PRODUCTION DE PROTEINES RECOMBINANTES DANS DES CELLULES DE MAMMIFERES ET DES ANIMAUX TRANSGENIQUES

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "PRODUCTION DE PROTEINES RECOMBINANTES DANS DES CELLULES DE MAMMIFERES ET DES ANIMAUX TRANSGENIQUES"

Transcription

1 PRODUCTION DE PROTEINES RECOMBINANTES DANS DES CELLULES DE MAMMIFERES ET DES ANIMAUX TRANSGENIQUES Pourquoi les cellules de mammifères? - Elles permettent la production de protéines complexes : anticorps et facteurs de coagulation. Fabrication de vaccins recombinants, facteurs sanguins. - Amélioration de l expression des protéines par rapport aux autres systèmes : - glycosylation : la N-glycosylation est possible dans les lignées cellulaires de mammifères - repliement des protéines. Nombre de protéines recombinantes (biomédicaments) produites dans les différents systèmes : 39% de cellules de mammifères, 29% de cellules d E. coli, 18% de Saccharomyces, 11% de cellules hybrides, très peu de cellules d insecte ou de cellules d animaux transgéniques. I. Production dans des cellules 1. Les lignées de cellules de mammifères utilisées Lignée Nature Mode de croissance BHK 21 Cellules de rein de hamster syrien Adhérentes NSO Myélome murin de souris En suspension CHO Cellules d ovaires de hamster chinois Adhérentes HEK 293 Cellules de rein d embryon Adhérentes, certaines en humain suspension Les lignées cellulaires de mammifères sont répertoriées par l ECACC (européen) et ATCC (américain). 2. Autres types cellulaires Cellules souches somatiques Cellules souche embryonnaires Culture de cellules primaires 1 3. Les vecteurs utilisés dans les cellules de mammifères - Plasmides - Adénovirus - Rétrovirus : virus de la leucémine murine de Moloney, lentivirus - Baculovirus

2 a) Les plasmides Les plus courants : pcdna, pires. b) Les adénovirus Virus non enveloppé à ADN db, linéaire de kb Hôtes naturels de l homme pour certains, utilisation des sérotypes 2 et 5 (non tumorigènes, non oncogènes) Large tropisme Génome adénoviral code 11 protéines différentes. Gène précoce E, gène tardif L. Délétion de la région E1/E3 pour l utilisation comme vecteur. E1/E3 code pour la capside virale, qui est reconnue par les Ac. Si on enlève ces éléments, le plasmide n est pas reconnu et on peut l utiliser comme plasmide. Ces vecteurs adénoviraux permettent d insérer jusqu à 8 kb d ADN étranger. L adénovirus recombiné est utilisé pour transfecter des cellules (HEK 293 modifiées pour produire les protéines E1, éventuellement E3). Dans ces cellules, l ADN viral est répliqué et les protéines virales sont produites. Les virions formés sont récoltés et serviront à transduire les cellules dans lesquelles on souhaite exprimer le transgène. L adénovirus recombinant peut infecter de nombreux types cellulaires (en prolifération, mais aussi quiescents). Après transduction virale de la cellule hôte, présence de nombreuses copies du virus. Ceci permet une forte expression transitoire du transgène. Les gènes viraux ne sont pas exprimés (absence des protéines transactivatrices E1 et E3 parfois. Le transgène est exprimé à partir d un pcmv. Exemple d un vecteur adénoviral : système Clontech : Adeno X Le gène d intérêt va être inséré dans un plasmide. Régions importantes pour le mettre sur l adénovirus. On obtient un gène recombiné avec le gène d intérêt. Le plasmide shuttle sera coupé par des enzymes de restriction particulières : Pi-Sce I qui reconnait une séquence relativement longue donc probabilité de coupure relativement faible. Quand on a multiplié le vecteur pshuttle2, on met l enzyme de restriction et on va peut-être retrouver une ou 2 coupures. On récupère ainsi le morceau qu on va rajouter sur l adénovirus par un système de clonage classique. Les 2 éléments sont mélangés, on fait une ligation in vitro et on rajoute l enzyme Swa I. Swa coupe le fragment de l adénovirus qui est supposé être à la place du fragment qu on veut rajouter. Sans cette enzyme, il y a compétition entre les 2 fragments, en présence de l enzyme ce n est plus le cas. Transformation E. coli et purification, puis Pac I qui va linéariser. 2

