Communications numériques
|
|
- Christian Roux
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Communications numériques Simulation d une chaine de transmission suivant l avis V.29 de L UIT-T Auteurs: KASTTET Ahmed, ROUAK Sidi Mohammed, SALIM Eliass 1
2 TABLE DES MATIÈRES I. Introduction... 3 II. La chaîne de transmission... 3 II.1. Présentation de l avis V.29 de l UIT-T... 3 II.2. L émetteur... 4 II.2.a. Embrouilleur... 4 II.2.b. Conversion bits symboles... 5 II.2.c. Filtre de mise en forme... 5 II.2.d. Mapping et transposition en fréquence... 7 II.3. Le canal de transmission... 7 II.4. Le récepteur... 8 II.4.a. Démodulation... 8 II.4.b. Détection... 9 II.4.c. Conversion symboles Bits II.4.d. Désembrouillage... 9 III. Performances de la chaine de transmission... 9 III.1. Paramètres de la simulation... 9 III.2. Performances théoriques III.3. Simulation : performances de la chaîne de transmission IV. Conclusion V. Annexe : Scripts MATLAB
3 I. INTRODUCTION Le projet consiste à simuler une chaîne de transmission constituée de deux modems décrits dans l'avis V.29 de l UIT-T (l un pour l émission et l autre pour la réception) et d étudier les performances de cette chaîne en les comparants aux performances théoriques. L avis V.29 de l UIT-T est un standard de transmission numérique sur ligne téléphonique analogique.cette simulation s effectue avec le logiciel MATLAB. Le processus de transmission étant l objectif de ce projet, les protocoles d établissement de communication et de synchronisation ne sont pas pris en compte. Une chaîne de transmission numérique a pour mission de transporter des données en minimisant le nombre d erreurs et de pertes. D autres paramètres sont tout aussi importants comme par exemple la puissance d émission nécessaire ou la bande-passante. C est pourquoi l étude des performances d une chaîne de transmission est une étape essentielle de développement d un système de télécommunications car l écart par rapport aux performances théoriques peut être grand. Cepant, la réalisation de prototype étant coûteuse et longue, il est apparu évident qu une simulation sur ordinateur d une chaîne complète de transmission permettrait de réduire les coûts et de donner une bonne estimation des résultats réels. II. LA CHAINE DE TRANSMISSION II.1. PRESENTATION DE L AVIS V.29 DE L UIT-T L avis V.29 décrit la chaîne de transmission d un modem à un débit de 9600 bits/s. Elle est basée sur une modulation de type PAM-PSK à 16 symboles et à une rapidité de modulation de 2400 bauds. De plus, un embrouilleur et un désembrouilleur doivent être implémentés respectivement à l émission et à la réception du signal. Notre chaîne comporte un canal AWGN passe-bande de fréquences de coupure 300 Hz et 3400 Hz. Pour la réception, un démodulateur à base de filtre adapté a été implémenté ainsi qu un détecteur ML à distance minimal afin d estimer les symboles émis. 3
4 II.2. L EMETTEUR L émetteur se compose de plusieurs blocs indépants comme on peut le voir sur la Figure1. Le rôle et le fonctionnement de chaque bloc est détaillé dans les paragraphes suivants. Flux binaire Embrouilleur Conversion Bits Symboles Filtre de mise en forme Mapping: symbole m -> signal Sm(t) avec transposition en fréquence Figure 1:Différents blocs de l émetteur II.2.A. EMBROUILLEUR L embrouilleur permet de diminuer l impact des erreurs en rafale. Ceci permet d éviter l obtention de longues suites de 1 ou de 0 qui, après démodulation, empêcheront le récepteur de reconstituer le rythme binaire et donc les informations de façon fiable. De plus l embrouillage r les informations transmises difficilement piratables. L embrouilleur divise le polynôme message par le polynôme générateur 1+X -18 +X -23. Cette division se manifeste en base deux par un décalage des bits d information à l aide de 23 registres à décalage et d'un OU exclusif. L entrée des registres à décalage est initialisée à zéro au départ pour amorcer le système. Les coefficients du quotient de cette division pris dans l'ordre des puissances décroissantes forment le train de bits à transmettre. Ce processus peut se résumer par l équation suivante : Ds=Di DsX -18 DsX -23 Avec Ds les données embrouillées et Di les données à l entrée de l embrouilleur. Figure 2 Schéma du registre à décalage de l embrouilleur 4
5 II.2.B. CONVERSION BITS SYMBOLES D après l avis V.29 de L UIT-T le flux binaire à transmettre est, après embrouillage, séparé en groupes de quatre bits de données consécutifs (quadribits). Le premier bit dans le temps (Q1) de chaque quadribit sert à déterminer l'amplitude de l'élément de signal à transmettre. Le deuxième (Q2), le troisième (Q3) et le quatrième (Q4) servent à coder un saut de phase par rapport à l'élément de signal précédent. L'amplitude relative de l'élément de signal transmis est déterminée par le premier bit (Q1) du quadribit et la phase absolue de l'élément de signal Figure 3 : Constellation des symboles émis II.2.C. FILTRE DE MISE EN FORME Il est difficilement envisageable d envoyer, à longue distance, un signal numérique sous la forme d une simple suite d impulsions rectangulaires. D où l intérêt d utiliser un filtre de mise en forme adapté aux données du problème pour rre la transmission plus robuste. Dans notre cas, nous sommes confrontés à un phénomène de recouvrement de spectre puisque la fréquence porteuse Fc du signal est de 1700 Hz alors que le débit symboles est de 2400 Bauds. Donc Fc est inférieur à Ds. Nous avons ainsi un recouvrement de spectre du signal dans la zone [-700 Hz, 700 Hz]. 5
6 Figure 4: Recouvrement de spectre du signal De plus, à la sortie du canal, les symboles risquent de s'étaler sur un intervalle supérieur à la période symbole ce qui engre une interférence entre les symboles: ISI. Notons que pour éviter les ISI il faut que la cascade des filtres de la chaine de transmission (émission-réception) respecte le critère de Nyquist. Compte tenu de toutes ces contraintes la mise en forme du signal a été effectuée dans ce projet par un filtre en racine de cosinus surélevé. Le filtre de mise en forme en racine de cosinus surélevé doit pouvoir permettre d émettre dans la bande passante du canal [ ] Hz. Or, la bande-passante de ce type de filtre est définie par : De plus T=1/2400s, et on désire centrer notre filtre en Fc=1700 Hz Pour pouvoir se situer dans la bande-passante, il faut calibrer le facteur de retombé du filtre α sur la borne du canal la plus proche de Fc. α doit donc vérifier l équation suivante : D où le coefficient de retombée du filtre α=0,16, 6
