Secteur de la construction Québec Perspectives

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Secteur de la construction Québec Perspectives 2005 1"

Transcription

1 L OBSERVATEUR SECTORIEL Secteur de la construction Décembre 2004 Secteur de la construction Québec Perspectives Résumé des conférences annuelles de la S.C.H.L. et de la Commission de la construction du Québec

2 FAITS SAILLANTS 2004 aura été une très bonne année pour le secteur de la construction au Québec. La construction résidentielle a atteint des records et l achèvement de grands chantiers a soutenu la construction non résidentielle. La construction résidentielle dans toutes les grandes villes du Québec sauf Gatineau et Saguenay a atteint un nouveau sommet dans le présent cycle immobilier. Du côté non-résidentiel, d importants chantiers d aluminerie et d hydroélectricité ont particulièrement bénéficié les régions de la Côte-Nord, de la Baie-James et du Saguenay-Lac-St-Jean en En revanche, l Outaouais a souffert d un ralentissement de la construction commerciale et industrielle. La Mauricie-Bois-Francs a quant à elle subi un recul en raison de l achèvement de chantiers industriels et hydroélectriques. Malgré l annulation du projet Gaspésia, la Gaspésie s en est tiré avec une relative stabilité grâce à de nombreux travaux de génie reliés notamment à l installation d éoliennes. En 2005, un ralentissement relativement prononcé est attendu tant du côté construction industriel, commercial que résidentiel. Avec l achèvement du projet d aluminerie Alouette sur la Côte- Nord et de celui du barrage Eastmain à la Baie-James, ces deux régions se retrouveront en queue du palmarès en Montréal devrait également faire moins bonne figure vu la saturation dans les secteurs institutionnels, commercial et le ralentissement du côté industriel. Québec, l Estrie, et le Saguenay-Lac-Saint-Jean devraient arriver en tête de peloton grâce, respectivement, à la construction industrielle; institutionnelle et commerciale; et hydroélectrique. La Mauricie-Bois-Francs devrait se relever en 2005 vu les travaux à 2 de 9

3 la centrale au gaz de Bécancour et du lancement de nouveaux projets de centrales hydroélectriques en Mauricie. Dans le secteur de la construction résidentielle, le niveau des mises en chantier diminuera par rapport au sommet atteint en 2004 tout en demeurant relativement élevé. Le ralentissement proviendra du segment des logements collectifs, soit celui ayant soutenu le plus la croissance en 2003 et Le prix moyen des maisons à la revente augmentera, mais à un rythme moins élevé, soit entre 5 % et 10 %. Le taux d inoccupation continuera de grimper et devrait atteindre les 2 % dans la plupart des grandes villes. Emplois par secteur LA CONSTRUCTION AU QUÉBEC Quelques chiffres Industriel : Génie civil et voirie : institutionnels et commerciaux : résidentiels : emplois emplois plus de emplois emplois Produit intérieur brut Valeur au deuxième trimestre de 2004 (en millions de $ constants de 1997) : $ Croissance du PIB en : 10,9% En 2003 : 7,3% Part du PIB : 5,4% 2 Croissance sur quatre trimestre deuxième trimestre de de 9

4 CONSTRUCTION NON-RÉSIDENTIELLE Secteur industriel En 2004, d importants chantiers de construction d alumineries et de raffineries ont principalement contribué à maintenir une relative stabilité dans la construction industrielle. La fin de plusieurs projets dans le secteur des pâtes et papiers au début de 2004 a causé un recul de 75% dans ce sous-secteur. Du côté des métaux primaires et d infrastructures minières, la forte demande à l échelle mondiale et la montée des prix qui lui est associée contribuera au démarrage de plusieurs projets importants notamment de QIT Fer et Titane (489 M$), Mines Aurizon (100 M$), et Niocan (100 M$). Dans les secteurs des technologies de l information, de l électronique ainsi que des produits textiles et du cuir, on s attend à ce que les intentions d investissements soient limitées. La baisse de l activité sur le chantier Alouette à Sept-Îles causera le repli de la construction industrielle en de 9

5 Secteur commercial et institutionnel Le secteur commercial a reculé de 15 % depuis le sommet de la fin de 2001 qui atteignait 2,7 milliards de dollars. Cette baisse est généralisée à la plupart des segments soit le commerce détail, les édifices à bureaux, l hébergement et la restauration. La valeur des permis de bâtir stagne depuis La construction dans le commerce de détail est sur la voie de la saturation. De nombreuses implantations de centres de rénovation, de grands magasins incluant les Wal-Mart et les Costco et de magasins d alimentation ont déjà été réalisées. À ceci s ajoutent les investissements pour les rénovations et l agrandissement de centres commerciaux. Malgré cette saturation, plusieurs projets majeurs de mégacentres sont encore envisagés dans les Laurentides, à Laval, sur la Rive-Sud de Montréal, à Sherbrooke, Gatineau, Québec et Trois-Rivières. Aussi, de nombreux projets récréotouristiques sont sous considération. Pour ce qui est des édifices à bureaux, le taux d inoccupation au centre-ville de Montréal a grimpé à 12,5 % au deuxième trimestre de 2004, un sommet depuis le plancher de 7,1 % atteint en Ceci est bien entendu relié à livraisons d immeubles importants sur le marché (Caisse de dépôt et placement du Québec, Cité du multimédia, Cité du commerce électronique). D autres projets seront bientôt livrés soit la Phase II de la Cité du commerce électronique et le ré-aménagement d une partie des Ailes de la Mode au centreville. Ainsi, le taux d inoccupation devrait continuer d augmenter et devrait demeurer parmi les plus élevés des grandes villes canadiennes. 5 de 9

