OBJECTIF MONETAIRE EURO

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1 LAZARD FRERES GESTION S.A.S. OBJECTIF MONETAIRE EURO Fonds Commun de Placement RAPPORT ANNUEL au 30 septembre 2015 OPC du groupe LAZARD Siège social : 25, rue de Courcelles, Paris SAS au capital de , R.C.S. Paris

2 MONETAIRE ZONE EURO Parts A et Parts B : Capitalisation et/ou distribution et/ou report des revenus Parts A et Parts B : Capitalisation et/ou Distribution des plus-values Objectif de gestion L'objectif de gestion vise à obtenir sur la durée de placement recommandée : Pour la part A une performance au moins égale à l'eonia capitalisé après déduction des frais de gestion de cette part ; Pour la part B une performance au moins égale à l' Eonia capitalisé après déduction des frais de gestion de cette part. Indicateur de référence EONIA capitalisé. EUROPEAN OVERNIGHT INDEX AVERAGE : le taux "EONIA" est le taux moyen pondéré calculé par la BCE et diffusé par la FBE (fédération Bancaire de l'union Européenne). Il résulte de la moyenne pon- -dérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisés par les banques de meilleures signatures. L'indice EONIA est publié quotidiennement par la Banque Centrale Européenne (BCE). La capitalisation de cet indice s'obtient par l'application de la formule de capitalisation des intérêts composés. L'historique de l'indice est disponible sur le site de la BCE. Profil de risque Avertissement Votre argent sera principalement investi dans des instruments financiers sélectionnés par la société de gestion. Ces instruments connaîtront les évolutions et aléas des marchés. - Risque en capital : Le FCP ne bénéficie d'aucune garantie ni protection, il se peut donc que le capital initialement investi ne soit pas intégralement restitué. - Risque de crédit : En dépit de règles de gestion strictes et d'analyses réalisées par la société de gestion, l'émetteur d'un titre de créance négociable ou obligataire peut être amené à faire défaut. Ainsi cette défaillance pourra faire baisser la valeur liquida- -tive du FCP. Même dans le cas où aucun émetteur ne fait défaut, les variations des marges de crédit peuvent conduire la performance à être négative. - Risque de taux : Le risque de taux est le risque de variation des taux d'intérêt qui a un impact sur les marchés obligataires. A titre d'exemple, le prix d'une obligation tend à évoluer dans le sens inverse des taux d'intérêt. En cas de hausse des taux, la valeur liquidative du Fonds pourra baisser. - Risque lié aux stratégies d'arbitrage : Le gérant peut mettre en œuvre des stratégies d'arbitrage. Dans le cas d'anticipations erronées, la valeur liquidative du FCP pourra baisser de manière significative. - Risque sur instruments dérivés : Le FCP peut s'exposer sous forme synthétique à des instruments de taux et/ou d'indices jusqu'à une fois son actif net. L'utilisation des produits dérivés sur marchés organisés et de gré à gré peut exposer à une forte variation à la hausse ou à la baisse de la valeur liquidative à travers les sous-jacents qui réagissent très fortement aux fluctuations des marchés. - Risque de contrepartie : Il s'agit du risque lié à l'utilisation par ce FCP d'instruments financiers à terme, de gré à gré, et/ou au recours à des opérations d'acquisitions et de cessions temporaires de titres. Ces opérations conclues avec une ou plusieurs contreparties éligibles, esposent potentiellement le FCP à un risque de défaillance de l'une de ces contreparties pouvant la conduire à un défaut de paiement. Souscripteurs concernés et profil de l'investisseur type Ce FCP est destiné aux souscripteurs recherchant un placement comportant un niveau limité d'exposition aux risques et privilégiant la régularité de l'évolution de la valeur liquidative. Parts A : les parts A sont destinées à tous souscripteurs. Parts B : les parts B sont destinées aux investisseurs institutionnels.

3 Le montant qu'il est raisonnable d'investir dans cet OPCVM dépend de la situation personnelle de l'investisseur. Pour le déterminer, il doit tenir compte de son patrimoine personnel, de ses besoins actuels et de la durée de placement recommandée, mais également de sa capacité à prendre des risques, ou, au contraire, à privilégier un investissement prudent. Informations relatives aux investisseurs américains : Le FCP n est pas enregistré en tant que véhicule d investissement aux Etats-Unis et ses parts ne sont pas et ne seront pas enregistrées au sens du Securities Act de 1933 et, ainsi, elles ne peuvent pas être proposées ou vendues auxx Etats-Unis à des Restricted Persons, telles que définies ci-après. Les Restricted Persons correspondent à (i) toute personne ou entité située sur le territoire des Etats-Unis (y compris les résidents américains), (ii) toute société ou toute autre entité relevant de la législation des Etats-Unis ou de l'un de ses Etats, (iii) tout personnel militaire des etats-unis ou tout personnel lié à un département ou une agence du gouvernement américain situé en dehors du territoire des Etat-Unis, ou (iv) toute autre personne qui serait considérée comme une U.S. Person au sens de la Regulation S issue du Securities Act de 1933, tel que modifié. FATCA : En application des dispositions du Foreign Account Tax Compliance Act («FATCA») applicables à compter du 1er juillet 2014, dès lors que le FCP investit directement ou indirectement dans des actifs américains, les revenus tirés de ces investissements sont susceptibles d'être soumis à une retenue à la source de 30%. Afin d éviter le paiement de la retenue à la source de 30%, la France et les Etats-Unis ont conclu un accord intergouvernemental aux termes duquel les institutions financières non américaines («foreign financial institutions>>) s'engagent à mettre en place une 'procédure d'identification des investisseurs directs ou indirects ayant la qualité de contribuables américains et à transmettre certaines informations sur ces investisseurs à l administration fiscale française, laquelle les communiquera à l'autorité fiscale américaine («Internal Revenue Service»). Le FCP, en sa qualité de foreign financial institution, s engage à se conformer à FATCA et à prendre toute mesure relevant de l accord intergouvernemental précité. Commissaire aux comptes, gestionnaire Commissaire aux comptes ERNST & YOUNG et AUTRES Gestionnaire LAZARD FRERES GESTION S.A.S. 41, rue Ybry 25, rue de Courcelles NEUILLY sur SEINE Cedex PARIS ETABLISSEMENT CHARGE de RECUEILLIR les SOUSCRIPTIONS et les RACHATS Les souscriptions et les demandes de rachat sont effectuées chez Lazard Frères Gestion S.A.S. sur la base - de la dernière valeur liquidative connue pour les souscriptions (règlement date V.L + 1 ouvré) - de la dernière valeur liquidative pour les rachats (règlement date V.L. + 1 ouvré) pour les ordres passés avant 12 H 00. DÉPOSITAIRE LAZARD FRERES BANQUE, 121, Boulevard Haussmann PARIS

4 RAPPORT ANNUEL 2015 EVOLUTION ET PERFORMANCE Au cours de cet exercice, l actif net du Fonds a connu l évolution suivante : de ,61 le 30/09/2014 il est passé à ,34 le 30/09/2015. Le nombre de parts en circulation au 30 septembre 2015 est de ,84 parts»a» et 120,226 parts «B».. Catégorie parts "A" Le nombre de parts souscrites tout au long de l exercice s est élevé à ,56 parts, ce qui représente un montant de ,31. Sur la même période, ,070 parts ont été présentées au rachat pour un montant de ,72. La valeur liquidative de 4 293,22 le 30 septembre 2014 est passée à 4 295,61 le 30 septembre 2015, ce qui correspond à une évolution de 0,06 %. La performance passée ne préjuge pas des résultats futurs de l OPC et n est pas constante dans le temps. Catégorie parts "B" Le nombre de parts souscrites tout au long de l exercice s est élevé à 444,275 parts, ce qui représente un montant de ,22. Sur la même période, 451,750 parts ont été présentées au rachat pour un montant de ,60. La valeur liquidative de ,02 le 30 septembre 2014, est passée à ,81 le 30 septembre 2014, ce qui correspond à une évolution de 0,19 %. La performance passée ne préjuge pas des résultats futurs de l OPC et n est pas constante dans le temps. Aucun dividende n a été mis en paiement au cours de cet exercice. Le résultat net distribuable disponible à l issue de cet exercice est de ,21, il est à comparer à celui de l exercice précédent d un montant de ,75. La performance de l indice sur la période est de -0,07 %. Information relative aux mouvements du portefeuille sur la période : Code de mouvement Isin Libellé Montant Net Achat FR BNP Paribas Money 3m Ic-(3d) ,85 Achat FR FCP Amundi Cash Corp. Ic-(3d) ,40 Achat FR Banque Regionale d'escompte et de Depots C0f 29/06/ ,68 Achat FR FCP Promepar Monetaire (2d) ,50 Achat FR Dexia Credit Local C1f 27/11/ ,00 Code de mouvement Isin Libellé Montant Net Vente FR FCP Amundi Cash Corp. Ic-(3d) ,64 Vente FR BNP Paribas Money 3m Ic-(3d) ,13 Vente FR FCP Promepar Monetaire (2d) ,64 Vente FR Banque Regionale d'escompte et de Depots C0f 29/06/ ,00 Vente FR Dexia Credit Local C1f 27/11/ ,12

