Tableau de bord économique de la Seine-Saint-Denis

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1 Club Conjoncture 93 Tableau de bord économique de la Seine-Saint-Denis Octobre 2015 Préfecture de la Seine-Saint-Denis * Chambre de commerce et d industrie départementale de Seine-Saint-Denis * Conseil Départemental de Seine-Saint-Denis * Chambre de Métiers et de l Artisanat de la Seine-Saint-Denis * Tribunal de Commerce * DIRECCTE Ile-de-France * URSSAF de Paris- Région Parisienne * Pôle Emploi Seine-Saint-Denis * Direction Régionale et Interdépartementale de l Equipement et de l Aménagement * Comité Départemental du Tourisme * Banque de France de la Seine-Saint-Denis * Direction départementale des Finances Publiques * Direction régionale des Douanes de Paris-Est

2 Le Club Conjoncture 93 est une structure informelle qui réunit les principaux acteurs économiques de la Seine-Saint-Denis : la Préfecture de la Seine-Saint-Denis, le Conseil Départemental de Seine-Saint-Denis, la Chambre de commerce et d industrie de départementale de Seine-Saint-Denis, la DIRECCTE Île-de-France, la Banque de France de Seine-Saint-Denis, la Direction Départementale des Finances Publiques, le Comité départemental de tourisme de la Seine-Saint-Denis, le Pôle Emploi Seine-Saint-Denis, l Unité Territoriale de Seine-Saint-Denis de la Direction Régionale et Interdépartementale de l Equipement et de l Aménagement, la Chambre de métiers et de l artisanat de la Seine-Saint-Denis, le Tribunal de commerce de Seine-Saint-Denis, la Direction régionale des douanes de Paris-Est et l URSSAF de Paris- Région Parisienne. Il a pour objet l analyse et le suivi de la conjoncture économique du département, et s organise autour de deux aspects différents : le suivi régulier d indicateurs en premier lieu, et l examen plus structurel par thématique de certains aspects de l économie départementale, en second lieu. Dans cette perspective, le Club 93 Conjoncture réalise semestriellement un Tableau de Bord Économique de la Seine-Saint-Denis qui regroupe des séries chronologiques économiques collectées auprès des différents partenaires et tente de faire l analyse d indicateurs départementaux relatifs aux ménages, aux entreprises, au tourisme et aux événements d affaires, à l emploi et à la construction et au marché de l immobilier. Un Tableau de Bord Économique «en bref» en fait la synthèse. Ces documents sont consultables sur les sites internet des partenaires du Club 93 Conjoncture suivants : Préfecture de la Seine-Saint-Denis : Conseil Départemental de la Seine-Saint-Denis : Chambre de commerce et d industrie départementale de Seine-Saint-Denis : Chambre de métiers et de l artisanat de Seine-Saint-Denis : Comité départemental du tourisme : Préfecture de la Seine-Saint-Denis * Chambre de commerce et d industrie départementale de Seine-Saint-Denis * Conseil Départemental de Seine-Saint-Denis * Chambre de Métiers et de l Artisanat de la Seine-Saint-Denis * Tribunal de Commerce * DIRECCTE Ile-de-France * URSSAF de Paris- Région Parisienne * Pôle Emploi Seine-Saint-Denis * Direction Régionale et Interdépartementale de l Equipement et de l Aménagement * Comité Départemental du Tourisme * Banque de France de la Seine-Saint-Denis * Direction départementale des Finances Publiques * Direction régionale des Douanes de Paris-Est

3 SOMMAIRE GÉNÉRAL LES MÉNAGES 4 LES ENTREPRISES 6 LA VIE DES ENTREPRISES EN SEINE-SAINT-DENIS 24 LA TVA ET L IMPÔT SUR LES SOCIÉTÉS 37 LES ENTREPRISES : INNOVATION (pas de contribution) 42 LE TOURISME ET LES EVÉNEMENTS D AFFAIRES 43 LE CHÔMAGE ET L EMPLOI 49 LA CONSTRUCTION ET LE MARCHÉ IMMOBILIER 64 NOTE MÉTHODOLOGIQUE 71 CONTACTS 76 Préfecture de la Seine-Saint-Denis * Chambre de commerce et d industrie départementale de Seine-Saint-Denis * Conseil Départemental de Seine-Saint-Denis * Chambre de Métiers et de l Artisanat de la Seine-Saint-Denis * Tribunal de Commerce * DIRECCTE Ile-de-France * URSSAF de Paris- Région Parisienne * Pôle Emploi Seine-Saint-Denis * Direction Régionale et Interdépartementale de l Equipement et de l Aménagement * Comité Départemental du Tourisme * Banque de France de la Seine-Saint-Denis * Direction départementale des Finances Publiques * Direction régionale des Douanes de Paris-Est

4 LES MÉNAGES 4

5 SEINE SAINT DENIS EVOLUTION DES CREDITS A L'HABITAT (base 100-1er trimestre 2001) T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T L indice des crédits à l habitat en Seine Saint-Denis poursuit sa progression au premier trimestre Cette croissance ne faiblit pas et reste conforme à celle observée depuis le début de l année

6 LES ENTREPRISES 6 6

7 DÉMOGRAPHIE DES ENTREPRISES 7 7

8 LES ENTREPRISES Procédures de redressements, jugements et affaires contentieuses au Tribunal de commerce de Bobigny en 2014 / 2015 Sources : Greffe du Commerce 8 8

9 Greffe du commerce de Bobigny période procédures de redressement et liquidation judiciaire + sauvegarde jugements d'ouvertur e tous jugements dont liquidations immédiates clôtures des opérations affaires nouvelles (*) jugements au fond (**) Années 2014 et 2015 affaires contentieuses référés injonctions affaires terminées affaires en cours durée des affaires autres total terminées (***) affaires terminée s de payer ordonnances sur requêtes président juge commis -saire déc Variable année Variable janv Variable févr Variable mars Variable avr Variable mai Variable juin Variable juil Variable août Variable sept-15 Variable oct-15 Variable nov-15 Variable déc-15 Variable année Variable (*) clôtures : clôtures de liquidation judiciaire et de plan de redressement (**) jugement au fond : acceptation partielle ou totale de la demande, rejet (***) durée entre la date de saisine et la date de la décision dessaisissant la juridiction. Toutes natures de décisions. 9

