COMITE D INVESTISSEMENT
|
|
- Victorien Martel
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 COMITE D INVESTISSEMENT COMPTE-RENDU DU 13 OCTOBRE 2015 ENVIRONNEMENT MACRO-ECONOMIQUE L activité mondiale ne montre pas de signe d effondrement. Malgré les inquiétudes et le recul de ces derniers mois le PMI mondial reste supérieur au seuil des 50. Alors que les échanges mondiaux en valeurs se sont effondrés depuis mi-2014 du fait du très fort recul des prix des matières premières, les échanges en volume restent à des niveaux historiquement hauts, ne laissant entrevoir ni contraction de l activité mondiale, ni récession. Etats-Unis Des indicateurs avancés qui se détériorent Concernant le secteur manufacturier, les directeurs d achats ont continué de reculé au mois d octobre, restant tout de même en légère croissance mais ne disposant que peu de marge de manœuvre pour les prochains mois. Dans les services, la croissance affiche un recul mais reste encore à un rythme soutenu (à 56.2 pour le mois d octobre). La croissance américaine continuera d être tirée par le secteur des services. Le secteur manufacturier (hors automobile) continuera de souffrir de l appréciation du change, de la faiblesse de la demande mondiale, de la baisse de l investissement dans le secteur minier et de la perte de compétitivité au niveau international. Les autres publications macroéconomiques relativement solides La faiblesse passagère des indices de confiance des consommateurs est liée à la chute estivale des indices boursiers. Elle devrait se redresser dans les mois à venir avec l accélération des salaires La reprise reste pérenne dans l immobilier : les ventes de logements à des plus hauts depuis 5 ans, des permis de construire et mises en chantier qui continuent de se redresser et des prix orientés à la hausse. Malgré la faiblesse récente, c est le plein emploi aux Etats-Unis. Le taux de chômage reste à des niveaux bas et les «jobs openings» sont à des niveaux historiquement hauts. Politique monétaire : La FED passe son tour en septembre Ce document reflète l opinion de Messieurs Hottinguer & Cie - Gestion Privée SA Société de gestion de portefeuilles Agrément AMF N GP Agrément ORIAS n , 63, rue de la Victoire Paris Tel : Fax : Conçu exclusivement à des fins d information, il ne constitue ni un élément contractuel, ni une proposition ou une incitation à l investissement ou l arbitrage. La responsabilité de la société ne saurait être engagée par une décision prise sur la base de ces informations. Il appartient à chaque client de se forger sa propre opinion en fonction de sa situation personnelle, de ses objectifs et des risques encourus.
2 En effet, les nouvelles prévisions économiques et la conférence de presse ont délivré un message largement dovish. En particulier, le discours de Janet Yellen surprend sur trois points bien précis. 1. Une grande place attribuée au risque externe, avec une forte incertitude sur l évolution de l économie chinoise, des marchés émergents et des implications potentielles pour l économie américaine; 2. Une détérioration du scénario inflationniste, avec un discours plus alarmiste et des prévisions d inflation revues à la baisse (le déflateur de la consommation core est désormais attendu sous 2% en 2018). L accent a été mis sur le risque en provenance de l évolution du change qui pourrait peser sur les prix alors que l amélioration des conditions de marché du travail aurait pu légitimer une position inverse, ou neutre du moins; 3. Un moindre engouement pour remonter les taux cette année. Toutefois, une nouvelle intervention de Janet Yellen lors d une conférence à l université du Massachusetts le 24 septembre est depuis venue relativiser ce discours. La présidente de la FED est apparue plus confiante au sujet du scénario de croissance et d inflation, tout en prenant ses distances avec les risques externes. Autre point intéressant, Janet Yellen s est elle-même positionnée dans le camp des membres qui anticipent une hausse des taux cette année, condition primordiale pour envisager le début d un resserrement monétaire en Au-delà de l incertitude sur la date de la première hausse, il faut souligner une nouvelle fois que la FED prévoit un resserrement monétaire très graduel. Nos conclusions La croissance au T2 a corrigé en grande partie la déception du T1 (3,9% au T2 en rythme annualisé après 0,6%). Les indicateurs avancés plaident pour la poursuite de cette tendance, toutefois sur un rythme plus restreint. A moyen terme, l activité devrait être tirée principalement par la consommation des ménages. En effet, le pouvoir d achat des ménages reste soutenu à la fois par l amélioration du marché du travail et la baisse des prix de l énergie. La bonne tenue du marché immobilier sera un facteur de soutien supplémentaire. Du côté des facteurs externes, la hausse du dollar et la faiblesse de la demande externe limitent la reprise des exportations. En outre, la baisse marquée du prix du pétrole continue de pénaliser l investissement dans le secteur de l énergie (pétrole et gaz de schiste). Cependant, ces effets négatifs restent limités et s atténueront progressivement en Risques Haussiers: Reprise du marché immobilier avec un assouplissement des conditions d octroi de crédit; Accélération marquée des salaires Risques Baissiers: Effets de contagion en provenance du secteur minier plus forts; Appréciation plus forte du dollar; Forte hausse des taux d intérêt. Comité d investissement 2