7 II.2.D. MAPPING ET TRANSPOSITION EN FREQUENCE Il s agit de la transformation du signal passe bas à transmettre en un signal adapté au support de transmission, c est à dire à la bande passante du canal. Ici, la modulation du signal permet de passer d'un signal en bande de base (centré en f=0 Hz) à un signal en bande transposée autour de la fréquence porteuse du signal Fc=1700Hz qui appartient à la bande passante du canal. La modulation prenant la forme d une 16 PAM-PSK, elle est à la fois une modulation de phase et d amplitude et se fait donc sur deux dimensions. Chaque symbole Sm peut donc s écrire sous la forme Sm=Am exp(jθm). Pour produire le signal Sm(t) correspondant à chaque symbole Sm, il faut appliquer un filtre de mise en forme g(t) et multiplier par la porteuse Fc(t) la partie réelle et imaginaire de chaque symbole. Ce processus peut être visualisé sur la figure suivante : cos(2πfct) Re g(t) Bits embrouillés Am exp(jθm) Sm(t) Im g(t) -sin(2πfct) Figure 5: Modulation à l émission 7
8 II.3. LE CANAL DE TRANSMISSION Dans ce canal, le signal est soumis à diverses perturbations: venant de l'extérieur ou de l'imperfection du canal ou bien même des appareils électriques par exemple. Toutes ses perturbations seront modélisées par un Bruit Blanc Gaussien Additif (AWGN), que nous rajouterons au signal lors de son passage à travers le canal. Emetteur Canal Récepteur AWGN Figure 6: Modélisation de la chaine de transmission bloc suivant : II.4. LE RECEPTEUR Le récepteur se compose de différents blocs indépants comme on peut le voir sur le schéma Signal reçu Démodulateur à base de filtre adapté Détecteur Conversion symbols->bits Désembrouilleur Figure 7 : Schéma bloc du récepteur II.4.A. DEMODULATION L'étape de la démodulation consiste à récupérer l'information utile en supprimant la porteuse. Ceci revient à passer du signal passe bande à un signal passe-bas. Nous avons considéré ici une démodulation fondée sur un filtre adapté à base de cosinus surélevé en prenant en considération le retard introduit par le filtre d'émission, de réception et par le canal. La cascade des filtres de réception et d'émission vérifie le critère de Nyquist ce qui assurera l élimination des ISI. Filtre adapté y(t) KT+τ Figure 8: Démodulation à base de filtre adapté unique 8
9 II.4.B. DETECTION La détection a pour but de minimiser le probabilité d erreur (maximiser le probabilité de prre la bonne décision c'est-à-dire choisir le bon symbole) c est le critère du maximum à posteriori (MAP). Comme les bits sont équiprobables, les symboles le sont aussi. Le détecteur MAP est ainsi équivalent à un estimateur ML( Maximum Likelihood). En effet il suffit de comparer les symboles reçues avec les symboles de la constellation d émission en termes de distance euclidienne et de sélectionner le symbole qui minimise cette distance.,., II.4.C. CONVERSION SYMBOLES BITS. Pant cette étape l opération inverse de celle effectuée en II.2.b est réalisée en respectant l algorithme recommandé par l avis V.29 de L IUT-T. II.4.D. DESEMBROUILLAGE Le désembrouilleur réalise l opération inverse de celle réalisée par l embrouilleur. Il multiplie le polynôme message reçu par le polynôme générateur. Les coefficients du polynôme obtenu, pris dans l'ordre des puissances décroissantes, forment la succession des bits de données délivrés en sortie. III. PERFORMANCES DE LA CHAINE DE TRANSMISSION III.1. PARAMETRES DE LA SIMULATION Certains paramètres de la simulation sont imposés par l avis V.29 de L UIT-T : Débit binaire : Db=9600bits/s Fréquence porteuse Fc=1700Hz Bande passante du canal B=[ ] Hz. Indice de modulation M=16. D autres paramètres doivent être choisis avec précaution : Fréquence d échantillonnage : Fe=9600Hz La valeur de la fréquence d échantillonnage doit respecter deux contraintes : Le théorème d échantillonnage de Shannon soit Fe le canal impose la valeur de Fmax=3400Hz. Fe doit être un multiple du débit symbole / =2400 Bauds 9
10 Débit symbole normalisé D=Ds/Fe Fréquence porteuse normalisée fc=fc/fe Période d émission des symboles T=1/D Le nombre de bits émis : Nb=6400. La constellation comportant 16 symboles, cette valeur permet raisonnablement d émettre tous les symboles en nombre à peu près équivalent. Paramètres relatifs au BER : Le BER a été calculé à partir de différentes valeurs du rapport variant dans l intervalle -1 à 17 db car au-delà de cette plage, la probabilité d erreur est trop faible pour obtenir un nombre suffisant d erreurs dans un temps raisonnable afin de garder la même précision. En dessous de cette plage, le bruit est tellement fort que la probabilité d erreur t vers 0.5, ce qui n apporte aucune information sur la performance (une séquence de bits aléatoire donnerait les mêmes résultats). Nombre d erreur à trouver pour chaque valeur du rapport : Nerror=100, afin d obtenir une précision de 10 %. Nombre limite de blocs à émettre : N_blocks_limit=50. Ceci permet de quitter le programme afin d éviter des temps de calculs trop long. Cela aboutit à une précision moindre du BER, surtout lorsque le rapport devient très important et le nombre d erreurs faibles. Ces valeurs permettent d obtenir des résultats cohérents sans avoir des temps de calcul trop long (1 à 2min). III.2. PERFORMANCES THEORIQUES La modulation PAM-PSK et la modulation QAM sont similaires. Se sont des modulations d amplitudes en quadrature. Elles différent seulement dans la forme des constellations ( Cercles concentriques pour la PAM-PSK, rectangulaire pour la QAM). Ne connaissant pas la formule théorique de la probabilité d erreur par symbole d une modulation PAM-PSK, on va utiliser celle d une QAM ainsi : 2 M =16 indice de la modulation E moy =1/2 *E g *Var_constel : Energie moyenne reçue par symbole Comme le canal n introduit pas de dissipation d énergie, l énergie moyenne reçue par symbole est identique à l énergie moyenne émise par symbole. Var_constel correspond à la variance des symboles à l émission dans la constellation. N 0 /2 est la PSD du bruit AWGN. 10