5 Information relative au risque global : La méthode de calcul utilisée par l OPC est celle du calcul de l engagement. Information relative aux acquisitions et cessions temporaires de titres : Dans le cadre de la gestion quotidienne de la trésorerie, le gestionnaire pourra avoir recours à des opérations de repo. Ces pensions livrées se font exclusivement avec Lazard Frères Banque et sur une durée d une journée, éventuellement renouvelable. Les titres reçus en garantie par l OPC afin de réduire le risque de contrepartie seront, les cas échéants, détaillés dans la rubrique «3.9 Autres opérations» des compléments d information. Les revenus sur ces opérations sont mentionnés dans le compte de résultat, dans la rubrique «Produits sur acquisitions et cessions temporaires de titres». ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE L année écoulée a été marquée par une poursuite de la rotation de la croissance vers les économies avancées, une recrudescence du risque politique et deux changements profonds sur les marchés : la chute des cours du pétrole, qui s inscrit dans un mouvement plus large de baisse du prix des matières premières, et l appréciation du dollar, résultant de la divergence des politiques monétaires. Si la croissance mondiale devrait ralentir cette année, selon les prévisions du FMI, la reprise s est poursuivie dans les économies avancées qui devraient connaître en 2015 leur plus forte croissance depuis En revanche, l activité a fléchi dans les pays émergents qui vont probablement ralentir pour la cinquième année d affilée. Aux Etats-Unis, la vigueur de la croissance et les progrès accomplis sur le front de l emploi ont permis à la Réserve fédérale (FED) de mettre un terme à son programme de rachat d actifs à la fin du mois d octobre En zone euro, la reprise a gagné en vitesse malgré les développements liés à la Grèce qui a finalement trouvé un accord avec ses créanciers pour un nouveau plan d aide. La Banque centrale européenne (BCE) a adopté une série de mesures visant à relancer l inflation, dont un programme d achat d actifs de grande ampleur qui lui permet d acquérir des obligations publiques. Au Japon, la sortie de récession au premier trimestre a été suivie par une baisse de l activité. La Banque centrale du Japon (BoJ) a relevé le montant de ses achats d obligations et le gouvernement a annoncé un nouveau plan de relance budgétaire. En Chine, dans un contexte où l activité a continué de ralentir, la banque centrale a abaissé par cinq fois son taux directeur. Les autorités ont également modifié le mécanisme de fixation du yuan, ce qui a déclenché une forte baisse des marchés actions mondiaux à l été. Dans les autres pays émergents, la croissance était relativement résiliente en Asie émergente, tirée par l Inde, mais elle a nettement ralenti en Europe émergente et en Amérique Latine, pénalisée par la Russie et le Brésil qui ont basculé en récession.

6 Croissance du PIB en volume (%) (e) 2016 (e) Monde 3,4 3,1 3,6 Pays avancés 1,8 2,0 2,2 Pays émergents 4,6 4,0 4,5 Zone euro 0,9 1,5 1,6 Etats-Unis 2,4 2,6 2,8 Japon -0,1 0,6 1,0 Allemagne 1,6 1,5 1,6 France 0,2 1,2 1,5 Italie -0,4 0,8 1,3 Espagne 1,4 3,1 2,5 Royaume-Uni 3,0 2,5 2,2 Chine 7,3 6,8 6,3 Inde 7,3 7,3 7,5 Brésil 0,1-3,0-1,0 Russie 0,6-3,8-0,6 Source : perspectives économiques du FMI mises à jour en octobre 2015 Les marchés des actions ont connu des performances médiocres sur un an : +0,9% sur l Eurostoxx en euros, -2,6% pour le S&P 500 en dollars, +6,4% sur le Topix en yen et -21,2% sur l indice MSCI émergents libellés en dollars qui cède 9,3% en devise locale. L Eurostoxx a connu une volatilité importante au cours des douze derniers mois, avec des épisodes de forte baisse. D abord, à la mi-octobre 2014, quand les statistiques décevantes en Allemagne ont entrainé une résurgence des inquiétudes autour de la croissance mondiale. Ensuite, entre fin novembre et la mi-décembre, suite à l accélération de la baisse du prix du pétrole, qui a précipité l effondrement du rouble, et à la dissolution du parlement grec. Au premier trimestre, l annonce surprise d un programme d achat d obligations d Etat par la BCE, en janvier, conjugué à l amélioration des perspectives économiques dans la zone et à la baisse de l euro, a permis un fort rebond des marchés actions. Elles se sont ensuite nettement repliées au deuxième trimestre, évoluant en fonction des développements liés à la Grèce suite à l élection du parti radical de gauche Syriza. Au troisième trimestre, d'abord portés par la résolution de la crise grecque en juillet, les marchés actions mondiaux se sont violemment retournés après la modification par la Chine de son régime de change le 11 août. La dépréciation du yuan qui s en est suivie a été perçue par certains investisseurs comme une nouvelle mesure de soutien, alimentant les inquiétudes autour de la croissance chinoise. Après un bref répit, les marchés actions ont repris le chemin de la baisse mi-septembre suite à un discours prudent de la FED sur la situation de l économie mondiale et au scandale Volkswagen. Les rendements des obligations d Etat des pays sans risque se sont nettement repliés sur les douze derniers mois après une violente remontée à partir de la mi-avril Le taux à 10 ans sur les emprunts d Etat allemands a baissé de 36 points de base pour se situer à 0,59% fin septembre. Le taux à 10 ans des emprunts d Etat américains s est quant à lui replié de 45 points de base en douze mois pour atteindre 2,04% à la fin septembre. Les marges de crédit des pays périphériques par rapport à l Allemagne se sont resserrées en Italie (- 25 pbs) et au Portugal (-41 pbs) mais se sont écartées en Espagne (+11 pbs). Dans un contexte politique compliqué, le rendement à 10 ans des obligations souveraines de l Etat grec est passé de