3 Europe Un secteur manufacturier qui s essouffle? Le secteur manufacturier de la zone euro enregistre une croissance modérée au 3ème trimestre L Indice PMI final pour l Industrie Manufacturière de l Eurozone se replie de 52.3 en août à 52.0 en septembre (estimation Flash : 52.0) et affiche un plus bas de 5 mois en septembre. Il reste toutefois proche des niveaux enregistrés au cours des 7 derniers mois. L activité manufacturière de l Eurozone augmente pour le 27ème mois consécutif en septembre, les entreprises augmentant leur production afin de répondre à la hausse de la demande et de faire face à une nouvelle accumulation du travail en cours. Les taux d expansion de la production et des nouvelles commandes se replient toutefois très légèrement par rapport au mois dernier; Malgré l adoption de mesures de relance sans précédent par la Banque centrale européenne et une forte dépréciation de l euro, le secteur manufacturier de la zone euro n enregistre qu une croissance modérée au troisième trimestre 2015, le risque d un retour à la stagnation au cours des prochains mois n étant pas exclu; En effet, depuis l essor généré par le programme d assouplissement quantitatif lancé en début d année, le taux d expansion n a évolué qu au sein d une fourchette étroite, synonyme de faible croissance dans la région, et se replie de surcroît à un plus bas de cinq mois en septembre. La contribution de l industrie manufacturière à l expansion économique globale de la région devrait être minime au troisième trimestre, les faibles performances des fabricants freinant la croissance du PIB qui ne devrait pas excéder 0,4%. Un secteur des services qui résiste A 53.7 en septembre, l Indice Final de l Activité de Services de l Eurozone se replie à un plus bas de 7 mois et s inscrit en dessous de son estimation flash (54.0). Il signale ainsi en septembre une 26ème hausse mensuelle consécutive de l activité des prestataires de services de la zone euro, le taux d expansion affichant un niveau supérieur à la moyenne observée tout au long de cette période. Cette croissance de l activité repose sur une expansion du volume des nouvelles affaires au cours du mois, la hausse des nouveaux contrats se renforçant en outre légèrement par rapport à août. Le volume des affaires en attente enregistrant par ailleurs l une de ses deux plus fortes progressions depuis plus de 4 ans et les perspectives d activité restant bien orientées, la croissance du secteur des services devrait se maintenir dans les prochains mois. L activité et les nouvelles affaires progressent simultanément dans chacun des cinq pays couverts par l enquête en septembre. C est l Irlande qui enregistre la plus forte croissance de l activité, l Espagne s inscrivant en deuxième position après avoir observé un net ralentissement au cours du mois (plus faible taux d expansion depuis 9 mois). La hausse de l activité décélère également en Allemagne et en Italie (plus bas de 2 mois dans les deux cas) mais se renforce en France. La hausse globale de l activité incite les entreprises à créer de nouveaux emplois. Les effectifs des prestataires de services de la zone euro augmentent ainsi pour le 11ème mois consécutif, l Allemagne, l Espagne et l Irlande signalant des créations de postes au cours de la dernière période d enquête. La croissance de l emploi affiche son plus fort taux depuis décembre 2011 en Allemagne, mais ralentit dans Comité d investissement 3
