«MEANS-END CHAIN MODEL» AND AUTOMATIC NETWORK DRAWING AS COMMERCIAL AWARENESS TOOLS.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "«MEANS-END CHAIN MODEL» AND AUTOMATIC NETWORK DRAWING AS COMMERCIAL AWARENESS TOOLS."

Transcription

1 «MEANS-END CHAIN MODEL» AND AUTOMATIC NETWORK DRAWING AS COMMERCIAL AWARENESS TOOLS. E.ric Boutin *, Jean-Marc Ferrrandi**, Pierre. Vaette Forence*** L ANALYSE DES CHAINAGES COGNITIFS ET LA CONSTRUCTION AUTOMATIQUE DE RESEAUX COMME OUTILS DE VEILLE COMMERCIALE. * Dr. Eric Boutin, Le Pont, IUT, TC, BP 132, La Garde Cedex. France boutin@univ-tn.fr **Dr. Jean Marc Ferrandi, Centre de recherche de ESA Grenobe France centrerecherch@demeter.fr *** Pr. Pierre Vaette Forence, Centre de recherche de ESA Grenobe France. vaette@esa.grenet.fr Keywords: network, data anaysis, marketing. Résumé: L objet de cette recherche appiquée est de découvrir es aspirations et es pratiques reatives à a consommation d énergie. Ces attentes en matière de service énergétique ont été appréhendées à travers a méthode des chaînages cognitifs et déterminées grâce à une technique originae de traitement des données: anayse de réseaux. La concusion dresse e bian de cette étude, ses apports et imites respectives et dégage un certain nombre de voies de recherche futures. Summary: The aim of this appied research is to discover aspirations and practices inked with energy consumption. These expectations as regards energy services have been apprehended through the «Means-End Chain Mode» and determined thanks to network anaysis. The concusion gives an overview of this study and points at various research directions in the future. Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making Page 19

2 L ANALYSE DES CHAINAGES COGNITIFS ET LA CONSTRUCTION AUTOMATIQUE DE RESEAUX COMME OUTILS DE VEILLE COMMERCIALE. Eric Boutin *, Jean-Marc Ferrrandi**, Pierre. Vaette Forence*** «MEANS-END CHAIN MODEL» AND AUTOMATIC NETWORK DRAWING AS COMMERCIAL AWARENESS TOOLS. * Dr. Eric Boutin, Le Pont, IUT, TC, BP 132, La Garde Cedex. FRANCE boutin@univ-tn.fr **Dr. Jean Marc Ferrandi, ESA Grenobe *** Pr. Pierre Vaette Forence, ESA Grenobe. vaette@esa.grenet.fr L objet de ce travai est de porter à a connaissance de a communauté académique une pratique de veie commerciae originae. Cette originaité réside en deux points: - Le recours à a méthode des chaînages cognitifs comme mode de recuei de information. - L utiisation de anayse en terme de réseaux, comme outi de traitement et de visuaisation des données coectées. Cette méthode a été utiisée par une société de distribution d énergie d une vie du Sud de a France qui s interrogeait sur es attentes et es aspirations de ses cients en matière de consommation d énergie. L objectif était d identifier, au deà de a seue satisfaction d un besoin primaire, se chauffer, des pratiques de consommation d énergie spécifiques. Les choix méthodoogiques seront présentés en début de cet artice. Les résutats principaux qui découent des anayses effectuées seront ensuite exprimés. A titre de synthèse, a concusion dressera e bian de cette étude, ses apports et imites respectives et dégagera es voies de recherche futures. I. METHODOLOGIE EMPLOYEE A- L anayse seon es chaînages cognitifs. Introduite en 1988 par Reynods et Gutman, [GUT 82],[REY et aii 88], anayse seon es chaînages cognitifs a connu depuis d ampes déveoppements, tant conceptues, que méthodoogiques. Le ecteur intéressé trouvera dans Vaette-Forence [VAL 94] un panorama assez compet des caractéristiques propres à cette démarche. Nous présenterons brièvement cidessous ses principaes spécificités. 1. Caractéristiques principaes de a méthode. Tout individu, orsqu i consomme un produit (ou un service) cherche à satisfaire des besoins immédiats, parfois primaires, comme a faim ou a soif, directement iés aux caractéristiques propres au produit, mais aussi un ensembe de conséquences pratiques ou pus personnees qu i va en retirer (eg: e confort), ainsi que des vaeurs pus motrices dans sa vie, tees que par exempe, une vie aisée et confortabe ou a sécurité famiiae. Page 20 Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making

3 Reconstituer ces iens entre attributs, conséquences et vaeurs, au niveau d un même segment de cientèe, s appee un chaînage cognitif. Ceui-ci représente ensembe des iens existants entre certains attributs, conséquences et vaeurs, iens qui sont partagés conjointement par pusieurs individus. En d autres termes, un chaînage cognitif est a résutante, à un niveau agrégé, des aspirations personnees (ou attentes) partagées par un même groupe de consommateurs. Ces aspirations individuees, coectées de manière quaitative et en face à face, s appeent des chaînes individuees faisant expicitement e ien entre un attribut d un produit et es conséquences d ordre fonctionne ou psychoogique, ainsi que es vaeurs qui en découent. Concrètement a phase d enquête met à jour, pour chaque individu pusieurs chaînes de type: A C 1 C 2 V 1 V 2, où A représente attribut choisi, C 1 et C 2 deux conséquences qui en découent, et V 1 et V 2 deux vaeurs directement reiées aux deux conséquences précédentes. Comme e recuei quaitatif de information met directement en jeu des processus d ordre cognitif, e terme de chaînages cognitifs s est tout natureement imposé. En résumé, a démarche procède en deux étapes successives: - tout d abord, à un niveau individue, expression de pusieurs chaînes individuees (toutes du type A C V) au moyen d un protocoe spécifique de recuei d information présenté pus oin, - ensuite, une série d anayses basées sur a construction automatique de réseaux. I s agit d une démarche originae, présentée pus oin qui a fait objet de récents déveoppements. 2. Les caractéristiques de a coecte des données. Comme nous avons souigné dans e paragraphe précédent, anayse seon es chaînages cognitifs est une démarche en essence quaitative, bien que es traitements statistiques soient de nature quantitative. De ce fait, a coecte se déroue en deux étapes successives: - a première, basée sur une réunion de groupe quaitative, est nécessaire pour vaider es ééments hiérarchiques (attributs - conséquences - vaeurs) qui seront utiisés dans a deuxième phase, - a seconde est réaisée au moyen d entretiens individues en face à face, d une trentaine de minutes environ, utiisant information obtenue à étape précédente. L originaité de a coecte des données réside dans utiisation d un jeu de «cartes» préétabies sur esquees sont notées en cair es différents ééments constituant es istes d attributs, conséquences et vaeurs. L enquêteur demande tout d abord au répondant de casser en pusieurs pies (deux ou trois) es attributs suivant qu i es perçoit comme «important», «moyennement important» ou «pas important» pour caractériser sa pratique de consommation quotidienne. L enquêteur ui demande aors de séectionner dans a pie des attributs importants ceui qu i considère comme étant e pus. Cet attribut va servir de point «d ancrage» pour a réaisation de a suite de entretien. On demande aors au répondant de séectionner parmi a pie des conséquences cee(s) (une ou deux, rarement pus) qui sont es pus importantes pour ui et qui découent directement de attribut (ou caractéristique) qu i vient de séectionner. Ce ou ces cartes sont donc séectionnées et mises devant enquêté, par exempe A 2 - C 1 - C 6. On recommence ensuite a même opération avec es vaeurs pour aboutir à a première chaîne individuee du répondant, par exempe 2 A- C 1 - C 6 - V 2 - V 8. On recommence après cea a même opération avec e deuxième attribut jugé e pus important (dans a première pie des attributs jugés «importants») et ainsi de suite jusqu à ce que e répondant ne puisse (ou ne désire) pus évoquer des chaînes individuees suppémentaires. L entretien se termine aors avec un court recuei d informations pus cassiques, concernant queques variabes socio-démographiques simpes, ainsi que des renseignements caractérisant e Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making Page 21

