Phase Pré-programmation Analyse HQE du Site. Groupe scolaire élémentaire Site Caserne de Bonne - Grenoble
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- Benjamin Cousineau
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1 PRESENTATION Phase Pré-programmation Analyse HQE du Site Groupe scolaire élémentaire Site Caserne de Bonne - Grenoble
2 Groupe scolaire élémentaire PRESENTATION
3 METHODE IMPLANTATION 1 - IDENTIFICATION DES DESSERTES Transports Voiries i Accès Stationnements
4 1 - IDENTIFICATION DES DESSERTES Plan de masse Parcelle desservie par le réseau viaire essentiellement sur un côté, Priorité aux flux piétons (pour 5 côtés / 6 de la parcelle), Structure assurant les besoins de proximité, Pé Prévision i de 18 classes (2 x 9), et 476 élèves Une unité de restauration (270 rationnaires i en 2 rotations), ti Surface utile de 2300 m² + cours de 1900 m², sur parcelle de 3500 m².
5 1 - IDENTIFICATION DES DESSERTES Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Positionnement envisagé des bâtiments très structurants, construisant les limites de la parcelle (front de parc, et alignement urbain), Implantation demandée des bâtiments
6 1 - IDENTIFICATION DES DESSERTES Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Accès principal Accès principal sur parc et amphithéâtre végétal, devant être parfaitement traité, marquage fort du projet, mais transparence et légèreté indispensable, espace sensible. Accès principal
7 1 - IDENTIFICATION DES DESSERTES Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Accès principal Accès livraison Accès techniques envisageables sur rue de Narvik, pour proximité du réseau viaire. Accès livraisons
8 1 - IDENTIFICATION DES DESSERTES Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Accès principal Accès livraisoni Aire livraison Organisation de l espace pour gérer le stationnement ponctuel. Accès + aire livraisons
9 1 - IDENTIFICATION DES DESSERTES Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Accès principal Accès livraisoni Aire livraison Accès déchets Aire déchets Intégration de l aspect multifonctionnel de l espace espace. Accès + aire déchets
10 1 - IDENTIFICATION DES DESSERTES Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Accès principal Accès livraisoni Aire livraison Accès déchets Aire déchets Accès personnel Aire dépose minute Articulation forte avec la ville et l espace urbain. Accès personnel + dépose minute
11 1 - IDENTIFICATION DES DESSERTES Limite it de la parcelle Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Accès principal Accès livraison Aire livraison Accès déchets Aire déchets Accès personnel Aire dépose minute Stationnement crèche Stationnement crèche + personnel? Espace sensible à travailler avec soins.
12 1 - IDENTIFICATION DES DESSERTES Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Accès principal Accès livraisoni Aire livraison Accès déchets Aire déchets Accès personnel Aire dépose minute Stationnement crèche Passage public? Passage public éventuel?
13 CONSTAT DU THEME 1 - IDENTIFICATION DES DESSERTES La zone à l angle de la rue Narvik et de l allée du Jardin Hoche, est une articulation importante avec la ville; elle doit être traitée avec soins, pour garantir : Une grande praticité dans la gestion des flux (aire de dépose scolaire, aire de livraison, aire d enlèvement des déchets, entrée secondaire pour le personnel, espace de stationnement ponctuel, voire permanent devant l espace crèche), Un traitement architectural qualifiant depuis la ville, l édifice scolaire et sa fonction, Une continuité visuelle à travers l espace central nécessaire à appréhender la fonction de l édifice depuis la zone, Un traitement de sol et un marquage signalétique renforçant le statut demandé à l espace, Une structuration de la zone en «limite épaisse», intégrant l ensemble des Une structuration de la zone en limite épaisse, intégrant l ensemble des fonctions citées ci-dessus sans risques de perturbations croisées.