4 les deux autres pays cités. Les prestataires de services français et italiens font quant à eux état des suppressions de postes. Nos conclusions La zone euro confirme la tendance à une reprise graduelle portée par l amélioration progressive de la demande interne. Celle-ci est soutenue par des conditions monétaires favorables une politique budgétaire cessant d être restrictive et une reprise du crédit. Par ailleurs, les exportations vers les économies avancées restent soutenues. Malgré la faiblesse structurelle de sa croissance, la zone euro bénéficie au plan interne d une embellie conjoncturelle. L activité se redresse et l emploi aussi. La faiblesse des prix du pétrole et l environnement de taux bas combinés à une politique budgétaire globalement neutre plaident pour une amélioration de la croissance pour les trimestres à venir. Plus en détail, des pays sont en nette accélération comme l Espagne et l Irlande alors qu une amélioration plus graduelle s observe en Allemagne, France et Italie. Il est à noter que depuis quelques mois, le commerce intra-zone dans l union monétaire gagne en vigueur. Ceci est en net contraste par rapport à la quasistagnation observée entre 2011 et début Le commerce hors zone euro reste dynamique et ce malgré le ralentissement des émergents : ceci s explique principalement par la demande soutenue venant des Etats Unis et du Royaume Uni. Dans les trimestres à venir, le commerce extérieur de la zone euro sera soutenu par la demande venant principalement des économies avancées qui représentent 75% des exportations de l UEM. Le contexte de faible inflation et de croissance encore fragile sera de nature à pousser la BCE à maintenir, voire à prolonger si besoin son programme d achat de titres. Dans cet environnement monétaire favorable le crédit viendra en soutien de l activité. C est d ailleurs ce que l on observe déjà. En effet, dans la zone euro considérée dans son ensemble, le crédit bancaire aux entreprises non-financières se remet à croitre à nouveau après deux ans de contraction. Le crédit aux ménages enregistre déjà une progression depuis plusieurs mois. Risques haussiers: Croissance plus forte que prévue en zone euro et au niveau mondial grâce à la chute des prix du pétrole; La réussite des réformes structurelles et le plan d investissement (Plan Juncker) pourraient déboucher sur une accélération inattendue des investissements. Risques baissiers: Le ralentissement plus prononcé que prévu des marchés émergents, et en particulier de la Chine, a un impact négatif sur le niveau de confiance générale; Les risques politiques en zone euro pourraient ressurgir, principalement en Espagne. Les risques géopolitiques sont toujours élevés; Relèvement supérieur aux attentes des taux des fonds fédéraux aux Etats-Unis. Comité d investissement 4
5 Chine Le chemin vers la «nouvelle norme» s annonce plus chaotique Selon les dernières données économiques, de nouveaux signes de faiblesse apparaissent : le PMI recule, l investissement (en particulier dans le secteur immobilier) s essouffle et les exportations ont considérablement diminué. Dans ce contexte la croissance devrait ralentir sous les 7% dès cette année. Les statistiques économiques de la Chine montrent que ce ralentissement s est intensifié au cours du trimestre. Malgré, les mesures de relance considérables, aucune reprise ne se dégage des derniers chiffres. La Chine souffre de surcapacités croissantes qui créent des pressions déflationnistes, en particulier sur les prix à la production. Un instrument envisageable serait une dévaluation à grande échelle du RMB. Compte tenu des effets systémiques de la dévaluation modérée du RMB en août dernier, cette option semble plus risquée que les mesures budgétaires. Enfin, la mise en place de réformes profondes paraît actuellement peu probable, non seulement parce que le gouvernement chinois n a pas vraiment progressé sur ce front. En outre, elles entameraient encore plus la croissance, car les secteurs présentant des surcapacités devraient être totalement restructurés. Risques haussiers: Mesures de relance musclées de Pékin; Report de la normalisation de la politique monétaire de la FED pour une durée prolongée. Risques baissiers: L économie chinoise est empêtrée dans un régime de très faible croissance; Choc social. Focus : Marché Obligataire Taux souverains 10 ans Les taux restent globalement stables depuis la remontée du mois d avril. Ils se sont normalisés et les intervenants ne semblent plus vouloir recommencer l erreur de début d année. Depuis le mois d août on assiste à un petit «flight to quality» Spreads / Allemagne La baisse des taux a été généralisée. La situation européenne semble vouloir se normaliser car les primes des pays périphériques n ont pas vraiment augmenté par rapport à l Allemagne. Seule l Espagne voit son spread s écarter par rapport à l Italie en raison des élections en Catalogne. Taux administrés et Liquidité Minutes de la BCE : Comité d investissement 5
