Compte rendu de la 27e session de l Assemblée Générale de l ICOM Réunions Internationales des Musées Paris, France, 6 juin 2012

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1 Compte rendu de la 27e session de l Assemblée Générale de l ICOM Réunions Internationales des Musées Paris, France, 6 juin 2012 Le Président de l ICOM a ouvert la séance en demandant l approbation de l agenda de la réunion. Le quorum a été atteint à l ouverture de l Assemblée avec 57% des membres représentés, soit présents dans la salle, soit votant par procuration. Point 1: Approbation du Compte rendu de la 26e Assemblée Générale du 8 juin 2011 Le Président a sollicité l approbation de l Assemblée Générale sur le compte rendu de la réunion précédente. Le compte rendu de la 26 e Assemblée Générale qui s est tenue à Paris, France, a été approuvé en l état. Point 2 : Rapport du Président Le Président a présenté son rapport à l Assemblée Générale, dans lequel il a détaillé les principales activités de l ICOM pour l exercice clos au 31 décembre 2011, ainsi qu une présentation des actions de 2012 réalisées à ce jour. Le texte complet du rapport du Président figure en Annexe 1. Des questions et des commentaires formulés par l Assemblée ont suivi la présentation du rapport du Président. Les membres ont félicité le Secrétariat sur les avancées présentées, et ont mentionné leur reconnaissance pour le soutien que le Secrétariat a fourni à l ensemble du réseau pendant l année. Ils ont demandé à en savoir plus sur les projets concernant 2012, et plus précisément pour la période précédant la prochaine Conférence Générale. A ce propos, il a été suggéré que le prochain rapport formel du Président puisse inclure des éléments concernant les projets futurs de l organisation. Le Directeur général a mentionné que le travail et l expertise de l ICOM sur le trafic illicite de biens culturels continuait à se développer et que deux Listes Rouges étaient en cours de préparation, que les services fournis aux membres continueraient d être améliorés grâce au développement d outils technologiques, et que l ICOM étendait sa collecte de fonds en diversifiant les sources de revenus, ce qui permet de fournir une aide financière directe pour les événements organisés par le réseau (par exemple, le soutien financier d Ibermuseus pour la conférence CECA à Quito). A la suite d une demande concernant le programme de Médiation en Art et Patrimoine culturel, le Directeur général a confirmé que ce programme nouveau et innovant a été lancé en juillet 2011, que deux ateliers avaient eu lieu à Paris et Londres, et que les prochains rendez vous se tiendront au Canada et aux Etats Unis. Le programme de médiation bénéficie maintenant d une liste de plus de 130 médiateurs hautement spécialisés. 1 7

2 Les progrès concernant le développement du réseau ICOM en Afrique ont également été soulignés, et il a été suggéré que la présence de l ICOM sur le continent continue à être intensifiée à l avenir. Le Président a confirmé que suite au protocole d accord récemment signé entre l ICOM et AFRICOM, le Conseil exécutif tiendra une session spéciale sur le sujet pour déterminer les actions concrètes qui pourraient être menées afin de mettre en œuvre le protocole d accord. L Assemblée Générale a approuvé le rapport du Président en l état. Point 3 : Etats financiers 2011 La Trésorière de l ICOM a introduit Lydie Spaczynski, directrice de l administration et des finances, Isabelle Demangeot, comptable de l ICOM et M. Gagnard, commissaire aux comptes. Elle a également remercié les membres du Comité permanent pour les finances et les ressources de leur travail. La Trésorière a informé l Assemblée que les documents de travail, comprenant les états financiers, le rapport de gestion et le rapport du Commissaire aux comptes avaient été distribués à tous. Les versions électroniques étaient également disponibles sur le site internet de l ICOM bien avant les réunions. Elle a également attiré l attention des membres sur les chiffres clés, présentés à la fin du rapport d activité La Trésorière a rappelé la procédure appliquée pour la préparation de l information financière, incluant un suivi budgétaire tout au long de l année. Elle a ensuite présenté les états financiers de l exercice 2011 en se référant aux documents de travail. Il a été expliqué le résultat équilibré, notant que 75% des revenus de l organisation proviennent des adhésions des membres, 16% de dons et 4% de contributions en nature, tout