11 Pour pouvoir faire une comparaison équitable des performances de ces deux constellations, Le paramètre E moy de la formule de la probabilité d erreur d une modulation QAM, est calculé à partir de notre constellation PAM-PSK. Ainsi les deux constellations comparées possèdent le même puissance a l émission. A l aide de la formule avec On peut trouver la probabilité d erreur par bit de la modulation M-QAM. La probabilité d erreur par symbole de la modulation M-PAM-PSK sera estimée à l aide du SER é é à é Ainsi on peut retrouver le BER à l aide de la formule : avec Le BER étant un bon estimateur de la probabilité d erreur par bit. Notons III.3. SIMULATION : PERFORMANCES DE LA CHAINE DE TRANSMISSION que les constellations PAM-PSK sont meilleures que les QAM car à puissance émise constante, distance minimum entre symboles plus grande dans las PAM-PSK donc transmission plus robuste. La courbe expérimentale correspond globalement à l allure du résultat théorique. On remarque cepant un écart plus important entre ces deux courbes pour les valeurs élevées du rapport effet, pour ces valeurs où le bruit est faible, la probabilité d erreur théorique atteint 10-6, ce qui correspond à 1 bit faux pour 1 million de bits émis. Le nombre d erreurs trouvées par la simulation devient faible, donc la précision diminue. Pour avoir la précision souhaitée pour ces valeurs, il faudrait fortement augmenter le nombre limite de blocs envoyés, ce qui demanderait des temps de calculs beaucoup trop longs. (Cf. figure.9). En 11
12 BER Simulated BER Theoretical BER Theoreticals BER and standard deviation E b /N 0 (db) Figure 9 : Comparaison des performances des constellations 16-QAM VS 16-PAM-PSK en termes de BER IV. CONCLUSION Ce projet a été l occasion de modéliser une chaîne de transmission de bout en bout. Il s est appuyé sur les manipulations réalisées en travaux pratiques aux quelles se sont rajoutées l implémentation de fonction d un standard de transmission numérique : l avis V.29 de l UIT-T. Les performances de cette chaîne ont été simulées et comparées aux performances théoriques. Le résultat obtenu semble satisfaisant, compte-tenu des limitations de la simulation. Il serait intéressant de comparer ces résultats simulés avec les performances d une chaîne de transmission réelle. En effet, nous avons considéré que le canal était AWGN, ce qui ne correspond pas à un canal réel. 12
13 V. ANNEXE : SCRIPT MATLAB % TS210 Project: Télécommunications % Autors: KASTTET Ahmed-ROUAK Sidi Mohamed-SALIM Eliass % Avis: V.29 % 16PAM-PSK transmission chain without ISI % The program computes the performances of a transmission chain % using a 16PAM-PSK modulation through a band limited channel. % The BER is estimated with a 10% precision. % That's the reason why the simulations, for each Eb/N0 value, % run until 100 errors have occured. clear all % radding variables close all % Closing figures % Parametres Nbits=1000; % Number of bits Ns=round(Nbits/4); % Number of symbols M=16; % Modulation index N=log2(M); % Number of bits per symbol Debit_binaire=9600; % binary rate impose par l'avis V.29 Debit_symbols=Debit_binaire/4; % symbol rate=2400 symbol/s fech=9600; % sampling frequency fc=1700/fech; % Normalised carrier frequency D=Debit_symbols/fech; % Normalised symbol rate T=1/D; % Normalised Symbol period Npts=Ns*T; % Total number of samples carrier_signal=exp(j*2*pi*fc*[0:npts-1]); % Carrier signal delay_gt=6; % Propagation group delay of the SRRCF roll_off=0.16; % Roll-off factor of the SRRCF gt=rcosfir(roll_off,delay_gt,t,1,'sqrt/fir');% IR of the SRRCF gt_delay=length(gt)/2; % Propagation group delay of the SRRCF Eg=sum(gt.^2); % Energy of the SRRCF gr=fliplr(gt); % IR of the matched filter gr_delay=length(gr)/2; % Propagation group delay of the matched filter EbN0dB=[-1:17]; % Eb/N0 ratios (in db) Nerror=100; % Maximum number of errors n_blocks_limit=20; % Maximum number of emitted blocks 13
14 % Simulation xx=waitbar(0,'please wait'); % Initiating the wait bar for n=1:length(ebn0db) % For each value of Eb/N0 ratio Nb_errors(n)=0; % Initializing the number of errors waitbar(n/length(ebn0db),xx) % Updating the wait bar n_blocks(n)=0; % Initializing the number of emitted blocks while (Nb_errors(n)<Nerror)&&(n_blocks(n)<n_blocks_limit) % The simulation run until one of the two % conditions is met % Scrambling emitted_bits=randint(1,nbits); % bits Generation scrambling_polynom=zeros(1,23); % Scrambling polynom is initialised to 0 for ii=1:nbits % For each bit to emitted scrambled_bit(ii)=xor( emitted_bits(ii),... % Scrambling bits xor(scrambling_polynom(18),scrambling_polynom(23))); scrambling_polynom=[ scrambled_bit(ii) scrambling_polynom(1:22)]; % Readjustment of scrambling polynom - % Shaping of bits - scrambled_bit=reshape(scrambled_bit,ns,4); phase_bit=scrambled_bit(:,2:4); % Each line has 4 bits number_symbol=bi2de(fliplr(phase_bit));% Getting last three bits of each line matrice_phase=[0 45;1 0;2 90;3 135;4 270;5 225;6 315;7 180]; % transforming the three phase bit into a decimal number(symbol number) % This matrice links symbol number to the corresponding decalage of phase for p=1:ns % For each symbol for k=1:8 % For each line of phase matrice if(number_symbol(p)== matrice_phase(k,1)); % When finding current number symbol in phase matrice decalage_phase(p)=matrice_phase(k,2);% Getting corresponding decalage phase phase(1)=decalage_phase(1); % Initialising phase(supposition: The first emitted symbol has the correct phase without decalage) for i=2:ns % For each emitted symbol phase(i)=decalage_phase(i)+phase(i-1);% Getting absolute emitted phase phase=mod(phase,360); % Modulating phase to 2*Pi q1=scrambled_bit(:,1); % Getting bit amplitude for m=1:ns % For each symbol if q1(m)==0&&mod(phase(m),90)==0 % Cases are given by V29 to get real amplitude 14