7 8,3% à 19,2% entre septembre 2014 et début juillet 2015 pour retomber à 8,3% fin septembre 2015 suite à la résolution de la crise. Les marges de crédit des obligations privées de bonne qualité se sont écartées de 53 pbs contre les obligations d Etat pour atteindre 145 pbs et celles des obligations à haut rendement se sont écartées de 159 pbs à 555 pbs d après les indices Merrill Lynch. Les divergences de politiques monétaires entre la FED, qui s apprête à durcir sa politique monétaire, la BCE, et la BoJ, qui ont amplifié leur relance, se sont traduites par une appréciation du dollar de 13,0% face à l euro et de 9,3% face au yen. Les pressions baissières sur l euro ont entraîné une vague d assouplissement monétaire dans les pays nordiques comme le Danemark. La Banque nationale suisse a abandonné son cours plancher de 1,20 franc suisse pour un euro le 15 janvier. Le prix du baril de brent est passé de 93 dollars fin septembre 2014 à 47 dollars fin septembre 2015, une baisse de près de 50%. Les prix du pétrole sont remontés au printemps, après les plus bas atteints en janvier, puis ils ont fortement diminué du fait de la résilience de l offre aux Etats- Unis et dans les pays de l OPEP, des perspectives de hausse de la production en Iran après l accord sur le nucléaire et de l affaiblissement de la demande mondiale. Etats-Unis La croissance américaine a ralenti en fin d année puis elle a été pénalisée par des facteurs temporaires au premier trimestre, notamment un hiver rigoureux, des grèves dans les ports de l Ouest et un ralentissement des dépenses d investissement dans le secteur pétrolier. Le PIB a ensuite rebondi de 3,9% en rythme annualisé au troisième trimestre, soutenu par la consommation. Les enquêtes ISM se sont redressées de concert au quatrième trimestre avant de connaître des évolutions divergentes. L indice du secteur manufacturier s est replié pour atteindre 50,2 en septembre (-5,9 points sur un an) alors que celui du secteur non-manufacturier s est maintenu sur un niveau élevé tout au long de l année pour s établir à 54,9 en septembre (-1,2 point sur un an). Les créations d emplois dans le secteur privé sont restées dynamiques entre octobre et juillet ( en moyenne) puis elles ont ralenti en août et en septembre ( en moyenne). Sur un an, emplois ont été créés dans le secteur privé, ce qui reste un rythme historiquement élevé. Cela a permis une poursuite de la baisse rapide du taux chômage qui est passé de 5,9% à 5,1% entre septembre 2014 et septembre La consommation des ménages a d abord ralenti en dépit de la baisse des cours du pétrole, les gains de pouvoir d achat ayant été épargnés. Elle a ensuite accéléré à la fin du premier trimestre. En août, elle progressait de 3,2% sur un an. Le taux d épargne se situait à 4,6%, au même niveau qu en septembre de l année dernière. Dans le secteur de la construction, l amélioration a été interrompue par le mauvais temps en début d année avant de redémarrer. Les permis de construire et les mises en chantier progressaient respectivement de 12,5% et de 16,6% sur un an en août. Dans le secteur résidentiel, les ventes de maisons neuves ont accéléré et progressaient de 21,6% sur un an en août. Les prix de l immobilier étaient en hausse de 5,0% sur un an et la confiance des constructeurs de maisons a atteint de nouveaux plus hauts depuis la crise. Les commandes de biens d investissement hors défense et aviation ont connu une correction liée à la baisse des cours du pétrole. Elles reculent de 4,7% sur un an en août. Le déficit commercial a été perturbé par les grèves dans les ports de l Ouest en début d année et se creuse de 7 Mds USD sur un an pour atteindre 48,3 Mds USD en août.

8 L inflation a sensiblement ralenti au cours des douze derniers mois sous l effet du recul des prix de l énergie. En août, l inflation annuelle était nulle mais elle était de 1,9% hors énergie et alimentation. Zone euro La croissance a progressivement accéléré jusqu au premier trimestre puis elle a ralenti à +1,6% au deuxième trimestre (+1,5% sur un an). Les enquêtes PMI se sont redressées rapidement jusqu à la fin du premier trimestre avant de se stabiliser sur des niveaux cohérents avec une croissance proche de 2,0% en rythme annualisé. L indice composite se situait à 53,6 en septembre (+1,6 point sur un an). En Allemagne, la bonne croissance au quatrième trimestre a été suivie d un ralentissement en début d année. Elle a ensuite ré-accéléré pour atteindre +1,6% en rythme annualisé au deuxième trimestre (+1,6% sur un an). L indice PMI composite était plus ou moins stable sur l année passée et atteignait 54,3 en septembre (+0,2 point sur un an). En France, la croissance a gagné en vigueur en fin d année puis le PIB s est stabilisé au deuxième trimestre (+1,1% sur un an). L indice PMI composite a bien progressé depuis les planchers de fin 2014 pour se situer à 51,9 en septembre (+3,5 points sur un an). En revanche, le taux de chômage restait sur un niveau élevé de 10,3% au T (-0,1 point par rapport au T3 2014). L Italie a renoué avec la croissance au quatrième trimestre et le PIB progressait de 1,3% en rythme annualisé au deuxième trimestre (+0,7% sur un an). L indice PMI composite s est redressé pour atteindre 53,4 en septembre (+4,0 points sur un an). En Espagne, la croissance a progressivement accéléré pour atteindre 4,1% en rythme annualisé au deuxième trimestre (+3,1% sur un an). L indice PMI composite est resté sur des niveaux élevés au cours des douze derniers mois et s établissait à 54,6 en septembre (-0,6 point sur un an). Les élections régionales en Catalogne se sont soldées par une victoire des partis indépendantistes qui ont obtenu la majorité absolue au parlement. En Grèce, le risque politique a fortement augmenté fin décembre après que le parlement grec a échoué dans l élection d un nouveau président de la République, ce qui a entraîné la dissolution du parlement et l annonce d élections législatives anticipées qui ont vu l arrivée au pouvoir du parti radical de gauche Syriza. Après plusieurs semaines de négociations, la fermeture des banques grecques pendant trois semaines et la mise en place de contrôles de capitaux, la Grèce et ses créanciers ont finalement trouvé un accord sur un troisième plan d aide. Dans ce contexte, la croissance a ralenti à partir du quatrième trimestre avant de rebondir à +3,7% en rythme annualisé au deuxième trimestre. La BCE a annoncé un ensemble de mesures pour relancer l inflation : les taux d intérêt de la politique monétaire ont été abaissés en septembre, des opérations de refinancement ciblées à long terme ont été planifiées et un programme d achat de titres de grande ampleur a été mis en place pour atteindre l objectif d une augmentation de 1000 Mds EUR de son bilan. Celui-ci prévoit des achats mensuels de 60 Mds EUR d actifs entre mars 2015 et septembre 2016 au minimum. Outre les covered bonds et ABS, la BCE acquiert sur le marché secondaire des obligations émises par les institutions de la zone euro et par les Etats. La Grèce, dont les obligations souveraines ne sont plus éligibles comme collatéral pour les opérations classiques de refinancement auprès de la BCE, est exclue de ce programme, tout comme les obligations qui proposent un rendement inférieur au taux de la facilité de dépôt (-0,20%) ou qui n ont pas une durée de vie résiduelle comprise entre 2 et 30 ans. La baisse des prix de l énergie a pesé sur l indice des prix à la consommation qui reculait de 0,1% sur un an au mois de septembre. L inflation sous-jacente était de 0,9%.

