RENCONTRES CINEMATOGRAPHIQUES DE DIJON

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1 RENCONTRES CINEMATOGRAPHIQUES DE DIJON L EXCEPTION CULTURELLE 2.0 * COMPTE-RENDU DU DEBAT : LE CINEMA INDEPENDANT FACE A DE NOUVELLES MENACES : LA CONCENTRATION DES FINANCEMENTS SAMEDI 20 OCTOBRE 2012 DE 10H30 A 12H00 En 2011, l activité de production de films cinématographiques a atteint un record historique : 272 films ont obtenu l agrément au cours de l année, soit 11 films de plus qu en 2010 et 32 films de plus qu en 2005 et 2008, années des précédents records. Les investissements, même s ils sont en recul, atteignent tout de même près de 1,4 milliards d euros et devraient donc normalement permettre un financement serein des films. Pour autant, il semble que les films aux devis moyens peinent à se faire, ou se font dans des conditions difficiles. Quelles en sont les causes? Les financements auraient tendance à se concentrer sur un certain type de films, participant ainsi à l inflation des devis les plus importants Fantasme ou réalité? Si tel était le cas, quels en seraient les remèdes? Animé par : - Florence Gastaud, Déléguée Générale de L ARP - Jean-Paul Salomé, Auteur Réalisateur Producteur, Vice-Président de L ARP Avec : - Manuel Alduy, Directeur du Cinéma de CANAL+ Florence GASTAUD présente les excuses de Thomas LANGMANN, qui a eu un problème d'agenda, regrettant l absence de producteurs à ce débat, puis introduit le sujet en précisant que près de 65 % des financements concernent des films de plus de 7 M contre 60 % il y a deux ans. Elle indique à titre d exemple que pour TF1 les préachats moyens s élèvent à 3 M pour une moyenne de devis à 15 M.

2 Jean-Paul SALOME évoque la «bipolarisation de la production» et le fait que les films indépendants sont de plus en plus difficiles à financer même s ils coûtent moins cher. Pour Manuel ALDUY, il n est pas évident de faire la distinction entre des groupes et certains producteurs indépendants qui sont «sur le haut du panier» en termes de devis. Il avoue par ailleurs sa perplexité par rapport à la notion d'indépendance, car pour lui on est toujours dépendant de quelqu'un. Il donne l exemple de petits producteurs indépendants qui sont, comme des groupes, affiliés à des réseaux de salles. Il souligne que les rapports entre un producteur et une chaîne de télévision sont nécessairement différents selon qu il a plusieurs projets plus ou moins bien financés dans l'année, ou un tous les deux ans, et qu il prend le risque de sortir son film en salle et en paye les copies ou en confie la distribution à quelqu'un d'autre. Il explique ensuite que la politique de CANAL +, qui a besoin de films dans toutes les catégories, est très stable. 170 M ont déjà été dépensés pour des tournages en 2012 et 110 préachats de films français, dont il espère que 70 pourront être diffusés en prime time. Il ajoute que les autres seront placés dans des cases plus pointues, pour un public plus cinéphile. Florence GASTAUD note que CANAL + a financé en 2012, 10 films de plus qu en 2011 dans la fourchette allant de 7 à 10 M. Elle se demande si c est dû au fait que les films coûtent plus cher et si cela est simplement dû à un nouveau choix éditorial de CANAL+ Manuel ALDUY évoque la difficulté qui consiste dans le fait que tous les devis sont faux, avec toujours des écarts à la hausse. Florence GASTAUD, qui confirme que l Agrément des investissements voit passer beaucoup de films avec des budgets de 3,99 M et des frais généraux et imprévus non affichés, se demande si ce n est pas dû au fait que CANAL+ demande à des producteurs de faire un effort pour entrer dans la clause de diversité afin de pouvoir remplir ses obligations quitte à donner plus ensuite. Elle se demande ainsi si la clause de diversité à moins de 4M est toujours pertinente. Manuel ALDUY explique que CANAL+ a reçu en 2012 (c est dû selon lui à une concurrence beaucoup plus forte, et