15 amplitude(m)=3; elseif q1(m)==1&&mod(phase(m),90)==0 amplitude(m)=5; elseif q1(m)==0&&mod(phase(m),90)~=0 amplitude(m)=sqrt(2); elseif q1(m)==1&&mod(phase(m),90)~=0 amplitude(m)=3*sqrt(2); phase=phase/360*2*pi; % Transforming phase from degree to radian symbols=amplitude.*exp(j*phase); % Expression of constellation symbols emitted_symbols=[symbols;zeros(3,ns)]; % Mapping symbols emitted_symbols=reshape(emitted_symbols,1,nbits); % Shaping symbols variance_constellation=mean(abs(symbols.^2)); Expression of the variance of symbols Emoy=1/2*Eg*variance_constellation ;% Mean energy per symbol Emoy=1/2 *Eg*Am^2 Eb=Emoy/N; % Mean energy per bit EbN0=10.^(EbN0dB/10); % Eb/N0 ratios (linear scale) N0=Eb./EbN0; % PSD of the AWGN SER_theo=1-(1-(1-(1/sqrt(M)))*erfc(sqrt(3*Emoy./(N0*2*(M-1))))).^2; Theoretical SER BER_theo=(2^(N-1))*SER_theo/((2^N)-1); % Theoretical BER % % Transmission % signal=real(filter(gt,1,emitted_symbols).*carrier_signal); % Generating a bandpass signal r=signal+sqrt(n0(n)/2)*randn(1,npts); % Adding an AWGN in the chain % % Unique Matched Filter % rsignal=r*sqrt(2/eg).*conj(carrier_signal); % Multiplying with the orthonormal factor rsig=filter(gr,1,rsignal)*sqrt(2/eg); % Filtering rumf=rsig(gr_delay+gt_delay:t:npts); % symbols reception % % Detection % for p=1:length(rumf) % For each received symbol for k=1:length(symbols) % For each emitted symbol distance(p,k)=abs(rumf(p)-symbols(k)); % Computing distances betwen each received symbol and all emitted symbols [value,minimal_index]=min(distance,[],2); % Returning index of symbols giving the minimal distance estimated_symbols=symbols(minimal_index); % Getting more probable emitted symbols 15
16 % % Demapping % estimated_absolute_phase=angle(estimated_symbols)/pi*180; % Getting absolute phase of received symbols % The function angle return a value between -pi and pi for p=1:length(estimated_symbols) % For each estimated symbol if estimated_absolute_phase(p)< 0 % If absolute phase is negative estimated_absolute_phase(p)=estimated_absolute_phase(p)+360; % Adding 2*Pi estimated_amplitude=abs(estimated_symbols); % Getting amplitude estimated_decalage_phase(1)=estimated_absolute_phase(1); % initialising phase decalage to absolute phase of the first received symbool estimated_decalage_phase(2:length(estimated_symbols))=... % Back to decalage phase estimated_absolute_phase(2:length(estimated_symbols))-... estimated_absolute_phase(1:length(estimated_symbols)-1); for p=1:length(estimated_symbols) % For each estimated symbol if estimated_decalage_phase(p)< 0 % If decalage phase is negative estimated_decalage_phase(p)=estimated_decalage_phase(p)+360; % Adding 2*Pi for p=1:length(estimated_symbols) % For each estimated symbol for k=1:8 % For each line of phase matrice if estimated_decalage_phase(p)==matrice_phase(k,2) % When finding corresponding decalage phase in matrice estimated_number_symbol(p)= matrice_phase(k,1); % Getting number of corresponding symbol estimated_bits_de_phase=fliplr(de2bi(estimated_number_symbol)); % Transforming number symbol into a binary number for m=1:length(estimated_symbols) % For each estimated symbol if estimated_amplitude(m)==3 && mod(estimated_absolute_phase(m),90)==0 % Getting bit of amplitude estimated_q1(m)=0; elseif estimated_amplitude(m)==5 && mod(estimated_absolute_phase(m),90)==0 estimated_q1(m)=1; elseif estimated_amplitude(m)==sqrt(2)&& mod(estimated_absolute_phase(m),90)~=0 estimated_q1(m)=0; elseif estimated_amplitude(m)==3*sqrt(2) && mod(estimated_absolute_phase(m),90)~=0 estimated_q1(m)=1; estimated_bits=[estimated_q1' estimated_bits_de_phase]; % Constructing quadribits received estimated_bits=estimated_bits'; % Shaping received bits estimated_bits=estimated_bits(:); 16
17 % Unscrambling unscrambling_polynom=zeros(1,23);% Unscrambling polynom is initialised to 0 for jj=1:length(estimated_bits) % For each received bit unscrambled_bits(jj)=xor(estimated_bits(jj),... %Unscrambling received bits xor(unscrambling_polynom(18),unscrambling_polynom(23))); reg_desembr=[unscrambled_bits(jj) unscrambling_polynom(1:22)]; % readjustment of unscrambling polynom % SER and BER computation Nb_errors(n)=Nb_errors(n)+sum(estimated_symbols~=symbols(1:length(estimated _symbols))); % Accumulating the number of errors n_blocks(n)=n_blocks(n)+1; % Updating the number of emitted blocks SER(n)=Nb_errors(n)/(n_blocks(n)*length(estimated_symbols)); % SER Computation close(xx) % Closing the wait bar BER=(2^(N-1))*SER/((2^N)-1); % BER Computation % Figures figure semilogy(ebn0db,ber,'*') hold on semilogy(ebn0db,ber_theo,'ro') hold on semilogy(ebn0db,ber_theo+sqrt(ber_theo.*(1- BER_theo)./(n_blocks*length(estimated_symbols))),'g--') leg('simulated BER','Theoretical BER','Theoreticals BER and standard deviation') title('ber') xlabel('e_b/n_0(db)') hold on semilogy(ebn0db,ber_theo-sqrt(ber_theo.*(1- BER_theo)./(n_blocks*length(estimated_symbols))),'g--') %
Université de La Rochelle. Réseaux TD n 6
Réseaux TD n 6 Rappels : Théorème de Nyquist (ligne non bruitée) : Dmax = 2H log 2 V Théorème de Shannon (ligne bruitée) : C = H log 2 (1+ S/B) Relation entre débit binaire et rapidité de modulation :
Plus en détailTP: Représentation des signaux binaires. 1 Simulation d un message binaire - Codage en ligne
Objectifs : Ce TP est relatif aux différentes méthodes de codage d une information binaire, et à la transmission en bande de base de cette information. Les grandes lignes de ce TP sont l étude des méthodes
Plus en détailCommunications numériques
Communications numériques 1. Modulation numérique (a) message numérique/signal numérique (b) transmission binaire/m-aire en bande de base (c) modulation sur fréquence porteuse (d) paramètres, limite fondamentale
Plus en détailTransmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission
Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement
Plus en détailLA COUCHE PHYSIQUE EST LA COUCHE par laquelle l information est effectivemnt transmise.
