Les du. diarrhées poulain. causes Résultats Soins Prévention. Une étude épidémiologique de deux ans en région Basse-Normandie

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les du. diarrhées poulain. causes Résultats Soins Prévention. Une étude épidémiologique de deux ans en région Basse-Normandie"

Transcription

1 Les du diarrhées poulain causes Résultats Soins Prévention Une étude épidémiologique de deux ans en région Basse-Normandie

2 Qu est-ce qu une diarrhée? C est l émission de fèces trop liquides, trop fréquemment (plus de 3 fois par jour) et trop rapidement. Un épisode de diarrhée transitoire et modéré est classiquement observé chez le poulain de 7-12 jours (coïncide souvent avec les premières chaleurs de la jument). Cette diarrhée semble liée à des modifications de la flore digestive du poulain et il ne faut surtout pas la traiter (elle doit disparaître sans traitement en 24 à 48 h). Les principales causes de diarrhées chez le jeune poulain avant sevrage sont : les virus, les bactéries, les parasites (helminthes, protozooaires), l alimentation, les ulcères gastriques et l administration d antibiotiques. Comment survient-elle? Les mécanismes à l origine d une augmentation de la teneur en eau des féces comprennent : l hypersécrétion (l hypersécrétion résulte d une stimulation des cryptes de l intestin grêle, induisant une hypersécrétion dont l importance dépasse les capacités d absorption), la malabsorption, la maldigestion (les sucres et les graisses non digérés, non absorbés, attirent osmotiquement davantage de fluides dans la lumière intestinale), et une augmentation de la perméabilité de la paroi digestive (l inflammation de la muqueuse induit une augmentation de la pression hydrostatique et de la La diarrhée, c est un symptôme! Elle résulte de deux phénomènes :. une modification de la perméabilité de la paroi de l intestin à cause d une inflammation (appel d eau dans la lumière intestinale). une accélération du transit intestinal taille des pores, cela permet aux fluides de passer du sang vers la lumière digestive selon le gradient de pression. Une destruction tissulaire induit la formation de très larges pores et une exsudation de protéines, de fluides et de fibrine). Si l animal ne souffre pas de déshydratation, elle est utile pour éliminer plus rapidement un éventuel agent infectieux situé dans le tube digestif.

3 Les causes de diarrhées Les diarrhées à rotavirus D après les études publiées, les rotavirus constituent l une des causes les plus fréquentes de diarrhées du poulain. Les rotavirus sont des agents infectieux d une grande contagiosité. Les poulains sont préférentiellement atteints avant l âge de 3 mois. La diarrhée présente un aspect gris pâteux ou est très liquide. Les symptômes accompagnant la diarrhée ne sont pas très caractéristiques : abattement, perte d appétit, douleurs abdominales, fièvre intermittente. Ces signes peuvent apparaître 12 à 24 h avant le début de la diarrhée. La diarrhée disparaît généralement en 3 ou 5 jours mais peut persister plus longtemps. Les poulains les plus jeunes sont souvent les plus sévèrement atteints. Les virus sont hébergés par des chevaux adultes, des poulains porteurs sains ou des poulains malades (en phase d incubation, de développement, ou de guérison de l infection). Le virus sera détecté dans les fèces des poulains malades, de 2 jours avant le début des symptômes cliniques, jusqu'à 6 jours après la guérison. Les fèces de poulains contaminés contiennent jusqu à 10 6 particules infectantes par gramme. La transmission se fait par voie orale et la période d incubation est de 18 à 24 h. Ces virus sont résistants et sont susceptibles de persister dans l environnement pendant au moins 9 mois. Cela explique qu ils se maintiennent dans un élevage d une saison de poulinage à l autre si aucune mesure de désinfection n est appliquée. La rotavirose peut se développer de façon sporadique (diarrhée limitée à un ou deux poulains dans un même élevage) ou épizootique (grand nombre de poulains atteints dans un court laps de temps) dans un élevage. Autres agents infectieux La diarrhée résulte souvent d une interaction entre : des facteurs propres à l animal (statut immunitaire, âge ), des facteurs environnementaux (hygiène, logement, alimentation ) et des agents infectieux ou parasitaires. Certaines diarrhées ne sont pas d origine infectieuse : Causes alimentaires :. Suralimentation du poulain (séparation temporaire, orphelin). Intolérance au lactose. Consommation excessive de sable, terre, crottins, paille Ulcères gastriques Antibiothérapie Stress Mais la plupart sont liées au développement de virus, de bactéries ou de parasites. 1 IFCE

