COMMUNIQUÉ DE PRESSE «LA SANTÉ AU TRAVAIL, APPROCHE ÉCONOMIQUE DU BIEN-ÊTRE (ROI ET RSE)» > 20 septembre 2011
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- Denis Barbeau
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2 COMMUNIQUÉ DE PRESSE > 20 septembre 2011 Voici quelques-unes des questions auxquelles le livre blanc sur la «Santé au travail, approche économique du bien-être (ROI et RSE)» tente de répondre. Parce que la santé dans l entreprise est déterminante pour la santé de l entreprise, le Groupe APICIL, 5 ème groupe de protection sociale en France, a souhaité s emparer de la question, longtemps restée tabou, de la santé au travail. Fruit de l expertise du Groupe APICIL et des résultats de deux ans de réflexion avec des chefs d entreprises et directeurs de ressources humaines, ce livre blanc, conçu comme un véritable outil de gestion de la santé et du bien-être au travail, explore la prévention santé comme une source de différenciation et d économie pour l entreprise. Illustré de nombreux cas pratiques, il propose aux dirigeants et DRH un outil inédit d accompagnement dans la mise en place de dispositifs qui favorisent une gestion efficace de la présence au travail. A l heure où le système français de protection sociale traverse une profonde mutation et que la santé des personnes au travail est plus que jamais au cœur des préoccupations, les dirigeants disposent désormais d outils et de ressources pour évaluer les impacts du facteur santé des salariés sur la rentabilité de leur entreprise. «LA SANTÉ AU TRAVAIL, APPROCHE ÉCONOMIQUE DU BIEN-ÊTRE (ROI ET RSE)» Comment bâtir une politique de la santé en entreprise? Jusqu où un employeur peut-il intervenir dans la santé de ses salariés sans être intrusif? Comment délimiter le champ d intervention de l entreprise? Doit-il se limiter aux risques professionnels prioritaires et aux risques multifactoriels? Les indicateurs de santé au travail n ont-ils pas leur place aux côtés des indicateurs de gestion? A propos du Groupe APICIL Le Groupe APICIL, 5 ème groupe de protection sociale français, propose des solutions performantes et complémentaires : la retraite complémentaire une expertise historique l assurance de personnes l accompagnement au quotidien de nos assurés (santé, prévoyance, épargne). Il compte près de collaborateurs sur toute la France, plus de de clients individuels et entreprises clientes. Depuis plus de 72 ans, le Groupe APICIL construit sa différence sur une vision innovante de la Protection Sociale. Cette vision a pour objectif de préserver le système social de tous et de garantir l avenir de chacun. Ainsi, la Protection Sociale Durable est au cœur de tout le projet d entreprise.
3 4 D O S S I E R D E P R E S S E s e p t e m b r e Le livre blanc sur la santé au travail, un document qui s inscrit dans les préoccupations actuelles de l entreprise citoyenne La santé des personnes au travail est plus que jamais au cœur des préoccupations : De l Union Européenne, dont l objectif est d améliorer les conditions de travail et les mesures de sécurité, en harmonisant les législations nationales. Du gouvernement, dont le deuxième Plan Santé au travail intègre un programme d urgence pour diminuer le stress des salariés et favoriser leur bien-être. Des entreprises, pour qui c est une obligation légale (selon le Code du Travail, «L employeur prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs»), mais également un acte de citoyenneté. Les conditions de travail plus importantes que la rémunération Longtemps considérés comme indissociables du progrès technique et économique, les maladies et les risques professionnels ne sont aujourd hui plus acceptables. Une majorité de salariés aspirent même à mieux vivre leur emploi : 51 % d entre eux considèrent que leurs conditions de travail sont plus importantes que leur niveau de rémunération (1). Aujourd hui, une entreprise «citoyenne» doit préserver son capital humain pour s assurer un personnel physiquement et mentalement en bonne santé, donc plus productif et plus motivé car en pleine possession de ses moyens. V De plus, le vieillissement de la main-d œuvre et la multiplication de certaines maladies professionnelles (TMS et stress) obligent les entreprises même réticentes à prendre en compte la santé. Dans le cas contraire, elles prennent le risque de dégrader leurs résultats économiques et leurs productivité, risque qui leur coûtera de plus en plus cher. Le stress en constante augmentation La crise aidant, le stress au travail ne cesse de gagner du terrain. Aujourd hui, si des efforts importants restent à entreprendre pour faire reculer le nombre d accidents au travail, qui stagne encore à un niveau trop élevé (environ par an, dont accidents graves), la