il note que cela avait déjà commencé en 2010 et 2011), beaucoup plus de projets moyennement chers, à raison de 14 préachats de films avec des devis supérieurs à 14 M, sachant que CANAL+ sera perdant pour la moitié d'entre eux en termes d entrées. Il remarque à cet égard que TF1 et M6 ont des besoins différents. Il évoque aussi une filière du Benelux qui permet d'obtenir des financements fiscaux et à davantage de films d agréer suffisamment d'argent pour se situer au-delà de 4,5 ou 6 M. Il précise en réponse à Jean-Paul SALOME qu en termes de préachat CANAL+ essaye de ne pas dépasser un préfinancement de 5,35 M, en ajoutant qu à raison de deux films de cette ampleur la même année cela commence à être tendu. Jean-Paul SALOME s interroge ensuite sur la stabilité du nombre de films à CANAL+. Manuel ALDUY rappelle la stratégie globale de son groupe, qui est de miser sur la création française en général, l'objectif étant de diffuser chaque année au moins 70 films en prime time contre à peine 50 il y a six ou sept ans. Florence GASTAUD évoque le pouvoir de vie ou de mort sur un film de CANAL+, qu elle juge légitime étant donné son positionnement et son investissement, mais s interroge du coup sur la responsabilité que cela engendre sur l éventuel rôle de régulateur du groupe, notamment pour faire garder raison sur certains devis excessifs. Manuel ALDUY, qui reconnaît que son groupe est un acteur important parce qu il investit dans beaucoup de films, souligne que ses financements ne correspondent qu à 20 à 25 % des devis. Il explique que la stratégie de CANAL+ consiste dans 12 films événementiels (plus ou moins chers mais non américains) chaque année, avec pour les films à gros budgets exactement la même logique éditoriale que 2

3 TF1 ou M6, et que son groupe essaie aussi d'intervenir le plus en amont possible dans le process, les producteurs ayant pris l habitude d'aller voir CANAL+ en dernier lieu afin qu il apporte ce qu il manque. Jean-Paul SALOME évoque la question du salaire des comédiens, les films du milieu étant selon lui ceux qui en subissent le plus les conséquences. Ils font selon lui moins d efforts financiers en France qu aux Etats- Unis quand ils participent à des films indépendants. Manuel ALDUY souligne que la filière n est pas organisée en préachat de films vierges de casting et de gestion de ce dernier dans un second temps, le salaire des acteurs créant en effet souvent une relative inflation. Catherine ALMERAS (Syndicat français des artistes interprètes) qui est à l'agrément depuis longtemps, est gênée par le fait que l on se focalise sur les gros cachets, car pour elles ils ne sont pas la généralité. Elle souligne que des acteurs connus acceptent maintenant des rémunérations faibles quand ils ont vraiment envie de tourner un film. Manuel ALDUY, qui rappelle que tous les films n'ont pas besoin d'un casting connu, est d accord sur le fait qu il n est pas un problème majeur. Carole SCOTTA (DIRE) se demande si déconnecter le chiffrage du pourcentage du devis dans le cadre d une analyse plus fine ne serait pas une bonne idée. Il faut pour Manuel ALDUY éviter de transformer en téléfilms les films, qui reposent sur plusieurs sources de financement, le fait que chacun ait une part de voix minoritaire permettant selon lui de laisser une relative liberté à la création. Il explique que son groupe, qui n est pas producteur, raisonne d'abord sur la valeur estimée d un film en le comparant à d'autres afin d être le plus objectif possible, et que s il est une contrainte pour lui le devis est aussi un paramètre intéressant pour avoir des discussions sereines et traiter sans discrimination les projets traités. Joël THIBOUT explique que les Sofica sont cruciales pour défendre la diversité et que grâce à leur intervention, qui coûte 20 M à la collectivité pour 60 investis, elles contribuent au financement d'une centaine d'œuvres par an, en particulier