(RE)CRÉER UNE CULTURE DE L ANALYSE CHEZ LES CONSOMMATEURS RÉCRÉATIFS VINCENT BENSO JAMEL LAZIC
|
|
- Maxime Larose
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 (RE)CRÉER UNE CULTURE DE L ANALYSE CHEZ LES CONSOMMATEURS RÉCRÉATIFS VINCENT BENSO JAMEL LAZIC
2 Résultats d analyse Délai Testing par réactifs colorimétriques CCM type XBT sur site CCM type XBT hors site Peu précis. Plusieurs réactifs peuvent être croisés pour plus de précision. Permet d éliminer certaines arnaques ou coupes dangereuses Technique séparative (détection de tous les produits actifs même si non reconnus) Non quantitatifs. Technique séparative Quantitatifs et (détection de tous les qualitatifs produits actifs même si non reconnus) Non quantitatifs Quasi immédiat 45 mn. Très simple. Nécessite une formation. Le protocole MDM implique aussi que la personne soit pharmacien. De 1 à 3 semaines selon les régions. Nécessite une formation. Le protocole MDM implique aussi que la personne soit pharmacien. Autorisé pour les particuliers, interdit pour les associations Autorisé. Les intervenants ne doivent pas toucher l échantillon. Autorisé. Exception juridique : Les intervenants ne doivent la collecte est pas toucher l échantillon. autorisée pour les collecteurs ou titulaires d un ordre de mission Energy Control est autorisée à pratiquer ses analyses. Autorisé si l intervenant ne touche pas l échantillon. Autorisé A l usager, par oral. A l usager, par oral. A l usager par oral. Pas de restriction. Pas de restriction. Pas de restriction. Pris en charge par la structure portant le projet 3 euros / toxitubes ; Analyse prise en charge. Pris en charge par l OFDT 50 euros, payables Prix de l appareil Pas de coûts. en bitcoins (25000 euros) Facilité d utilisation Légalité Interdit pour les associations Diffusion des résultats Très faible Coût Déjà utilisé par certains consommateurs Action choisie par Techno+ GCMS Energy Control Spectroscopie Comparaison bases de laser données Quantitatifs (sauf certaines NSP) et qualitatifs Qualitatifs De 2 semaines à 2 De 1 à 2 semaines. Immédiat mois. Complexe. Complexe. Réalisé Très simple. Réalisé en laboratoire. en laboratoire. Compétences élevées dans la communication de signaux (alertes, gestion de la presse ) Remarques Promotion et explication des limites (contrer les discours marketing de certains vendeurs) GCMS SINTES Partenariat lorsque c est possible. Partenariat. Partenariat lorsque Proposer une évolution des c est possible. modalités de diffusion des résultats Partenariat lorsque nous souhaitons pouvoir diffuser le résultat de façon autonome. Peu précis Quasi immédiat Très simple. Très utilisé en laboratoire mais pas par la RDR. Permet une bonne sensibilisation des consommateurs Chercher des financements, trouver des partenaires pour mutualiser le coût. Utilisation d un cahier d alertes. Développer un projet de base de donnée nationale en partenariat avec d autres structures.
3 PROJET DE FLYER RPP Document de travail non validé
4 PROJET DE FLYER RPP Document de travail non validé
5 PROJET DE FLYER RPP Perspectives: -Intégrer l ensemble des dispositifs d analyse à destination des consommateurs à ce dépliant. -Réalisation d une version à destination des intervenants.
6 CRÉATION D UNE BASE DE DONNÉES INTER-ASSOCIATIVE Constat: -La plupart des services d analyse de produits partagent les résultats uniquement à l usager qui a déposé le produit. -Les mêmes produits circulent souvent sur l ensemble du territoire. -80,7% des usagers de drogues de synthèse se disent intéressés pour accéder à des résultats de testing sur Internet(A.Beauchet PFRA).
7 LA CRÉATION D UNE BASE DE DONNÉES INTER-ASSOCIATIVE: Permettrai un partage des résultats d analyse simplifié via un formulaire en ligne. Toutes les structures participantes pourraient consulter et enrichir la base de données.
