RAPPORT DE SYNTHESE 2 ème séminaire sous régional sur la criminalité transnationale de Dakar 1er-3 octobre 2014

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "RAPPORT DE SYNTHESE 2 ème séminaire sous régional sur la criminalité transnationale de Dakar 1er-3 octobre 2014"

Transcription

1 RAPPORT DE SYNTHESE 2 ème séminaire sous régional sur la criminalité transnationale de Dakar 1er-3 octobre 2014 Depuis plusieurs années, l Afrique de l ouest est la cible d intenses et violentes activités liées à la criminalité et aux trafics en tous genres. Cette criminalité dépasse les frontières, tant au stade de la préparation de l infraction qu au stade de sa commission. Le caractère transversal et transnational de la criminalité appelle donc une réponse concertée et intégrée afin que les criminels n aient plus «ce temps d avance» sur les autorités politiques et judiciaires. Car la lutte contre le crime s inscrit bien dans une stratégie globale, celle de la lutte contre l impunité. Une solide stratégie de lutte contre la criminalité transnationale suppose donc d œuvrer à une culture du dialogue et de la coopération internationale. Or cette coopération internationale repose sur la bonne compréhension des outils, la bonne connaissance des mécanismes existants et l acquisition des réflexes sur leur utilisation par les différents acteurs. Cette exigence d appropriation des instruments est certainement l un des principaux fils conducteurs des échanges qui se sont déroulés durant trois jours, à Dakar, à l initiative de l AIPPF, en partenariat avec le ministère de la justice du Sénégal, et avec le soutien actif de l Organisation internationale de la Francophonie. Le séminaire a accueilli des représentants des organisations internationales et régionales, des procureurs, des officiers de police judiciaire de plusieurs pays de la sous-région et de l Afrique centrale :

2 Bénin Burkina Faso, Côte d Ivoire, Cameroun, Mali, Mauritanie, Sénégal, Tchad et Togo ; ainsi que du Canada et de la France. Ce séminaire, qui se déroule dix mois à peine après la première réunion de Bamako qui portait sur la criminalité transnationale organisée en Afrique de l ouest, est destiné à poursuivre la réflexion entamée en évaluant, notamment, les recommandations adoptées à Bamako et en recensant les bonnes pratiques des Etats membres dans le champ de la lutte contre le crime et le terrorisme. 1. Sur le fond, l objectif de cette rencontre était notamment de réfléchir à : - la structuration et la rationalisation du cadre conventionnel de lutte contre le crime au niveau sous régional en insistant sur la nécessaire ratification des textes ; - la nécessité d adapter les législations nationales pour anticiper au maximum et prévenir la survenance de la criminalité ; - l appropriation, des instruments et structures pertinentes par les professionnels ; Ces trois niveaux de préoccupations doivent servir l efficacité des structures et cadres juridiques existants et favoriser la mise en place de dispositifs nationaux performants. 2. En conséquence, et après un éclairage sur les évolutions de la criminalité organisée et du terrorisme en Afrique de l ouest à travers les exposés d Interpol et de Francopol, plusieurs thèmes et cas pratiques ont été abordés et des ateliers ont été organisés.

3 Le premier thème concernait le crime organisé (les textes, l organisation judiciaire et les techniques d investigation) et a permis d exposer les caractéristiques des législations françaises, canadiennes et de la sousrégion ouest-africaine tant sur le plan de leur adaptation à la criminalité organisée que sur le plan de l organisation des structures judiciaires. Trois cas pratiques en matière de trafic d êtres humains, de trafic d arme, de trafic de stupéfiants ou de contrefaçons, illustrant cette problématique, ont ensuite montré l importance de la collaboration avec Interpol, pour appuyer les autorités nationales dans la lutte contre le crime. Le deuxième thème portait plus particulièrement sur les aspects spécifiques de la lutte contre le terrorisme. Les présentations ont mis en évidence, pour lutter efficacement contre le terrorisme, la nécessaire centralisation pour favoriser notamment l échange d information ; la collaboration indispensable des acteurs entre eux ; et l adaptation des législations nationales et des structures judiciaires et policières. Puis les délégués se sont répartis dans quatre ateliers qui avaient pour thème : - atouts et faiblesses des législations de lutte contre le terrorisme et le crime organisé en Afrique de l ouest ; - la collaboration police-justice (au niveau interne et international) ; - atouts et faiblesses de l organisation judiciaire pour lutter efficacement contre le terrorisme ; - la coopération policière et judiciaire internationale, notamment par la constitution de réseaux Le troisième thème a permis d aborder les aspects financiers du crime organisé et du terrorisme. Un bilan des législations nationales sur la lutte

4 contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme, et plus largement, sur les structures mises en place, a été présenté par chaque délégation. Le GIABA, institution spécialisée de la CEDEAO, ses missions et ses réalisations dans la lutte contre le blanchiment des capitaux ont ensuite été présentés. Deux cas pratiques ont été exposés en guise d illustration. A travers des actions criminelles en Mauritanie et au Nigeria, ils ont montré la grande variété des sources de financement des activités terroristes (par le commerce, par les ONG et le système caritatif, par la contrebande, par le trafic de drogue et de médicaments, par les enlèvements ) Le quatrième thème traitait de la mise en œuvre de l entraide dans la sous-région et ses perspectives d évolution. Après l exposé du dispositif conventionnel dans la région et la sous-région et des initiatives d Interpol pour faciliter l entraide, les présentations ont mis en évidence le rôle des réseaux de contact existants qu il s agisse notamment du WACAP (en Afrique de l Ouest), du Réseau judiciaire européen, de la plateforme Eurojust et du Réseau européen de formation judiciaire (en Europe) ou du réseau continental d échange d informations relatives à l entraide judiciaire (en Amérique). Enfin, ces préoccupations ont débouché sur l organisation de quatre ateliers : l un faisant le bilan sur le fonctionnement et l organisation des réseaux de contact : l autre évoquant les obstacles à l entraide judiciaire en Afrique de l ouest et les améliorations possibles ; un autre sur l état de la coopération policière en Afrique de l ouest ; et le dernier sur la coopération en matière de formation des magistrats 3. Au cours des discussions, plusieurs points sensibles, qui sont autant de défis/enjeux posés aux Etats et aux gouvernements dans la lutte