6 À Québec, où les conditions sont plus serrées, de nouveaux chantiers seraient retardés par la formule des partenariats publics privés (PPP) développée par le gouvernement. L expansion du secteur des immeubles résidentiels de plus de 6 étages 3 s est poursuivie en Ce créneau s est en effet développé de plus l an 2000 : le nombre de mises en chantier d immeubles de plus de 50 logements est passé de 21 immeubles comprenant logements, à 61 immeubles en 2003 (6 215 logements), et à 59 immeubles en 2004 (6 436 logements). En 2003, on s attend à la construction d immeubles résidentiels ralentisse quelque peu. 3 Les projets immobiliers résidentiels de plus de 6 étages sont considérés comme de la construction nonrésidentiel. 6 de 9

7 Le secteur institutionnel a battu des records en Avec 1,9 milliard d investissements, un montant similaire à celui de la construction commerciale, on a retrouvé des niveaux comparables au début des années soixante-dix alors que l infrastructure scolaire québécoise était en pleine expansion. Cette fois-ci, ce sont les universités et les hôpitaux qui ont d'ambitieux programmes d investissements pour la rénovation et l agrandissement. En 2005, l activité devrait ralentir quelque peu, mais ce ne sera que pour mieux rebondir en Les principaux projets sont imposants soit d une part l Hôtel- Dieu de Sherbrooke, les facultés de médecine de l Université Laval et de l Université de Montréal, l École de technologie supérieure (ETS), l École de gestion de l Université Concordia, et l Hôpital Sainte-Justine; quant aux mégashôpitaux montréalais, il y a aura le Centre hospitalier de l Université de Montréal et le Centre universitaire de santé McGill, qui pourrait démarrer à l automne de 9

8 CONSTRUCTION RÉSIDENTIELLE En 2005, trois facteurs pousseront la construction résidentielle à ralentir soit ; 1) une croissance modérée de l emploi; 2) les attentes de hausse des taux hypothécaires en 2004 et 2005; et 3) la montée des prix de l immobilier depuis trois ans. En revanche, deux facteurs alimenteront la croissance soit 1) les baby-boomers et les aînés changeant de mode d occupation et 2) la montée importante du bilan migratoire. Depuis 2000, la migration nette a dépassé les habitants au Québec. Ceci a bien entendu augmenté la demande principalement pour les logements locatifs. En 2005, l activité sur le marché immobilier devrait ralentir. On s attend à ce que le nombre de mises en chantier au Québec diminue de unités à unités. Cette baisse reflétera un recul plus prononcé du côté des logements collectifs que de celui d habitations individuelles. Sur le marché de la revente, le nombre de ventes devrait diminuer au niveau de 2003 soit unités. Le prix moyen des maisons existantes a augmenté de plus de 10 % en La croissance des prix est toutefois en train de ralentir. En 2005, le prix moyen devrait augmenter entre 5 % et 10 %. Dans le marché locatif à Montréal, le taux d inoccupation a augmenté à 1,5 % en 2004 et devrait atteindre les 2,0 % en Ceci indiquerait toujours une demande excédentaire par rapport à l offre. Toutefois, il est probable que le seuil d équilibre soit déjà atteint dans divers segments de marché, notamment dans celui des copropriétés de luxe. 8 de 9

9 Marché de la revente Mises en chantier PRIX MOYEN MAISONS INDIVIDUELLES p 2005p p 2005p Montréal Montréal Québec Québec Gatineau Gatineau Sherbrooke Sherbrooke Trois-Rivières Trois-Rivières Saguenay Saguenay Marché locatif Mises en chantier TAUX D INOCCUPATION LOGEMENTS COLLECTIFS p 2005p p 2005p Montréal Montréal Québec Québec Gatineau Gatineau Sherbrooke Sherbrooke Trois-Rivières Trois-Rivières Saguenay Saguenay Mises en chantier Marché de la revente TOTAL NOMBRE DE TRANSACTIONS (1) p 2005p p 2005p Montréal Montréal Québec Québec Gatineau Gatineau Sherbrooke Sherbrooke Trois-Rivières Trois-Rivières Saguenay Saguenay Source : S.C.H.L. (1) maisons individuelles 9 de 9

Le marché locatif de la RMR de Montréal

Le marché locatif de la RMR de Montréal Le marché locatif de la RMR de Montréal DAVID L HEUREUX Analyste principal de marché, SCHL Votre clientèle locative Au programme L état du marché locatif Texte Votre clientèle locative Tendances et perspectives

Plus en détail

Flash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011

Flash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011 Septembre 2011 Faits saillants Selon les données émises par la Chambre immobilière du Grand Montréal, la revente de résidences dans l agglomération de Montréal a atteint les 16 609 transactions en 2010,

