Septembre Cours IFSI Dr Elise CONTANT
|
|
- Denis Beaudry
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Septembre 2014 Cours IFSI Dr Elise CONTANT
2 Rhumatologie : étude des pathologies de l appareil locomoteur (rhumatismes) -> Maladies des os/articulations/muscles/tendons/ligaments Demande résulte la plupart du temps d une douleur 3 types de pathologies : Affections Articulaires et péri-articulaires Affections Osseuses Affections Rachidiennes autres
3 Caractéristiques de la douleur Mécanique: A l effort (calmée par le repos) Plus importante le soir Inflammatoire: Prédominante au repos => réveils nocturnes Plus importante le matin, Raideur => dérouillage matinal
4 Définir la topographie de l atteinte : Atteinte Axiale: rachis Atteinte Périphérique: articulations Atteinte Proximale: épaules, hanches Atteinte Distale: aux extrémités Monoarthrite: une articulation Oligo arthrite: de 2 à4 articulations Polyarthrite: à partir de 5 articulations
5 Pièces Osseuses Cartilage Capsule/Synoviale Muscles Tendons Ligaments
6 Arthrose Dégénérescence cartilagineuse Douleur mécanique Arthrite Inflammation synoviale cartilage indemne Douleur inflammatoire Aspect inflammatoire (rougeur/chaleur locale), augmentation de volume étiologies : rhumatisme inflammatoire Infectieux Micro-cristalline
7 Pathologies fréquentes Plusieurs formes : sujets d âge moyen : polyarthrite rhumatoïde spondylarthropathies sujet âgé: Pseudo-Polyarthrite Rhizomélique enfants : arthrite juvénile idiopathique, maladie de Still Rhumatismes inflammatoires intermittents : arthropathies microcristallines
8 Rhumatismes inflammatoires chroniques : Polyarthrite Rhumatoïde Spondylarthropathies Pseudo-Polyarthrite Rhizomélique Rhumatismes intermittents : Goutte Chondrocalcinose Rhumatisme à hydroxyapatite Les choses àsavoir sur les traitements : Corticothérapie Anti-inflammatoires non stéroïdiens Biothérapies (anti TNF alpha)
9 Pathologie inflammatoire articulaire (synoviale) péri-articulaire (entèse) Evolution chronique A connaître : Polyarthrite rhumatoïde Spondylarthropathies
10 Rhumatisme inflammatoire chronique le plus fréquent -> prévalence 0.5 à0.8 % de la population Femme (4/1) Entre 40 et 60 ans Etiologie : multi-factorielle Facteurs endogènes (génétiques, hormonaux) Facteurs exogènes (environnementaux, germes, psychologique, tabac etc) Formes différentes Co-morbidité: cardiovasculaire, infectieuse, lymphome
11 Saine Polyarthrite Rhumatoïde Inflammation Synoviale Synoviale Os Cartilage Cavité articulaire
12 Patiente 50 ans Douleur : INFLAMMATOIRE Réveils nocturnes Dérouillage matinal > 30 min Articulaire, gonflements (=arthrite) ++ mains polyarthrite distale Petites articulations Symétrique Douleur àla pression Examen : Nombres d articulations gonflées = arthrite Nombre d articulation douloureuse à la pression Evolution depuis > 6 semaines Caractère destructeur
13 Clinique Paraclinique Biologique Syndrome inflammatoire biologique Vitesse de sédimentation : VS Protéine C réactive : CRP Immunologique : Facteur rhumatoïde + Anti-CCP + Anti-MCV + Radiologique : destruction articulaire progressive : Pincement articulaire Erosions Pas de reconstruction Echographique
14
15
16 Visualisation : Synovite : inflammation synoviale, activité Ténosynovite : autour des tendons Erosions osseuses
17 Le suivi : Score DAS 28 : Nb d articulation douloureuses Nb d articulations gonflées EVA activité(0-10) Sd inflammatoire biologique (VS ou CRP) Suivi radiologique : érosions Suivi échographique Savoir l évolution : chronique, destruction articulaire Mettre en place le traitement de fond : INDISPENSABLE Urgence articulaire
18
19 Traitement de la crise : Anti-Inflammatoires Non Stéroïdiens (AINS) Corticothérapie cure courte Antalgiques Traitements locaux : infiltration Traitement de fond indispensable Au départ per os : Méthotrexate/imeth Leflunomide = arava Sulfasalazine = salazopyrine Methotrexate injectable (METOJECT) En cas d échec, activitéde la maladie : biothérapies (anti tnfalpha etc) En Sous cutané(possible à domicile, et suivi en consultation) En IV : perfusion en Hospitalisation de jour régulièrement Prise en charge globale : kinésithérapie, ergothérapie, infirmière, éducation, chirurgie, etc...