3 Ensuite méthode de transfection pour faire rentrer le plasmide dans le vecteur HEK. Ce sont les cellules HEK qui permettront de donner les adénovirus recombinés. Purification des Adénovirus recombinants : Recueil des plages de lyse : caractérisation du vecteur, amplification dans les cellules 293 et éclatement des cellules. Purification sur gradient de CsCl et dialyse. Caractérisation finale : - vérification de la structure de l adénovirus recombinant - titration des particules virales - vérification de l absence de particules adénovirales réplicatives. c) Les rétrovirus Famille de virus enveloppés à ARN trouvée chez tous les vertébrés. S intègrent dans l ADN de la cellule hôte. Outils puissants pour infecter tout type de cellules de mammifères en division ou en quiescence. Les différents types de rétrovirus γ-rétrovirus : virus simple Lentivirus et spumavirus : organisation plus complexe avec gag pol env plus d autres gènes codant des protéines virales. Vecteurs dérivés des rétrovirus Rétrovirus MoMLV (virus de la leucémie murine de Moloney) Remplacement des gènes gag pol env par le transgène. On peut infecter des virus en prolifération mais pas en quiescence. Encapsidation du gène thérapeutique dans la capside et l enveloppe virale ADN plasmidique sur lequel on a mis la construction avec le site d encapsidation, le LTR et le gène d intérêt. On transfecte : par électrophoration ou par un autre moyen on amène l ADN dans la cellule, pour former des virus recombinés. L ADN à portée va s intégrer dans la cellule d encapsidation. Permet 2 choses : la transcription du génome et l expression des différentes protéines qui sont celles de la capside, synthétisées dans le cytoplasme. On reforme l encapsidation càd l ADN va être entouré de la capside viral, qui sort par bourgeonnement. Rétrovirus infectieux à réplication-incompétent qui servira juste à véhiculer le morceau de gène. 3

4 Transduction de cellules cibles et expression du gène thérapeutique Rétrovirus recombinant : après infection, on retrouve la capside à l intérieur de la cellule cible, ainsi que l ARN qui va être rétrotranscrit grâce à la transcriptase inverse en ADN db, pour s intégrer dans la cellule cible. Les vecteurs rétroviraux : - si le vecteur rétroviral dérivé de MoMLV : transfection des cellules en mitose uniquement. - Pour la transfection de cellules quiescentes : utilisation de vecteurs dérivés des lentivirus qui présentent des séquences permettant le transport du génome viral à travers la membrane nucléaire (cppt = central polyurine tract). Les vecteurs rétroviraux permettent : - La transduction de nombreux types cellulaires (cultures primaires, cellules souches) - L obtention d une expression stable par intégration du transgène dans le génome de la cellule hôte, taux d expression dépend du lieu d insertion. 4. Régulation de l expresson dans les cellules de mammifères a) Le système TetOn / TetOff (Clontech) Le système TetOff En amont du promoteur, TRE MOD va reconnaitre une molécule tta qui est une protéine transactivatrice hybride formé du domaine de liaison à l ADN de tetr associé à 3 unités du domaine transactivateur de la protéine VP16 de HSV. Se lie en absence de tétracycline. Fonctionne pour activer la transcription. La transcription du gène se fait en absence de tétracycline : il y a un site de fixation sur tta, si la tetracycline se fixe, TRE inhibe la transcription. Dans TetOff : transcription du transgène en absence de tétracycline. Le système TetOn La construction de départ est la même, l élément TRE est modifié. C est surtout le répresseur qui est modifié de ne manière à se fixer à la TRE uniquement quand il y a de la tétracycline ou de la doxycycline. 4

