PLAN DE GESTION INTERNE POUR LES EFFLUENTS ET DECHETS RADIOACTIFS
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- Sarah Beaudet
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1 PLAN DE GESTION INTERNE POUR LES EFFLUENTS ET DECHETS RADIOACTIFS Octobre2013 1
2 SOMMAIRE INTRODUCTION I Le Service de Médecine Nucléaire I-1) Radionucléides utilisés par le service de Médecine Nucléaire I-2) Effluents liquides radioactifs I-3) Les déchets solides I-3-a) Les déchets dits «ordinaires» I-3-b) Les déchets potentiellement contaminés par un radioélément I-3-c) Cas particuliers II Le service d hospitalisation (7 ème Nord) II-1 Les effluents liquides radioactifs II-2 Les déchets solides III. Le laboratoire post marquage Toxemac III-1. Les produits radioactifs utilisés III-2. Les déchets issus du laboratoire III.2.a) Les déchets solides III.2.b) Les déchets liquides IV Fonctionnement du réseau de collecte des effluents et des déchets radioactifs. IV.1 Le réseau de collecte des effluents liquides IV.1.a) Installation IV.1.b) Fonctionnement des cuves IV.2 Réseau de collecte des déchets radioactifs solides IV.2.a) Organisation de la collecte IV.2.b) Local de stockage des déchets radioactifs IV.2.b) Local de stockage des déchets radioactifs IV.2.c) Fonctionnement du local 2
3 INTRODUCTION Ce plan de gestion interne pour les effluents et déchets radioactifs a pour objectif la description des modalités de gestion et de contrôle des déchets radioactifs (liquides ou solides). Ce document se réfère à l arrêté du 23 juillet 2008 portant homologation de la décision n 2008-DC-0095 de l ASN. L activité quotidienne du Centre François BACLESSE produit un certain nombre de déchets hospitaliers et notamment des déchets radioactifs. Ceux-ci se présentent sous deux formes : - Les effluents liquides radioactifs - Les déchets hospitaliers solides radioactifs Ces déchets proviennent de différents services du Centre François BACLESSE : - Le service de Médecine Nucléaire - Le laboratoire de post-marquage Toxemac - Le service d hospitalisation de la Médecine Nucléaire - L unité de Curiethérapie 3
4 I Le Service de Médecine Nucléaire Le service de Médecine nucléaire est le principal producteur de déchets radioactifs sous forme solide ou liquide. I-1) Radionucléides utilisés par le service de Médecine Nucléaire Les produits radioactifs utilisés sont essentiellement des sources non-scellées. Le tableau cidessous recense leurs principales caractéristiques : Radionucléide Emission Energie (kev) Période Etat Elimination 99m TC γ h Liquide CFB 131 I β γ 111 In γ (90%) 245 (94%) 8 j Liquide CFB 2,8 j Liquide CFB 81m Kr γ ,8 s Gazeux CFB 67 Ga γ 93 / 187 / 300 3,26 j Liquide CFB 123 I γ 27 / ,2 h Liquide CFB 90 Y β 2284 / 546 2,7 j Liquide CFB 223 Ra α β 7386 / 6819 / / ,4 j Liquide CFB 153 Sm β 634 / 703 / 807 1,95 j Liquide CFB 89 Sr β ,7 j Liquide CFB I-2) Effluents liquides radioactifs Les effluents liquides radioactifs provenant du service de Médecine Nucléaire sont recueillis dans des cuves de décroissance situées au 2 ème sous-sol du CFB dans un local prévu à cet effet. Ces effluents sont produits lors du lavage des instruments non jetables, utilisés par les manipulateurs du service de Médecine Nucléaire (protège-seringues, plateaux, etc. ) et par les patients bénéficiant d un 4
5 examen scintigraphique. Lors d une contamination corporelle accidentelle d un personnel du service, les eaux de lavage de la personne sont également recueillies dans les cuves de décroissance. Le réseau actif est constitué de (cf. Plan Annexe 1): - 2 éviers situés dans le «labo chaud» - 1 évier situé dans chacune des 2 salles d injection - 1 évier situé en sortie du laboratoire de préparation des produits radioactifs - 2 siphons de sol recueillant les eaux de la douche de décontamination Les urines des patients sont recueillies dans des toilettes à double compartiments qui sont