Observatoire du marché des noms de domaine en France AFNIC - INT

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1 Observatoire 2007 du marché des noms de domaine en France AFNIC - INT

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3 Observatoire du marché des noms de domaine en France édition 2007

4 Avant-propos Ce document constitue la première édition d un observatoire du marché des noms de domaine en France. Il a été rédigé au cours du mois de septembre Les statistiques présentées ont été obtenues au moyen de différentes sources : extraction d informations non confidentielles de la base AFNIC, sites d information publics, enquêtes d opinion. Les auteurs remercient l ensemble des personnes qui leur ont fourni des informations utiles à la mise en œuvre de cet observatoire. Cette étude a été réalisée dans le cadre d un contrat de recherche entre l AFNIC et l INT, au cours des mois de juillet à septembre Les informations ultérieures n ont pas pu être prises en compte dans cette version de l observatoire

5 Introduction Présentation de l AFNIC L AFNIC est une association loi 1901, créée en décembre 1997 à l initiative des pouvoirs publics pour gérer les extensions.fr et.re. Ces deux extensions Internet de premier niveau correspondent à des territoires français (France et Île de la Réunion). L AFNIC accueille des membres personnes morales et personnes physiques. Son conseil d administration est composé de dix membres dont cinq sont nommés par les pouvoirs publics (deux par l INRIA pour des raisons historiques, deux par le Ministère de l industrie et un par le Ministère de la recherche). Les cinq autres membres sont élus parmi les bureaux d enregistrement (deux), les représentants des utilisateurs (deux) et le Collège international (un). Définies dans un document intitulé «charte de nommage», les conditions d attribution des noms de domaine en.fr ont d abord été assez restrictives. Avec le temps, l AFNIC s est efforcée d assouplir ces règles tout en préservant l extension française de dérives qui marquaient d autres extensions plus ouvertes, notamment en matière d atteinte aux droits des tiers. Les deux principales étapes de ce processus d assouplissement ont été d une part l abandon de l obligation de prouver des droits sur un nom pour pouvoir l enregistrer, tout en conservant l identification du titulaire a posteriori (mai 2004), et d autre part l ouverture aux particuliers (juin 2006). En parallèle, l AFNIC s est engagée dans une logique de réduction de ses tarifs qui sont passés de 15 euros en 2002 à 4,8 euros en L extension.fr comptait au 1er octobre 2007 plus de noms de domaine dont près de déposés par des titulaires personnes physiques. En tant que registre des extensions.fr et.re, membre de plusieurs organisations professionnelles internationales, l AFNIC occupe une position privilégiée pour saisir et rendre compte des caractéristiques et des grandes tendances du marché des noms de domaine en France comme à l international : c est un organisme neutre et indépendant, son expertise sur ces sujets est reconnue et sa «signature» gage de crédibilité, elle est en prise avec tous les acteurs du marché français, et en relation permanente avec ses homologues à l international. De ce fait, l AFNIC peut légitimement prétendre à devenir le maître d œuvre d une plate-forme de veille mutualisée, qui permettra à chacun de bénéficier des résultats d études qu il n aurait pu envisager de faire par lui-même. - -

6 Pourquoi un observatoire du marché des noms de domaine en France? Il existe déjà plusieurs services d information liés aux noms de domaine mais ces organes ont une vision mondiale et généraliste, sans pouvoir accéder aux données propres des registres et sans rechercher l analyse en profondeur des différents marchés. L AFNIC souhaite entreprendre cette démarche qui pourra profiter aux acteurs du marché eux-mêmes, mais aussi aux pouvoirs publics et aux organismes de développement de l Internet en France. Ainsi, les objectifs généraux de cet observatoire sont de : donner une image fiable du marché et de ses acteurs, fournir des clefs d analyse sur les facteurs déterminants le marché et sur les tendances de celui-ci, contribuer à faire connaître et reconnaître ce marché et ses spécificités par les acteurs privés et publics, identifier les forces et faiblesses du marché et proposer des recommandations pour le registre et/ou les bureaux d enregistrement. - -