5 rtta : protéine transactivatrice formée du domaine de liaison à l ADN de tetr associé à 3 unités du domaine transactivateur de la protéine VP16 de HSV. Dans TetOn : La transcription du gène ne se fait qu en présence de tétracycline. Il faut que rtta soit présent. Remarque : dans ce système inductible, nécessité d utiliser des cellules exprimant la protéine transactivatrice. HEK (ou autres cellules modifiées). 5. Protéines d intérêt thérapeutiques produites dans des cellules de mammifères a) Production de l activateur tissulaire du plasminogène = tpa = protéase à sérine Dissolution des caillots sanguins par action sur la fibrine. t-pa est un agent fibrinolytique puissant administré lors d infarctus du myocarde, embolie pulmonaire, AVC d origine ischémique. Un déficit en t-pa mène à un risque accru de thromboses. Son mode d action : Transformation du plasminogène en plasmine par le t-pa. La plasmine active la dégradation de la fibrine en produits de dégradation de la fibrine. La spécialité : l Altéplase, obtenu par génie génétique, est une glycoprotéine de 527 acides aminés, 335 cystéines, 14 ponts disulfures et de nombreux sites de glycosylation. Identique à l activateur tissulaire du plasminogène ou t-pa. Premier médicament produit commercialement à partir de culture de cellules de mammifères en 1987 par Genentech. Réservé à l usage hospitalier, administré par voie IV, coût d environ 2200 $/100 mg. La production dans les CHO (hamsters chinois) coûte environ $/g. II. Production de protéines recombinantes à partir d animaux transgéniques Animal transgénique : animal dont le patrimoine génétique a été modifié par l homme. Notamment la souris, le lapin, le porc, le mouton. 5

6 1. Principe général On utilise le gène naturel chez l animal qui code la béta caséine : en vert le promoteur de la béta caséine. On rajoute le gène étranger. On fabrique une structure hybride pour mettre le nouveau gène sous contrôle du promoteur de la béta caséine. Production de protéines recombinantes grâce à diverses techniques de transgénèse. 2. Les différentes techniques de transgénèse a) Microinjection d ADN dans un pronucléus But : intégrer ce nouvel ADN dans le chromosome. Exemple de la souris - Traitement hormonal de la souris femelle - Accouplement des souris mâle et femelle - Prélèvement et sélection des ovules fécondés : pronucléus mâle et femelle - Micro-injection directe de la solution d ADN dans le pronucléus mâle - Réimplantation de l embryon micro-injecté dans l oviducte de la souris Tous les souriceaux n auront pas intégré le transgène mais si la recombinaison homologue se fait : intégration du matériel apporté dans le matériel génétique. - Génotypage de la descendance : présence du transgène révélée par les fragments obtenus par PCR - Extraction de la protéine recombinante (dans le lait généralement) D après le schéma de la PCR : les souris 1 et 2 sont qualifiées d animaux fondateurs (génération F0). Le pourcentage de réussite varie de 0 à 20%. La ligne germinale est stable. b) Technique ICSI L ICSI (intracytoplasmic sperm injection) est largement utilisée en clinique comme méthode de reproduction médicalement assistée dans le cas de stérilité humaine dans les laboratoires pour des recherches sur la reproduction. But : introduction d un spermatozoïde (après mise en contact avec l ADN étranger) dans le cytoplasme d un ovocyte. Principal avantage de l ICSI : possibilité d obtenir de longs fragments d ADN avec une efficacité relativement bonne en comparaison avec l injection dans les pronucléi. 6