5 contre le crime, ont été mis en exergue ; ces défis renvoyant à autant d obstacles : Le premier défi, global, consiste à adopter une démarche pro active d anticipation par rapport au crime organisé pour que les autorités ne soient pas en décalage et en retard par rapport aux criminels. En découle un deuxième défi, qui a trait à la mise en œuvre de tous les cadres juridiques possibles (instruments normatifs, institutions ) pour lutter contre le financement du terrorisme et le blanchiment des capitaux. D où, troisième défi, celui de la nécessité de développer la confiance entre les acteurs de la lutte contre le crime. Concrètement, cela conduit à admettre notamment le principe de reconnaissance mutuelle des décisions de justice qui fonde les procédures de coopération ; sans quoi toute tentative de collaboration, formelle ou informelle d ailleurs, peut être vouée à l échec. Mais la confiance mutuelle, c est aussi travailler à une étroite collaboration police-justice-services de renseignements pour développer une démarche commune de stratégie d enquête (cf. les recommandations). Quatrième défi, en conséquence, celui de la formation : il est nécessaire de construire des programmes ambitieux de formations spécialisées pour les magistrats et policiers, afin, d une part, qu ils s approprient la spécificité des procédures en matière de lutte contre le crime et de financement des activités criminelles et, d autre part, qu ils prennent l habitude de travailler en commun Mais la réalisation de ces défis se heurte à plusieurs obstacles :

6 - premier obstacle : le contexte de la sous-région : instabilité politique, porosité des frontières (qui induit des difficultés d identification formelle des ressortissants des Etats de surcroît dans un espace de libre circulation des personnes comme la CEDEAO), pauvreté et chômage des jeunes qui deviennent des groupes vulnérables, cibles pour les groupes terroristes ; poids du secteur informel de l économie qui rend difficile la traçabilité des transactions ; densité des transactions en espèce - deuxième obstacle : la trop grande diversité des procédures et des instruments dans l espace commun CEDEAO ou CEMAC (par exemple les délais de perquisition sont différents d un Etat à un autre ) ; diversité qui découle aussi de la différence des systèmes de droit (civil law et common law) et des barrières linguistiques ; - troisième obstacle : le défaut d adaptation suffisant des législations nationales pour lutter contre le crime d une part ; et les transpositions insuffisantes des dispositions des conventions internationales, d autre part ; 4. Pour autant, de nombreuses bonnes pratiques, tournées vers les démarches opérationnelles facilitant la coopération judiciaire et policière en matière pénale ont été présentées ; en voici quelques-unes, à titre non exhaustif : - des législations nationales qui prévoient un certain nombre d adaptations du droit commun dans le cadre des enquêtes sur le crime organisé : o renforcement dans le cadre du droit commun des moyens d investigations (c est le cas par exemple en France avec les

7 perquisitions de nuit et l extension de la garde à vue à 96 heures possibles dans certains cas entrant dans le champ de la criminalité organisée et du terrorisme ; ou au Canada avec quatre type d infraction possibles qui s ouvrent au procureur à partir du moment où il a à faire à du gangstérisme ; ou encore les dispositions du code pénal camerounais qui sans viser expressément le terrorisme permettent de connaître ce type d actes) ; o renforcement des moyens et techniques d enquêtes. En France, géolocalisations, captation de données informatiques, infiltration, etc ) et notamment sous l influence du droit européen (mandat d arrêt européen ; équipe commune d enquête ) ; au Canada : une année pour l interception des communications au lieu de 60 jours ; mandat général ou d entrée subreptice ; agents d infiltration - la création de structures judiciaires spécialisées : comme le pôle antiterroriste implanté à Paris, compètent sur tout le territoire national ou les juridictions spécialisées dans la lutte contre la criminalité organisée (huit «JIRS» en France par exemple) ; idem au Mali avec les juridictions spécialisées du pôle anti-terroriste et du pôle économique et financier ; - la création de réseaux de contact et de coopération efficaces : = en matière policière, par exemple, le Comité des chefs de police d Afrique de l ouest (CCPAO) et son homologue en Afrique centrale - et son sous-comité technique qui se réunit une fois par an pour identifier les tendances criminelles prioritaires nécessitant des opérations conjointes ; son équivalent en Afrique centrale ;

8 = en matière judiciaire, les initiatives de l ONUDC avec notamment la plate-forme de coopération judiciaire pénale des pays du Sahel (lutte contre le terrorisme) ; le WACAP (Réseau d autorités centrales et de procureurs d Afrique de l ouest contre la criminalité organisée) ou encore ARINWA (réseau pour lutter contre le blanchiment de capitaux) ; - les actions de formation des OPJ par Francopol : formations de cyber enquêteurs au Tchad ; formation sur la cybercriminalité ; - le développement d outils pour renforcer les capacités des Etats et des acteurs dans la lutte contre le crime : des programmes : = à l initiative d Interpol avec par exemple les programmes e- extradition, e-mla (e-entraide répressive internationale) ou SIPAO (système d information policier d Afrique de l ouest) ; des unités d action : = les unités mixtes de contrôle au Togo qui ont permis des saisies de drogue ou d ivoire en provenance de pays tiers ; = les équipes intégrées de sécurité nationale pour accroître la capacité de collecte des données, faciliter l échange d informations au Canada ; = les unités spécialisées dans la lutte contre le financement de la criminalité au Sénégal : ex : la brigade économique et financière de la police judiciaire ; la brigade de lutte contre la cybercriminalité ; ou encore l unité délinquance économique, financière et cybercriminalité de la gendarmerie ;

9 des actions : = l organisation d opérations conjointes entre Etat de la sousrégion dans les différents domaines de la CTO (médicaments contrefaits ; trafic de drogue ; terrorisme ) ; = la remise de police à police, qui dans le cadre d accords de coopération, et dans les zones frontalières notamment est en vigueur dans la sous-région et en Afrique centrale ; 5. A l issue des travaux et des échanges de très haute qualité, les participants attachés à surmonter les blocages identifiés et à rechercher des solutions concertées pour y remédier, formulent les recommandations suivantes : A l attention des Etats et gouvernements : Concernant les outils normatifs : - Tendre vers l harmonisation des instruments disponibles dans les grands systèmes de droit présents dans la sous-région afin d assouplir les procédures d enquêtes et d extradition ; et harmoniser les instruments pertinents entre l UEMOA et la CEDEAO ; - Œuvrer en faveur de la reconnaissance mutuelle des décisions de justice pour faciliter l entraide ; - Doter les pays de la sous-région d un mandat d arrêt ouest africain permettant la remise simplifiée des personnes mises en cause pour des infractions graves liées au terrorisme et à la criminalité organisée, et ce quelle que soit leur nationalité dans le cadre d une procédure judiciaire rapide offrant les garanties juridiques nécessaires ;