4 chauffage actue du répondant et son degré de satisfaction correspondant. Souignons aussi que ors de entretien par cartes, à chaque niveau hiérarchique (attributs, conséquences, vaeurs) des cartes vierges sont aissées à a disposition de enquêté au cas où ceui-ci désirerait noter un éément, non disponibe dans a iste, et qu i jugerait très important pour ui. Cette procédure, qui n est pratiquement jamais utiisée, comme ici, permet d éviter de passer à côté d ééments qui ne seraient pas apparus ors de a phase quaitative préiminaire. Au tota, enquête effectuée sur 79 personnes a conduit à obtention de 184 chaînes individuees, faisant es iens entre es attributs recherchés, es conséquences qu on en retire et es vaeurs qu is satisfont (soit une moyenne de 2,3 chaînes par personne). B. Les réseaux: un outi origina d anayse des chaînages cogn itifs. Notre objectif est de présenter un nouve outi d anayse de données: anayse de réseaux et d asseoir sa pertinence [BOUT et aii 96 1]. Cependant, avant d appiquer cette méthode dans un cadre concret, e comportement en matière d énergie, nous préciserons ses spécificités par rapport aux techniques cassiques d anayse de données. 1. Les spécificités de anayse de réseau. L anayse en termes de réseaux présente trois spécificités: e point de départ, e point d arrivée et es présupposés de a méthode. 1- Le point de départ de a méthode. Le point de départ de a méthode est, dans e cas présent, une succession de n chaînes individuees exprimées par m individus, chacun d entre eux ayant expicité une ou pusieurs chaînes. Raisonnons pour simpifier sur cinq chaînes. Individu 1 chaîne 1: Prix; Economie; Maîtrise de a chaeur; Vie confortabe aisée. Individu 1 chaîne 2: Paisir; Confort; Sécurité; Sécurité famiiae. Individu 2 chaîne 1: Indispensabe; Maîtrise de a chaeur; Quaité de a vie; Vie confortabe aisée. Individu 2 chaîne 2: Température constante; Tranquiité; Indépendance; Confort; Sécurité famiiae. Individu 2 chaîne 3: Puissant; Maîtrise de a chaeur; paisir. Tabeau 1: Exempes de chaînes. Tabe 1: Exampes of chains. Cette information peut être retranscrite sous forme de tabeau binaire comme iustre a matrice 1. Cette matrice étabit a présence ou absence de chaque variabe pour chacune des chaînes exprimées. La matrice 1 préserve toute a richesse de information contenue dans es chaînes exprimées. Prix Economie Maîtrise chaeur Vie confortab Paisir Confort Sécurité Sécu. famiia Indispensabe Quaité de vie Temp. cste Tranquiité Indépendant Puissant Ind1 ch Page 22 Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making

5 Ind1 ch Ind2 ch Ind2 ch Ind2 ch Matrice 1: Matrice visuaisant es chaînes exprimées Matrix 1: Matrix visuaizing expressed chains Dans es techniques cassiques d anayse de données, information contenue dans a matrice 1 est manipuée mathématiquement pour donner ieu à une matrice qui exprime pour chaque coupe de variabes (ou chaque coupe de chaînes) a distance existant entre ces deux variabes ou ces deux chaînes. Si on retient par exempe indice de Jaccard pour apprécier intensité de a iaison entre es variabes prises deux à deux, on obtient, en appication de a formue ci dessous un indice qui mesure intensité de a reation entre es variabes «prix» et «économie». Variabe Prix Présence Absence Variabe Economie Présence N A N B Absence N C N D N A désigne e nombre de chaînes dans esquees «Prix» et «Economie» sont présents. Ici, N A =1 N B désigne e nombre de chaînes pour esquees «Prix» est un descripteur de a chaîne mais pas «Economie». En suivant e même principe on trouve N C =2 et N D =2 indice de Jaccard apprécie association entre es deux variabes par expression: NA ce qui donne un indice de 0.33 dans exempe considéré entre es descripteurs NA + N B + NC «Prix» et «Economie». De proche en proche, i est possibe de construire a matrice de Jaccard associé au probème. Ces matrices de distance garantissent a projection des variabes ou des chaînes dans un espace réduit. Toutefois, e recours à de tees matrices de distance introduit un biais en ce sens que ce n est pus information brute de départ qui est manipuée mais un construit mathématique. Dans approche réseau, on priviégie au contraire une démarche pus pragmatique en raisonnant tout e ong de a chaîne de traitement sur information brute initiae sans a transformer. L information brute est aors traduite sous forme matriciee de deux façons différentes mais compémentaires. - Si nous centrons anayse sur es chaînes exprimées par es consommateurs, a matrice résutante va exprimer e nombre de variabes que partagent ces chaînes prises deux à deux. En reprenant exempe précédent, nous obtenons a matrice présentée dans e tabeau 2 et connue sous e nom de «matrice de Condorcet». Individu 1 chaîne 1 Individu 1 chaîne 2 Individu 2 chaîne 1 Individu 2 chaîne 2 Individu 2 chaîne 3 Individu chaîne 1 Individu chaîne 2 Individu Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making Page 23

6 chaîne 1 Individu 2 chaîne 2 Individu 2 chaîne Tabeau 2: Matrice de Condorcet réaisée à partir des cinq chaînes. Tabe 2: Condorcet matrix reaized up five chains. Ce tabeau nous fournit donc une information reative à a proximité des chaînes prises deux à deux en fonction du nombre d ééments qu ees partagent. Par exempe, a chaîne 1 de individu 1 et a chaîne 1 de individu 2 ont deux ééments en mmun. co L information présentée ici est pus pauvre que cee proposée dans e tabeau 1, parce que nous ne pouvons pus préciser ques sont es ééments partagés par es chaînes prises deux à deux. - Si, en revanche, nous centrons anayse sur es variabes, nous exprimons e nombre de chaînes dans esquees deux variabes sont présentes. En reprenant exempe précédent, nous obtenons a matrice présentée dans e tabeau 3 et connue sous e nom de «matrice de Burt». Page 24 Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making

7 Prix Economie Maîtrise chaeur Vie confortab Paisir Confort Sécurité Sécu. famiia Indispensabe Quaité de vie Temp. cste Tranquiité Indépendant Puissant Prix Economie Maîtrise de a chaeur Vie confortabe paisir Confort Sécurité Sécurité famiiae Indispensabe Quaité de a vie Température constante Tranquiité Indépendance Puissant Tabeau 3: Tabeau de Burt réaisé à partir des cinq chaînes. Tabe 3: Burt matrix reaized up five chains. Les variabes «Vie confortabe» et «Maîtrise de a chaeur», par exempe, sont co-présentes dans deux chaînes. Cette matrice nous fournit une information sur intensité de a reation qui existe entre es variabes sur a base du nombre de chaînes dans esquees ees sont présentes ensembe. L information obtenue dans ce tabeau est pus pauvre que cee du tabeau 1, parce que nous ne pouvons pas préciser quees sont es deux chaînes dans esquees es variabes «Vie confortabe» et «Maîtrise de a chaeur» sont co-présentes. Les matrices de Condorcet et de Burt retransmettent en fait intégraité de information contenue dans es données brutes et doivent être comprises comme es deux facettes d une même réaité. En termes mathématiques, a seconde anayse correspond au dua de a emière. pr L anayse que nous aons déveopper va consister à considérer successivement chacune de ces matrices. Ces «aer-retour» entre matrice de Condorcet et matrice de Burt garantiront a restitution de intégraité de information contenue dans es chaînes exprimées. I n y a pas de perte d information entre information brute et information matriciee qui est manipuée mathématiquement. 2- Le point d arrivée de a méthode. Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making Page 25

8 L objectif de a méthode consiste à construire des réseaux à partir des matrices éaborées ors de étape précédente. Ceux-ci sont susceptibes d être interprétés très simpement [BOUT et aii 96 2]. comme e montrent es réseaux ci-dessous éaborées à partir des deux matrices de exempe précédent. Figure 1: Réseau des reations entre variabes Figure 1: Reationships network between variabes Figure 2: Réseau des reations entre individus Figure 2:Reationships network between peope Considérons e réseau présenté dans a figure 1. En son sein, chaque sommet correspond à une variabe et chaque ien entre deux sommets indique existence d une co-présence entre es deux variabes dans au moins une des chaînes. Cette figure est a transcription visuee rigoureuse de a matrice de Burt. Chaque éément présent dans a première coonne de a matrice est représenté en tant que sommet et chaque ceue différente de zéro à intersection de deux variabes se traduit par un ien entre ces deux variabes. Le raisonnement est identique pour a construction du réseau figure 2, à partir de a matrice de Condorcet. La figure 1 fait apparaître un certain nombre d ééments caractéristiques. Les variabes sont regroupées au sein de sous-groupes. On remarque que attribut «puissant» joue un rôe particuier en tant qu interface ou pivot entre deux d entre eux. Une tee variabe est appeée isthme [AHO et aii 87].. Si nous retirions cette variabe de a matrice initiae, es deux sousgroupes seraient disjoints. Le processus par eque est généré automatiquement ce genre de réseau dépasse objet de cette communication. Simpement, e passage d une matrice à une représentation cartographique utiise certains agorithmes tes que es agorithmes génétiques [BICK et aii 94] ou e recuit simué [BOUT et aii 96 3]. Le but est d optimiser e positionnement des sommets sur un graphe compte tenu de certaines contraintes d esthétisme. Ce type de recherches fait objet de déveoppements au sein du aboratoire «Le Pont» de Université de Touon et du Var. Nous pouvons mettre en avant, à ce stade, trois quaités de cette méthode d anayse de données. - Tout d abord, cette approche donne ieu à une représentation graphique visuee qui peut être interprétée sans formation préaabe aux techniques d anayse de données. Cette quaité est fondamentae et constitue un point fort de a méthode en comparaison des anayses de données traditionnees. Ces dernières tirent souvent eur compexité du fait qu ees transforment es matrices de départ en matrices de distance entre es variabes pour pouvoir Page 26 Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making

