L AMIANTE. Historique, risques, analyse.

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1 L AMIANTE Historique, risques, analyse. 1

2 L Amiante Un drame de santé publique du XXe siècle: Monde: - Selon l OIT, l morts par an France: - décès s de personnes entre 1965 et Entre et attendus chaque année - 28% des retraités s actuels ont été exposés à l amiante - De 27 à 37 milliards d euros d d indemnisation d des victimes dans les 20 prochaines années 2

3 L Amiante Une utilisation mondiale massive: Monde: 174 millions de tonnes extraits et utilisés s dans le monde au XXe siècle. France: produits référencr rencés amiantés, 100 millions de m2 de nos bâtiments encore amiantés 3

4 L Amiante Pourquoi l a-t-on l utilisé? Quels sont les risques de l Amiante? Comment le retire-t-on? Comment le remplace-t-on? Comment l analysel analyse-t-on? 4

5 L Amiante 1. DEFINITIONS. 2. HISTORIQUE DE l UTILISATIONl 3. TOXICOLOGIE 4. RÉGLEMENTATION POUR LE REPÉRAGE RAGE ET LES CHANTIERS DE DÉSAMIANTAGED 5. MÉTHODES D ANALYSES D DE L AMIANTE L DANS L AIR ET LES MATÉRIAUX DE CONSTRUCTION 6. ASSURANCE QUALITÉ POUR LES LABORATOIRES 7. PERSPECTIVES. 5

6 1. Géologie G de l Amiantel L amiante, qu est est-ce que c est? c Une roche métamorphique m fibreuse résistant r au feu: silicate de magnésium, Fer 6

7 1. Géologie G de l Amiantel 6 types d Amiante d et 2 catégories Serpentines Chrysotile (amiante blanche) 94% de la production mondiale d amianted Amphiboles Amosite (2% de la production mondiale) Crocidolite (amiante bleu) (4% de la production mondiale) Trémolite Anthophyllite (amiante verte) Actinolite Seules Chrysotile, Amosite et Crocidolite ont été utilisées en France 7

8 1. Géologie G de l Amiantel 8

9 1. Géologie G de l Amiantel Russie Chrysotile Canada Chrysotile Brésil Chrysotile Afrique du Sud Amosite et Crocidolite Finlande: Anthophyllite 9

10 1. Géologie G de l Amiantel En résumr sumé: L amiante est une roche fibreuse résistante au feu facilement exploitable Les réserves r d amiante d sont réparties r sur tout le globe Différents types d amiante d mais le Chrysotile est très s largement majoritaire Les fibres peuvent atteindre des dimensions très s fines 10

11 2. Historique utilisation L exploitation de l amiante a suivi la révolution industrielle. 11

12 Une utilisation récente r encore massive, mais une régression constante depuis le début d des années 80: - 5 millions de tonnes en millions de tonnes en 1993 Une Consommation inégale suivant les pays, qui dépend d des intérêts industriels nationaux: - Forte dans les pays producteurs (Ex: en Russie) - En chute libre aux USA 2. Historique utilisation 12

13 2. Historique utilisation Pourquoi l avoir l utilisé en masse? Propriétés s mécaniques, m physiques, chimiques exceptionnelles Résistance au feu Faible conductivité thermique et électrique Résistance à la traction et à l usure Résistance aux agressions chimiques Flexibilité, élasticité Possibilité d être tissé Faible coût Aucun minéral aujourd hui n associe n toutes ces qualités s en même temps 13

14 2. Historique utilisation Utilisation principale comme matériau de construction Tout type de matériau: Flocage, Calorifugeage, Faux-Plafond, dalles de sol, enduits, peintures, toitures, murs isolants joints de porte, etc 14

15 2. Historique utilisation Calorifugeage Toiture fibrociment 15

16 2. Historique utilisation 16

17 En résumr sumé: 2. Historique utilisation Utilisation croissante jusqu aux années 80 grâce à ses propriétés s mécaniques, m physiques, chimiques exceptionnelles et son faible coût. Décroissance depuis car réglementations r d interdiction dans un nombre croissant de pays. Utilisation massive dans tous les matériaux de construction: nécessitn cessité de protection et de désamiantage massif aujourd hui. 17

18 3. Toxicologie Quels maladies? - Pathologies bénignes: b Fibroses, asbestoses - Pathologies cancereuses: Mésothéliome, cancer du poumon Qui est concerné? 80% des mésothm sothéliomes observés aujourd hui sont des salariés s du bâtiment 18

19 3. Toxicologie 19

20 3. Toxicologie Progression du nombre de maladies professionnelles (MP) liées à l'amiante reconnues par le régime général de la Sécurité sociale depuis Source : CNAMTS 20

21 3. Toxicologie 21

22 3. Toxicologie 22

23 3. Toxicologie Très grande bio persistance: -Fibres en formes de piques -Très grande résistance: difficiles à éliminer 23

24 3. Toxicologie Nécessité d une protection étanche totale lors de la manipulation: - Combinaison jetable - Gants - Masque étanche avec filtres spéciaux 24