10 Concernant les structures : au sujet de la collaboration police-justice : - associer le parquet aux réunions des chefs de police dans les sousrégions Afrique de l ouest ou centrale ; - développer les méthodes de travail entre procureurs et OPJ, notamment les réunions opérationnelles permettant les échanges d informations et la définition en commun de stratégies en amont pour la conduite des dossiers ; et garantir une direction effective de la police judiciaire par l autorité judiciaire ; - remédier à la faible exploitation des bases de données existantes et à l insuffisante fiabilité de certaines d entre elles ; et utiliser davantage les outils mis à la disposition des polices nationales par Interpol ; - sécuriser les bases de données policières et judiciaires et les transmissions sur les informations individuelles ; au sujet des Réseaux de contact : - soutenir le renforcement des réseaux de coopération policière et judiciaire existants ; - appuyer les synergies entre les réseaux judiciaires, à l instar de l AIPPF et du WACAP (Réseau d autorités centrales et de procureurs de l Afrique de l Ouest contre la criminalité organisée) notamment pour renforcer la confiance mutuelle et une meilleure compréhension des conditions juridiques réciproques ;

11 - veiller à la rationalisation des réseaux existants et de leurs activités pour assurer leur complémentarité et éviter leur multiplication sans motif particulier dans les sous régions concernées ; Concernant la formation : - œuvrer en faveur d une spécialisation des magistrats et des enquêteurs en proposant, notamment, des formations spécialisées en matière de lutte contre le crime organisé, de techniques d enquêtes en matière de terrorisme et d appropriation des textes sur l entraide judiciaire et l extradition ; - intensifier le rôle des structure existantes (type GIABA et Interpol ) dans la coordination de formations spécialisées dans tous les volets de la lutte contre le crime organisé ; A l attention de la CEDEAO : - œuvrer à l adoption et à l application d un mandat d arrêt ouest africain et soutenir les initiatives allant dans ce sens (cf recommandation ci-dessus à l intention des Etats et Gouvernements), A l attention de l OIF - poursuivre le soutien aux actions engagées par l AIPPF et leur suivi à l occasion du premier séminaire sous régional de haut niveau de Bamako et du 2 ème séminaire régional de l AIPPF organisée à Dakar sur le crime organisé en Afrique de l ouest ; étendre ces réflexion à d autres régions de l espace francophone et

12 notamment l Afrique centrale et l océan indien, afin de doter ces régions d un arsenal juridique efficient avec les bonnes pratiques nécessaires à sa mise en œuvre en matière de lutte contre le crime organisé et de ses financements ; A l attention de l AIPPF - mobiliser l expertise de l AIPPF pour envisager l organisation d un atelier de travail sur la rédaction juridique du texte d un mandat d arrêt ouest africain impliquant, au départ, les Etats de la sousrégion qui le souhaitent, en vue de porter ensuite ce projet de texte à l attention des autorités politiques nationales ; - favoriser l implication constante des procureurs et poursuivants francophones dans les activités et la promotion du Réseau ; En conclusion : Les participants du 2 ème séminaire régional de l Association internationale des procureurs et poursuivants francophones sur le crime organisé en Afrique de l Ouest, qui s est tenue à Dakar du 1 au 3 octobre 2014, soucieux de faire de la coopération judiciaire en matière pénale et de l extradition des instruments de lutte efficaces contre toutes les formes de criminalité dans la sous-région, entendent favoriser la mise en œuvre et le suivi des recommandations adoptées à l issue du séminaire, afin de faire de la sous-région un espace de paix, de liberté et de sécurité dans laquelle toutes les formes de criminalité, de terrorisme et de financement de ces dernières seront éradiquées. Fait à Dakar, le 3 octobre 2014

Le PROGRAMME ENVIRONEMENT D INTERPOL

Le PROGRAMME ENVIRONEMENT D INTERPOL Le PROGRAMME ENVIRONEMENT D INTERPOL INTERPOL Organisation International de Police Criminelle crée en 1923 siège a Lyon ( France).190 pays membres, 6 BR( Bureau Régional), 1 Bureau de liaison a Bangkok

Plus en détail

Je suis honnorée de m' addresser à vous à l'occasion du Onzième Congrès des Nations Unis pour la Prevention du Crime et la Justice Penale.

Je suis honnorée de m' addresser à vous à l'occasion du Onzième Congrès des Nations Unis pour la Prevention du Crime et la Justice Penale. Intervention de la Roumanie à l'occasion de la session «Haut Niveau» de l' Onzieme Congrès des Nations Unis sur la prévention du crime et la justice pénale Madame KIBEDI Katalin Barbara, Sécretaire d'

Plus en détail

Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs?

Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Le cadre juridique et fiscal des relations d affaires franco-africaines: un atout pour les entrepreneurs? Me Pierre MARLY Avocat CMS Bureau Francis Lefebvre E-mail : pierre.marly@cms-bfl.com 1 - Le cadre

Plus en détail

Termes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur

Termes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur AFRISTAT PROGRAMME DE COMPARAISON INTERNATIONALE-AFRIQUE Termes de référence pour le recrutement d un comptable, d un assistant administratif et un chauffeur Contexte Au cours de l année 2004, AFRISTAT

Plus en détail

Groupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT

Groupe de travail. Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Groupe de travail Renforcer la confiance mutuelle RAPPORT Les participants ont tous reçu une copie du rapport particulièrement riche du précédent groupe de travail. A l issue des rapports des représentantes

Plus en détail

Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine

Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine Commission pour la consolidation de la paix Configuration pays République centrafricaine La politique nationale et le soutien de la Communauté internationale au développement de la Réforme du Secteur de

Plus en détail

SYMPOSIUM GLOBAL SUR LE DROIT DE L ENVIRONNEMENT

SYMPOSIUM GLOBAL SUR LE DROIT DE L ENVIRONNEMENT REPUBLIQUE DU BENIN.. A. A. - H.J.F. SYMPOSIUM GLOBAL SUR LE DROIT ASSOCIATION AFRICAINE DES HAUTES JURIDICTIONS FRANCOPHONES SIEGE : COTONOU Les membres : Juridictions Nationales : - Bénin Cour Constitutionnelle