question de l intégrité physique n est plus la seule préoccupation. En effet, l intégrité psychique, le bien-être au travail ou encore la qualité de l emploi sont désormais des problématiques incontournables. Le livre blanc de la Santé au travail, un outil au service des entreprises Mais comment bâtir une politique de la santé en entreprise? Alors que la notion de santé au travail tend à recouvrir de nouvelles réalités, comme les risques psychosociaux ou le présentéisme, la mise en œuvre d une prévention efficace se heurte à la notion de vie privée. Jusqu où un employeur peut-il intervenir dans la santé de ses salariés, sans être intrusif? Comment délimiter le champ d intervention de l entreprise? Doit-il se limiter aux risques professionnels prioritaires et aux risques multifactoriels? Convaincu que la réelle prise en compte du bien-être des personnes dans la politique des entreprises est désormais inéluctable et qu à terme, elle constituera un critère d évaluation et de différenciation, le Groupe APICIL a souhaité les doter d un outil leur permettant d appréhender ce sujet complexe. Conçu comme un premier acte pédagogique, ce livre blanc fait le point sur les nouveaux dispositifs expérimentés par certaines entreprises. (1) ANACT - Le stress au travail, rapport d analyse Mars 2009
4 6 D O S S I E R D E P R E S S E s e p t e m b r e Que peut-on attendre d un programme santé et bien-être en entreprise? La prévention santé, une source avérée d économie De nombreuses études ont démontré que la prévention des risques professionnels permet d améliorer non seulement les taux d activité de la population en âge de travailler et l état de santé des travailleurs, mais aussi la compétitivité des entreprises. On constate également que le stress a des conséquences négatives sur la santé des collaborateurs et, par ricochet, sur leurs résultats. Conséquences : la plupart des entreprises ont pris conscience qu investir dans l amélioration des conditions de travail entraîne : une augmentation de la productivité ; une meilleure continuité des activités (la baisse du nombre d accidents permet de réduire la durée et l impact des interruptions) ; une baisse des primes d assurance et/ou des indemnisations aux travailleurs ; ou encore une meilleure motivation du personnel. Autant de facteurs favorisant la durabilité de la performance économique. En France, l Institut National de Recherche et de Sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles estime qu il est «rentable» pour les entreprises d investir dans la prévention du stress au travail, les coûts des mesures de prévention collective étant amortis assez rapidement (de l ordre d une année). «Chaque entreprise peut tirer d importants avantages de son investissement dans la SST. De simples initiatives peuvent améliorer la compétitivité, la rentabilité et la motivation des salariés», estime pour sa part l Agence Européenne pour la sécurité et la santé au travail. Elle admet que, dans les grandes entreprises, «un retour sur investissement pouvant atteindre un ratio de 12/1 (bénéfice de 12 euros pour chaque euro investi) est possible en choisissant les bonnes options de sécurité et santé au travail». et de différenciation La prévention santé permet, également, aux entreprises d accroître leur attractivité en s attachant durablement leur personnel. Par exemple, l enjeu est crucial dans certains secteurs où la main-d œuvre est rare ou bien dans ceux où il est important de soigner son image. Aux Etats-Unis, l équivalent américain de l Inspection du Travail a publié sur son site Internet des listes noires recensant les entreprises les plus dangereuses. Au final, la moitié des entreprises pointées du doigt ont opté pour un développement de la prévention ce qui a permis de réduire d environ 80% les accidents du travail et les maladies professionnelles. Au cours des années 90, les Etats-Unis sont dans l ensemble parvenus à diminuer les accidents et maladies professionnelles de 30 à 40 %. Quand performance sociale = performance économique Si l objectif de l entreprise toute «citoyenne» qu elle soit est, et doit rester, la performance, il est désormais admis qu une entreprise ne peut pas être performante sur le plan économique, si elle ne l est pas également sur le plan social. «C est quand même incroyable de faire passer toute une batterie de tests et des entretiens psychologiques pour recruter quelqu un, de prendre toutes les mesures possibles et imaginables pour définir le profil psychologique idéal de la personne et, ensuite, de ne pas chercher à savoir si elle se sent bien dans l entreprise», s étonne Victor Waknine, associé gérant d une société de conseil et créateur de la notion d Indice de Bien-Etre au Travail (IBET ).