Plus en détail

Québec. Société d habitation du Québec. Un portrait de la copropriété au Québec. Le bulletin d information de la société d habitation du québec

Québec. Société d habitation du Québec. Un portrait de la copropriété au Québec. Le bulletin d information de la société d habitation du québec Société d habitation du Québec HABITATION Québec Le bulletin d information de la société d habitation du québec Volume 3, numéro 4, ÉTÉ 29 Un portrait de la copropriété au Québec Par Dany Dutil CONTEXTE

Plus en détail

Endettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise

Endettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise Endettement, insolvabilité et prêts hypothécaires en souffrance : la situation québécoise Le maintien de très faibles taux d intérêt depuis la dernière récession incite les ménages canadiens à s endetter

Plus en détail

Le Baromètre MLS du marché résidentiel. Faits saillants. Province de Québec. 2 e trimestre 2010

Le Baromètre MLS du marché résidentiel. Faits saillants. Province de Québec. 2 e trimestre 2010 Province de Québec Le Baromètre MLS du marché résidentiel Faits saillants Premier ralentissement des ventes en cinq trimestres Seuls quelques centres urbains sont parvenus à être dynamiques Remontée dans

Plus en détail

Aussi dans ce numéro Les ventes de copropriétés perdent de leur élan Depuis un certain temps, la copropriété nous avait habitués à des hausses relativement soutenues des transactions MLS au Québec. Mais

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Analyse immobilière. 11985-11989 Av. Monty, Montréal, Québec. Résidentiels (60) Daniel Francoeur, B.A.A RE/MAX Alliance inc.

Analyse immobilière. 11985-11989 Av. Monty, Montréal, Québec. Résidentiels (60) Daniel Francoeur, B.A.A RE/MAX Alliance inc. 2 Analyse immobilière Résidentiels (60) 14 Fiche descriptive Immeuble # 64 SIA # 8535465 Statut Prix Type d'unités Bâtiment Terrain En vigueur Original $3 375 000 Résidentielles 60 Isolé x Façade (p) 179,0

Plus en détail

Prévisions économiques

Prévisions économiques Prévisions économiques 2014 2015 Prévisions économiques 2014-2015 : Faits saillants Considérant les tendances des mises en chantier résidentielles actuelles ainsi qu un ensemble de facteurs, l Association

Plus en détail

Le présent chapitre porte sur l endettement des

Le présent chapitre porte sur l endettement des ENDETTEMENT DES MÉNAGES 3 Le présent chapitre porte sur l endettement des ménages canadiens et sur leur vulnérabilité advenant un choc économique défavorable, comme une perte d emploi ou une augmentation

Plus en détail

Investissements et R & D

Investissements et R & D Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités

Plus en détail

Ensemble des secteurs

Ensemble des secteurs Le ralentissement se confirme en 15 L année 14 marque la deuxième année de repli de l activité dans la construction assujettie à la Loi R-. Le volume de travail s établit à 152 millions d heures travaillées,

Plus en détail

Essence ordinaire PRIX MOYEN AFFICHÉ

Essence ordinaire PRIX MOYEN AFFICHÉ PRIX MOYEN AFFICHÉ 2014 Prix moyen affiché - hebdomadaire janvier à mars page 2 avril à juin page 3 juillet à septembre page 4 octobre à décembre page 5 Prix moyen affiché - mensuel janvier à décembre

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

Q1 Quel est votre sexe?

Q1 Quel est votre sexe? Q1 Quel est votre sexe? Répondues : 458 Ignorées : 0 Homme Femme Homme Femme 18,56% 85 81,44% 373 Total 458 1 / 11 Q2 Quel est votre âge? Répondues : 458 Ignorées : 0 18-24 ans 25-34 ans 35-44 ans 45-54

Plus en détail

Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours.

Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un siècle, il y a 100 ans. Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un trimestre, il y a 3 mois.

Plus en détail

Graphique 3 Le marché des copropriétés existantes est nettement excédentaire

Graphique 3 Le marché des copropriétés existantes est nettement excédentaire 9 janvier 1 Cycle de l immobilier résidentiel au Québec : bien différent de celui du Canada L an dernier, le marché de l habitation au pays a continué de défier à la hausse les pronostics tant au niveau

Plus en détail

PAULINE DUPUIS, ÉCONOMISTE DIRECTION DE LA RECHERCHE ET DE LA DOCUMENTATION. Présentation à l ABQ Le 24 février 2015

PAULINE DUPUIS, ÉCONOMISTE DIRECTION DE LA RECHERCHE ET DE LA DOCUMENTATION. Présentation à l ABQ Le 24 février 2015 PAULINE DUPUIS, ÉCONOMISTE DIRECTION DE LA RECHERCHE ET DE LA DOCUMENTATION Présentation à l ABQ Le 24 février 215 Légère amélioration de la croissance prévue pour 215 Principaux indicateurs économiques

Plus en détail

Secteur de la construction au Canada

Secteur de la construction au Canada PIB en G$ CAD Survol des tendances de l industrie Secteur de la construction au Canada Principaux développements T2/214 214 Le PIB réel a atteint un sommet de 1 69 millions de dollars canadiens en novembre

Plus en détail

Population de la «Ville de Trois-Rivières» (Code géographique : 37067)