Plus en détail

Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009

Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq

Plus en détail

Présentation de la Carte Brune

Présentation de la Carte Brune SYSTÈME CARTE BRUNE D ASSURANCE CEDEAO (Communauté Economique des Etats de l Afrique de l Ouest) ----------------- XV CONGRES AVUS-GROUP Vienne -Autriche : 23-24 septembre 2010 ---------- Présentation

Plus en détail

Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication

Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation

Plus en détail

OFFRE DE CONSULTANCE Volet Gouvernance judiciaire à l Est de la RDC

OFFRE DE CONSULTANCE Volet Gouvernance judiciaire à l Est de la RDC OFFRE DE CONSULTANCE Volet Gouvernance judiciaire à l Est de la RDC «Consultant en suivi-évaluation et élaboration d outils de suivi-évaluation pour le programme PARJ-E «Uhaki Safi» Profil recherché: Objectif

Plus en détail

Plan d action national contre la traite des êtres humains (2014-2016)

Plan d action national contre la traite des êtres humains (2014-2016) Plan d action national contre la traite des êtres humains (2014-2016) Plan d action national contre la traite des êtres humains 3 Introduction La traite des êtres humains représente, selon l Office des

Plus en détail

RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL

RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL RENFORCEMENT DES CAPACITES DES INSPECTEURS DE TRAVAIL DANS LA PROTECTION DES TRAVAILLEURS MIGRANTS EN MAURITANIE, MALI ET SÉNÉGAL Project type: Secondary project type: Geographical coverage: Executing

Plus en détail

Circulaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C

Circulaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C Secret de la défense nationale Circulaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C Textes source : Articles 413-5, 413-7, 413-9 à 413-12,

Plus en détail

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Nations Unies CAC/COSP/IRG/2015/2 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 24 mars 2015 Français Original: anglais Groupe d examen de l application

Plus en détail

P.O. Box: 3243, Addis Ababa, Ethiopia, Tel.: (251-11) 551 38 22 Fax: (251-11) 551 93 21 Email: situationroom@africa-union.org

P.O. Box: 3243, Addis Ababa, Ethiopia, Tel.: (251-11) 551 38 22 Fax: (251-11) 551 93 21 Email: situationroom@africa-union.org AFRICAN UNION UNION AFRICAINE UNIÃO AFRICANA P.O. Box: 3243, Addis Ababa, Ethiopia, Tel.: (251-11) 551 38 22 Fax: (251-11) 551 93 21 Email: situationroom@africa-union.org DE PLAN D ACTION POUR LA MISE

Plus en détail

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence

Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence Plan d Action de Ouagadougou contre la traite des êtres humains, en particulier des femmes et des enfants, tel qu adopté par la Conférence ministérielle sur la migration et le développement. Plan d Action

Plus en détail

Atelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie

Atelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie Atelier sur le Financement de la Filière Coton en Côte d'ivoire: Création d'un Fonds de Garantie René AZOKLY/ Président du Fonds International de Garantie Les Fonds de Garantie en Afrique de l'ouest: Particularités,

Plus en détail

la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire

la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 102 (1 er avril au 30 juin 2006)

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 102 (1 er avril au 30 juin 2006) BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE n 102 (1 er avril au 30 juin 2006) Circulaires de la Direction des affaires criminelles Signalisation des circulaires du 1 er avril au 30 juin 2006 Circulaire

Plus en détail

Rapport du Secrétaire général sur les activités du Bureau des Nations Unies pour l Afrique de l Ouest I. Introduction

Rapport du Secrétaire général sur les activités du Bureau des Nations Unies pour l Afrique de l Ouest I. Introduction Nations Unies S/2014/442 Conseil de sécurité Distr. générale 26 juin 2014 Français Original : anglais Rapport du Secrétaire général sur les activités du Bureau des Nations Unies pour l Afrique de l Ouest

Plus en détail

La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT

La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT La culture du résultat au sein des systèmes statistiques nationaux des Etats membres d AFRISTAT SOMMAIRE Introduction... 2 I. Aperçu sur le fondement de la gestion axée sur les résultats... 3 1.1. De nouveaux

Plus en détail

Formations et diplômes. Rapport d'évaluation. Master Droit privé. Université Bordeaux. Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A)

Formations et diplômes. Rapport d'évaluation. Master Droit privé. Université Bordeaux. Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Rapport d'évaluation Master Droit privé Université Bordeaux Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES, 1 Didier Houssin, président En vertu

Plus en détail

Rapport de fin du Programme

Rapport de fin du Programme Observatoire Economique et Statistique d Afrique Subsaharienne Département des Affaires Economiques et Sociales du Secrétariat Général des Nations Unies Programme des Nations Unies pour le Développement

Plus en détail

CONSEIL DE PAIX ET DE SECURITE 449 ème RÉUNION 11 AOUT 2014 ADDIS ABEBA, ETHIOPIE PSC/PR/3(CDXLIX) ORIGINAL : FRANÇAIS

CONSEIL DE PAIX ET DE SECURITE 449 ème RÉUNION 11 AOUT 2014 ADDIS ABEBA, ETHIOPIE PSC/PR/3(CDXLIX) ORIGINAL : FRANÇAIS AFRICAN UNION UNION AFRICAINE UNIÃO AFRICANA Addis Abéba, Éthiopie Boîte postale: 3243 Tél: (251-11)5513 822 Télécopie: (251-11)5519 321/5514 227 Courriel: situationroom@africa-union.org CONSEIL DE PAIX

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES

TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES TERMES DE REFERENCE POUR LE RENFORCEMENT DU DEPARTEMENT CHARGE DES AFFAIRES JURIDIQUES Avril 2014 TDR pour le renforcement du Service Juridique de la BIDC Page - 1 - I. CONTEXTE ET JUSTIFICATION La BIDC,

Plus en détail

Dépollution. Centre de Perfectionnement aux Actions post-conflictuelles de Déminage et de. Intervention. du Général de Brigade. Félix Tissou HESSOU

Dépollution. Centre de Perfectionnement aux Actions post-conflictuelles de Déminage et de. Intervention. du Général de Brigade. Félix Tissou HESSOU Intervention du Général de Brigade Félix Tissou HESSOU REPUBLIQUE DU BENIN Centre de Perfectionnement aux Actions post-conflictuelles de Déminage et de Dépollution 1 RAPPEL HISTORIQUE CONFERENCE DE BAMAKO