4 2 Présentation de l étude 775 poulains nés en 2000 dans 42 élevages bas-normands ont participé à une étude sur les diarrhées (figure 1). L objectif de ce travail était de mieux connaître l importance respective des différents agents infectieux (bactéries, virus, parasites) dans l apparition de diarrhée néonatale (tableau 1) et d identifier les facteurs individuels (âge, statut immunitaire) et les pratiques d élevage favorisant le développement de ces affections. Cette étude s est poursuivie en 2001 sur 549 poulains provenant de 28 élevages déjà sélectionnés. Figure 1 : Répartition par race des élevages étudiés Poney Pur sang arabe Trait 5% 7%2% Selle français 29% 17% 40% Pur sang anglais Trotteur français Résultats de l étude Diarrhée à rotavirus Des diarrhées à rotavirus ont été identifiées dans onze élevages sur l année 2000 (11 en 2001). L infection a présenté une allure épizootique chez quatre d entre eux en 2000 (trois en 2001). Comment lutter? Stimuler l immunité du poulain Réduire les sources de contamination au sein de l élevage par de bonnes pratiques sanitaires Avoir les bons réflexes face à un premier cas de diarrhée Diarrhées bactériennes La clostridiose et la colibacillose étaient les principales causes de diarrhées d origine bactérienne dans l étude normande. Plus rarement, des formes digestives de rhodococcose, des infections à Campylobacter ou Yersinia ont été identifiées. Diarrhées parasitaires Différents œufs de parasites étaient présents en faible quantité dans les fèces des poulains sains et des poulains malades (Trichonema, Strongyloïdes westerii, Strongylus). D après nos résultats et les études publiées, il semble qu ils n aient pas un rôle direct dans l apparition des diarrhées mais qu ils puissent être un facteur prédisposant au développement d infections virales ou bactériennes. 52% des diarrhées sont observées entre la naissance et 1 mois (70% avant 2 mois), principalement de mars à juillet. Tableau 1 : Fréquence d'isolement des principaux agents infectieux et parasitaires à partir de fèces de poulains bas-normands (Étude ANSES Campagnes 2000 et 2001) Fréquence d'isolement Poulain sains Poulain sains Avec diarrhée Avec diarrhée dans les fèces (%) (2000) (2001) (2000) (2001) Virus Rotavirus 20,2% 23,3% 48,4% 42,6% Bactéries Cl. perfringens 5% 7% 7% 16,9% E. coli hémol. 7,2% 7,7% 15% 12,3% Campylobacter 0% 2,2% 0% 6,1% Parasites Strong. westerii* 8% 5,4% 0% 3% Trichonema* 22,3% 10,9% 21,2% 0% Strongylus* 9,8% 3,6% 6% 3% Cryptosporidies 2% 5,4% 0% 0%

5 3 Résultats de l étude Immunité des poulains après le poulinage Les prélèvements de sang réalisés sur un échantillon de 502 poulains après la naissance (entre 12 h et 48 h) indiquent (figure 2) que 87% des poulains de l étude ont une bonne immunité (plus de 8 g/l d IgG totaux dans le sang) et 5% présentent une immunité insuffisante (titre IgG < 4 g/l). Les poulains ayant un faible taux immunitaire représentent (figure 3) : 11% des poulains dans les élevages de Selle-Français (SF), 4% dans les élevages de Trotteur (TF), 2% dans les élevages de Pur-Sang (PS). Les pratiques d élevage diffèrent beaucoup en fonction des races, notamment en ce qui concerne le contrôle du passage de l immunité de la jument au poulain. Ainsi l évaluation de la qualité du colostrum est pratiquée sur (figure 4) : 46% des juments PS de l étude, 11,5% des juments TF, aucune jument SF. Le biberon systématique de lait maternel donné dès la naissance est aussi une pratique encore trop peu répandue dans les élevages (5/42). L administration systématique au poulain dès la naissance, de sérum trivalent, est une pratique fréquente dans les élevages bas-normands (30/42). Dans notre échantillon de poulains, aucune différence significative n a pu être observée, entre le statut immunitaire à 24 h des poulains recevant du sérum (dans les premières heures suivant leur naissance) et ceux n en recevant pas. Figure 2 : Statut immunitaire de 502 poulains à 24h de vie Faible Moyen 436 Bon Figure 3 : Statut immunitaire des poulains par race Bon Moyen Faible 100% 2% 4% 8% 11% 8% 11% 80% 60% 40% 20% 0% Figure 4 : Contrôle du transfert d immunité passive par race 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 90% Pur-Sang 46% 30% Pur-Sang 78% Selle Français 22% Selle Français 88% Trotteur Français Colotest Biberon 11,5% 9% Trotteur Français

6 Diagnostic Que faire 1 Identification précoce et isolement du malade Bâtiment annexe, box individuel, petit paddock, jusqu à 2 à 3 jours après l arrêt de la diarrhée. 2 Description du problème Un ou plusieurs poulains atteints? Dans quel délai? Âge du (des) malade(s)? État général (arrêt des tétées, abattement )? Contacts entre malades et autres poulains? Existence de facteurs prédisposants : transition alimentaire? Stress (absence de la mère)? Usage d antibiotiques? 3 Examen par votre vétérinaire État général du poulain, caractéristiques de la diarrhée Aspect : pâteux, liquide, malodorant, couleur, présence de sang ou débris. Associée à : douleur, température, déshydratation, anorexie Examens complémentaires : Prise de sang Prélèvement de fèces avant tout traitement (bactériologie, virologie, coproscopie ) Les bons réflexes Surveillance quotidienne des poulains (surtout dans la période 0-3 mois) Éviter les traitements systématiques! Essayer de respecter les bonnes pratiques d élevage (voir fiche prévention) Éviter le stress Utiliser gants, blouse et pédiluve lors de la manipulation des poulains malades ANSES L.Marnay, IFCE 4 Examen des autres appareils : diarrhée ou septicémie? Mais L examen clinique permet rarement de savoir qui est l agresseur!