9 effectuer des projections en espaces réduits. Or, e choix de a métrique conditionne e résutat fina. Ceci fait des techniques d anayse de données cassiques des anayses entre es mains d experts souvent ma comprises de utiisateur néophyte. - Cette technique présente égaement avantage d une grande soupesse. Ee peut être conduite sur toute matrice, pourvu que cee-ci soit carrée et symétr ique. - Enfin, cette méthode présente avantage non négigeabe de autodétermination des sous-groupes sans intervention préaabe humaine. 3- Les hypothèses de a méthode. L exempe précédent est séduisant mais trop imité pour être suffisamment convaincant quant à utiité de a méthode. I sembe en effet difficie de comparer es techniques d anayses de données cassiques qui synthétisent une information massive pouvant comporter des miiers d enregistrements avec une anayse iustrée seuement à partir de cinq chaînes. Si e réseau présenté figure 1 est si simpe, c est parce que es associations entre es variabes sont suffisamment peu nombreuses pour garantir sa isibiité. Toutefois, si d autres individus avaient émis des chaînages suppémentaires, de nouvees associations entre es chaînes auraient été exprimées et a représentation simutanée de ce genre de reations sur un réseau aurait donnée ieu à un graphe surchargé voire inextricabe. La réaité d un phénomène compexe et nuancé ne peut pas être a priori représentée par un réseau cair et impide. Partant de ce constat, e réseau doit être simpifié pour gagner en isibiité. Cette simpification va consister à supprimer du réseau certains iens entre variabes. Le but de ces suppressions est d accepter de perdre de information pour gagner en visuaisation et en significativité. Toutefois, une tee simpification du réseau obéit à une ogique qui peut être cairement énoncée et échappe ainsi à toute forme d arbitraire. Lorsqu on anayse une information massive, quee qu en soit a forme, i est en effet possibe de a décomposer en trois composantes quaifiées respectivement d information triviae, d information intéressante et de bruit au sens statistique du terme. - L information triviae se compose des associations de variabes es pus fréquentes. Cees-ci constituent e dénominateur commun de ensembe considéré. En tant que te, ce genre d association apporte une information très générae. Si nous enevons du réseau de tes iens, non seuement nous écaircissons e réseau, mais nous ui donnons aussi une sensibiité dominante correspondant au sens des sommets ôtés. - A opposé, information quaifiée de bruit est constituée de ensembe des associations entre variabes qui sont es moins fréquemment obtenues. Ces associations correspondent soit à une information émergente, soit à une information reative ici à une chaîne atypique. Le fait de supprimer de tees reations du réseau va accroître sa isibiité. - Le reste des associations entre es variabes est quaifié d information utie. Des anayses entreprises à partir du concept d entropie [LHE et aii 95] ont permis de dégager des seuis permettant de séparer automatiquement ces trois types d informations. Ainsi dispose-t-on, orsque e réseau est trop fourni, de critères cairs permettant de e simpifier. II. ILLUSTRATION DE LA DEMARCHE: Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making Page 27

10 Nous proposons d iustrer a technique à partir d un jeu de 184 chaînes exprimant es réponses énoncées par 79 individus. Chaque chaîne associe au maximum cinq variabes correspondant à des associations attributs - conséquences - vaeurs, faites par es personnes interrogées. Ces chaînes se rapportent à une étude reative au comportement de a popuation grenoboise en matière de consommation d énergie. 1- Le point de départ de a méthode. Considérons dans un premier temps a matrice de Condorcet associée à appication. Cette matrice a été obtenue automatiquement à aide du ogicie Dataview déveoppé au Centre de Recherche et de Rétrospective de Marseie [ROS 93]. Cette matrice exprime e nombre de variabes que partagent deux chaînes. Une extraction des neuf premières chaînes de cette matrice est présentée figure 3 pour iustrer a démarche. Les ééments qui figurent en première igne et première coonne correspondent pour e chiffre des unités au numéro de a chaîne exprimée et pour e reste au numéro de individu interrogé Figure 3: Extrait de a matrice de Condorcet associée au probème. Figure 3: Extract from Condorcet matrix inked to the probem. On voit ainsi par exempe que a chaîne 3 de individu 3 et a chaîne 1 de individu 1 ont trois ééments en commun. 2- Le réseau obtenu à partir de a matrice de Condorcet. Comme a représentation de ensembe des reations entre es chaînes est confuse, e choix a été fait de ne visuaiser que es iens associés aux chaînes qui partagent au moins quatre variabes en commun. Le chiffre 4 correspond au nombre de degré de iberté du système, chaque chaîne n étant associée qu à cinq variabes maximum. Ce seui reativement éevé permet de imiter a variété du système. Le réseau obtenu est présenté igure f 4. Ce réseau, bien que compexe et embrouié permet de faire ressortir cairement pusieurs groupes de chaînes indépendants. Nous pouvons distinguer es groupes à structure forte: A, B et C, ceui à petites structures situé en bas du réseau et es structures isoées amassées au coin sud-est. Chaque groupe identifié ors de cette phase correspond à des chaînes voisines, qui partagent au moins quatre des cinq variabes es définissant pour es quatre premiers, et moins de quatre pour a structure isoée. Chaque groupe ainsi identifié a un poids proportionne au nombre de chaînes qui e caractérisent. Par conséquent, e groupe B défini par cinquante chaînes aura pus de poids que Page 28 Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making

11 e groupe C défini par trente chaînes. En exprimant ces poids en pourcentages, nous pouvons répartir a quantité d information du réseau entre es diverses composantes de a façon suivante: - Le groupe A: % - Le groupe B: % - Le groupe C: 16.3 % - Le groupe des isoés: % - Le groupe des petits: %. A B C Figure 4: Le réseau obtenu à partir de a matrice de Condorcet en ne retenant que es fréquences de paires supérieures ou égaes à 4. Figure 4: Nework obtained from Condorcet matrix by retaining ony frequencies superiors or equa to 4. Structure faibe L objectif est maintenant de caractériser chacun de ces groupes. Pour chacun d entre eux, i est possibe de construire un réseau des variabes en reconstituant a matrice de Burt associée. Le réseau résutant met en évidence es reations entre es variabes partagées par es individus du groupe. Nous aons iustrer cette démarche en anaysant e groupe C. 3- Du réseau des chaînes au réseau des variabes. structure isoée Le groupe C est composé de trente chaînes présentées dans annexe 2. Par définition, chacune de ces chaînes comporte au minimum quatre variabes en commun avec toutes es autres. Nous pouvons construire à partir de cette iste une matrice variabe - variabe Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making Page 29

12 qui associe à chaque coupe de variabes e nombre de références dans esquees ees sont coprésentes. Cette matrice de Burt est présentée dans a figure Individue (3) Indépendance / immeube (20) Indépendance (38) Tranquiité (25) Vie aisée, confortabe (39) Liberté (35) Maîtrise de a chaeur (28) Economie (21) Sécurité famiiae (34) Quaité de environnement (36) Paisir (33) Confort (22) Quaité de a vie (17) Figure 5: Matrice de Burt associée au groupe C. Figure 5: Burt matrix associated with group C On remarque que e groupe C est parfaitement défini à partir de treize variabes: un attribut (chauffage individue), six conséquences (quaité de a vie, indépendance par rapport aux autres habitants de immeube, économie, confort et maîtrise de a chaeur) et six vaeurs (paisir, sécurité famiiae, tranquiité, iberté, indépendance, et vie aisée et confortabe). Nous avons choisi d éiminer un ien entre es variabes orsque ceui-ci avait une fréquence inférieure à deux. Supprimer ces iens a pour but, comme nous avons vu précédemment, d éiminer du réseau e bruit statistique et donc de c arifier e réseau. Après suppression des iens de fréquence inférieure à deux, nous obtenons e réseau suivant: Figure 6: Réseau associé au groupe C. Figure 6: Network associated with group C Page 30 Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making

13 Dans ce réseau, i reste neuf variabes en interreations. Parmi ces dernières, trois d entre ees sont en reation avec ensembe des huit autres: chauffage individue (3), indépendance par rapport aux autres habitants de immeube (20) et indépendance (38). De tees variabes jouent un doube rôe. D une part, ees permettent de donner a sensibiité dominante du groupe: indépendance. D autre part, ees gênent par eur présence sur e réseau a mise en évidence de phénomènes pus fins. La figure suivante correspond au réseau de base auque ont été soustraites ces trois variabes. Figure 7: Réseau associé au groupe C en enevant es isthmes. Figure 7: Network associated with group C obtained by removing isthmuses. La variabe 25 (tranquiité) peut être considérée comme un isthme du système. Si nous enevons, nous faisons apparaître deux associations indépendantes: - 21, 35 correspondant aux variabes Economie, iberté - 28, 39 correspondant aux variabes maîtrise de a chaeur, vie aisée et confortabe. Ces deux associations correspondent à deux sous-orientations du groupe C. Une anayse simiaire peut être conduite sur chacune des grandes structures identifiées à a figure 4. Ceci permet de mettre en évidence trois dominantes par rapport au chauffage : Groupe A: économie Groupe B: e confort utiitariste Groupe C: indépendance. Dans e cas présent nous avons considéré es isthmes comme es ééments permettant de déterminer a sensibiité de chacun des groupes. Ceci n est pus e cas pour es groupes des petites structures et des isoés. Ces groupes étant divisés en pusieurs segments, e retrait des isthmes va nous permettre de es segmenter. Les isthmes sont aors envisagés comme des ééments perturbants qui viennent brouier information. Leur retrait permet de segmenter es chaînes émises par a popuation. L anayse des petits groupes situés en bas du réseau de a figure 4 permet de faire ressortir des comportements mineurs. Ceux ci correspondent à quatre dominantes: efficace, écoogique, «pépère» et pratique. L anayse des isoés situés au sud-est de a figure 4 permet de retrouver ensembe des structures énoncées précédemment. Ces chaînes sont constituées de trois ou quatre ééments. Pour cette raison, ees n avaient pu être intégrées dans es structures précédentes. Comme précédemment, nous avons choisi de ne retenir sur a matrice de Burt que es ééments ayant une fréquence d occurrence supérieure à deux. Ceci nous permet d éiminer e bruit au sens Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making Page 31