6 Risques accrus de ralentissement de l'inflation en raison du prix des matières premières. Risque d euro plus fort et donc de croissance plus faible. Besoin de temps pour évaluer l'effet de la volatilité des marchés. Incertitudes en Chine plus élevées Importance de communiquer sa volonté de faire plus de relance si nécessaire Stimulus important à attendre dans le plan de rachats d actifs : corporates? Fed funds rate 10 ans US Les taux forward 10 ans US anticipent des niveaux à fin 2018 inférieurs aux «dots» des membres de la FED. Historiquement, lors des dernières périodes de hausse de taux, la corrélation n a pas été totale avec les taux longs US. Le problème est que les taux ne rémunèrent plus la croissance anticipée plus l inflation. Inflation(s) US : Globales et core Le risque de déflation semble s éloigner dans les esprits même si la remonté de l inflation n est pas vraiment encore d actualité. Indices crédit US Sur long terme, le pourcentage du temps ou les spreads ont été supérieurs aux niveaux actuels aux US comme en Europe ou dans les émergents, n est que de 30%. Cela laisse de la place pour des resserrements à venir Taux de rendement proche des 8% Défaut de 2% pourrait remonter vers les 4% alors que le marché price un taux de 6 à 7% Une idée : la Dette émergente Classe d actifs de 14 trillons$ toujours très sous-exposée en Europe mais en croissance Endettement des pays de 40% contre + de 120% dans les pays développés Croissance attendue de 5% en 2016 contre 2,5% dans les marchés développés : 1,9% en LatAm, 2,5% Europe, 3,6% Afrique, 6,3% Asie Enormes réserves de change à 7,5 trillions $ vs 2,1T$ en 2004 Inflation maîtrisée à 5,1% contre 6,3% en 2004 Investment grade = 65% des émissions contre 10% en 2000 Corporates Pays Emergents : +174% depuis 2009 soit la plus grosse croissance (70% Treasuries, 43% corporate Investment Grade, 50% High Yield). La taille est de 1,7 trillions > US HY 1,3 trillions Taux de défaut sur les obligations corporate des pays émergents similaire au High Yield US : 2% vs 1,5% Baisse des émissions depuis 2 ans La clé c est la différenciation : Inde, Indonésie, Mexique / Brésil, Russie, Spread sont ceux de 2005 alors que la situation s est fortement améliorée Ce document est exclusivement conçu à des fins d information. Il ne constitue ni un élément contractuel, ni une proposition ou une incitation à l investissement ou l arbitrage. Les données contenues dans cette présentation ne sont ni contractuelles ni certifiées par le commissaire aux Comité d investissement 6
7 comptes. Il reflète l opinion de Messieurs Hottinguer & Cie - Gestion Privée SA et sa responsabilité ne saurait être engagée par une décision prise sur la base de ces informations. Il appartient à chaque client de se forger sa propre opinion en fonction de sa situation personnelle, de ses objectifs et des risques encourus. Comité d investissement 7
Présentation Macro-économique. Mai 2013
Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%
Plus en détailmai COMMENTAIRE DE MARCHÉ
mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailCroissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés
POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance
Plus en détail2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?
Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos
Plus en détailLes perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailLes mécanismes de transmission de la politique monétaire
Chapitre 5 Les mécanismes de transmission de la politique monétaire Introduction (1/3) Dans le chapitre 4, on a étudié les aspects tactiques de la politique monétaire Comment la BC utilise les instruments
Plus en détailLes difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient
PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues
Plus en détailBoussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!
Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,
Plus en détailBASE DE DONNEES - MONDE
BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar
Plus en détailLES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013
LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz
Plus en détailLe RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions
27 novembre 213 N 5 Le RMB chinois comme monnaie de mesure internationale : causes, conditions La Chine semble vouloir développer le poids du RMB comme monnaie internationale, aussi bien financière que
Plus en détailInvestir sur les marchés de taux au sein des pays émergents
Gestion obligataire Investir sur les marchés de taux au sein des pays émergents Nous pensons que la répression financière se prolongera encore plusieurs années. Dans cet intervalle, il sera de plus en
Plus en détailL immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise
ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords
Plus en détailRAPPORT SEMESTRIEL. ACER ACTIONS S1 au 30.06.2013. Acer Finance Société de Gestion agrément AMF n GP-95009
RAPPORT SEMESTRIEL ACER ACTIONS S1 au 30.06.2013 Acer Finance Société de Gestion agrément AMF n GP-95009 8 rue Danielle Casanova 75002 Paris Tel: +33(0)1.44.55.02.10 / Fax: +33(0)1.44.55.02.20 acerfinance@acerfinance.com
Plus en détailA PLUS FINANCE FONDS DE FONDS