7 - Prélèvement des spermatozoïdes : une fois prélevés, ils seront mis en contact avec l ADN étranger dans un milieu de culture. - Recueil des ovocytes : injection d hcg pour permettre l ovulation et ainsi avoir un ovocyte mature. Prélèvement de l ovocyte au stade métaphase II (présence d un globule polaire). - ICSI : un spermatozoïde sera directement injecté dans le cytoplasme de l ovocyte à l aide de pipettes en verre très fines. Un microscope équipé d une excellente optique et une paire de micromanipulateurs seront nécessaires. Ensuite le processus de la fécondation se poursuit come une fécondation naturelle (in vitro). Si la fécondation (la fusion de noyaux des 2 gamètes) a eu lieu normalement, on peut observer après l injection, la présence des deux pronucléi au centre du cytoplasme et la présence du deuxième globule polaire dans l espace périvitellin. Introduction des embryons chez des femelles receveuses. La descendance porte dans son génome le gène étranger (taux de réussite : 20%). c) L infection virale Récupération des cellules de la morula, infection virale par éléments rétroviraux. d) Transgénèse via le transfert de noyau Le clonage par transfert de noyau a donné naissance à la brebis Dolly. Transfert d un noyau d une cellule différente dans une cellule énuclée. On obtient le noyau d une cellule différenciée dans un environnement différent : reprogrammation génétique. Principe : cellules génétiquement modifiées, puis sélectionnées comme donneuses de noyau pour réaliser des clonages. Polly : premier mammifère cloné transgénique. Facteur IX de la coagulation humain. Protocole : - Isolement des cellules somatiques ou pluripotentes, mise en culture - Des cellules sont transfectées avec un vecteur permettant l addition ou le remplacement de gène. - Sélection des clones porteurs du gène étranger par une double sélection positive et négative. - Introduction du noyau ou de la cellule sélectionnée dans le cytoplasme d un ovocyte énucléé Formation d un embryon complet. - Introduction de l embryon dans une mère adoptive e) Utilisation des cellules souches embryonnaires Cellules du stade blastocyste : cellules pluripotentes puisqu elles peuvent donner les 3 feuillets embryonnaires. Cellules non différenciées. Elles sont caractérisées par 2 propriétés majeures : - l auto-renouvellement : population pure de cellules indifférenciées pendant de longues périodes de culture - la pluripotence : capacité de générer tous les types cellulaires de l organisme. 7

8 Un outil idéal pour la thérapie cellulaire et la production d animaux transgéniques. Le génome de ces cellules peut être modifié en culture. On peut : - supprimer un gène (knock-out = invalidation génique), - remplacer un gène (knock-in), - apporter un nouveau gène (transgénèse additive). Les souriceaux d intérêt sont ceux qui ont intégré la nouvelle séquence dans les cellules germinales (ovules ou spermatozoïdes). La couleur agoutie est dominante sur la couleur noire. +/- = hétérozygote. Inconvénients : - méthode longue - applicable uniquement à des animaux prolifiques - très utilisée pour la souris - pas de succès chez les grands animaux. III. Exemples de protéines produites dans l animal 1. L antithrombine L antithrombine AT : inhibiteur de la protéase qui clive la prothrombine en thrombine, une substance qui joue un rôle essentiel dans le processus de la coagulation sanguine. Chèvres transgéniques possédant le gène humain de l AT, produit de l AT recombinante dans le lait. ATryn : première molécule commerciale obtenue à partir de chèvres transgéniques. AMM le 26 juillet 2006 en Europe, accord FDA en 2009 (USA). Prévention des accidents thromboemboliques chez les patients atteints de déficience héréditaire de production d T (pathologie touchant 1/5000). On peut produire des quantités très importantes par cette technique. 2. Le facteur IX Le facteur de coagulation IX est une protéine dont le rôle est essentiel dans la régulation de la coagulation du sang. Sa déficience entraine une hémophilie : naissance de la brebis Polly, la première brebis transgénique clonée produite par la technique de transfert nucléaire -> protéine facteur de coagulation IX dans le lait. 8