M Informatique Réseaux Cours bis Couche Physique Notes de Cours LA COUCHE PHYSIQUE EST LA COUCHE par laquelle l information est effectivemnt transmise. Les technologies utilisées sont celles du traitement
Plus en détailSystèmes de transmission
Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un
Plus en détailJ AUVRAY Systèmes Electroniques TRANSMISSION DES SIGNAUX NUMERIQUES : SIGNAUX EN BANDE DE BASE
RANSMISSION DES SIGNAUX NUMERIQUES : SIGNAUX EN BANDE DE BASE Un message numérique est une suite de nombres que l on considérera dans un premier temps comme indépendants.ils sont codés le plus souvent
Plus en détailChapitre 2 : communications numériques.
Chapitre 2 : communications numériques. 1) généralités sur les communications numériques. A) production d'un signal numérique : transformation d'un signal analogique en une suite d'éléments binaires notés
Plus en détailLABO 5-6 - 7 PROJET : IMPLEMENTATION D UN MODEM ADSL SOUS MATLAB
LABO 5-6 - 7 PROJET : IMPLEMENTATION D UN MODEM ADSL SOUS MATLAB 5.1 Introduction Au cours de séances précédentes, nous avons appris à utiliser un certain nombre d'outils fondamentaux en traitement du
Plus en détailTP Modulation Démodulation BPSK
I- INTRODUCTION : TP Modulation Démodulation BPSK La modulation BPSK est une modulation de phase (Phase Shift Keying = saut discret de phase) par signal numérique binaire (Binary). La phase d une porteuse
Plus en détailExpérience 3 Formats de signalisation binaire
Expérience 3 Formats de signalisation binaire Introduction Procédures Effectuez les commandes suivantes: >> xhost nat >> rlogin nat >> setenv DISPLAY machine:0 >> setenv MATLABPATH /gel/usr/telecom/comm_tbx
Plus en détailTelecommunication modulation numérique
Telecommunication modulation numérique Travaux Pratiques (MatLab & Simulink) EOAA Salon de Provence Stéphane BRASSET, Françoise BRIOLLE Édition 2012 Table des matières 1 Modulation/démodulation en bande
Plus en détailTransmission des signaux numériques
Transmission des signaux numériques par Hikmet SARI Chef de Département d Études à la Société Anonyme de Télécommunications (SAT) Professeur Associé à Télécom Paris. Transmission en bande de base... E
Plus en détailTelecommunication modulation numérique
Telecommunication modulation numérique Travaux Pratiques (MatLab & Simulink) EOAA Salon de Provence Françoise BRIOLLE c Édition 2013 Table des matières 1 Modulation/démodulation en bande de base 6 1.1
Plus en détailSystèmes de communications numériques 2
Systèmes de Communications Numériques Philippe Ciuciu, Christophe Vignat Laboratoire des Signaux et Systèmes CNRS SUPÉLEC UPS SUPÉLEC, Plateau de Moulon, 91192 Gif-sur-Yvette ciuciu@lss.supelec.fr Université
Plus en détailFonctions de la couche physique
La Couche physique 01010110 01010110 Couche physique Signal Médium Alain AUBERT alain.aubert@telecom-st-etienne.r 0 Fonctions de la couche physique 1 1 Services assurés par la couche physique Transmettre
Plus en détailSignaux numériques : Multiplexage temporel : TDM
Signaux numériques : Multiplexage temporel : TDM Pour la hiérarchie TDM, il y a deux catégorie : Le multiplexage dans les systèmes informatiques : La transmission TDM dans des lignes haute vitesse à partir
Plus en détailEchantillonnage Non uniforme
Echantillonnage Non uniforme Marie CHABERT IRIT/INP-ENSEEIHT/ ENSEEIHT/TéSASA Patrice MICHEL et Bernard LACAZE TéSA 1 Plan Introduction Echantillonnage uniforme Echantillonnage irrégulier Comparaison Cas
Plus en détailUE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd
UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le
Plus en détailTransmission d informations sur le réseau électrique
Transmission d informations sur le réseau électrique Introduction Remarques Toutes les questions en italique devront être préparées par écrit avant la séance du TP. Les préparations seront ramassées en
Plus en détailChapitre I La fonction transmission
Chapitre I La fonction transmission 1. Terminologies 1.1 Mode guidé / non guidé Le signal est le vecteur de l information à transmettre. La transmission s effectue entre un émetteur et un récepteur reliés
Plus en détailLe signal GPS. Les horloges atomiques à bord des satellites GPS produisent une fréquence fondamentale f o = 10.23 Mhz
Le signal GPS Les horloges atomiques à bord des satellites GPS produisent une fréquence fondamentale f o = 10.23 Mhz Deux signaux en sont dérivés: L1 (fo x 154) = 1.57542 GHz, longueur d onde = 19.0 cm
Plus en détailMesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux OL
Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux Comment mesurer le temps de propagation de groupe sur des convertisseurs de fréquence dans lesquels le ou les oscillateurs
Plus en détailLES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION
LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,
Plus en détailInterception des signaux issus de communications MIMO
Interception des signaux issus de communications MIMO par Vincent Choqueuse Laboratoire E 3 I 2, EA 3876, ENSIETA Laboratoire LabSTICC, UMR CNRS 3192, UBO 26 novembre 2008 Interception des signaux issus
Plus en détailChaine de transmission
Chaine de transmission Chaine de transmission 1. analogiques à l origine 2. convertis en signaux binaires Échantillonnage + quantification + codage 3. brassage des signaux binaires Multiplexage 4. séparation
Plus en détailFiltres passe-bas. On utilise les filtres passe-bas pour réduire l amplitude des composantes de fréquences supérieures à la celle de la coupure.