5 8 D O S S I E R D E P R E S S E s e p t e m b r e Quel(s) indicateur(s) pour mesurer le bien-être des salariés? De la notion de santé à celle de bien-être Depuis plusieurs décennies on assiste à un élargissement progressif des enjeux pour la santé. Tout naturellement, la santé et la sécurité au travail ont d abord concerné les accidents du travail (loi du 9/ ), puis les maladies professionnelles (loi du 25/ ). La notion de qualité de vie au travail est apparue dans les années 70, pour être mise au second plan dans les années 80 et 90, au profit des politiques de l emploi. D L IBET, un nouvel indicateur pour piloter la performance sociale Le capital humain d une entreprise est aussi important que son capital financier et matériel et il «s entretient», à travers le capital santé. Partant de ce constat, les entreprises devraient piloter leur performance économique en tenant compte des indicateurs de performance sociale, dont celui de la santé. Pourtant, si la plupart des entreprises ont instauré des tableaux de bord économiques et financiers pour piloter leur activité, aucune, ou presque, n a mis en place d indicateurs permettant de mesurer le niveau de santé dans l entreprise. En marge des indicateurs «classiques» liés au fonctionnement de l entreprise, à la santé et la sécurité des salariés, le livre blanc dévoile un tout nouvel indicateur particulièrement efficace : l Indice de Bien-Etre au Travail. En France, cette préoccupation pour le bien-être prend de l ampleur, à la fois dans les institutions concernées par la santé au travail, dans les thèmes de recherche au niveau européen et dans un certain nombre d entreprises. Ainsi, l INRS a ouvert récemment une thématique de recherche centrée sur le bien-être et la santé au travail. Les derniers rapports sur la santé au travail mentionnent désormais le terme de «bien-être au travail». L exemple le plus parlant étant le rapport Lachmann, intitulé «Bien-être et efficacité au travail». Ce rapport remis, en février 2010, au Premier ministre propose des mesures permettant d améliorer les conditions de santé psychologique au travail dans les entreprises du secteur privé. Les dix propositions, sous forme de recommandations de bonnes pratiques, reposent sur l idée que la valeur d une structure réside dans celle des hommes qui la composent. «Toutes ces recommandations ont pour objectif de développer davatage de bien-être et d efficacité au travail, par une meilleure prise en compte des sujets de santé au sein de l entreprise», peut-on lire dans ce rapport. Les auteurs insistent également sur la prévention qui doit dépasser la simple prise en compte des risques psychosociaux : «C est en comprenant bien et en agissant le plus possible en amont que l on préviendra au mieux les risques psychosociaux et que l on développera dans un même mouvement bien-être au travail et efficacité.» Partant du postulat que toute journée de travail perdue, avec les coûts associés directs et indirects, dégrade la valeur ajoutée de l unité de travail, Mozart Consulting, structure indépendante de conseil, d audit, d accompagnement et de formation à destination des cadres dirigeants, DRH et managers a mis au point un indicateur permettant aux entreprises d identifier les raisons qui pénalisent la performance d un collectif (les indicateurs de mal être au travail ou IMET). Mozart Consulting a ainsi créé un Indice du Bien-Etre au Travail (IBET ) qu elle définit «comme une nouvelle VA corrigée de la dégradation due aux situations collectives et opérationnelles de la souffrance au travail». IBET = VA - IMET et IBET(%) = 100 x (VA-IMET)/VA. Selon ce calcul, un IBET qui varie de 90 à 75 % correspond à une dégradation de la valeur ajoutée de 10 à 25%. Ce qui rend l IBET intéressant, c est qu il n est pas calculé à partir des mêmes critères pour toutes les entreprises. Les membres de la cellule de gouvernance socio-économique choisissent les critères les plus pertinents ensemble, en fonction de la spécificité de leur entreprise, de leurs objectifs et de leurs attentes. C est en cela, qu il est plus adapté qu une enquête réalisée sur un questionnaire généraliste, ayant pour ambition d être reproductible à l identique dans toutes les entreprises.