7 Préambule Ce rapport est structuré en sept sections correspondant aux grands champs d analyse du marché des noms de domaine : Le contexte Les noms de domaine.fr Les titulaires de noms Les bureaux d enregistrement Les technologies Les usages Les tendances et perspectives du marché Chaque section est elle-même composée d un certain nombre de chapitres, qui rendent compte des indicateurs du marché correspondants. Pour chaque chapitre, nous précisons les sources d information et les méthodes d analyse utilisées. De manière générale, les sources d information suivantes ont été prises en compte dans cet observatoire : des données issues de la base de données AFNIC, traitées et agrégées au moyen de différents programmes informatiques ; des informations publiques diffusées par différents organismes (INSEE, ARCEP, sites publics d information ) ; les résultats d enquête d opinion déjà réalisées par l AFNIC. Le rapport se termine avec une table des matières, la liste des tableaux, des figures et des références utilisées ainsi qu un glossaire des acronymes et sigles employés dans ce document. - -

8 Résumé Un contexte de forte croissance Les marchés nationaux de noms de domaine sont intimement liés à l utilisation d Internet et donc à l équipement des ménages dans chaque pays. En France, plus d un ménage sur deux est désormais équipé d un micro-ordinateur et l on recense plus de 30 millions d internautes individuels en Cette croissance est essentiellement due au développement des accès ADSL et au dégroupage de la boucle locale. La France reste cependant en retrait par rapport à la moyenne des pays développés en termes d accès Internet par habitant. Au niveau mondial, l extension générique.com domine toujours très largement le marché avec plus de 60 millions de noms de domaine déposés et une croissance annuelle de 30%. Quelques extensions nationales sont également bien placées du fait de conditions d enregistrement libérales ainsi que d un marché intérieur très actif (Allemagne et Royaume-Uni). L extension française reste encore en retrait en termes de nombre de noms de domaine déposés par habitant, mais cette situation est cependant en cours d évolution du fait des modifications récentes de sa charte d enregistrement (abandon du droit au nom en 2004 et ouverte aux particuliers en 2006). Les conditions précédemment en vigueur, plus restrictives, ont longtemps incité les citoyens français à se tourner vers les extensions génériques. Aujourd hui, ce sont les deux extensions.com et.fr qui tirent la croissance actuelle du parc de noms de domaine déposés en France. Par ailleurs, les études de répartition géographique indiquent que la France détiendrait environ 2% des noms de domaine déposés dans les extensions génériques, ainsi que 3% des hôtes Internet et 1% des serveurs Web. Un espace de nommage encore modérément saturé L extension française comprenait en octobre 2007 plus de noms de domaine, enregistrés majoritairement au premier niveau (directement sous le.fr). Les deux modifications de la charte AFNIC en 2004 et 2006 ont sensiblement accru la demande, faisant ainsi passer le taux de croissance annuel de 12% à 44% en quelques années. Si les particuliers ne contrôlent pour l instant que le tiers de l ensemble des noms, ils contribuent notablement au développement du marché français en enregistrant un nom de domaine sur deux dans l extension nationale. Les titulaires de noms de domaine.fr détiennent, pour une large majorité d entre eux, uniquement un nom de domaine sous cette extension, qu il s agisse de particuliers ou de personnes morales. Quelques titulaires isolés possèdent cependant plusieurs milliers de noms, essentiellement des «domainers» gérant des portefeuilles de noms destinés à la revente sur le second marché ou à l exploitation du trafic qu ils génèrent. L analyse de la structure des noms déposés indique que l extension.fr est actuellement largement moins saturée que les extensions génériques, particulièrement le.com. Ainsi la longueur la plus utilisée est de huit caractères en.fr alors que les détenteurs de domaines génériques doivent choisir des noms un peu plus longs (dix caractères). Sans surprise, l analyse des caractères utilisés fait apparaître des fréquences proches - -