Filtres passe-bas Ce court document expose les principes des filtres passe-bas, leurs caractéristiques en fréquence et leurs principales topologies. Les éléments de contenu sont : Définition du filtre
Plus en détailLes techniques de multiplexage
Les techniques de multiplexage 1 Le multiplexage et démultiplexage En effet, à partir du moment où plusieurs utilisateurs se partagent un seul support de transmission, il est nécessaire de définir le principe
Plus en détailTELEVISION NUMERIQUE
REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix - Travail Patrie --------------------- UNIVERSITE DE YAOUNDE I ---------------------- ECOLE NATIONALE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE ---------------------- REPUBLIC OF CAMEROUN Peace
Plus en détailExercices sur SQL server 2000
Exercices sur SQL server 2000 La diagramme de classe : Exercices sur SQL server 2000 Le modèle relationnel correspondant : 1 Créer les tables Clic-droit on Tables et choisir «New Table» Créer la table
Plus en détailxdsl Digital Suscriber Line «Utiliser la totalité de la bande passante du cuivre»
xdsl Digital Suscriber Line «Utiliser la totalité de la bande passante du cuivre» Le marché en France ~ 9 millions d abonnés fin 2005 ~ 6 millions fin 2004 dont la moitié chez l opérateur historique et
Plus en détailChapitre 2 : Techniques de transmission
Chapitre 2 : Techniques de transmission /home/kouna/d01/adp/bcousin/repr/cours/2.fm - 14 Janvier 1998 20:09 Plan. Introduction. Phénomènes caractéristiques. Les éléments de la transmission. La modulation.
Plus en détailSurveillance de Scripts LUA et de réception d EVENT. avec LoriotPro Extended & Broadcast Edition
Surveillance de Scripts LUA et de réception d EVENT avec LoriotPro Extended & Broadcast Edition L objectif de ce document est de présenter une solution de surveillance de processus LUA au sein de la solution
Plus en détailINTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE
INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique
Plus en détailSYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier :
SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION Contenu du dossier : 1. PRESENTATION DU SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO....1 1.1. DESCRIPTION DU FABRICANT....1
Plus en détailTV NUMERIQUE MOBILE : DU DVB-T AU DVB-H
115189_TechnoN32 21/11/05 16:11 Page 56 56-57 : DU DVB-T AU DVB-H Gérard POUSSET, V.P. Marketing : Business Development chez DiBcom Grâce à ses circuits de traitement de signal spécifiques, DiBcom propose
Plus en détailIntroduction à MATLAB R
Introduction à MATLAB R Romain Tavenard 10 septembre 2009 MATLAB R est un environnement de calcul numérique propriétaire orienté vers le calcul matriciel. Il se compose d un langage de programmation, d
Plus en détailReprésentation d un entier en base b
Représentation d un entier en base b 13 octobre 2012 1 Prérequis Les bases de la programmation en langage sont supposées avoir été travaillées L écriture en base b d un entier est ainsi défini à partir
Plus en détailSignalisation, codage, contrôle d'erreurs
Signalisation, codage, contrôle d'erreurs Objectifs: Plan Comprendre les mécanismes utilisés pour transmettre des informations sur un support physique Comprendre la nécessité de regrouper les informations
Plus en détailPrincipe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif
Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Cécile Durot 1 & Yves Rozenholc 2 1 UFR SEGMI, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, France, cecile.durot@gmail.com 2 Université
Plus en détail2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP)
2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2.1 Introduction 2.2 Signal 2.3 Support de transmission 2.4 Adaptation du signal aux supports de transmission 2.5 Accès WAN 2.1 Introduction Introduction Rôle
Plus en détailOnce the installation is complete, you can delete the temporary Zip files..
Sommaire Installation... 2 After the download... 2 From a CD... 2 Access codes... 2 DirectX Compatibility... 2 Using the program... 2 Structure... 4 Lier une structure à une autre... 4 Personnaliser une
Plus en détailChapitre 18 : Transmettre et stocker de l information
Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant
Plus en détailI. TRANSMISSION DE DONNEES
TD I. TRANSMISSION DE DONNEES 1. QU'EST-CE QU'UN CANAL DE TRANSMISSION? 1.1 Rappels Une ligne de transmission est une liaison entre les deux machines. On désigne généralement par le terme émetteur la machine
Plus en détailRecherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur
Recherche De Coalescences Binaires Étalonnage Du Détecteur Fabrice Beauville Journées Jeunes Chercheurs 18/12/2003 Les Coalescences Binaires & VIRGO Système binaire d objets compacts (étoiles à neutrons,
Plus en détailEMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006
EMETTEUR ULB Architectures & circuits David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006 Introduction Emergence des applications de type LR-WPAN : Dispositif communicant
Plus en détailTraitement du signal avec Scilab : transmission numérique en bande de base
Traitement du signal avec Scilab : transmission numérique en bande de base La transmission d informations numériques en bande de base, même si elle peut paraître simple au premier abord, nécessite un certain
Plus en détailInstructions pour mettre à jour un HFFv2 v1.x.yy v2.0.00
Instructions pour mettre à jour un HFFv2 v1.x.yy v2.0.00 HFFv2 1. OBJET L accroissement de la taille de code sur la version 2.0.00 a nécessité une évolution du mapping de la flash. La conséquence de ce
Plus en détailSystèmes de communications numériques 2
Systèmes de Communications Numériques Philippe Ciuciu, Christophe Vignat Laboratoire des Signaux et Systèmes cnrs supélec ups supélec, Plateau de Moulon, 9119 Gif-sur-Yvette ciuciu@lss.supelec.fr Université
Plus en détail1. Présentation général de l architecture XDSL :
1. Présentation général de l architecture XDSL : Boucle locale : xdsl (Data Subscriber Line). Modem à grande vitesse adapté aux paires de fils métalliques. La lettre x différencie différents types, comme
Plus en détailTechnologies xdsl. 1 Introduction 2 1.1 Une courte histoire d Internet... 2 1.2 La connexion à Internet... 3 1.3 L évolution... 3
Technologies xdsl Table des matières 1 Introduction 2 1.1 Une courte histoire d Internet.......................................... 2 1.2 La connexion à Internet..............................................