6 10 D O S S I E R D E P R E S S E s e p t e m b r e «Comparer c est éliminer ; mesurer c est s améliorer», affirme Victor Waknine, créateur de l IBET et consultant en management de la performance éthique et responsable des entreprises. Mis en place dès que le taux d absentéisme est > à 5%, l IBET est avant tout une démarche éthique, une solution concrète d engagement de la responsabilité sociale de l entreprise (RSE) qui consiste à auditer le présent, à le diagnostiquer et à proposer des actions pour le futur. «Il faut s interroger sur ce que l on doit faire tout de suite et pas sur ce que l on pourrait faire demain». Un concept nouveau : le présentéisme A la différence de l absentéisme, qui se caractérise par des salariés absents physiquement de l entreprise, le présentéisme concerne des personnes qui viennent sur leur lieu de travail, mais qui ne sont pas actives, ou pas productives. L entreprise doit donc composer avec des collaborateurs qui ne travaillent pas à 100 % de leurs possibilités. Dans certains cas, on constate même qu ils ne travaillent pas à plus de 5 % de leur capacité réelle. S il est difficile de calculer précisément l impact du «présentéisme» sur la productivité de l entreprise, ce qui revient à juger dans quelle proportion le travail effectué pourrait être plus important, son coût est bien réel. Il semblerait même que ses effets soient de 3 à 5 fois plus importants que ceux de l absentéisme. A titre d exemple, aux Etats-Unis on évalue que pour l entreprise, les frais directement ou indirectement liés à la mauvaise santé des salariés se répartissent ainsi : 25 % pour les frais de santé à proprement parler ; 8 % pour l équivalent de la sécurité sociale et donc pour la compensation accordée lorsqu un salarié est victime d un accident du travail ; 7 % pour l absentéisme ; 60 % pour le «présentéisme». 4. Bâtir un programme de santé et bien-être en entreprise : de nouvelles approches Les dirigeants prennent conscience que la préservation de la santé, et plus largement du bien-être des salariés a une incidence positive sur la compétitivité et la performance de leur entreprise. Cependant, la plupart hésite encore à mettre en place une politique de santé et bien-être au travail, face à l ampleur du chantier. A leur décharge, il n existe pas de solution unique pour traiter un problème global de santé au travail. Et pour compliquer encore la donne, dans une entreprise, un même problème peut non seulement avoir des causes multiples selon les individus mais également engendrer plusieurs manifestations simultanées. En effet, les être humains ne réagissent pas tous de façon identique face à une situation donnée. Pourtant certains se lancent en expérimentant des approches novatrices. Trois entreprises (deux françaises et une canadienne) ont accepté de détailler la mise en place, souvent récente, de leur programme santé et bien-être. Chez Renault Trucks, ce programme a pris la forme de la mise en œuvre d un observatoire du stress et chez Arkoon, société lyonnaise d édition de logiciels de sécurité informatique destinés à la protection des infrastructures, les dirigeants ont décidé d aider leurs salariés «à mieux gérer leur stress, mais aussi leur tour de taille» en mettant en place des plages horaires pour le sport. Arkoon : quand l exemple vient d en haut Pour inciter les salariés à décompresser, les deux dirigeants d Arkoon ont constitué, il y a 8 ans, un petit groupe de course à pied, auquel ont été conviés tous les salariés. Après un démarrage un peu lent, aujourd hui une vingtaine de salariés lyonnais (sur 70), courent régulièrement (avec ou sans leurs dirigeants) et participent à une ou deux courses par an.