7 Traitement Le traitement vise à : 1 Compenser les pertes Diarrhée = perte d eau + électrolytes, DONC LAISSEZ-LES BOIRE! Réhydratation par voie orale : lait de la mère (eau + électrolytes) et eau propre! Réhydratation par voie intra-veineuse : perfusion L.Marnay, IFCE 2 Lutter contre l inflammation de l intestin Pansements digestifs Anti-inflammatoires (attention à la toxicité rénale et aux ulcères) 3 Lutter contre l agresseur Rotavirus (vaccination non encore disponible en France), bactéries (antibiotiques adaptés), parasites (vermifuges adaptés) Attention au déséquilibre de la flore intestinale 4 Rétablir la flore (probiotiques) Apport de bactéries non pathogènes : compétition biologique Tableau 2 : Principaux traitements à utiliser en cas de diarhées Grandes familles Anti-inflammatoires Anti-sécrétoires Antibiotiques Probiotiques Principes actifs Flunixine, Dipyrone... Kaolin, Smectite, Charbon, Pectines, Argile... Colistine, Gentamicine, Ceftiofur, Penicilline... Différents ferments lactiques existent Rôles Limite l'inflammation de l'intestin (douleurs et perméabilité) Protège la muqueuse intestinale Réduit les pertes d'eau Limite la multiplication bactérienne Apport de bactéries non pathogènes : compétition biologique Attention aux modificateurs du transit : risque de concentration infectieuse! 5

8 6 Prévention immunitaire 1 Améliorer la qualité du colostrum Augmenter naturellement la production d anticorps (AC) des poulinières, en les plaçant dans leur environnement de poulinage 1 mois avant celui-ci afin qu elles puissent réagir vis-à-vis du microbisme ambiant. Augmenter la production d AC par la vaccination, 3, 2 et 1 mois avant le poulinage (vaccin rotavirus non encore disponible en France). 2 Limiter les agressions à la naissance Bien nettoyer et désinfecter la mamelle juste après le poulinage. 3 Vérifier le transfert d immunité de la mère au poulain Le poulain naît sans défense immunitaire. Le colostrum de la jument (1 er lait) contient les anticorps (immunoglobulines), nécessaires au poulain nouveau-né, pour lutter contre les infections et lui assure une protection pendant 2 mois. Plus la tétée sera précoce après la naissance, plus le transfert d anticorps sera efficace. Niveau de protection immunitaire Protection immunitaire chez les jeunes poulains Immunité colostrale Immunité active 1 mois Période de sensibilité 3 mois Seuil de protection Temps Évaluer la qualité du colostrum La concentration en anticorps doit être supérieure à 60 g/l dans le colostrum. Le dosage s effectue facilement dès la naissance à l aide du colotest. Pour un colostrum inférieur à 40 g/l, le poulain n a que 3 chances sur 10 d être bien immunisé. Veillez donc à le complémenter (banque). IFCE Surveiller la prise de colostrum Donner systématiquement un biberon (250 ml) de colostrum de la mère, avant la levée du poulain apporte une défense avant toute contamination. Au minimum, s assurer de la tétée dans les 6 heures qui suivent la naissance. Vérifier le transfert des AC, de la mère au poulain À 12 h ou plus, on peut effectuer un dosage des AC (IgG) dans le sang du poulain. Il existe un test simple et rapide qui peut être fait par votre vétérinaire (en deçà de 4 g/l, il est conseillé de réaliser une plasma thérapie). 4 Constituer une banque de colostrum Au delà de 60 g/l d anticorps dans le colostrum, on peut le conserver au congélateur, pour constituer une réserve en cas de déficit chez d autres juments. Vous pouvez traire ¼ de litre après la 1 ère tétée et dans les 4 heures après la mise bas, puis le filtrer et le conserver à -20 C pendant 1 an. Pour les poulains immunodéprimés, décongeler le colostrum à 35 C maximum (pas de micro-ondes, ni de bain marie) et le donner en prise de 250 ml (toutes les heures!, de 0 à 18 h de vie)