Plus en détailDéfinition et diffusion de signatures sémantiques dans les systèmes pair-à-pair
Définition et diffusion de signatures sémantiques dans les systèmes pair-à-pair Raja Chiky, Bruno Defude, Georges Hébrail GET-ENST Paris Laboratoire LTCI - UMR 5141 CNRS Département Informatique et Réseaux
Plus en détailEtudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté
Compétences travaillées : Mettre en œuvre un protocole expérimental Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique
Plus en détailCalcul Formel et Numérique, Partie I
Calcul Formel et Numérique N.Vandenberghe nvdb@irphe.univ-mrs.fr Table des matières 1 Introduction à Matlab 2 1.1 Quelques généralités.......................... 2 2 Où trouver des informations 2 3 Opérations
Plus en détailVTP. LAN Switching and Wireless Chapitre 4
VTP LAN Switching and Wireless Chapitre 4 ITE I Chapter 6 2006 Cisco Systems, Inc. All rights reserved. Cisco Public 1 Pourquoi VTP? Le défi de la gestion VLAN La complexité de gestion des VLANs et des
Plus en détailMATLAB : COMMANDES DE BASE. Note : lorsqu applicable, l équivalent en langage C est indiqué entre les délimiteurs /* */.
Page 1 de 9 MATLAB : COMMANDES DE BASE Note : lorsqu applicable, l équivalent en langage C est indiqué entre les délimiteurs /* */. Aide help, help nom_de_commande Fenêtre de travail (Command Window) Ligne
Plus en détailExemple d acquisition automatique de mesures sur une maquette de contrôle actif de vibrations
Exemple d acquisition automatique de mesures sur une maquette de contrôle actif de vibrations Valérie Pommier-Budinger Bernard Mouton - Francois Vincent ISAE Institut Supérieur de l Aéronautique et de
Plus en détailEP 2 339 758 A1 (19) (11) EP 2 339 758 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 29.06.2011 Bulletin 2011/26
(19) (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (11) EP 2 339 758 A1 (43) Date de publication: 29.06.2011 Bulletin 2011/26 (21) Numéro de dépôt: 09179459.4 (51) Int Cl.: H04B 1/69 (2011.01) H03K 5/08 (2006.01) H03K
Plus en détailCodage d information. Codage d information : -Définition-
Introduction Plan Systèmes de numération et Représentation des nombres Systèmes de numération Système de numération décimale Représentation dans une base b Représentation binaire, Octale et Hexadécimale
Plus en détailMesures en réception télévision
1. Télévision terrestre analogique Rappels En bande terrestre analogique pour une prise utilisateur le niveau doit être compris entre 57 et 74 dbµv Ces niveaux sont donnés pour un signal de grande qualité.
Plus en détailChapitre 13 Numérisation de l information
DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................
Plus en détailInstructions Mozilla Thunderbird Page 1
Instructions Mozilla Thunderbird Page 1 Instructions Mozilla Thunderbird Ce manuel est écrit pour les utilisateurs qui font déjà configurer un compte de courrier électronique dans Mozilla Thunderbird et
Plus en détailLABO 5 ET 6 TRAITEMENT DE SIGNAL SOUS SIMULINK
LABO 5 ET 6 TRAITEMENT DE SIGNAL SOUS SIMULINK 5.1 Introduction Simulink est l'extension graphique de MATLAB permettant, d une part de représenter les fonctions mathématiques et les systèmes sous forme
Plus en détailTravaux pratique (TP2) : simulation du canal radio sous ADS. Module FIP RT321 : Architectures des émetteurs-récepteurs radio
Travaux pratique (TP2) : simulation du canal radio sous ADS Rédaction : F. Le Pennec Enseignant/Chercheur dpt. Micro-ondes Francois.LePennec@telecom-bretagne.eu Module FIP RT321 : Architectures des émetteurs-récepteurs
Plus en détailManipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes
Manipulation N 6 : La Transposition de fréquence : Mélangeur micro-ondes Avant Propos : Le sujet comporte deux parties : une partie théorique, jalonnée de questions (dans les cadres), qui doit être préparée
Plus en détailMesures d antennes en TNT
Mesures d antennes en TNT Ce TP s intéresse aux techniques liées à l installation d un équipement de réception de télévision numérique terrestre. Pour les aspects théoriques, on pourra utilement se référer
Plus en détailChapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information
Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,
Plus en détailConversion d un entier. Méthode par soustraction
Conversion entre bases Pour passer d un nombre en base b à un nombre en base 10, on utilise l écriture polynomiale décrite précédemment. Pour passer d un nombre en base 10 à un nombre en base b, on peut
Plus en détailReprésentation des Nombres
Chapitre 5 Représentation des Nombres 5. Representation des entiers 5.. Principe des représentations en base b Base L entier écrit 344 correspond a 3 mille + 4 cent + dix + 4. Plus généralement a n a n...
Plus en détailMapReduce. Malo Jaffré, Pablo Rauzy. 16 avril 2010 ENS. Malo Jaffré, Pablo Rauzy (ENS) MapReduce 16 avril 2010 1 / 15
MapReduce Malo Jaffré, Pablo Rauzy ENS 16 avril 2010 Malo Jaffré, Pablo Rauzy (ENS) MapReduce 16 avril 2010 1 / 15 Qu est ce que c est? Conceptuellement Données MapReduce est un framework de calcul distribué
Plus en détailChapitre 2 Les ondes progressives périodiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE er août 203 à 7:04 Chapitre 2 Les ondes progressives périodiques Table des matières Onde périodique 2 2 Les ondes sinusoïdales 3 3 Les ondes acoustiques 4 3. Les sons audibles.............................
Plus en détailChapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires
Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème
Plus en détailLicence Sciences et Technologies Examen janvier 2010
Université de Provence Introduction à l Informatique Licence Sciences et Technologies Examen janvier 2010 Année 2009-10 Aucun document n est autorisé Les exercices peuvent être traités dans le désordre.
Plus en détailCours d Électronique du Tronc Commun S3. Le filtrage optimisé du signal numérique en bande de base. Notion de BRUIT en télécommunication.