installées dans les 3 salles de gamma-caméra, dans le couloir du service (cf. Annexe 2) ainsi qu au niveau de la médecine de jour dans la chambre n 2. Ces urines sont ensuite collectées dans une cuve de décroissance spécialement installée en juin 2002 (cuve n 8). Une note d utilisation de ces toilettes est distribuée systématiquement aux patients après chaque injection (cf. annexe 3). Les manipulateurs ont pour consigne d expliquer oralement la procédure à suivre concernant cette utilisation. De plus, ils incitent les patients à ne pas utiliser d autres toilettes pendant leur séjour au Centre, sauf s ils sont hospitalisés. Les manipulateurs demandent également aux patients d uriner dans ces toilettes avant l acquisition des images scintigraphiques. Les cuves de décroissance reliées au réseau actif du service de Médecine Nucléaire, sont vidangées environ tous les 2 mois après une analyse radiobiologique par un laboratoire d analyse indépendant : Laboratoire départemental d analyse de la Manche à Saint-Lô (LDA 50). La cuve de décroissance des urines radioactives installée en 2002 est vidangée un lundi matin sur deux. Ainsi, le dernier apport de technétium 99, radioélément dont les rejets représentent environ 95% des radioéléments évacués et dont la période de décroissance est de 6 heures, bénéficie de la durée du week-end pour décroître et ne subsiste donc plus que sous forme de trace. En accord avec l arrêté du 23 juillet 2008 et l article L du code de la santé publique, une convention concernant le déversement d eaux usées, autres que domestiques, dans le réseau public d assainissement d eaux usées, a été signée entre la mairie de Caen, le centre François BACLESSE, la communauté d agglomération et Véolia (Cf. Annexe 4). Cet accord prévoit un contrôle trimestriel de radioactivité au niveau de l émissaire principal du CFB par un laboratoire indépendant (Agroqual). Des prélèvements et contrôles peuvent être effectués à tout moment par la mairie de Caen, afin de vérifier si les eaux résiduaires déversées dans le collecteur public sont conformes aux prescriptions. Les rapports d analyses sont transmis, pour le CFB, à la PCR (Cf. annexe 5). Radionucléide Concentration (Bq/L) Iode 131 < 100 Technétium 99m < 1000 Autre radionucléide < 100 Concentration maximale autorisée dans le réseau public d assainissement 5
6 I-3) Les déchets solides Le service de Médecine Nucléaire est producteur de 2 types de déchets : - Les déchets dits «ordinaires» (papier, etc. ) - Les déchets potentiellement contaminés par un produit radioactif (compresses, gants, cotons, aiguilles, etc. ) I-3-a) Les déchets dits «ordinaires» Ces déchets sont collectés chaque soir de la semaine dans l ensemble du service (zone contrôlée et zone non contrôlée) par le personnel de ménage et contrôlés avant d être évacués dans le circuit normal de collecte des déchets hospitaliers, à l aide du détecteur MIP10. Si un carton ou sac est contaminé, il est enregistré et déposé dans le local de stockage, sous la sorbonne de stockage I-3-b) Les déchets potentiellement contaminés par un radioélément Il existe 2 types de déchets contaminés : - Les déchets coupants ou piquants (lames, aiguilles, etc. ) - Les autres déchets (gants, compresses, cotons, etc. ) Ces déchets contaminés sont recueillis dans des poubelles plombées contenant soit un carton DASRI, soit un conteneur à aiguilles pour les objets piquants. Les boîtes ou cartons sont identifiées par des étiquettes représentant le trèfle radioactif, mentionnant «IODE 131» ou «INDIUM 111» si des déchets utilisés lors de l injection de ces éléments y ont été jetés. Lorsque les boîtes à aiguilles sont pleines, elles sont placées dans la sorbonne de stockage. Les cartons sont déposés par les manipulateurs sous la sorbonne en fin de journée. Les boîtes et cartons sont systématiquement identifiés sur un registre avant leur stockage. Les cartons