Population de la «Ville de Trois-Rivières» (Code géographique : 37067) Population de la «Ville de Trois-Rivières» (Code géographique : 37067) En 2015 Décret 1060-2014 concernant la population des municipalités pris le 3 décembre 2014 par le gouvernement du Québec. Publié

Plus en détail

travail MRC Vaudreuil-Soulanges Recensement 2006 Présenté par Hubert Létourneau Le 28 janvier 2009

travail MRC Vaudreuil-Soulanges Recensement 2006 Présenté par Hubert Létourneau Le 28 janvier 2009 Lemarché du travail MRC Vaudreuil-Soulanges Recensement 2006 Présenté par Hubert Létourneau Le 28 janvier 2009 600, boul. Casavant Est, Saint-Hyacinthe (Québec) J2S 7T2 450 773-7463 Plan de la présentation

Plus en détail

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme

Plus en détail

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015

Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel. Janvier 2015 Observatoire Crédit Logement / CSA du Financement des Marchés Résidentiels Tableau de bord mensuel Janvier 2015 Avertissement : les indicateurs mensuels repris dans le «Tableau de bord» ne deviennent définitifs

Plus en détail

Les groupes de médecine familiale (GMF) Sondage Omniweb. Dossier 70902-019 21 septembre 2012

Les groupes de médecine familiale (GMF) Sondage Omniweb. Dossier 70902-019 21 septembre 2012 Les groupes de médecine familiale (GMF) Sondage Omniweb Dossier 70902-019 21 septembre 2012 La méthodologie 6 Le profil des répondants 9 L analyse détaillée des résultats 10 Conclusions stratégiques

Plus en détail

Service Analyse du marché Fédération des chambres immobilières du Québec Mai 2010

Service Analyse du marché Fédération des chambres immobilières du Québec Mai 2010 Service Analyse du marché Fédération des chambres immobilières du Québec Mai 2010 Ce texte reprend les faits saillants du rapport Perspectives démographiques du Québec et des régions, 2006-2056 Édition

Plus en détail

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success. Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien

Plus en détail

RÉGION ADMINISTRATIVE DU BAS-SAINT-LAURENT

RÉGION ADMINISTRATIVE DU BAS-SAINT-LAURENT Volume 9 / Région 1 RÉGION ADMINISTRATIVE DU BAS-SAINT-LAURENT Survol et prévisions économiques Août 214 Études régionales, Août 214 Volume 9 / Région 1 www.desjardins.com/economie Tableau 1 Principaux

Plus en détail

Le marché du logement. économique du Canada

Le marché du logement. économique du Canada Le marché du logement et la relance économique du Canada Janvier 2012 www.fcm.ca Préparé pour la FCM par Steve Pomeroy, Focus Consulting Inc. /Centre d étude en gouvernance, Université d Ottawa La Fédération

Plus en détail

La Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif

La Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif Ivry, le 27 février 2014 La Fnac progresse en 2013 : Résultat opérationnel courant en progression de 13% Résultat net positif Progression du résultat opérationnel courant à 72 m (+13,3%) Résultat net positif

Plus en détail

Burkina Faso Profil pays EPT 2014

Burkina Faso Profil pays EPT 2014 Burkina Faso Profil pays EPT 14 Contexte général Situé au cœur de l Afrique occidentale, dans la boucle du Niger, le Burkina Faso est l un pays des pays les plus peuplés de la sous-région Ouest-africaine

Plus en détail

RÉGIONS ADMINISTRATIVES

RÉGIONS ADMINISTRATIVES RÉGIONS ADMINISTRATIVES 01 Bas-Saint-Laurent 02 Saguenay Lac-Saint-Jean 03 Capitale-Nationale 04 Mauricie 05 Estrie 06 Montréal 07 Outaouais 08 Abitibi-Témiscamingue 09 Côte-Nord 10 Nord-du-Québec 11 Gaspésie

Plus en détail

Electricité - Plomberie

Electricité - Plomberie Electricité - Plomberie 2014-2015 Cette analyse a été réalisée avec les données statistiques de la FCGA et de l ANPRECEGA, membres de l UNPCOGA, et de la base DIANE du Bureau Van Dijk. Sommaire Sommaire

Plus en détail

Cinq ans après le début de la crise financière, l économie

Cinq ans après le début de la crise financière, l économie 52 5 L immobilier d entreprise allemand et les investisseurs Par Marcus Cieleback, directeur de recherche, PATRIZIA Immobilien AG. 5.1/ SITUATION GÉNÉRALE Cinq ans après le début de la crise financière,

Plus en détail

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière à la Vice-présidence à la sécurité routière.

Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière à la Vice-présidence à la sécurité routière. Le présent bilan a été préparé par la Direction des études et des stratégies en sécurité routière à la Vice-présidence à la sécurité routière. Vice-présidente : Directrice : Coordonnateur et rédacteur

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée

Plus en détail

Effet «La Marseillaise»

Effet «La Marseillaise» DTZ Research PROPERTY TIMES Effet «La Marseillaise» Marseille Bureaux T4 214 1 Février 215 Sommaire Contexte économique 2 Demande placée et valeurs locatives 3 Offre 4 Définitions 5 Le marché marseillais

Plus en détail

Geoffroy Ménard, agr.