des premiers et deuxièmes films ainsi que des films du milieu. Ils indiquent qu en 2013 les Sofica vont devoir réduire leur apport au financement à risque de films de près de 10 M, ce qu il considère comme une défaite pour l'industrie, particulièrement pour les indépendants et pour la diversité en général. Il pose à la salle la question suivante : «Quels moyens est-il possible de mettre en œuvre pour permettre aux Sofica de défendre leur pérennité et de continuer à supporter les producteurs indépendants?». Yann GILBERT (SPI) rappelle que les organisations syndicales des producteurs ont participé dernièrement à la défense des Sofica. Il évoque la disparition de TPS, le fait que le fonds de roulement du CNC soit impacté ainsi que les baisses de budget au sein de France Télévisions et se demande si CANAL+ ne pourrait pas montrer des films en passant par d'autres canaux. Manuel ALDUY, qui rappelle que CANAL+ Cinéma ne diffuse que des films, évoque la possibilité d augmenter le nombre de films en prime time ou en deuxième partie de soirée, mais pour lui il ne faut pas craindre une paupérisation suite à la fermeture de TPS Star -il souligne que cette chaîne était très déficitaire- car ses abonnés recevront désormais les chaînes Orange Cinéma Séries, les investissements de la télévision payante n ayant de ce fait pas de raison de baisser. Quant au fait de préacheter encore plus de films, il explique que le nombre de préachats est stable depuis dix ans au profit d'une revalorisation régulière chaque année du prix moyen ( pour un devis de moins de 4 M en 2012 contre en 2004) mais que CANAL+ est très soucieux de la nonpaupérisation des films français et de l affaiblissement de sources de financement comme les Sofica, l enjeu étant pour lui que les films français puissent «tutoyer le cinéma international» quels que soient leur catégorie et leur registre. Cela fait partie des sujets que son groupe étudie. Il précise à cet égard en réponse à Jean-Paul SALOME que l accord actuel de CANAL+ avec la profession expire le 31 décembre 2014 et que la clause de diversité de CANAL+ consiste à consacrer 17 % de son budget d'investissement au cinéma français, à des films dont le devis est inférieur à 4 M, seuil qui n a pas changé depuis dix ans. Il pense que c est un bon équilibre par rapport à l offre globale. 3

4 Florence GASTAUD pense que l arrivée de Direct 8 et la conclusion d un accord professionnel avec une chaine en clair va favoriser les discussions sur le sujet car tout est lié. Elle se demande à cet égard si diverses fourchettes de diversité pourraient être imaginées, comme le proposent par exemple les organisations de producteurs. Par exemple, une fourchette entre 0 et 4 M#, entre 5 et 8 M ), sans pour autant entrer dans un régime stalinien. Mais Manuel ALDUY pense qu il faut éviter de multiplier les paramètres dans tous les sens et rappelle qu il existe plusieurs clauses de diversité sur le marché, le seuil étant par exemple fixé pour Ciné+ et OCS à 5,35 M. De même, tous les préachats que D8 fera la même année que CANAL+ sur la fenêtre en clair devront comprendre au moins un tiers de films inférieurs à 7 M. Florence GASTAUD note que ce sont souvent les films réalisés pour seulement 4,5 M qui délocalisent beaucoup, ce qui a des conséquences sur toute la chaîne. Manuel ALDUY objecte qu ils sont aussi les plus fragiles pour d'autres guichets, et que le prix d achat moyen de CANAL+ dans cette catégorie a au contraire encore augmenté en Florence GASTAUD se demande s il ne faudrait pas inviter TF1 et M6 à s intéresser à ces films. Philippe BONY (Orange) note que plus un film est cher, moins les chances sont grandes de gagner de l argent sur la part de coproduction, ce qui ne pousse pas à l'inflation des devis. Il rappelle que les fenêtres d'exploitation ont été multipliées et que CANAL+, qui il y a vingt ans avait un million et demi d'abonnés, les diffusait 7 