14 METHODE IMPLANTATION 2 TRAITEMENT DES LIMITES Enceinte Oi Orientation ti Topographie
15 2 TRAITEMENT DES LIMITES Implantation au sein d un parc urbain, Projet assurant l articulation entre espace urbain et espace paysager, Projet construisant les limites de la parcelle, en front de parc, comme sur l alignement urbain, Majeurement orienté sur l espace piéton (5 côtés / 6), Zone interne créant la connexion avec la crèche et la liaison avec le parc. Caractérisation des limites de la parcelle
16 2 TRAITEMENT DES LIMITES Espace minéral urbain Statut privilégié de l allée du Jardin Hoche, interface minérale entre la ville et l école Ancrage avec le réseau viaire, Une voie d accès principale
17 2 TRAITEMENT DES LIMITES Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Matérialité de l entrée par la présence du parvis, Création d une continuité spatiale en articulation entre la ville eet le epac, parc, Une articulation spatiale
18 2 TRAITEMENT DES LIMITES Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Limite «épaisse» Nécessité d un ancrage urbain fort, pour conserver la lisibilité de l institution depuis le réseau viaire, Traitement de l espace (architecture, revêtement de sol, mobilier urbain, zone d attente), à travailler avec beaucoup de soins Une limite épaisse structurante
19 2 TRAITEMENT DES LIMITES Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Limite «épaisse» Zone d articulation avec la ville Reflexion sur une articulation des flux sur cet espace (accès enseignants et personnels techniques, livraisons, sortie déchets), et des implications en terme architectural, spatial, et de sécurité. Une articulation urbaine
20 2 TRAITEMENT DES LIMITES Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Limite «épaisse» Zone de «couture» avec la ville Perméabilités visuelles à maintenir depuis les espaces extérieurs Réflexion sur la nécessité de ménager des perméabilités visuelles depuis certains espaces extérieurs (parvis, parc, dépose). Des perméabilités visuelles
21 2 TRAITEMENT DES LIMITES Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Limite «épaisse» Zone de «couture» avec la ville Perméabilités visuelles à maintenir depuis les espaces extérieurs Continuité visuelle du mail vers la place Maintien demandé de la continuité visuelle depuis le mail vers l espace central. Une continuité struturante
22 2 TRAITEMENT DES LIMITES Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Limite «épaisse» Zone de «couture» avec la ville Perméabilités visuelles à maintenir depuis les espaces extérieurs Continuité visuelle du mail vers la place Végétal interne Espace central végétal en articulation avec la crèche et le parc. L articulation végétale
23 2 TRAITEMENT DES LIMITES Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Limite «épaisse» Zone de «couture» avec la ville Perméabilités visuelles à maintenir depuis les espaces extérieurs Continuité visuelle du mail vers la place Végétal interne Minéral interne Espace central minéral en articulation avec le parvis et la ville. L articulation minérale
24 CONSTAT DU THEME 2 TRAITEMENT DES LIMITES Le groupe scolaire articule l espace urbain avec le parc : Il doit qualifier l institution institution, tout en s ancrant sur ces deux espaces, De ce fait, le traitement architectural du bâti, comme des espaces extérieurs, doit qualifier l édifice scolaire aussi bien depuis la ville (limite fonctionnelle épaisse de la zone de dépose), que depuis la place (statut du parvis et de l entrée), ou encore depuis le parc (articulation avec l espace paysager). Ce besoin d articulation impose de laisser des percées visuelles directes, afin de créer des effets «dedans dehors», favorisant ces ancrages. La transversale du mail planté en direction de l espace central de la place, maintient un axe structurant. La continuité visuelle réduit l effet de blocage dû à la position du groupe scolaire en bout de l îlot, sur l amphithéâtre de verdure. Une structuration de l espace Sud en «limite épaisse», intégrant l ensemble des fonctions techniques, participe à créer le recul nécessaire pour marquer l institution sur cette zone en articulation avec la ville,
25 METHODE IMPLANTATION 3 CONTRÔLE CLIMATIQUE Ensoleillement Vents Précipitations
26 3 CONTRÔLE CLIMATIQUE Parcelle en multi-orientations, Une obligation de structurer l espace urbain, conduisant à une implantation de bâtiments au droit des limites de la parcelle, Situation imposant des linéaires orientés en majorité vers l Est et l Ouest (aucun linéaire en orientation franche au Nord et au Sud), Une orientation Nord Ouest à Nord Est dégagée vers le parc, sensible aux effets du vent. Organiser le confort climatique sur la parcelle
27 3 CONTRÔLE CLIMATIQUE Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Nécessité de bâtiments fragmentés, maintenant ces multi-orientations, Architecture ouverte (évidement, mise sur pilotis, niveau «flottant»), augmentant la sensibilité thermique de l édifice, Situation imposant des protections thermiques et climatiques très performantes pour l ensemble des façades, Sensibilité du bâti