9 Prévention parasitaire Les diarrhées dues à des surinfections bactériennnes ou virales peuvent résulter d une infestation parasitaire ou d une vermifugation trop répétée. Celle-ci peut, chez le poulain, nuire à l équilibre de la flore intestinale. Le poulain naît indemne de parasites, mais il peut se contaminer plus ou moins vite selon la pression parasitaire de son lieu de vie. 1 Prévenir le développement des parasites Bien connaître pour bien prévenir! Poulains et parasites : principaux helminthes concernés Parascaris equorum est le principal parasite pouvant infester précocement le poulain. ANSES Poulains et vermifuges : conduite à tenir Effectuer dès 3 mois une analyse des crottins : si présence d œufs de Parascaris : traiter le poulain, sinon refaire une analyse un mois et demi plus tard : si présence traiter à nouveau sinon refaire un nouveau prélèvement au sevrage. Si aucun œuf n est mis en évidence : traiter au moment du sevrage (pour Parascaris, les petits et grands strongles). 3 Bien gérer la mise à l herbe Éviter la surcharge qui entraîne le surpâturage et augmente la concentration parasitaire et infectieuse sur l élevage. Attention aux points d eau! Éviter de faire communiquer les abreuvoirs ou points d eau entre plusieurs parcelles. Ce sont des facteurs de contamination importants. En cas de diarrhées sur un même lot de poulains, penser à faire analyser l eau. 7 Le poulain ingère les œufs de Parascaris dans les prairies en mangeant de l herbe (les vers sont adultes vers 3 à 4 mois). Les poulains peuvent être contaminés par les autres vers (les plus fréquents : petits et grands strongles) dans le box de poulinage (coprophragie) par les crottins contaminés de la mère. Les vers sont adultes 3 à 6 mois plus tard.pour prévenir le développement des parasites, il faut couper leur cycle biologique. Le moyen le plus sûr est le ramassage des crottins (box et herbage). 2 Adopter une vermifugation raisonnée Penser à diminuer la première source de contamination en traitant la mère quelques jours avant d entrer dans le box de poulinage. Amendement et traitements Trop souvent les herbages pour chevaux sont exempts de traitement phytosanitaires appropriés (appauvrissement du sol et de la flore). Il est recommandé de veiller à l apport de fond (P, K) ainsi qu à l apport d azote et de calcaire et de favoriser l équilibre légumineuses/graminées. L.Marnay, IFCE

10 Prévention sanitaire 1 Réduire les contaminations dans l environnement La qualité du nettoyage est importante. Curer totalement le logement avant chaque poulinage et 1 fois par semaine. Laver efficacement les murs, le sol (insister sur le centre du box et sous les abreuvoirs), les mangeoires et le matériel de distribution des aliments avec une solution de soude à 3% ou du savon mou. Les nettoyeurs haute pression sont très efficaces pour un bon lavage. Pour la destruction des parasites : 1 fois par an, jet d eau à 120 C à la sortie de la lance, sous pression (20 à 30 b.). Le désinfectant doit être adapté aux agents infectieux (tableau 3, non exhaustif). Préférer IFCE le pulvérisateur à l arrosoir qui permettra une bonne répartition et une bonne imprégnation du produit sur toutes les surfaces (sol, murs, plafond, auge...), ne pas rincer et attendre le séchage complet des parois. Attention, le port de masque, lunettes et gants est indispensable. 2 Éliminer régulièrement les crottins Dans les boxes et les herbages (la coprophagie est une voie importante de contamination). 3 Éviter la surpopulation et les mouvements d animaux en période de poulinage Laisser les poulains dans l élevage lors des saillies. Ne pas introduire de nouveaux couples mère-poulain dans un lot déjà formé. 4 Observer une quarantaine Environ 15 jours pour les poulinères arrivant d autres élevages. Objectif Un box spécifique à un couple mère-poulain, bien ventilé, propre (curé et désinfecté régulièrement). Tableau 3 : Caractéristiques de quelques désinfectants courants Principes actifs Efficacité en présence Activité sur les germes Toxicité de matières organiques 8 Eau de javel + Faible pour rotavirus + Ammoniums + (inactivés par soude Faible pour rotavirus + quaternaire et savon) Phénols ou phénate rotavirus ++ muqueuse, peau Iodophores (à 10%) rotavirus + Formaldéhyde (1 à 4%) rotavirus, +++ cryptosporidies

11 > > > Afssa : Agence française de sécurité sanitaire des aliments (devenue ANSES au 1 er juillet 2010) L'Afssa est un établissement public indépendant de veille, d'alerte, d'expertise, de recherche et d'impulsion de la recherche qui contribue à la protection et à l'amélioration de la santé publique, de la santé et du bien-être des animaux, de la santé des végétaux et de l'environnement. L Afssa dispose de 11 laboratoires répartis sur le territoire national. Afssa-Dozulé : le Laboratoire d études et de recherches en pathologie équine (LERPE) Le laboratoire de Dozulé, qui réunit 26 personnes, contribue à améliorer la santé des chevaux : acteur du réseau national d épidémiosurveillance et gestionnaire de l observatoire des maladies équines, il surveille l apparition et/ou la diffusion des affections majeures et émergentes et analyse leurs causes, notamment grâce aux autopsies et à des enquêtes épidémiologiques de terrain. il étudie les agents infectieux et les parasites gastro-intestinaux du cheval. il développe des outils de diagnostic et des moyens de prévention pour les maladies infectieuses et parasitaires. laboratoire national de référence pour la métrite contagieuse équine, la dourine, l artérite virale équine et l anémie infectieuse des équidés, il fournit un appui scientifique et technique pour le contrôle vétérinaire exercé par les autorités (analyse de première et de seconde intention, formation des laboratoires de terrain et suivi de la qualité de leurs analyses ). Trois Unités Scientifiques Unité Maladies bactériennes et parasitaires non zoonotiques chez les équidés. Unité Observatoire anatomo-pathologique et épidémiologie des affections équines majeures ou émergeantes. Unité Maladies virales non zoonotiques chez les équidés (artérite virale équine, anémie infectieuse des équidés, grippe équine et herpèsviroses).