7 12 D O S S I E R D E P R E S S E s e p t e m b r e «Ils ont développé une vraie confiance en eux qui rejaillit sur leur travail au quotidien, analyse Pierre-Yves Hentzen, Directeur Administratif et Financier. La pratique régulière d une activité physique a permis d améliorer la santé globale de nos salariés, mais également de véhiculer l image dynamique d une société qui sait relever des défis.» Une démarche originale dont la réussite repose sur : L engagement des dirigeants qui montrent l exemple. Une activité accessible à tous les salariés. Facile à mettre en œuvre et peu coûteuse. Visa Desjardins : un programme axé sur le volontariat Plus important groupe financier coopératif au Canada, le Mouvement Desjardins souhaitait inciter les employés à s occuper activement de leur santé physique et psychologique. Il a également la volonté d aider les gestionnaires à cibler les changements organisationnels requis pour favoriser la santé et le mieux-être des employés. Pour y parvenir, l entreprise a misé sur le programme «Ma santé, je m en occupe!» (1), implanté en 2001 (600 salariés) jusqu en 2004 (900 salariés). La participation était entièrement basée sur le volontariat et la confidentialité assurée. En fonction des résultats obtenus, des recommandations personnalisées (activité physique, alimentation, stress, etc.) ont été proposées pour chacun des employés. En parallèle, ACTI-MENU a suggéré à la direction des conseils sur les améliorations prioritaires à apporter au niveau de l organisation du travail. Les effets de ce virage organisationnel et de l implantation du programme de santé mieux-être d ACTI-MENU sont plus qu encourageants : Le taux d absentéisme a baissé de 28 %. Le taux de roulement a baissé de 54 %. 81 % des participants se sentent davantage capables de prendre leur santé en main. 80 % des participants estiment que le programme les a encouragés à modifier leurs habitudes de vie. La proportion des participants obtenant un score de santé globale de 75 % et +, a doublé en passant de 18 % en 2001 à 36 % en (1) Initié par la société ACTI-MENU, le programme «Ma santé, je m en occupe!» est une approche innovante qui propose d améliorer les habitudes de vie des salariés en visant la «santé globale» c est-à-dire aussi bien physique et psychologique. 5. Les clés de la réussite Des différents entretiens et échanges, il apparaît que pour optimiser la réussite d un plan santé et bien-être en entreprise, il est essentiel : D anticiper Trop souvent, les entreprises font appel aux équipes chargées de la prévention lorsque la situation en matière de santé au travail est déjà dégradée, lorsqu elle coûte cher, a un impact sur la production, pose un problème sur la gestion des ressources humaines, ou remet en cause l organisation. Cela implique de sensibiliser le plus largement possible l ensemble des acteurs à la santé au travail ; de s appuyer sur les services de santé au travail ; de redonner de la place à l écoute sur les lieux de travail. De susciter l adhésion Intégrer la santé aux objectifs stratégiques d une entreprise est un acte fort, qui nécessite l adhésion de tous, à tous les niveaux. Pour adhérer à un programme de santé et bien-être, les salariés doivent se sentir écoutés et cette politique de prévention doit être considérée par la direction comme étant aussi importante que les objectifs des autres politiques du milieu de travail. De respecter certains critères de mise en œuvre Le premier acte pour la mise en œuvre d un plan santé et bien-être est d obtenir l aval du conseil d administration, puis l adhésion et même l enthousiasme du chef d entreprise et de tous les dirigeants. Il est également nécessaire d étudier la situation du point de vue des salariés, en réalisant une analyse des besoins. D
8 14 D O S S I E R D E P R E S S E s e p t e m b r e Quelques règles à respecter : Assurer la confidentialité et l anonymat du recueil d information pour obtenir des réponses sincères. Intégrer un nombre suffisant de personnes dans le programme pour que les résultats soient significatifs. Utiliser tous les canaux d information possibles pour que le message circule : informatique, réseaux sociaux, messages personnalisés... Faire passer des messages simples : «Dites non aux maladies cardiovasculaires», «Dites non au cancer», «Dites non au diabète»... Ne pas négliger le ressenti et l écoute active des collaborateurs, souvent les meilleurs indicateurs, en faisant appel au médecin du travail qui a un contact privilégié avec l ensemble des salariés. Inciter les salariés à connaître les valeurs métaboliques de base de leur propre santé : tour de taille, pression artérielle, glycémie à jeun, taux de cholestérol HDL et LDL, taux de triglycérides, capacité antioxydante, et à suivre leur évolution! Accorder du temps aux salariés sur leur journée de travail pour mener à bien ces programmes (une demi-heure par jour pour pratiquer un exercice physique par exemple). Zoom sur l expérience Canadienne Le livre blanc de la Santé au travail s est également intéressé à la démarche adoptée par les Canadiens qui, en matière de promotion de la santé en entreprise, ont une longueur d avance sur la France. Le dernier chapitre du livre blanc s est donc intéressé à la certification «Entreprises en santé» mise en place en 2008 dans la province du Québec. Adoptée depuis par 14 entreprises, les structures estampillées affichent publiquement leur engagement : maintenir et promouvoir la santé de leurs employés. L expérience a montré que pour avoir un impact significatif sur la santé des employés, les entreprises doivent intégrer à leur gestion quatre sphères d activités reconnues : Les habitudes de vie (par exemple, un service conseil en nutrition ou en gestion du stress). La conciliation travail-vie personnelle (des horaires flexibles, des congés, une garderie en milieu de travail...). L environnement de travail (par exemple, des distributeurs d aliments santé ou l aménagement d aires de relaxation). Les pratiques de management (la formation des managers sur la reconnaissance, des interventions pour favoriser l esprit d équipe...). Enfin la question «A partir de quand allez-vous mettre en application cette bonne résolution?» est vraiment essentielle. Si le salarié ne répond pas : «Immédiatement», cela signifie qu il ne le fera certainement pas.