14 statistique du terme. Grâce à ceci et suite au retrait des isthmes par itérations successives, nous avons pu identifier sept sous-groupes: es propres, es «température constante», es économes, es individuaistes, es quaitatifs, es sécuritaires et es prat iques. Concusion. L anayse des réseaux fait ressortir cinq groupes de consommateurs en matière de comportement énergétique. Les trois premiers indiquent es tendances généraes de a popuation: confort, indépendance et économie. Le groupe des petites structures a permis identification de comportements émergents comme écoogie, tandis que ceui des isoés permettait de retrouver de façon pus étroite es tendances dégagées préaabement dans es trois premiers groupes. La synthèse des résutats est présentée en Annexe 3. L étude réaisée accuse queques imites. Tout d abord, cette démarche est centrée tantôt sur es variabes en perdant information reative aux chaînes, tantôt sur es chaînes en perdant information reative aux variabes. De pus, nous n avons pas pu déterminer pour chaque groupe une chaîne type attribut - conséquences - vaeurs qui serait représentative du groupe considéré. En effet, a méthode ne distingue pas ors de a construction du réseau es attributs des conséquences et des vaeurs. Rien ne garantit a priori que es variabes ôtées appartiennent à ces trois catégories. Diverses voies de recherche sembent se dégager. I serait intéressant de comparer cette méthode avec approche spatiae, anayse canonique généraisée, déveoppée par Vaette- Forence. Ceci permettrait d asseoir a vaidité conjointe des deux méthodes et de vérifier qu ees aboutissent bien à des résutats sembabes en matière de segmentation. De pus, i serait utie d intégrer à étude entreprise des informations compémentaires comme es variabes socio-démographiques pour avoir une vision pus compète de a réaité. Enfin, i conviendrait de passer de a notion de chaîne à a notion d individu, un individu ayant pu citer pusieurs chaînes. On pourrait ainsi étabir une typoogie des individus et es distinguer seon que es chaînes qu is ont exprimées appartiennent aux mêmes groupes ou à des groupes distincts. Nous aurions ainsi trois degrés de finesse dans anayse: e premier au niveau des variabes, e deuxième au niveau des chaînes et e dernier au niveau des individus. Annexe 1: Liste des attributs - conséquences - vaeurs et occurrence correspondante. Attributs Conséquences Vaeurs - Quaité de vie - Gain de pace - Pas de probème d approvisionnement - Indépendance par rapport aux autres habitants de immeube - Economie - Confort (bien-être) - Gain de temps - Sécurité - Tranquiité - Préservation de environnement - Propre - Pas de stockage - Individue - Coectif - Puissant (chauffe rapidement) - Pas de danger (fiabe) - Pas de coupure (disponibe) - Pratique (facie à utiiser) - Indispensabe - Température constante - Paisir - Sécurité famiiae - Liberté - Quaité de environnement - Propreté - Indépendance - Vie aisée, confortabe - Un monde de beauté Page 32 Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making

15 - Préserve un taux idéa d humidité de air - Prix - Pas d odeur, de fumée - Maîtrise de a chaeur Annexe 2. Les chaînages exprimés par es membres du groupe C. N de Variabe chaîne 1 71 individue 91 individue 113 individue 142 individue 192 individue 222 individue 232 individue 261 individue 271 individue 301 individue 322 individue 332 individue 363 individue 401 individue 421 individue 443 individue 521 individue 533 individue 541 individue 571 individue Variabe 2 Variabe 3 Variabe 4 Variabe 5 indépendance / immeube maîtrise de a chaeur vie aisée confortabe indépendance indépendance / tranquiité indépendance sécurité famiiae immeube indépendance / tranquiité iberté indépendance immeube indépendance / tranquiité indépendance iberté immeube indépendance / tranquiité iberté indépendance immeube indépendance / tranquiité iberté indépendance immeube indépendance / tranquiité iberté indépendance immeube indépendance / maîtrise de a vie aisée immeube chaeur confortabe indépendance / tranquiité indépendance sécurité famiiae immeube confort maîtrise de a indépendance vie aisée chaeur confortabe quaité de vie indépendance iberté indépendance indépendance / immeube maîtrise de a chaeur indépendance indépendance / économie iberté indépendance immeube indépendance / économie iberté indépendance immeube indépendance / tranquiité quaité de indépendance immeube environnement indépendance / économie indépendance immeube tranquiité indépendance indépendance vie aisée confortabe indépendance / tranquiité iberté indépendance immeube indépendance / tranquiité indépendance vie aisée immeube confortabe indépendance / tranquiité indépendance immeube Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making Page 33

16 592 individue 601 individue 611 individue 632 individue 661 individue 691 individue 702 individue 712 individue 732 individue 794 individue tranquiité indépendance indépendance vie aisée confortabe indépendance / tranquiité indépendance vie aisée immeube confortabe indépendance / tranquiité iberté indépendance immeube tranquiité indépendance indépendance vie aisée confortabe indépendance / tranquiité indépendance vie aisée immeube confortabe tranquiité indépendance indépendance vie aisée confortabe indépendance / tranquiité indépendance vie aisée immeube confortabe indépendance / iberté indépendance immeube indépendance / tranquiité vie aisée immeube confortabe indépendance / tranquiité paisir vie aisée immeube confortabe Page 34 Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making

17 Bibiographie: AHO A., HOPCRAFT J. et ULLMAN J.(1987), Structure des données et agorithmes, Interéditions, France. BICKING F., FONTEIX C.,CORRIOU J.P. et MARC I. (1994), «Goba Optimization by Artificia Life: A New Technique Using Genetic Popuation Evoution», R.A.I.R.O Recherche Opérationnee, 28, BOUTIN E., FERRANDI J.M. et VALETTE-FLORENCE P. (1996-1), «Les réseaux comme outi d anayse des chaînages cognitifs: une iustration expérimentae», Papier de Recherche 96-06, CERAG, Ecoe Supérieure des Affaires, Grenobe. BOUTIN E, DUMAS P, ROSTAING H. et QUONIAM L. (1996-2), «Les réseaux comme outi d anayse en bibiométrie. Un cas d appication: es réseaux d auteurs», Les cahiers de a documentation Bege, Vo 50, N 1, 1996, p 3-13 BOUTIN E. et FERRANDI J.M. (1996-3),«La construction automatique de réseaux sociaux: étude exporatoire», Actes du Cooque Nationa de Recherches en IUT en Mathématiques, Statistiques, Informatique», Cermont-Ferrand. GUTMAN J. (1982), «A Means-End Chain Mode Based on Categorization Processes», Journa of Marketing Research, 46, 1, LHEN J., LAFOUGE T.,ELSKENS Y., QUONIAM L. et DOU H. (1995), «La statistique des ois de Zipf», Acte du cooque: «Les systèmes d information éaborés», Ie Rousse. REYNOLDS T.J. et GUTMAN J. (1988), «Laddering Theory, Method, Anaysis and Interpretation», Journa of Advertising Research, 28, 1, ROSTAING H.,(1993), Veie technoogique et bibiométrie: concepts, outis et appications, Thèse: Aix Marseie III, 353p. VALETTE-FLORENCE P. (1994), «Introduction à anayse des chaînages cognitifs», Recherche et Appications en Marketing, 9, 1, Internationa Journa of Information Sciences for Decision Making Page 35

Lexmark Print Management

Lexmark Print Management Lexmark Print Management Optimisez impression en réseau et accès à vos informations avec une soution fexibe. Impression des documents sûre et pratique Fexibe. Libérez es travaux d impression à partir de

Plus en détail

Vétérinaires : quelles perspectives d activité en 2010?