10 Année 2015 Répartition des enrôlements janvier février mars avril mai juin juillet août sept. oct. nov. déc. TOTAL Saisine d'office et sur requête du parquet : Dont enrôlement en Liquidation Judiciaire Dont enrôlement en sanction personnelle Dont enrôlement en impécuniosité Dont enrôlement pour examen de la clôture Dont enrôlement pour rectification/divers DCP Demande d'ouverture de sauvegarde Assignation Assignation à jour fixe Opposition à ordonnance du JC Tierce opposition Requête du tribunal Renvoi sur incompétence Remise au rôle Demande interprétation Poursuite d'activité (+en L J) Opposition état créances Divers Demande de rétablissement professionnel et L J Total

11 Année 2015: Jugements rendus janvier février mars avril mai juin juillet août sept. oct. nov. déc. TOTAL Sauvegarde - Ouverture de la procédure Ouverture Redressement Judiciaire Ouverture RJ/LJ ou sauvegarde CA L J immédiate + L J Simplifiée directe Rétablissement professionnel Conversion en Liquidation Judiciaire + L J S Résolution plan L J Résolution plan cession Plan cession Continuation de l'entreprise Extension à d'autres sociétés Extension à dirigeant Rejet plan de continuation Rejet plan de cession Modification plan de cession Modification du plan de continuation / sauvegarde Faillite personnelle Interdiction de gérer Comblement du passif N'y à lieu à comblement du passif N'y à lieu à sanction N'y à lieu à ouverture N'y à lieu à statuer affaires déjà jugées Confusion de pratrimoines Rétractation de jugement Nomination d'un juge commis (Art. R.621-3) Adjonction d'un ou plusieurs administrateurs Autorisation maintient activité besoins LJ Prolongation de la période observation/ sauv Modification date cessation des paiements Clôture pour insuffisance d'actif Clôture par extinction du passif Désistement et radiation Incompétence Clôture du plan de cession Clôture du plan de continuation Homologation & transaction Donner acte (accord des parties) Rejet de la demande Acceptation totale Acceptation partielle Nomination d'un commissaire ad hoc Clôture de la procédure de RJ Remplacement mandataire Prorogation du délai de clôture Autres jugements Total

12 Décisions de dépôts Année 2015 janvier février mars avril mai juin juillet août sept. oct. nov. déc. TOTAL Reddition des comptes/fin de Mission (CRFM) Dépôt état collocation Autres dépôts Total Autres janvier février mars avril mai juin juillet août sept. oct. nov. déc. TOTAL Ordonnances référés Radiations référés Jugements contradictoires Jugements réputés contradictoires Jugements par défaut Jugements de radiation Total Ordonnances du Président janvier février mars avril mai juin juillet août sept. oct. nov. déc. TOTAL Ord. Président - Etat des frais émoluments Ord. Président - Désignation garpistes Ord. Président - Chgt Jco / Jcs Ord. Président - Application LJS (L641-2) Ord. Président - Divers Total Conciliateur / Sauvegarde janvier février mars avril mai juin juillet août sept. oct. nov. déc. TOTAL Conciliation - Ouverture de la procédure Conciliation - Constatation de l'accord Conciliation - Homologation de l'accord Conciliation - Résolution de l'accord Sauvegarde - Ouverture de la procédure Sauvegarde - Plan de sauvegarde Sauvegarde - Conversion RJ Sauvegarde - Conversion LJ Total

13 LE TISSU ECONOMIQUE ARTISANAL DE LA SEINE-SAINT-DENIS Au 1er semestre 2015 Deux critères définissent l entreprise artisanale : La nature de son activité : l entreprise doit exercer une activité professionnelle de production, de réparation, de transformation ou de prestation de services qui figure sur une liste établie par le décret d avril Il y a quatre grandes catégories d activités : l alimentation, le bâtiment, la fabrication et les services. Sa taille : l entreprise doit employer moins de 10 salariés au moment de sa création. Le droit de suite lui permet, toutefois, de garder son rattachement au secteur des métiers au-delà du seuil de 10 salariés. Toute entreprise de moins de 10 salariés dont l activité relève du champ de l artisanat doit être immatriculée au Répertoire des Métiers tenu par la Chambre de Métiers et de l Artisanat

14 L artisanat en Seine-Saint-Denis Fin juin 2015, entreprises sont inscrites au Répertoire des Métiers de la Chambre de Métiers et de l Artisanat de Seine-Saint-Denis, le secteur artisanal est en progression de 4,2% sur le 1 er semestre Rappelons que le fichier des entreprises artisanales n a progressé que de 1 % sur l année Cette évolution provient de la nette progression des immatriculations (+ 31,8 %). Evolution des immatriculations et radiations 1 er sem er sem er sem er sem Variation Delta % Immatriculations ,80 % Radiations % Immatriculations Radiations Ier sem 2012 Ier sem 2013 Ier sem 2014 Ier sem 2015 Sur le 1 er semestre 2015, le Répertoire des Métiers a enregistré nouvelles entreprises, soulignant une augmentation de l attractivité de la création d entreprise comme facteur de promotion sociale par l activité indépendante. Les secteurs les plus visés restent le bâtiment avec + de 34 % et surtout le secteur des services + 45 %. Durant cette période, entreprises ont été radiées des effectifs du Répertoire des Métiers de la Chambre de Métiers et de l Artisanat. Les métiers du bâtiment et le secteur de services sont les principaux secteurs subissant le plus cette cession d activité. Les chiffres sont globalement à l identique par rapport à l année précédente. Les créations sont supérieures de 25 % aux radiations, ce qui représente un éventuel développement de l économie