8
9 FAIRE REDESCENDRE L INFORMATION AUX CONSOMMATEURS En ligne: -Résultats consultables via un site internet dédié compilant les analyses. -Alertes diffusées sur les réseaux sociaux par les participants du projet. -Alertes diffusées sur application mobile (T+ ), Sur site: -«Cahier d alertes» (Météo des prods) -Affichage sur le dispositif
10 FAIRE REDESCENDRE L INFORMATION AUX CONSOMMATEURS -Les résultats consultables librement par les usagers sont toujours accompagnés de messages de réduction des risques spécifiques et d information sur les limites de l analyse.
11 EVOLUTION LEGISLATIVE Décret de 2004 : Diffusion des alertes sanitaires : Les actions de RDR diffusent auprès des consommateurs présents dans leur site d intervention par tous les moyens appropriés : 1 Les alertes sanitaires sur la toxicité des produits lancées par les autorités sanitaires ou policières. 2) Les informations sur la composition des produits qui pourraient en augmenter les risques. Nouvelle Loi de santé publique : «Participer au recensement des substances en circulation et à l analyse, à la veille et à l information, à destination des pouvoirs publics et des usagers, sur la composition, sur les usages en matière de transformation et de consommation et sur la dangerosité des substances consommées. Projet de loi modifié par le Sénat (7 Octobre 2015)
12 Déclaration du nouveau directeur de l EMCDDA, observatoire européen des drogues et toxicomanies (Le Soir, 20/10/15) Drogues: «L'Europe doit être perçue plus utile» «Il demande davantage de moyens et veut réformer l'agence pour qu'elle aide mieux les acteurs de terrain.»
13
EFFICACITE DE LA RPP DANS LA DÉTECTION DE SUBSTANCES ISSUES DES FAMILLES DU MDMA, DES AMPHETAMINES ET DES HALLUCINOGENES TYPE 2CB RECUEILLIES EN MILIEU FESTIF PRADEILLE J.L.*, CHAKROUN N.**, BELTRAN V.*,
Plus en détailTABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse
TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20
Plus en détailPropositions concernant les milieux festifs pour le prochain plan MILDT
s concernant les milieux festifs pour le prochain plan MILDT Les présentes propositions ont été élaborées par le Pôle Festif de l'association Française pour la Réduction des risques liés aux usages de
Plus en détailMadame Laureen WELSCHBILLIG Chef de projet Système d Information de Santé ARS IDF
Madame Laureen WELSCHBILLIG Chef de projet Système d Information de Santé ARS IDF Système d information MAIA et stratégie régionale Journée MAIA Paris 11 mai 2015 Hôtel de Ville de Paris Systèmes d Information
Plus en détailLes usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction
Les usagers de drogues âgés de 40 ans et plus pris en charge dans les structures de soins pour leurs problèmes d addiction OFDT Note n 2010-12 Saint-Denis, le 09/08/2010 Introduction Les premières structures
Plus en détailPharmacien Responsable. Rôle et Attributions. Seul le Code de la Santé Publique s applique
Pharmacien Responsable Rôle et Attributions Version approuvée ( médicaments à usage humain ) en novembre 2010 Seul le Code de la Santé Publique s applique Plus qu une personne qualifiée En France, le Pharmacien
Plus en détailArchives Ouvertes : retour d expérience et rôle des documentalistes
Archives Ouvertes : retour d expérience et rôle des documentalistes Claire Büren - Inria «L édition scientifique : sortez enfin du labyrinthe!» - IECL - 16 décembre 2013 Plan Le contexte Les débuts : les
Plus en détail3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux
3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central
Plus en détailPRESENTATION DE LA CIPCA. MILDECA- colloque INSERM 1
PRESENTATION DE LA CIPCA MILDECA- colloque INSERM 1 LA CIPCA A ÉTÉ MISE EN PLACE DANS LE CADRE DU PLAN GOUVERNEMENTAL 2013-2017 Pour que la prévention devienne une priorité des politiques de lutte contre
Plus en détailL enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé
L enjeu de la reconnaissance des pharmaciens comme éducateur de santé 3 e conférence sur les traitements de la dépendance aux opioïdes Genève, 19 octobre 2012 Nicolas Bonnet, directeur du Respadd Anne
Plus en détailGUIDE DE L ENSEIGNANT
Au ménage! GUIDE DE L ENSEIGNANT 2010-2011 -1- Description de la situation d apprentissage Préparation Activité 1 À leur entrée en classe, les élèves découvrent quatre bouteilles sur le bureau de l enseignante