28 3 CONTRÔLE CLIMATIQUE Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Roue solaire Course solaire hiver En hiver : La cour intérieure doit pouvoir bénéficier du soleil hivernal (végétation caduque, concept architectural), Les façades doivent profiter des entrants solaires gratuits lorsque cela est possible, Apport solaire hivernal
29 3 CONTRÔLE CLIMATIQUE Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Roue solaire Course solaire hiver Gradients de sensibilité des façades en été Les façades Ouest - Sud Ouest sont les plus sensibles, notamment le bâtiment entrée dont l inertie linertie sera plus faible, Toutes les façades nécessitent des protections thermiques et visuelles très performantes, Contrôle solaire estival
30 3 CONTRÔLE CLIMATIQUE Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Roue solaire Course solaire hiver Gradients de sensibilité des façades en été Végétal / espace central Le végétal doit participer au contrôle climatique de l espace central, avec réversibilité de l effet leffet en hiver, Protection végétale
31 3 CONTRÔLE CLIMATIQUE Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Roue solaire Course solaire hiver Gradients de sensibilité des façades en été Végétal / espace central Vent en hiver et en été Les façades sur parc (notamment l entrée), seront sensibles aux vents en hiver, Effets des vents hiver et été
32 3 CONTRÔLE CLIMATIQUE Bâtiments R+2 Articulation volumes Bâtiment R+1 seul Roue solaire Course solaire hiver Gradients de sensibilité des façades en été Végétal / espace central Vent en hiver et en été Zone de drainage des eaux pluviales Favoriser le drainage des eaux pluviales de l espace central. Drainage des eaux pluviales
33 CONSTAT DU THEME 3 CONTRÔLE CLIMATIQUE La parcelle impose pour des contraintes d alignement aux limites, des orientations thermiques très sensibles à l ensemble des bâtiments : Façades majoritairement en orientation Est et Ouest, Bâtiment entrée à faible inertie (sur pilotis), et orientation très sensibles de la façade intérieure i (Sud Ouest). Risques thermiques importants t en confort d été, Bâtiment sur parc prévu évidé en RDC, avec un pignon plein Ouest. Façade Sud Est bénéficiant de l ensoleillement matinal,et plus facile à contrôler, Bâtiment sur allée Jardin Hoche, à plus forte inertie potentielle, mais avec façades orientées en Est et Ouest, Protections solaires et visuelles indispensables pour la totalité des façades du projet, très grande attention à la qualité du confort d été du fait de la réduction sensible de l inertie de certaines parties, Retenir des matériaux à forte inertie à surventiler en phase nocturne, travailler sur le concept de paroi (limite épaisse) pour assurer une protection des surfaces vitrées comme de la masse du bâti.
34 METHODE IMPLANTATION 4 INSERTION PAYSAGERE Bâti Minéral Végétal
35 4 INSERTION PAYSAGERE Articuler les espaces du projet (minéral comme végétal), avec l environnement de proximité, Concevoir une architecture favorisant l articulation entre espace bâti et non bâti, entre ville et espace naturel, Retrouver cette articulation dans le concept de façade, comme dans les matériaux, Utiliser le végétal dans toute sa dimension (balisage, transparence, protection climatique, filtrage acoustique), Intégrer le projet dans son environnement
36 4 INSERTION PAYSAGERE Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Façades urbaines minérales, en articulation sur la ville, Rapport urbain minéral
37 4 INSERTION PAYSAGERE Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Espace minéral interne Espace central minéral en liaison avec les façades urbaines minérales, Rapport urbain minéral
38 4 INSERTION PAYSAGERE Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Espace minéral interne Espace végétal interne Espace central végétal en liaison avec les façades naturelles du parc, Rapport urbain végétal
39 4 INSERTION PAYSAGERE Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Espace minéral interne Espace végétal interne Limite opaques Limites construites minérales (front massif) en liaison avec les façades urbaines minérales Rapport urbain minéral
40 4 INSERTION PAYSAGERE Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Espace minéral interne Espace végétal interne Limites opaques Limites transparentes Limites construites transparentes (pilotis) en liaison avec les façades urbaines végétales Rapport urbain végétal
41 4 INSERTION PAYSAGERE Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Espace minéral interne Espace végétal interne Limite opaques Limite opaques Intégration visuelle Intégration visuelle de l espace central dans le parc urbain, Rapport urbain végétal