15 Evolution des radiations d entreprises 1 er Semestre Radiations Ier sem 2014 Radiations Ier sem Alimentation Bâtiment Fabrication Services Variations sur 12 mois des immatriculations par catégories professionnelles 1 er sem er sem er sem Delta Delta % Tendance Alimentation ,44 % Bâtiment ,32 % Fabrication ,66 % Services ,68 % Total ,80 % Répartition du secteur artisanal par catégories professionnelles Alimentation : boulangers, pâtissiers, poissonniers, préparation de plats à emporter, etc. Fabrication : bijoutiers, fabricants de meubles, imprimerie et arts graphiques, prothésistes dentaires, fabrication de vêtements, etc. Bâtiment : maçons, plombiers, électriciens, serruriers, etc. Services : taxis, coiffeurs, cordonniers, réparateurs de matériel électroménager et informatique, nettoyeurs de locaux, fleuristes, réparateurs d automobiles et de cycles, teinturiers, blanchisseurs, etc

16 Variations sur 12 mois des immatriculations par statut juridique Statuts juridiques 1 er Sem er sem er Sem Delta 14/15 Delta % Sociétés (60 %) 919 (57,7 %) 1282 (61, 8 %) ,49 % Entreprises individuelles % Autoentrepreneurs 431 (25%) 480 (30 %) 553 (26,6 %) 73 15,20 % Total des immatriculations ,42 % Les auto-entrepreneurs depuis janvier doivent suivre une formation préalable à la création d entreprise, la présentation de ce statut réduit les créations hasardeuses ou impromptues. Les créateurs d entreprises se réorientent plus vers les sociétés, la SARL est majoritaire à 40 %. Ce semestre est marqué par une croissance de l ordre de 28 % des créateurs qui suivent la formation préalable à l immatriculation d une durée de 5 jours, le Stage de Préparation à l Immatriculation (SPI)

17 Profil des créateurs stagiaires SPI Stagiaires du SPI er S er S er S 2015 Statut initial Salariés 34 % 28,70 % 26,5 % 30,70 % 26 % 25,0 % Demandeurs d emploi 48 % 50,40 % 54,0 % 48,70 % 51 % 50,0 % RSA dont 6 % dont 11 % dont 8 % dont 5,1 % dont 11,7% dont 12 % Chefs d entreprises en exercice 17,50 % 20,90 % 19,5 % 20,50 % 23 % 25,0 % (Auto-Entrepreneurs) dont 4,5% dont 12 % 5,0 % dont 5,5 % dont 52 % dont 17 % Qualification et Expérience Possédant une qualification professionnelle en lien avec l activité Possédant une expérience professionnelle en lien avec l activité Sans expérience professionnelle en lien avec l'activité Futur(e)s Dirigeant(e)s sans expérience avec l activité de l entreprise 28 % 31, 6 % 31,5 % 30, 7 % 29 % 26,0 % 46 % 46, 5 % 43,0 % 47, 1 % 52 % 51,0 % 12 % 4,30 % 11,0 % 5,10 % 3 % 14,0 % 14 % 17, 6 % 14,5 % 17 % 16 % 9,0 % Repreneurs Reprises déclarées 14,40 % 12,80 % 11 % 15, 4 % 12 % 7, 14 % Effectif SPI Etude réalisée sur un échantillon de 100 stagiaires Sur le 1 er semestre 2015, 933 personnes ont effectué le Stage de Préparation à l'installation en vue de créer leurs entreprises. Nous avons réalisé un profil des créateurs suivant quelques critères déterminant et en respectant les représentations par catégories professionnelles de l'ensemble des créateurs d'entreprises s'immatriculant sur le 1 er semestre Premiers éléments d'analyse : Baisse du nombre de salariés créateurs, Croissance du nombre des auto-entrepreneurs effectuant la formation. A noter que la loi Pinel impose aux auto-entrepreneurs d'effectuer le SPI pour pouvoir s'immatriculer. Dans le secteur artisanal, un entrepreneur sur deux n'a pas suivi une formation professionnelle ou ne possède pas un diplôme correspondant à l'activité de l entreprise

18 L emploi dans le secteur artisanal de la Seine-Saint-Denis, fin 2014 L emploi dans le secteur artisanal de la Seine-Saint-Denis, fin 2014 SECTEURS Effectifs au 31 déc Effectifs au 31 déc Différence % par secteur Nb d'entreprises employeuses 2013 Nb d'entreprises employeuses 2014 Différence % par secteur Alimentation ,94 % ,07 % Fabrication ,00 % % Bâtiment ,73 % ,85 % Services ,92 % ,34 % Total ,5 % ,098 Quelques données: La Seine St Denis, 1er département d Ile de France en nombre de salariés : % des entreprises artisanales de l'ile de France sont immatriculées en Seine-Saint-Denis La Seine-Saint-Denis, le 2 nd département en nombre d'employeurs : L'effectif salarial de Seine-Saint-Denis représente 14,11 % de l'ile de France Dans le département, en 2014, les entreprises jusqu'à 7 salariés ont créé emplois 2014 est marqué par une forte réduction de l'effectif ( salariés) dans les entreprises de ,7 % des entreprises artisanales du département n ont aucun salarié Prés de salariés sont dans des entreprises de 10 salariés Le bâtiment a perdu emplois, en repli de 18,13%, tandis que le nombre d'entreprises progressent de près de 7 Dans le secteur des services, le nombre des entreprises a progressé de 27 % ( entreprises), pour la même période, ce secteur subit une perte de emplois 18