25 3. Toxicologie En résumr sumé: - Forte toxicité de tous les types d amiante sous fortes concentrations - Incertitude concernant la toxicité à faible concentration - Protection étanche complète nécessaire lors de la manipulation 25

26 4. Réglementation R Repérage et Chantiers Réglementation sur l Amiante l à partir de 1996 définit: d - Interdiction totale de commercialisation - Repérage de l Amiante l dans tous les bâtiments - Contraintes de la conduite des travaux - Conditions d analyse d de l Amiante l dans l Air l et dans l eaul 26

27 4. Réglementation R Repérage et Chantiers Diagnostic Amiante Avant vente - Obligation pour l ancien l propriétaire de repérer rer les matériaux accessibles contenant de l amiante l et leur état de dégradation. d - Responsabilité de la part du nouveau propriétaire d effectuer des travaux de protection ou d enld enlèvement en cas de dégradationd Avant travaux - Obligation de repérer rer tous les matériaux concernés s par les travaux Avant DémolitionD - Obligation de repérer rer et désamianter d complètement avant démolitiond 27

28 4. Réglementation R Repérage et Chantiers Diagnostic avant vente 28

29 4. Réglementation R Repérage et Chantiers Chantier de désamiantage: des précautions drastiques - Confinement de la zone de travaux - Sas d entrées du matériel et du personnel - Protection maximale - Surveillance approfondie de la contamination de fibres dans les sas, à l extérieur de la zone, à l intérieur de la zone. Un chantier de désamiantage est extrêmement coûteux par rapport à un chantier classique, et n est pas sans risques pour les travailleurs et la population environnante. Ex: Jussieu, coût total de 1.5 Milliard d Euros entre 1998 et

30 Confinement de la zone - Total pour matériaux friables (flocages, etc..) - Partiel pour matériaux non- friables (dalles de sol, fibrociments) - Zone en dépression par rapport à l extérieur pour éviter les fuites 4. Réglementation R Repérage et Chantiers 30

31 Sas de décontamination - Sas Personnel Plusieurs sas de dépôts des déchets, d d enlèvement de combinaison, de douche - Sas Matériel Plusieurs sas de nettoyage 4. Réglementation R Repérage et Chantiers 31

32 4. Réglementation R Repérage et Chantiers En résumr sumé: La réglementation r à partir de 1996 a imposé un contrôle très s strict de l Amiante l qui a été massivement utilisé dans le bâtiment en France. Des diagnostics Amiante se sont multipliés s dans tous les bâtiments construits avant Un marché considérable de chantiers de désamiantage s est s développd veloppé,, extrêmement onéreux et non sans risques sanitaires. 32

33 5. Méthodes M d analyses d de l amiante Prélèvement et Analyse de l amiante l dans l Air l pour surveiller l él état de dégradation des matériaux, détecter d des pollutions surveiller les chantiers de désamiantaged Analyse de l amiante l dans des échantillons de matériaux de construction 33

34 5. Méthodes M d analyses d de Analyse des matériaux l amiante Analyse des couches fibreuses en utilisant le MOLP (Microscope Optique à Lumière Polarisée) Analyse des couches non fibreuses et des fibres de petite taille par META (Microscope Électronique à Transmission Analytique) 34

35 Schéma d un d MOLP 5. Méthodes M d analyse d de l amiante - Eclairage de Koehler - Condenseur - Plateau - Objectif - Loupe Binoculaire 35

36 5. Méthodes M d analyse d de Principe de la technique MOLP l amiante - Observation de différentes propriétés optiques lorsqu un un minéral est traversé par une lumière polarisée Couleur et pléochro ochroïsme Biréfringence Angles d extinctiond Signe d allongementd Teintes de dispersion 36

37 5. Méthodes M d analyse d de l amiante Limites du MOLP - Résolution: ne permet pas de voir les fibres de diamètre <0,2 µm. - Les couleurs sont quelquefois difficiles à voir avec certaines matrices. Pour aller plus loin, une analyse META est indispensable pour certains échantillons. 37

38 5. Méthodes M d analyse d de l amiante Principe de la technique MET Propriétés s d un d faisceau électronique qui rencontre un minéral: différents électrons et rayons réér éémis 38

39 5. Méthodes M d analyse d de l amiante Schéma d un d MET - Canon contient le Filament à partir duquel est créé un faisceau d éd électrons à très s haute tension (100 KV) - Colonne contient les lentilles magnétiques qui condensent le faisceau et agrandissent l imagel - Caméra contient l él écran fluorescent sur lequel vient se poser le faisceau transmis 39

40 5. Méthodes M d analyse d de l amiante 40

41 41

42 5. Méthodes M d analyse d de l amiante Identification des différentes fibres d amiante par MET Observation à un grandissement de Morphologie - Diffraction électronique - Analyse élémentaire Fluorescence X Les 3 propriétés s caractéristiques ristiques de chaque fibre doivent être vérifiv rifiées pour que l identification soit sans ambigüit ité 42

43 5. Méthodes M d analyse d de Morphologie des fibres d Amianted l amiante - Fibres «seules», «coupées» - Fibres en faisceaux - Fibres en agglomérat 43