fois contre 35 aujourd hui pour 5 millions d'abonnés, raison pour laquelle les films arrivent sur les chaînes en clair plus usés et font moins d'audience. La contrainte est à son avis pour les chaînes en clair de choisir des films qui quand ils seront diffusés à l'antenne quatre ans plus tard seront malgré une concurrence plus forte à même d être regardés par 3,5 à 4 millions de téléspectateurs. L audience d un film dépend pour Florence GASTAUD également du diffuseur et de la façon dont il est éditorialisé. Elle remarque par exemple que depuis que TF1 a fidélisé à nouveau les téléspectateurs sur la case du dimanche soir, cela va beaucoup mieux. Philippe BONY insiste sur le fait qu en France les chaînes de télévision en clair investissent dans le cinéma français alors que les chaînes américaines ne diffusent plus du tout de films. Il note en revanche que l audience reste correcte même pour des films français du fait de la réduction du nombre de films diffusés en première partie de soirée, le travail des chaînes devenant de plus en plus compliqué étant donné la multiplicité des formes d exploitation. Il est pour lui impératif de rassembler entre 3,5 et 4 millions de téléspectateurs en première partie de soirée pour que les chaînes non payantes ne ferment pas. Florence GASTAUD pense pour sa part que plus les chaînes diffuseront de films, meilleure l'audience sera. Frédéric GOLDSMITH (APC) note la baisse du nombre de films préachetés sur CANAL+ et évoque la possibilité de films diffusés autrement que sur la chaîne Premium, ainsi que d'une deuxième clause de diversité. Pour lui, la part de marché des films français, qui est très importante, doit se refléter d'une manière ou d'une autre dans la politique de préachat de CANAL+ étant donnée sa position éminente dans le domaine de la télévision payante. C'est à son avis une dynamique très positive, le cinéma français réalisant globalement une bonne audience sur CANAL+. Il évoque ensuite la disparition de TPS, qui devra selon lui également faire l objet des discussions à venir, en soulignant que les montants correspondant au soutien antenne, qui est souvent intégré dans le financement pour le producteur et peut s élever à , ne seront pas investis dans le développement de nouveaux films. Il est important à son sens que le CNC apporte une réponse à ce problème très concret, dans le cadre d une concertation avec CANAL+. Manuel ALDUY, qui indique que CANAL+ sera attentif à la situation des producteurs concernés quand ils viendront présenter leurs projets, précise que la non-diffusion de films a aussi un impact sur la rémunération des auteurs. Olivier WOTLING (CNC) explique que la diffusion effective du film est un critère déterminant par rapport au soutien antenne (plafonné à 10 % du montant hors taxes du contrat dans la limite de ) et que 4

5 c'est à ce moment-là que des droits sont ouverts, non lors de la signature du contrat de vente. Il ajoute que cette diffusion doit intervenir sur une chaîne reconnue comme génératrice, à moins que le film fasse l objet d un avenant et soit diffusé sur d'autres chaînes de Ciné +. Dominique CREVECOEUR (ARP) pense qu'il existe en effet une forme de paupérisation générale des financements, qui pèse surtout sur les premiers films de jeunes inconnus qui peuvent parfois obtenir des avances sur recettes et des aides des régions mais ont beaucoup de mal à rassembler des financements privés. Son rêve est que CANAL+ et quelques télévisions publiques utilisent une petite partie de leurs financements pour ces films, car l effet CANAL+ fait qu en son absence les investisseurs privés n investissent pas. Pour Manuel ALDUY, ce n est pas le problème car CANAL+ le fait déjà. Il explique que parmi les 550 projets que reçoit CANAL+, au moins 300 s inscrivent dans la clause de diversité, 40 à 45 d entre eux étant préachetés. Il ajoute que les projets de gros films sont plus nombreux et que pour