9 Japon Le Japon est sorti de récession au quatrième trimestre et a connu un solide rebond de la croissance au premier trimestre. L activité a ensuite reculé de 1,2% en rythme annualisé au deuxième trimestre (+0,8% sur un an). Les enquêtes PMI ont oscillé sur des niveaux proches de 50 au cours des douze derniers mois. En septembre, l indice composite se situait à 51,2 (-1,6 point sur un an). L Abenomics et la hausse de la TVA ont eu un effet marqué sur l inflation qui a cependant ralenti au fur et à mesure que l effet TVA s estompait. L indice des prix à la consommation progressait de 0,2% sur un an en août et l inflation sous-jacente atteignait +0,8%. Dans ce contexte, la banque centrale japonaise a relevé le montant de ses rachats d actifs fin octobre et le gouvernement a annoncé un nouveau plan de relance budgétaire ainsi que le report d une nouvelle augmentation de la TVA. Chine La croissance chinoise a ralenti pour toucher un point bas au premier trimestre avant de rebondir à +7,0% en rythme annualisé au deuxième trimestre, un rythme proche de la croissance visée par les autorités. Les enquêtes PMI se sont dégradées à partir de la fin du premier trimestre avec des évolutions contrastées entre l indice du secteur manufacturier, qui se situait à 47,2 au mois de septembre (-3,0 sur un an), et celui du secteur des services, qui s est maintenu au-dessus de 50 tout au long de l année. La production industrielle a ralenti jusqu au mois de mars puis elle s est légèrement redressée. Elle était en hausse de 6,1% sur un an au mois d août. L investissement a été pénalisé par le secteur de l immobilier et progressait de 9,1% sur un an en août. La décélération était moins importante dans le secteur manufacturier et l investissement en infrastructure était relativement résilient. Les ventes au détail en volume ont ralenti à la marge et progressaient de 10,4% sur un an au mois d août. Dans le secteur de l immobilier, les mesures de soutien ont permis une forte accélération des ventes de logements, qui étaient en hausse de 15,6% sur un an en août, et un rebond des prix, qui progressaient de 1,3% sur un an en septembre. Cela ne s est pas traduit par une amélioration des mises en chantier qui reculaient de 17,6% sur un an, suggérant un ajustement sur les stocks. La banque centrale a abaissé son taux directeur de 140 pts de base depuis la mi-novembre en cinq mouvements, ce qui a déclenché une forte hausse des marchés actions qui se sont ensuite violemment retournés entre la mi-juin et la mi-juillet. Dans ce contexte, les autorités ont adopté une série de mesures (nouvel assouplissement monétaire, suspension des IPO, restrictions sur les ventes à découvert, fonds de stabilisation, ) qui ont finalement permis une stabilisation des cours. La banque centrale a également annoncé, le 11 août, une modification majeure de sa politique de change. Le yuan continuera de s échanger contre le dollar dans une bande de fluctuation de +/- 2% mais la parité centrale autour de laquelle cette bande est calculée évoluera désormais en fonction du cours de la veille, et non plus par rapport à un cours prédéterminé. POLITIQUE DE GESTION Octobre 2014 La BCE n a pas touché à ses taux directeurs le 02/10. Le Refi demeure à 0,05% et le taux de dépôt à - 0,20%. Le marché attendait des précisions sur le plan de Quantitative Easing, pardon, de Credit Easing, c està-dire sur les deux programmes d achats de titres annoncés le 4 septembre dernier, portant l un sur les

10 titrisations, l autre sur les obligations foncières. Tout d abord, il s agissait de préciser la nature et la qualité des actifs éligibles. Un assouplissement des règles était attendu. Puis, la question se posait de savoir dans quelle mesure l augmentation de la taille du bilan de la BCE sur les niveaux de 2012 (+ 1 trillion) pourrait être accomplie par le biais de ces programmes et des TLTRO. Les achats d obligations foncières ont débuté mi-octobre et totalisent près de 5 Mds. Les achats de titrisations débuteront dans un deuxième temps courant 4ème trimestre La BCE a sollicité les services de quatre sociétés de gestion à cet escient. Les doutes subsistent quant à la faisabilité d une augmentation du bilan de la BCE d un trillion d euros supplémentaire par le biais de ces programmes. Des commentaires officiels et officieux ont porté sur la nécessité d élargir les achats aux titres souverains et corporates. La réunion de la BCE du 6 novembre ne devrait pas aborder ce sujet mais simplement se focaliser sur les achats déjà effectués. La Fed a procédé comme attendu à l arrêt de ses achats de titrisations immobilières et de titres du Trésor américain. Ce programme avait culminé à $85 Mds par mois. Les échéances continueront d être réinvesties et par conséquent le bilan de la Fed sera maintenu à son niveau actuel soit $ Mds. Le communiqué de la Fed reprend la formulation selon laquelle les taux resteront bas pendant une période de temps conséquente, décision argumentée par des anticipations d inflation toujours inférieures à la cible des 2%. Le ton de la Fed a été perçu comme plus «bullish» qu attendu sur le front de l amélioration de l emploi et de la solidité de la croissance, ce qui a un peu surpris les marchés. Peut-être était-il nécessaire de contrebalancer l effet psychologique de l annonce de l arrêt des achats en se montrant résolument optimiste La WAM (Weighted Average Maturity) est stable à 0,6 mois. Le maximum autorisé est de 6 mois. En ce qui concerne la part du fonds à taux fixe et de duration supérieure à 90 jours (non linéarisée), la couverture taux est totale. La WAL (Weighted Average Life) est en légère baisse à 5,2 mois pour un maximum autorisé de 12. Novembre 2014 La BCE a maintenu ses taux inchangés lors de la réunion du 6 novembre. Le taux de refinancement reste fixé à 0.05% et le taux de dépôt à -0.20%. Le programme d achat de covered bond se poursuit cumulant, depuis son lancement fin octobre, 17.8 Mds. Le rythme d achat s est accéléré la dernière semaine de novembre avec un montant de 5.1Mds. Parallèlement, comme annoncé, la BCE a débuté son programme d achat de titrisations (ABS) en acquérant 368 M sur la dernière semaine de novembre. Cependant, les attentes pour une extension du programme se renforcent au fur et à mesure que l inflation ralentit. Mario Draghi a réaffirmé la détermination de l institution à agir pour rapprocher l inflation de son objectif, se disant prêt à recalibrer l'ampleur, le rythme et la composition des achats d'actifs si nécessaire et ce sans délai indu. Les courbes swap Eonia et Euribor sont quasiment inchangées sur le mois. Le fonds affiche une duration taux (WAM) de 0.5 mois pour un maximum autorisé de 6 mois. La couverture taux est totale en ce qui concerne les titres dont la maturité est supérieure à 90 jours. Cela revient à dire que la sensibilité du portefeuille au risque de taux est quasi nulle. La duration crédit (WAL) est de 5.6 mois pour un maximum autorisé de 12 mois. Le portefeuille est composé de 60% de titres indexés Eonia (soit émis directement en variable soit swappés), 14% de titres indexés Euribor, 14% de titres à taux fixe et 12% d OPCVM monétaires court terme externes et liquidités. Décembre 2014 Les taux directeurs en zone euro sont restés inchangés, à 0,05% pour le refi et à -0.20% pour le taux de dépôt. Pour mémoire, ces taux, fixés en septembre, avaient été présentés par M. Draghi comme le plancher en deçà duquel la BCE ne saurait descendre. Le programme d achat de Covered Bonds s est poursuivi et la Banque Centrale a acquis presque 13 milliards d euros de titres en décembre. Le stock au bilan s élève à 29,66 milliards d euros en fin d année. De même, les achats de titres type ABS ont porté sur milliards, portant le stock à un total de milliards. L opération de TLTRO de la mi-décembre avait alloué 130 milliards d euros, portant le total alloué dans ce cadre à 212 milliards. L indice eonia a marqué ses plus bas historiques durant la dernière quinzaine de l année, chaque jour