12 Plaquette et étude réalisées par l AFSSA (ANSES) Dozulé (Dr C. Moussu, A. Saison) en collaboration avec le laboratoire Frank Duncombe, l école nationale vétérinaire d Alfort, l Institut Pasteur et Dr P. Ciantar et grâce au soutien financier du Conseil Général du Calvados, du Conseil Régional de Basse-Normandie, de l Europe (fonds FEOGA) et des Haras nationaux (IFCE). Remerciements Vétérinaires et éleveurs bas-normands Pour en savoir plus Le Moan R. : Conduite à tenir diagnostique et thérapeutique devant les diarrhées du poulain de 0 à 15 jours. Le nouveau praticien vétérinaire équine 2007 ; Hors série : Le Moan R. : Conduite à tenir diagnostique et thérapeutique devant les diarrhées du poulain de 1 mois au sevrage. Le nouveau praticien vétérinaire équine 2007 ; 11 : Magdesian K.G. : Neonatal foal diarrhea. Vet Clin North Am Equine Pract 2005 ; 21(2) : Saison A, Puyalto-Moussu C., Taouji S., Peyret A., Maillard K., Guyon R. : Epidémiologie et prophylaxie des diarrhées néoatales chez le poulain. Résultats d'une étude conduite en Basse-Normandie. Equ idée 2004 ; 50 : Thebault A : Les diarrhées chez le poulain de 0 à 6 mois. La revue technique du cheval ; 17 : Coordonnées AFSSA (ANSES) Dozulé LERPE - unité OAEME Téléphone : Télécopie : FEOGA

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

Contrat d insémination 2015

Contrat d insémination 2015 Centre de reproduction équine du Petit Hautier 2 Route de Paris 76220 Ménerval Tél : 02 32 89 07 11 Port : 06 88 83 60 20 www.petithautier.fr Email: doc.chollet@orange.fr Contrat d insémination 2015 Entre

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

LES DIARRHÉES DES VEAUX SOUS LA MÈRE : IL EST IMPOSSIBLE DE LES ÉVITER TOTALEMENT, MAIS SACHEZ LES PRÉVENIR ET LES GUÉRIR

LES DIARRHÉES DES VEAUX SOUS LA MÈRE : IL EST IMPOSSIBLE DE LES ÉVITER TOTALEMENT, MAIS SACHEZ LES PRÉVENIR ET LES GUÉRIR LES DIARRHÉES DES VEAUX SOUS LA : IL EST IMPOSSIBLE DE LES ÉVITER TOTALEMENT, MAIS SACHEZ LES PRÉVENIR ET LES GUÉRIR Les diarrhées (ou gastro-entérites) néonatales sont la pathologie la plus fréquente

Plus en détail

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques

Chapitre VI : Gestion des risques épidémiques Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie?

Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie? Savez-vous ce qu'est exactement un vaccin à part un produit qu'on injecte et qui protège contre une maladie? C'est en fait, une petite quantité du germe (virus ou bactérie) responsables de la maladie que

Plus en détail

AUTOUR DE LA MISE BAS

AUTOUR DE LA MISE BAS AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif

Plus en détail

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.

C. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM

Plus en détail

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %

L eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 % 24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.

Plus en détail

Maîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet?

Maîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet? 1. Introduction : Maîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet? P. Rondia* et J. Wavreille** Centre wallon de recherches agronomiques *Unité Nutrition

Plus en détail

Votre bébé a besoin de soins spéciaux

Votre bébé a besoin de soins spéciaux Votre bébé a besoin de soins spéciaux Ce guide se veut un document de référence afin de favoriser une meilleure compréhension de tous les aspects entourant la venue d un enfant prématuré ou malade. Il

Plus en détail

Gestion de la crise sanitaire grippe A

Gestion de la crise sanitaire grippe A Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe

Plus en détail

Introduction. CRA-W- Département Productions et Filières, Unité Mode d élevage, bien être et qualité

Introduction. CRA-W- Département Productions et Filières, Unité Mode d élevage, bien être et qualité Gestion raisonnée du parasitisme gastro-intestinal chez le jeune bétail laitier à l herbe Remience Virginie, attachée scientifique 1 ;Vanvinckenroye Caroline, assistante 2 ; Decruyenaere Virginie, attachée