9 de celles de la langue française. On note cependant une utilisation importante du caractère tiret (30% des noms), loin devant l usage des chiffres. Les tirets servent en effet de séparateurs afin de composer des noms de domaine à partir de chaînes de caractères élémentaires dont les plus utilisées sont «france», «mairie» ou encore «immobilier». On note également que 8% des mots du dictionnaire français ont déjà été déposés sous l extension nationale (mais 70% des mots les plus courants), un nom de commune sur quatre et 60% des raisons sociales des principales entreprises françaises. Ces chiffres sont cependant bien inférieurs à ceux de l extension.com qui apparaît comme beaucoup plus saturée sur ces différents critères. Les titulaires de noms : jeunes et urbains La localisation géographique des titulaires de noms de domaine.fr fait apparaître de grandes disparités entre les départements. Logiquement, les départements les plus peuplés arrivent en tête : à titre d exemple, l Île-de-France détient 40% des noms de domaine déposés en France par des particuliers ou par des entreprises. Inversement, les départements ruraux possèdent les taux les plus faibles de noms de domaine déposés par habitant et par entreprises. Enfin, moins de 2% des titulaires personnes morales sont localisés hors de France (titulaires de marques couvrant le territoire français). La pyramide des âges des particuliers détenteurs de noms de domaine.fr présente un âge médian de 35 ans, nettement inférieur à celui de la population générale du fait d une moindre utilisation d Internet par les seniors. On y retrouve également la trace des événements historiques ayant eu des incidences sur le plan démographique (guerre mondiale et baby-boom). Un marché des bureaux d enregistrement en cours de structuration Il y avait mi-2007 près de bureaux d enregistrement de noms de domaine.fr adhérant à l AFNIC. Après une forte croissance jusqu à 2001, puis de manière plus limitée lors de l abandon du droit au nom en 2004, le marché semble actuellement en cours de structuration. La localisation géographique des bureaux d enregistrement fait à nouveau apparaître une forte prédominance des départements français les plus peuplés. Par ailleurs, 12% sont situés à l étranger, majoritairement en Europe. Une étude sur les 30 premiers bureaux d enregistrement de noms de domaine.fr a permis de mettre en évidence les services les plus proposés à la vente (nom seul ou pack lié à un hébergement Web), ainsi que la gamme des tarifs pratiqués. L éventail obtenu (de 6 à 110 ) correspond aux différences observées en termes de marché (particuliers, PME ou grandes entreprises) et de services à valeur ajoutée (services juridiques, référencement, etc.), une situation d autant plus intéressante à constater que les tarifs pratiqués par l AFNIC pour les.fr restent du même ordre que ceux de la plupart des extensions comparables. Le marché des bureaux d enregistrement de noms de domaine.fr apparaît comme nettement déconcentré sur le secteur des personnes morales, le premier acteur détenant seulement 15% de parts de marché. Il est nettement plus concentré sur le secteur des particuliers (25% pour le premier acteur). On note par ailleurs qu un nombre très important de bureaux d enregistrement gèrent des portefeuilles très limités (quelques noms seulement). La majorité des bureaux d enregistrement possède une clientèle essentiellement professionnelle

10 Inversement, quelques bureaux d enregistrement parmi les plus importants ont une clientèle exclusivement grand public. L évolution globale du marché français des noms de domaine a connu des évolutions contrastées : après une phase de concentration régulière jusqu en 2003, l abandon du droit au nom a provoqué une déconcentration avec un éparpillement des parts de marché entre les acteurs en présence. L ouverture aux particuliers en 2006 a eu un effet inverse : plusieurs nouveaux acteurs de taille importante ont investi ce nouveau marché, captant des portefeuilles de noms importants et entraînant de fait une reconcentration du marché. Au niveau mondial, seul 1,5% des bureaux d enregistrement accrédités ICANN est situé en France. En nombre de noms déposés, ils se situent derrière les principaux acteurs du marché. Par ailleurs, le marché mondial des extensions génériques possède un niveau de concentration entre acteurs très proche de celui du marché français de l extension nationale. Le «second marché» est de plus en plus dynamique, phénomène encore émergent en France mais participant d une prise de conscience progressive des acteurs de la valeur intrinsèque de certains noms de domaine qui peuvent à bon droit être considérés comme autant d actifs appartenant aux patrimoine de leurs titulaires. Les serveurs DNS L analyse de la base AFNIC indique qu une large majorité des noms de domaine.fr ne compte que deux serveurs DNS dans leur configuration, qui est souvent celle définie par défaut par leur bureau d enregistrement. Inversement, les serveurs de domaine présents dans la base possèdent des caractéristiques très variées. Ainsi la moitié d entre eux ne gèrent qu un unique nom de domaine, alors qu à l opposé les quelques serveurs DNS des principaux bureaux d enregistrement contiennent plusieurs dizaines de milliers d enregistrement. Ce constat conduit à recommander aux titulaires de noms de domaine de veiller à mieux diversifier les serveurs DNS et réseaux dont dépendent techniquement leurs noms de domaine. Des usages majoritairement professionnels Une étude basée sur un échantillon aléatoire de noms de domaine.fr a permis de mettre en évidence l usage qui est fait des noms sur le Web. Les sites associés aux noms de domaine français sont majoritairement professionnels (un nom sur deux), alors que les sites personnels se trouvent être dix fois moins nombreux, conséquence de l ouverture plus récente aux particuliers. Certains noms correspondent également à des pages d attente (17%) ou à des pages de liens sponsorisés (6%) aussi appelées «pages de parking». Les sites professionnels couvrent un vaste ensemble de domaines d activité, parmi lesquelles les services informatiques et autres services aux entreprises, le tourisme et les loisirs, les médias, ou encore les secteurs de la santé et de l habitat possèdent des places privilégiées. Enfin, 20% des sites utilisent une redirection d adresse vers un autre site Web. - -