11 en-dessous de -0.05% à partir du 19/12 («record» le 24/12 à %), avant de saluer la clôture de 2014 par un % enregistré le 31. La courbe euribor a logiquement, mais faiblement, reculé, de moins de 1 point de base sur toutes échéances. Les taux «forward» eonia (swaps de taux) s inscrivent également dans un mouvement baissier et d inversion de courbe : le swap 3 mois a globalement évolué entre et -0.02% alors que le swap 1 an a constamment baissé, de -0.04% à -0.07%, très proche de ses plus bas de septembre. La sensibilité taux reste très modeste et la WAM («Weighted Average Maturity») ressort à 0.5 mois, à comparer au maximum règlementaire de 6 mois. Les positions de plus de 3 mois de durée de vie initiale sont intégralement couvertes. La WAL («Weighted Average Life») progresse à peine, à 6 mois versus 12 pour le maximum règlementaire. L actif net se décompose en 65% de titres indexés à l eonia, de 7% de titres à taux fixes, de 13% de titres indexés à l euribor 3 mois et de 15% d opcvm monétaires et de liquidités. La dégradation infligée par S&P à l Italie le 5 décembre (de BBB à BBBstable pour la notation long terme et de A-2 à A-3 pour la notation court terme) a entrainé le 18 décembre la même action sur les banques du pays. Conséquence, nos positions sur Banca Intesa et sur Unicredito sont maintenant affectées d un rating court terme A-3 mais restent notées P2 par Moodys. Elles représentent 4.57% de l actif net, avec des échéances juillet et décembre 2015 auxquels s ajoute 1,15% sur une position sur la Banque Solfea, notée A3 CT S&P, de maturité mai Janvier 2015 La première réunion des gouverneurs de la BCE a mis fin au suspense avec l annonce d un programme d achat mensuel de titres souverains de 60 M à compter du mois de mars. L essentiel (80%) sera à la charge des Banques Centrales Nationales sur les titres de leurs Etats respectifs, sans mutualisation du risque, le reste (20%) à la charge de la BCE. Cette perspective a entraîné l abandon brutal par la BNS (Banque Nationale Suisse) de la défense du cours-plancher EUR/CHF de 1,20, entraînant immédiatement leur devise à un cours de parité. La banque du Danemark, qui s efforce elle aussi de maintenir l arrimage de sa monnaie à l euro, a dû pour ce faire baisser ses taux directeurs par 3 fois en janvier, ramenant son principal taux à -0,50%, soit 55 points de base de baisse cumulée. En zone euro, l indice eonia est remonté vers 0% en fin de mois, se stabilisant vers -0.02% à -0.03%. Mais cette situation, liée à une relative contraction des excédents de liquidités, ne masque pas le fait que les anticipations (taux forwards appréhendés par la courbe de swaps) le situent vers -0.8% à partir du 6 mois et autour de -0,10% entre le 1 et le 2 ans. Le taux euribor 3M finit janvier à 0.054%, en baisse de 2 bp, le taux euribor 1 an passe dans le même temps de 0.32 à 0.27%. Notre politique de couverture systématique des taux fixes de plus de 3 mois maintient la WAM («Weighted Average Maturity») à 0,3 mois contre un maximum règlementaire de 6 mois. Nous avons poussé le moteur crédit en janvier, de sorte que la WAL («Weighted Average Life») a progressé jusqu à 6,6 mois, ménageant encore une marge importante par rapport au maximum règlementaire de 12 mois. Nos positions sur les titres notés A-3 court terme ou équivalent n ont pas évolué et représentent 6% de l actif net. Février 2015 Les taux ont suivi une tendance au resserrement tout au long du mois et singulièrement dans la dernière phase, lorsque les nouvelles de la Grèce, tout autant que celles concernant la gestion de la liquidité par la BCE ont contribué à gommer ce qui aurait pu contrecarrer le mouvement. De plus, rien, dans l audition de Mme Jelen devant le Congrès, n était susceptible de créer un contrepoids outre Atlantique. A Athènes, Syriza se montre moins intransigeant qu attendu dans les négociations avec l ex-troïka et la liste des réformes fournie a été jugée satisfaisante comme base de travail pour la suite des négociations. La BCE a accru le plafond et l échéance de l aide d urgence aux banques pour répondre au problème posé par le refus de continuer à prendre les titres grecs en garantie. Par ailleurs, les échéances finales des LTRO 3 ans ne pèseront que faiblement sur l excédent de liquidités du marché car la Banque Centrale a largement répondu aux soumissions des banques dans les opérations à 1 et 3 mois mises en place. Enfin, Janet Yellen a tenu devant le Congrès américain un discours aussi accommodant que possible concernant sa politique monétaire. Si les fondamentaux économiques restent toujours aussi solides, l écart croissant avec la situation européenne lui permet de laisser planer le doute sur l imminence du rehaussement attendu. En résultante, l eonia a évolué dans un range serré entre -0,03 et -0,05%, avec une légère tendance à la baisse en fin de période, nonobstant la «pointe» à +0,064% le dernier jour. Les anticipations

12 confirment ce mouvement car les swaps s affichent résolument sur les points les plus bas : le swap 3 mois eonia est passé franchement en-dessous de - 0,05%, le 6 mois en-dessous de 0,08% et le 1 an en-dessous de 0,10%. Les taux euribor ont bien entendu évolué dans le même sens, le 3 mois et le 6 mois perdant presque 2,5 bp, passant respectivement de 0,055% à 0,039% et de 0,271% à 0,233%. La baisse sur le 1 an était un peu plus marquée, avec 3,8 bp, marquant un léger aplatissement, logique puisque les investisseurs se reportent sur les titres de maturités supérieures à 6 mois, tant les titres plus courts n offrent généralement plus que des rendements négatifs ou très faiblement positifs. Les indicateurs de risque ont faiblement augmenté : la WAM («Weighted Average Maturity») est passée de 0,3 mois à 0,4 mois contre un maximum règlementaire de 6 mois et la WAL («Weighted Average Life») a diminué de 6,6 mois à 6 mois, toujours loin du maximum règlementaire de 12 mois. Le poids relatif des titres notés A-3 court terme s est quelque peu réduit, du fait de l accroissement de l actif net, et passe de 6,1% à 5,5% de l actif net. Mars 2015 Les taux de la zone euro s enfoncent toujours plus en territoire négatif et les anticipations indiquent qu ils pourraient s y ancrer pour au moins 2 ans. En mars, sous les effets conjugués d un TLTRO «servi» à presque 98 milliards d euros et du début de la mise en oeuvre du programme BCE d achats d actifs pour 41 milliards d euros au 27 mars (soit, prorata temporis, plus que les 60 milliards mensuels annoncés), en plus des programmes d achats de covered bonds et d ABS, les excédents de liquidités ont bondi de 164 milliards fin février à 264 milliards au 31 mars. Les négociations très tendues entre les dirigeants grecs et les représentants européens et du FMI n y changent rien, malgré l évocation de moins en moins voilée d un «Grexit». Outre Atlantique, la divergence avec l Europe est plus marquée que jamais mais la Fed, si elle a cessé de prêcher la patience, n en demeure pas moins très manifestement circonspecte et prudente quant à la sortie de sa politique de taux zéro. Les faucons au sein du FOMC prennent du poids mais les chiffres macro-économiques les plus récents traduisent peut-être un début d essoufflement de la reprise, de sorte que le marché reste très indécis sur la datation d une hausse de taux à venir. L eonia a évolué constamment entre -0,04% et -0,064% mais le plus souvent en dessous de -0,05%. La courbe de swaps matérialise la tendance évoquée plus haut et reste légèrement inversée, puisqu au 31 mars, tous les points à partir du 4 mois sont inférieurs à -0,10%, passant par -0,13% sur le 1 an et un plus bas de -0,144% sur le 18 mois. Les taux euribor poursuivent leur glissement et la courbe son aplatissement. Le taux euribor 3 mois finit le mois en dessous de 0,02% à 0,019%, soit une baisse de 2 bp sur le mois tandis que l euribor 12 mois perd 3,2 bp, passant de 0,23% à 0,198%. Les émetteurs bancaires n ont pas modifié notablement leurs spreads d émission mais il convient de souligner que la baisse des swaps entraîne donc les taux d émission en dessous ou vers 0% jusqu au 6 mois environ, confortant les investisseurs dans leur détermination à rechercher le rendement sur les maturités plus longues. Il semble toutefois que certains émetteurs corporates assurent leur refinancement à court terme en continuant à offrir une rémunération légèrement supérieure à 0% sur les maturités de 1 à 3 mois, ce qui correspond objectivement à un léger écartement de leurs spreads. Cela leur est sans doute rendu nécessaire par la résistance des investisseurs à se positionner sur des titres à rendement négatif. Le portefeuille a poursuivi l évolution ébauchée depuis le début de l année avec un repositionnement progressif sur la partie plus longue de la courbe, de sorte que la WAL («Weighted Average Life») et la WAM («Weighted Average Maturity») enregistrent un modeste accroissement, respectivement à 6,6 et 0,4 tandis que l exposition aux ratings les moins élevés reste constante à 5,5% (émetteurs notés en court terme A-3 et/ou P-3). Avril 2015 Dès le début du mois, l indice quotidien s est ancré autour de -0,07% à -0,08%, marquant un plus bas historique le 16 à -0,093% et terminant le mois pour la première fois en territoire négatif à -0,027%. Les taux euribor ont suivi le mouvement et le 3 mois, indice de référence, est également passé endessous de zéro depuis le 21 avril pour finir à -0,005%, tandis que le 1 an passait de 0,196% à 0,171%. Les excédents de liquidité ont atteint des niveaux inégalés jusque-là, passant de 235 à 275 milliards. Les spreads émetteurs ont très graduellement accentué leur resserrement : les émetteurs se positionnent de plus en plus nombreux à taux négatifs jusqu au 6 mois, et le 1 an est généralement émis entre 0,07% et 0,12% pour les signatures A1/P1. L évènement marquant sur les taux se situe en toute fin de période: un mouvement violent et inattendu de hausse a affecté la partie longue, de sorte que le Bund 10 ans offrait le 30 avril un rendement proche de 0,35% après être passé par un plus bas de 0,07% le 20 et avoir débuté le mois autour de 0,20% sans que la partie la plus courte, sur laquelle s exerce la gestion monétaire, n en soit réellement affectée.

