RPC C Chat et risque de zoonoses
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- Camille Rémy Nolet
- il y a 7 ans
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1 Thème n 8 Zoonoses et risque allergique Recommandation Il y a lieu d informer le propriétaire d un chat des risques de zoonoses transmises par l animal, aussi bien aux enfants qu aux adultes (Se reporter à la liste dans l argumentaire). La prévention de ces zoonoses est obtenue par : - un premier examen vétérinaire lors de l acquisition ou de l adoption ; - un examen vétérinaire de l animal au minimum annuel ; - des vermifugations fréquentes, dont le rythme est adapté au milieu de vie ; - des traitements antiparasitaires externes fréquents (mensuels) ; - une protection vaccinale maintenue chaque année vis-à-vis de la rage. Des mesures d hygiènes élémentaires concernant les soins du chat doivent être préconisées, comme se laver les mains après contact avec la litière, qui doit être changée tous les jours. Il n est pas justifié d interdire au patient immunodéprimé un contact avec un chat, ni d en faire l éviction, sauf si le statut sanitaire du chat le justifie. Il y a lieu de conseiller au propriétaire de signaler au médecin traitant la présence d un chat au domicile. Compte-rendu des débats : voir Le Point Vétérinaire n Janvier/Février 2007 Argumentaire Stéphane Guez Médecin hospitalier (allergologue) Service de médecine interne, CHU de Bordeaux
2 2/7 1. Risques de zoonoses chez les propriétaires de chat La possession d un animal expose son propriétaire à un risque de transmission d une affection de l animal à l homme : dermatophytose, ascaridiose, etc. (voir tableau). La fréquence de ces affections transmises est très difficile à apprécier. Ainsi, il n y a pas de relation simple entre le fait de posséder un animal à domicile et le risque de développer certaines zoonoses comme la maladie des griffes du chat [7]. La plupart de ces zoonoses sont bénignes (affections gastro-intestinales, dermatologiques, générales) mais certaines peuvent entraîner des complications parfois sévères, pulmonaires, digestives voire systémiques [3]. La maladie des griffes du chat est due à une bactérie Gram négatif : Bartonella henselae. Elle est le plus souvent asymptomatique chez le chat, qui se contamine par l intermédiaire des puces (Cténocephalides felis). La maladie s exprime cliniquement chez l homme 1 à 3 semaines après griffure par un chat infecté. Les lésions, d abord bénignes, évoluent vers un ulcère et une lymphadénite, voire des symptômes plus graves (fièvre, maux de tête). Les complications peuvent être très graves chez les personnes immunodéprimées [5]. Plusieurs études montrent que le dialogue entre propriétaire de chat et vétérinaire sur les risques de zoonoses est insuffisant. La prévention repose sur une surveillance vétérinaire régulière de l animal au moins une fois par an avec la mise à jour de ses vaccinations et des soins vermifuges réguliers tous les six mois. Le médecin traitant devrait être informé de la présence d un chat au domicile et devrait pouvoir, le cas échéant, discuter avec le vétérinaire de la possibilité d une zoonose face à une situation pathologique inhabituelle. 2. Zoonoses et immunodépression De nombreux patients ayant une immunodéficience (infection par le VIH) ont un chat à domicile [2]. Le bénéfice psychologique de la présence d un chat est très supérieur au risque de développer une zoonose [6]. Des études ont d ailleurs montré qu il n y a pas plus de séroconversion vis-à-vis de la toxoplasmose chez les patients VIH ayant un chat par rapport à ceux qui n en ont pas [8]. Il faut cependant respecter des règles simples pour prévenir un risque de transmission d une affection pouvant être sévère sur ce terrain immunodéprimé [4] : - il faut faire régulièrement examiner le chat au moins une fois par an pour ne pas laisser évoluer une affection susceptible d être transmise à l homme ; - le chat doit bénéficier d un dépistage systématique du FeLV et, s il est négatif, être vacciné vis-à-vis de la leucose féline : en cas de maladie il est beaucoup plus susceptible de développer des affections transmissibles à l homme ; - en cas d atteinte par le virus de l immunodéficience féline, qui n est pas transmissible à l homme [1], l éviction du chat doit être recommandée en raison du risque important de développement chez l animal d affections opportunistes pouvant en revanche être secondairement transmises à l homme.