19 LA CREATION D ENTREPRISE Janvier 2015 à Septembre

20 La création d entreprises en juin 2015 Région Ile-de-France et départements Janvier juin Janvier juin Juin 2014 Juin 2015 Evolution Ile-de-France ,4 % 75 Paris ,9 % 77 Seine-et-Marne ,4 % 78 Yvelines % 91 Essonne ,0 % 92 Hauts-de-Seine ,3 % 93 Seine-Saint-Denis ,3 % 94 - Val-de-Marne ,2 % 95 Val-d Oise ,6 % La Seine-Saint-Denis et les autres. Source : INSEE Base de données Sirene Création d entreprises : chiffres de juin 2015 Traitement : APCE Création d'entreprise Janvier-Juin 2014 Janvier -Septembre 2015 Evolution Ile de France ,4% Seine-Saint-Denis ,3% Source APCE création et reprise toutes formes L atonie persiste en IDF et la Seine-Saint-Denis ne tire plus la croissance des créations d entreprise vers le haut comme les années précédentes. Création d'entreprise Janvier-Juin 2014 Janvier Juin 2015 Evolution 75, 92, 93, 94, 95, ,2% Seine-Saint-Denis ,8% Source CCI Paris IDF Création/reprise d entreprise passant par le Centre de Formalité de la CCI sous forme de société Notons que les auto-entrepreneurs ne devaient pas être immatriculées en 2014 (ils ne le sont que depuis début d année). Pour avoir une vision homogène nous n avons retenu que les sociétés

21 Les «ZFU territoires entrepreneurs» Cet indicateur est mis à jour au début de chaque année civile. Pour 2015 : Les ZFU de Seine-Saint-Denis confirment leur dynamisme économique. Le nombre total d établissements privés est de 9 350, soit une progression de 10,9 % sur un an. Si depuis quelques années, le nombre d installations étaient en baisse : 2013 (+ 5,1 %), 2012 (+ 6,2 %), 2011 (+ 7,1 %). Force est de constater un retour des entreprises sur ces territoires : en 2014 c est + 10,90 % en nombre d installations. La ZFU intercommunale a concouru, le plus fortement, à cette croissance, avec une hausse de 23,3 %. Ce chiffre est à mettre en rapport avec l étroitesse territoriale de la ZFU. Clichy-sous-Bois/Montfermeil reste la ZFU comptant le plus grand nombre d entreprises implantées (2 543 établissements soit 27 % des établissements), même si le taux de croissance est plus modéré

22 Evolution et répartition du nombre d'établissements en ZFU Neuilly-sur-Marne - Les Fauvettes Bobigny/Pantin/Drancy/Aubervilliers - Etoile, Grémillon, Pont de Pierre, Les Courtillières Sevran - Les Beaudottes Le Blanc-Mesnil/Dugny - Pont Yblon - Quartiers Nord (Cité Grand ensemble des Tilleuls - Cité Floréal Aviation) Stains - Clos Saint Lazare - Allende Epinay-sur-Seine - Orgemont Aulnay-sous-Bois - La Rose des Vents - Cité Emmaüs - Les Merisiers - Les Etangs La Courneuve - Les 4000 Bondy - Quartier Nord Clichy-sous-Bois/Monfermeil - Grand Ensemble (Haut et Bas) Total Source : INSEE - Sirene Pour rappel: Le chiffre de établissements exclut le secteur public, la santé et les associations qui représentent 346 établissements. 22

23 Les principaux faits marquants de l année 2014 Un dispositif prorogé, revu et corrigé Le Gouvernement a souhaité faire droit à ces propositions en reconduisant les ZFU sur la durée des contrats de ville , tout en transformant le dispositif pour expurger les effets d aubaine et renforcer l impact sur la création d activités et d emplois. Les ZFU sont devenues des Territoires d Entrepreneurs. Cela signifie que : 1/ Le dispositif d exonérations devra appuyer une stratégie de développement économique globale inscrite dans le contrat de ville. Il s agit de mettre en place un écosystème local favorisant le développement et la création des entreprises, en mobilisant tous les acteurs : les collectivités territoriales notamment la Région, les chambres consulaires, les réseaux d accompagnement des créateurs, etc. 2/ Les entreprises se créant ou s implantant en Territoires entrepreneurs (ex-zfu) et ayant un impact sur l emploi des résidents des quartiers prioritaires, bénéficieront d une exonération d impôt sur les bénéfices. Le plafond de bénéfices exonérés est ramené de à euros pour limiter les effets d aubaine, et est majoré de euros pour chaque embauche de salarié résidant en quartier prioritaire, afin de souligner l exigence en création d emplois. 3/ Tous les commerces de proximité installés dans l un des quartiers prioritaires jouiront d une nouvelle exonération portant sur les impôts locaux (CET et TFPB). Cette réforme matérialise la volonté du gouvernement de faire du développement économique un axe prioritaire de la nouvelle politique de la ville. Elle participe également au développement de la mixité dans les quartiers populaires en favorisant l installation de commerces et d entreprises. Une politique de la ville qui évolue La nouvelle carte des quartiers prioritaires, attendue depuis la loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine du 13 février 2014, a été rendue publique le 17 juin Ce sont donc quartiers à l échelle nationale qui voient le jour et qui se substituent aux identifiés auparavant. L objectif du gouvernement est de rendre plus efficace le système d aides aux zones les plus pauvres en mettant fin à «un millefeuille» d appellations et de dispositifs d aides publiques, et d y substituer des «contrats de villes» uniques à compter du 1 er janvier L ambition est de transformer les quartiers prioritaires en territoires d excellence en matière de développement économique. La Seine-Saint-Denis est gagnante de ce redécoupage des quartiers prioritaires. Des communes comme celle du Bourget jouissent, pour la première fois, des dispositifs de la politique de la ville. Ce sont désormais 32 communes sur les 40 que compte la Seine-Saint-Denis qui bénéficieront d aides financières spécifiques. 23

24 LA VIE DES ENTREPRISES EN SEINE-SAINT-DENIS 1 er semestre 2015 Le commerce extérieur L activité des entreprises en Seine-Saint-Denis La taxe sur la valeur ajoutée (TVA) L impôt sur les sociétés (IS) 24 24