Plus en détailMonétiser votre CMS. Retour d experience de Mediapart avec Drupal
Monétiser votre CMS Retour d experience de Mediapart avec Drupal DRUPAL Vente de contenus et modes de paiements Nicolas Silberman Directeur technique Mediapart @nsilberman Marine Sentin Responsable du
Plus en détailLes recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR. Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA
Les recommandations de recherche de l expertise INSERM sur la RdR Patrizia Carrieri INSERM U912 - ORSPACA Plan de la présentation Recommandations de recherche de l expertise INSERM Etat d avancement des
Plus en détailLa e-santé pour communiquer
GCS e-santé BRETAGNE Professionnels de la santé, du médico-social, en structure ou en libéral... La e-santé pour communiquer Présentation des services e-santé en Bretagne BIPS², réseau très haut débit
Plus en détailContribution du Syndicat national des pharmaciens praticiens hospitaliers (SNPHPU)
Contribution du Syndicat national des pharmaciens praticiens hospitaliers (SNPHPU) pour un cahier des charges des bases de données des produits de santé exigeant Rappelons pour mémoire que le législateur
Plus en détailComment développer l attractivité d un commerce multiservices?
Comment développer l attractivité d un commerce multiservices? L attractivité pour un commerce multiservices : Comment la déterminer? Quel sens lui donner? Quel sens donnez-vous au mot ATTRACTIVITE, dans
Plus en détailtraçabilité en milieu médical
traçabilité en milieu médical SOLUTIONS - EFFICACITÉ - SÉCURITÉ la traçabilité, pourquoi? Améliorer la sécurité du patient et la qualité des soins Améliorer la qualité des soins de santé est un enjeu majeur
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailVers une nouvelle génération de programmes d assurance médicaments. Présenté par Pierre Marion
Vers une nouvelle génération de programmes d assurance médicaments Présenté par Pierre Marion AGENDA Évolution des régimes d assurance médicaments La tendance actuelle Statistiques sur l utilisation des
Plus en détailPharmaciens de l industrie. Art. L. 4221-1 et suivants du code de la santé publique. Votre état civil. Remplir en majuscules accentuées
Demande d inscription ou de modification d inscription au tableau de la Section B de l Ordre des pharmaciens Pharmaciens de l industrie Art. L. 4221-1 et suivants du code de la santé publique Votre état
Plus en détailCOMPARAISON DE SALAIRES À L UNIVERSITÉ DE MONCTON
Nettoyeur II Juin 1995-avril 1996 22 513$ 0,00$* Mai 1996-avril 1997 25 272$ 0,00$* 47 785$ 0,00$ COMPARAISON DE SALAIRES À L UNIVERSITÉ DE MONCTON Juin 1997-avril1998 25 688$ 17 040$ Mai 1998-avril 1999
Plus en détailANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL
ANNEXE DETAILLEE DU CV DANS LE CHAMP SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL EXPERIENCES PROFESSIONNELLES Détail des expériences Responsable qualité association secteur SMS : - Conception, mise en œuvre, animation et
Plus en détailIngénieur en prévention des risques
Ingénieur en prévention des risques G1X22 Prévention hygiène et sécurité / Restauration - IR L ingénieur de recherche en prévention des risques assiste et conseille la direction de l établissement pour
Plus en détailPrévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales
Colloque régional de prévention des addictions Mardi 31 mars 2015 Clermont-Ferrand Prévention des conduites addictives : des sciences sociales aux pratiques locales Appels à communication Le Pôle de référence
Plus en détailEnquête sur la santé des résidents des foyers Adoma de Saint-Quentin-en-Yvelines
Direction de l action sociale, de l habitat et de la santé publique 12 ème congrès national des ORS Territoires et Santé des populations 9 et 10 novembre 2010 Enquête sur la santé des résidents des foyers
Plus en détailAnalyse de l enquête de consommation de boissons énergisantes
Analyse de l enquête de consommation de boissons énergisantes Territoire de Thourotte (60) 2014 Depuis 2013, la Mutuelle Familiale en partenariat avec l IRBMS sensibilise ses adhérents à la consommation
Plus en détailQuels sont les leviers et freins de l e-businessl en Belgique et en Wallonie?
Quels sont les leviers et freins de l e-businessl en Belgique et en Wallonie? André Delacharlerie Responsable de l Observatoire des TIC ad@awt.be e-business, fini de jouer? 26.04.2007-1 Au cœur c de l
Plus en détailLivret d accueil. Notice - modèle type de livret d accueil Conseils pour assurer une intégration réussie. Livret d accueil.
1 Notice - modèle type de livret d accueil Conseils pour assurer une intégration réussie Janvier 2014 2 NOTICE L intégration d un jeune embauché dans une entreprise et au sein d une équipe de travail est
Plus en détailFormations et diplômes. Rapport d'évaluation. Master Marketing. Université Toulouse 1 Capitole UT1. Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A)
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Master Marketing Université Toulouse 1 Capitole UT1 Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES, 1 Didier Houssin, président
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailPARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR
PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR SOMMAIRE COMMENT SE FAIT LA RECHERCHE SUR UN NOUVEAU MÉDICAMENT?...p. 3 À QUOI SERT LA RECHERCHE?...p. 4 QUELLES SONT LES GARANTIES?...p.
Plus en détailLes approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise*
INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Les approches de réduction des méfaits trouvent un certain appui dans la population québécoise* Denis Hamel, statisticien Unité Connaissance-surveillance MISE
Plus en détailFédération des Syndicats Pharmaceutiques de France
Fédération des Syndicats Pharmaceutiques de France Note de synthèse relative à la formation pharmaceutique continue en Présenta Plus de 150 000 personnes travaillent dans les 23 006 pharmacies d'officine
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailUn métier en évolution pour répondre aux nouvelles. Face à ces évolutions, un nouveau métier
Les métiers de la pharmacovigilance Des métiers en évolution dans une industrie de haute technologie et d'innovation Une mission d'évaluation et de gestion des risques liés à l'utilisation des médicaments
Plus en détailCréation outil multimédia de restitution du projet «l intergénérationnel : un levier pour un levier pour créer du lien social en milieu rural
CAHIER DES CHARGES Création outil multimédia de restitution du projet «l intergénérationnel : un levier pour un levier pour créer du lien social en milieu rural Juillet 2013 Sarah Pecas I - PRESENTATION
Plus en détailLES STAGES ET LES MISSIONS DES ETUDIANTS EN BTS COMMUNICATION
LES STAGES ET LES MISSIONS DES ETUDIANTS EN BTS COMMUNICATION Les étudiants sont engagés dans les missions, soit : - avec des responsabilités directes et complètes d exécution - avec un rôle d observateur
Plus en détailDrug Misuse and Treatment in Morocco
Drug Misuse and Treatment in Morocco Fatima El Omari Centre National de Traitement, de Prévention et de Recherche en Addictions, Hôpital Arrazi, CHU Rabat-Salé, Maroc Morocco AFRIQUE Le Maroc Population:
Plus en détailMéthodologie adoptée e et actions engagées es par la Belgique pour lutter contre le spam
Méthodologie adoptée e et actions engagées es par la pour lutter contre le spam Rabat - 21 et 22 mars 2006 Didier GOBERT Service Public Fédéral F Economie,, PME, Classes Moyennes et Energie Direction générale
Plus en détailMétiers d études, recherche & développement dans l industrie
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur
Plus en détailConseil et Ingénierie des Systèmes d Information d Entreprise
Conseil et Ingénierie des Systèmes d Information d Entreprise Le Groupe Khiplus SAS KHIPLUS Management Société holding animatrice du groupe SAS KHIPLUS Advance Conseil et ingénierie de Systèmes d Information
Plus en détailL observatoire de la dématérialisation
L observatoire de la dématérialisation Les Français, les Anglais et les Espagnols face à la numérisation des supports Vague 2 Etude en souscription Mai 2011 Contexte OpinionWay a lancé en 2010 le premier
Plus en détailMédicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie
Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Adapté d un article approuvé de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de la physiothérapie (2012) Le CPTNB
Plus en détail"La santé des étudiants en 2013"
1 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2013" 8 ème Enquête Nationale 1999 2013 Enquête Santé MGEL Depuis plus de 60 ans, à l écoute des étudiants 2 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes de
Plus en détailPARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE
de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...
Plus en détailCommunication. Les différentes sous-familles et leurs missions. Communication interne, externe, relations publiques (13A)
13 Communication Cette famille rassemble des métiers dont la finalité est de renforcer la notoriété de l entreprise, de mettre en valeur ses produits, d améliorer la qualité de ses échanges d informations
Plus en détailOUVERTURE DE COMPTE À REMPLIR ET FAIRE PARVENIR AU SIÈGE SOCIAL DE PRO ENERGY COURRIEL : INFO@PRO-ENERGY.CA FAX : 819-893-2288
OUVERTURE DE COMPTE À REMPLIR ET FAIRE PARVENIR AU SIÈGE SOCIAL DE PRO ENERGY COURRIEL : INFO@PRO-ENERGY.CA FAX : 819-893-2288 MODÈLES D AFFAIRES EN BREF OPTION 1 - CLINIQUE MINCEUR LICENCIÉE PROGRAMME
Plus en détailRenseignements destinés aux parraineurs et aux exposants
Renseignements destinés aux parraineurs et aux exposants Le Symposium canadien sur la biosécurité 2008 offre une occasion aux membres d entreprises et d autres organismes qui œuvrent dans le milieu de
Plus en détailDIRECTION DES SERVICES PROFESSIONNELS GESTION DES STUPÉFIANTS ET DES DROGUES CONTRÔLÉES EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE
NUMÉRO 152 : JUIN 2005 DIRECTION DES SERVICES PROFESSIONNELS GESTION DES STUPÉFIANTS ET DES DROGUES CONTRÔLÉES EN PHARMACIE COMMUNAUTAIRE Depuis quelques années, le Bureau des substances contrôlés (BSC)
Plus en détailNATIONS UNIES J O U R N A L. Commission des stupéfiants Cinquante-septième session Vienne, 17-21 mars 2014 N 5
NATIONS UNIES J O U R N A L Commission des stupéfiants Cinquante-septième session Vienne, 17-21 mars 2014 N 5 PROGRAMME DES SÉANCES MERCREDI 19 MARS 2014 10 heures 9 e séance plénière Salle du Conseil
Plus en détailAPPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES
APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) ont pour objet d offrir aux personnes adultes handicapées un
Plus en détailENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI. Contribuer à la performance de l entreprise. Novembre 1999. GT015-rev octobre 2002
GT015-rev octobre 2002 ENQUETE QUALITE AUPRES DES DIRIGEANTS PME / PMI Enquête IPSOS Novembre 1999 Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 Tél. 01 44 15 60
Plus en détailDOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS
DOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS N.B. : la règlementation relative à la vente de médicaments par internet est susceptible de
Plus en détailFonctionnalités HSE PILOT. Groupe QFI www.hse-pilot.com
Fonctionnalités HSE PILOT Groupe QFI www.hse-pilot.com Module produit chimique RECENSEMENT DES PRODUITS Les produits chimiques sont omniprésents dans les entreprises. La gestion qui leur est associée peut
Plus en détailMODALITES DE SUIVI DU PROJET ANNUEL DU MASTER 2 SOLUTIONS INFORMATIQUES LIBRES
MODALITES DE SUIVI DU PROJET ANNUEL DU MASTER 2 SOLUTIONS INFORMATIQUES LIBRES Département Informatique UFR Sciences 2 Boulevard Lavoisier 49045 Angers Cedex 01 Auteur : Jean-Michel Richer Email : jean-michel.richer@univ-angers.fr
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailEn 2014, comment mener à bien une enquête aléatoire en population générale par téléphone?
En 2014, comment mener à bien une enquête aléatoire en population générale par téléphone? Prémila Choolun 1, François Beck 2, Christophe David 1, Valérie Blineau 1, Romain Guignard 3, Arnaud Gautier 3,
Plus en détailUne réponse adaptée aux besoins des entreprises de négoce.
Tunicommerce et le e-catalogue Une réponse adaptée aux besoins des entreprises de négoce. Traçabilité et dématérialisation. Deux préoccupations majeures réunies dans une solution intégrée. Réconcilier
Plus en détailProjet de santé. Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale :
Projet de santé Nom du site : N Finess : (Sera prochainement attribué par les services de l ARS) Statut juridique : Raison Sociale : Adresse du siège social : Téléphone : Mail : Version : Etablie en date
Plus en détailDOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS HUMAINS
DOSSIER-TYPE DE DEMANDE D AUTORISATION DE CREATION D UN SITE INTERNET DE COMMERCE ELECTRONIQUE DE MEDICAMENTS HUMAINS Références juridiques : Articles L.5125-33 à L.5125-41, article L.5122-6-1 et article
Plus en détailTélésanté et Télémédecine 24h/24 et 7j/7
Télésanté et Télémédecine 24h/24 et 7j/7 www.h2ad.net Un Partenariat Basé sur l'innov Au travers de solutions innovantes en télésanté, de son expertise dans l acquisition et le traitement de données de
Plus en détail"La santé des étudiants en 2015"
Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes
Plus en détailComment sensibiliser ses collaborateurs à la e- réputation de son entreprise? Netexplo 04 décembre 2012
Comment sensibiliser ses collaborateurs à la e- réputation de son entreprise? Netexplo 04 décembre 2012 1 1 La e-réputation en 5 points Avec le développement exponentiel d Internet, la question de l e-reputation
Plus en détailTableau de bord sur les addictions en Bretagne
DU Addictologie 6 novembre 2014 Tableau de bord sur les addictions en Bretagne Les principaux chiffres clés Tableau de bord sur les addictions en Bretagne http://www.cirdd-bretagne.fr/ http://orsbretagne.typepad.fr/ors_bretagne/
Plus en détailQualité. Sécurité Alimentaire
Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en
Plus en détailFiche descriptive d activités
Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires
Plus en détailPROFIL DECEMBRE 2012 Contacts : Nathalie IRISSON, secrétaire générale - 01 53 04 16 21 Frédéric CASTELNAU, relations presse 06 62 23 05 15 www.
PROFIL DECEMBRE 2012 Contacts : Nathalie IRISSON, secrétaire générale - 01 53 04 16 21 Frédéric CASTELNAU, relations presse 06 62 23 05 15 www.gemaprevention.com -1- - @le_gema GEMA et GEMA Prévention
Plus en détailAPPEL A CANDIDATURES
APPEL A CANDIDATURES L objet Le présent appel à candidatures a pour objet le développement de formations à destination des salariés des professions libérales de santé, dans les domaines suivants : Accueil,
Plus en détailMISE EN CONCURRENCE. Maintenance curative et préventive, Installation de logiciels sur les systèmes Windows, OFDT 2011-2013
MISE EN CONCURRENCE Maintenance curative et préventive, Installation de logiciels sur les systèmes Windows, OFDT 2011-2013 jeudi 18 août 2011 L'Observatoire français des drogues et des toxicomanies, groupement
Plus en détailCONSORTIUM POUR L OBSERVATION DOMESTIQUE DES ELECTIONS EN GUINEE
CONSORTIUM POUR L OBSERVATION DOMESTIQUE DES ELECTIONS EN GUINEE OBSERVATION CITOYENNE DU PROCESSUS DE REVISION DU FICHIER ELECTORAL CAS DE LA GUINEE Présentation: Dr Dansa KOUROUMA/Directeur Lansana MANSANDOUNO/
Plus en détailPREAMBULE INSCRIPTION AUX SERVICES RESPONSABILITÉ - ASSURANCE HYGIENE ET SANTE