3 3/7 Tableau. Les agents zoonotiques félins. Source : Feline zoonoses guidelines from AAFP (american association of feline practitioners) juin Bactéries Bacillus anthracis (charbon bactéridien) Chat : maladie sub-aigue à chronique ; lésions charbonneuses de la mâchoire et de la langue, œdème des lèvres, de la tête et de la gorge. Homme : ulcères nécrotiques cutanés, pneumonie, diarrhée hémorragique, hématémèse, méningite. Chat : plaie, inhalation, ingestion. Homme : plaie, inhalation, ingestion. Bartonella spp. (maladie des griffes du chat) uvéite, fièvre, symptômes neurologiques, gingivite. Homme : lymphadénopathie, fièvre, malaise, angiomatose bacillaire, péliose bacillaire. Chat : puces, morsures, égratignures (?). Homme : morsures, griffures, puces. Commun ; le plus souvent en zone d infestation par les puces ; zoonose féline directe la plus importante. Bordetella bronchiseptica (bordetellose) atteinte de l arbre respiratoire supérieur, pneumonie (rare). Homme : pneumonie chez les individus immunodéprimés. Chat : aérosolisation. Homme : aérosolisation. Très rare. Borrelia burgdorferi (maladie de Lyme) Homme : éruption cutanée, polyarthrite, myocardite, maladie neurologique. Chat et homme : piqûre de tique (Ixodes spp.). Rare ; zone d endémie aux Etats-Unis (nord-est, centre-nord et Californie du nord), présence en Europe aussi ; vecteur commun à l homme et au chat. Campylobacter jejuni gastro-entérite. subclinique ; septicémie, gastro-entérite, myalgie, douleur articulaire, polyradiculonévrite (?). Chat : contamination fécale, produits avicoles, comportement carnivore. fécale, produits avicoles. Rare ; transmission occasionnelle par contact avec un chat. Capnocytophaga carnimorsus Homme : septicémie, kératite. Chat : flore orale commensale. Homme : morsures, griffures éventuellement. Très rare ; contamination occasionnelle par morsure de chat. Corynebacterium diphtheriae (diphtérie) muqueuse couvrant le larynx, néphromégalie, paralysie. Homme : fièvre, pharyngite, membrane diphtérique, lymphadénopathie cervicale. Chat : inhalation, contact avec des sécrétions. Homme : inhalation, contact avec des sécrétions. Francisella tularensis (tularémie) Chat : septicémie, pneumonie. Homme : forme ulcéroganglionnaire, ganglionnaire, oculo-ganglionnaire, pulmonaire ou typhoïde (selon la voie de contamination). Chat : piqûre d arthropodes hématophages, ingestion d animaux contaminés (lapins). Homme : piqûre d arthropodes hématophages, consommation de viande ou d eau contaminée, inhalation, morsure (chat). Rare ; contamination occasionnelle par morsure de chat.
4 4/7 Helicobacter spp. Listeria monocytogenes (listériose) Leptospira spp. (leptospirose) Mycoplasma felis Mycobacterium spp. (tuberculose) Salmonella spp. (salmonellose) Streptococcus groupe A (streptococcose) Yersinia enterocolitica (entéro-colite) Yersinia pestis (peste) Yersinia pseudotuberculosis (pseudotuberculose) vomissement (rare). subclinique, ulcère gastrique. Chat : portage intestinal asymptômatique. Homme : avortement, fœtus mort-né, mortinatalité par septicémie, méningoencéphalite, uvéite, méningite aseptique. fièvre, néphrite, hépatite. Homme : fièvre, malaise, grave inflammation rénale ou hépatique, uvéite, atteinte du système nerveux central. Chat : infection respiratoire haute et conjonctivale, polyarthrite. Homme : cellulite, polyarthrite. Chat : lésions cutanées dominantes. respiratoire. diarrhée (intestin grêle et/ou colon), septicémie, avortements. subclinique, gastro-entérite, septicémie, abcès. portage transitoire. Homme : angine streptococcique, septicémie, infection cutanée, otite, choc toxique, glomérulonéphrite, etc. Homme : gastro-entérite. Chat : peste bubonique, septicémique ou pulmonaire. Homme : peste bubonique, septicémique ou pulmonaire. Chat : anorexie, gastro-entérite, douleur abdominale, ictère. Homme : lymphadénopathie, iléite, douleur articulaire, septicémie, œdème cutané. Chat : contamination fécale ou orale (?). fécale ou orale (?). Chat : par de la terre ou de l eau contaminée. Homme : contact avec une personne porteuse, de la terre, de l eau, des fromages, des végétaux ou de l ensilage contaminés. Chat : contact direct avec de l urine contaminée, ingestion d aliments contaminés. Homme : contact direct avec de l urine contaminée, ingestion d aliments contaminés, morsures. Chat : flore commensale. Homme : morsure de chat. Chat : ingestion, contact, inhalation. Homme : inhalation primaire. Chat : contamination fécale, produits avicoles, comportement carnivore, «songbird fever». fécale, produits avicoles. Chat : aérosolisation. Homme : aérosolisation. Chat : contamination fécale. fécale. Chat : ingestion de rongeurs infectés, puces des rongeurs. Homme : puces des rongeurs, morsures de chat, aérosolisation, contact avec des exsudats. Chat : contamination fécale. Homme : ingestion, inhalation. Rare ; maladie assez commune chez l homme ; transmission par le chat peu probable mais plus probable en sens inverse. Aucun cas d origine féline rapporté. Variations régionales des zones endémiques chez l homme ; aucun cas d origine féline rapporté. Très rare ; seuls deux cas de contamination associée au chat rapportés. Les chats ne seraient pas une source de contamination pour l homme. Infection commune chez l homme ; origine féline par contact rare. Très rare (voire inexistant) par contact avec un chat ; zoonose en sens inverse théoriquement possible. Sud-ouest du globe ; associé occasionnellement au contact d un chat.
5 5/7 Cestodes Dipylidium caninum (ténia) subclinique, prurit anal, douleur abdominale. Chat : ingestion de puces. Homme : ingestion de puces. Très rare ; vecteur commun à l homme et au chat. Echinococcus multilocularis (hydatidose ou échinococcose alvéolaire) hépatique et pulmonaire. Chat : consommation de rongeurs. Homme : consommation d œufs. Très rare ; existant au centrenord des Etats-Unis et au Canada ; un lien avec un contact félin n est pas établi. Ectoparasites Cheyletiella (cheylétiellose) Chat : prurit cutané. Homme : prurit cutané. Occasionnel. Sarcoptes scabiei (gale) Chat : prurit cutané. Homme : prurit cutané. Rare. Champignons Dermatophytes (teigne) dermatite superficielle. Homme : dermatite superficielle. Commun. Sporothrix schenkii (sporotricose) Chat : forme cutanéolymphatique (chancre ulcérobourgeonnant au point de pénétration et le long des vaisseaux lymphatiques). Homme : forme cutanéolymphatique (chancre ulcérobourgeonnant au point de pénétration et le long des vaisseaux lymphatiques). Chat : plaie contaminée par de la terre. Homme : plaie contaminée par de la terre, contact avec les exsudats félins. Rare ; pas de distribution géographique particulière ; les exsudats félins contiennent de grandes quantités d organismes. Nématodes Ancylostoma braziliense diarrhée hémorragique, anémie par perte sanguine. Homme : prurit cutané (larva migrans cutané). Chat : ingestion d hôte intermédiaire, de lait maternel ou d œufs, pénétration cutanée. Homme : pénétration cutanée des larves (après plus de 3 jours dans l environnement). Rare ; exposition à un environnement contaminé. Ancylostoma tubaeforme Dirofilaria immitis (dirofilariose) toux, vomissements ou mort subite rarement. subclinique, tumeur pulmonaire. Chat : piqûre de moustique. Homme : piqûre de moustique. Très rare ; vecteur commun à l homme et au chat. Strongyloïdes stercoralis diarrhée hémorragique. Homme : prurit cutané, diarrhée, systémisation chez les individus immunodéprimés. Chat : contamination fécale (voie orale). Homme : pénétration cutanée. Rare ; exposition à un environnement contaminé.