25 LE COMMERCE EXTERIEUR DE LA SEINE-SAINT-DENIS 1 er semestre

26 I - APPROCHE GLOBALE Evolution du commerce extérieur de Seine-Saint-Denis de 2013 à 2015 Le volume des importations a peu varié en Seine-Saint-Denis entre le 1 er semestre 2014 et le 1 er semestre En revanche, après une nette baisse entre le 2 e semestre 2013 et le 1 er semestre 2014, les exportations ont subi une forte hausse de près de 15 % sur les deux semestres Cette forte hausse des exportations associée à une augmentation modérée des importations explique la baisse du déficit commercial en De même, entre le 2 nd semestre 2014 et le 1 er semestre 2015, le léger repli des exportations associé à une hausse timide des importations expliquent la faible augmentation du déficit du commerce extérieur de la Seine-Saint-Denis (+ 3,02 %). Pour rappel, l évolution du commerce extérieur de Seine-Saint-Denis de 2012 à 2014 : Le déficit du commerce extérieur de Seine-Saint-Denis s est creusé en 2014, après un léger ralentissement en 2013 caractérisé par une diminution du volume des importations en même temps qu une hausse du volume des exportations. Sur l année 2014, le creusement du déficit commercial est surtout le fait d une diminution des exportations (-6,11 % par rapport à 2013). 26

27 Part du commerce de la Seine-Saint-Denis dans le commerce extérieur d Île-de-France sur le 1 er semestre 2015 Part des importations dans le commerce extérieur d Île-de-France Comparée à la situation des autres départements d Île-de-France, la croissance des importations en Seine-Saint-Denis reste globalement très stable et modérée, ce que confirme l examen de la période comprise entre le 2 e semestre 2014 et le 1 er semestre 2015 (+ 0,64 %). 27

28 Au 1 er semestre 2015, sur les 8 départements que compte l Île-de-France, la Seine-Saint-Denis se classe en 6 e position s agissant de la valeur des importations 28

29 Part des exportations dans le commerce extérieur d Île-de-France Le léger repli des exportations en Seine-Saint-Denis sur le 1 er semestre 2015 ne correspond pas à la situation majoritaire en Île-de-France puisque les exportations se sont accrues sur 5 des 8 départements que compte l Île-de-France. Toutefois, la baisse enregistrée sur le 93 reste modeste en comparaison de celle constatée pour Paris (-1,89 % contre -4,36 %). Ainsi, au 1 er semestre 2015, la Seine-Saint-Denis se classe en 6 e place s agissant des exportations. 29

30 II - APPROCHE SECTORIELLE Evolution des importations par secteurs d activités Les deux principaux secteurs d importation en Seine-Saint-Denis restent les matériels de transport et le secteur des textiles. - Le secteur des transports connaît une forte augmentation au 1 er semestre 2015 (+13,52 %) après une baisse substantielle sur le deuxième semestre 2014 (-8,54 %). - La situation est inversée dans le domaine des textiles (+ 8,55 % entre les deux semestres 2014 et -6,61 % au 1 er semestre 2015). Une autre baisse sensible des importations sur le premier semestre 2015 concerne les produits pharmaceutiques, 4 e secteur d importation du 93. En revanche, le secteur des importations produits manufacturés divers se caractérise par une hausse inédite, dépassant pour la première fois depuis 2013 les 300 millions d euros. Certains secteurs d importation connaissent un fléchissement certain durant les deux derniers semestres : tel est le cas des machines industrielles et agricoles (-5,03 %), des produits des industries agro-alimentaires (- 8,89 %) et surtout des produits chimiques, parfums et cosmétiques (- 22,75 %). 30

31 Evolution des importations par secteurs Objets d'art, d'antiquité et de collection 9 Produits de l'édition et de la communication 35 Produits agricoles, sylvicoles, de la pêche et 38 Bois, papier et carton 85 Produits chimiques, parfums et cosmétiques 135 Produits des industries agroalimentaires (iaa) 177 Produits métallurgiques et métalliques Produits en caoutchouc et en plastique, Produits manufacturés divers Équipements électriques et ménagers Machines industrielles et agricoles, Produits pharmaceutiques Produits informatiques, électroniques et Textiles, habillement, cuir et chaussures Matériels de transport VAL IMP S VAL IMP S VAL IMP S

32 Evolution des exportations par secteurs d activités Les deux principaux secteurs d exportation de Seine-Saint-Denis connaissant une évolution contrastée, après une chute entre le 2 e semestre 2013 et le 1 er semestre 2014 : - en première place, le secteur des textiles continue sa croissance (+ 12,56 % sur le deuxième semestre 2014 et + 5,03 % au 1 er semestre 2015), - en deuxième position, le secteur des matériels de transport a rencontré un développement très important au deuxième semestre 2014 (+ 34,66 %) suivi d un repli presque tout aussi net (-20,66 % au premier semestre 2015), - en troisième place, les exportations de produits manufacturés divers poursuivent leur courbe ascendante depuis plusieurs années avec plus de 4 % sur 2014 de même qu au premier semestre On constate également une reprise des exportations de produits métallurgiques et des produits pharmaceutiques, constante depuis

33 Evolution des exportations par secteurs Evolution des exportations par secteurs Bois, papier et carton Produits pétroliers raffinés et coke Objets d'art, d'antiquité et de collection Produits des industries agroalimentaires (iaa) Déchets industriels et ménagers Produits pharmaceutiques Produits en caoutchouc et en plastique, produits Équipements électriques et ménagers Produits chimiques, parfums et cosmétiques Machines industrielles et agricoles, machines Produits informatiques, électroniques et optiques Produits métallurgiques et métalliques Produits manufacturés divers Matériels de transport Textiles, habillement, cuir et chaussures VAL EXP S VAL EXP S VAL EXP S