en notant que les contributions en nature étaient plus élevées l année dernière du fait de la participation de l ICOM à l exposition universelle de Shanghai. Il a été souligné les points suivants : La subvention opérationnelle de l Union européenne au caractère dégressif et la contribution du Ministère français de la Culture et de la Communication; Une ventilation détaillée des dépenses, présentée dans le rapport de gestion incluant le soutien au réseau, les activités de communication, les frais généraux et les activités des programmes représentant respectivement 29,4%, 26,5%, 25,3% et 18,8%; Une optimisation des coûts de structure liée aux locaux de l ICOM à Paris, où les Comités internationaux se réunissent maintenant fréquemment; Une augmentation de 25% du budget alloué au soutien au réseau, s élevant à en Parmi les développements récents mentionnés, la Trésorière a expliqué que l ICOM fait ses premiers pas vers une agrégation de l information financière des comités internationaux. A ce titre les états financiers 2011 incluent les activités du Secrétariat, mais également les activités de quatre Comités internationaux dont l ICOM a géré les comptes bancaires en 2011 (CAMOC, CIDOC, ICMS et ICTOP). Parallèlement et en préparation des prochaines mesures à prendre, le Secrétariat a examiné l information financière des 26 Comités Internationaux restants, telle que présentée dans le rapport 2 7

3 de gestion. La Trésorière a confirmé que la procédure d agrégation est obligatoire conformément à la loi française. A l appui des nouveaux services bancaires présentés et des discussions tenues pendant la réunion séparée des Comités internationaux, elle s est dite confiante sur le fait que de telles étapes seront atteintes en 2012, afin de permettre le retrait de la réserve pour limitation exprimée par le Commissaire aux comptes dans son opinion d audit. Elle a, en outre, noté que les Comités internationaux reportaient un solde bancaire d un niveau élevé s établissant à au 31 décembre Les membres de l Assemblée ont pris la parole pour remercier la Trésorière et le Secrétariat pour les rapports financiers clairs et transparents. Les questions ont tourné autour de l agrégation possible des comptes bancaires des Comités Nationaux, en fonction de leur statut juridique national. Elles ont également concerné le soutien de l UNESCO dans un contexte particulièrement difficile pour les organisations internationales. Le Directeur général a confirmé que l UNESCO avait suspendu son soutien financier à l ICOM en 2012 et que des discussions étaient en cours pour confirmer la subvention annuelle de D ici là, l UNESCO travaille avec l ICOM sur une approche par projets, comme l organisation d un séminaire en Egypte en Suite à une demande de clarification à propos du soutien du Getty à la Conférence «Inclusive Museum», il a été expliqué que cela représentait une subvention de $ pour le déplacement des participants à la conférence venant de pays en développement du Sud de l Afrique. L ICOM a aussi reçu le soutien de la Fondation Getty pour quatre Comités Internationaux en L Assemblée générale a approuvé en l état, les états financiers de l ICOM pour l exercice clos au 31 décembre Point 4 : Décharge (quitus) L Assemblée générale a approuvé la décharge (Quitus). 3 7

4 Rapport moral du Président Chers membres de l ICOM, Conformément à la loi française de 1901 relative au contrat d association et aux statuts de l ICOM, en tant que Président de l ICOM, c est pour moi un devoir et un privilège de présenter devant cette Assemblée générale le Rapport moral du Président 2011, qui détaille les principales activités réalisées par notre organisation durant l année Puisque nous sommes à présent presque à michemin de l année 2012, je suis heureux de pouvoir également vous présenter quelques uns des projets réalisés ou amorcés depuis le début de l année Je voudrais tout d abord souligner l énergie extraordinaire déployée cette année par nos Comités nationaux et internationaux dans l organisation de conférences et d ateliers, dans le parrainage de prix pour les musées, et dans la mise en œuvre d efforts d inclusion dans le monde entier. Les nombreuses rencontres annuelles organisées par les comités sont de formidables occasions d échange, et les ateliers contribuent au développement permanent de la connaissance et de l expertise du réseau. L activité éditoriale exceptionnellement riche de nos comités permet quant à elle la diffusion de cette