sont transférés au local des déchets contaminés du 2 ème sous-sol (hormis ceux identifiés 99mTc), lors du passage de l agent préposé au ramassage des déchets (le lundi et le jeudi). Deux fois par semaine, la vérification de la contamination radioactive de l ensemble des cartons 99 Tc et des boîtes 99 Tc de plus de trois jours est effectuée par les manipulateurs du service de Médecine Nucléaire, à l aide du détecteur MIP10 (Cf. annexe 6). Chaque conteneur est évacué dans le circuit des déchets non actifs si la recherche de contamination se révèle inférieure au seuil réglementaire. Si la contamination est toujours positive après les trois jours de stockage, le transfert du conteneur est enregistré sur le registre de gestion (voir annexe 7) et il est descendu au local de stockage des déchets radioactifs situé au 2 ème sous-sol. Pour parer à tout défaut dans le processus d évacuation, des détecteurs de contamination (Balises fixes, modèle : 375-ARIES) ont été installés à l entrée du local à déchets principal du CFB, et dans le 6
7 couloir de la blanchisserie. Tous les conteneurs de cartons et de sacs collectés dans les services du CFB sont contrôlés, quel que soit le service d origine. La personne préposée au ramassage des déchets connaît la procédure à suivre en cas de découverte d un carton contaminé (cf. Annexe 8 et Annexe 9). Cette personne est classée «catégorie B» et formée à la radioprotection. I-3-c) Cas particulier ( 90 Yttrium, 89 Strontium, 223 Radium) Les déchets issus de ces examens font l objet d un tri particulier. En effet, l ensemble des déchets générés par leur préparation et injection est groupé dans un carton unique. Le radioélément contaminant est clairement identifié sur chaque carton, la date de mise en décroissance y est inscrite et le trèfle radioactif est apposé sur une de ses faces. La poubelle est mise en décroissance comme n importe quelle autre poubelle contaminée. Pour le 90 Y, les déchets sont stockés durant 48h dans la boîte en plexiglas d injection, afin d en diminuer au maximum la manipulation pendant la période de forte exposition. II Le service d hospitalisation (7 ème Nord) Ce service accueille les patients provenant du service de Médecine Nucléaire bénéficiant d un traitement radio-métabolique. L administration d Iode 131 à ces patients (Activité supérieure à 370 MBq), nécessite leur hospitalisation dans une unité de soins spécialisée afin de protéger l entourage du patient et de recueillir les déchets qu il génère du fait de sa contamination. Ces personnes sont installées dans des chambres radio-protégées (cf. photos et plan annexe 10). Chambre d hospitalisation 7 ème étage Nord Les personnes bénéficiant de ce type de traitement sont productrices de déchets radioactifs. Une partie de l activité injectée, est éliminée par voie naturelle dans les premiers jours suivant l injection. Il est donc nécessaire de recueillir les urines de ces patients dans des cuves de décroissance. Les déchets de soins sont également recueillis, stockés et contrôlés. 7
8 II-1 Les effluents liquides radioactifs L activité évacuée naturellement par les patients injectés se retrouve majoritairement dans les urines et la transpiration. Il a été installé dans chacune des chambres d hospitalisation, des toilettes à compartiments séparés (cf. annexe 11 et photos). Schéma de fonctionnement d un toilette à double compartiments Toilette à double compartiments Avec ce système, les selles (peu radioactives) sont évacuées dans les égouts. En revanche, les urines sont collectées dans trois cuves de décroissance situées au 2 ème sous-sol du bâtiment (cf. plan annexe 12). II-2 Les déchets solides Les déchets de soins générés par ces traitements en hospitalisation, (gants, compresses, matériel de perfusion etc ) sont collectés dans des cartons à déchets sur lesquels sont apposés un trèfle radioactif. Ces cartons sont ensuite regroupés dans le local déchets, fermé à clef, situé dans la ZC du service. Ils sont descendus, tous les mardis, par la personne préposée au ramassage des déchets, dans le local de stockage des déchets radioactifs situé au 2 ème sous-sol du Centre à proximité du local des cuves de décroissance (cf. plan annexe 12). Les déchets produits par le patient lui-même, notamment les couverts à usage unique, les gobelets en plastique, les bouteilles vides, les serviettes en papier ou les mouchoirs, sont également regroupés dans ces cartons et descendus au local de stockage. 8