Vétérinaires : quelles perspectives d activité en 2010? Vétérinaires : quees perspectives d activité en 2010? Edito Arnaud Duet Docteur Vétérinaire Président d Ergone Ergone, nouvee association pour es vétérinaires qui partagent envie d entreprendre, a vouu

Plus en détail

Manuel d'utilisation de Wapam

Manuel d'utilisation de Wapam Manue de 'utiisateur de Wapam Tabe des matières 1Wapam, une recherche de motifs par automates pondérés...3 2Tutorie : un exempe simpe d'utiisation...3 Utiisation avec Rdisk...3 Utiisation sans Rdisk...6

Plus en détail

Conception et réalisation d une sectorisation

Conception et réalisation d une sectorisation Conception et réaisation d une sectorisation OBJECTIF : mise en pace d un outi cohérent permettant de mesurer es voumes transitant dans e système de manière fiabe Une attention particuière doit être portée

Plus en détail

Structures dynamiques Listes chaînées

Structures dynamiques Listes chaînées TC Informatique Structures de données abstraites PC N 4 30 Novembre 2000 François Siion Structures dynamiques Listes chaînées http://w3.edu.poytechnique.fr/informatique Représenter un ensembe d'ééments

Plus en détail

Une grille pour évaluer la qualité de vos données et choisir votre outil de D Q M

Une grille pour évaluer la qualité de vos données et choisir votre outil de D Q M DOSSIER BASES DE DONNEES PAR VIRGINIE GOASDOU~ (EDF R&D), SYLVAINE NUGIER (EDF R&D), BRIGITTE LABOISSE (AID) ET DOMINIQUE DUQUENNOY (AID) Une grie pour évauer a quaité de vos données et choisir votre outi

Plus en détail

PRIMOPIERRE. Société Civile de Placement Immobilier

PRIMOPIERRE. Société Civile de Placement Immobilier PRIMOPIERRE Société Civie de Pacement Immobiier Primonia REIM Septembre 2011 IDENTIFICATION DES RISQUES LIÉS À L INVESTISSEMENT DANS UNE SCPI Facteurs de risques Avant d effectuer un investissement en

Plus en détail

La gestion de la relation client au sein de la PME. Contenu de la présentation. Le CRM outil pour les PME? SOGID SA

La gestion de la relation client au sein de la PME. Contenu de la présentation. Le CRM outil pour les PME? SOGID SA La gestion de a reation cient au sein de a PME Laurent Warichet 2006 SOGID. Tous droits réservés Le CRM outi pour es PME? Contenu de a présentation Qu est-ce que e CRM? Pourquoi a gestion cient? CRM :

Plus en détail

Le recours à l Aide complémentaire santé : les enseignements d une expérimentation sociale à Lille

Le recours à l Aide complémentaire santé : les enseignements d une expérimentation sociale à Lille Document de travai Working paper Le recours à Aide compémentaire santé : es enseignements d une expérimentation sociae à Lie Sophie Guthmuer (LEDa-LEGOS, Université Paris-Dauphine) Forence Jusot (LEDa-LEGOS,

Plus en détail

Master Actuariat-Finance Master Actuariat-Prévoyance Sociale. Prof ABDELKADER SALMI 2012

Master Actuariat-Finance Master Actuariat-Prévoyance Sociale. Prof ABDELKADER SALMI 2012 Master Actuariat-Finance Master Actuariat-Prévoyance Sociae Prof ABDELKADER SALMI 2012 Actuaire L étymoogie du mot "actuaire" est atine (comptabe, rédacteur des ivres de comptes acta), ce terme n'apparaît

Plus en détail

Sécurité Lexmark pour les imprimantes et MFP compatibles avec les solutions

Sécurité Lexmark pour les imprimantes et MFP compatibles avec les solutions Sécurité Lexmark pour es imprimantes et MFP compatibes avec es soutions Améioration de a sécurité de vos documents et vos données d entreprise En terme de sécurité, votre organisation doit être assurée

Plus en détail

Face au deuil, Vous n êtes pas seul(e) Ce guide vous est proposé par la Caf de Meurthe-et-Moselle et les Associations Deuil Espoir et Favec.

Face au deuil, Vous n êtes pas seul(e) Ce guide vous est proposé par la Caf de Meurthe-et-Moselle et les Associations Deuil Espoir et Favec. Face au deui, Vous n êtes pas seu(e) Ce guide vous est proposé par a Caf de Meurthe-et-Mosee et es Associations Deui Espoir et Favec. 1 Edition 2011 ÉDITO Soutenir et accompagner Soutenir a fonction parentae

Plus en détail

Jacques Lévy, professeur à l'universités de Reims et à l'institut d'études politiques de Paris, fellow au Wissenschaftskolleg zu Berlin

Jacques Lévy, professeur à l'universités de Reims et à l'institut d'études politiques de Paris, fellow au Wissenschaftskolleg zu Berlin e point sur La cartographie, enjeu contemporain Jacques Lévy, professeur à 'Universités de Reims et à 'Institut d'études poitiques de Paris, feow au Wissenschaftskoeg zu Berin De ce vieux Mercator, à quoi

Plus en détail

l EXCLUSION, INCLUSION m

l EXCLUSION, INCLUSION m EXCLUSION, INCLUSION m education permanente CULTURE ÉDUCATION PERMANENTE «I y a eu une invention de accessibiité comme nouvee forme sociae révéatrice d une conception du traitement de atérité dans notre

Plus en détail

UNICEF/92-5221/Toutounji

UNICEF/92-5221/Toutounji UNICEF/92-5221/Toutounji Pourquoi i est important de communiquer et d utiiser es informations sur L aaitement materne Un bébé nourri au sein est moins souvent maade et mieux nourri qu un bébé à qui on

Plus en détail

De la caractérisation à l identification des langues

De la caractérisation à l identification des langues De a caractérisation à identification des angues Séection de conférences données ors de a 1 ère journée d étude sur identification automatique des angues, Lyon, 19 janvier 1999 avec e soutien de Association

Plus en détail

Rejoignez le. No 1 mondial. de la franchise *! Créez votre entreprise en Franchise avec SUBWAY. www.subwayfrance.fr

Rejoignez le. No 1 mondial. de la franchise *! Créez votre entreprise en Franchise avec SUBWAY. www.subwayfrance.fr Rejoignez e No 1 mondia de a franchise *! Créez votre entreprise en Franchise avec SUBWAY www.subwayfrance.fr *SUBWAY est e numéro 1 mondia de a restauration, en nombre de restaurants. 2015 Doctor s Associates

Plus en détail

NOTRE MISSION NOTRE APPROCHE NOTRE ÉQUIPE NOTRE MARCHÉ. Confiance. Professionnalisme. Confidentialité

NOTRE MISSION NOTRE APPROCHE NOTRE ÉQUIPE NOTRE MARCHÉ. Confiance. Professionnalisme. Confidentialité www.cobus.net NOTRE MISSION Fournir à nos cients des soutions appropriées, sécurisées et bénéfiques Mettre en pace des soutions restant rentabes sur e ong terme et faciitant ensembe du processus de gestion

Plus en détail

Dossier d actualité ARCHITECTURE DE L INFORMATION, ARCHITECTURE DES CONNAISSANCES VEILLE ET ANALYSES. Sommaire. n 74 Avril 2012 1/16

Dossier d actualité ARCHITECTURE DE L INFORMATION, ARCHITECTURE DES CONNAISSANCES VEILLE ET ANALYSES. Sommaire. n 74 Avril 2012 1/16 n 74 Avri 2012 Sommaire page 2 : Introduction à architecture de information page 5: Se préoccuper de utiisateur et de ses espaces d information page 7: Se préoccuper de accès aux savoirs page 10 : Donner

Plus en détail

NUANCE The experience speaks for itself

NUANCE The experience speaks for itself NUANCE The experience speaks for itsef Comparatif des soutions PDF Professiona Compatibiité Compatibe avec Microsoft Windows XP (32 bits), Vista (32 et 64 bits) et Windows 7 (32 et 64 bits) Compatibe avec

Plus en détail

Une introduction à l analyse discriminante avec SPSS pour Windows

Une introduction à l analyse discriminante avec SPSS pour Windows Une introduction à anayse discriminante avec SPSS pour Windows Dominique DESBOIS INRA-ESR Nancy et SCEES 5 rue de Vaugirard, 7573 Paris Cedex 5. Fax : +33 49 55 85 00 Mé :desbois@jouy.inra.fr RÉSUMÉ :

Plus en détail

Comment s installer aux Canaries

Comment s installer aux Canaries Comment s instaer aux Canaries Aide institutionnee Le gouvernement des Canaries soutient activement es investissements réaisés dans es secteurs stratégiques canariens. Pour ce faire, e département de Investir

Plus en détail

DE COMMERCE ET DE GESTION

DE COMMERCE ET DE GESTION Institut DE COMMERCE ET DE GESTION Administration et Direction des Admissions : 9, rue Saint-Lambert 75015 Paris Té. (33) 01 45 58 17 33 Fax. 01 45 58 61 59 Métro Boucicaut (igne 8) ou Convention (igne

Plus en détail

2 juillet 2014-18h00 Mairie de Saint-Priest

2 juillet 2014-18h00 Mairie de Saint-Priest Compte-rendu de a réunion pubique d information dans e cadre de a concertation sur e Pan de Prévention des Risques Technoogiques de Saint-Priest (CREALIS et SDSP) 2 juiet 2014-18h00 Mairie de Saint-Priest

Plus en détail

Automobile et aéronautique

Automobile et aéronautique Soutions et systèmes de marquage et de codage Automobie et aéronautique Nous avons conscience des difficutés particuières auxquees vous devez faire face sur vos ignes de production Dans 'industrie automobie

Plus en détail

Système PBX IP hybride

Système PBX IP hybride Système PBX IP hybride KX-TDA30 La conception et es spécifications peuvent être modifiées sans préavis. FrenchPan_NEW MASTER_FA.indd -3 /6/09 9:0:0 AM Pour a mise en pace d un environnement de communications

Plus en détail

Guide d utilisation 5117

Guide d utilisation 5117 MO0912-FA Guide d utiisation 5117 Famiiarisation Féicitations pour achat de cette montre CASIO. Pour tirer e meieur parti de votre achat, veuiez ire attentivement cette notice. Exposez a montre à une umière

Plus en détail

La conception et les spécifications peuvent être modifiées sans préavis.