connaissance sous la forme d actes de conférences, de magazines, de rapports et d articles spécialisés. Le dialogue au sein de la communauté a également été renforcé par des actions de promotion mises en œuvre en grande partie grâce à Internet, l ICOM cherchant à fournir des outils en ligne modernes à l ensemble du réseau et à renouveler ses efforts en matière de communication. En outre, un certain nombre d actions en faveur de la diversité et de l inclusion ont été menées, favorisant l adhésion des membres aux profils sous représentés, notamment à travers le développement de programmes de bourses. Quatre grands axes de développement orientent les activités de l ICOM dans le cadre du Plan stratégique : la valorisation de l adhésion et le renforcement de la transparence pour les membres de l ICOM, le développement de l expertise dans le secteur du patrimoine et le secteur des musées, la consolidation de la position mondiale de l ICOM en tant que leader dans le secteur du patrimoine, et le développement et la gestion des ressources nécessaires à la réalisation du Plan stratégique.2011 a été la première année de mise en œuvre de ce Plan stratégique ; elle a permis de poser les fondations pour les activités de l ICOM qui seront menées les deux prochaines années et d entreprendre des actions prioritaires indispensables à l accomplissement des objectifs triennaux de l organisation. Au cours de l année 2011, le nombre de membres de l ICOM a continué d augmenter pour atteindre un total de membres (soit une augmentation de 5,4 % par rapport à l année précédente), répartis dans 137 pays (contre 130 en 2010) de ces membres ont également fait partie de Comités internationaux. Afin de faire connaître l ICOM et d augmenter le nombre de ses membres, une campagne de sensibilisation a été menée dès le mois de janvier dans diverses régions du monde, commençant par les États Unis, puis s étendant à la France, au Royaume Uni, à un certain nombre de pays arabes ainsi qu à l Amérique latine. La popularité de la Journée internationale des musées s est confirmée : des musées de 100 pays différents ont participé à cet événement désormais incontournable du calendrier culturel et muséal international. La communication autour de cette journée a été améliorée avec la création d un site Internet dédié, d une page Facebook et d un kit fournissant aux musées un certain nombre d outils pour la préparation et le déroulement de cet événement. Le thème «Musées et mémoire» s est révélé extrêmement inspirant et a donné l occasion à l organisation de s associer à plusieurs partenaires internationaux (UNESCOMoW, ICOMOS, IFLA, CCAAA, ICA), et de saluer l enthousiasme et l implication de la communauté muséale. 4 7

5 En 2011, l ICOM, l ICOFOM et l éditeur français Armand Colin ont produit et publié conjointement le Dictionnaire encyclopédique de muséologie. Soucieux d aider les comités de l ICOM à concevoir et distribuer leurs nombreuses publications, le Secrétariat général travaille actuellement à l élaboration de recommandations destinées à faciliter ce travail. Le guide éditorial comprenant ces recommandations paraîtra en plusieurs étapes d ici au mois de septembre L ICOM a également amélioré ses outils de communication au sein du réseau en envoyant désormais son e newsletter à l ensemble de ses membres et en enrichissant le site Internet lancé fin L organisation a en outre démarré un projet de plateforme collaborative numérique nommée ICOMMUNITY. Ce nouvel outil est conçu pour suivre l actualité du secteur muséal et de l organisation, partager l information et l expertise, créer plus de contacts et favoriser la participation et la collaboration au sein du réseau ; l ICOM dispose ainsi d outils de travail innovants et met à profit la multitude de possibilités offertes par les nouveaux médias. Ces rencontres sont l occasion de lancer officiellement ICOMMUNITY, qui sera développée et améliorée progressivement. En coordination du Secrétariat, l ICOM a également lancé en octobre 2010 sa nouvelle base de données des membres et développé en 2011 de nouvelles fonctionnalités rendues possibles par ce nouvel outil technologique : l ICOM l a rendu accessible aux présidents et aux secrétaires des Comités internationaux, qui peuvent désormais consulter et exploiter les données concernant leurs membres respectifs telles qu enregistrées dans la base principale gérée par le Secrétariat. Dans le cadre d un projet pilote mené avec certains comités, l ICOM a également pu lancer sa première campagne de renouvellement des adhésions en ligne. En ce qui concerne le suivi budgétaire (lequel sera présenté en détails un peu plus tard dans l ordre du jour), le budget de fonctionnement s est élevé à 3,2 millions d euros en En matière de subventions, la recherche de fonds pour soutenir la mise en œuvre des programmes de l ICOM et du réseau s est poursuivie, avec un montant de ressources monétaires externes s élevant à euros, soit 17 % des produits d exploitation. En 2011, les cotisations des membres de l ICOM ont augmenté de euros, soit 5,8 % par rapport à 2010, pour atteindre un total de 2,4 millions d euros. Cette croissance est due en grande partie à une augmentation de 5,4 % du nombre de membres, qui est passé de en 2010 à en Dans le cadre d une première étape, et sur la base des informations disponibles, il est apparu possible de présenter une information financière annuelle incluant à la fois les opérations gérées depuis le siège de l ICOM et les comptes annuels représentatifs des activités des quatre Comités internationaux dont l ICOM a traité les transactions bancaires liées à leurs activités en 2011 : ICMS, CAMOC, CIDOC, et ICTOP. En 2011, l ICOM a également déployé des outils en ligne destinés à soutenir les activités des Comités internationaux dans la gestion des transactions bancaires. En termes de stratégie de financement, l ICOM a consolidé ses partenariats (avec la Fondation Getty, le Département d État des États Unis, le Ministère français de la Culture et de la Communication) et assuré le maintien de l aide de l Union européenne et des financements régionaux pour les projets spéciaux (de la part de l Union économique et monétaire ouest africaine et d Ibermuseos). L engagement de l ICOM dans la lutte contre le trafic illicite des biens culturels ne cesse d être renforcé : l organisation a continué de promouvoir activement les 10 Listes Rouges existantes en 2011, a élaboré la Liste Rouge d urgence des biens culturels égyptiens en péril, a organisé un atelier de formation sur les Listes Rouges et le trafic illicite en Colombie et en a préparé un autre qui s est tenu en Égypte début La direction des Programmes de l ICOM a travaillé au maintien de la position de l ICOM comme seule organisation dans le domaine patrimonial reconnue expert international dans la lutte contre le trafic illicite des biens culturels. À travers des partenariats stratégiques avec d autres organisations expertes telles qu INTERPOL et grâce à sa démarche 5 7

6 proactive, l ICOM utilise toutes les ressources dont elle dispose pour affirmer sa position d autorité en la matière, renforcée par la participation de l organisation à de nombreuses conférences organisées au sein et en dehors du réseau de l ICOM. L année 2011 a malheureusement été marquée par un nombre exceptionnel de situations d urgence, conséquences de catastrophes d origine naturelle ou humaine. L ICOM s est donc engagé dans un effort de protection des musées et du patrimoine culturel en mettant en place des mécanismes de prévention et de gestion des catastrophes, principalement par la surveillance active des situations d urgence dans les régions touchées à travers le monde, notamment la Tunisie, l Égypte, la Libye, la Syrie, le Japon, la Côte d Ivoire et la Nouvelle Zélande. Dans le domaine de la prévention et de la gestion des catastrophes, en présidant le Bouclier Bleu et avec l aide de son Groupe d intervention de secours aux musées en cas de catastrophe (DRTF), l ICOM a consolidé sa position, représentant l une des principales organisations actives dans la protection du patrimoine culturel dans les situations d urgence, et a orienté ses programmes en conséquence. À la fin de l année 2011 s est tenue à Séoul la première conférence internationale du Comité international du Bouclier Bleu, préparée et organisée par l ICOM et accueillie par le Musée national de Corée. L ICOM a été particulièrement actif en Égypte, où son travail s est révélé utile à l ensemble de la communauté patrimoniale internationale. En collaboration avec le Groupe d intervention de secours aux musées en cas de catastrophe et des membres du CIPEG, le Secrétariat de l ICOM est parvenu à évaluer l état de conservation du patrimoine culturel dans les régions touchées en rassemblant des données de manière rigoureuse et actualisée et en informant régulièrement la communauté internationale sur l évolution de la situation. L ICOM a notamment pris l initiative