44 5. Méthodes M d analyse d de l amiante 44

45 5. Méthodes M d analyses d de Analyse de l Airl Surveillance des chantiers de désamiantage: l amiante - Prélèvements MOCP pour surveiller le taux de fibres respiré par les travailleurs en zone, dans les sas, dans la base de vie, sur point fixe ou sur porteur - Prélèvements MET-AIR pour déterminer d la concentration en fibres d amiante d avant et après s travaux 45

46 5. Méthodes M d analyses d de Analyse de l Airl l amiante Analyse MOCP (Microscope optique à contraste de Phase) Prélèvement d un d volume d air d connu sur filtre en ester de cellulose disposé dans une cassette reliée à une pompe. Transparisation du filtre puis Comptage de fibres totales présentes dans la poussière sur une surface donnée à l aide d un d MOCP. On en déduit duit une concentration en fibres dans l air l en f/cm3 46

47 5. Méthodes M d analyse d de Règles de Comptage MOCP l amiante - Comptage à l intérieur d un d réticule r (surface délimitée e avec repères res de longueur). En général, g on choisit 100 réticules r répartis r uniformément ment sur tout le filtre. - Définition d une d fibre: toute particule de Longueur L et de largeur l dont L/l=3 - Discrimination spécifique à la toxicité des fibres d amiante: Ne compter que les fibres de longueur L>5µm m et de largeur <3 47

48 5. Méthodes M d analyse d de l amiante Réticule MOCP 48

49 5. Méthodes M d analyse d de l amiante Seuils limites réglementairesr - Opérateur en Base vie, Sas personnel, Sas Matériel 0.1 f/cm 3 - Sur opérateur en zone (avec protection) Pas réglementaire, r dépend d du chantier. de l ordre de 10 f/cm 3 49

50 5. Méthodes M d analyse d de Limites du MOCP l amiante - Résolution: ne permet pas de voir les fibres de diamètre <0,2 µm. - Ne permet d identifier d les fibres: on compte toutes fibres confondues, amiante ou pas. Pour aller plus loin, une analyse META est indispensable. 50

51 5. Méthodes M d analyses d de Analyse de l Airl Analyse MET-Air l amiante Prélèvement d un d volume d air d connu sur filtre en ester de cellulose disposé dans une cassette reliée à une pompe munie d un d compteur volumétrique. Préparation du filtre (calcination, filtration, carbonation, transfert) suivi d un d comptage de fibres totales présentes dans la poussière sur une surface donnée. On en déduit d duit une concentration en fibres dans l air l en f/l. 51

52 5. Méthodes M d analyse d de l amiante Seuils limites réglementairesr - Diagnostic (de l él état de dégradation des matériaux) - 1 ère Restitution, 2 ème Restitution (après s travaux), 5 f/l 52

53 6. Assurance qualité Obligation pour l organisme l qui effectue les analyses d être d accrédit dité COFRAC Accréditation: Aspects traçabilit abilité et compétence 53

54 6. Assurance qualité Exigences dans toute l organisation l du laboratoire (Management Qualité): Relation client, Manutention de l échantillon, Personnel, Méthodes M d analyses, Équipements, Rédaction R et envoi des rapports d Essai, d gestion documentaire, gestion des réclamations, r non-conformit conformités, notion d amd amélioration continue. Campagnes interlaboratoires pour surveiller la compétence (HSE, INRS) 54

55 7. Perspectives Seuls 40 pays dans le monde ont interdit l Amiantel Des difficultés s pour reconnaître au niveau mondial la nocivité du Chrysotile (cf Convention de Rotterdam). 55

56 7. Perspectives Fibres de substitution à l Amiante 56

57 7. Perspectives Fibres de substitution à l Amiante - caractère re cancérig rigène certain reconnu pour les fibres céramiquesc - Pas assez de données toxicologiques pour donner un avis sur les laines de verre, de roche, etc mais moins toxique que l Amiante 57

58 Bibliographie: - «L Amiante».. Collection Gestion du risque. François Delaunay, Michel Ignace. MediaMonde,, Rapport d information d du Sénat S N 37 N par M. Gérard G Dériot,, sur le bilan et les conséquences de la contamination par l amiante, l oct Rapport de l INSERM l sur les effets sur la santé des principaux types d'exposition à l'amiante (1997) - Rapport de l INSERM l sur la santé des fibres de substitution à l'amiante (1999) - Dossier Amiante INRS. - Norme anglaise MDHS 77 (analyse MOLP) - Normes françaises aises AFNOR NFX (analyse MET), X (analyse MOCP). - Norme international, NF EN ISO (exigences des laboratoires) 58

59 Contacts TECHNIQUE Nathalie DUPONT Responsable des Essais Tel : Courriel : n.dupont@laboratoiresprotec.com COMMERCIAUX Roseline NLABA Commerciale Tel : Courriel : r.nlaba@laboratoiresprotec.com laboratoiresprotec.com Jérôme MENARD Commercial Tel : Courriel : j.menard@laboratoiresprotec.com 59

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