le cinéma dit de diversité il y a énormément de nouveaux entrants (à la fois des réalisateurs et des producteurs) alors que le nombre de places est assez stable. Dominique MALET (SOFICINEMA) société qui a participé au financement de films dans lesquels CANAL+ n'a pas investi, s interroge sur la vente ensuite en termes de fréquence et de prix. Manuel ALDUY explique que chaque année CANAL+ peut acheter jusqu à 5 films rentrant dans ce cas de figure selon les années en fonction de la place pour les programmer, en précisant que les prix ne sont pas les mêmes que pour le préachat et que le budget dédié à ces films est restreint dans la mesure où environ 90 % du budget de CANAL+ pour le cinéma français consiste en préachats. Pour Juliette PRISSARD (SPI) la problématique tourne beaucoup autour de la programmation. Elle note que CANAL+ reçoit beaucoup de projets qui ne lui paraissent plus programmables étant donné la forte concurrence sur le marché, d où selon elle l intérêt de travailler à des cases alternatives mieux exposées avec CANAL+ Cinéma. Quant au nombre de films, elle exprime le ressenti des producteurs, qui est que certains films ne sont plus accueillis de la même façon par CANAL+ du fait du problème des cases de programmation, avec une concentration sur de plus gros projets. Elle pense que davantage de films permettraient de donner un peu d'air au secteur, dont à son sens le renouvellement n'est plus assuré. Florence GASTAUD rappelle qu en termes de programmation cela nécessite de renégocier les droits SACD de diffusion s il ne s agit pas de prime sur la chaîne CANAL+ principale, les prix n étant évidemment pas les mêmes. Manuel ALDUY insiste sur le fait que CANAL+ ne concentre pas plus ses investissements sur les films les plus chers, avec davantage de préachats de films de moins de 7 M qu il y a cinq ou dix ans. Il ajoute qu aujourd hui la concurrence se développe aussi pour les films au-dessus de 7 M, d où des refus plus visibles de la part de Canal. Il rappelle par ailleurs que depuis deux ans 100 % des abonnés à CANAL+ reçoivent aussi CANAL+ Cinéma et que tous les films diffusés en deuxième partie de soirée dans des cases éditorialisées passent en prime time sur CANAL+ Cinéma, CANAL+ étant en cinq ans passé de 5 cases éditorialisées à 11 par semaine. Il souligne que la programmation du cinéma d auteur s est enrichie, à des horaires de grande écoute auprès d'un plus grand nombre d'abonnés mais explique que chaque guichet n'a pas envie de diffuser des films parce que d'autres ont choisi pour lui, avec des financements et des refus de plus en plus atypiques. C est pour lui un problème d offre, non de programmation. Florence GASTAUD évoque le fait que selon certains producteurs indépendants CANAL+ finance plus de films distribués par des groupes que par des indépendants. Manuel ALDUY indique qu en 2010, 2011 et 2012 CANAL+ a préacheté davantage de films chers (une quinzaine), de plus de 10 M, distribués par des indépendants pour un prix moyen d un peu moins de 3 M contre environs la moitié de films distribués par 5

6 des groupes, pour un prix moyen de 3,3 M. Il précise que quand le projet est apporté par un producteur qui a connu un succès, qu'il s agisse d un groupe ou d un indépendant, cela joue dans la valorisation du produit, de même que quand c est la personne qui vend le film qui assure sa sortie en salle. Frank WEBER (CANAL+) évoque les films diffusés dans le cadre de «Vu du cercle», sur CANAL+ Cinéma, qui sont à petits budgets et consistent essentiellement en premiers, deuxièmes et troisièmes films, mais il souligne que CANAL+ se distingue par sa diversité et diffuse des films qui coûtent 1 M comme 13, qui ont été filmés aux USA comme en France, etc. Pour lui, il est fondamental que les relations entre professionnels soient basées non pas sur l'arrogance mais sur la passion. * 6

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