20 Anti-TNF alpha En sous cutané: HUMIRA = adalimumab ENBREL = etanercept CIMZIA = certolizumab SIMPONI = golimumab En Intra-veineux : REMICADE = infliximab Les autres Biothérapies Anti CD20 : MABTHERA = rituximab Anti IL6 : ROACTEMRA = tocilizumab Anti CTLA4 : ORENCIA = abatacept A Domicile Hospitalisation de Jour
21 Rhumatismes inflammatoires chroniques : Polyarthrite Rhumatoïde Spondylarthropathies Pseudo-Polyarthrite Rhizomélique Rhumatismes intermittents : Goutte Chondrocalcinose Rhumatisme à hydroxyapatite Les choses àsavoir sur les traitements : Corticothérapie Anti-inflammatoires non stéroïdiens Biothérapies (anti TNF alpha)
22 Groupe de rhumatismes inflammatoires comprenant : Spondylarthrite Ankylosante (SPA) Rhumatisme psoriasique SAPHO (syndrome acné pustulose, hyperostose, ostéite) Rhumatismes liés aux entérocolopathies : Crohn et RCH Arthrites réactionnelles Prévalence SPA 0.31% en France (registre EPIRHUM) Complications : liées à l ankylose+++, perte mobilités rachis, syndrome restrictif, instabilités cervico-occipitales
23 Aspects épidémiologiques : Homme : 3 Hommes pour 1 femme Àtout âge, mais le plus souvent adulte jeune étiologies : Prédisposition génétique : HLA B27 Rôle des micro organismes (infection digestive ou urogénitale) concernant les Arthrites réactionnelles Cible anatomique : enthèse puis synovites secondaires.
24 Enthèses : zone d insertion au niveau de l os des : tendons ligaments capsule articulaire Sacro-iliaque :
25 Atteinte axiale : rachis + sacro-iliaques Rachialgies fessalgies d horaire inflammatoire = sacro-iliaques Atteinte périphérique : enthésitique, articulaire Enthèses : Tendon d Achille et aponévrose plantaire Tubérosité tibiale antérieure, épicondyliens (coude), moyen fessier peuvent aussi être touchées Articulaire : oligo-arthrite grosses articulations asymétrique membres inférieurs Evolution vers l ankylose
26 Mesure de l ankylose : distance occiput / mur
27 Exemple test mobilité rachidienne : mesure distance doigts / sol
28
29
30 Enthésitique : Enthésite : tendon d Achille Dactylite: Aspect «en saucisse»des doigts ou des orteils Articulaire: Oligoarthrite asymétriquedes membres inférieurs, touchant en particulier genoux / chevilles
31
32 Manifestations systémiques: Signes généraux (sujet âgé) Ophtalmo : uvéite antérieure aigue Cardiaque : rythme, Insuffisance aortique, atteinte myocardique Pulmonaire : syndrome restrictif Rénale : amylose Atteintes neurologiques Musculaires. Pathologies associées Cutanées : psoriasis Digestives : maladie chroniques inflammatoires de l intestin (maladie de Crohn, rectocolite hémorragique)
33 Biologie : Recherche d un syndrome inflammatoire HLA B27 Prélèvements spécifiques (urinaires, digestifs) dans le cadre d une arthrite réactionnelle Imagerie : Radiographies standards Scanner Scintigraphie IRM rachis et sacro iliaques.