La conception et les spécifications peuvent être modifiées sans préavis. La conception et es spécifications peuvent être modifiées sans préavis. LTD KXTDA30_FR_200_v.indd 2 3/2/0 3:3:0 PM Système PBX IP hybride KX-TDA30 LTD KXTDA30_FR_200_v.indd 3 3/2/0 3:3:02 PM TABLE DES

Plus en détail

Développement du leadership :

Développement du leadership : Livre banc Déveoppement du eadership : es tendances de demain Auteur : Nick Petrie Version : décembre 2011 TABLE DES MATIÈRES 3 3 5 6 7 10 29 30 32 À propos de 'auteur Experts consutés dans e cadre de

Plus en détail

LE MANUEL DE L INITIATIVE DE LAVAGE DES MAINS

LE MANUEL DE L INITIATIVE DE LAVAGE DES MAINS LE MANUEL DE L INITIATIVE DE LAVAGE DES MAINS Guide de préparation d un programme de promotion du avage des mains au savon BANQUE MONDIALE The Internationa Bank for Reconstruction and Deveopment/The Word

Plus en détail

MUTUELLES DE SANTÉ ET ASSOCIATIONS DE MICRO-ENTREPRENEURS GUIDE

MUTUELLES DE SANTÉ ET ASSOCIATIONS DE MICRO-ENTREPRENEURS GUIDE MUTUELLES DE SANTÉ ET ASSOCIATIONS DE MICRO-ENTREPRENEURS GUIDE Copyright Organisation internationae du Travai 2001 Première édition 2001 Les pubications du Bureau internationa du Travai jouissent de a

Plus en détail

La transformation du centre informatique. Les enjeux économiques, écologiques et métiers des centres informatiques

La transformation du centre informatique. Les enjeux économiques, écologiques et métiers des centres informatiques La transformation du centre informatique Les enjeux économiques, écoogiques et métiers des centres informatiques IBM & Schneider Eectric - La transformation du centre informatique Savez-vous que? La mise

Plus en détail

Mesure de facteur de bruit sur analyseur de réseaux vectoriel corrigée en Paramètres-S. Frédéric Molina

Mesure de facteur de bruit sur analyseur de réseaux vectoriel corrigée en Paramètres-S. Frédéric Molina esure de facteur de bruit sur anayseur de réseaux vectorie corrigée en Paramètres-S Frédéric oina Agenda Rappe : qu est-ce que e facteur de bruit d un composant? éthodes et setup de mesure Etapes de caibrage

Plus en détail

Guide d utilisation 4738

Guide d utilisation 4738 MO0612-FA Guide d utiisation 4738 Famiiarisation Féicitations pour achat de cette montre CASIO. Pour tirer e meieur parti de votre montre, isez attentivement ce manue. Avertissement! Les fonctions de mesure

Plus en détail

de suivi et d évaluation de la participation des enfants

de suivi et d évaluation de la participation des enfants TROUSSE À OUTILS DU SUIVI ET DE L ÉVALUATION DE LA PARTICIPATION DES ENFANTS LIVRET 5 Outis de suivi et d évauation de a participation des enfants Save the Chidren a des activités dans pus de 120 pays.

Plus en détail

Le Conseil général, acteur de l insertion

Le Conseil général, acteur de l insertion Le Consei généra, acteur de insertion éditoria Le Consei généra est e chef de fie des poitiques de soidarités dans e Va d Oise. A ce titre, i est notamment responsabe du revenu de soidarité active (RSA)

Plus en détail

Dossier d actualité PISA : CE QUE L ON EN SAIT ET CE QUE VEILLE ET ANALYSES. Sommaire. n 66 Oct. 2011. Une évaluation qui polarise l attention 1/18

Dossier d actualité PISA : CE QUE L ON EN SAIT ET CE QUE VEILLE ET ANALYSES. Sommaire. n 66 Oct. 2011. Une évaluation qui polarise l attention 1/18 n 66 Oct. 2011 Sommaire page 1 : Une évauation qui poarise attention page 3 : Ce que PISA peut nous apprendre sur enseignement page 9 : PISA et e piotage des systèmes éducatifs page 14 : Bibiographie Dossier

Plus en détail

TSP 6500/7000 SÉRIE. Spécifications Chariots tridirectionnels à nacelle élevable

TSP 6500/7000 SÉRIE. Spécifications Chariots tridirectionnels à nacelle élevable C TSP 6500/7000 SÉRIE Chariots tridirectionnes à nacee éevabe C Série TSP 6500 / 7000 Chariots tridirectionnes à nacee éevabe Aée disponibe min. Jeux fonctionnes Fourches non téescopiques 4.33a 4.33 Longueur

Plus en détail

ATLAS FORESTIER INTERACTIF DU GABON VERSION PILOTE Document de Synthèse

ATLAS FORESTIER INTERACTIF DU GABON VERSION PILOTE Document de Synthèse MINISTÈRE DE L ECONOMIE FORESTIÈRE, DES EAUX, DE LA PÊCHE ET DE L AQUACULTURE RAPPORT WRI ATLAS FORESTIER INTERACTIF DU GABON VERSION PILOTE Document de Synthèse Atas forestier interactif du Gabon (version

Plus en détail

LE Chapitre I : Rappels généraux. Chapitre 13 Les câbles

LE Chapitre I : Rappels généraux. Chapitre 13 Les câbles E Chapitre I : appes générau. Chapitre 3 es câbes 38 Cacuer une structure : de a théorie à 'eempe Iustration au recto et photos ci-dessous : Mât haubané de mètres servant de soutien au tieu cassé de Doyon

Plus en détail

UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES FACULTÉ DE PHARMACIE SCIENCES PHARMACEUTIQUES COSMÉTOLOGIE ET DERMOPHARMACIE PHARMACIE OFFICINALE PHARMACIE D INDUSTRIE

UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES FACULTÉ DE PHARMACIE SCIENCES PHARMACEUTIQUES COSMÉTOLOGIE ET DERMOPHARMACIE PHARMACIE OFFICINALE PHARMACIE D INDUSTRIE SCIENCES PHARMACEUTIQUES COSMÉTOLOGIE ET DERMOPHARMACIE PHARMACIE OFFICINALE PHARMACIE D INDUSTRIE PHARMACIE HOSPITALIÈRE UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES FACULTÉ DE PHARMACIE BIOLOGIE CLINIQUE 1 DES PROGRAMMES

Plus en détail

Bouclier sanitaire : choisir entre égalité et équité?

Bouclier sanitaire : choisir entre égalité et équité? Document de travai Working paper Boucier sanitaire : choisir entre égaité et équité? Une anayse à partir du modèe ARAMMIS Thierry Debrand (Irdes) Christine Sorasith (Irdes) DT n 32 Juin 2010 Reproduction

Plus en détail

MÉCANIQUE DES STRUCTURES

MÉCANIQUE DES STRUCTURES SCIENCES SUP Aide-mémoire IUT Licence Master MÉCANIQUE DES STRUCTURES Résistance des matériaux Arnaud Deapace Fabrice Gatuingt Frédéric Ragueneau AIDE-MÉMOIRE MÉCANIQUE DES STRUCTURES Résistance des matériaux

Plus en détail

Un guide du bailleur : pourquoi?...3

Un guide du bailleur : pourquoi?...3 édition 2012 SOMMAIRE Un guide du baieur : pourquoi?...3 Avant a ocation Que type de ocation puis-je proposer ou accepter?...4 Quees conditions pour mon ogement mis en ocation?...5 Quees aides pour améioration

Plus en détail

MÉCÉNAT PARTICIPATIF : tous à l œuvre! Cérémonie de décoration de donateurs de la culture

MÉCÉNAT PARTICIPATIF : tous à l œuvre! Cérémonie de décoration de donateurs de la culture MÉCÉNAT PARTICIPATIF : tous à œuvre! Cérémonie de décoration de donateurs de a cuture mardi 9 décembre 2014 Ministère de a Cuture et de a Communication Communiqué de presse Feur Peerin reance a poitique

Plus en détail

SOMMAIRE. Vous souhaitez embaucher dans votre entreprise un ou plusieurs apprenti(e)s. INFOS APPRENTISSAGE 04. 06.

SOMMAIRE. Vous souhaitez embaucher dans votre entreprise un ou plusieurs apprenti(e)s. INFOS APPRENTISSAGE 04. 06. SOMMAIRE INFOS APPRENTISSAGE 04. 06. 07. L APPRENTISSAGE INDUSTRIEL LE PARCOURS DE L APPRENTISSAGE INDUSTRIEL LES MÉTIERS ET DIPLÔMES PRÉPARÉS DANS LES CENTRES DE FORMATION DE LA BRANCHE EN ÎLE-DE-FRANCE

Plus en détail

WIRELESS SYSTEM QLX-D USER GUIDE. Le Guide de l Utilisateur. 2014 Shure Incorporated 27A22351 (Rev. 1)

WIRELESS SYSTEM QLX-D USER GUIDE. Le Guide de l Utilisateur. 2014 Shure Incorporated 27A22351 (Rev. 1) WRELESS SYSTEM QLX-D USER GUDE Le Guide de Utiisateur 2014 Shure ncorporated 27A22351 (Rev. 1) CONSGNES DE SÉCURTÉ MPORTANTES 1. LRE ces consignes. 2. CONSERVER ces consignes. 3. OBSERVER tous es avertissements.