13 La rotation du portefeuille a été très faible en avril (3%) faute de réelles opportunités, de sorte que la WAL («Weighted Average Life») s est réduite, à 6,5 mois, ce qui ne remet pas en cause un objectif général d accroissement de l exposition crédit, tandis que la WAM («Weighted Average Maturity») restait pratiquement inchangée à 0,8 mois. Mai 2015 Si l eonia a terminé le mois à -0,08%, il a par deux fois, courant mai, les 14 et 25, atteint -0,143%, plus bas historique et depuis le 13, il a constamment affiché une valeur inférieure à -0.10%. Pour mémoire, un an auparavant, l indice se situait à 0,24%, dans un univers où les excédents de liquidité évoluaient un peu en dessous de 150 milliards d euros. En mai 2015, ils ont varié autour de 300 milliards d euros, à plus ou moins 5 milliards près. Cette sur-abondance prolonge et accentue les phénomènes observés depuis des mois de baisse des taux forwards et des spreads émetteurs. Sur le 3 mois, le swap contre eonia est passé en-dessous de 0,10% depuis le 13 mai et a fini à -0,125%. Si un infime changement de profil peut être décelé, il réside dans le fait que la courbe est «moins inversée» qu au cours des mois précédents : le point bas se situe maintenant sur le segment 3 à 6 mois, les échéances de swaps plus longues, 1 et 2 ans, affichant fin mai des valeurs comprises entre -0,11 et - 0,12%, ce qui dessine une courbe concave plus qu inversée Il convient probablement d y voir l influence du re-pricing qui s était ébauché en avril et qui s est nettement confirmé en mai sur la partie longue, même en tenant compte de la correction partielle en fin de mois. Le 10 ans allemand est repassé allègrement au-dessus de 0,50%, jusqu à 0,75% le 13 mai, avant de refluer très nettement pour finir le mois à 0,49%. Le 18, Benoît Coeuré, membre du Directoire de la BCE, avait fait une intervention qui a fait polémique (car effectuée devant des invités choisis) où il annonçait que la BCE allait accroître le rythme de ses achats durant le mois, en prévision de l approche de la période estivale, traditionnellement peu liquide. De fait, les achats de la Banque Centrale ont atteint 63 milliards d euros en mai, un peu au-dessus du rythme mensuel annoncé. Globalement, une volatilité inattendue reste de mise sur les taux longs européens, en partie, seulement, justifiée par la grande incertitude qui pèse sur l issue des négociations entre le gouvernement grec et le groupe de Bruxelles, à l approche des échéances auxquelles le trésor hellène doit faire face en juin vis-à-vis du FMI. Toutes les options sont régulièrement évoquées, même celle d un «Grexit» qui paraît de moins en moins tabou. Dans l univers monétaire, les spreads émetteurs ont très peu varié mais s appliquent donc à une base de taux toujours plus négative, de sorte qu il faut généralement investir à partir du 8 mois pour engranger un intérêt positif, du moins en ce qui concerne les émetteurs notés A1/P1. En attendant confirmation par la note mensuelle de la Banque de France sur les TCN, l impression d un appauvrissement du marché primaire - faute de combattants- prévaut, tandis que le marché secondaire fait à l inverse preuve d une activité (très) relativement soutenue : cessions de titres courts au profit de maturités plus longues (rolls) et allègements de portefeuilles pour la fin de mois se conjuguent probablement. Contrairement au mois précédent, des investissements significatifs sur des maturités longues ont été effectués. 13% de l actif net ont été investis sur une durée de 1 an, 1,85% sur 18 mois et 0,95% sur 2 ans. En conséquence, la WAL («Weighted Average Life») a cru de 6,5 à 7,2 mois, tandis que la WAM («Weighted Average Maturity») ne varie pas significativement (de 0,8 à 0,7 mois) puisque la politique de couverture des positions à taux fixes de plus de 3 mois reste systématiquement mise en œuvre. Juin 2015 Du 05 au 29 juin, l eonia a toujours évolué à l intérieur de la fourchette -0.13% / -0.11%. Pour le dernier jour du mois/trimestre/semestre, il a marqué -0.06%. Il s était distingué en début de mois où il atteignait le 3 juin son plus bas historique pour la 3ème fois après les 14 et 25 mai passés. Les excédents de liquidités au sein de la zone euro ont pratiquement atteint les 400 milliards. Les taux cash euribor ont prolongé leur lente glissade sur la partie courte : le 3 mois est passé de % à % le 29, pour remonter anecdotiquement le 30 à %. Sur le 1 an, l évolution est plus erratique. Si l indice a enregistré un plus bas le 2 juin à %, il est ensuite «remonté» progressivement à % jusqu au 19 juin pour finalement évoluer entre % et %. Au total, moins de 1 bp d évolution sur l ensemble du mois. En résumé, les taux monétaires ont plutôt fait du sur place sur

14 leurs niveaux les plus bas historiques. Les taux forwards traduisent une grande stabilité des anticipations puisque toute la courbe de swaps de taux contre eonia, du 1 mois au 24 mois est pratiquement plate, autour de %. Compte tenu de l énorme incertitude qui pèse sur l avenir de la Grèce, les taux longs ont fait preuve d une volatilité somme toute modérée : le Bund 10 ans a varié entre 0.80% et 0.90%, l OAT entre 1.20% et 1.30%, tandis que les périphériques évoluaient à l intérieur de fourchettes d une amplitude plus importante mais limitée à bp, de 2.10% à 2.35% pour l Italie et 2.70% à 3.00% pour le Portugal. Dans cette crise européenne, ces jalons illustrent au moins l efficacité des dispositifs anti-contagion mis en place depuis Cet environnement et l approche de la fin de semestre, mais aussi de la période estivale, se sont conjugués pour chloroformer le marché monétaire. Les échanges se sont réduits et les intérêts vendeurs ont pris le pas sur ceux des émetteurs. Les investissements ont néanmoins représenté quelques 9% de l actif net au 30 juin, lui-même en hausse de 36% depuis le début de l année. 6% ont été placé sur des titres de maturités 1 an, 2% sur des titres à 18 mois et 1% sur un titre à 2 ans. En résultante, la WAL («Weighted Average Life») passait de 216 à 222 jours, tandis que la WAM («Weighted Average Maturity») se tassait légèrement, à 18 vs 20 à la fin du mois précédent. La dégradation par Moodys de Dexia Crédit Local a porté l ensemble de nos positions notées soit A3 soit P3 à 4,4% de l actif net. Compte tenu de l échéancier ce chiffre tombera à 1,77% fin juillet. Juillet 2015 La courbe des taux monétaires en euro n a pas subi d évolution sensible en juillet. L eonia ne s est jamais écarté de -0,12% de plus d un demi-point de base et si l euribor 3 mois a baissé d un point, pour finir à -0,023%, le 6 mois est resté presque immobile, variant de +0,05% à +0,48 % tandis que le 1 an passait de +0,164% à +0,167%. Rien d étonnant puisqu en cette période de torpeur estivale, les excédents de liquidités ont continué leur progression, dépassant largement les 400 milliards pour finir à 430. Les taux forwards annoncent un prolongement durable de cette situation, les swaps contre eonia ayant fait preuve d une grande stabilité, autour de -0,12% sur 3 et 6 mois et -0.13% sur le 1 an. La crise grecque a connu un dénouement positif, puisqu un accord est intervenu entre les parties, bien que sa mise en œuvre représente un nouveau défi pour une économie hellène déjà très éprouvée. La question de la réduction de la dette, pourtant essentielle, reste à ce jour un tabou, notamment pour les allemands, et n a donc pas été abordée. En attendant, les marchés de la dette souveraine ont salué cette étape et se sont nettement détendus. Ainsi, le 10 ans allemand perdait environ 20 points de base pour finir juillet à 0,65%. Dans ce contexte, les émetteurs du marché monétaire ont réduit leurs spreads d émission. Leurs intérêts sont concentrés sur la partie du 9 mois au 2 ans, les marges proposées y ont baissé de 2 à 3 points de base. Sur un an, les émetteurs bancaires affichent des taux d émission proches de +0,10%, ce qui matérialise des écarts par rapport au swap de taux contre eonia de l ordre de 22 à 25 points de base. Les investissements réalisés au cours du mois ont pour l essentiel renforcé les positions à un an, ce qui a porté la WAL («Weighted Average Life») à 240, objectif recherché dans ce contexte de marché. Août 2015 La politique monétaire en zone euro entraîne les excédents de liquidité vers des montants toujours plus élevés. En août, ils se sont fortement approchés de la barre des 500 milliards, passant de 430 à 488 milliards d euros. L indice quotidien a fait preuve d une relative stabilité sur ses niveaux historiques les plus bas, autour de -0,12%. Tout au plus pouvait-on observer une très légère tendance à la baisse, la première quinzaine ayant plutôt enregistré des niveaux compris entre -0,11% et -0,12%, alors que la seconde marquait le plus souvent un taux compris entre -0,12% et -0,13%. Il est significatif de noter que la fin de mois n est pratiquement plus sensible aux besoins exprimés ce jour-là, tant les liquidités sont abondantes. Ainsi, l eonia du 31 août s est inscrit à -0,11%. Cette baisse tendancielle et très progressive caractérise également le mouvement des taux euribor depuis de nombreux mois et août n a pas échappé à la règle : le 3 mois et le 6 mois ont perdu un point de base pour finir respectivement à - 0,033 % et +0,039 %, alors que le 1 an baissait dans l intervalle de +0,166% à +0,16%. Enfin, les anticipations du marché traduisent pour les 12 mois à venir une stabilisation des taux sur ces niveaux. En effet, la courbe de swaps contre eonia est presque totalement plate et s est translatée «vers le bas» d environ 1 point de base sur toutes les échéances, les plus courtes passant de -0,12% à -0,13% environ tandis que la partie 6 mois/1 an passait de -0,13% à -0,14% environ. L univers des émetteurs

