS I Siège social : 112 avenue Kléber - 75116 Paris I Bureaux : 20 avenue André Malraux 92300 Levallois I mobile- health.fr Dossier de partenariat «Endoscopie en un clic» Sylvie LORSERY
Plus en détailGroupement d'achat UNI-HA SSI: sécurisation pragmatique, efficiente et homogène des SI de Sante en partenariat avec l'asip Sante et les FSSI
Groupement d'achat UNI-HA SSI: sécurisation pragmatique, efficiente et homogène des SI de Sante en partenariat avec l'asip Sante et les FSSI Colloque gouvernance sécurité des systèmes d information Marseille
Plus en détailGestion Electronique des Documents et la qualité documentaire au cœur du développement durable.
Gestion Electronique des Documents et la qualité documentaire au cœur du développement durable. Introduction La Gestion Electronique des Documents est la mémoire de l entreprise. La mémoire existante qui
Plus en détailProjet ROC Réunion de lancement des groupes de travail Présentation du projet aux établissements de santé
Programme SIMPHONIE Projet ROC Réunion de lancement des groupes de travail Présentation du projet aux établissements de santé Lundi 2 Février 2015 Version 0 Sommaire A. Contexte, objectif, enjeux B. Déclinaison
Plus en détailNotice d'utilisation. Installation solaire avec appareil de régulation KR 0106. 6302 1500 05/2002 FR Pour l'utilisateur
6302 1500 05/2002 FR Pour l'utilisateur Notice d'utilisation Installation solaire avec appareil de régulation KR 0106 Lire attentivement avant utilisation SVP Préface Remarque Les appareils répondent aux
Plus en détailRéorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban
Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Cahier des charges du Logiciel Médico Technique Rédigé en collaboration avec Cahier des charges du Logiciel Médico Technique La procédure d
Plus en détailERP5. Gestion des Services Techniques des Collectivités Locales
Gestion des Services Techniques des Collectivités Locales Cte 1 2 P 3 s tio T 4 m ilg h trc c n p.o 5 re u fe ro a le tio c M S tw u aa c e O 2 Relation Citoyen Interventions Patrimoine Core Ressources
Plus en détailMARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES
MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES RESTRUCTURATION PARTIELLE DU RESEAU CVC CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES EN APPLICATION DU CODE DES MARCHES PUBLICS DECRET N 2006-975 DU 1ER AOUT
Plus en détailNote de synthèse Assurance Maladie. Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011
Note de synthèse Assurance Maladie Information des professionnels de santé sur les produits de santé mars 2011 Au début des années 2000, l Assurance Maladie a commencé à construire puis développer une
Plus en détailLe patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité. CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015
Le patient traceur comme outil de développement de la culture qualitérisques-sécurité CAPPS Bretagne Rennes 12 juin 2015 Contexte HIA Clermont Tonnerre Hôpital de 200 lits, MCO adulte, psychiatrie et SSR,
Plus en détailCH Marches de Bretagne/Mme ROUANET 05/06/2015 2
Choix thème HBD souvent insuffisante dans la population en générale HBD nombreux bénéfices médicaux, psychologiques et sociaux Plusieurs fonctions (mastication, déglutition et esthétique) permis par les
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailQUALIFICATION PROFESSIONNELLE. Audition du 21 février 2011 Consultation publique Bruxelles. La perspective des Médecins. Professeur Robert NICODEME
QUALIFICATION PROFESSIONNELLE Audition du 21 février 2011 Consultation publique Bruxelles La perspective des Médecins Professeur Robert NICODEME 1 Conseil National de l Ordre des Médecins Le Conseil National
Plus en détailContent. Steriking Multi Seal Test Kit. Nettoyage et désinfection de haut niveau des dispositifs médicaux, endoscopes et matériel thermosensible.
HOSPITHERA NEWSFLASH n 2 Sterilization & Hygiene 09/2013 Content Steriking Multi Seal Test Kit Combine les tests qualitatifs de votre soudeuse. p2 Aniosept Activ 2% Nettoyage et désinfection de haut niveau
Plus en détailLe guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration
FORMATION : THEORIQUE C.H.R. / INTRA-ENTREPRISE MODULE Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration TYPE DE FORMATION : Hygiène et sécurité, qualité normalisation,
Plus en détailREFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE :
REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : RECONNU GARANT DE L ENVIRONNEMENT Date de mise en application : 20/02/2014 QUALIFELEC RE/0010 indice A 1 SOMMAIRE 1. DOMAINE D APPLICATION... 4 1.1 Objet...
Plus en détailDocument élaboré par :
CCLIN Sud-Ouest Document élaboré par : C. Aubeneau - Poitiers G. Boutolleau - Sainte Foy La Grande A. Bui-Quoc - Limoges M. Halary - Angoulême F. Jouannet - Angoulême J. Lalanne Claux - Dax D. Le Ménahèze
Plus en détailTableau des postes POSTE NUMERO 128 POSTE NUMERO 149 POSTE NUMERO 155 POSTE NUMERO 216 POSTE NUMERO 226 POSTE NUMERO 265 POSTE NUMERO 294
Tableau des postes POSTE NUMERO 128 Affichage # 1357 EQUIPE VOLANTE CS POSTE NUMERO 149 Affichage # 1355 EQUIPE VOLANTE CS POSTE NUMERO 155 Affichage # 1353 EQUIPE VOLANTE CS POSTE NUMERO 216 Affichage
Plus en détailÉTAT DES LIEUX. Les questions que vous vous posez. Gardez juste l essentiel!
ÉTAT DES LIEUX Les nouvelles technologies annoncent depuis 15 ans le règne du zéro papier et du gain de temps. Dans la réalité, l entreprise et l administration ont vu leur consommation de papier exploser
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailInformatisation des données transfusionnelles
Informatisation des données transfusionnelles Dr Marie-France Angelini Tibert Coordonnateure régionale d hémovigilance Réunion - Mayotte Objectifs Optimiser et sécuriser les circuits Optimiser et sécuriser
Plus en détailSUPPLEMENT AU DIPLOME
SUPPLEMENT AU DIPLOME Préambule : «Le présent supplément au diplôme suit le modèle élaboré par la Commission européenne, le Conseil de l Europe et l UNESCO/CEPES. Le supplément vise à fournir des données
Plus en détailCENTRES D APPUI À LA TECHNOLOGIE ET À L INNOVATION (CATI) GUIDE DE MISE EN ŒUVRE
CENTRES D APPUI À LA TECHNOLOGIE ET À L INNOVATION (CATI) GUIDE DE MISE EN ŒUVRE Le programme de centres d'appui à la technologie et à l'innovation (CATI), mis en place par l'ompi, permet aux innovateurs
Plus en détail