42 4 INSERTION PAYSAGERE Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Espace minéral interne Espace végétal interne Limite opaques Limite opaques Intégration visuelle Traitement végétal Traitement végétal envisagé pour l espace externe et prolongé pour l espace lespace central, Traitement végétal
43 4 INSERTION PAYSAGERE Espace minéral urbain Parvis d accès à l édifice Espace minéral interne Espace végétal interne Limite opaques Limite opaques Intégration visuelle Traitement végétal Traitement végétal complémentaire dans l espace central, pour le contrôle des nuisances (voir ci-après), Traitement végétal complémentaire
44 CONSTAT DU THEME 4 INSERTION PAYSAGERE Le traitement bâti, minéral et végétal doit participer à articuler l ensemble du projet avec l espace urbain : Les façades sur l allée du Jardin Hoche peuvent être plus massives et minérales, Les façades sur l entrée et le parc doivent être plus légéres et végétales, L espace central doit assurer la continuité visuelle entre le parc et la ville, Les façades bâties doivent intégrer dans leur traitement (façade épaisse), cette transition urbaine, mais également permettre : la maîtrise climatique, le contrôle visuel et l éclairement le traitement acoustique Le végétal doit : baliser l espace (disposition iti et implantation ti par rapport aux façades), Garantir la transparence (haute tiges pour libérer la vision), Contrôler l ensoleillement et la lumière, Filtrer partiellement les nuisances acoustiques (hautes tiges voir nuisances).
45 METHODE IMPLANTATION 5 GESTION DES RESSOURCES EnR Réseaux Disponibilités locales
46 5 GESTION DES RESSOURCES Utiliser au mieux le solaire passif, Profiter des ressources locales, Initier l usage des EnR. Bénéficier des ressources locales
47 5 GESTION DES RESSOURCES Façades captatrices Certaines façades pourront bénéficier de l ensoleillement en hiver. Leur concept devra permettre d utiliser au mieux cette énergie gratuite, sans risques de surchauffes estivales. Solaire passif
48 5 GESTION DES RESSOURCES Façades captatrices Ventilation naturelle des façades Un concept de façade «épaisse» peut être mis à profit pour bénéficier de ventilation traversante en façade en été et demi saison (vents au Sud). Ventilation traversante
49 5 GESTION DES RESSOURCES Façades captatrices Ventilation naturelle des façades Capteurs solaires à eau L éloignement des corps de bâtiment sur la parcelle permet d envisager l utilisation de capteurs solaires pour le pré-chauffage de l ECS (restauration). Il est nécessaire d intégrer ce dispositif dès l approche architecturale de l esquisse, compte tenu de la nature de 5ème façade de l ensemble des toitures. Capteurs solaires à eau
50 5 GESTION DES RESSOURCES Façades captatrices Ventilation naturelle des façades Capteurs solaires à eau Capteurs photovoltaïques Selon les besoins et/ou la vocation pédagogique de cet usage, il peut être envisagé la mise en œuvre de panneaux photovoltaïques en toiture (éclairage extérieur,..) Comme précédemment, il est nécessaire d intégrer ce dispositif dès l approche architecturale de l esquisse, compte tenu de la nature de 5ème façade de l ensemble des toitures. Capteurs photovoltaïques
51 5 GESTION DES RESSOURCES Façades captatrices Ventilation naturelle des façades Capteurs solaires à eau Capteurs photovoltaïques Pompe à chaleur La présence d une nappe d eau abondante sur le secteur de Grenoble, permet d envisager son usage dans la production d energie thermique (PAC eau / eau). La nappe peut également permettre si nécessaire un apport de frigories en été dans certaines zones (plancher direct sur nappe), Utilisation de la nappe
52 5 GESTION DES RESSOURCES Façades captatrices Ventilation naturelle des façades Capteurs solaires à eau Capteurs photovoltaïques Pompe à chaleur Chauffage Urbain La présence d un réseau de chaleur urbain sur le secteur de Grenoble, permet d envisager son usage dans la production d energie thermique (échangeur / réseau). La nappe peut toujours permettre un apport de frigories en été dans certaines zones (si plancher chauffant envisagé), Réseau de chaleur urbain
53 CONSTAT DU THEME 5 GESTION DES RESSOURCES Le projet se doit d utiliser au mieux les ressources disponibles du site : L ensoleillement en hiver reste limité compte tenu des orientations du projet, certaines façades pourront cependant utiliser le solaire passif, La position des toitures et la distance aux bâtiments de proximité, permettent l implantation de capteurs solaires à eau (ECS pour la restauration), ou de panneaux photovoltaïques (intérêt financier à valider selon usage), La présence d une nappe d eau importante doit assurer la mise en œuvre d un dun principe de production thermique par pompe à chaleur (PAC), La présence du réseau de chaleur permet également la production de chauffage, par un échangeur raccordé au réseau, Ces principes favorisent des émetteurs à basse température (type plancher chauffant). L usage de planchers à eau permettrait d envisager si nécessaire un complément de traitement en été par échange direct sur la nappe phréatique.