9 Les déchets, autres que les déchets provenant des chambres d hospitalisation, sont déposés en sortie de service, dans un local prévu à cet effet. Celui-ci regroupe aussi bien les déchets de l aile sud que ceux provenant de l aile nord, estimés non radioactifs. Un détecteur de type Radeye APVL est installé en poste fixe à l intérieur de ce local, afin de s assurer qu aucun déchet radioactif ne se retrouve dans le circuit normal. En cas de déclenchement d une alarme par ce détecteur, une procédure est mise à la disposition du personnel de façon à prendre les mesures adéquates en fonction des résultats affichés sur le détecteur de radioactivité (cf Annexe 13). Détecteur Radeye III. Le laboratoire de post-marquage Toxemac Actuellement, il n existe au CFB, qu un seul laboratoire manipulant des radionucléides. Il s agit du laboratoire de post-marquage Toxemac. Le laboratoire d analyse situé au 3 ème étage du CFB, n utilise plus de radioéléments depuis mars III.1. Les produits radioactifs utilisés Ce laboratoire utilise du Phosphore 32, exclusivement en source non-scellée. Caractéristiques du radioélément : Radioélément Emission Energie Période Elimination 32 P β 1710 kev 14,3 jours Décroissance CFB III.2. Les déchets issus du laboratoire Les déchets radioactifs liés à l activité du laboratoire de recherche en cancérologie expérimentale sont stockés dans un local spécifique. Ce local est situé dans une pièce adjacente au laboratoire. Il est dédié uniquement au stockage des déchets radioactifs. (Cf. annexe 14) 9
10 III.2.a) Les déchets solides Les déchets radioactifs sont stockés, le temps de la décroissance radioactive, dans des cartons, identifiés radioactif, qui sont eux mêmes déposés dans des conteneurs en plexiglas. Cette protection est suffisante pour le rayonnement β - émis par les radioéléments utilisés. Une fois que le temps de décroissance est supérieur à 10 périodes, les cartons sont considérés comme des déchets hospitaliers normaux. Ils sont évacués, après qu un dernier contrôle au MCB1 soit effectué. Un registre recense l ensemble des mouvements des déchets générés (date d ouverture du carton, contrôle avant incinération, date de mise aux déchets, etc. ). III.2.b) Les déchets liquides Les déchets liquides produits par le laboratoire de recherche sont stockés dans un bidon protégé par un conteneur en plexiglas. Celui-ci est lui-même déposé dans un bac de rétention afin d éviter toute dispersion de produit. Une fois que le temps de décroissance est supérieur à 10 périodes, les liquides sont évacués dans le réseau d égouts de la ville de Caen. Tous les rejets provenant des manipulations des laboratoires sont consignés et suivis sur des registres. 10
11 IV Fonctionnement du réseau de collecte des effluents et déchets radioactifs. IV.1 Le réseau de collecte des effluents liquides IV.1.a) Installation Le local des cuves de décroissance comporte : - 3 cuves collectant les urines du 7 ème étage (n ) - 2 cuves collectant les eaux de lavage provenant des éviers du service de Médecine Nucléaire (n 4 et 5) - 2 cuves de secours en cas de saturation des 1, 2, 3, 4 et 5 (n 6 et 7) - 1 cuve collectant les urines radioactives des patients de Médecine Nucléaire (n 8) 11