9 3. Les anticorps recombinants Les chaines légères L sont formées de 2 domaines : - un domaine variable VL - un domaine constant CL. Les chaines lourdes H comportent : - un domaine N-terminal variable (VH) - 3 ou 4 domaines constants (CH). Evolution structurale des anticorps monoclonaux à usage thérapeutique. Murin chimérique (partie variable de murin) humanisé humain. On peut produire des chaines d Ig totalement humaines chez les animaux. Principe de la production d anticorps humain par la Xenomouse : voir schéma Cellules ES murines : - inactivation des gènes murins codant la chaine lourde IgH et inactivation des gènes murins codant la chaine légère Igk souche de souris immunodéficiente incapable de produire des anticorps murins - introduction du locus humain IgL et introduction du locus humain IgH souche de souris produisant des anticorps humains et murins. On croise les deux souris obtenues souche de souris produisant des anticorps humains = Xenomouse. Plusieurs techniques appliquées pour le transfert des gènes dans un animal : Elles se différencient par leur plus ou moins bonne adaptation aux différentes catégories d animaux et par l efficacité de la transgénèse. Avantages : Ces techniques permettent l intégration d un gène étranger dans une cellule. Les sources naturelles de protéines médicamenteuses sont limitées, nécessité de produire par d autres moyens certaines protéines à visée thérapeutique. Cette technique permet de produire des protéines modifiées afin d augmenter par exemple l efficacité de la molécule médicamenteuse (en modifiant par exemple quelques AA). Animaux transgéniques Souris Lapin Chèvres Vache Quantité de protéines recombinantes produites dans le lait 1 g 1 kg/an 1 kg 1 tonne/ an Plusieurs tonnes/an Inconvénients : Faibles taux de production, de fécondation et de développement de ces animaux. Parmi les premiers individus transgéniques d une ignée, bon nombre sont des animaux mosaïques = ils sont porteurs dans certaines cellules seulement du transgène en question. 9

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse

Plus en détail

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique

Plus en détail

Sysmex Educational Enhancement & Development

Sysmex Educational Enhancement & Development Sysmex Educational Enhancement & Development Bulletin d information SEED-Afrique No 6 Le rôle du test D-dimères dans le diagnostic clinique. Introduction à la coagulation L objectif de ce bulletin est

Plus en détail

TD de Biochimie 4 : Coloration.

TD de Biochimie 4 : Coloration. TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi

Plus en détail

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps

Plus en détail

3: Clonage d un gène dans un plasmide

3: Clonage d un gène dans un plasmide 3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par

Plus en détail

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013 Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie

Plus en détail

Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux

Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive

Plus en détail

Fécondation in vitro avec don d ovocytes

Fécondation in vitro avec don d ovocytes Fécondation in vitro avec don d ovocytes Ref. 155 / abril 2009 Service de Médecine de la Reproduction Gran Vía Carlos III 71-75 08028 Barcelona Tel. (+34) 93 227 47 00 Fax. (+34) 93 491 24 94 international@dexeus.com

Plus en détail

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE

LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Biologie LA MITOSE CUEEP - USTL DÉPARTEMENT SCIENCES BAHIJA DELATTRE Février 2006 I. L'INTRODUCTION Chaque cellule d'un organisme supérieur provient de la multiplication d'une cellule préexistante (cellule

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Nouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1

Nouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Nouveaux Anti-thrombotiques Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Classification Antithrombines directes o Ximélagatran EXANTA o Désirudine

Plus en détail

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée

Plus en détail

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire

Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire UE2 : Structure générale de la cellule Chapitre 7 : Structure de la cellule Le noyau cellulaire Professeur Michel SEVE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Information génétique

Information génétique chapitre 3 Information génétique et division cellulaire L étude de la division cellulaire est abordée pour découvrir comment est transmise et conservée l information génétique portée par les chromosomes.

Plus en détail

Hémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants

Hémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants Hémorragies cérébrales et nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP BHR, Boeringer, LFB, Fresenius-Kabi, Integra-Neurosciences Patient

Plus en détail

Mise en place d une plateforme de gestion de matériels biologiques : quels avantages pour les chercheurs?

Mise en place d une plateforme de gestion de matériels biologiques : quels avantages pour les chercheurs? Mise en place d une plateforme de gestion de matériels biologiques : quels avantages pour les chercheurs? Dr Xavier Manival, Laboratoire IMoPA, CR, CNRS Françoise Tisserand-Bedri, Documentaliste, Inist-CNRS

Plus en détail

L immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes

L immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection

Plus en détail

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants

Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI

Plus en détail

Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires

Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:

Plus en détail

TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique

TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique TP3 Test immunologique et spécificité anticorps - déterminant antigénique Partie 1 : Spécificité d'un anticorps pour un déterminant antigénique du VIH La séropositivité pour le VIH correspond à la présence