34 34

35 III - APPROCHE GEOGRAPHIQUE Palmarès des importations par pays La Chine reste le premier pays exportateur à destination des entreprises de Seine-Saint-Denis, malgré une baisse de 7,40 % entre le deuxième semestre 2014 et le premier semestre Après une baisse isolée entre le 1 er et le 2 e semestre 2014 (- 11,29 %), les expéditions en provenance d Espagne, deuxième partenaire à l importation sont reparties avec une hausse significative (+ 20,37 %) pour atteindre au 1 er semestre 2015 un niveau inégalé sur les deux années précédentes. Les importations en provenance des États-Unis continuent leur croissance forte et constante (+ 12,50 % entre le 2 e semestre 2014 et le 1 er semestre 2015). La Suisse prend également une place croissante dans les importations en Seine-Saint-Denis (+ 58 % entre le 1 er semestre 2014 et le 1 er semestre 2015) passant en 2 ans de la 10 e à la 6 e place. Une forte croissance des importations en provenance du Japon est observable au 1 er semestre 2015 (+ 44,89 %). En revanche, on constate sur le 1 er semestre 2015 un net recul des importations en provenance de la Hongrie (- 27,15 %), de la Slovaquie (- 26,12 %), du Royaume-Uni (- 20,40 %) et des Pays-Bas (- 19,38 %). 35

36 Palmarès des exportations par pays En première place, les exportations vers les États-Unis connaissent un léger repli (- 2,79 %) entre le 2 e semestre 2014 et le 1 er semestre 2015 après une augmentation marquée en 2014 (+ 24,85 %). Les exportations vers l Allemagne, 2 e partenaire à l exportation, restent très fluctuantes (hausse de 36,50 % sur 2014, suivie d une baisse tout aussi importante). De façon constante, la Suisse s affirme comme l un des premiers pays client des entreprises de Seine-Saint- Denis avec une hausse de plus de 27 % entre le 1 er semestre 2014 et le 1 er semestre D autres pays apparaissent de façon croissante comme des destinations privilégiées pour l export : - le Japon, avec une augmentation régulière depuis 2013 (+ 30 % en deux ans). - l Espagne (+ 33,62 % sur les deux derniers trimestres). De fortes hausses, isolées sur le 1 er trimestre 2015 concernent les Pays-Bas (+ 57,35 %), Hong-Kong (+ 29,18 %), la Corée-du-Sud (54,87 %). À noter enfin, le fort développement des exportations vers la Tunisie depuis le 1 er semestre 2014 (28,29 %). En revanche, les exportations vers le Royaume-Unis connaissent un fléchissement très net au 1 er semestre 2015 (- 44,52 %). L Algérie, enfin, est en perte de vitesse (- 30 % depuis le 1 er semestre 2014). 36

37 LA TVA ET L IMPÔT SUR LES SOCIÉTÉS 37 37

38 Le chiffre d'affaires déclaré par les entreprises Répartition du chiffre d'affaires par secteurs d'activités Au titre du seul mois de juin 2015, les secteurs ayant généré le plus de chiffre d affaires sont : Commerce, réparation automobile 29,85 % Transport et entreposage 26,55 % Industrie manufacturière 15,42 % Évolution du chiffre d'affaires déclaré en Seine-Saint-Denis Au 30 juin 2015, le cumul du chiffre d'affaires déclaré par entreprises sur un an progresse de 7 % par rapport à l'année précédente. En revanche, cet indicateur diminue de 6,36 % au niveau régional. L'évolution de cet indicateur au 1 er semestre 2015 par rapport au même semestre en 2014 traduit la même tendance avec une hausse de 5,18 % au niveau de la Seine-Saint-Denis et une baisse de 3,56 % au niveau de la région. Il est à noter que le chiffre d'affaires déclaré par les entreprises du département diminue toutefois de 7,52 % au 2ème trimestre 2015 par rapport au trimestre précédent. La courbe francilienne suit la même tendance avec une baisse de 4,58 %

39 Les recettes de TVA En Seine-Saint-Denis, sur une année glissante, le montant de la TVA recouvrée au 30 juin 2015 s'est élevé à , soit une hausse de 2,95 % par rapport à l année précédente. En revanche, les recettes de TVA ont légèrement diminué au 1 er semestre 2015 par rapport au même semestre en 2014 (-0,50 %). En comparant le 1 er semestre 2015 avec le semestre précédent, la baisse atteint 5,80 %, en Seine-Saint- Denis, alors que l'évolution est stable au niveau régional. Comparaison régionale sur douze mois glissants : 39

40 Les recettes d impôt sur les sociétés Au 30 juin 2015, le montant des recettes d'impôt sur les sociétés a diminué de 6,21 % sur un an, soit la plus forte baisse de la région Île-de-France. En comparant le recouvrement par rapport à l'année 2012, la baisse atteint 17,26 %. Hormis, le département de Paris qui marque une légère progression, l'ensemble des départements franciliens a connu une baisse du recouvrement durant cette période. 40

41 SEINE SAINT DENIS EVOLUTION CREDITS A L'EQUIPEMENT (base 100-1er trimestre 2001) T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T L indice des crédits d équipement en Seine Saint-Denis baisse légèrement au second trimestre Il reste néanmoins élevé et quasiment stable depuis un an SEINE SAINT DENIS EVOLUTION CREDITS DE TRESORERIE (base 100-1er trimestre 2001) T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T2 T3 T4 T1 T

42 LES ENTREPRISES : INNOVATION Actualité des pôles de compétitivité DIRECCTE Ile-de-France Pas de contribution ce semestre 42 42

43 LE TOURISME ET LES ÉVÉNEMENTS D AFFAIRES 43 43

44 L hôtellerie L activité hôtelière donne quelques signes d inquiétude Les taux d occupation baissent en basse catégorie et progressent en milieu et haut de gamme En moyenne semestrielle, le taux d occupation des établissements super-économiques reculent nettement par rapport à 2014 ( 4,4 %). S ils sont à la hausse en moyen de gamme et pour les hôtels haut de gamme de la plate-forme aéroportuaire, il faut souligner que, malgré le salon de l aéronautique, le deuxième trimestre est mal orienté dans toutes les catégories. On observe ces deux mêmes tendances à l échelle de l ensemble Paris-Petite couronne. 85,0% 80,0% 75,0% 70,0% Evolution des taux d'occupation 1 semestre ( ) Super-éco Economique 65,0% Moyen de gamme 60,0% 55,0% Haut de gamme CDG 50,0% Les prix moyens progressent sauf en moyen de gamme Parallèlement à la baisse du taux d occupation, le prix moyen des établissements de petites catégories continue de progresser légèrement. Celui des établissements de moyen de gamme continue de reculer tandis qu il se redresse pour les établissements haut de gamme de CDG. 130,0 120,0 110,0 Evolution des prix moyens 1 semestre ( ) Super-éco 100,0 90,0 Economique 80,0 Moyen de gamme 70,0 60,0 Haut de gamme CDG 50,0 40,0 30,