15 obéit à la même règle de stabilité avec une tendance à la baisse, les combattants étant traditionnellement peu nombreux en période estivale. Sommairement résumés, les intérêts des émetteurs corporates non financiers se concentrent sur les échéances de 1 à 3 mois. Ceux qui bénéficient de ratings A1 et/ou P1 affichent des niveaux négatifs, avec des spreads de l ordre de eonia flat à eonia + 5 bp, tandis que ceux qui ressortent de la catégorie A2/P2 présentent encore des taux très légèrement positifs, correspondants à des spreads de eonia + 12 à eonia +15 pour la plupart. Quant aux émetteurs bancaires, leurs besoins de refinancement ne s expriment généralement qu au-delà du 6 mois et offrent des rendements positifs à partir des échéances 8 à 9 mois, du moins pour ceux qui bénéficient des ratings A1 ou P1. Leur niveau d émission sur le 1 an ressort aux alentours de +0,10%. Les positions à taux fixes du portefeuille restent systématiquement couvertes, la WAM («Weighted Average Maturity») reste à un niveau très bas (13), tandis que la WAL («Weighted Average Life») a un peu reculé, à 229, au cours d un mois très peu actif. Septembre 2015 Sur fonds d interrogations persistantes concernant tant la capacité de la Chine à gérer le ralentissement de son taux de croissance que celle des pays émergents à faire face à l effondrement des cours des matières premières, la réunion du FOMC des 16 et 17 septembre a marqué un point d inflexion à partir duquel les marchés de crédit ont subi un fort écartement des spreads et les marchés de taux repris nettement leur mouvement baissier. Sur le marché monétaire euro, cela s est traduit par un approfondissement des baisses de taux, renforcé par le sentiment que la BCE pourrait prolonger audelà de septembre 2016 son programme d achat de titres, d autant que le 30 septembre était publié un chiffre d inflation négatif pour août en zone euro (-0,1%). L indice eonia s est inscrit tous les jours endessous de -0,13% à partir du 04 septembre, puis en-dessous de -0,14% à partir du 18, marquant même par deux fois des plus bas historiques, les 21 et 28 du mois, respectivement à -0,145% et -0,146%. Pour la fin de mois qui était aussi la fin de trimestre, aucune tension réelle n est venue contrecarrer la tendance puisque l indice a été publié à -0,122% le dernier jour. Les taux euribor ont évidemment emboîté le pas : le 3 mois est passé dans le mois de -0,033% à -0,04% et le 1 an de 0,161% à 0,142%. La courbe des swaps contre eonia reflète les anticipations renforcées d un approfondissement de ces tendances et présente un profil un peu plus inversé : si le swap 1 mois se traite maintenant autour de - 0,14%, tous les points entre 1 et 2 ans se trouvent entre -0,17% et -0,18%. Dans ce contexte, le TLTRO de septembre n a enregistré que 15,5 milliards d euros d allocation, très en-deçà des volumes servis lors des opérations précédentes à 3 ans. Il est vrai que les excédents de liquidités dans la zone sont déjà de l ordre de 500 milliards et que les crédits à l économie, base de ces opérations, n enregistrent pas une franche poussée. La réunion du FOMC les 27 et 28 octobre et celle du Conseil des Gouverneurs de la BCE le 22 octobre sont très attendues, même si le discours de ces deux institutions apparait quelque peu brouillé dans cette période délicate. Sur le marché des TCN, les niveaux d émission s inscrivent logiquement en baisse. Les émetteurs n ont globalement pas modifié leurs spreads mais ces derniers s appliquent donc sur des bases de taux à la baisse. A la baisse également les volumes traités, du moins au mois d août comme en atteste la dernière note mensuelle de la Banque de France, qui retrace une nette contraction de l encours de CDN sur un an (de 275 milliards à 225), très partiellement compensée par une petite hausse de l encours des billets de trésorerie (de 55 milliards à 65). Les indicateurs de risque que sont la WAM (Weighted Average Maturity ) et la WAL (Weighted Average Life ) ont globalement peu varié en septembre, respectivement à 17 et 217, il n en demeure pas moins que l objectif recherché reste de maintenir une exposition très réduite au risque de taux mais d accroître l exposition crédit sur le segment 1 à 2 ans. FRAIS DE NEGOCIATION Les frais de négociation sont perçus par LAZARD FRERES BANQUE. Ils ne sont pas soumis à une clé de répartition. Ces frais sont perçus dans le cadre de la société en participation, qui assure entre LAZARD FRERES BANQUE et LAZARD FRERES GESTION la mise en commun de leurs moyens tendant à la gestion