Plus en détail

Que reste-t-il de la French Connection? Thierry Colombié Docteur es sciences économiques (Ehess)

Que reste-t-il de la French Connection? Thierry Colombié Docteur es sciences économiques (Ehess) Que reste-t-il de la French Connection? Thierry Colombié Docteur es sciences économiques (Ehess) Les bases de la French Connection Un trafic d héroïne planétaire (Liban, Pakistan, France, USA) de 1935

Plus en détail

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA

NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE La Commission Département des Politiques Economiques NOTE DE PRESENTATION DU PROGRAMME STATISTIQUE DE L UEMOA Février 2005 I INTRODUCTION Le Traité instituant

Plus en détail

LA DEFENSE DEVANT LES JURIDICTIONS PENALES INTERNATIONALES

LA DEFENSE DEVANT LES JURIDICTIONS PENALES INTERNATIONALES LA DEFENSE DEVANT LES JURIDICTIONS PENALES INTERNATIONALES PAR François ROUX Depuis Nuremberg jusqu au Tribunal spécial pour le Liban, la défense devant les tribunaux pénaux internationaux a subi une évolution

Plus en détail

REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI)

REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) REGLEMENT ET CRITERES DU CONCOURS DE PROJETS 4.2 PROGRAMME DE PETITES INITIATIVES (PPI) 1. PRESENTATION DU PROGRAMME Le Fonds Français pour l Environnement Mondial (FFEM) lance une quatrième phase du Programme

Plus en détail

Ce projet est financé par l Union Européenne

Ce projet est financé par l Union Européenne Ce projet est financé par l Union Européenne Elizabeth Adjei Emmanuel Mayer - Mai 2013 TABLE DES MATIÈRES 1.1 CARACTÉRISTIQUES ET OBJECTIFS DE LA MISSION 3 1.2 Résumé des analyses et de conclusions de

Plus en détail

ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST

ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST ALLOCUTION DE M. BENJAMIN HOUNTON CHARGE DU BUREAU DU HAUT COMMISSARIAT DES NATIONS UNIES AUX DROITS DE L HOMME POUR L AFRIQUE DE L OUEST CONFERENCE REGIONALE SUR LA RATIFICATION DES INSTRUMENTS INTERNATIONAUX

Plus en détail

Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV

Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV Docteur Bendeddouche Badis Ministère de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique Directeur EP SNV 1 CONTEXTE EN ALGERIE Recrudescence des TIA HACCP obligatoire depuis 2010 Mise à niveau

Plus en détail

Colloque international sur le droit de l environnement en Afrique Abidjan, 29-31 octobre 2013. Annonce. Mars 2013

Colloque international sur le droit de l environnement en Afrique Abidjan, 29-31 octobre 2013. Annonce. Mars 2013 Colloque international sur le droit de l environnement en Afrique Abidjan, 29-31 octobre 2013 Annonce 1 Mars 2013 I. Cadre de l action L Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN), l

Plus en détail

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES

LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES LAURENT FABIUS, MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES Tout à l heure, le Président de la République m a demandé, avec le Premier ministre, de vous apporter un certain nombre d éléments sur le contexte dans

Plus en détail

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT

UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE UEMOA OUEST AFRICAINE ----------- CONFERENCE DES CHEFS D ETAT ET DE GOUVERNEMENT TRAITE PORTANT CREATION DU PARLEMENT DE L UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE PREAMBULE

Plus en détail

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT»

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT» ATELIER UNION AFRICAINE / COMMUNAUTÉS ECONOMIQUE RÉGIONALES SUR LE COMMERCE DES SERVICES EN COLLABORATION AVEC JEICP ET LA BAD 29-30 MARS 2012, LUSAKA (ZAMBIE) THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES

Plus en détail

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux

Plus en détail

PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE

PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur

Plus en détail

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats

Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Définition et exécution des mandats : analyse et recommandations aux fins de l examen des mandats Rapport du Secrétaire général Résumé Lors du Sommet mondial de septembre 2005, les dirigeants des pays

Plus en détail

Expert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal

Expert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa

Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa Rapport final IGF-AC, edition 2013, Kinshasa L an 2013, le 28 et 29 août, s est tenue dans la salle du Campus Numérique Francophone de Kinshasa, le Forum sur la Gouvernance de l Internet en Afrique Centrale,

Plus en détail

Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL

Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL PRESENTATION DU PROJET/PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT PAR L'OCAL Edy K. ANTHONY Secrétariat Exécutif, OCAL Tunis, 22 24 Avril 2014 SOMMAIRE Introduction ti OCAL Expériences Description du projet Cadre de mise

Plus en détail

L identification des victimes de la traite des êtres humains lors des procédures de protection internationale et de retour forcé

L identification des victimes de la traite des êtres humains lors des procédures de protection internationale et de retour forcé European Migration Network National Contact Point Luxembourg (LU EMN NCP) L identification des victimes de la traite des êtres humains lors des procédures de protection internationale et de retour forcé

Plus en détail

Projet d Accord version 25 février 2015 à 19h30 ACCORD POUR LA PAIX ET LA RECONCILIATION AU MALI ISSU DU PROCESSUS D ALGER

Projet d Accord version 25 février 2015 à 19h30 ACCORD POUR LA PAIX ET LA RECONCILIATION AU MALI ISSU DU PROCESSUS D ALGER ACCORD POUR LA PAIX ET LA RECONCILIATION AU MALI ISSU DU PROCESSUS D ALGER 1 Préambule Nous, Gouvernement de la République du Mali et Mouvements signataires de la Feuille de route du 24 juillet 2014, ci-

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT d un(e) ASSISTANT ADMINISTRATIF CONTRATS-FINANCES-MARCHES (AACFM) auprès du RAF ECOFAC V du RAPAC

TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT d un(e) ASSISTANT ADMINISTRATIF CONTRATS-FINANCES-MARCHES (AACFM) auprès du RAF ECOFAC V du RAPAC TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT d un(e) ASSISTANT ADMINISTRATIF CONTRATS-FINANCES-MARCHES (AACFM) auprès du RAF ECOFAC V du RAPAC Autorité hiérarchique : Secrétaire Exécutif du RAPAC (SE), Expert-Responsable