FINANCE FONDS DE FONDS A PLUS DYNAMIQUE A PLUS PATRIMOINE A PLUS TALENTS A PLUS OBLIGATIONS RAPPORT DE AU 30-06-2015 COMMENTAIRE DE 1 er SEMESTRE 2015 Le premier semestre 2015 a été caractérisé par le
Plus en détailCompte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant)
Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Présentation Cogefi Gestion est la société de gestion, filiale à 100% de la maison mère Cogefi. Elle fait partie
Plus en détailL INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH»
193-202.qxp 09/11/2004 17:19 Page 193 L INVESTISSEMENT JOUE À «CASH-CASH» Département analyse et prévision de l OFCE La rentabilité des entreprises s'est nettement redressée en 2003 et 2004. Amorcée aux
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailLE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE
DE LA GESTION PRIVÉE COMPTE RENDU DAVID DESOLNEUX DIRECTEUR DE LA GESTION SCÉNARIO ÉCONOMIQUE ACTIVITÉS La croissance économique redémarre, portée par les pays développés. Aux Etats-Unis, après une croissance
Plus en détailL incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1
Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada
Plus en détailFrance et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts
France et Allemagne : deux moteurs aux régimes distincts Philippe Waechter Directeur de la recherche économique de Natixis AM L a dynamique de l'économie française est-elle franchement différente de celle
Plus en détailECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011
BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats
Plus en détail[ les éco_fiches ] Situation en France :
Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d
Plus en détailFlash Stratégie n 2 Octobre 2014
Flash Stratégie n 2 Octobre 2014 Vers un retour de l or comme garantie du système financier international. Jean Borjeix Aurélien Blandin Paris, le 7 octobre 2014 Faisant suite aux opérations de règlement
Plus en détailLe marché informatique en France 2011 et tendances 2012
Le marché informatique en France 2011 et tendances 2012 Juin 2012 Sextant Expertise 27, Boulevard des Italiens 75002 Paris Tél. : 01 40 26 47 38 www.sextant-expertise.fr Société inscrite à l ordre des
Plus en détailCAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES
Direction Épargne et Clientèle Patrimoniale Date de diffusion : 26 janvier 2015 N 422 CAMPAGNE ANNUELLE DES EPARGNES ACQUISES Dans une démarche d accompagnement auprès de vos clients, plusieurs communications
Plus en détailLa Banque nationale suisse surprend les marchés
La Banque nationale suisse surprend les marchés 16 janvier 2015 Faits saillants États-Unis : baisse décevante des ventes au détail en décembre. États-Unis : les prix de l essence font diminuer l inflation,
Plus en détailDétention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?
1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%
Plus en détailPrivilégier les actions et les emprunts d entreprise aux placements monétaires et aux emprunts d Etat AAA
Swisscanto Asset Management SA Waisenhausstrasse 2 8021 Zurich Téléphone +41 58 344 49 00 Fax +41 58 344 49 01 assetmanagement@swisscanto.ch www.swisscanto.ch Politique de placement de Swisscanto pour
Plus en détailDiversification obligataire et recherche de rendement : Un rôle stratégique pour la dette émergente. Insight + Process = Results
Diversification obligataire et recherche de rendement : Un rôle stratégique pour la dette émergente Insight + Process = Results Des fondamentaux solides Un potentiel de diversification Dans un environnement
Plus en détailLa dette des ménages canadiens demeure très élevée
12 septembre 2014 La dette des ménages canadiens demeure très élevée Faits saillants États Unis : accélération bienvenue des ventes au détail. Forte hausse du crédit à la consommation en juillet aux États
Plus en détailPourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux
7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour
Plus en détailL OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES. Tableau de bord. 25 ème rapport annuel. Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013
L OBSERVATOIRE DES CRÉDITS AUX MÉNAGES 25 ème rapport annuel Tableau de bord Michel Mouillart Université Paris Ouest 29 Janvier 2013 La photographie des ménages détenant des crédits que propose la 25 ième
Plus en détailLes perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI
Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds
Plus en détailCompte rendu du 7 ème colloque organisé par Groupama Asset Management, CEPII-CIREM, le 22 octobre 2009
Compte rendu du 7 ème colloque organisé par Groupama Asset Management, CEPII-CIREM, le 22 octobre 2009 Politiques budgétaires et marchés obligataires européens : quel avenir? L ampleur des déficits publics
Plus en détailLes marchés ont-ils pris le pouvoir en Europe?