6 6/7 Toxacara cati (toxocarose) Uncinaria stenocephala Protozoaires Cryptosporidium parvum (cryptosporidiose) Entamoeba histolytica (amibiase) Giardia spp. (giardiose) Toxoplasma gondii (toxoplasmose) Rickettsies et chlamydies Chamydophila felis (chlamydophilose) Coxiella burnetii (fièvre Q) Rickettsia felis vomissements, ne profite pas. Homme : toux, maladie oculaire. Chat : maladie subclinique ou diarrhée (intestin grêle). subclinique ou diarrhée (intestin grêle). Chat : diarrhée hémorragique. Homme : diarrhée hémorragique. Chat : maladie subclinique ou diarrhée (intestin grêle). subclinique ou diarrhée (intestin grêle). fièvre, uvéite, douleur musculaire, hépatite, pancréatite. subclinique, lymphadénopathie, avortement, fœtus mort-né, encéphalite. Chat : conjonctivite, légère maladie respiratoire supérieure. Homme : conjonctivite, pneumonie, endocardite, glomérulonéphrite. avortement, fœtus mort-né. Homme : fièvre, pneumonie, myalgie, lymphadénopathie, arhrite, hépatite, endocardite. Homme : fièvre, lymphadénopathie. Chat : ingestion de l hôte intermédiaire ou d œufs. Homme : ingestion d œufs larvés après 1 à 3 semaines dans l environnement, ingestion de larves ou d adultes. Chat : contamination fécale, comportement carnivore. fécale. Chat : ingestion d oocystes. Homme : ingestion d oocystes. Chat : contamination fécale, comportement carnivore. fécale. Chat : ingestion de l hôte intermédiaire ou d oocystes 1 à 5 jours après la sporulation, voie transplacentaire. Homme : ingestion de viande insuffisamment cuite, contamination transplacentaire par des oocystes 1 à 5 jours après la sporulation. Chat : contact direct, aérosolisation. Homme : contact direct, aérosolisation (?). Chat : piqûre d arthropodes hématophages, ingestion de tissus contaminés. Homme : piqûre d arthropodes hématophages, aérosolisation à partir de tissus contaminés. Chat : puces. Homme : puces. Rare ; exposition à un environnement contaminé. Rare ; commun chez l homme mais rarement lié directement au chat ; zoonose en sens inverse potentiellement. Très rare ; dans certains pays, maladie commune et rapidement symptomatique chez l homme ; pas de lien établi avec le chat ; zoonose en sens inverse potentiellement. Très rare ; dans certains pays, maladie commune et rapidement symptomatique chez l homme ; rarement en lien direct avec le chat ; zoonose en sens inverse potentiellement. Rare ; commun chez l homme sans être habituellement associé à la présence d un chat du fait de la courte durée d excrétion des oocystes et de la période de sporulation. Très rare ; occasionnellement par contact direct avec un chat. Très rare ; répartition inconnue ; nombreux épisodes d origine féline. Rare ; vecteur commun à l homme et au chat.
7 7/7 Virus Cowpox Chat : lésions cutanées circonscrites, ulcératives et prurigineuses, légère conjonctivite. Homme : lésions cutanées papulovésiculeuses. Très rare. Rage Chat : atteinte progressive du système nerveux central. Homme : atteinte progressive du système nerveux central. Chat : morsure, ingestion, inhalation. Homme : morsure, ingestion, inhalation. Répartition régionale ; une transmission directe par le chat peut survenir. H5N1 (grippe aviaire) Chat : symptômes grippaux (?). Homme : fièvre, maux de tête, courbatures, fatigue, toux, gêne respiratoire. Chat : contamination aérienne, par contact direct (sécrétions respiratoires et matières fécales des animaux malades) ou indirect (exposition à des matières contaminées). aérienne, essentiellement lors de contacts étroits, prolongés et répétés dans des espaces confinés avec des sécrétions respiratoires ou des déjections d animaux ou d homme infectés, par voie directe ou indirecte (surfaces et/ou mains souillées par les déjections). Très rare et très récemment décrit ; aucun cas d origine Références (1) BUTERA ST et coll. Survey of veterinary conference attendees for evidence of zoonotic infection by feline retroviruses. J Am Vet Med Assoc. 2000;217(10): (2) DOWNING D. HIV and pet ownership. STEP perspect. 1995;7(1): (3) GEFFRAY L. Infections associated with pets. Rev Med Interne. 1999;20(10): (4) GRANT S et coll. Preventing Zoonotic Diseases in Immunocompromised Person : the Role of physicians and veterinarians. Emerg Infect Dis. 1999;5: (5) QUINN PJ et coll. Veterinary microbiology and microbial disease. Ed Blackwell scientific publishing. 2001:213. (6) SIEGEL JM et coll. AIDS diagnosis and depression in the Multicenter AIDS Cohort Study : the ameliorating impact of pet ownership. AIDS Care. 1999;11(2): (7) SKERGET M et coll. Cat or dog ownership and prevalence of Erlichiosis, Q fever, and cat-scratch disease. Emerg Infect Dis. 2003;9: (8) WALLACE MR et coll. Cats and toxoplasmosis risk in HIV-infected adults. J Am Vet Med Assoc. 1993;269:76-77.
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