Plus en détail

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne

ULBI 101 Biologie Cellulaire L1. Le Système Membranaire Interne ULBI 101 Biologie Cellulaire L1 Le Système Membranaire Interne De la nécessité d un SMI Le volume augmente comme le cube de la dimension linéaire, alors que la surface n'est augmentée que du carré Une

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Les débuts de la génétique

Les débuts de la génétique HPITRE 9 DES DÉBTS DE L ÉNÉTIQE X ENJEX TELS DES BIOTEHNOLOIES 1 Les débuts de la génétique est avec les travaux de regor Mendel vers la fin du XIX e siècle que furent posées les bases de la génétique.

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

Infospot. Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014

Infospot. Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014 Infospot Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) Octobre - Novembre - Decembre 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux (NACOs) - Octobre - Novembre - Decembre 2014 1 I. Définition Il est actuellement

Plus en détail

Guide à l intention des patients sur les thérapies à base de cellules souches

Guide à l intention des patients sur les thérapies à base de cellules souches Guide à l intention des patients sur les thérapies à base de cellules souches Appendice I des Lignes directrices pour l application en clinique des cellules souches Traduction fournie par le Réseau de

Plus en détail

La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir

La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service

Plus en détail

RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE

RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE RIVAROXABAN ET TESTS DE BIOLOGIE MEDICALE Ce texte est une mise au point d Octobre 2012, dont le contenu sera revu en fonction de l avancement des connaissances Rédacteurs : Isabelle Gouin-Thibault 1,

Plus en détail

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système

Plus en détail

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines

Plus en détail

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES

CHAPITRE 3 LA SYNTHESE DES PROTEINES CHAITRE 3 LA SYNTHESE DES ROTEINES On sait qu un gène détient dans sa séquence nucléotidique, l information permettant la synthèse d un polypeptide. Ce dernier caractérisé par sa séquence d acides aminés

Plus en détail

Génétique et génomique Pierre Martin

Génétique et génomique Pierre Martin Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée

Plus en détail

L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE

L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE L EMEA accepte d évaluer la demande d autorisation de mise sur le marché de la LENALIDOMIDE NEUCHATEL, Suisse, 7 avril/prnewswire/ -- - LA LENALIDOMIDE est évaluée par l EMEA comme thérapie orale pour

Plus en détail

Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple

Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique

Plus en détail

Quelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique?

Quelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique? Quelle place pour le test de génération de thrombine au sein du laboratoire de biologie clinique? À la recherche du test «idéal» pour diagnostiquer les troubles de l hémostase C. Lecut, P. Peters, A. Gothot

Plus en détail

Séquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN

Séquence 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Séquence 1 Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN Variabilité génétique et mutation de l ADN Sommaire 1. Reproduction conforme de la cellule et réplication de l ADN 2. Variabilité

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas

Observation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

PICT DOSAGE DES ANTICOAGULANTS 1. PEFAKIT PICT. Dosage chronométrique. PEFAKIT PiCT. PEFAKIT PiCT Calibrateur HNF. PEFAKIT PiCT Contrôles HNF

PICT DOSAGE DES ANTICOAGULANTS 1. PEFAKIT PICT. Dosage chronométrique. PEFAKIT PiCT. PEFAKIT PiCT Calibrateur HNF. PEFAKIT PiCT Contrôles HNF Dosage chronométrique PICT 1. PEFAKIT PICT Nombre de tests 8-505-01 coffret 80 3 flacons d activateur (2 ml) 3 flacons de réactif Start (2 ml) Mesure des anticoagulants par méthode chronométrique. 1 2

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

ÉTUDE FONCTIONNELLE ET STRUCTURALE DE LA PROTÉINE INTÉGRASE DU VIH-1 ET DÉVELOPPEMENT D INHIBITEURS

ÉTUDE FONCTIONNELLE ET STRUCTURALE DE LA PROTÉINE INTÉGRASE DU VIH-1 ET DÉVELOPPEMENT D INHIBITEURS MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE ÉCOLE PRATIQUE DES HAUTES ÉTUDES Sciences de la Vie et de la Terre MÉMOIRE Présenté Par Coralie CELLIER Pour l obtention du diplôme de l École Pratique