IUT MARSEILLE DEPARTEMENT DE GENIE ELECTRIQUE ET INFORMATIQUE INDUSTRIELLE Diplôme Universitaire de Technologie. Cours d Électronique du Tronc Commun S3. Chapitre 8 : Le filtrage optimisé du signal numérique
Plus en détail$SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU
$SSOLFDWLRQGXNULJHDJHSRXUOD FDOLEUDWLRQPRWHXU Fabien FIGUERES fabien.figueres@mpsa.com 0RWVFOpV : Krigeage, plans d expériences space-filling, points de validations, calibration moteur. 5pVXPp Dans le
Plus en détailTS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S
FICHE Fiche à destination des enseignants TS 35 Numériser Type d'activité Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences
Plus en détailIntérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale
Intérêt du découpage en sous-bandes pour l analyse spectrale David BONACCI Institut National Polytechnique de Toulouse (INP) École Nationale Supérieure d Électrotechnique, d Électronique, d Informatique,
Plus en détailNumérisation du signal
Chapitre 12 Sciences Physiques - BTS Numérisation du signal 1 Analogique - Numérique. 1.1 Définitions. Signal analogique : un signal analogique s a (t)est un signal continu dont la valeur varie en fonction
Plus en détailInitiation à la programmation en Python
I-Conventions Initiation à la programmation en Python Nom : Prénom : Une commande Python sera écrite en caractère gras. Exemples : print 'Bonjour' max=input("nombre maximum autorisé :") Le résultat de
Plus en détailTD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires
TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires I ) Ecrire l'expression analytique des signaux représentés sur les figures suivantes à l'aide de signaux particuliers. Dans le cas du signal y(t) trouver
Plus en détailAPPENDIX 6 BONUS RING FORMAT
#4 EN FRANÇAIS CI-DESSOUS Preamble and Justification This motion is being presented to the membership as an alternative format for clubs to use to encourage increased entries, both in areas where the exhibitor
Plus en détailArchitectures et Protocoles des Réseaux
Chapitre 5 - Les réseaux xdsl Claude Duvallet Université du Havre UFR Sciences et Techniques 25 rue Philippe Lebon - BP 540 76058 LE HAVRE CEDEX Claude.Duvallet@gmail.com Claude Duvallet 1/32 Plan de la
Plus en détailLa couche physique de l ADSL (voie descendante)
La couche physique de l ADSL (voie descendante) Philippe Ciblat École Nationale Supérieure des Télécommunications, Paris, France Problématique qq kilomètres CENTRAL câble de 0,4mm Objectifs initiaux :
Plus en détailBases de programmation. Cours 5. Structurer les données
Bases de programmation. Cours 5. Structurer les données Pierre Boudes 1 er décembre 2014 This work is licensed under the Creative Commons Attribution-NonCommercial-ShareAlike 3.0 License. Types char et
Plus en détailTélécommunications. Plan
Télécommunications A.Maizate - EHTP 2010/2011 Plan Concepts généraux: Téléinformatique Liaison de Téléinformatique Sens de transmission Types de transmission Parallèle Série Techniques de Transmission
Plus en détailMaster d'informatique 1ère année Réseaux et protocoles. Couche physique
Master d'informatique 1ère année Réseaux et protocoles Couche physique Bureau S3-354 Mailto:Jean.Saquet@unicaen.fr http://saquet.users.greyc.fr/m1/rezopro Supports de communication Quelques exemples :
Plus en détailLE VDSL 2 EN FRANCE. Source : www.ant.developpement-durable.gouv.fr
LE VDSL 2 EN FRANCE Par Jean-Marc Do Livramento Consultant télécom fixe et mobile Mai 2013 Des offres d accès Internet Très Haut Débit par VDSL 2 bientôt disponibles en France? Le 26 avril dernier, le
Plus en détailSpécial Catégorie 6 Patch Cords
Spécial Catégorie 6 Patch Cords Patent Pending Sommaire 1 - Préliminaires... 2 2 Qu est ce qu apporte la catégorie 6... 3 3 Qu est ce que l interopérabilité...3 4 Ce que PatchSee annonçait en septembre
Plus en détailPolar. Nouveautés Polar
Polar Nouveautés Polar POLAR ELECTRO Fondé en 1977 Premier moniteur de fréquence cardiaque sans fil au monde Travail en collaboration avec les plus grands instituts sportifs & universités Reconnu comme
Plus en détailI. Programmation I. 1 Ecrire un programme en Scilab traduisant l organigramme montré ci-après (on pourra utiliser les annexes):
Master Chimie Fondamentale et Appliquée : spécialité «Ingénierie Chimique» Examen «Programmation, Simulation des procédés» avril 2008a Nom : Prénom : groupe TD : I. Programmation I. 1 Ecrire un programme
Plus en détailChap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES
Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES n 3 p528 Le signal a est numérique : il n y a que deux valeurs possibles pour la tension. Le signal b n est pas numérique : il y a alternance entre des signaux divers
Plus en détailINF6304 Interfaces Intelligentes
INF6304 Interfaces Intelligentes filtres collaboratifs 1/42 INF6304 Interfaces Intelligentes Systèmes de recommandations, Approches filtres collaboratifs Michel C. Desmarais Génie informatique et génie
Plus en détailLa structure du mobile GSM
La structure du mobile GSM Jean-Philippe MULLER Décembre 2000 Sommaire : 1- Le schéma fonctionnel d un mobile GSM 2- Le traitement numérique du signal à l émission 3- Le principe de base du vocodeur 4-
Plus en détailInformation. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?
Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.
Plus en détailExemple PLS avec SAS
Exemple PLS avec SAS This example, from Umetrics (1995), demonstrates different ways to examine a PLS model. The data come from the field of drug discovery. New drugs are developed from chemicals that
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailIntroduction à l approche bootstrap
Introduction à l approche bootstrap Irène Buvat U494 INSERM buvat@imedjussieufr 25 septembre 2000 Introduction à l approche bootstrap - Irène Buvat - 21/9/00-1 Plan du cours Qu est-ce que le bootstrap?
Plus en détail5.2 Théorème/Transformée de Fourier a) Théorème
. Théorème de Fourier et Transformée de Fourier Fourier, Joseph (788). Théorème/Transformée de Fourier a) Théorème Théorème «de Fourier»: N importe quelle courbe peut être décomposée en une superposition
Plus en détailI. COORDONNÉES PERSONNELLES / PERSONAL DATA
DOSSIER DE CANDIDATUREAPPLICATION FORM 2012 Please tick the admission session of your choice FévrierFebruary SeptembreSeptember MASTER OF ART (Mention the subject) MASTER OF SCIENCE (Mention the subject)
Plus en détail