45 Les revenus moyens par chambre hésitent entre hausse et baisse selon les catégories Le revenu moyen par chambre recule pour la première fois depuis longtemps en catégorie super-économique, la baisse de fréquentation n ayant pas pu être compensée par la hausse des prix. Même résultat pour en moyen de gamme où la baisse des prix, n est pas compensée par la hausse de la fréquentation. Les établissements haut de gamme de la plate-forme aéroportuaire et les établissements économiques tirent leur épingle du jeu avec une hausse respective de 5 % et 3 % du revenu par chambre.. Evolution des revenus par chambre 1 semestre ( ) 100,0 90,0 80,0 70,0 60,0 50,0 40,0 Super-éco Economique Moyen de gamme Haut de gamme CDG 30,0 20,

46 Les principaux sites touristiques Les conséquences de l attentat du 7 janvier sont à l origine d un net recul de la fréquentation des principaux sites de tourisme d agrément de Seine-Saint-Denis. Le Musée de l air et de l espace Avec près de visiteurs, le Musée de l air affiche une fréquentation record au premier semestre. Il faut toutefois relativiser cette appréciation. L affluence qu a connue le salon international de l aéronautique a en effet apporté, à elle seule, une fréquentation record au Musée ( visiteurs). Sans cet effet «salon», la fréquentation du Musée marquerait un sérieux recul (-26 %) par rapport à L interdiction, puis les restrictions sur les sorties en autocar après les attentats de janvier sont pour beaucoup dans ce recul Musée de l'air et de l'espace Nombre de visiteurs au 1er semestre La Basilique de Saint-Denis Le recul de 12 % de la fréquentation de la Basilique par rapport au 1 er semestre 2014 est lui aussi directement lié aux conséquences des attentats de janvier en matière de restriction de sorties en car. C est ainsi qu au mois de janvier le nombre de visiteurs a reculé de près de 40 % et que la fréquentation de tout le semestre a souffert de ces restrictions Basilique de Saint-Denis Nombre de visiteurs au 1er semestre Le Stade de France Les annulations de nombreux groupes à la suite des attentats de janvier représentant de personnes ont fortement impacté les visites du Stade de France. Par ailleurs, des travaux qui ont interdit l accès aux vestiaires ont pénalisé les visites pendant plusieurs semaines. Au total, les visites du Stade marquent un fort recul de 16 % par rapport au premier semestre Stade de France Nombre de visiteurs au 1er semestre

47 47 manifestations ont été accueillies, du 1 er janvier au 30 juin 2015 : - 5 salons professionnels - 14 événements d entreprises (séminaires, conventions, colloques ) - 28 autres types d événements essentiellement les examens visiteurs ou participants Salons : visiteurs dont visiteurs étrangers exposants dont exposants étrangers Corporate : participants Examens : participants 47

48 11 manifestations ont été accueillies, du 1 er janvier au 30 juin 2015 : - 4 salons : 3 salons professionnels et 1 salon grand public - 7 événements d entreprises (séminaires, conventions, colloques ) visiteurs ou participants Salons : visiteurs dont visiteurs étrangers exposants dont exposants étrangers Corporate : participants 48

49 LE CHÔMAGE ET L EMPLOI 49 49

50 Les taux de chômage en Ile-de-France A la fin du mois de mars 2015, le taux de chômage s élève en Seine-Saint-Denis à 13,1 % (1), contre 8,8 % en Ilede-France et 10 % pour la France entière. Ce taux est le plus élevé de la région Ile-de-France. Il diminue de - 0,1 point sur un trimestre et augmente de + 0,4 point sur un an. 14,0% 12,0% 10,0% Taux de chômage localisés à fin MARS ,0% 6,0% 4,0% 2,0% 8,2% 8,1% 7,2% 7,6% 7,8% 13,1% 8,8% 10,1% 8,8% 10,0% 0,0% IDF FE 1 A partir du quatrième trimestre 2013, les séries de taux de chômage localisés sont révisées. D une part, le nombre de chômeurs est revu à la baisse au niveau national après la rénovation du questionnaire de l enquête Emploi, ce qui a une incidence comparable sur les taux de chômage estimés au niveau local. D autre part, la méthode d estimation des taux de chômage localisés a été améliorée sur différents points (passage de l emploi au lieu de travail à l emploi au lieu de résidence, information sur les travailleurs frontaliers, etc ). Les nouvelles séries de taux de chômage régionaux et départementaux sont rétropolées, l impact des changements de méthode ayant été neutralisé, elles sont cohérentes sur l ensemble de la période d estimation. Evolution comparée des taux de chômage de la Seine-Saint-Denis, de l Ile-de-France et de la France entière (de 2000 à 2015) : Fin mars 2015, après une augmentation aux troisième et quatrième trimestre 2014, le taux de chômage recule en Seine-Saint-Denis. La courbe de l évolution du taux de chômage en Seine-Saint-Denis suit celles de la région d Ile-de-France et de la France métropolitaine mais à un niveau plus élevé. 14,0 Evolution du taux de chômage ,0 13,1 12,0 11,0 10,0 10,0 9,0 8,8 8,0 7,0 6,0 Source : INSEE France Ile-de-France Seine-Saint-Denis 50 50