12 Ce local est situé au 2 ème sous-sol du Centre François Baclesse (voir plan annexe n 12). Il est constitué : - d un système de ventilation dont le renouvellement horaire est de 6 fois le volume de la pièce. - d un paravent constitué de 4 mm de plomb protégeant les travailleurs intervenant sur le site. - d un ensemble de système de commandes à distance servant à manœuvrer les vidanges et les mises en service des cuves de rétention. Ces commandes se trouvent ainsi derrière le paravent plombé. - d un bac de rétention ayant une capacité de rétention volumique équivalent à 1/3 du volume total des 8 cuves. Il est recouvert de plusieurs couches de peinture imperméable. Ce bac de rétention est équipé d un puisard collecteur muni d un système de détection de liquide déclenchant une alarme en cas de débordement. Le bon fonctionnement de cette alarme est testé périodiquement. - d une armoire électrique contenant les systèmes d alarme et les indicateurs de niveau de remplissage des cuves (3 niveaux sont indiqués : vide, pleine, en débordement). Ces alarmes sont reportées sur un boîtier dans le service de Médecine Nucléaire et au PC sécurité. 12
13 - d un système de 2 pompes qui permet la vidange des cuves. La contenance de chacune des cuves est la suivante : N des cuves Contenance Origine des effluents 1 et litres 7 ème étage litres 7 ème étage 4 et litres Méd. Nucléaire (RDC) 6 et litres 7 ème étage (secours) litres Toilettes Méd. Nucléaire (RDC) et Hôpital de jour 13
14 IV.1.b) Fonctionnement des cuves Les cuves de rétention ont pour finalité de retenir les effluents liquides le temps de la décroissance radioactive du ou des radioéléments présents dans ces effluents. Lorsqu une cuve est en remplissage, la deuxième (ou troisième) est vide ou mise en décroissance. Lorsque le temps de décroissance est atteint (environ 10 fois la période radioactive du radioélément ayant la période la plus longue) une mesure de l activité est effectuée. Pour ce faire, un prélèvement de 0,5 litre de liquide est effectué et envoyé au laboratoire départemental d analyses (LDA 50) de Saint Lô. Le prélèvement est effectué à l aide d une petite pompe manuelle, reliée à la cuve et qui est située sur la face avant du paravent plombé. Le mode de fonctionnement des cuves de décroissance est décrit dans une procédure (Cf. annexe 15) Un exemple de rapport d analyse est présenté en annexe n 16. Selon l arrêté du 23 juillet 2008 : «Le contenu de cuves ou de conteneurs d entreposage d effluents liquides contaminés ne peut être rejeté dans le réseau d assainissement qu après s être assuré que l activité volumique est inférieure à une limite de 10 Bq par litre. Cette limite est fixée à 100 Bq par litre pour les effluents liquides issus des chambres de patients traités à l iode 131.» La manipulation des cuves (vidange ou mise en service) est consignée dans des registres tenus par le cadre du service de Médecine Nucléaire et sur des fiches techniques situées sur la porte du local de stockage des effluents radioactifs (Annexe 17). 14
15 IV.2 Réseau de collecte des déchets radioactifs solides IV.2.a) Organisation de la collecte Les déchets solides provenant de l ensemble de l établissement hospitalier, sont déposés dans des chariots spécifiques répondant à des normes relatives aux déchets de soins contaminés. Ces chariots sont remplis durant 24 heures et descendus tous les jours par un agent des services techniques, dans un local situé dans la cour intérieure du Centre François Baclesse. A l entrée de ce local est installée une balise fixe de détection de radioactivité à double tête. 15