Plus en détail

1. INTRODUCTION On voit apparaître depuis quelques années des codes de calcul de tenue à la mer des navires par la méthode des singularités utilisant

1. INTRODUCTION On voit apparaître depuis quelques années des codes de calcul de tenue à la mer des navires par la méthode des singularités utilisant . INTRODUCTION On voit apparaître depuis queques années des codes de cacu de tenue à a mer des navires par a méthode des singuarités utiisant a fonction de Green de diffraction-radiation avec vitesse d

Plus en détail

AUDIT D UN SERVEUR INTERNET ET APPROCHE RESEAU

AUDIT D UN SERVEUR INTERNET ET APPROCHE RESEAU AUDIT D UN SERVEUR INTERNET ET APPROCHE RESEAU Eric Boutin * Hervé Rostaing ** Luc Quoniam ** * Laboratoire Lepont, Université de Toulon et du Var IUT TC BP 132 83957 La Garde cedex, boutin@univ-tln.fr

Plus en détail

Payer peut nuire à votre santé : une étude de l impact du renoncement financier aux soins sur l état de santé

Payer peut nuire à votre santé : une étude de l impact du renoncement financier aux soins sur l état de santé Document de travai Working paper Payer peut nuire à votre santé : une étude de impact du renoncement financier aux soins sur état de santé Pau Dourgnon (Irdes, Université Paris-Dauphine-LEDa-LEGOS) Forence

Plus en détail

SYMBIOSES. Comment changer les comportements? Jeter des idées sur le papier p.6. n o 70 mars, avril, mai 2006

SYMBIOSES. Comment changer les comportements? Jeter des idées sur le papier p.6. n o 70 mars, avril, mai 2006 Bureau de dépôt Bruxees X Begique-Begïe P.P. Bruxees X 1/2241 n o 70 mars, avri, mai 2006 SYMBIOSES Le magazine de Éducation reative à Environnement (ErE) Comment changer es comportements? Jeter des idées

Plus en détail

Des solutions technologiques pour des systèmes hautes performances

Des solutions technologiques pour des systèmes hautes performances Des soutions technoogiques pour des systèmes hautes performances Job Number Job Information ORIGINATED BY / DATE STUDIO POC 20662 Corporate Brochure - FRENCH Vicki 09-11 - 2011 Vicki/Laura Cient Job SIZE

Plus en détail

E.2.14 ACTIVITES ECONOMIQUES

E.2.14 ACTIVITES ECONOMIQUES E.2.14 ACTIVITES ECONOMIQUES Source : JLR-Conseis, 2006 E.2.14.1 Données gobaes Zone éargie L activité économique en zone éargie (cf. paragraphe «présentation des zones d études» au début de état initia)

Plus en détail

Intégration architecturale des équipements

Intégration architecturale des équipements Consei d Architecture, d Urbanisme et d Environnement de a Seine-Maritime Soesia, Société Eternit Intégration architecturae des équipements iés aux énergies renouveabes Intégration architecturae des équipements

Plus en détail

Université libre FACULTÉ DES SCIENCES DE LA MOTRICITÉ. Kinésithérapie et réadaptation. Education physique. Ostéopathie.

Université libre FACULTÉ DES SCIENCES DE LA MOTRICITÉ. Kinésithérapie et réadaptation. Education physique. Ostéopathie. Kinésithérapie et réadaptation Education physique Ostéopathie Prévention santé Université ibre de Bruxees FACULTÉ DES SCIENCES DE LA MOTRICITÉ Pathoogies du sport 1 Locaux d enseignement, de recherche

Plus en détail

Prestations payantes complémentaires p 59

Prestations payantes complémentaires p 59 Sommaire Informations pratiques p 5 p 6 Lieu p 6 Accès au site : comment venir au Parc Chanot? p 7 Information agrément Air France p 8-9 Contacts p 10-11 Informations généraes p 12-13 Horaires et accès

Plus en détail

Les solutions pour une gestion de l éclairage simple et intelligente

Les solutions pour une gestion de l éclairage simple et intelligente Les soutions pour une gestion de écairage simpe et inteigente La gestion de écairage permet, en totae iberté, d adapter votre écairage à vos besoins tout en réaisant des économies, seon es exigences suivantes.

Plus en détail

C 230-... Eco CHAUDIÈRES GAZ AU SOL À CONDENSATION

C 230-... Eco CHAUDIÈRES GAZ AU SOL À CONDENSATION C 2-... Eco CHAUDIÈRES GAZ AU SO À CODESATIO C 2-85 à 21 Eco : de 18 à 2 kw pour chauffage centra à eau chaude et production d ecs par préparateur indépendant Chauffage seu, eau chaude sanitaire par préparateur

Plus en détail

Parlons d avenir. Ingénieur Télécom ParisTech. Innover et entreprendre dans un monde numérique

Parlons d avenir. Ingénieur Télécom ParisTech. Innover et entreprendre dans un monde numérique Parons d avenir Ingénieur Téécom ParisTech Innover et entreprendre dans un monde numérique INNOVER DANS UN MONDE NUMÉRIQUE À Téécom ParisTech, vous trouverez : Première grande écoe française d ingénieurs

Plus en détail

Les écarts des coûts hospitaliers sont-ils justifiables? Réflexions sur une convergence tarifaire entre les secteurs public et privé en France

Les écarts des coûts hospitaliers sont-ils justifiables? Réflexions sur une convergence tarifaire entre les secteurs public et privé en France Document de travai Working paper Les écarts des coûts hospitaiers sont-is justifiabes? Réfexions sur une convergence tarifaire entre es secteurs pubic et privé en France Zeynep Or (Irdes) Thomas Renaud

Plus en détail

Efficacité Energétique Diminuez vos coûts de production. Programme Energy Action pour l industrie

Efficacité Energétique Diminuez vos coûts de production. Programme Energy Action pour l industrie Efficacité Energétique Diminuez vos coûts de production Programme Energy Action pour l industrie Un programme d économies d énergie. Les solutions Energy Action de Schneider Electric. Des économies d énergie

Plus en détail

UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU

UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Odile VERBAERE UNE EXPERIENCE, EN COURS PREPARATOIRE, POUR FAIRE ORGANISER DE L INFORMATION EN TABLEAU Résumé : Cet article présente une réflexion sur une activité de construction de tableau, y compris

Plus en détail

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement

23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Serrurier Métallier. Thionville l Hayange l l s. Moyeuvre /Grande. Montigny les Metz l l l s. Morhange l s s. Verny. l l s Jarville l.

Serrurier Métallier. Thionville l Hayange l l s. Moyeuvre /Grande. Montigny les Metz l l l s. Morhange l s s. Verny. l l s Jarville l. Serrurier Métaier Formations 2009/2010 Lorraine 54 - Meurthe-et-Mosee 55 - Meuse 57 - Mosee 88 - Vosges Verdun k 55 Bar-e-Duc k Landres Briey Thionvie Hayange s Pont-à-Mousson k 54 Nancy Tou Moyeuvre /Grande

Plus en détail

Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE

Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE MANUEL MANAGEMENT QUALITE Révision janvier 2010 Ce document est la propriété de la MAP. Il ne peut être utilisé, reproduit ou communiqué sans son autorisation. MECANIQUE AERONAUTIQUE PYRENEENNE Place d

Plus en détail

Octobre 2011 ALIMENTAIRE. DOSSIER SANTé SécURITé N 4. Proximité : le retour. Rachat de contrat assurance-vie = danger

Octobre 2011 ALIMENTAIRE. DOSSIER SANTé SécURITé N 4. Proximité : le retour. Rachat de contrat assurance-vie = danger V O T R E M @ G A Z I N E D I N F O R M A T I O N M U T U A L I S T E N 4 Octobre 2011 DOSSIER SANTé SécURITé ALIMENTAIRE MUTUALITé Proximité : e retour MES DROITS ET MOI Rachat de contrat assurance-vie

Plus en détail

REMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION

REMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION REMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION THÈSE N O 2388 (2001) PRÉSENTÉE AU DÉPARTEMENT D'INFORMATIQUE ÉCOLE POLYTECHNIQUE FÉDÉRALE

Plus en détail

de l'économie à l'aménagement du territoire Rapport d'activités Société Financière Lorient Développement Capital investissement

de l'économie à l'aménagement du territoire Rapport d'activités Société Financière Lorient Développement Capital investissement de 'économie à 'aménagement du territoire Rapport d'activités 2011 Société Financière Lorient Déveoppement Capita investissement AUDELOR, outi d action outi de réfexion La production d un rapport d activité

Plus en détail

Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif

Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Principe de symétrisation pour la construction d un test adaptatif Cécile Durot 1 & Yves Rozenholc 2 1 UFR SEGMI, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, France, cecile.durot@gmail.com 2 Université

Plus en détail

COMITÉ ADMINISTRATIF ET JURIDIQUE. Quarante-huitième session Genève, 20 et 21 octobre 2003

COMITÉ ADMINISTRATIF ET JURIDIQUE. Quarante-huitième session Genève, 20 et 21 octobre 2003 ORIGINAL : anglais DATE : 18 juillet 2003 F UNION INTERNATIONALE POUR LA PROTECTION DES OBTENTIONS VÉGÉTALES GENÈVE COMITÉ ADMINISTRATIF ET JURIDIQUE Quarante-huitième session Genève, 20 et 21 octobre

Plus en détail

SAGEM F@st TM 2404/2444 Guide d Instaation Rapide Sommaire Présentation... 1 Pack... 2 Raccordements... 3 Instaation à partir du CD-ROM... 4 Instaation Wi-Fi... 5 Instaation Ethernet... 8 Instaation suppémentaire...