16 financière, à la gestion administrative et comptable, à la conservation des valeurs et à l exécution des mouvements sur ces valeurs. EXERCICE DES DROITS DE VOTE Lazard Frères Gestion S.A.S. exerce les droits de vote attachés aux titres détenus dans les OPC dont il assure la gestion selon le périmètre et les modalités précisées dans la charte qu'il a établi concernant sa politique d'exercice du droit de vote. Ce document est mis à disposition des porteurs de parts sur simple demande écrite auprès de la société de gestion. PROCEDURE DE SELECTION ET D EVALUATION DES INTERMEDIAIRES ET CONTREPARTIES Les intermédiaires utilisés par la société de gestion sont sélectionnés sur la base de différents critères d'évaluation, parmi lesquels figurent la recherche, la qualité d'exécution et de dépouillement des ordres, l'offre de services. Le " Comité Broker" de la société de gestion valide toute mise à jour dans la liste des intermédiaires habilités. Chaque pôle de gestion (taux et actions) rend compte au minimum deux fois par an au Comité Broker de l'évaluation de la prestation de ces différents intermédiaires et de la répartition des volumes d'opérations traités. FRAIS D INTERMEDIATION L information concernant les frais d intermédiation est consultable sur le site internet : TECHNIQUES DE GESTION EFFICACE DE PORTEFEUILLE Le portefeuille n a pas enregistré d opérations de pension au titre de l exercice écoulé. INSTRUMENTS FINANCIERS EMIS OU GERES PAR UNE ENTITE DU GROUPE LAZARD L information relative à ces instruments figure dans les comptes annuels du FCP. INFORMATION CRITERES ESG La prise en considération de critères extra-financiers est au cœur de notre philosophie d'investissement actions ISR (Investissement Socialement Responsable). La philosophie même de notre gestion ISR repose sur une conviction forte : la performance économique de l'entreprise n'est durable que s il y a prise en compte de certains facteurs extra-financiers. La valorisation du "capital humain" et la prévention de l'ensemble des risques environnementaux sont une assurance de la pérennité de la performance économique. La qualité de la gouvernance d entreprise est analysée pour toutes les sociétés dont les actions sont détenues par des OPC gérés par Lazard Frères Gestion, même s'il ne s'agit pas de portefeuilles développant spécifiquement une gestion ISR. Dans ce cadre, le Fond Commun de Placement OBJECTIF MONETAIRE EURO géré par Lazard Frères Gestion prend en compte les critères de qualité de gouvernance, sans que ceux-ci ne soient nécessairement associés simultanément à des critères sociaux ou environnementaux. L information concernant les critères ESG est consultable sur le site internet :

17 CHANGEMENT INTERVENU AU COURS DE LA PERIODE ET A INTERVENIR Modification des frais de gestion réels Le président de Lazard Frères Gestion décide de modifier les frais de gestion réels du FCP Objectif Monétaire Euro Part A FR passant de 0.30% à 0.25%. Date effet : 2 janvier Modification des frais de gestion réels Le président de Lazard Frères Gestion décide de modifier les frais de gestion réels du FCP Objectif Monétaire Euro Part A FR passant de 0.25% à 0.20%. Date effet : 21 mai Modification du prospectus : Le Président de Lazard Frères Gestion S.A.S décide de modifier la rédaction de la stratégie d investissement du FCP Objectif Monétaire Euro dans la mesure où le gestionnaire ne peut plus se reposer exclusivement et systématiquement sur les notations des agences et d indiquer que la valeur liquidative pourra baisser structurellement compte tenu du très faible niveau des taux d intérêt du marché monétaire. Date effet : 23 juin Modification des frais de gestion réels Le président de Lazard Frères Gestion décide de modifier les frais de gestion réels du FCP Objectif Monétaire Euro Part A FR passant de 0.20% à 0.15%. Date effet : 8 juillet 2015.

18 Ernst & Young et Autres Tél.: +33 (0) Tour First TSA Paris - La Défense cedex Fonds commun de placement OBJECTIF MONETAIRE EURO Exercice clos le 30 septembre 2015 Rapport du commissaire aux comptes sur les comptes annuels Aux Porteurs de parts, En exécution de la mission qui nous a été confiée par le conseil d'administration de la société de gestion, nous vous présentons notre rapport relatif à l'exercice clos le 30 septembre 2015 sur : le contrôle des comptes annuels du Fonds commun de placement OBJECTIF MONETAIRE EURO, tels qu'ils sont joints au présent rapport ; la justification de nos appréciations ; les vérifications et informations spécifiques prévues par la loi. Les comptes annuels ont été arrêtés par la société de gestion. Il nous appartient, sur la base de notre audit, d exprimer une opinion sur ces comptes. I. Opinion sur les comptes annuels Nous avons effectué notre audit selon les normes d'exercice professionnel applicables en France ; ces normes requièrent la mise en œuvre de diligences permettant d obtenir l assurance raisonnable que les comptes annuels ne comportent pas d anomalies significatives. Un audit consiste à vérifier, par sondages ou au moyen d'autres méthodes de sélection, les éléments justifiant des montants et informations figurant dans les comptes annuels. Il consiste également à apprécier les principes comptables suivis, les estimations significatives retenues et la présentation d'ensemble des comptes. Nous estimons que les éléments que nous avons collectés sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion. Nous certifions que les comptes annuels sont, au regard des règles et principes comptables français, réguliers et sincères et donnent une image fidèle du résultat des opérations de l exercice écoulé ainsi que de la situation financière et du patrimoine du fonds à la fin de cet exercice. Sans remettre en cause l opinion exprimée ci-dessus, nous attirons votre attention sur le paragraphe des règles et méthodes comptables de l annexe relatif aux dispositions du nouveau règlement ANC SAS à capital variable R.C.S. Nanterre Société de commissaires aux comptes Siège social : 1-2, place des Saisons Courbevoie - Paris La Défense 1

19 II. Justification des appréciations En application des dispositions de l'article L du Code de commerce, les appréciations auxquelles nous avons procédé ont porté sur le caractère approprié des principes comptables appliqués, ainsi que sur le caractère raisonnable des estimations significatives retenues. Les appréciations ainsi portées s'inscrivent dans le cadre de notre démarche d'audit des comptes annuels, pris dans leur ensemble, et ont donc contribué à la formation de notre opinion exprimée dans la première partie de ce rapport. III. Vérifications et informations spécifiques Nous avons également procédé, conformément aux normes d exercice professionnel applicables en France, aux vérifications spécifiques prévues par la loi. Nous n avons pas d observation à formuler sur la sincérité et la concordance avec les comptes annuels des informations données dans le rapport annuel et dans les documents adressés aux porteurs de parts sur la situation financière et les comptes annuels. Paris la Défense, le 25 novembre 2015 Le Commissaire aux Comptes ERNST & YOUNG et Autres FCP OBJECTIF MONETAIRE EURO Exercice clos le 30 septembre

20 bilan au 30 septembre 2015 en euros EXERCICE EXERCICE ACTIF au 30/09/15 au 30/09/14 uros uros IMMOBILISATIONS NETTES 0,00 0,00 DEPOTS 0,00 0,00 INSTRUMENTS FINANCIERS , ,60 ACTIONS ET VALEURS ASSIMILEES 0,00 0,00 Négociées sur un marché réglementé ou assimilé 0,00 0,00 Non négociées sur un marché réglementé ou assimilé 0,00 0,00 OBLIGATIONS ET VALEURS ASSIMILEES 0,00 0,00 Négociées sur un marché réglementé ou assimilé 0,00 0,00 Non négociées sur un marché réglementé ou assimilé 0,00 0,00 TITRES DE CREANCES , ,56 Négociés sur un marché réglementé ou assimilé , ,56 Titres de créances négociables , ,56 Autres titres de créances 0,00 0,00 Non négociés sur un marché réglementé ou assimilé 0,00 0,00 ORGANISMES DE PLACEMENT COLLECTIF , ,04 OPCVM et FIA à vocation générale destinés aux non professionnels et équivalents , ,04 d'autres pays Autres Fonds destinés à des non professionnels et équivalents d'autres pays Etats 0,00 0,00 membres de l'union européenne Fonds professionnels à vocation générale et équivalents d'autres Etats membres de 0,00 0,00 l'union européenne et organismes de titrisations cotés Autres Fonds d'investissement professionnels et équivalents d'autres Etats membres 0,00 0,00 de l'union européenne et organismes de titrisations non cotés OPERATIONS TEMPORAIRES SUR TITRES 0,00 0,00 Créances représentatives de titres financiers reçus en pension 0,00 0,00 Créances représentatives de titres financiers prêtés 0,00 0,00 Titres financiers empruntés 0,00 0,00 Titres financiers donnés en pension 0,00 0,00 Autres opérations temporaires 0,00 0,00 CONTRATS FINANCIERS , ,43 Opérations sur un marché réglementé ou assimilé 0,00 0,00 Autres opérations , ,43 AUTRES INSTRUMENTS FINANCIERS 0,00 0,00 CREANCES 2 147, ,06 Opérations de change à terme de devises 0,00 0,00 Autres 2 147, ,06 COMPTES FINANCIERS 392, ,84 liquidités 392, ,84 TOTAL DE L'ACTIF , ,93

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