Neuilly sur Seine, le 25 novembre 2011 Les marchés ont-ils pris le pouvoir en Europe? En tout état de cause, la défiance des investisseurs envers les politiques à mener des projets et réformes ambitieuses
Plus en détailL Épargne des chinois
L Épargne des chinois (Patrick ARTUS Johanna MELKA) Colloque Cirem-Cepii-Groupama AM 29 septembre 25 Indicateurs de «qualité de vie» en Chine 199 1995 2 22 23 Nombre d'écoles par 1 habitants 9,1 7,82 6,48
Plus en détailOUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active
Ce document est destiné à des investisseurs professionnels uniquement Vivienne investissement L analyse quantitative au service de la gestion active OUESSANT Rapport de gestion Printemps-été 2015 Vivienne
Plus en détailHausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada
Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailZone euro Indicateur d impact du QE
N 1/263 1 er septembre 21 Zone euro Indicateur d impact du Avec l annonce d un programme étendu d achats d actifs non stérilisés (quantitative easing, ), portant essentiellement sur des titres souverains,
Plus en détailÀ Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires
POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse
Plus en détailCrises financières et de la dette
Institut pour le Développement des Capacités / AFRITAC de l Ouest / COFEB Cours régional sur la Gestion macroéconomique et les questions de dette Dakar, Sénégal du 4 au 15 novembre 2013 S-2 Crises financières
Plus en détailLE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?
LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailEconomie et marchés. Editorial. Nos évaluations en bref
Investment Strategy & Research Economie et marchés Août 21 Editorial Les tragédies financières ne manquent pas cet été: à peine le dernier acte de la crise grecque terminé, la Chine est ébranlée par un
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détailEnquête sur les perspectives des entreprises
Enquête sur les perspectives des entreprises Résultats de l enquête de l été 15 Vol. 12.2 6 juillet 15 L enquête menée cet été laisse entrevoir des perspectives divergentes selon les régions. En effet,
Plus en détailà la Consommation dans le monde à fin 2012
Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du
Plus en détailLes crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014
Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression
Plus en détailPlacements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques
Placements IA Clarington inc. Dan Bastasic Gestionnaire de portefeuille des Fonds IA Clarington stratégiques Je ne caractériserais pas la récente correction du marché comme «une dégringolade». Il semble
Plus en détailLes divergences dominent le marché
Les divergences dominent le marché L euro a continué de glisser, pour la sixième semaine consécutive, face au dollar américain. Et cette baisse devrait continuer de s accentuer dans les prochains jours,
Plus en détailPerspectives économiques 2013-2014
Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:
Plus en détailLe FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc
Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008
Plus en détailGENERALI INVESTMENTS EUROPE GF FIDELITE FR0010113894 15 juin 2015
Sur la période 11 mai 2015 au 10 juin 2015, la performance du fonds est en retrait de -1.04% par rapport à son indicateur de référence*. Néanmoins, depuis le début d année, GF Fidélité surperforme son
Plus en détailBSI Market Outlook. II Quarter 2015. Banquiers suisses depuis 1873. Quarterly market and economic view By BSI Strategy and Research Department
Banquiers suisses depuis 1873 BSI Market Outlook II Quarter 2015 Quarterly market and economic view By BSI Strategy and Research Department BSI SA via Magatti 2 6900 Lugano Svizzera tel. +41 (0)58 809
Plus en détailFRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2015-2016
Trimestriel n /231 17 juillet 2 FRANCE Immobilier résidentiel Évolutions récentes et perspectives 2-216 Reprise ou stabilisation? Des signaux de reprise du marché sont apparus ces derniers mois. Il ne
Plus en détailCroissance à crédit. Vladimir Borgy *
Croissance à crédit Vladimir Borgy * p. 5-15 L économie mondiale a connu en 2004 une conjoncture exceptionnelle, la croissance annuelle au rythme de 5 % est la plus forte enregistrée depuis 1976 et résulte
Plus en détailBanque nationale suisse
IFFP Institut fédéral des hautes études en formation professionnelle Combinaison des politiques budgétaires et monétaires 22.01.2010, Lausanne 8h45 12h 12h45 16h David Maradan, chargé de cours UNIGE et