34
35
36
37 Premier temps : AINS :«test diagnostic» Si échec : discussion traitement de fond Formes périphériques: ARAVA / SALAZOPYRINE / METHOTREXATE Formes «axiales»biothérapies (anti tnf alpha)
38 Rhumatismes inflammatoires chroniques : Polyarthrite Rhumatoïde Spondylarthropathies Pseudo-Polyarthrite Rhizomélique Rhumatismes intermittents : Goutte Chondrocalcinose Rhumatisme à hydroxyapatite Les choses àsavoir sur les traitements : Corticothérapie Anti-inflammatoires non stéroïdiens Biothérapies (anti TNF alpha)
39 Sujet âgé(> 60 ans) Douleurs articulaires des ceintures épaules hanches Syndrome inflammatoire biologique (VS, CRP) Altération de l état général Rechercher une vascularite associée Signes oculaires : maladie de Horton
40 Bon pronostic Non destructeur Prise en charge : Corticothérapie longue posologie dégressive..
41 Rhumatismes inflammatoires chroniques : Polyarthrite Rhumatoïde Spondylarthropathies Pseudo-Polyarthrite Rhizomélique Rhumatismes intermittents : Goutte Chondrocalcinose Rhumatisme à hydroxyapatite Les choses àsavoir sur les traitements : Corticothérapie Anti-inflammatoires non stéroïdiens Biothérapies (anti TNF alpha)
42 Dépôts intra-articulaires ou péri-articulaires de microcristaux responsables de mono ou oligo-arthrites récidivantes 3 grand types : Goutte : cristaux d acide urique (dégradation des purines) Chondrocalcinose : cristaux pyrophosphate de calcium Rhumatisme à Hydroxyapatite (péri-articulaire)
43 Cristaux d acide urique Clinique qui proviennent de la dégradation des purines Accès aigus (arthrite mono ou oligoarticulaire) ou chronique => crise de goutte du gros orteil Avec le temps, dépôts de ces cristaux forment des tophus goutteux: correspondant àune extension extra articulaire de la maladie
44 Tableau clinique : En cas de poussée aiguë: monoarthrite du gros orteil Parfois subfébrile ou fièvre Survenue nocturne Hyperalgique avec allodynie Pseudo septique avec syndrome inflammatoire Rhumatisme inflammatoire chronique : Destruction progressive articulaire Apparition de dépôts extra articulaires : tophus goutteux Paraclinique: Possible syndrome inflammatoire biologique hyper-uricémie (peut être absente lors de la crise, contrôle à distance) Diagnostic : Ponction articulaire (grosse articulation) : visualisation des cristaux
45 Goutte avec tophus des 2 gros orteils. Localisation préférentielle de la goutte
46 Terrain : Homme de plus de 35 ans, Femme ménopausée Régime alimentaire : excès d alcool et viandes riches en purines Greffé, dialysé Diurétiques long cours
47 Crise : colchicine ou anti-inflammatoires Traitement de fond : Règles hygiéno diététiques(bannir sodas, bières, alimentation riche en protéine, alcool) Adaptation médicamenteuse Traitement hypo uricémiant(pour faire diminuer le taux d acide urique dans le sang) : Allopurinol
48 Terrain : femme âgée Peut être secondaire à d autres affections hyper-parathyroïdie, hémochromatose, hypomagnésémie, hypophosphatasie, hypothyroïdie, etc... Forme aigue : mono ou oligoarthrite genou/poignet Peut être asymptomatisque Diagnostic : radiologique : calcification ponction : cristaux visualisés Traitement : Crise : AINS ou colchicine Pas de traitement de fond
49 Dépôt le plus souvent péri-articulaire épaules/hanches Crises aigues Peut être asymptomatique Terrain : femme jeune (30 à50 ans) hémodialysé Signes radiologiques : calcifications tendineuses Traitement : AINS Pas de traitement de fond traitements physiques : ondes de choc, trituration calcification, etc...