51 La demande d emploi à fin juin 2015 Fin juin 2015, le nombre de demandeurs d emploi de catégorie A, B, C ( DEFM), augmente de + 6,9 % sur un an et de + 78,4 % depuis septembre 2008 (91 790). Depuis janvier 1997 (date des séries statistiques disponibles), la Seine-Saint-Denis n a jamais connu un nombre aussi élevé de demandeurs d emploi inscrits en catégories A,B,C. La hausse atteint surtout les seniors (+ 10,9 %) et les demandeurs d emploi de longue durée (+ 9,3 %) ; le nombre de demandeurs d emploi de moins de 25 ans enregistre une augmentation de + 4 % sur un an. Le nombre de demandeurs d emploi hommes augmente de + 7,2 % et celui des femmes de + 6,7 %. Les hommes représentent 53,5 % des demandeurs d emploi. Situation à fin juin 2015 Valeur Évolution annuelle Demande d emploi fin de mois cat. A,B,C (1) (données CVS), dont : femmes hommes DELD moins de 25 ans 50 ans et plus Demande d emploi enregistrée, catégorie A,B,C données brutes (cumul annuel), dont : jeunes de moins de 25 ans Femmes Sources : STMT-Pôle Emploi, DARES. Cvs : Direccte Ile-de-France (traitement Direccte IDF/UT 93) ,9 % ,7 % ,2 % ,3 % % ,9 % ,9 % ,3 % ,9 % (1) Les différentes catégories de demandeurs d emploi : catégorie A : demandeurs d emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi, sans emploi ; catégorie B : demandeurs d emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi, ayant exercé une activité réduite courte (78 heures ou moins au cours du mois) ; catégorie C : demandeurs d emploi tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi, ayant exercé une activité réduite longue (plus de 78 heures au cours du mois) ; catégorie D : demandeurs d emploi non tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi (en raison d un stage, d une formation, d une maladie ), sans emploi ; catégorie E : demandeurs d emploi non tenus de faire des actes positifs de recherche d emploi, en emploi (par exemple : bénéficiaires de contrats aidés). 51

52 L emploi Les offres d emploi enregistrées (OEE) et satisfaites (OES) : Le cumul des offres collectées au cours des douze derniers mois (43 114) recule de -0,3 % sur un an. Les offres d emploi durable (26 557) représentent 62 % des offres et enregistrent une baisse de -2,8 % sur un an. Les offres d emploi temporaire (12 479) représentent 29 % des offres et progressent de + 2 % sur un an. Les offres d emploi occasionnel (4 078) représentent 9 % des offres, elles augmentent de + 10,7 % sur un an. Le cumul des offres d emploi satisfaites au cours des douze derniers mois ( offres tous types) recule de -7,1 % sur un an. Situation à fin juin 2015 Offres d emploi enregistrées tous types données brutes (cumul annuel), dont : offres d emploi durable offres d emploi temporaire offres d emploi occasionnel Offres d emploi satisfaites tous types, données brutes (cumul annuel) Sources : STMT-Pôle Emploi, DARES (traitement Direccte IDF/UT 93) % par nature de contrat Valeur Evolution annuelle ,8 % 62% % 29% ,7 % 9% ,3 % ,1 % 52

53 Les offres d emploi en Seine-Saint-Denis de janvier 2011 à juin 2015 Après les niveaux relativement élevés enregistrés en 2011 le recueil des offres auprès des établissements de Seine-Saint-Denis au premier semestre 2015 se situe à des niveaux mensuels proches de ceux de 2012, et supérieurs à ceux de 2013 et OFFRES ENREGISTREES EN SEINE-SAINT-DENIS DE 2011 A janvier février mars avril mai juin juillet août septembre octobre novembre décembre Evolution des offres enregistrées et satisfaites par type d offre et par taille Offres enregistrées par type d offre Evolution Total ,4% Emploi durable ,0% Emploi temporaire ,8% Emploi occasionnel ,6% Emploi indéterminé ,4% L évolution la plus remarquable concerne les emplois temporaires (de 1 à 6 mois) qui s élèvent à 6776 au 1 er semestre soit près de 11 % pour un peu moins d un quart des offres. La baisse de 16.6 % des emplois occasionnels (inférieurs ou égaux à un mois) ne concerne qu une petite partie des offres recueillies : offres soit moins de 6 %. S agissant des emplois durables, leur augmentation est proche de l augmentation du total des offres (4 % contre 4.4 %) mais leur part dans le total ( soit près de 63 % des offres recueillies) mérite d être soulignée dans un contexte où la grande majorité des recrutements (environ deux tiers) semble actuellement constituée de contrats de moins d 1 mois et ce depuis

54 Offres enregistrées par taille d établissement Evolution Total ,4% K ,5% 1 à 9 salariés ,0% 10 à 49 salariés ,0% 50 salariés et plus ,2% Non défini ,8% Les offres provenant des établissements de zéro salarié atteignent 4921 au premier semestre 2015, en progression de 15.5 %, peut-être en lien avec les intentions d embauche en provenance de ces établissements pour offres ont été recueillies en provenance des établissements de 1 à 9 salariés soit 12 %. Par contre les offres en provenance des établissements de 50 salariés et plus enregistrent une diminution de 8.2 %. Offres satisfaites par type d offre Evolution Total ,2% Emploi durable ,5% Emploi temporaire ,3% Emploi occasionnel ,6% Emploi non déterminé ,3% A noter l augmentation de 5.3 % des offres d emplois temporaires satisfaites (pour offres) mais pour un volume d offres enregistrées en hausse de plus de 10 % et la baisse des offres d emplois occasionnels deux fois supérieure à la baisse constatée sur les offres enregistrées. Evolution par secteur d activité Les offres recueillies au premier semestre 2015 auprès des entreprises du département sont en hausse de 4.4 % par rapport au premier semestre Quelques secteurs connaissent une augmentation nettement supérieure : Industrie : 805 offres (+ 51 %) Hébergement et restauration : offres ( %) Information et communication : offres (49.3 %) Activités de services administratifs et de soutien : offres (24.2 %) Enseignement : offres ( %). Quatre autres secteurs connaissent par contre une forte diminution : Commerce réparation d automobiles et motocycles : offres ( %) Activités financières et d assurances : 429 offres ( %) Administration publique : 588 offres ( %) Activités artistiques : 229 offres ( %) 54

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