Plus en détail

Fibrillation atriale chez le sujet âgé

Fibrillation atriale chez le sujet âgé Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque

Plus en détail

Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux

Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser

Plus en détail

voie extrinsèque voie intrinsèque VIIa IXa XIa XIIa IX XI prothrombine Xa, V, Ca, PL thrombine IIa facteurs contact XII fibrinogène fibrine

voie extrinsèque voie intrinsèque VIIa IXa XIa XIIa IX XI prothrombine Xa, V, Ca, PL thrombine IIa facteurs contact XII fibrinogène fibrine Les nouveaux anticoagulants oraux Pierre Avinée EPU B Septembre 2012 Anticoagulants:pourquoi des nouveaux? Héparines Voie parentérale (1 à 3 fois par jour) Surveillance biologique (HNF) Risque: TIH, ostéoporose

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de

Plus en détail

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences?

Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Les nouveaux anticoagulants ont ils une place aux Urgences? Emmanuel Andrès Service de Médecine Interne Diabète et Maladies métabolique Clinique Médicale B - CHRU de Strasbourg Remerciements au Professeur

Plus en détail

Les anticoagulants oraux directs dans la pratique médicale: implications pour le laboratoire d hémostase

Les anticoagulants oraux directs dans la pratique médicale: implications pour le laboratoire d hémostase Pipette 6-2014, Seite 17 18 Les anticoagulants oraux directs dans la pratique médicale: implications pour le laboratoire d hémostase Anne Angelillo-Scherrer Références, Figures 1 5 et Table 1 Références

Plus en détail

Cibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa.

Cibles Nouveaux ACO AVK. Fondaparinux HBPM HNF. Xarelto. Eliquis Lixiana. Pradaxa PARENTERAL INDIRECT ORAL DIRECT. FT / VIIa. Accidents hémorragiques aux nouveaux anticoagulants Gérard Audibert Anesthésie Réanimation CHU de Nancy Remerciements au Pr A. Steib GIHP Cibles Nouveaux ACO ORAL DIRECT FT / VIIa PARENTERAL INDIRECT AVK

Plus en détail

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation

Plus en détail

LES HEPATITES VIRALES

LES HEPATITES VIRALES LES HEPATITES VIRALES Infect virales atteignant préférentiellement le foie avec lés inflammatoires, altérat hépatocytaire (cytolsye hépatique) et élévat des transaminases. Etiolo gie Transm ission Contam

Plus en détail

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion

Plus en détail

SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE

SERVICE DE GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE - CLINIQUE DE FERTILITE 1 TABLE DES MATIERES 1. Un petit mot d introduction 2. En quoi consiste le don d ovocyte? 3. A qui s adresse le don d'ovocyte? 4. Les différents types de don d ovocyte A. Le don anonyme B. Le don dirigé

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

Les anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes

Les anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes Les anticoagulants oraux: des AVK aux «NOACs» NOACs ou NACOs? NACO: Contraction de «Narcissistes compacts» Bandes des rues de Mexico responsables d incivilités permanentes Les Nacos ne boivent pas d alcool

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II

PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie II Le 23/09/13 SOGHOMONIAN Astrid, L2 Tissu sanguin et système immunitaire Pr Baccini 22 pages PRINCIPALES ETAPES DE L'HEMATOPOIESE MEDULLAIRE (lignées, maturation, voies de domiciliation tissulaire) Partie

Plus en détail

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne

Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne VITICULTURE 27 Evaluation de cépages résistants ou tolérants aux principales maladies cryptogamiques de la vigne Marc Chovelon Grab Mathieu Combier Chambre d Agriculture du Var Gilles Masson Centre du

Plus en détail

journées chalonnaises de la thrombose

journées chalonnaises de la thrombose Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations

Plus en détail

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010) Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des