9 16 D O S S I E R D E P R E S S E s e p t e m b r e APICIL, un groupe engagé dans la Protection Sociale Durable Depuis sa création, le Groupe APICIL a fait de la Protection Sociale Durable son cheval de bataille. A ce titre, il était tout naturel que le Groupe s empare de la question, longtemps restée tabou, de la santé au travail. En tant qu organisme de Protection Sociale, en contact permanent avec les entreprises adhérentes, le Groupe APICIL sait combien la santé dans l entreprise est déterminante pour la santé de l entreprise. Et en tant qu entreprise citoyenne, le Groupe est convaincu que la santé est un état de bien-être complet qui suppose l évacuation des risques psychosociaux par la valorisation des salariés au cœur des entreprises. Pourtant, très peu d employeurs disposent d outils et de ressources pour évaluer les impacts du facteur santé des salariés sur la rentabilité de leur entreprise. Aussi, le Groupe APICIL a souhaité accompagner les DRH dans la mise en place de dispositifs qui favorisent une gestion efficace de la présence au travail. Il y a deux ans, le Groupe a donc créé des cercles de réflexion sur la question de la santé au travail. Chefs d entreprises et Directeurs de ressources humaines se sont réunis à plusieurs reprises pour échanger sur ce concept de santé en entreprise, qui a beaucoup évolué au cours de ces derniers mois. a Conscient que la composante intrinsèque de la pérennité et de la compétitivité des entreprises est le bien-être des salariés, et parce que le métier de la protection sociale ne se limite pas à un simple lien contractuel, le Groupe APICIL accompagne les salariés de ses entreprises adhérentes à travers des programmes de prévention santé, des campagnes de dépistage ou de vaccination et de la sensibilisation au juste coût des soins. Un objectif que le Groupe APICIL souhaite poursuivre en publiant, toujours aux Editions du Cercle d APICIL, une collection d ouvrages à destination de ses clients individuels ou entreprises. En chiffres Le Groupe APICIL, créé en 1938, est l un des premiers groupes français de protection sociale, leader dans la région Rhône-Alpes et 5 ème groupe national. Il compte près de collaborateurs sur toute la France, plus de de clients individuels et entreprises clientes. Encaissements de cotisations en 2010 en millions d euros Retraite : 1 356,6 Assurance de personnes : 1 212,4 Réserves en millions d euros Retraite : 1 334,6 Assurance de personnes : 807,4 Provisions techniques assurance de personnes en millions d euros : 2 300,7 Ce sont les résultats de ces réflexions que le Groupe APICIL a réuni dans un livre blanc, «La santé au travail, approche économique du bien-être (ROI et RSE)», afin de les partager avec le plus grand nombre. En effet, les discussions, toujours très riches, ont fait émerger qu il existe aujourd hui différentes approches novatrices et il a semblé utile au Groupe APICIL d en retracer certaines, à partir d une exploration participative des expériences de ses adhérents mais aussi en observant les pratiques outre-atlantique des Canadiens, pionniers en la matière. Actifs gérés en millions d euros Retraite : 962 Assurance de personnes : 2 922,7
10 18 D O S S I E R D E P R E S S E s e p t e m b r e NOTES NOTES
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