Plus en détail

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS

POURQUOI L HYGIENE HYGIENE = PROPRETE HYGIENE = PREVENTION DES INFECTIONS COMMUNAUTAIRES ET DES INFECTIONS ASSOCIEES AUX SOINS Prise en charge d un «résident septique» en Etablissements Médico Sociaux PRÉVENTION DES RISQUES INFECTIEUX EN ETABLISSEMENTS MÉDICO SOCIAUX INFECTIONS NOSOCOMIALES ET COMMUNAUTAIRES ASSOCIÉES AUX SOINS

Plus en détail

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS

FICHE DE DONNÉES DE SECURITÉ Demand CS 01. IDENTIFICATION DU PRODUIT ET DE LA SOCIÉTÉ Nom commercial Code produit Usage envisagé LAMB97201 A UTILISER COMME INSECTICIDE UNIQUEMENT Le produit doit être utilisé conformément à l'étiquette Apparence

Plus en détail

Notre système. Immunitaire

Notre système. Immunitaire Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l

Plus en détail

MISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT

MISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT 22 février 2014 Message à tous les éleveurs et intervenants du secteur porcin du Québec MISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT LA DIARRHÉE ÉPIDÉMIQUE PORCINE (DEP) PREMIER CAS DE DEP DANS

Plus en détail

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant)

Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) Ce que les femmes enceintes doivent savoir au sujet de la grippe H1N1 (appelée grippe porcine auparavant) 3 mai 2009, 15 h HNE Sur cette page : Que dois-je faire si je contracte ce nouveau virus et que

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

Test d immunofluorescence (IF)

Test d immunofluorescence (IF) Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Les vers de nos compagnons

Les vers de nos compagnons Les vers de nos compagnons Il se peut que votre animal de compagnie soit contaminé par des vers sans que vous ne vous en rendiez compte. Près d'un animal de compagnie sur deux (chat et chien) est porteur

Plus en détail

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC

FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC 1/5 FICHE DE SECURITE FUMESAAT 500 SC Identification de la préparation 1. Identification de la préparation de l entreprise Nom commercial: FUMESAAT 500 SC Identification Produit : éthofumésate 500 SC Substance

Plus en détail

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3

Fiche de données de sécurité Selon l Ochim (ordonn. produits chim.) du18.05.2005, paragr.3 Nr. Article- Produit : 48785 Page: Page 1 En cas d urgence appeler le Centre Suisse d information toxicologique, Freiestr. 16, 8032 Zürich; Tél. des Urgences: ( jour et nuit) 145 ou +41 (0)44 251 51 51.

Plus en détail

BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre.

BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB. Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. BESOIN DE MANGER ET BOIRE chez BB Besoin d'eau : 125cc/kg/jour Maximum 1 litre. Besoin alimentaire Allaitement maternelle : 1er jour=colostrum riche en protéines et en glucides Contient des AC Laxatif

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques!

Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! Brochure d information En utilisant mal une ressource, elle devient inefficace! Rhume ou grippe? Pas d antibiotiques! z6creation.net Une initiative européenne en matière de santé. Rhume ou grippe? Pas

Plus en détail

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE

PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes.

Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation

Plus en détail

Conjoncture Filière cheval N 15 Juin 2014

Conjoncture Filière cheval N 15 Juin 2014 Conjoncture Filière cheval N 15 Juin 214 L élevage : premières tendances 214 Course : baisse des juments saillies en galop, contrairement au trot Selle et poneys : la baisse des juments et ponettes saillies

Plus en détail

STOP à la Transmission des microorganismes!

STOP à la Transmission des microorganismes! STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions

Plus en détail

www.programmeaccord.org

www.programmeaccord.org LA DOULEUR, JE M EN OCCUPE! NUTRITION ET DOULEUR CHRONIQUE CHRONIQUE De nos jours, l importance d adopter de saines habitudes alimentaires ne fait plus aucun doute. De plus, il est très facile d obtenir

Plus en détail

La gale d été arrive à grands pas que faire?

La gale d été arrive à grands pas que faire? La gale d été arrive à grands pas que faire? Enfin chaque année - le printemps arrive, chevaux et cavaliers peuvent enfin retourner dans la nature verdoyante. Mais c est aussi le cas des moustiques et

Plus en détail

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème

Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/

Plus en détail

Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire

Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire Les Bonnes Pratiques Hygiéniques dans l Industrie Alimentaire 1- Hygiène du personnel Lors de l'embauche à l entreprise, toute personne affectée au travail et à la manipulation des produits est soumise

Plus en détail

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde

Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?

Plus en détail

Problèmes de qualité du lait? Causes possibles et mesures à prendre

Problèmes de qualité du lait? Causes possibles et mesures à prendre Problèmes de qualité du lait? Causes possibles et mesures à prendre 1 ère édition septembre 2003 Tables des matières 1) Généralités... 3 a) Sources de germes... 3 b) Laver et nettoyer dans les règles de

Plus en détail

Guide de santé de votre cheval. www.merial.com

Guide de santé de votre cheval. www.merial.com Guide de santé de votre cheval www.merial.com Merial s investit auprès des vétérinaires dans la santé équine, au travers du développement de médicaments destinés aux équidés (vermifuges, vaccins, identification...)