11 Le.fr parait significativement bien placé en termes d usages réels par rapport à d autres extensions comme le.eu (60% de sites actifs dont 5,6% de sites personnels sous.fr contre 54% dont 2,8% de sites personnels pour le.eu). En termes de perception des noms de domaine, des enquêtes d opinion effectuées pour le compte de l AFNIC ont pu mettre en évidence un ensemble de points marquants. L extension.fr possède toujours une image particulière pour les citoyens français : ils estiment qu elle doit garder un lien fort avec le territoire national et ses valeurs sous-jacentes, l associent à la francophonie et apprécient la sécurité apportée par la compétence des tribunaux français en cas de litiges. Par ailleurs, les internautes ont désormais conscience de la possibilité d enregistrer des noms de domaine.fr pour les particuliers, même si les détails de la procédure sont encore peu maîtrisés (manque de connaissance de l AFNIC et des bureaux d enregistrement, des conditions d éligibilité ou de la notion d espace de confiance). Sur le plan juridique, un ensemble graduel de procédures ont été mises en place par l AFNIC afin de gérer les éventuels litiges sur les noms de domaine.fr, depuis les vérifications de conformité effectuées par le registre lui-même aux procédures judiciaires classiques, en passant par les procédures d arbitrage et de médiation. Il est intéressant de noter que la proportion de plaintes émanant de structures françaises auprès de l OMPI pour les extensions génériques est cinq fois supérieure à la proportion de noms génériques déposés en France. Ceci pourrait indiquer que les entreprises françaises ont, plus que leurs consœurs étrangères, opté pour une politique de dépôts réduits assortis d actions litigieuses en cas de nuisances. Éléments de perspectives Bien que le marché des noms de domaine en France pris dans son ensemble soit encore relativement moins développé que dans d autres pays, la tendance lourde semble être à une forte dynamique dans les prochaines années, une dynamique dont le.fr devrait profiter pleinement du fait de son image privilégiée aux yeux des internautes français, qui l associent à la francophonie, à l appartenance à la communauté de l internet français ou à la proximité de l éditeur du site et de ses visiteurs. Incontournable, devenu très facile d accès et géré dans un souci permanent de protéger les données personnelles des titulaires personnes physiques et les droits des tiers, le.fr devrait logiquement continuer de s imposer en France. Cette tendance devrait s accroître encore du fait de l augmentation des tarifs des registres des extensions génériques ( ), qui va offrir au.fr un avantage compétitif structurel en termes de tarifs dont il avait peu bénéficié jusqu à présent. Le.fr dispose d atouts enviables pour poursuivre son développement sur un marché en forte croissance et stimulé par une maturité de plus en plus sensible des utilisateurs. Tout en confortant ses fondements juridiques et organisationnels, les pouvoirs publics ont dans les prochains mois l occasion de renforcer cette dynamique et de donner au.fr et à ses acteurs les moyens d occuper une place de référence dans le cadre mondial de l Internet. - -