de financer la Liste Rouge d urgence des biens culturels égyptiens en péril, publiée avec le généreux soutien du département d État des États Unis. L ICOM a poursuivi son travail d expert en lien avec toutes les grandes conventions sur le patrimoine international, en adoptant une position stratégique visant à réaffirmer son rôle d autorité dans le secteur du patrimoine et en fournissant les ressources pour mettre en avant sa valeur ajoutée sur un certain nombre de sujets liés au patrimoine, tels que les activités muséales sur des sites du patrimoine mondial. Le partenariat ICOM OMPI a été conclu en mai 2011, et le programme de médiation a été lancé officiellement au mois de juillet suivant, avec l organisation d une série d ateliers de formation en septembre et octobre. Ce nouveau type de service offre une solution à un problème récurrent pour la communauté patrimoniale mondiale, offrant aux membres impliqués dans des litiges une procédure alternative de résolution des différends. Ce programme représente bien l orientation de plus en plus marquée de l ICOM vers une approche partenariale des programmes et de la promotion de l expertise de son réseau. D un point de vue juridique, l organisation a décidé en 2011 d instituer un Groupe de Travail sur les Statuts afin de réfléchir à d éventuelles modifications et améliorations des statuts de l ICOM. J ai nommé les huit membres du groupe pour qu ils analysent et, si besoin, proposent des modifications des statuts en conformité avec la loi française le cas échéant. Outre la création de ce Groupe de Travail, certains Comités techniques ont vu leur mandat reconduit afin de poursuivre la réflexion sur des thèmes spécifiques à l ICOM et d améliorer l efficacité de l organisation. Il s agit du Comité des affaires juridiques, du Comité pour les finances et les ressources, du Comité d Examen d Allocation Stratégique et du Comité pour la déontologie a également été l occasion d opérer le rapprochement de différents organismes au sein de l ICOM afin d instaurer une plus grande 6 7

7 transparence. Ainsi les membres du Comité consultatif sont ils désormais membres permanents du Comité pour les finances et les ressources. Conformément au programme de travail et aux décisions du Conseil exécutif, en juin 2011, une partie du Secrétariat général de l ICOM s est installée dans de nouveaux bureaux. Une salle de réunion équipée d une cabine d interprétation simultanée y a été aménagée pour le Conseil exécutif et est régulièrement mise à la disposition des comités et des Groupes de travail de l ICOM. Ces aménagements visent à faire du siège de l ICOM un espace accueillant et adapté aux besoins de la communauté muséale mondiale. Depuis le début de l année 2012, un certain nombre de projets ont été menés à bien: l ICOM a signé un protocole d accord avec AFRICOM ; la Liste Rouge d urgence des biens culturels égyptiens en péril a été lancée au Caire ; deux nouvelles Listes Rouges sont en cours d élaboration pour l Afrique de l Ouest et la République Dominicaine ; la plateforme extranet ICOMMUNITY a été conçue ; le second Programme de médiation ICOM OMPI en art et patrimoine culturel s est tenu à Londres ; le transfert de la revue Museum International de l UNESCO à l ICOM a été négocié ; et les candidatures pour l organisation de la Conférence générale de l ICOM 2016 ont été examinées. Au cours de ces dernières années, le vaste réseau d experts que représente l ICOM a accompli un travail immense. Je souhaite exprimer ma plus sincère gratitude à tous les présidents et membres des conseils d administration des divers comités, et notamment à ceux qui sont parvenus au terme de leur mandat. L importance que revêt le travail réalisé par chacun de ces comités est considérable, et leurs efforts pour mettre en œuvre le Plan stratégique à leur propre échelle ont été fructueux. Enfin, je veux remercier le Directeur général ainsi que tous nos collègues du Secrétariat général pour le travail formidable qu ils ont mené à bien en Je me réjouis à l idée de poursuivre avec vous ce travail de promotion et de consolidation de la présence de l ICOM à travers le monde. En tant que représentants des musées et des professionnels des musées aux quatre coins de la planète, il nous faut désormais nous projeter dans l avenir en nous appuyant sur notre expertise solide et sans cesse enrichie, et en étendant nos actions dans les mois et les années à venir. 7 7

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