16 Dès qu un chariot contaminé passe la porte, celui-ci est automatiquement détecté et une alarme sonore retentit. Le seuil d alarme est réglé à 1,5 fois le bruit de fond, soit 200 c/s pour ce détecteur. Si cette alarme se déclenche au passage d un chariot, celui-ci est mis à l écart dans une pièce annexe fermant à clef. Ceci correspond à une première mise en décroissance du radioélément contaminant. Le lendemain, ce chariot subira un deuxième contrôle de radioactivité sous le détecteur. Si le niveau d activité est inférieur au seuil, le stockage se poursuivra normalement. Dans le cas contraire, l agent technique avertit le service de Radiophysique de la présence d un colis contaminé dans le chariot. Une recherche de la nature de la contamination sera entreprise, par étude spectrométrique à l aide des gamma-caméra de médecine nucléaire. Selon le radioélément, le sac ou le colis sera isolé. Il y aura ainsi une mise en décroissance dans le local de stockage des déchets radioactifs ou dans le stockeur de Curiethérapie (pour une source d iridium). Lors de son entrée dans le local de stockage des déchets radioactifs, le colis est enregistré sur le registre de gestion des déchets radioactifs (Annexe 18). Un autre détecteur de radioactivité (identique au précédent) est installé dans le couloir de la blanchisserie de façon à vérifier la non contamination par une source de radioactivité de n importe quel déchet ou linge provenant des étages du Centre. Son seuil d alarme est fixé à 250 c/s. Ces différentes installations permettent de s assurer que tous les déchets du Centre Baclesse sont contrôlés lors de leur passage près de ces bornes. IV.2.b) Local de stockage des déchets radioactifs Le local de stockage des déchets radioactifs est situé au 2 ème Baclesse à proximité du local des cuves de décroissance (cf. annexe 12). sous-sol du Centre François Il est constitué de : - un bac de rétention peint muni d un siphon de sol qui le relie au bac de rétention du local des cuves. - d un détecteur à incendie. - de 2 étagères de stockage des déchets. - d une peinture lisse décontaminable sur le sol et les murs. 16
17 - d une table pour le registre. - d un stockeur de sources fermé à clef. - d un système de ventilation relié à celui des cuves de décroissance. L entrée du local est strictement réservée au personnel habilité. Il existe 4 clefs qui sont distribuées de cette façon : - une clé pour le service de Radiophysique - une clé pour le service de Médecine Nucléaire - une clé chez le Responsable de Services Techniques - une clé pour le service de Sécurité. IV.2.c) Fonctionnement du local 3 types de déchets provenant de 3 services sont entreposés dans ce local : - Déchets provenant du local de déchets de la cour intérieure dont les colis peuvent provenir de tout le Centre - Déchets du 7 ème étage. - Déchets du service de Médecine Nucléaire. Il existe deux registres de gestion des déchets radioactifs, l un dédié aux déchets de longue période ( > 4 jours, 131I, 89Sr, 192Ir ), l autre à ceux de période moyenne ( < 4 jours, 90Y, 111In, ). Ces registres sont situés à l entrée du local de stockage. Ils permettent de connaître exactement les déchets qui entrent dans le local de stockage et d avoir une traçabilité précise d un carton contaminé. Une fois que les déchets solides sont descendus au local et répertoriés sur le registre, ils resteront dans cette pièce le temps nécessaire à la décroissance totale du radioélément contaminant, c'est-à-dire 10 fois la demi-vie radioactive. Ce temps de stockage varie de 1 mois pour l 111 In et l 90 Y à 80 jours pour l 131 I. Le contrôle de sortie est effectué par l unité de Radiophysique. L appareil utilisé est le MIP 21 (Eurisys Mesures). Le seuil d autorisation de sortie est fixé à 2 fois le bruit de fond. 2 cas de figure sont envisageables : - Le contrôle est négatif, la mesure M < 2 x BDF : l évacuation du carton est autorisée après avoir effacé le symbole radioactif sur le colis, et est remis dans le circuit des déchets hospitaliers. - Le contrôle est positif, M > 2 x BDF : le carton est remis dans le circuit des déchets radioactifs. Cependant, un spectre d énergie pourra être effectué en médecine nucléaire pour connaître la nature du radionucléide contaminant. 17
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