Plus en détail

Les gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.

Les gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux. Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider

Plus en détail

Qu est-ce que la peste?

Qu est-ce que la peste? Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant

Plus en détail

Factsheet Qu est-ce que le yogourt?

Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Factsheet Qu est-ce que le yogourt? Description du produit: Le yogourt est un produit laitier acidulé de consistance plus ou moins épaisse. Le yogourt est fabriqué grâce à la fermentation du lait par les

Plus en détail

Protection du personnel

Protection du personnel PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects

Plus en détail

gale - Brochure d information -

gale - Brochure d information - gale La - Brochure d information - Qu est-ce que la gale? La gale est une infection de la peau causée par un parasite. Celui-ci creuse un petit tunnel (sillon) dans la partie superficielle de la peau et

Plus en détail

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.

Plus en détail

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL

FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG Direction de la Santé FICHES INFORMATIVES HYGIENE DU PERSONNEL Un plan d hygiène permet de garantir la propreté du personnel et éviter toutes contaminations

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?

4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)? GENERALITES SUR : SANTE et MALADIE SOINS de SANTE PRIMAIRES (SSP) INITIATIVE de BAMAKO (IB) Objectifs généraux Au terme de ce module de formation, les participants devraient être capables de: Comprendre

Plus en détail

AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE?

AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? AVEZ-VOUS PENSÉ À L ALIMENTATION À LA DÉROBÉE? Traduit de: PRODUCERS MIGHT WANT TO CONSIDER CREEP FEEDING Auteur: Stephen B. Blezinger, Ph.D., PAS (Copyright 2015 Dr. Stephen B. Blezinger) Adapté en français

Plus en détail

Je voyage avec mon chien ou mon chat. Conseils pratiques sur le site spécifique de l OVF www.animalenvoyage.ch

Je voyage avec mon chien ou mon chat. Conseils pratiques sur le site spécifique de l OVF www.animalenvoyage.ch Je voyage avec mon chien ou mon chat Conseils pratiques sur le site spécifique de l OVF www.animalenvoyage.ch 2 Je m informe à temps 5 Je protège mon animal contre la rage 8 Je (ne) ramène (pas) un animal

Plus en détail

+ Questions et réponses

+ Questions et réponses HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

Fabriquer ses produits ménagers naturels. Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013

Fabriquer ses produits ménagers naturels. Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013 Fabriquer ses produits ménagers naturels Semaine Européenne de la Réduction des Déchets 2013 Fabriquer ses produits ménagers naturels Programme Intérêt de fabriquer ses produits Les principaux ingrédients

Plus en détail

Elevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois

Elevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois RÉFÉrences - Réseau Économique de la Filière Équine Haute-Loire Elevage de chevaux de trait Comtois spécialisé en circuit de vente directe Vente de poulains finis 8 à 12 mois Cet élevage de trait Comtois

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement

Plus en détail

SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile

SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement L Epoxy facile DOMAINES D EMPLOI Recommandé pour salle de bain, douche, plan de travail cuisine, piscine, bassins thermaux,

Plus en détail

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées

Plus en détail

La constipation occasionnelle chez l adulte

La constipation occasionnelle chez l adulte Laconstipationoccasionnellechezl adulte Laconstipationsedéfinitparladiminutiondelafréquencedessellesendessousde3parsemaine. Cette définition ne constitue pas une règle absolue, la fréquence des selles

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle

Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle 1 Prophylaxie infectieuse après exposition professionnelle Introduction Le personnel soignant est régulièrement confronté au risque de contamination par le virus de l immunodéficience humaine (VIH) mais

Plus en détail

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention

LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC

Plus en détail

MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN :

MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : DOSSIER 13 MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : ENTRE SOUFFRANCE ET TABOU Souvent dissimulées par les malades, parfois encore ignorées par la médecine de ville, les maladies inflammatoires chroniques

Plus en détail

Sommaire de la séquence 7

Sommaire de la séquence 7 Sommaire de la séquence 7 De tout temps, l Homme a été frappé par des maladies mortelles qui décimaient des populations entières lors d épidémies connues comme la peste ou le choléra. Malgré ces fléaux,

Plus en détail

HUMI-BLOCK - TOUPRET

HUMI-BLOCK - TOUPRET FICHE DE DONNEES DE SECURITE Révision antérieure : (Selon l annexe II du Règlement REACH de l UE 1907/2006) Mise à jour : 19 janvier 2010 Version : 1 HUMI-BLOCK - TOUPRET 1-IDENTIFICATION DU PRODUIT ET

Plus en détail

Les parasites chez le cheval.... et comment les combattre de manière efficace

Les parasites chez le cheval.... et comment les combattre de manière efficace Les parasites chez le cheval... et comment les combattre de manière efficace Impressum Editeur Virbac Suisse SA Case postale 8152 Glattbrugg Rédaction Angelika Nido, Journaliste RP Photos Christiane Slawik,