12 Première partie : le contexte Chapitre 1 Données générales du contexte «Internet» en France Source des données : Médiamétrie, Journal du Net, ARCEP, INSEE. Ce chapitre présente une synthèse de l utilisation d Internet en France. Équipement des ménages Le taux d équipement des ménages en micro-ordinateurs est en croissance régulière depuis de nombreuses années : près de 55% des foyers en sont aujourd hui équipés selon Médiamétrie 1. Le taux d équipement des ménages en accès Internet croît parallèlement : il concernait début 2007 plus de 45% des foyers, de plus en plus de foyers s équipant en micro-informatique en y associant un accès Internet. À titre de comparaison, la France se situait en 2005 dans la seconde moitié des pays de l OCDE concernant le taux d équipement des foyers en micro-ordinateurs et en accès Internet. Or le taux d équipement des ménages en micro-ordinateurs est un facteur qui influence fortement le taux de pénétration d Internet et donc l usage des noms de domaine. Le nombre d internautes en France était de 30,6 millions en juin 2007 selon Médiamétrie 2 (Français âgés de 11 ans et plus qui se sont connectés à Internet au cours du dernier mois). Accès Internet Le nombre d accès Internet (bas débit et haut débit) atteignait 15,9 millions au premier trimestre 2007 selon l ARCEP 3. Le nombre d accès haut débit a dépassé le bas débit au cours du quatrième trimestre 2004, et c est désormais le haut débit qui tire la croissance globale de l Internet en France avec des taux de croissance de l ordre de 30% par an 4. La figure suivante est extraite du rapport «Perspectives des communications de l OCDE, édition 2007» 5. Elle représente l ensemble des accès fixes à Internet (hors téléphonie mobile), incluant à la fois les accès bas débit (commuté) et les accès haut débit, et permet d observer la diversité des technologies d accès Internet utilisées dans l ensemble des pays de l OCDE (Figure 1). Concernant le nombre total d abonnés à Internet fixe pour 100 habitants, la France se situait légèrement en retrait à la fin 2005 par rapport à la moyenne des pays de l OCDE : 21,2 abonnés pour 100 habitants contre 24,5. Elle se plaçait ainsi devant les pays du Sud de l Europe (Italie, Espagne, Portugal, Grèce), mais loin derrière les Pays-Bas, l Allemagne et les États-Unis par exemple

13 Cependant, concernant le haut débit, la France se situait en 2005 un peu au-dessus de la moyenne OCDE : 17,7 accès haut débit pour 100 habitants contre 15,3, avec une forte prédominance de la technologie ADSL. L Internet sur le câble y est peu développé, proportionnellement à des pays comme le Canada, les Pays-Bas ou les États-Unis. Quant aux accès sur la fibre optique, ils étaient pratiquement inexistants en France à l époque, alors que leur développement était déjà soutenu au Danemark, en Corée du Sud ou au Japon. Sur l ensemble de la zone OCDE, la technologie ADSL arrivait en première position (63%), devant le câble (30%) et les autres accès (7%) Abonnés pour 100 habitants DSL Câble Autre haut débit Accès commuté Suisse Suède Danemark Australie Pays-Bas Allemagne Etats-Unis Norvège Finlande Islande Royaume-Uni Corée Luxembourg Canada Japon OCDE République Tchèque Autriche Irlande France Belgique Italie Nouvelle-Zélande Espagne Portugal Hongrie Pologne Grèce République Slovaque Mexique Turquie Source : «Les perspectives des communications de l OCDE 2007», OCDE 2007, Figure 1 Nombre d accès Internet fixe pour 100 habitants en décembre 2005 dans les pays de l OCDE, par technologies d accès

14 Usages d Internet Une enquête INSEE de mai a permis de mettre en évidence les principaux usages des internautes en France (Figure 2). Ces usages concernent essentiellement la recherche d information (77% des internautes recherchent des informations sur des biens ou des services), les outils de communication (73% utilisent la messagerie électronique), les services pratiques (banque en ligne, e-commerce) et les loisirs (musique, vidéos, jeux). Ces valeurs moyennes cachent cependant de grandes disparités liées à l âge. Ainsi les ans utilisent beaucoup plus les outils de messagerie instantanée (62%) et les forums de discussion (41%) que la population générale. Ils sont également plus adeptes de téléchargement de musiques ou de films (60%) et de jeux (34%). D autres disparités liées au sexe et au milieu social existent également. Usages des internautes en France (source : INSEE, octobre 2005) Recherche d'informations sur des biens ou services 77% Types d'usages (recherche d'informations, communication, vie pratique et loisirs) Recherche d'informations sur la santé 28% Lecture de journaux ou de magazines 20% Chat et forums 18% Téléphonie sur Internet 10% Paiement de factures 6% Bourse en ligne 3% Messagerie instantanée 33% Achat sur Internet 34% Organisation de vacances 33% Formalités administratives Recherche d'emploi 13% 25% Téléchargement de musiques/films 31% Téléchargement de logiciels 26% Jeux en ligne 20% Banque en ligne 39% Recherche documentaire 68% Recherche d'informations administratives 52% Messagerie électronique 73% 0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70% 80% 90% 100% Pourcentage des internautes Figure 2 Principaux usages d Internet en France

15 Chapitre 2 Données générales du contexte «Noms de domaine» dans le monde Source des données : AFNIC, autres registres, OCDE, Zooknic, WebHosting.Info, Ipwalk, ISC, Security Space. L objectif de ce chapitre est de fournir des données statistiques sur l usage des noms de domaine dans le monde (ensemble des extensions), ainsi que sur les hôtes Internet et les serveurs Web. Utilisation des différentes extensions dans le monde La figure suivante représente le classement des principales extensions génériques et des principales extensions nationales au mois de septembre Les statistiques utilisées ont été compilées par l AFNIC à partir des sites officiels des registres et approximées dans certains cas. Ce classement montre que l extension générique.com est très largement en tête avec plus de 62 millions de noms de domaine (Figure 3). Les extensions.de (Allemagne) et.net (générique) suivent avec respectivement 11 et 8 millions de noms, le.cn (Chine) étant en passe de rattraper le.net. On trouve ensuite les extensions.uk (Royaume-Uni),.org (générique),.info (générique),.nl (Pays-bas) et.eu (Europe). On notera le dynamisme de certaines extensions nationales qui jouent à armes égales avec les extensions génériques (.de,.uk,.nl et plus récemment.cn du fait d une stratégie tarifaire très agressive). L extension française se plaçait en septembre 2007 à la 15ème place de ce classement, avec près de noms enregistrés, en progression forte depuis l ouverture aux particuliers de juin

16 Nombre de noms de domaine enregistrés en septembre 2007 par extensions Extensions DE (Allemagne); NET; CN (Chine; UK (Royaume-Uni); ORG; INFO; NL (Pays-Bas); EU (Europe); BIZ; IT (Italie); CH (Suisse); RU (Russie); JP (Japon); FR (France); KR (Corée du Sud); FR (France); CA (Canada); AT (Autriche); DK (Danemark); AT (Autriche); PL (Pologne); BE (Belgique); SE (Suède); ES (Espagne); NO (Norvège); CZ (Tchéquie); HU (Hongrie); NZ (Nlle-Zélande); MX (Mexique); GR (Grèce); PT (Portugal); COM; Nombre de noms de domaine Figure 3 Nombre de noms de domaine en septembre 2007, par extensions La figure suivante est extraite du rapport 2007 de l OCDE sur les perspectives des communications 5, elle présente un classement des extensions nationales en fonction du nombre de noms de domaine enregistrés pour habitants pour les pays de l OCDE en juillet 2006 (Figure 4). Cinq extensions se partagent la tête du classement avec plus de 100 noms enregistrés pour habitants :.dk (Danemark),.de (Allemagne),.nl (Pays-Bas),.ch (Suisse) et.be (Belgique). L extension française se trouvait en juillet 2006 en position 25 de ce classement, avec 9 noms enregistrés pour habitants. Un an plus tard, suite à l ouverture aux personnes physiques, ce ratio est désormais un peu inférieur à 14 noms de domaine pour habitants

17 Enregistrements pour 1000 habitants Danemark.dk Allemagne.de Pays-Bas.nl Suisse.ch Belgique.be Royaume-Uni.uk Autriche.at Norvège.no Nouvelle-Zélande.nz Luxembourg.lu Islande.is Suède.se Australie.au Finlande.fi République tchèque.cz Source : «Les perspectives des communications de l OCDE 2007», OCDE 2007, Hongrie.hu Canada.ca Italie.it République slovaque.sk Irlande.ie Corée.kr Grèce.gr Pologne.pl Portugal.pt France.fr Espagne.es Japon.jp Mexique.mx Turquie.tr Figure 4 Nombre de noms de domaine pour habitants en juillet 2006, par extension nationale pour les pays de l OCDE Les extensions génériques ont connu des croissances contrastées, selon les statistiques du site Zooknic 7. Après un léger recul suite à l explosion de la bulle Internet en , l extension.com a connu une croissance spectaculaire, passant de 20 à 60 millions de noms de domaine en cinq ans. Les autres extensions génériques connaissent des croissances plus modérées. Notons aussi l impact temporaire des opérations promotionnelles, comme celle sur l extension.info fin 2005 : les noms proposés gratuitement n ont pas été renouvelés pour une grande partie à l expiration de la période de promotion. Le rapport 2007 de l OCDE sur les perspectives des communications 5 présente la progression annuelle moyenne, de 2000 à 2006, du nombre de noms de domaine correspondant aux extensions nationales des pays de l OCDE. Avec 36% de croissance annuelle, l extension française se situe en huitième position sur les 31 pays de ce classement, derrière la Belgique, le Canada, la Suède, l Espagne, la Pologne, la Grèce et la Finlande (Figure 5). Ainsi, si le.fr n est pas l une des plus «grosses» extensions à ce jour, sa progression l inscrit parmi les extensions les plus dynamiques, une tendance encore renforcée depuis juin 2006 par son ouverture aux personnes physiques

18 80 % Belgique.be Canada.ca Suède.se Espagne.es Pologne.pl Grèce.gr Finlande.fi France.fr Portugal.pt Norvège.no Etats-Unis.us Allemagne.de Hongrie.hu Australie.au Islande.is Japon.jp Irlande.ie Source : «Les perspectives des communications de l OCDE 2007», OCDE 2007, Nouvelle-Zélande.nz République tchèque.cz Principaux gtlds Turquie.tr Mexique.mx Autriche.at Danemark.dk Pays-Bas.nl Italie.it Suisse.ch Royaume-Uni.uk République slovaque.sk Luxembourg.lu Corée.kr Figure 5 Progression annuelle moyenne des enregistrements de noms de domaine par extension entre 2000 et 2006, pour les pays de l OCDE Répartition entre extensions génériques et extensions nationales La répartition moyenne sur la zone OCDE indique que l extension.com domine largement avec la moitié environ du marché des noms de domaine enregistrés. Les extensions nationales représentent en moyenne 30% environ des noms déposés dans chacun des pays. Les autres extensions génériques se partagent les 20% restants. L observation pays par pays indique cependant que les situations sont très contrastées. L extension.us est très minoritaire aux États-Unis, les Américains ayant historiquement utilisé en priorité les extensions génériques. Dans quelques autres pays également, la proportion de noms de domaine génériques est supérieure à la moyenne OCDE : la Turquie, le Canada, l Espagne et la France. En France, pendant plusieurs années, les utilisateurs se sont tournés majoritairement vers les extensions génériques du fait du caractère relativement fermé de l extension nationale. Inversement, des pays comme la Belgique ou la République Slovaque utilisent presque exclusivement leur extension nationale plutôt que des noms génériques. On peut également s apercevoir que, à l exception des États-Unis pour des raisons historiques, les pays qui possèdent les plus forts taux de noms de domaine par habitant sont majoritairement des pays où l extension nationale est préférée par rapport aux extensions génériques : Danemark, Allemagne, Pays-Bas, Suisse, etc

19 Répartition géographique des noms de domaine Le site Ipwalk propose des estimations concernant la répartition géographique des noms de domaine génériques dans le monde. Un peu moins des deux tiers des noms de domaine seraient enregistrés aux États-Unis (62 à 64%). Les pays suivants sont l Allemagne, le Royaume-Uni, le Canada et la Chine (entre 3 et 6% des noms de domaine génériques par pays). La France se situe juste derrière, avec environ 2% des noms de domaine génériques (Figure 6). Ce chiffre de 2% montre que les acteurs français ont encore relativement peu adopté une logique d optimisation de leur présence sur internet via les noms de domaine. Cette situation ne saurait durer encore très longtemps ; la taille modeste du marché français en regard de pays comparables devrait donc connaître un fort développement dans les années à venir, à mesure que les utilisateurs seront mieux sensibilisés aux avantages qu ils peuvent retirer de l enregistrement et de l utilisation de noms de domaine. Répartition des noms de domaine génériques.com/.net/.org/.info/.biz selon le pays d'enregistrement (août 2007, selon Ipwalk) Italie 0,8% Pays-Bas 0,7% Espagne 0,9% Corée du Sud 1,1% Autres pays 4,4% Japon 1,1% France 1,8% Royaume-Uni 2,9% Chine 3,0% Canada 4,1% Allemagne 5,7% Pays inconnu 9,2% États-Unis 64,2% Figure 6 Répartition des noms de domaine génériques par pays (selon Ipwalk) Hôtes Internet et serveurs Web Les noms de domaine sont utilisés pour identifier des hôtes Internet («Internet hosts»). Il s agit des équipements utilisant la technologie IP et possédant un nom dans le système DNS, essentiellement des serveurs (serveurs Web, serveur de messagerie, etc.) et des équipements de réseaux (routeurs IP, etc.)

20 Le site ISC (Internet Systems Consortium) 8 publie une estimation régulière du nombre d hôtes Internet par extensions. La méthodologie utilisée consiste à interroger le système DNS pour trouver l extension associée à chacune des adresses IP possibles (avec des optimisations permettant de réduire le nombre d adresses utilisées). Noter que ces estimations sont probablement sous-estimées, dans la mesure où la présence de pare-feux de plus en plus nombreux sur Internet ne permet pas d identifier certains hôtes au moyen de la méthodologie adoptée. Contrairement aux statistiques sur les noms de domaine, c est ici l extension.net qui tient le haut du pavé, avec 37% des hôtes, contre 17,5% pour l extension.com (Figure 7). L extension.net est en effet très largement utilisée par les opérateurs de réseaux qui s en servent pour identifier leurs équipements (routeurs, passerelles de messagerie, équipements DSL, etc.). Un seul nom de domaine d extension.net peut ainsi servir à identifier des milliers d équipements gérés par un opérateur, là où un nom d extension.com ne servira par exemple que pour un unique serveur Web hébergeant le site associé. L extension.fr se trouve en sixième position avec 2,7% des hôtes Internet, derrière.jp (Japon),.de (Allemagne) et.it (Italie). Cette plutôt bonne position montre que l extension.fr est utilisée par un certain nombre d opérateurs ou fournisseurs d accès français pour identifier leurs équipements. Nombre de "hosts" par extension en juillet 2007 (selon Internet Systems Consortium) UK; hosts; 1,5% MX; hosts; 1,6% BR; hosts; 1,7% AU; hosts; 1,9% NL; hosts; 2,0% EDU; hosts; 2,1% CN; hosts; 2,2% Autres extensions; hosts; 14,7% TW; hosts; 1,0% PL; hosts; 1,2% NET; hosts; 36,9% FR; hosts; 2,7% IT; hosts; 3,1% DE; hosts; 3,4% JP; hosts; 6,8% COM; hosts; 17,5% Figure 7 Nombre d hôtes Internet par extension (selon ISC) Le site Security Space 9 publie un ensemble de statistiques sur les serveurs Web dans le monde : logiciel utilisé, implémentation du protocole SSL, technologies implémentées (JavaScript, Flash, etc.), outil de conception Web utilisé Il présente également une répartition des serveurs Web en fonction de l extension utilisée. Cette fois-ci, c est bien l extension.com qui se place en-tête, avec près de 44% des serveurs Web dans le

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