Plus en détail

CI/SfB (29) Et6. Janvier 2007. Dispositifs d Attente pour Béton Armé Pour l Industrie de la Construction

CI/SfB (29) Et6. Janvier 2007. Dispositifs d Attente pour Béton Armé Pour l Industrie de la Construction CI/SfB (29) Et6 Janvier 2007 Dispositifs d Attente pour Béton Armé Pour Industrie de a Construction 2 La société Ancon conçoit et réaise des produits en acier de grande fiaiité pour industrie de a construction.

Plus en détail

Journal municipal de Compton février/mars 2014 Volume 23 Numéro 2 www.compton.ca/echo. la Coop

Journal municipal de Compton février/mars 2014 Volume 23 Numéro 2 www.compton.ca/echo. la Coop LA FORCE CRÉATIVE D'UNE COMMUNAUTÉ Isabee Marissa Mosaïque : Les ateiers d Héios Photo Liimagine À ire en page 6 Journa municipa de Compton février/mars 2014 Voume 23 Numéro 2 www.compton.ca/echo Inscription

Plus en détail

Transferts thermiques en écoulements oscillants laminaires incompressibles

Transferts thermiques en écoulements oscillants laminaires incompressibles Internationa Journa of Refrieration 8 (005) 353 367 www.esevier.com/ocate/ijrefri Transferts thermiques en écouements osciants aminaires incompressibes Phiippe Nika*, Yannick Baiy, François Lanzetta Département

Plus en détail

ESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Le scoring

ESSEC. Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Le scoring ESSEC Cours «Management bancaire» Séance 3 Le risque de crédit Le scoring Les méthodes d évaluation du risque de crédit pour les PME et les ménages Caractéristiques Comme les montants des crédits et des

Plus en détail

THÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par.

THÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par. École Doctorale d Informatique, Télécommunications et Électronique de Paris THÈSE présentée à TÉLÉCOM PARISTECH pour obtenir le grade de DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH Mention Informatique et Réseaux par

Plus en détail

Langage SQL : créer et interroger une base

Langage SQL : créer et interroger une base Langage SQL : créer et interroger une base Dans ce chapitre, nous revenons sur les principales requêtes de création de table et d accès aux données. Nous verrons aussi quelques fonctions d agrégation (MAX,

Plus en détail

Le parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse

Le parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse Le parcours professionnel des chômeurs de longue durée en Suisse Cet article présente les premiers résultats d un projet de recherche qui étudie le parcours professionnel de personnes confrontées au chômage

Plus en détail

La classification automatique de données quantitatives

La classification automatique de données quantitatives La classification automatique de données quantitatives 1 Introduction Parmi les méthodes de statistique exploratoire multidimensionnelle, dont l objectif est d extraire d une masse de données des informations

Plus en détail

Structuration des décisions de jurisprudence basée sur une ontologie juridique en langue arabe

Structuration des décisions de jurisprudence basée sur une ontologie juridique en langue arabe Structuration des décisions de jurisprudence basée sur une ontologie juridique en langue arabe Karima Dhouib, Sylvie Després Faiez Gargouri ISET - Sfax Tunisie, BP : 88A Elbustan ; Sfax karima.dhouib@isets.rnu.tn,

Plus en détail

ECO ECO. Probablement le chauffe-eau solaire le plus évolué du monde. Eco 200 / Eco 250 / Eco 300 / Eco 450 ENERGIE CATALOGUE 13

ECO ECO. Probablement le chauffe-eau solaire le plus évolué du monde. Eco 200 / Eco 250 / Eco 300 / Eco 450 ENERGIE CATALOGUE 13 co 00 / co 0 / co 00 / co 0 NR TOU O Probabement e chauffe-eau soaire e pus évoué du monde isponibe avec des capacités de 00 à 0 itres. Versions avec un ou deu panneau soaires, avec ou sans serpentin suppémentaire.

Plus en détail

Le Lieutenant-colonel Mamoudou Seydou prend le commandement

Le Lieutenant-colonel Mamoudou Seydou prend le commandement Sciences et NUMERO 7894 JEUDI 18 mars 2010 150 FCFA technoogie Le marché de 'automédication se maintient P-11 Passation de commandement au 12ème bataion interarmes de Niamey Le 12ème bataion interarmes

Plus en détail

Informations techniques. Ultrason Mesure du niveau dans des liquides et des solides en vrac/pulvérulents VEGASON 61, 62, 63

Informations techniques. Ultrason Mesure du niveau dans des liquides et des solides en vrac/pulvérulents VEGASON 61, 62, 63 Informations techniques Utrason Mesure du niveau dans des iquides et des soides en vrac/puvéruents VEGASON 6, 6, 6 Tabe des matières Tabe des matières Principe de mesure.......................................................................................

Plus en détail

Etude d un cas industriel : Optimisation de la modélisation de paramètre de production

Etude d un cas industriel : Optimisation de la modélisation de paramètre de production Revue des Sciences et de la Technologie RST- Volume 4 N 1 /janvier 2013 Etude d un cas industriel : Optimisation de la modélisation de paramètre de production A.F. Bernate Lara 1, F. Entzmann 2, F. Yalaoui

Plus en détail

REVUE DE PRESSE Juillet - Août - Septembre 2009

REVUE DE PRESSE Juillet - Août - Septembre 2009 Sécuriser / Optimiser / Anayser utiisation intern REVUE DE PRESSE Jui - Août - Septembre 2009 Contacts presse CYMBIOZ OLFEO Laëtitia Berché Emiie Neige aitiaberche@cymbiozcom eneige@ofeocom Té : 01 42

Plus en détail

8 Certifications Minergie

8 Certifications Minergie 8 Chapitre 8 Être Minergie, est-ce aussi être «autrement»? Pour de nombreux acteurs du marché immobilier, un label de durabilité devrait s accompagner d une appréciation de la valeur de leur immeuble,

Plus en détail

Le Marketing au service des IMF

Le Marketing au service des IMF Le Marketing au service des IMF BIM n 06-20 février 2002 Pierre DAUBERT Nous parlions récemment des outils d étude de marché et de la clientèle créés par MicroSave-Africa, qui s inscrit dans la tendance

Plus en détail

Exemple PLS avec SAS

Exemple PLS avec SAS Exemple PLS avec SAS This example, from Umetrics (1995), demonstrates different ways to examine a PLS model. The data come from the field of drug discovery. New drugs are developed from chemicals that

Plus en détail

Grenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE

Grenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE Grenelle de l environnement BONUS ECOLOGIQUE N 51243#03 Décret n 2010-1618 du 23 décembre 2010 modifiant le décret n 2007-1873 du 26 décembre 2007 instituant une aide à l acquisition des véhicules propres

Plus en détail

Étude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France

Étude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France Étude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France Le 13 octobre 2014 Autorité des marchés financiers 17, place de la Bourse 75082 Paris cedex 02 Tél. : 01 53

Plus en détail

CAC, DAX ou DJ : lequel choisir?

CAC, DAX ou DJ : lequel choisir? CAC, DAX ou DJ : lequel choisir? 1. Pourquoi cette question Tout trader «travaillant 1» sur les indices s est, à un moment ou un autre, posé cette question : «je sais que la tendance est bien haussière

Plus en détail

Lombalgies chroniques non spécifiques

Lombalgies chroniques non spécifiques Lombagies chroniques non spécifiques Dr Y.-A. VIMONT @FMC36 11 avri 2013 «La Gourmandine» Ciquez pour modifier e stye des sous-titres du masque INTRODUCTION Probématique fréquente et compexe Enjeux humains

Plus en détail

The space to start! Managed by

The space to start! Managed by The space to start! Managed by ESA Business Incubation Centers (ESA BICs) : un programme de soutien à la création d entreprises L Agence Spatiale Européenne (ESA) dispose d un programme de transfert de

Plus en détail

Règles de l indice EDHEC IEIF Immobilier d Entreprise France

Règles de l indice EDHEC IEIF Immobilier d Entreprise France Règles de l indice EDHEC IEIF Immobilier Septembre 2012 in partnership with Institute Table des matières 1. Règles de l indice EDHEC IEIF Immobilier...3 1.1 Définition de l indice...3 1.2 Univers de l

Plus en détail

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un

Plus en détail

Comptes de la folie (auto)routière 1

Comptes de la folie (auto)routière 1 INSTITUT POUR UN DÉVELOPPEMENT DURABLE Institut pour un Développement Durable Rue des Fusillés, 7 B-1340 Ottignies Tél : 010.41.73.01 E-mail : idd@iddweb.be Comptes de la folie (auto)routière 1 par Philippe

Plus en détail

TRAITEMENT DES DONNEES MANQUANTES AU MOYEN DE L ALGORITHME DE KOHONEN

TRAITEMENT DES DONNEES MANQUANTES AU MOYEN DE L ALGORITHME DE KOHONEN TRAITEMENT DES DONNEES MANQUANTES AU MOYEN DE L ALGORITHME DE KOHONEN Marie Cottrell, Smaïl Ibbou, Patrick Letrémy SAMOS-MATISSE UMR 8595 90, rue de Tolbiac 75634 Paris Cedex 13 Résumé : Nous montrons

Plus en détail