Plus en détail

Programme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO

Programme statistique du Secrétariat Exécutif de la CEDEAO COMMUNAUTE ECONOMIQUE DES ETATS DE L=AFRIQUE DE L=OUEST ECONOMIC COMMUNITY OF WEST AFRICAN STATES Réunion de lancement du programme de comparaison Internationale pour l Afrique Addis Abéba, 2-4 décembre

Plus en détail

OBJECTIFS. Objectif général

OBJECTIFS. Objectif général Le Programme d action pour la promotion et le financement des PME dans l UEMOA est une déclinaison de la Politique Industrielle Commune (PIC) de l UEMOA. Il vise la création de mécanismes de financement

Plus en détail

Introduction. Une infraction est un comportement interdit par la loi pénale et sanctionné d une peine prévue par celle-ci. (1)

Introduction. Une infraction est un comportement interdit par la loi pénale et sanctionné d une peine prévue par celle-ci. (1) Vous êtes victime Introduction Vous avez été victime d une infraction (1). C est un événement traumatisant et vous vous posez sûrement de nombreuses questions : Quels sont mes droits? Que dois-je faire

Plus en détail

C est quoi le District Health Information Software 2?

C est quoi le District Health Information Software 2? Introduction Actions entreprises C est quoi le Health Information Software 2? Avantages Inconvénients Conclusion Le système d information sanitaire est l un des piliers du Système de Santé Il contribue

Plus en détail

NOVEMBRE 2013. Dossier de presse. Société Générale, 1 er réseau de banque universelle. en Afrique au service des Entreprises

NOVEMBRE 2013. Dossier de presse. Société Générale, 1 er réseau de banque universelle. en Afrique au service des Entreprises NOVEMBRE 2013 Dossier de presse Société Générale, COMMUNIQUÉ DE PRESSE Casablanca, le 21 novembre 2013 Présent dans 16 pays africains, le groupe Société Générale présente un positionnement unique, qui

Plus en détail

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE

Plus en détail

Assemblée générale. Nations Unies A/62/163* Le commerce illicite des armes légères sous tous ses aspects. Note du Secrétaire général

Assemblée générale. Nations Unies A/62/163* Le commerce illicite des armes légères sous tous ses aspects. Note du Secrétaire général Nations Unies A/62/163* Assemblée générale Distr. générale 30 août 2007 Français Original : anglais Soixante-deuxième session Point 100 l) de l ordre du jour provisoire** Désarmement général et complet

Plus en détail

SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA

SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TERMES DE REFERENCE SELECTION D UN CONSULTANT CHARGE DE LA MISE EN PLACE DES REFERENTIELS DE CONTROLE INTERNE ET DE LA MISE A JOUR DES MANUELS DE PROCEDURES DU GIM-UEMOA TDR : REFERENTIELS ET PROCEDURES

Plus en détail

Annexe 1. Cahier des charges

Annexe 1. Cahier des charges Appel d'offres APEX-CI N 001/AP/12/2013 Plateforme de veille et d échange d information sur les marchés publics Annexe 1 Cahier des charges SOMMAIRE 1. Préambule... 4 2. Présentation de l APEX-CI... 4

Plus en détail

NATIONS UNIES J O U R N A L. Commission des stupéfiants Cinquante-septième session Vienne, 17-21 mars 2014 N 5

NATIONS UNIES J O U R N A L. Commission des stupéfiants Cinquante-septième session Vienne, 17-21 mars 2014 N 5 NATIONS UNIES J O U R N A L Commission des stupéfiants Cinquante-septième session Vienne, 17-21 mars 2014 N 5 PROGRAMME DES SÉANCES MERCREDI 19 MARS 2014 10 heures 9 e séance plénière Salle du Conseil

Plus en détail

ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015. Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote

ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015. Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE 25 AVRIL 2015 Pour l unité, pour le progrès, pour le Togo, je vote Chers Citoyens, Chers Compatriotes, Ce 25 avril 2015, notre pays sera appelé à élire la personnalité la plus apte

Plus en détail

Appel à candidatures. Audit de l organisation, de la planification et du pilotage des systèmes d information

Appel à candidatures. Audit de l organisation, de la planification et du pilotage des systèmes d information Appel à candidatures Audit de l organisation, de la planification et du pilotage des systèmes d information Version 0.6 20 mars 2015 Statut Validé 1 Introduction 1.1 Présentation de l Agence universitaire

Plus en détail

AIC N 10/A/15GO 19 MARS 2015

AIC N 10/A/15GO 19 MARS 2015 AGENCE POUR LA SÉCURITÉ DE LA NAVIGATION AÉRIENNE EN AFRIQUE ET A MADAGASCAR Phone : +(221) 33.869.23.32 +(221) 33.869.23.46 Fax : +(221) 33.820.06.00 AFTN : GOOOYNYX E-mail : dakarbni@asecna.org Web :

Plus en détail

Termes de Référence. Pour un Consultant Chargé d une «étude ex ante sur l impact socioéconomique et environnemental des OGM en Afrique de l Ouest»

Termes de Référence. Pour un Consultant Chargé d une «étude ex ante sur l impact socioéconomique et environnemental des OGM en Afrique de l Ouest» CED EAO Co mmunau t é Économiq u e de s Ét ats d Af r iq u e d e l O u es t Conseil Ouest et Centre Africain pour la Recherche et le Développement Agricoles ECOWAS Econo m ic Co mmunit y of West Af r ica

Plus en détail

11 janvier 2003. DÉCRET-LOI n 003-2003 portant création et organisation de l Agence nationale de renseignements.

11 janvier 2003. DÉCRET-LOI n 003-2003 portant création et organisation de l Agence nationale de renseignements. 11 janvier 2003. DÉCRET-LOI n 003-2003 portant création et organisation de l Agence nationale de renseignements. TITRE Ier DE LA CRÉATION ET DE LA MISSION Art. 1er. Il est créé un service public doté de

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE Conseil local de sécurité et de prévention de la délinquance Contrat local de sécurité Contrat urbain de cohésion sociale Fonds interministériel de prévention Plan départemental de prévention Prévention

Plus en détail

la confiance dans l économie de l information

la confiance dans l économie de l information C o n f é r e n c e d e s N at i o n s U n i e s s u r l e c o m m e r c e e t l e d é v e l o p p e m e n t SERVICES fournis La Division de la technologie et de la logistique de la CNUCED propose les

Plus en détail

La coopération internationale au service de la sûreté des collections - Journée d étude du 14 mai 2004 - BnF/ réseau LIBER