Plus en détailRAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE
2014 RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE Rapport adressé à Monsieur le Président de la République et au Parlement par Christian Noyer, gouverneur Sommaire La Banque de France a fait appel à des métiers
Plus en détailNOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015)
NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) En vue d éclairer l opinion publique tunisienne, initiée et non initiée, sur l opportunité de l émission obligataire
Plus en détailCOMMUNIQUÉ DE PRESSE
COMMUNIQUÉ DE PRESSE La croissance mondiale des investissements publicitaires se poursuit : les achats publicitaires devraient croître de 4,8% en 2012. Un chiffre en légère progression par rapport aux
Plus en détailL impact macroéconomique des crises bancaires
L impact macroéconomique des crises bancaires Les banques sont au cœur du financement des économies et lorsque leur situation financière ne leur permet plus d assurer cette mission, la distribution du
Plus en détailRAPPORT SUR LE COMMERCE ET LE DéVELOPPEMENT, 2013
CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR LE COMMERCE ET LE DÉVELOPPEMENT RAPPORT SUR LE COMMERCE ET LE DéVELOPPEMENT, 213 S adapter à la nouvelle dynamique de l économie mondiale CONFÉRENCE DES NATIONS UNIES SUR
Plus en détailRétrospective 2014 1 mois, 1 clin d œil
Rétrospective 2014 1 mois, 1 clin d œil С Новым Годом! Felice anno nuovo! Bon lanné! Happy new year! E gudd neit Joër! Bonne année! Onnellista uutta vuotta! Feliz año nuevo! Güets nëies johr! Ein gutes
Plus en détailLa dynamique du cycle européen reste robuste en dépit des incertitudes sur la Grèce
CONVICTIONS Conclusions du comité d investissement mensuel de Natixis Asset Management Juillet 2015 ANALYSE MACROECONOMIQUE La dynamique du cycle européen reste robuste en dépit des incertitudes sur la
Plus en détailLETTRE MENSUELLE DE LA FRANÇAISE GAM. N 155 - Mars 2015 Achevée de rédiger le 05 03 2015. Regard sur les marchés
ORIENTATIONS & S T R A T É G I E LETTRE MENSUELLE DE LA FRANÇAISE GAM N 155 - Mars 2015 Achevée de rédiger le 05 03 2015 Regard sur les marchés Février confirme une amorce absolument exceptionnelle des
Plus en détailExpertise Crédit Euro. La sélection de titres au coeur de la performance de notre gestion. Décembre 2014
Expertise Crédit Euro La sélection de titres au coeur de la performance de notre gestion Décembre 2014 destiné à des investisseurs professionnels au sens de la Directive Européenne MIF Performance cumulée
Plus en détailPerspectives Economiques Septembre 2015
Perspectives Economiques Septembre 2015 Philippe WAECHTER Directeur de la Recherche Economique Compte Twitter: @phil_waechter ou http://twitter.com/phil_waechter Blog: http://philippewaechter.nam.natixis.com
Plus en détailPerspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord
Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé
Plus en détailRevue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013
Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Daniel Denis kpmg.ca L environnement externe ÉCONOMIE CONSOMMATEUR TECHNOLOGIE DÉMOGRAPHIE Secteur de l assurance
Plus en détailOrientations et Stratégie n 149
Orientations et Stratégie n 149 Lettre mensuelle de La Française AM Septembre 2014 - Achevée de rédiger le 05 09 2014 Regard sur les marchés Les deux mois d'été ont été agités sur la plupart des classes
Plus en détailATELIER : Comment expliquer l instabilité de la croissance économique?
ATELIER : Comment expliquer l instabilité de la croissance économique? A_Que nous-dis le programme? NOTIONS : Fluctuations économiques, crise économique, désinflation, croissance potentielle, dépression,
Plus en détailLe système bancaire dans la crise de la zone euro. par Michel Fried* (Synthèse de l exposé fait au CA de Lasaire du 21/06/2012)
Le système bancaire dans la crise de la zone euro par Michel Fried* (Synthèse de l exposé fait au CA de Lasaire du 21/06/2012) La crise de la zone euro a mis en évidence les liens étroits qui relient la
Plus en détailLa situation économique et financière
Bulletin Institutionnel de SMA Gestion DOCUMENT RESERVE EXCLUSIVEMENT AUX CLIENTS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF La situation économique et financière «Un certain nombre de participants ont
Plus en détailEtats-Unis : le pays qui a le plus besoin de la mondialisation prêt à céder à la tentation protectionniste
1 avril 9 - N 17 Etats-Unis : le pays qui a le plus besoin de la mondialisation prêt à céder à la tentation protectionniste Des indices multiples montrent que la tentation protectionniste est de plus en
Plus en détailUn climat des affaires conforté