Geoffroy Ménard, agr. Geoffroy Ménard, agr. Photo: IGA Projet réalisé dans le cadre du Programme d appui à la mise en marché des produits biologiques (volet 1) du Ministère de l'agriculture, des Pêcheries et de l'alimentation

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

RISK INDEX 2014 SUISSE

RISK INDEX 2014 SUISSE RISK INDEX SUISSE L indice de risque a été conçu par Intrum Justitia. Depuis 1998, Intrum Justitia recense les données de dizaines de milliers d entreprises européennes. Le premier rapport portant sur

Plus en détail

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire

Tests de sensibilité des projections aux hypothèses démographiques et économiques : variantes de chômage et de solde migratoire CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 16 décembre 2014 à 14 h 30 «Actualisation des projections» Document N 5 Document de travail, n engage pas le Conseil Tests de sensibilité des projections

Plus en détail

Fonds d action québécois pour le développement durable (FAQDD) Mai 2007 CRE-GIM

Fonds d action québécois pour le développement durable (FAQDD) Mai 2007 CRE-GIM Fonds d action québécois pour le développement durable (FAQDD) Mai 2007 CRE-GIM Plan de présentation Mission du FAQDD Programmation III Programme Actions en développement durable Programme Partenariat

Plus en détail

L ÉCONOMIE AU 3 E TRIMESTRE 2009

L ÉCONOMIE AU 3 E TRIMESTRE 2009 L ÉCONOMIE AU 3 E TRIMESTRE 2009 Une publication de la Communauté métropolitaine de Québec La Communauté métropolitaine de Québec (CMQ), en partenariat avec le Bureau de la Capitale-Nationale et la Conférence

Plus en détail

Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013

Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Daniel Denis kpmg.ca L environnement externe ÉCONOMIE CONSOMMATEUR TECHNOLOGIE DÉMOGRAPHIE Secteur de l assurance

Plus en détail

Le risque de négociation dans la gouvernance des régimes de retraite

Le risque de négociation dans la gouvernance des régimes de retraite dans la des Professeur au département des relations industrielles Université Laval frederic.hanin@rlt.ulaval.ca 30 mars 2015 - InterContinental Montréal, 14h10 Introduction Cette communication porte sur

Plus en détail

La formation professionnelle et technique au Québec

La formation professionnelle et technique au Québec Version 2010 La formation professionnelle et technique au Québec Un aperçu Gouvernement du Québec Ministère de l'éducation, du Loisir et du Sport, 2010 ISBN ISBN ISSN ISSN 978-2-550-59660-8 (imprimé) 978-2-550-59661-5

Plus en détail

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1 Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada

Plus en détail

LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN VOLUME 4 NUMÉRO 9 AVEC LA COLLABORATION DE

LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN VOLUME 4 NUMÉRO 9 AVEC LA COLLABORATION DE LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN VOLUME 4 NUMÉRO 9 AVEC LA COLLABORATION DE 2 2014, CEFRIO NETendances LES SERVICES BANCAIRES EN LIGNE : LA MOBILITÉ GAGNE DU TERRAIN TABLE

Plus en détail

PERSPECTIVES SECTORIELLES 2013-2015 NOUVEAU-BRUNSWICK

PERSPECTIVES SECTORIELLES 2013-2015 NOUVEAU-BRUNSWICK PERSPECTIVES SECTORIELLES 2013-2015 NOUVEAU-BRUNSWICK Hiver 2014 P a g e 1 TABLE DES MATIÈRES ACRONYMES... 2 LISTE DES ILLUSTRATIONS... 2 LISTE DES TABLEAUX... 2 À PROPOS DE PERSPECTIVES SECTORIELLES...

Plus en détail

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai

La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai 25-5-27 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - mai 25 La confiance des chefs d entreprise continue de se renforcer en mai Le baromètre de

Plus en détail

Monnaie, banques, assurances

Monnaie, banques, assurances Monnaie, banques, assurances Panorama La politique monétaire de la Banque nationale suisse en 2013 En 2013, la croissance de l économie mondiale est demeurée faible et fragile. En Europe, les signes d

Plus en détail

BILAN ROUTIER 2014. Société de l assurance automobile du Québec

BILAN ROUTIER 2014. Société de l assurance automobile du Québec BILAN ROUTIER 2014 Société de l assurance automobile du Québec SAAQ BILAN ROUTIER 2014 1 SOMMAIRE IL Y A EU 336 DÉCÈS SUR LES ROUTES EN 2014, SOIT 55 DE MOINS QU EN 2013, CE QUI REPRÉSENTE UNE DIMINUTION

Plus en détail

Informations relatives à la perception des droits de scolarité et des frais afférents - Automne 2014

Informations relatives à la perception des droits de scolarité et des frais afférents - Automne 2014 Informations relatives à la perception des droits de scolarité et des frais afférents - Automne 2014 Le Gouvernement du Québec fixe le coût des droits de scolarité que chaque université doit faire payer

Plus en détail

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL

Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Coup d œil sur l assurance prêt hypothécaire de la SCHL Au Canada, en vertu de la loi, les prêteurs assujettis à la réglementation fédérale et la plupart des institutions financières assujetties à une