50 Rhumatismes inflammatoires chroniques : Polyarthrite Rhumatoïde Spondylarthropathies Pseudo-Polyarthrite Rhizomélique Rhumatismes intermittents : Goutte Chondrocalcinose Rhumatisme à hydroxyapatite Les choses àsavoir sur les traitements : Corticothérapie Anti-inflammatoires non stéroïdiens Biothérapies (anti TNF alpha)
51 Plusieurs voies d administration : Orale (cortancyl) Intra-Musculaire (kenacort) Intra-veineuse (solumedrol) Locale (infiltration) Plusieurs modalités : en bolus IV en hospitalisation : polyarthrite rhumatoïde en crise polyarticulaire en cure courte : polyarthrite rhumatoïde, arthropathies microcristallines pathologies rachidiennes : lombosciatiques au long court : pseudopolyarthrite rhizomélique
52 A court terme : Hyper tension artérielle (HTA) Diabète Psychiatrique Au long court : Risque cardiovasculaire Ostéoporose Favorise les infections Modalités de prise : le matin régime peu salé, peu sucré
53 Bilan biologique + ECG avant de lancer la perfusion Attendre le feu vert du médecin surveillance : tension artérielle glycémie (dextro) Mesures associées : régime sans sel, sans sucre
54 Ne jamais arrêter brutalement risque d insuffisance surrénale Régime peu saléet peu sucré Effets secondaires : HTA Diabète Risque cardio-vasculaire Ostéoporose Favorise les infections
55 Anti-inflammatoires Stéroïdiens : corticoïdes Non Stéroïdien : AINS Traitement infiltratif
56 Inhibiteurs de la synthèse de prostaglandines Propriétés : anti-pyrétique diminue fièvre quelle que soit son origine (infectieuse/inflammatoire/néoplasique) antalgique anti-inflammatoire inhibition des fonctions plaquettaires Complications : Digestives Rénales Gynécologiques/Obstétricales Réactions cutanéo-muqueuses (intolérances/allergies)
57 générale : orale rectale intra-musculaire intra-veineuse locale : pommade, gel A prendre au cours des repas
58 Digestifs : Ulcères gastro-duodénaux Cutanés : éruption, allergie/oedème de Quincke prurit Rénales : insuffisance rénale aigue rétention hydro-sodée vasculaires (HTA) /gynéco-obstétricales, etc
59 Geste médical Indications : intra-articulaires arthrite inflammatoire arthrose en poussée péri-articulaire tendinopathie bursite syndrome canalaires : canal carpien rachidiennes : épidurales
60 Contre-indications : Infection générale ou locale Trouble de la coagulation hypersensibilité à un constituant de la préparation Modalités : asepsie stricte repos 24 à48 heure suivant le geste limiter nombre d infiltration
61 Complications : locales : infection hématome générales : déséquilibre de diabète
62 Injection sous cutanées : les premières Education du patient Surveillance biologique régulière Méthotrexate en Sous cutané: METOJECT : 1/semaine Se poser la question de faire ou non l injection si : Dyspnée (patient essouflé) Infection sévère désir de grossesse OU PATERNITE!!...