54 METHODE IMPLANTATION 6 MAÎTRISE DES NUISANCES Pollutions Sonores Visuelles Risques Olfactives Technologiques Naturels Déchets
55 6 MAITRISE DES NUISANCES Contrôler le maintien du droit au soleil des bâtiments et espaces centraux, Prévoir un traitement acoustique de qualité des espaces internes sensibles, Préserver les riverains des nuisances sonores générées par le groupe scolaire, Assurer une bonne qualité d air dair au sein des zones, Maîtriser les nuisances visuelles, Contrôler les nuisances olfactives. Maîtriser les nuisances de proximité
56 6 MAITRISE DES NUISANCES Il est demandé au projet de respecter une hauteur de 3 niveaux sur les façades coté Parc et allée du Jardin Hoche, et 2 niveaux sur la place centrale. Cette hauteur maintient un ensoleillement suffisant de l espace central. Toutefois une réduction d un étage du dernier tiers du bâtiment Sud, augmenterait sensiblement l ensoleillement de l espace central et de la cour de la crèche. Compte tenu de sa position au Nord de la Crèche, le projet perturbe globalement peu l ensoleillement de celle-ci ci en hiver. Effet de masque sur l environnement
57 6 MAITRISE DES NUISANCES Pour des raisons de praticité (accés au réseau viaire, livraison), l espace de restauration doit être sur le corps de bâtiment Sud. De ce fait, il peut être intéressant de regrouper les différentes fonctions administratives et techniques, sur le premier niveau de ce bâtiment. Les salles de cours sont ventilées sur les espaces supérieurs et les autres corps de bâtiments. Cette disposition permet un meilleur séquençage des espaces (zonage acoustique, thermique, et fonctionnel). Répartition des espaces
58 6 MAITRISE DES NUISANCES Nuisance sonore de la cour Le traitement acoustique le plus sensible sera le niveau sonore de la cour de récréation vis à vis des bâtiments et espaces de proximité, Nuisance acoustique
59 6 MAITRISE DES NUISANCES Nuisance sonore de la cour Amortissement des parois Le traitement des façades devra tenir compte d un nécessaire effet d amortissement acoustique, à travers les formes et les matériaux utilisés. Il est indispensable d éviter déviter un effet complémentaire de réflexion de l onde sonore sur les parois et de concentration vers la crèche et/ou les bâtiments de proximité. Amortissement par les façades
60 6 MAITRISE DES NUISANCES Nuisance sonore de la cour Amortissement des parois Amortissement du végétal Le végétal doit participer au traitement acoustique de la cour, La cour se trouvant en contre bas, des arbres à haute tige sont préferables pour laisser une bonne transparence visuelle et amortir l onde sonore, De même, la position du bâtiment d entrée en R+1 est intéressante pour réduire la propagation vers les immeubles d habitation habitation. Amortissement par le végétal
61 6 MAITRISE DES NUISANCES Nuisance sonore de la cour Amortissement des parois Amortissement du végétal Effet des dispositifs C est dans le croisement de plusieurs dispositifs que doit être réaliser le contrôle de la nuisance acoustique de l espace central. Amortissement multiples
62 6 MAITRISE DES NUISANCES Nuisance sonore de la cour Amortissement des parois Amortissement du végétal Effet des dispositifs CTA extraction ti restaurant t Il sera nécessaire de contrôler également les nuisances sonores du traitement d air, et notamment des tourelles d extraction du restaurant (niveau d émergence en zone d habitat) habitat). Extraction d air