Plus en détail

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique

Amundi Immobilier. Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 2013. Tendances. Le contexte macroéconomique Trimestriel 27 Janvier 214 nº2 Le marché de l immobilier en France 4 e trimestre 213 Tendances > Progressif redémarrage de l activité attendue au 4 e trimestre 213, mais l évolution du PIB devrait rester

Plus en détail

Grégory Bressolles L E-MARKETING

Grégory Bressolles L E-MARKETING Grégory Bressolles L E-MARKETING Conseiller éditorial : Christian Pinson Dunod, Paris, 2012 ISBN 978-2-10-057045-4 SOMMAIRE Avant-propos 5 CHAPITRE 1 Qu est-ce que l e-marketing? I COMMENT INTERNET A-T-IL

Plus en détail

Logement 2012 : Le jeu risqué de la SCHL

Logement 2012 : Le jeu risqué de la SCHL Institut de recherche et d informations socio-économiques Juin 212 Note socio-économique Logement 212 : Le jeu risqué de la SCHL Le marché du logement locatif est embourbé dans une double crise depuis

Plus en détail

FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES

FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES Octobre 2011 Gabriela TURCATTI Jordi GUILLO SOMMAIRE IMMOBILIER SUISSE 3 CATÉGORIES L immobilier résidentiel 4 L immobilier commercial 5 L immobilier de bureau 5

Plus en détail

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons

L énergie en France et en Allemagne : comparaisons L énergie en France et en Allemagne : comparaisons En matière de consommation d énergie, de structure du système électrique, de recours aux énergies renouvelables, d émission de gaz à effet de serre, les

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

DÉCLARATION D INTENTION

DÉCLARATION D INTENTION Association pour le Développement de la Recherche et de l Innovation du Québec Réseau Conseil en Technologie et en Innovation TROUSSE DU CONSEILLER PRIVÉ (version à jour au 19 janvier 2015) DÉCLARATION

Plus en détail

Mobile : 15% de part de marché, 3 ans seulement après le lancement

Mobile : 15% de part de marché, 3 ans seulement après le lancement RESULTATS ANNUELS 2014 Paris, le 12 mars 2015 16 millions d abonnés (fixes et mobiles) Mobile : 15% de part de marché, 3 ans seulement après le lancement Chiffre d affaires dépassant pour la première fois

Plus en détail

Rapport annuel 2013 2014. Sommaire des projets de formation réalisés pour l année 2013 2014. www.crepic.ca

Rapport annuel 2013 2014. Sommaire des projets de formation réalisés pour l année 2013 2014. www.crepic.ca Rapport annuel 2013 2014 Sommaire des projets de formation réalisés pour l année 2013 2014 www.crepic.ca Table des matières MEMBRES DU COMITÉ DE GESTION... 4 STATISTIQUES SUR DIFFÉRENTES RECHERCHES DES

Plus en détail

Résultats 2014 du groupe ERAMET en amélioration

Résultats 2014 du groupe ERAMET en amélioration Paris, le 20 février 2015 COMMUNIQUE DE PRESSE Résultats 2014 du groupe ERAMET en amélioration Un renforcement substantiel des gains de productivité et une nette progression des résultats en 2014 par rapport

Plus en détail

BAUX DE LOCATION D ESPACES OCCUPÉS PAR LA COMMISSION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL

BAUX DE LOCATION D ESPACES OCCUPÉS PAR LA COMMISSION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL Paragraphe 27 e de l'article 4 du Règlement sur la diffusion DIVULGATION DES RENSEIGNEMENTS RELATIFS AUX DÉPENSES BAUX DE LOCATION D ESPACES OCCUPÉS PAR LA COMMISSION DE LA SANTÉ ET DE LA SÉCURITÉ DU TRAVAIL

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part

Exercices Alternatifs. Une fonction continue mais dérivable nulle part Eercices Alternatifs Une fonction continue mais dérivable nulle part c 22 Frédéric Le Rou (copyleft LDL : Licence pour Documents Libres). Sources et figures: applications-continues-non-derivables/. Version

Plus en détail

PERSPECTIVES SECTORIELLES 2013-2015 CAPITALE-NATIONALE

PERSPECTIVES SECTORIELLES 2013-2015 CAPITALE-NATIONALE PERSPECTIVES SECTORIELLES 2013-2015 CAPITALE-NATIONALE Automne 2013 P a g e 1 Auteur Daniel Marois, économiste Service Canada Région de la Capitale-Nationale Téléphone : 418-681-2599, poste 2120; 1-866-299-5650

Plus en détail

Étude sur les dépenses des étudiants universitaires

Étude sur les dépenses des étudiants universitaires Rapport final Étude sur les dépenses des étudiants universitaires Projet 13574-010 Décembre 2010 507, place d Armes, bureau 700 Montréal (Québec) H2Y 2W8 Téléphone : 514-982-2464 Télécopieur : 514-987-1960

Plus en détail

Des dividendes élevés, synonymes d une forte croissance des bénéfices futurs

Des dividendes élevés, synonymes d une forte croissance des bénéfices futurs Des dividendes élevés, synonymes d une forte croissance des bénéfices futurs Plus le taux de versement des dividendes est élevé, plus les anticipations de croissance des bénéfices sont soutenues. Voir

Plus en détail

Le secteur canadien du logement

Le secteur canadien du logement Discours prononcé par Mark Carney gouverneur de la Banque du Canada Chambre de commerce de Vancouver Vancouver (Colombie-Britannique) le 15 juin 2011 LE TEXTE PRONONCÉ FAIT FOI Le secteur canadien du logement

Plus en détail

La publication, au second

La publication, au second Les entreprises industrielles françaises de plus en plus impliquées dans les NTIC Malgré l adoption accélérée des différents outils des nouvelles technologies de l information et de la communication (NTIC)

Plus en détail

L ÉLECTRIFICATION DU TRANSPORT INDIVIDUEL LE SAVEZ-VOUS?

L ÉLECTRIFICATION DU TRANSPORT INDIVIDUEL LE SAVEZ-VOUS? L ÉLECTRIFICATION DU TRANSPORT INDIVIDUEL LE SAVEZ-VOUS? L ÉLECTRIFICATION DU TRANSPORT INDIVIDUEL L électricité est appelée à jouer un rôle de plus en plus important dans les transports collectifs et

Plus en détail

Parlons assurance. Taux de prime

Parlons assurance. Taux de prime Parlons assurance Taux de prime 2011 La Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) fournit un service d assurance essentiel aux entreprises établies au Québec. Cette assurance obligatoire

Plus en détail

L élaboration de ce dossier a été coordonnée par le Pôle commerce extérieur de la Direction générale du Trésor, avec les contributions des

L élaboration de ce dossier a été coordonnée par le Pôle commerce extérieur de la Direction générale du Trésor, avec les contributions des L élaboration de ce dossier a été coordonnée par le Pôle commerce extérieur de la Direction générale du Trésor, avec les contributions des sous-directions Diagnostic et prévisions, Financement international

Plus en détail

Parlons assurance. Taux de prime

Parlons assurance. Taux de prime Parlons assurance Taux de prime 2010 La Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) fournit un service d assurance essentiel aux entreprises établies au Québec. Cette assurance obligatoire

Plus en détail

ASSURANCE PRÊT HYPOTHÉCAIRE POUR PROPRIÉTAIRES-OCCUPANTS VISANT À FAVORISER LA PRODUCTION DE LOGEMENTS INDIVIDUELS ABORDABLES

ASSURANCE PRÊT HYPOTHÉCAIRE POUR PROPRIÉTAIRES-OCCUPANTS VISANT À FAVORISER LA PRODUCTION DE LOGEMENTS INDIVIDUELS ABORDABLES ASSURANCE PRÊT HYPOTHÉCAIRE POUR PROPRIÉTAIRES-OCCUPANTS VISANT À FAVORISER LA PRODUCTION DE LOGEMENTS INDIVIDUELS ABORDABLES Assurance SCHL pour propriétaires-occupants s appliquant aux logements individuels

Plus en détail

L immobilier commercial. Un catalyseur de la transformation des entreprises et de l amélioration de la rentabilité

L immobilier commercial. Un catalyseur de la transformation des entreprises et de l amélioration de la rentabilité L immobilier commercial Un catalyseur de la transformation des entreprises et de l amélioration de la rentabilité Contenu L immobilier commercial repose sur des bases solides...2 L écart de productivité

Plus en détail

LES ADULTES QUÉBÉCOIS TOUJOURS TRÈS ACTIFS SUR LES MÉDIAS SOCIAUX VOLUME 4 NUMÉRO 1 AVEC LA COLLABORATION DE

LES ADULTES QUÉBÉCOIS TOUJOURS TRÈS ACTIFS SUR LES MÉDIAS SOCIAUX VOLUME 4 NUMÉRO 1 AVEC LA COLLABORATION DE LES ADULTES QUÉBÉCOIS TOUJOURS TRÈS ACTIFS SUR LES MÉDIAS SOCIAUX VOLUME 4 NUMÉRO 1 AVEC LA COLLABORATION DE TABLE DES MATIÈRES FAITS SAILLANTS... 4 UTILISATION DES MÉDIAS SOCIAUX... 5 Progression chez

Plus en détail

Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux

Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de réseaux locaux de services de santé et de services sociaux PREMIÈRE SESSION TRENTE-SEPTIÈME LÉGISLATURE Projet de loi n o 25 (2003, chapitre 21) Loi sur les agences de développement de et de services sociaux Présenté le 11 novembre 2003 Principe adopté le 10 décembre

Plus en détail

La dégringolade des marchés financiers et les assureurs

La dégringolade des marchés financiers et les assureurs GUYLAINE POTTIER CONSULTANTE EN ASSURANCE AUUDDI ITT EETT COONNSSEEI ILL UNNEE EEXXPPEERRTTI ISSEE OOBBJ JEECCTTI IVVEE AAUU SSEEUULL BBEENNEEFFI ICCEE DDEESS EENNTTRREEPPRRI ISSEESS Pibrac, le 5 novembre

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

REQUÊTE INTRODUCTIVE D'INSTANCE PRÉCISÉE

REQUÊTE INTRODUCTIVE D'INSTANCE PRÉCISÉE CANADA PROVINCE DE QUÉBEC DISTRICT DE MONTRÉAL No.: 500-06-000158-028 (Recours Collectif) C O U R S U P É R I E U R E ASSOCIATION POUR L ACCÈS À L AVORTEMENT Demanderesse c. PROCUREUR GÉNÉRAL DU QUÉBEC

Plus en détail

BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014

BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 BILAN ÉCONOMIQUE PRÊT-À-PORTER FÉMININ 1 ER SEMESTRE 2014 INTERVENANTS Daniel Wertel, Président de la Fédération Française du Prêt à Porter Féminin François-Marie Grau, Secrétaire Général de la Fédération

Plus en détail

HYBRIDATION ET ÉLECTRIFICATION DES TRANSPORTS COLLECTIFS AU QUÉBEC: Les projets s implantent-ils?

HYBRIDATION ET ÉLECTRIFICATION DES TRANSPORTS COLLECTIFS AU QUÉBEC: Les projets s implantent-ils? HYBRIDATION ET ÉLECTRIFICATION DES TRANSPORTS COLLECTIFS AU QUÉBEC: Le 31 mai 2012 Forum URBA 2015 Les projets s implantent-ils? Notre expertise fait votre force J avais un problème!! Accumulation d énergie

Plus en détail

LA ROUMANIE en bref. Mars - Avril 2014

LA ROUMANIE en bref. Mars - Avril 2014 LA ROUMANIE en bref Mars - Avril 2014 Une économie dynamique 7ème pays de l UE en termes de population 2ème dans l Europe Centrale et orientale PRINCIPAUX INDICATEURS Population : 19 millions habitants

Plus en détail

DÉPENSES PERSONELLES. S M L W Structure

DÉPENSES PERSONELLES. S M L W Structure Révisé: le 2 novembre, 2005 TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU LE MOINS ÉLEVÉ (S) (basé sur FND013.TTL) TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU MOYEN (M) (basé sur FND037.TTL) Titre et code séquentiel au niveau

Plus en détail

Portrait statistique de la population de représentant en épargne collective au Québec

Portrait statistique de la population de représentant en épargne collective au Québec Portrait statistique de la population de représentant en épargne collective au Québec Par Alexandre Moïse 1 Marie Hélène Noiseux 2 1-Alexandre Moïse, B.Gest., M.Sc.A., Chercheur à l'université du Québec

Plus en détail

La CSST a besoin de l avis d un autre professionnel de la santé : ce qu il faut savoir. www.csst.qc.ca

La CSST a besoin de l avis d un autre professionnel de la santé : ce qu il faut savoir. www.csst.qc.ca À L INTENTION DES TRAVAILLEUSES ET DES TRAVAILLEURS La CSST a besoin de l avis d un autre professionnel de la santé : ce qu il faut savoir. www.csst.qc.ca Vous avez subi un accident du travail, vous souffrez

Plus en détail

Communiqué de presse. Le 5 novembre 2014

Communiqué de presse. Le 5 novembre 2014 Communiqué de presse Le 5 novembre 2014 Alstom : niveau record de commandes et amélioration de la profitabilité au premier semestre 2014/15, Etapes clés franchies dans le projet avec General Electric Dans

Plus en détail

Quand et où est disponible le service Accueil Plus?

Quand et où est disponible le service Accueil Plus? FOIRE AUX QUESTIONS ACCUEIL PLUS ET AEEA 2011 (version française) Quand et où est disponible le service Accueil Plus? J arrive à Montréal avant ou après la période du 5 août au 3 septembre 2011, est-ce

Plus en détail

Chiffre d affaires au 30 juin 2015. Conférence téléphonique du 27 juillet 2015

Chiffre d affaires au 30 juin 2015. Conférence téléphonique du 27 juillet 2015 Chiffre d affaires au 30 juin 2015 Conférence téléphonique du 27 juillet 2015 Faits marquants du 1er semestre 2015 CA hors IFRIC 12 : + 3,2 % à change constant à 220,2 M (vs. 213,4 M au 30 juin 2014) Bon

Plus en détail

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d

Plus en détail

DIAGNOSTIC SECTORIEL DE LA MAIN-D ŒUVRE DU COMMERCE DE DÉTAIL AU QUÉBEC 2012-2015

DIAGNOSTIC SECTORIEL DE LA MAIN-D ŒUVRE DU COMMERCE DE DÉTAIL AU QUÉBEC 2012-2015 Pour vous éclairer dans le commerce de détail Comité sectoriel de main-d oeuvre du commerce de détail 550, rue Sherbrooke Ouest Bureau 590, tour Ouest Montréal (Québec) H3A 1B9 T 514 (1-888) 393-0222 C

Plus en détail

DEUX-SÈVRES. F é v r i e r 2015. Viséo 79,

DEUX-SÈVRES. F é v r i e r 2015. Viséo 79, Viséo 79, L O B S E R VAT O I R E D É PA R T E M E N TA L F é v r i e r 2015 L ÉQUIPEMENT EN DE LA PERSONNE DEUX-SÈVRES Chambre de Commerce et d Industrie des Deux-Sèvres Observatoire Economique, Viséo

Plus en détail

Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes

Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de

Plus en détail

Constructions Cadolto.

Constructions Cadolto. La technologie de construction modulaire Cadolto La fascination de la construction modulaire Constructions Cadolto. Constructions Cadolto. La fascination de la construction modulaire La fascination de

Plus en détail