Plus en détail

Biologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr

Biologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs

Plus en détail

La filtration glomérulaire et sa régulation

La filtration glomérulaire et sa régulation UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 janvier 2006 ADVATE 1500 UI, poudre et solvant pour solution injectable 1 flacon(s) en verre de 1 500 UI - 1 flacon(s) en verre de 5 ml avec matériel(s) de perfusion(s)

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE

INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Partie 1, Chapitre 4 INFORMATION GÉNÉTIQUE et REPRODUCTION SEXUÉE Constat : à l'exception des jumeaux, chaque individu est unique. Ses caractères héréditaires dependent des info génétiques (allèles) portées

Plus en détail

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire

Plus en détail

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,

Plus en détail

Une forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux

Une forte dynamique des prescriptions de ces nouveaux anti-coagulants oraux 27 novembre 2013 Nouveaux anti-coagulants oraux : une étude de l Assurance Maladie souligne la dynamique forte de ces nouveaux médicaments et la nécessité d une vigilance accrue dans leur utilisation Les

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

R 2 6 15 623 DEMANDE DE BREVET D'INVENTION 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PARIS. 0 Int CI' : G 01 N 33/571; A 61 K 39/42; 39/21.

R 2 6 15 623 DEMANDE DE BREVET D'INVENTION 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE PARIS. 0 Int CI' : G 01 N 33/571; A 61 K 39/42; 39/21. 0 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE INSTITUT NATIONAL DE LA. PROPRIÉTÉ INDUSTRIELLE 0 N de publication : 2 615 623 là n'utiliser que pour les commendes de reproduction) N d'enregistrement national : 87 07263 PARIS

Plus en détail

Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban

Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Deux nouveaux anticoagulants oraux : Dabigatran et Rivaroxaban Améliorations attendues et problèmes M.M. Samama, M-H. Horellou, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F.

Plus en détail

4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE

4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE 4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes

Plus en détail

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008

Les anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008 Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

Dons, prélèvements et greffes

Dons, prélèvements et greffes Dons, prélèvements et greffes Donneur : d une vie à une autre... Chaque année, en France, plus de 10000 malades attendent une greffe afin de continuer à vivre ou d améliorer une existence lourdement handicapée.

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Transport des gaz dans le sang

Transport des gaz dans le sang UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits

Plus en détail

Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker

Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C Marie-Laure Chaix Virologie Necker OUTILS DIAGNOSTIQUES VHC Transaminases Recherche des Anticorps! Tests indirects - Anticorps! ELISA! RIBA

Plus en détail

Approches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain

Approches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain Approches immunologiques potentielles du traitement du paludisme humain Claudio Daniel RIBEIRO A l'heure actuelle les différentes possibilités thérapeutiques proposées pour le traitement du paludisme rencontrent

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement

Plus en détail

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA

QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA QUESTIONS FREQUEMMENT POSEES AUX EXPERTS DU SERVICE TELEPHONE VERT SIDA (800861061) ISTITUTO SUPERIORE DI SANITA INFORMATIONS SUR LE TEST DE DEPISTAGE Q. Quels examens médicaux doit-on faire pour détecter

Plus en détail

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015

Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne

Plus en détail

médicaments et élaboration de thérapies géniques

médicaments et élaboration de thérapies géniques SYNTHÈSE médecine/sciences 1991 ; 7: 830-41 Traitements du SIDA : recherche de nouveaux médicaments et élaboration de thérapies géniques Jean-Paul Lévy Tout l'arsenal des techniques qui permettent d'élaborer

Plus en détail

à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale

à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale à Mulhouse un centre pionnier de recherche médicale 25 ans de lutte contre les leucémies et l infarctus du myocarde Fondé en 1987 par le Professeur Philippe Hénon et localisé au sein de l Hôpital du Hasenrain

Plus en détail

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS

PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION

Plus en détail

Enseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours

Enseignement de Virologie (part. 2) Pr. Y. BAKRI Plan du cours Université Mohammed V-Agdal Département de Biologie Faculté des Sciences Filière SVI Semestre 4 Année Universitaire : 2004-2005 Module optionnel: Biologie Humaine (M 16.1) Elément : Parasitologie - Virologie

Plus en détail