La coopération internationale au service de la sûreté des collections - Journée d étude du 14 mai 2004 - BnF/ réseau LIBER Les bases de données, outil de lutte contre le trafic des biens culturels. Présentation de la base TREIMA de l Office Central de lutte contre le trafic des Biens Culturels par Bernard Darties, commandant

Plus en détail

TERMES DE REFERENCE Mission n 14INI144

TERMES DE REFERENCE Mission n 14INI144 TERMES DE REFERENCE Mission n 14INI144 I. Informations générales Intitulé de la mission Composante Thématique(s) Bénéficiaire(s) Pays Durée totale des jours prévus 64 Revue documentaire des formes juridiques

Plus en détail

10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris)

10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris) Samedi : 10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris) La séance a commencé par un tour de table afin de présenter chaque association

Plus en détail

La montagne n aura pas accouché d une souris à Bruxelles, tant étaient

La montagne n aura pas accouché d une souris à Bruxelles, tant étaient Le pari stratégique de la France en Afrique TRIBUNE n 541 Germain-Hervé Mbia Yebega Observatoire Politique et Stratégique de l Afrique (Université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne). Chercheur associé à la

Plus en détail

Dr Ndèye Arame Boye FAYE

Dr Ndèye Arame Boye FAYE Dr Ndèye Arame Boye FAYE Introduction I Plan Contexte historique de la coopération scientifique entre l Europe et l Afrique II Instruments actuels de la coopération Europe-Afrique III II. 1 Les Accords

Plus en détail

Protocole d Accord de Coopération. Entre. Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS)

Protocole d Accord de Coopération. Entre. Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte contre la Sécheresse dans le Sahel (CILSS) COMITE PERMANENT INTER-ETATS DE LUTTE CONTRE LA SECHERESSE DANS LE SAHEL AGENCE PANAFRICAINE DE LA GRANDE MURAILLE VERTE Protocole d Accord de Coopération Entre Le Comité Permanent Inter-Etats de Lutte

Plus en détail

Partage des coûts vs gratuité

Partage des coûts vs gratuité Assurance maladie et gratuité des soins en Afrique subsaharienne : quelles bases pour une couverture universelle? Alain Letourmy (CNRS et animateur du réseau RAMUS (Réseau d appui aux mutuelles de santé))

Plus en détail

VIIème Congrès international FATO Yamoussoukro 2013

VIIème Congrès international FATO Yamoussoukro 2013 VIIème Congrès international FATO Yamoussoukro 2013 Thème: Accessibilité et financement des services de santé en Afrique Subsaharienne: le cas de la Côte d Ivoire Proposé par FOFANA MEMON, Doctorant en

Plus en détail

Plan Stratégique 2008-2013

Plan Stratégique 2008-2013 Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite

Plus en détail

NATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau Sous-Régional pour l Afrique Centrale

NATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau Sous-Régional pour l Afrique Centrale Réunion Ad hoc NATIONS UNIES COMMISSION ECONOMIQUE POUR L AFRIQUE Bureau Sous-Régional pour l Afrique Centrale F Distr. : GENERAL ECA/SRO-CA/AHEGM.HLTIC/13/Inf.1 Février : 2013 Original : Français Ad Hoc

Plus en détail

Principes de bonne pratique :

Principes de bonne pratique : Principes de bonne pratique : Recommandations en vue de la création de bases de données génétiques nationales Le présent document a été élaboré par le Groupe d experts d INTERPOL sur le suivi des techniques

Plus en détail

Facilitation du Commerce liée aux Transports terrestres et transit

Facilitation du Commerce liée aux Transports terrestres et transit Facilitation du Commerce liée aux Transports terrestres et transit LES CONVENTIONS INTERNATIONALES, RÉGIONALES ET SOUS RÉGIONALES : CAUSES ET CONSEQUENCES DE LA NON MISE EN ŒUVRE IDOINE EN AFRIQUE Par:

Plus en détail

INITIATIVE FRANCOPHONE POUR LA FORMATION A DISTANCE DES MAÎTRES (IFADEM) APPELS À PROJETS DE RECHERCHE 2014

INITIATIVE FRANCOPHONE POUR LA FORMATION A DISTANCE DES MAÎTRES (IFADEM) APPELS À PROJETS DE RECHERCHE 2014 INITIATIVE FRANCOPHONE POUR LA FORMATION A DISTANCE DES MAÎTRES (IFADEM) APPELS À PROJETS DE RECHERCHE 2014 1. Contexte des appels à projets Co- pilotée par l Agence universitaire de la Francophonie (AUF)

Plus en détail

BOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU»

BOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU» BOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU» 2011-2012 DOCUMENT DE PRÉSENTATION Appel international à candidatures ouvert du 28 juin (1 er août en ligne) au 28 octobre 2011 (minuit,

Plus en détail

Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.

Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence

Plus en détail

DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION

DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION 30 téléphones portables disponibles 27 femmes ont été admises au dispositif. Le bénéfice du TGD pendant une durée de 6 mois a

Plus en détail

GROUPE INTERGOUVERNEMENTAL D ACTION CONTRE LE BLANCHIMENT D ARGENT EN AFRIQUE DE L OUEST. Rapport d Evaluation Mutuelle

GROUPE INTERGOUVERNEMENTAL D ACTION CONTRE LE BLANCHIMENT D ARGENT EN AFRIQUE DE L OUEST. Rapport d Evaluation Mutuelle GROUPE INTERGOUVERNEMENTAL D ACTION CONTRE LE BLANCHIMENT D ARGENT EN AFRIQUE DE L OUEST Rapport d Evaluation Mutuelle Sur la lutte Contre le Blanchiment d Argent et le Financement du Terrorisme MALI 18

Plus en détail

Comment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent?

Comment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent? Comment se déroule le droit de visite et d hébergement d un parent en cas de fixation de la résidence habituelle chez l autre parent? Lorsque l enfant vit au domicile de l un de ces parents, ce qui est,

Plus en détail

Les autorités judiciaires françaises n ont pas mis en œuvre de politique nationale de prévention dans ce domaine.