Plus en détail

Bonnes vacances! Je voyage avec mon chien ou mon chat

Bonnes vacances! Je voyage avec mon chien ou mon chat Mémento pour réussir son voyage: Je m informe à temps auprès du pays de destination ou auprès de mon vétérinaire: s agit-il d un pays où la rage urbaine existe? Identification? Je prépare mon retour en

Plus en détail

Construire un plan de nettoyage et de désinfection

Construire un plan de nettoyage et de désinfection Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux

Plus en détail

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 3 : Ressource documentaire 1 Exemples de protocoles (A1 à A5) 2 Exemples de fiches de contrôle (B1 à B4) Année : 2005-2006 A - 1 PROTOCOLE DE FABRICATION

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire

IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire IBCP- Service Culture Cell- Règlement Intérieur des laboratoires de culture cellulaire Table des matières I -Liste des laboratoires de culture cellulaire de l IBCP :... 2 II -Conditions requises pour l

Plus en détail

Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032

Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Service de Sécurité Ferme de la Mouline Tél. 021 692 2570 / Fax 021 692 2575 Procédure Procédure de tri et traitement des déchets Pro 032 Contenu 1. Objet... 1 2. Domaine d application... 1 3. Abréviations...

Plus en détail

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur

Plus en détail

PETIT GUIDE PRATIQUE DU BIEN-ÊTRE DE VOTRE CHEVAL

PETIT GUIDE PRATIQUE DU BIEN-ÊTRE DE VOTRE CHEVAL PETIT GUIDE PRATIQUE DU BIEN-ÊTRE DE VOTRE CHEVAL POUR TOUS LES DÉTENTEURS D ÉQUIDÉS Edition 2012 Photo FFE/PSV PETIT GUIDE PRATIQUE DU BIEN-ÊTRE DU CHEVAL Sommaire Guide bien-être Le cheval et ses conditions

Plus en détail

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014

Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 2014 Conjoncture Filière cheval N 17 Novembre 214 L élevage Galop : reprise de la production en 214 Trot : légère baisse de la production en 214, comme en 213 Selle : après trois années de baisse sévère, le

Plus en détail

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire

Plus en détail

J ai choisi d allaiter...

J ai choisi d allaiter... Nous vous souhaitons un bon allaitement. J ai choisi d allaiter... Mes numéros : Pédiatre. Sage-femme. Médecin traitant... PMI Pharmacie... Brochure réalisée par les bénévoles de l AREAM. Juin 2009 L allaitement

Plus en détail

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD

EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD EVALUER LA MAITRISE DU RISQUE INFECTIEUX EN EHPAD Dr. Nathalie MAUBOURGUET Lundi 24 novembre 2008 Ministère de la Santé, Salle Laroque Séminaire National sur l Organisation de la Prévention des Infections

Plus en détail

Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009

Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009 Histoire et Sociologie de la Santé Publique Vétérinaire INRA - Ritme. Décembre 2009 Entre médecine humaine et médecine vétérinaire: l usage et l abandon de la vaccination dans la prophylaxie de la tuberculose

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la

Plus en détail

Les Arbres décisionnels

Les Arbres décisionnels Les Arbres décisionnels Les aides à la décision plainte-traitement (ou arbres décisionnels ) sont tirés de travaux effectués dans le cadre de l Organisation Mondiale de la Santé. Ils sont destinés à soutenir

Plus en détail

Veloci Tea. Ce merveilleux Thé détoxifiant. Des personnes ont été traitées avec, pour des problèmes comme:

Veloci Tea. Ce merveilleux Thé détoxifiant. Des personnes ont été traitées avec, pour des problèmes comme: Ce merveilleux Thé détoxifiant VelociTea est un mélange unique de plantes médicinales avec la sécurité que tous les ingrédients sont 100% naturels, conçu pour nettoyer en douceur le système digestif et

Plus en détail

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire 1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,

Plus en détail

PIL Décembre 2009. Autres composants: acide tartrique, macrogol 4000, macrogol 1000, macrogol 400, butylhydroxyanisol.

PIL Décembre 2009. Autres composants: acide tartrique, macrogol 4000, macrogol 1000, macrogol 400, butylhydroxyanisol. Notice publique MOTILIUM Veuillez lire attentivement l intégralité de cette notice avant d utiliser ce médicament. Gardez cette notice, vous pourriez avoir besoin de la relire. Si vous avez d autres questions,

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire

INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire Vaccination des étudiants du Baccalauréat en Médecine de Lausanne INFORMATIONS pour le médecin qui contrôle et complète le formulaire La vaccination du personnel de santé est recommandée par l Office fédéral

Plus en détail

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?

L entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel? L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.

Plus en détail

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire

Contexte réglementaire en hygiène alimentaire Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel

Plus en détail

Informations sur le cancer de l intestin

Informations sur le cancer de l intestin Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie

Plus en détail

«Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école. Pour les parents et les enseignants

«Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école. Pour les parents et les enseignants «Je suis diabétique» Informations sur la prise en charge d enfants diabétiques à l école Pour les parents et les enseignants C est parti! Compréhensible et compacte: par le biais de cette brochure, parents

Plus en détail

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine

Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail