Introduction formation accompagnement Notre public

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1 Introduction Je vais vous présenter brièvement nos activités et notre offre d intervention auprès du milieu scolaire. Je vais vous présenter plus particulièrement une démarche qui vise associer notre travail de prévention des assuétudes avec une démarche artistique. Il s agit en effet d explorer en quoi l activité artistique peut-elle favoriser les capacités des jeunes à adopter des comportements positifs face à leur santé et leur bien-être, et à se protéger contre les conduites à risques. Prospective Jeunesse est une asbl fondée en 1978, nous sommes situés à Ixelles. Nous sommes un centre d étude et de formation actif dans le domaine de la prévention des risques liés aux usages de drogues, dans une optique de promotion de la santé. Nous proposons quatre services principaux : Un centre de doc ouvert à tous spécialisés sur les questions de la prévention, des assuétudes et de l adolescence en général. Un service de consultations psychologiques pour les familles et les individus qui souhaitent aborder la question des consommations en présence d un professionnel. Nous éditons une revue trimestrielle qui se veut un lieu d échange et de réflexion pour les professionnels des secteurs de la prévention, de l éducation, du social, des soins de santé, Et enfin, un service d intervention dont l objet est, d une part, la formation des adultes-relais autour de la problématique des assuétudes et de la prise de risques chez les jeunes et, d autre part, l accompagnement d équipes qui souhaitent mettre en place au sein de leur institution des activités de prévention des risques liés aux consommations. Notre public ce sont les adultes qui sont en contact avec des jeunes (enseignants, éducateurs, personnel pms et pse, parents, éducateurs de rue, gardien parc, etc).

2 Notre action s inscrit dans la cadre de la promotion de la santé. En promotion de la santé, la prévention des assuétudes vise non pas à empêcher les jeunes d entrer en contact avec les produits mais bien à aider les jeunes à renforcer les compétences qui leur permettront de prendre en main leur santé, leur bien-être et d éviter de développer des consommations problématiques. En milieu scolaire, notre objectif est d apporter des réponses aux équipes éducatives qui s interrogent sur la manière dont la question des consommations peut-être envisagée au sein de l école. Par consommations, il faut entendre aussi bien les consommations avec produits (alcool, tabac, cannabis) que les consommations sans produits (gsm, facebook, jeux vidéo, etc.). Mais comment en sommes-nous arrivés à combiner la pratique artistique et la prévention des assuétudes? Dans le cadre de nos interventions en milieu scolaire notre objectif a toujours été d encourager la mise en place de groupes de travail (sur le modèle des CBE) et d accompagner la réflexion sur la politique globale de l école en matière de bien-être et de consommations. Mais nous avons constaté que dans certains établissements ces objectifs étaient parfois trop abstraits ou trop lointains pour que les équipes éducatives puissent se les approprier de manière efficace. Le fait de ne pas répondre de manière suffisamment concrète à la demande d action immédiate a parfois comme conséquence que la dynamique du groupe de travail s essouffle avant qu une quelconque action concrète puisse voir le jour. La question qui se pose alors est la suivante : comment s assurer de l adhésion de l équipe éducative à une démarche de promotion de la santé à long terme au sein de l établissement, tout en répondant à leur besoin d action concrète immédiate et sans pour autant entrer dans les travers de l intervention ponctuelle et les solutions clé sur porte? En matière de participation des acteurs scolaire dans la mise en œuvre de projets de promotion de la santé, il y a deux questions qui se posent : d une part,

3 comment assurer la participation des adultes, de l équipe éducative et éventuellement des autres partenaires extérieurs à l école, et d autre part, comment s assurer de la participation des jeunes et faire en sorte que ces derniers soient réellement partie prenante de la démarche de prévention? Pour répondre à ces questions, nous avons tenté de nous mettre à la place des acteurs scolaires. Bien que notre objectif final ait toujours été de renforcer les compétences des adultes (enseignants, éducateurs), nous avons compris que beaucoup d entre eux se sentent mal à l aise avec la thématique des assuétudes et nous avons donc choisi de réaliser nous même, en leur présence, quelques animations en classe afin qu ils puissent prendre conscience qu il ne faut pas être experts en produits ou en neurobiologie pour faire passer les messages de promotion de la santé, mais que tout adulte est capable de faire passer un message de prévention sur des thématiques aussi générales que le bien-être, l équilibre, l abus, la diversification des sources de plaisir, etc. C est ainsi que nous en sommes venus à l idée d utiliser la pratique artistique pour aborder la question des consommations car cette démarche a plusieurs avantages : d une part, c est un moyen d ouvrir le débat avec les jeunes en évitant d aborder cette question de manière trop frontale. Mais surtout, cela permet d augmenter les chances de participation aussi bien du côté des jeunes que des adultes. En effet, en proposant de mettre en projet une ou plusieurs classes autour de la thématique des assuétudes nous répondons à la demande d une action concrète et rapide de la part de l école. Il ne s agit pas de nous substituer aux acteurs scolaires, au contraire il s agit de construire un partenariat solide entre les artistes, les enseignants et nous. Un partenariat qui soit au service des élèves. Par ailleurs, plusieurs enseignants qui ont participé à ce type de projets ont décrit des transformations importantes dans la dynamique de classe, même dans des classes réputées «difficiles». Il n est pas rare que des élèves qui se sentent mal

4 à l aise dans le cadre scolaire classique se découvrent des talents insoupçonnés qui les valorisent aux yeux de leurs pairs et des enseignants. Financement Pour financer ces projets, nous nous sommes tournés vers les dispositifs mis en place par la Cocof et la FWB, notamment La Culture a de la classe (anciennement Anim action) et le Décret Culture-Ecole. Ce sont deux dispositifs qui permettent de financer des projets culturels au sens large (artistique, santé, citoyenneté, interculturel), qui doivent être réalisés sur le temps scolaire et doivent être le fruit d une collaboration durable entre une école et une association extérieure. Cette année nous menons cinq projets de front, dont trois en milieu scolaire (un projet vidéo en collaboration avec la Cinématek dans une école à Anderlecht, un autre projet vidéo sur la question des réseaux sociaux dans une école à Schaerbeek et dans une troisième école, toujours sur Schaerbeek, un projet musique rap/slam et théâtre). Par ailleurs, nous participons également à deux autres projets vidéo avec des groupes de jeunes en collaboration avec des services communaux. Nous pouvons d ores et déjà affirmer que les résultats en termes de participation, aussi bien du côté des adultes que des jeunes, sont remarquables. A l avenir, nous espérons pouvoir compter sur des budgets issus du secteur de la santé et ne plus être uniquement tributaire de budgets «culturels». Un exemple de projet Le projet que nous accompagnons dans cette école à Anderlecht est un projet vidéo qui implique trois classes de troisième et trois enseignants, une enseignante de morale, un enseignant de français et un enseignant de sciences. La direction à également joué un rôle très important en permettant un certain nombre d aménagements horaires pour le projet. C est une vidéaste

5 professionnelle de la Cinématek qui animera les ateliers vidéo dans les classes qui s étalent sur toute l année. L objectif du projet est de réaliser trois petits films autour de la question des consommations. Le sujet précis de ces capsules vidéo sera déterminé par les élèves eux-mêmes dans le cadre de leur travail dans les ateliers. Le point de départ du projet a été la représentation de la pièce de théâtre-forum Nancy au pays des merveilles jouée par la compagnie Alvéole et qui traite de la question des assuétudes. Le théâtre-forum ou théâtre-action est une forme de théâtre inspiré par le théâtre de l opprimé mis au point par le brésilien Augusto Boal dans les années 60. C est avant tout un instrument de débat qui permet à des publics très diversifiés de prendre la parole sur des questions politiques et sociales qui les concernent directement. Le principe est simple, la pièce est jouée une première fois, l histoire termine, en général relativement mal, ensuite le public est invité à monter sur les planches et à rejouer certaines scènes pour tenter d influencer le cours de l histoire. En termes de participation, c est un outil très puissant qui fait émerger énormément de questions et de réflexion chez les jeunes qui assistent au spectacle. Ce sont toutes ces questions et réflexions qui vont nourrir la suite du projet et qui vont servir de terreau pour construire le travail de mise en images dans les ateliers vidéo. Le rôle de Prospective Jeunesse est d une part de donner l impulsion de départ au projet et de mettre les différents acteurs en contact, mais surtout de garantir que les principes de la promotion de la santé soient respectés. Il s agit d une part de garantir la participation des acteurs tout au long du projet, mais également de les familiariser avec les principes de la promotion de la santé et de la prévention des assuétudes. Artistes, enseignants et jeunes reçoivent donc une formation par nos soins. Les adultes sont ensuite accompagnés dans la construction d une série

6 d animations autour de la question des consommations. Ces animations sont celles qui permettront de faire émerger les représentations des jeunes autour des questions de consommations, dépendance, bien-être, etc. et vont constituer les axes du travail artistique. Pourquoi nous sommes nous tournés vers ce type de projets? Nous pensons que ce type de projets permet aux écoles de répondre aux objectifs de la prévention des assuétudes et de la promotion de la santé. En effet, ces projets doivent répondent à un certain nombre de critères qui correspondent également aux critères que respectent les projets en promotion de la santé. Long terme : Entre 30 et 60 heures de cours doivent être dégagés sur les temps scolaire pour leur réalisation, ce qui correspond à un semestre ou à une année scolaire et laisse le temps à la dynamique de groupe de se mettre en place. Collectif : Il s agit en général de deux ou trois classes dans une même école, mais le projet implique l aval de la direction (notamment pour les aménagements d horaires) et la participation d un ou plusieurs enseignants ou éducateurs. Participatif : La dimension de la participation et de la responsabilisation des acteurs jeunes et adultes est centrale dans la réalisation du projet. Créatif : Le processus créatif permet également aux jeunes de faire appel à toute une série de ressources, notamment en termes d estime de soi, d expression de soi, de travail en groupe, etc. qui sont pour nous des ressources essentielles en promotion de la santé. Les avantages en termes de prévention des assuétudes de la mise en place de ce type de projet autour de la question des consommations sont multiples. D une part, cela permet de placer les jeunes en position d acteurs dans le processus de réalisation du projet, mais aussi dans l élaboration du message de prévention. Ensuite, du point de vue institutionnel, cela permet d impliquer la direction et plusieurs enseignants ou éducateurs dans un processus d action collective et transversale autour de la thématique des assuétudes.

7 Mais, encore plus que le fait d approfondir une thématique comme l alcool, le cannabis ou Facebook, c est le processus du projet lui-même qui fera office de prévention. Pour mener à bien un projet de ce type, les jeunes devront faire appel à un grand nombre de ressources comme la créativité, le sens de l humour, la patience, la persévérance, la communication, la coopération, etc. En d autres termes, la participation à un projet artistique va augmenter la chance de développer chez les jeunes l estime de soi, la confiance en soi, la capacité de s affirmer dans un groupe, de savoir dire non, de maîtriser ses émotions, de gérer les conflits, etc., qui sont autant de ressources, ces fameuses compétences psychosociales comme on dit dans le jargon, qui permettront aux jeunes de faire face aux difficultés de la vie, en ce compris les comportements à risque et les consommations éventuelles. Participation Dans la Charte d Ottawa, l OMS défini la promotion de la santé comme «le processus qui confère aux populations les moyens d assurer un plus grand contrôle sur leur propre santé et d améliorer celle-ci». La prévention dans une optique de promotion de la santé implique de renforcer les compétences qui permettront aux jeunes de consolider leur autonomie et de développer leur pouvoir d action sur leur environnement. La participation est en effet une des clés de la santé, y compris en ce qui concerne la maîtrise des consommations éventuelles. En milieu scolaire, le décret «Missions» fonde également comme mission essentielle de l enseignement le développement la confiance en soi des jeunes ainsi que leur participation à la vie économique, sociale et culturelle. D après une enquête menée par l Observatoire de l Enfance, de la Jeunesse et de l Aide à la Jeunesse en 2008, les jeunes eux-mêmes affirment que la participation et le fait d être écouté sont des déterminants fondamentaux de leur bien-être.

8 L école, à côté de la famille et des amis, constitue une influence importante dans la manière dont les jeunes vont construire leur identité, y compris en ce qui concerne l adoption de conduites à risques. En effet, comme vous l a expliqué mon collègue Julien Nève ce matin, plus les jeunes apprécieront leur situation scolaire, moins ils auront de chance de développer des conduites à risques. C est de cette manière que le monde scolaire peut influencer le développement des conduites à risque chez les jeunes : en améliorant la satisfaction des jeunes à l égard de l école. Plus spécifiquement, en offrant aux jeunes les moyens de participer à la vie de l école, en leur proposant des responsabilités au sein des classes et en dehors des classes, en garantissant de bonnes relations entre élèves et enseignants, etc. Cependant, force est de constater que rares sont les établissements qui se donnent les moyens de développer la participation des élèves dans les différentes sphères de la vie de l école. Ce qui est compréhensible du point de vue des adultes, puisque pour faire participer les jeunes, il faut nécessairement abandonner un certain pouvoir à leur profit, ce qui peut avoir des conséquences imprévisibles. Les projets «art et prévention» que nous tentons de développer avec le milieu scolaire sont des projets qui par leur nature élargissent la cadre scolaire. La relation de classe y est renversée : il n y aucune démarche évaluatrice et les enseignant se retrouvent dans le rôle de conseillers techniques au service des jeunes qui savent très bien où ils veulent aller dans le cadre de la réalisation d un film, d une pièce de théâtre ou autre Alors, qu en règle générale, l école ne valorise que le bon comportement et les bons points, ces projets visent à valoriser les personnes. Des projets comme ceux-ci sont susceptibles de révolutionner certaines dynamiques de classe et avoir un véritable impact en termes de promotion de la santé des jeunes.

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