Les autorités judiciaires françaises n ont pas mis en œuvre de politique nationale de prévention dans ce domaine. COMITE D EXPERTS SUR LE TERRORISME (CODEXTER) CYBERTERRORISME L UTILISATION DE L INTERNET A DES FINS TERRORISTES FRANCE Avril 2008 Kapitel 1 www.coe.int/gmt A. Politique Nationale 1. Existe-t-il une politique

Plus en détail

BOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU»

BOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU» BOURSES DE RECHERCHE DOCTORALE ET DE POST-DOCTORAT «EUGEN IONESCU» 2010-2011 DOCUMENT DE PRÉSENTATION Appel international à candidatures ouvert du 10 novembre 2010 au 10 janvier 2011 1. DOCUMENT DE PRESENTATION

Plus en détail

Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone

Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Conférence régionale du Forum d Action pour la gouvernance Locale en Afrique Francophone Hôtel Teranga, Saly, Sénégal, du 18-19 Octobre 2011 Note de cadrage Contexte et justification L importance que revêt

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE

BULLETIN OFFICIEL DU MINISTÈRE DE LA JUSTICE Circulaire du 19 décembre 2014 de présentation des dispositions applicables à compter du 1 er janvier 2015 de la loi n 2014-535 du 27 mai 2014 portant transposition de la directive 2012/13/UE du Parlement

Plus en détail

N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI

N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI N 2345 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 DOUZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 25 mai 2005. PROPOSITION DE LOI abrogeant l article 434-7-2 du code

Plus en détail

Centre d etudes. strategiques de l Afrique. E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e

Centre d etudes. strategiques de l Afrique. E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e Centre d etudes strategiques de l Afrique E t a b l i r d e s p a r t e n a r i a t s p o u r l a v e n i r d e l A f r i q u e Séminaire pour hauts responsables - Lisbonne, Portugal Le premier événement

Plus en détail

LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME DU SECTEUR PRIVÉ

LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME DU SECTEUR PRIVÉ C O N F É R E N C E D E S N AT I O N S U N I E S S U R L E C O M M E R C E E T L E D É V E L O P P E M E N T LE DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE EN AFRIQUE RAPPORT 2013 COMMERCE INTRA-AFRICAIN: LIBÉRER LE DYNAMISME

Plus en détail

Appels à Investissement:

Appels à Investissement: Africa Label Group S.A Faire mieux. Donner plus. Appels à Investissement: ALG Academy (E-learning): $ 150,000 ImaginAfrica (Solutions TIC): $ 50, 000 Investir dans un groupe en pleine expansion. Des secteurs

Plus en détail

utilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme,

utilisés en faveur d un relativisme culturel, allant à l encontre de l universalité des droits de l homme, Documents de synthèse DS 2 20.12.09 IIEDH Observatoire de la diversité et des droits culturels Situation des droits culturels Argumentaire politique www.droitsculturels.org 1. Définition des droits culturels

Plus en détail

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel

Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Organisation des Nations Unies pour le développement industriel Distr. générale 14 octobre 2014 Français Original: anglais Conseil du développement industriel Quarante-deuxième session Vienne, 25-27 novembre

Plus en détail

Douzième Congrès des Nations Unies pour la prévention du crime et la justice pénale

Douzième Congrès des Nations Unies pour la prévention du crime et la justice pénale Nations Unies A/CONF.213/8 Douzième Congrès des Nations Unies pour la prévention du crime et la justice pénale Salvador (Brésil), 12-19 avril 2010 Distr. générale 18 décembre 2009 Français Original: anglais

Plus en détail

MORPHO CRIMINAL JUSTICE SUITE

MORPHO CRIMINAL JUSTICE SUITE MORPHO CRIMINAL JUSTICE SUITE UNE GAMME COMPLÈTE DÉDIÉE AUX MISSIONS DE LA POLICE JUDICIAIRE 2 1 3 Morpho offre aux forces de l ordre une gamme complète de produits pour les assister dans les recherches

Plus en détail

Un seul droit de la famille pour toutes les femmes.

Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. 2 Protection de l enfance et droit de la famille FR 002 LE DROIT DE LA FAMILLE ET LES FEMMES EN ONTARIO Un seul droit de la famille pour toutes les femmes. Renseignez-vous sur vos droits. Protection de

Plus en détail

Médicaments essentiels

Médicaments essentiels Counterfeit medicines flows Principaux pays de production MOYEN-ORIENT Inde Chine AFRIQUE DE L OUEST Afrique de l Est Asie du Sud-Est Afrique australe Source: UNODC Médicaments essentiels frauduleux depuis

Plus en détail

Dakar, Sénégal : du 17au 28 Juillet 2006

Dakar, Sénégal : du 17au 28 Juillet 2006 En Collaboration avec le Réseau des Partenaires Francophones en Population et Santé de la Reproduction Partenaires en Population, SR et Réformes du Système de Santé «S ADAPTER AU CHANGEMENT :: Atttteiindrre

Plus en détail

DIRECTIVES. 2. Vous devez joindre au présent formulaire les documents originaux ou des copies certifiées conformes à l original suivants :

DIRECTIVES. 2. Vous devez joindre au présent formulaire les documents originaux ou des copies certifiées conformes à l original suivants : DEMANDE DE RECONNAISSANCE D UN DIPLÔME OU D UNE FORMATION EN VUE DE L EXERCICE DE LA PHARMACIE AU QUÉBEC DIRECTIVES 1. Veuillez écrire en lettres moulées de façon lisible. Le présent document doit être

Plus en détail

L AFRIQUE ET LA COUR PENALE INTERNATIONALE (CPI): SENSIBILISATION DES PAYS FRANCOPHONES ET D AFRIQUE DU NORD BILAN DE CONFERENCE

L AFRIQUE ET LA COUR PENALE INTERNATIONALE (CPI): SENSIBILISATION DES PAYS FRANCOPHONES ET D AFRIQUE DU NORD BILAN DE CONFERENCE L AFRIQUE ET LA COUR PENALE INTERNATIONALE (CPI): SENSIBILISATION DES PAYS FRANCOPHONES ET D AFRIQUE DU NORD BILAN DE CONFERENCE Introduction Introduction Veuillez trouver le lien vers le compte-rendu

Plus en détail

Forum sur la Gouvernance de l'internet en Afrique Centrale : Douala Cameroun, du 29 au 31 Mai 2012

Forum sur la Gouvernance de l'internet en Afrique Centrale : Douala Cameroun, du 29 au 31 Mai 2012 Forum sur la Gouvernance de l'internet en Afrique Centrale : Douala Cameroun, du 29 au 31 Mai 2012 Instruments juridiques de protection des infrastructures et de la vie privée des citoyens contre les cyber

Plus en détail