LES REGLEMENTS INTERIEURS RESTAURANT SCOLAIRE ACCUEIL PERISCOLAIRE ACTIVITES PERI-EDUCATIVES Délibéré en Conseil Municipal du 05 Juin 2014 PREAMBULE Les services périscolaires sont des prestations volontairement
Plus en détailPRÉSENTATION DE L ACCOMPAGNEMENT DU PROGRAMME «ECO-DESIGN & BOIS»
PRÉSENTATION DE L ACCOMPAGNEMENT DU PROGRAMME «ECO-DESIGN & BOIS» ENJEUX DU PROGRAMME ECO-DESIGN Elaboration un produit éco-conçu grâce à un accompagnement personnalisé + Définir le placement marketing
Plus en détailRéseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *
République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS
Plus en détailRèglement du jeu concours «Grand Quiz Nice Tourisme et European Masters Games» :
Règlement du jeu concours «Grand Quiz Nice Tourisme et European Masters Games» : Article 1 : Société organisatrice L Office du Tourisme et des Congrès de Nice, Etablissement Industriel et Commercial, loi
Plus en détailA1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE
Référentiel des Activités Professionnelles A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE L assistant prend en charge l essentiel du processus administratif des ventes. Il met en place certaines actions de
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE ET DE L ÉNERGIE Arrêté du 9 octobre 2013 relatif aux conditions d exercice de l activité d utilisateur professionnel
Plus en détailESII. Une entreprise éco-citoyenne
ESII Une entreprise éco-citoyenne ESII s inscrit dans une politique de développement durable garantissant la mise en œuvre de pratiques sans danger pour l environnement ainsi que le respect des normes
Plus en détailBEP métiers des services administratifs BREVET D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES MÉTIERS DES SERVICES ADMINISTRATIFS
BREVET D'ÉTUDES PROFESSIONNELLES MÉTIERS DES SERVICES ADMINISTRATIFS ANNEXE I a RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES I. APPELLATION DU DIPLÔME BEP métiers des services administratifs RÉFÉRENTIEL
Plus en détailLucie, Laurent et Elodie
Lucie, Laurent et Elodie Elo Relations Publiques D éf n itio n Les relations publiques se défnissent comme un ensemble de techniques de communication destinées à donner une image favorable à une personne
Plus en détailSONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014
1 SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 Document d information Le 2 décembre 2014. Le Sondage national des médecins est un important projet de recherche continu qui permet de recueillir les opinions de médecins,
Plus en détailLA CONTREFAÇON NOTIONS ESSENTIELLES
LA CONTREFAÇON NOTIONS ESSENTIELLES. Définition... 2. Qu'est-ce que la contrefaçon?... 2. Un fléau mondial... 2. Ses dangers... 3. Comment la déceler?... 4. Lutter contre la contrefaçon... 4. Qui est en
Plus en détailPLATEFORME DE GESTION DE CONGRÈS SCIENTIFIQUES. h tt p : / / w w w. s c i e n c e s c o n f. o rg
PLATEFORME DE GESTION DE CONGRÈS SCIENTIFIQUES h tt p : / / w w w. s c i e n c e s c o n f. o rg Sommaire Introduction Le portail Sciencesconf.org L espace conférence Site web Inscription Gestion scientifique
Plus en détailGestion de la relation client : l expérience du Crédit du Nord
Gestion de la relation client : l expérience du Crédit du Nord Etat des lieux des processus de DataMining mis en place au Crédit du Nord, des premiers essais de score automatisé à la construction d un
Plus en détailProfesseurs au département de Techniques administratives du cégep de Saint-Félicien et du collège d Alma.
CONCEPTION ET RÉALISATION Luc Belisle, CPA, CGA Marc-André Hubert Johanne Perron Professeurs au département de Techniques administratives du cégep de Saint-Félicien et du collège d Alma. VALIDATION ET
Plus en détailAnnée propédeutique santé Présentation générale du programme
Année propédeutique Sante 2014-2015 DCA/sbe révision Août 2014 Année propédeutique santé s Présentation générale du programme Introduction et finalités de l année propédeutique santés L objectif de cette
Plus en détailMANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC
Garantir une organisation performante pour satisfaire ses clients et ses partenaires, telle est la finalité d une certification «qualité». On dénombre de nombreux référentiels dont le plus connu et le
Plus en détailRÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE
, chemin de la côte Saint-Antoine Westmount, Québec, HY H7 Téléphone () 96-70 RÉSUMÉ DES NORMES ET MODALITÉS D ÉVALUATION AU SECONDAIRE À TRANSMETTRE AU PARENTS Année scolaire 0-0 Document adapté par Tammy
Plus en détailS8 - INFORMATIQUE COMMERCIALE
S8 - INFORMATIQUE COMMERCIALE Les savoirs de l Informatique Commerciale doivent être abordés en relation avec les autres savoirs (S4 à S7). Les objectifs généraux sont : o de sensibiliser les étudiants
Plus en détailEPREUVE DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES. 7 septembre 2011
J. 11 1203 MINISTERE DE L INTERIEUR, DE L OUTRE-MER, DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE L IMMIGRATION BEPECASER EPREUVE DU CONTRÔLE DES CONNAISSANCES 7 septembre 2011 Question 1 Dans le cadre de l apprentissage
Plus en détailMANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC
MANAGEMENT PAR LA QUALITE ET TIC Lorraine Garantir une organisation performante pour satisfaire ses clients et ses partenaires, telle est la finalité d une certification «qualité». On dénombre de nombreux
Plus en détailPRÉSENTATION DU SERVICE
PRÉSENTATION DU SERVICE Vous êtes un homme, une femme, un couple ou une famille, âgés de 18 ans et plus ayant des problèmes liés à des conduites addictives, atteintes ou non d infection virale. Le service
Plus en détailBADGE Responsable Commercial
BADGE Responsable Commercial www.audencia.com Audencia Group en chiffres 3 000 étudiants de 64 nationalités 17 000 diplômés issus des 17 programmes de formation 147 partenaires académiques dans 50 pays
Plus en détailPrésentation de l établissement
Présentation de l établissement Le collège Saint-Michel est une unité pédagogique autonome faisant partie du groupe scolaire Saint-Michel qui comprend l école, le collège, les lycées et le Centre de Formation
Plus en détailCatalogue des formations 2014. Pour les entreprises agroalimentaires. Hygiène alimentaire. Restauration commerciale. Innovation. Procédures & normes
Hygiène alimentaire Restauration commerciale Innovation Procédures & normes Réglementation Nutrition Pour développer vos compétences et celles de vos salariés. Pour maitriser et améliorer la qualité de
Plus en détailCIRCUIT de Lurcy-Levis 25 avril 2015
CIRCUIT de Lurcy-Levis 25 avril 2015 Le Voxan Club de France organise une journée circuit afin de permettre à ses adhérents et leurs amis de s essayer avec leur moto aux joies du pilotage. - Objet de cette
Plus en détailImplication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA
Implication des Corevih dans l arrivée des ADVIH: Expérience du Corevih LCA Réunion Icône 2015 STRASBOURG Laurence Boyer - PH -SMIT- CHU Nancy Contexte Plan VIH/Sida/IST- 2010/14: Augmenter le dépistage:
Plus en détailUne application sur tablette tactile pour la saisie de données naturalistes sur le terrain Linhota
Une application sur tablette tactile pour la saisie de données naturalistes sur le terrain Linhota La saisie de données naturalistes avant Phase terrain : Relevés de faune/flore et habitats Note sur différents
Plus en détailNetObserver Europe. Parmi les principaux enseignements, nous retiendrons notamment que :
NetObserver Europe TOUT SAVOIR SUR LES INTERNAUTES Communiqué de presse Paris, Mars 2008 Enseignements de la 16 ème vague de l étude NetObserver Europe : Des différences sensibles entre générations d internautes
Plus en détailPROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS
PROJET PEDAGOGIQUE DE L'ACCUEIL JEUNES 11/17 ANS Le projet pédagogique met en œuvre le projet éducatif de l'organisateur, il en précise les conditions de réalisation dans un document élaboré en concertation
Plus en détail