63 Produit gardéau frigo (2 à8 C) Sortir 20 minutes avant l injection Zone saine Stylo injecteur ou seringue pré-remplie stylo injecteur : ne pas retirer rapidement l aiguille du site d injection (perte de produit) Les effets secondaires : Infections +++ : voies aériennes supérieures/urinaires/cutanées Reviviscence de tuberculose latente Réaction locale au point d injection, limitée : changer de site glacer suite à l injection Plus importante : déclarer au médecin Améliorer tolérance : sortir 20 minutes avant du frigo glacer la zone avant l injection varier les sites d injection (cuisses, abdomen) Ne pas masser au point d injection, possible de mettre du froid (surtout si réaction cutanée limitée)
64 Dans quel cas ne pas faire l injection : Fièvre, infection Intervention chirurgicale programmée, ou dans les suites quand non encore cicatrisé
65 Soit découverte : bilan de polyarthrite Soit en impasse du traitement per os : => bilan pré-thérapeutique Infections, tuberculose/hépatites/vih Vaccinations (anti-grippale : 1/an, pneumo 23 : tous les 5 ans) Cancer, tumeur : atcd ou nouveau (TDM TAP) Bilan hépatique, rénal, cardiovasculaire Contraception Soit en crise : Traitement de la crise : bolus solumédrol +/- remise en question traitement de fond Soit en traitement en HJ : régulièrement
66 Evolutivitéde la maladie : score DAS 28 (clinique) radio/écho La corticothérapie : objectif : la stopper!! Dose, tjs essayer de diminuer effets secondaires : Risque infectieux Ostéoporose Risque cardiovasculaire Effets secondaires des traitements de fonds : Methotrexate : pulmonaire, hépatique, rénal Arava : Tension artérielle, effets digestifs Biothérapies : INFECTIONS +++ Cancers : poids (altération de l état général), Adénopathie, etc.. Désir de grossesse? Intervention chirurgicale? à programmer
67 Polyarthrite rhumatoïde : atteinte destructrice articulaire : nécessite un traitement de fond Traitements de fond biothérapie : attention au risque infectieux La corticothérapie : surveiller : diabète/hta/infections au long court : danger arrêt brutal
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailLes Spondylarthrites
Les Spondylarthrites Le concept de spondylarthrite Ensemble de rhumatisme inflammatoires chroniques qui partagent certaines de leurs manifestations cliniques ainsi qu un terrain génétique commun. Le concept
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailItem 123. Psoriasis. Insérer les T1. Objectifs pédagogiques
20 Item 123 Psoriasis Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER Connaître les particularités cliniques,
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailSpondylarthrite juvénile. Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010
Spondylarthrite juvénile Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010 Formes de spondylarthrite de l adulte (1) Spondylarthrite ankylosante: critères de New York modifiés Sacroiliite radiologique
Plus en détailGenou non traumatique
Epidémiologie Genou non traumatique Laure Brulhart (Paola Chevallier) 25 37% des patients >50 ans souffrent de gonalgie 50% restriction dans les AVQ 33% consultent leur généraliste Facteurs associés avec
Plus en détailItem 123 : Psoriasis
Item 123 : Psoriasis COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition...3 II Épidémiologie du rhumatisme
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailSpondylarthrite ankylosante
39 Item 282 Spondylarthrite ankylosante Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer une spondylarthrite ankylosante. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailDiagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites
Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS Décembre
Plus en détailRHUMATISMES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L ADULTE : diagnostic et prise en charge initiale par le généraliste. DOSSIER DOCUMENTAIRE
RHUMATISMES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L ADULTE : diagnostic et prise en charge initiale par le généraliste. DOSSIER DOCUMENTAIRE Document établi avec le concours méthodologique de la HAS et conforme
Plus en détailVignette clinique 1. Femme, 26 ans; caissière. RC : Dorsalgie depuis 18 mois. ATCD : Tabagisme 20 paquets/année; pas de maladies chroniques HMA :
Vignette clinique 1 Femme, 26 ans; caissière RC : Dorsalgie depuis 18 mois. ATCD : Tabagisme 20 paquets/année; pas de maladies chroniques HMA : Depuis 6 mois, douleurs dorsales à caractère inflammatoire
Plus en détailDiagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires
Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLombalgies inflammatoires de l homme jeune
Lombalgies inflammatoires de l homme jeune Auteur : Dr Éric TOUSSIROT, Besançon Comité éditorial : Dr Laure GOSSEC, Paris Dr Henri NATAF, Mantes-La-Jolie Relecteurs CFMR : Pr Bernard DUQUESNOY, Lille Pr
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailProblèmes locomoteurs
VOLUME 2 Aspects cliniques Chapitre 10 Problèmes locomoteurs Problèmes locomoteurs 343 Problèmes locomoteurs J.P. Praet, T. Mets Les problèmes locomoteurs sont fréquents et le deviennent de plus en plus
Plus en détailLes rhumatismes inflammatoires. Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante
Les rhumatismes inflammatoires Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante Arthrite Rhumatoïde (RA) Voorstelling van de ziekte Arthrite Rhumatoïde Inflammation chronique des
Plus en détailANDRIANJAFISON Francia
ANDRIANJAFISON Francia PLACE DE LA CORTICOTHERAPIE DANS LA PRISE EN CHARGE DES RHUMATISMES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES : REALITES ET PERSPECTIVES A ANTANANARIVO Thèse de Doctorat en Médecine 2 UNIVERSITE
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailSYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE
SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule
Plus en détail. Arthritepsoriasique
Les traitements biologiques dans les rhumatismes inflammatoires Dr Clio RIBBENS Service de Rhumatologie. Centre HospitalierUniversitairede Liège Nouveautés dans l'arthrite : Thérapeutiques anti-nf a..
Plus en détailLa prise en charge de votre spondylarthrite
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre spondylarthrite Vivre avec une spondylarthrite Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce
Plus en détailAu programme. Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond
Au programme Les blessures fréquentes chez les coureurs de fond Club La Foulée 5 août 2004 Dre Mireille Belzile La lombo-sciatalgie Inflammation du périoste au site d insertion des muscles du mollet Erreur
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailQuand penser à une pathologie inflammatoire osseuse ou articulaire
Quand penser à une pathologie inflammatoire osseuse ou articulaire en orthopédie pédiatrique p? Mathie LORROT, Chantal JOB-DESLANDRE Hôpital Robert Debré, Faculté de Médecine Paris 7 Cours DESC chirurgie
Plus en détailLe syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique
Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre
Plus en détailPHYSIOTHERAPIE ET RHUMATISMES INFLAMMATOIRES
PHYSIOTHERAPIE ET RHUMATISMES INFLAMMATOIRES Cercle de Qualité Le Merle d Aubigné (CQMdA) Bodmer Eveline, Baumberger Dominique, Bensaddik-Brunner Verena, Canova Danielle, Dosso Elena, Dunand Alain, Finazzi
Plus en détailTRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE
TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces
Plus en détailet l utilisation des traitements biologiques
et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents
Plus en détailSpondylarthrite grave
Titre du document (En-tête) GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Spondylarthrite grave Décembre 2008 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2, avenue
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailFaculté de Médecine de Marseille Université Aix Marseille II. Maître de stage : Dr BLANC Bernard. Récit authentique d une situation
Faculté de Médecine de Marseille Université Aix Marseille II Maître de stage : Dr BLANC Bernard. Récit authentique d une situation complexe en Cabinet : La lombalgie symptomatique Semestre de stage : 4
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailSPONDYLARTHROPATHIES. Dr L.Mathy Mont-Godinne Rhumatologie 10/03/2012 CH DINANT
SPONDYLARTHROPATHIES Dr L.Mathy Mont-Godinne Rhumatologie 10/03/2012 CH DINANT Prévalence des affections rhumatismales Lombalgies, rhum. abarticulaires Arthrose Ostéoporose Polyarthropathies inflammatoires
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 24 MARS 2009
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. : 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Des immunosuppresseurs
Plus en détailAnalyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France.