63 6 MAITRISE DES NUISANCES Nuisance sonore de la cour Amortissement des parois Amortissement du végétal Effet des dispositifs CTA extraction ti restaurant t Traitement des fumées Il sera nécessaire de contrôler également les nuisances olfactives issues des tourelles d extraction du restaurant (immeubles d habitation ou crèche sous vents dominants en hiver). Nuisances olfactives
64 6 MAITRISE DES NUISANCES Nuisance sonore de la cour Amortissement des parois Amortissement du végétal Effet des dispositifs CTA extraction ti restaurant t Traitement des fumées Traitement dair d air global Réflexion sur le principe de traitement d air, pour maîtrise de l énergie, et en cas de pollution sévère (2 usines sous contrôle SEVESO en périphérie) Qualité de l air
65 6 MAITRISE DES NUISANCES Nuisance sonore de la cour Amortissement des parois Amortissement du végétal Effet des dispositifs CTA extraction ti restaurant t Traitement des fumées Traitement dair d air global Protection visuelle Mise en œuvre systématique de protections visuelles réversibles de qualité, assurant un contrôle de l éblouissement, mais un maintien du FLJ (facteur Lumière du Jour). Qualité de l air
66 6 MAITRISE DES NUISANCES Nuisance sonore de la cour Amortissement des parois Amortissement du végétal Effet des dispositifs CTA extraction ti restaurant t Traitement des fumées Traitement d air global Protection visuelle Circuit dechets Réflexion sur le circuit déchet, et le point central de regroupement (zone restauration pour faciliter l enlèvement) enlèvement). Gestion des déchets
67 CONSTAT DU THEME 6 MAITRISE DES NUISANCES Le projet se doit de contrôler les nuisances en provenance ou générées sur le site : Maîtriser les nuisances acoustiques internes par une implantation judicieuse des espaces et la mise en œuvre de matériaux d isolement et de correction performants, Maîtriser les nuisances acoustiques générées sur l environnement par un traitement des façades sur cour centrale (matériaux d enveloppe, formes architecturales,..), et par l usage judicieux du végétal, interne et externe à l espace, ainsi que l usage de pièges à son performants sur les tourelles d extraction d air et autres appareils, Maîtriser les nuisances olfactives par une position choisie des extracteurs et un filtrage performant des rejets en toiture, Maîtriser la qualité d air dans les espaces, par le principe i retenu, la disposition iti des entrées et rejets d air, ainsi que la possibilité d isolation du circuit en cas de pollution, Contrôler l éblouissement et la qualité d éclairage naturel, par la mise en œuvre de protections performantes et adaptées, Réfléchir au circuit interne des déchets, à la position du local de regroupement, et à son intégration réussie dans l espace espace.
68 METHODE CIBLE HQE 7 PRIORISATION DES CIBLES Matrice d analyse Synthèse
69 MATRICE D ANALYSE
70 MATRICE DE SYNTHESE Groupe scolaire élémentaire Site Caserne de Bonne - Grenoble
71 METHODE D IMPLANTATION 5 GESTION DES RESSOURCES 1 - IDENTIFICATION DES DESSERTES EnR Transports Réseaux Voiries Disponibilités locales Accès 6 MAÎTRISE DES NUISANCES Stationnements 2 TRAITEMENT DES LIMITES Pollutions o Sonores Enceinte Visuelles Orientation Olfactives Topographie Risques 3 CONTRÔLE CLIMATIQUE Technologiques Ensoleillement Naturels Vents Déchets Précipitations 4 INSERTION PAYSAGERE 7 FRAGMENTATION DES ESPACES Bâti Continuité Minéral Discontinuité Végétal. Liens
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