JUILLET 2015 Un climat des affaires conforté Même si une part toujours importante de TPE/PME enregistre un recul du chiffre d affaires, le bilan du 2 e trimestre marque une amélioration sensible, confirmée
Plus en détailLe crédit bancaire au secteur privé
Le crédit bancaire au secteur privé en Belgique M. Hradisky * Après des taux de croissance de plus de 1 p.c. en rythme annuel au cours de l année, la progression des crédits au secteur privé en Belgique
Plus en détailSituation financière des ménages au Québec et en Ontario
avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur
Plus en détailC O M M U N I Q U É D E P R E S S E
C O M M U N I Q U É D E P R E S S E Information réglementée* Bruxelles, Paris, 13 mai 2009 7h00 Résultat net de EUR 251 millions au 1 er trimestre 2009 Ratio Tier 1 de 10,7 % et core Tier 1 de 9,8 % Faits
Plus en détailMarché mondial de l automobile
Carlos Gomes 1..73 carlos.gomes@scotiabank.com En route vers des ventes mondiales records en 1 Les marchés développés mènent le bal Les ventes mondiales de voitures ont progressé de % pendant le premier
Plus en détailLa guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015
PERSPECTIVES La guerre des devises, une source d opportunités Mars 2015 Depuis le début de l année 2015, de nombreuses banques centrales à travers le monde ont abaissé leur taux d intérêt ou pris d autres
Plus en détailLe présent chapitre porte sur l endettement des
ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation
Plus en détailWali. Directeur général. commissaire Du gouvernement. conseil. M. Abdellatif JOUAHRI. M. Abdellatif FAOUZI. M. Le Wali. M. Le Directeur Général
EXERCICE 2014 Wali M. Abdellatif JOUAHRI Directeur général M. Abdellatif FAOUZI commissaire Du gouvernement conseil M. Le Wali M. Le Directeur Général M. Abdellatif BELMADANI M. Mohammed BENAMOUR Mme
Plus en détailLes marchés du travail dans la crise *
ÉTUDE SPÉCIALE Les marchés du travail dans la crise * OFCE, Centre de recherche en économie de Sciences Po Département analyse et prévision * Ont contribué à cette étude spéciale : Marion Cochard, Gérard
Plus en détailLetko, Brosseau & Associés Inc.
Letko, Brosseau & Associés Inc. Perspectives sur la conjoncture économique et les marchés financiers Sommaire L amélioration progressive de la conjoncture économique dans les pays développés, menée par
Plus en détailExchange Traded Funds (ETF) Mécanismes et principales utilisations. 12 Mai 2011
Exchange Traded Funds (ETF) Mécanismes et principales utilisations 12 Mai 2011 Sommaire I Présentation du marché des ETF II Construction des ETF III Principales utilisations IV Les ETF dans le contexte
Plus en détailLe poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux
AMBASSADE DE FRANCE AUX ETATS-UNIS MISSION FINANCIÈRE FRENCH TREASURY OFFICE 11 RESERVOIR ROAD, NW WASHINGTON D.C. 7 TEL : () 9-33, FAX : () 9-39 E - M A I L : afny@missioneco.org 1 SEVENTH AVENUE, 3 TH
Plus en détailPerspectives économiques régionales Afrique subsaharienne. FMI Département Afrique Mai 2010
Perspectives économiques régionales Afrique subsaharienne FMI Département Afrique Mai 21 Introduction Avant la crise financière mondiale Vint la grande récession La riposte politique pendant le ralentissement
Plus en détailComité monétaire et financier international
Comité monétaire et financier international Vingt-neuvième réunion Le 12 avril 2014 Déclaration de M. Akagha-Mba, Ministre de l Économie et de la Prospective, Gabon Représentant les pays suivants : Bénin,
Plus en détailQuel est le "bon" système de Bretton-Woods?
aoűt 9 - N 359 Quel est le "bon" système de Bretton-Woods? Le Système Monétaire International de Bretton-Woods "normal" est un système où le pays dont la monnaie s'affaiblit doit passer à une politique
Plus en détailMontpellier. 24 mai 2011
Montpellier 24 mai 2011 SOMMAIRE Le Groupe AXA Retour sur 2010, une année charnière Performance en 2010 et indicateurs d activité 2011 Priorités pour 2011 et après Christian RABEAU Directeur de la Gestion
Plus en détailAvertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels
Avertissement sur les risques liés aux instruments financiers Clients professionnels 07/10/2014 Le présent document énonce les risques associés aux opérations sur certains instruments financiers négociés
Plus en détailAnnexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique
Annexe - Balance des paiements et équilibre macro-économique Les échanges de marchandises (biens et services), de titres et de monnaie d un pays avec l étranger sont enregistrés dans un document comptable
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détail