Synthèse Bibliographique en Biologie et Biotechnologie Janvier 2012 Analyse pharmaco-économique des anti-tnf alpha dans le traitement de la Polyarthrite Rhumatoïde en France. Problématique : Jusqu où la
Plus en détail1 ère Edition, septembre 2010. La Rhumatologie au Quotidien Dr RALANDISON D. Stéphane Page 1
Dr RALANDISON D. Stéphane 1 ère Edition, septembre 2010 La Rhumatologie au Quotidien Dr RALANDISON D. Stéphane Page 1 C l i q u e z s u r l e s l i e n s S o m m a i r e R é s u m é d e s c h a p i t r
Plus en détailLES SPONDYLARTHROPATHIES (SPONDYLARTHRITES) : APPROCHE DIAGNOSTIQUE ET THÉRAPEUTIQUE
JUILLET 2010 08 LES SPONDYLARTHROPATHIES (SPONDYLARTHRITES) : APPROCHE DIAGNOSTIQUE ET THÉRAPEUTIQUE MARK HAZELTINE, MD, FRCPC CENTRE DE RHUMATOLOGIE DE LAVAL JEAN-LUC TREMBLAY, MD, FRCPC CENTRE HOSPITALIER
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailQuelle est l incidence
Printemps 2012 Quelle est l incidence de ce médicament en voie de commercialisation sur mon régime d assurance-? Quelle est l incidence de ce médicament en voie de commercialisation sur mon régime d assurance?
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détailItem 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations)
Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations) Date de création du document 2008-2009 CAS CLINIQUE : CAS CLINIQUE N 1 Scénario : Monsieur A., vingt-cinq ans, étudiant vétérinaire, vient
Plus en détailPOLYARTHRITE RHUMATOÏDE/ RHEUMATOID ARTHRITIS. Jacques Morel et Bernard Combe. Service d'immuno-rhumatologie, CHU Lapeyronie 34295 MONTPELLIER cedex 5
1 Rev Prat. 2006 Mar 15;56(5):553-62 POLYARTHRITE RHUMATOÏDE/ RHEUMATOID ARTHRITIS Jacques Morel et Bernard Combe Service d'immuno-rhumatologie, CHU Lapeyronie 34295 MONTPELLIER cedex 5 La polyarthrite
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailGuide. Parcours. Guide à l usage des professionnels de santé confrontés à des. patients traités par anti-tnfa. bon usage anti-tnfα
Parcours bon usage anti-tnfα Guide Guide à l usage des professionnels de santé confrontés à des patients traités par anti-tnfa Rhumatismes inflammatoires chroniques Maladies inflammatoires chroniques de
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailLES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES. Le 2 décembre 2008
LES TROUBLES MUSCULOSQUELETTIQUES Le 2 décembre 2008 DEROULEMENT DE LA RENCONTRE 1ère partie : les localisations des TMS, les facteurs d'apparition, la prise en charge thérapeutique 2ème partie : les chiffres
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailSpondylarthrite ankylosante (Pelvispondylite rhumatismale) Etiologie, diagnostic, évolution, surveillance, principes de traitement
Spondylarthrite ankylosante (Pelvispondylite rhumatismale) Etiologie, diagnostic, évolution, surveillance, principes de traitement Pathologie de l'appareil locomoteur - rhumatologie DCEM3 Internat n 297
Plus en détailLA SPONDYLARTHRITE ANKYLOSANTE
LA SPONDYLARTHRITE ANKYLOSANTE Pr. Abdellah EL MAGHRAOUI Centre de Rhumatologie et Rééducation Fonctionnelle Hôpital Militaire d Instruction Mohammed V Rabat www.rhumato.info SOMMAIRE Définition 3 Epidémiologie
Plus en détailLes traumatismes et l arthrite inflammatoire
Les traumatismes et l arthrite inflammatoire Document de travail à l intention du Tribunal d appel de la sécurité professionnelle et de l assurance contre les accidents du travail Septembre 2008 préparé
Plus en détailPRECISION ÉLIMINATION DE L INFLAMMATION. mensuel PRECISION
mensuel Nouvelles sur la recherche, l éducation et la défense du dossier de l arthrite : juin/juillet 2014 ÉLIMINATION DE L INFLAMMATION Dans ce numéro du Mensuel JointHealth, nous regardons de plus près
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailProtocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL
Delivered by Protocoles canins pour les traitements par ondes de choc radiales STORZ MEDICAL Docteur Artem Rogalev et Spok APPLICATEURS - PARAMETRES MACHINE CERA-MAX C 15 : Grâce à sa composition en poudre
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailMONOGRAPHIE DE PRODUIT. étanercept. Solution injectable en seringues préremplies
MONOGRAPHIE DE PRODUIT Pr Enbrel MD étanercept Solution injectable en seringues préremplies 50 mg/ml et Poudre lyophilisée pour reconstitution présentée en flacons 25 mg/flacon Norme de pharmacopée reconnue
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT
ANNEXE I RESUME DES CARACTERISTIQUES DU PRODUIT 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT Simponi 50 mg, solution injectable en stylo prérempli. 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Un stylo prérempli de 0,5
Plus en détailCas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?
Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte
Plus en détailTYNDALL. 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014. Bulletin d Informations. et d échanges N 35 DECEMBRE 2011
TYNDALL Bulletin d Informations 13 rue Dubrunfaut 75012 PARIS Tél. 01 74 05 74 23 >SIREN N 451 386 544 APE N 00014 Site internet : www.inflamoeil.org SOMMAIRE 1. L éditorial de la Présidente 2. Les uvéites
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailMaladies rhumatismales et agents antirhumatismaux: traitements
Maladies rhumatismales et agents antirhumatismaux: des pathologies aux traitements Rhumatismes dégénératifs arthrose Rhumatismes abarticulaires et d'origine rachidienne épicondylites, tendinites, syndromes
Plus en détailLombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat
Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailHumira Solution pour injection dans un injecteur prérempli
Humira Solution pour injection dans un injecteur prérempli ABBOTT OEMéd Qu est-ce que Humira et quand doit-il être utilisé? Humira est un médicament qui limite le processus inflammatoire dans le cadre
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailL A L E T T R E. L E T T R E D I N F O R M A T I O N ( 3 n u m é r o s p a r a n ) m a i 2 0 1 1
L A L E T T R E L E T T R E D I N F O R M A T I O N ( 3 n u m é r o s p a r a n ) m a i 2 0 1 1 N 40 Éditorial Cette Lettre se propose de clarifier le problème très général des rhumatismes inflammatoires
Plus en détailIntérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils
Intérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils LAPEGUE Franck (1-2), LOUSTAU Olivier (2), DENIS Aymeric (2), BOUSCATEL Elodie (1), PONSY Sylvie (1), SANS
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLes medicaments contre l arthrite. Un guide de référence. SeRIE TRAITEMENTS. arthrite.ca
Les medicaments contre l arthrite Un guide de référence SeRIE TRAITEMENTS arthrite.ca Table des matières REMARQUE : Le masculin est utilisé pour faciliter la lecture. Mot de bienvenue 4 Introduction à
Plus en détailPrincipaux signes & symptômes. Douleur Epanchement articulaire Déformation Limitation de la mobilité Amyotrophie
Arthropathies Principaux signes & symptômes Douleur Epanchement articulaire Déformation Limitation de la mobilité Amyotrophie Douleur articulaire Exclure origine non articulaire : absence de signe articulaire
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes Radiculalgies et syndromes canalaires (279) Professeurs P. Lafforgue, J.C. Peragut et R.
Maladies et Grands Syndromes Radiculalgies et syndromes canalaires (279) Professeurs P. Lafforgue, J.C. Peragut et R. Legré Juin 2005 1. Introduction Les nerfs périphériques peuvent être atteints en un
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailUTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009
UTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009 Objectifs pédagogiques : 1 ) Connaître les mécanismes d action des AINS
Plus en détailLa maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes
Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est
Plus en détailLES ANTI-TNF DANS LES MALADIES AUTO-IMMUNES ET LES VASCULARITES
LES ANTI-TNF DANS LES MALADIES AUTO-IMMUNES ET LES VASCULARITES par X. MARIETTE* Les inhibiteurs du TNFα représentent une révolution thérapeutique en rhumatologie dans le traitement de la polyarthrite
Plus en détail