News & Trends dans l'agriculture biologique 2003/04 Consolidation de la croissance

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1 News & Trends dans l'agriculture biologique 2003/04 Consolidation de la croissance par Stefan Odermatt, directeur BIO SUISSE Aujourd'hui, 6'445 exploitations agricoles travaillent selon le cahier des charges de BIO SUISSE et sont donc des exploitations certifiées Bourgeon. Ce nombre correspond à 11,1 % du total des exploitations agricoles suisses. Ces 6'445 fermes s'étendent sur une surface approximative de 110'000 hectares, soit 10,3 % de l'ensemble de la surface agricole utile de Suisse. Entre 1996 et 2004, les surfaces de culture biologique ont presque doublé. L'agriculture biologique est particulièrement présente dans les régions de montagne. La part des surfaces bio y atteint en effet 15,4 % de la surface agricole utile. Dans ce domaine, le canton des Grisons détient sans conteste le record national. Sur les 2'781 exploitations agricoles grisonnes, 1'412 sont des exploitations certifiées par BIO SUISSE, soit un pourcentage supérieur à 50 %! En 2004, 206 exploitations sont en phase de reconversion à l'agriculture biologique. Le nombre des exploitations biologiques passe cette année de 6'239 (2003) à 6'445, ce qui correspond à une croissance de 3,3 %. Entre 2002 et 2003, le taux de croissance affichait une valeur comparable, à savoir 2,6 %. Après les années de croissance frénétique au cours de la décennie 1990 et le nouveau boom enregistré en 2002, nous entrons désormais dans une phase de croissance modérée à long terme. Le mouvement bio et BIO SUISSE entrent dans une période de consolidation. Des taux de croissance à deux chiffres sont hautement improbables dans un proche avenir. Nous ne le regrettons pas. Organisation de producteurs et de label, BIO SUISSE accorde la priorité à une croissance durable du point de vue quantitatif et surtout qualitatif. Il est important dans ce contexte que l'offre et la demande de produits bio soient en équilibre. C'est aujourd'hui globalement le cas (les céréales représentent toujours une exception à cet égard: la production indigène reste toujours inférieure à la demande).

2 Notre objectif: l'équilibre entre l'offre et la demande Dans le domaine de la vente, nous nous engageons en faveur d'une proximité de marché et d'un partenariat actif avec les preneurs de licence. Dans le domaine de la production, nous nous efforçons d'exercer une influence sur les quantités produites par de strictes prescriptions de qualité, par la coordination et la transparence du marché. Notre action se concentre aussi sur le secteur du lait bio afin d'éviter le risque d'une surproduction (voir ci-dessous). Les producteurs de lait Bourgeon gèrent de plus en plus eux-mêmes le contrôle des quantités. Six organisations de producteurs coordonnent déjà près de la totalité du marché du lait bio destiné à l'industrie et le 15 avril 2004 l'assemblée générale décidera à partir de trois modèles la manière dont la coordination du marché du lait bio sera organisée à l'avenir. La volonté de proposer au marché une offre adaptée à la demande est une conviction profondément ancrée pour BIO SUISSE. Cependant, le contrôle des quantités est rendu toujours plus difficile par la libéralisation des marchés. La levée des barrières douanières, l'abolition des mesures de soutien au marché et d'encouragement aux exportations exerceront aussi une pression sur les prix versés aux producteurs. Pour que l'agriculture bio en Suisse reste concurrentielle sur un marché libéralisé, BIO SUISSE n'a d'autre choix que de continuer à s'engager sur la voie qui est déjà la sienne, tant du point de vue de la qualité, de la proximité que de la fiabilité. Le "Bourgeon" reste au centre de nos efforts. Le label doit garantir la qualité, il doit démontrer que tout ce qui est déclaré bio est bio à 100 %, du champ et de l'étable jusqu'à l'assiette du consommateur. Il est essentiel que nos paysannes et paysans bio appliquent les principes bio sur l'ensemble de leur exploitation (le bio n'est pas dissociable sur la ferme!) et que la qualité bio soit garantie à travers toute la chaîne de la production et de la création de valeur. La stratégie de BIO SUISSE Afin de renforcer nos chances sur le marché, BIO SUISSE a défini la stratégie suivante pour les prochaines années: - Contrôles stricts selon le Cahier des charges de BIO SUISSE pour la production, la transformation et le commerce par des entreprises indépendantes de contrôle et de certification au bénéfice d'une licence. Conférence de presse annuelle, le mardi 23 mars 2004 contribution de Stefan Odermatt, page 2

3 - Soutien actif des preneurs de licence lors du développement de produits et par des mesures de marketing et de communication pour les produits Bourgeon. - Ouverture de tous les canaux de distribution potentiels pour les produits de l'agriculture Bourgeon et des preneurs de licence Bourgeon (naturellement en accord avec les principes fondamentaux de l'agriculture biologique). Les chances à l'exportation sont testées. - Engagement en faveur d'un prix juste pour les produits bio. Les prix indicatifs négociés doivent prendre en considération les frais supplémentaires exigés par la production bio et, cas échéant dans la transformation bio. La détermination du prix doit se fonder sur la chaîne de création de valeur dans son ensemble. - Elaboration d'instruments destinés à contrôler les quantités et à prévenir les surproductions (à l'exemple du lait bio). - Pression politique afin que la politique agraire 2007 soit correctement mise en œuvre par la Confédération. L'abolition des mesures de soutien au marché doit être compensée par des paiements directs (par exemple par une prime spécifique pour les vaches laitières nourries au fourrage naturel). L'une des exigences fondamentales de BIO SUISSE est une prime pour les utilisateurs de fourrage naturel est une exigence fondamentale de BIO SUISSE. La Suisse est LE pays de pâtures par excellence. Il convient de stimuler l'affouragement naturel, à base d'herbe et de foin, et de réduire l'attrait des fourrages concentrés, chers et transportés sur de longues distances. Une prime pour les utilisateurs de fourrage naturel est écologiquement judicieuse - elle contribue au maintien d'une économie de pâtures - et financièrement nécessaire car elle offre une alternative aux vaches à haut rendement et à la surproduction laitière. BIO SUISSE continue de s'opposer à la réduction des paiements directs dans le domaine de l'écologie. Dans le cadre des consultations sur la politique agraire 2011, BIO SUISSE défendra ses conceptions de la politique agricole auprès de l'office fédéral de l'agriculture. Conférence de presse annuelle, le mardi 23 mars 2004 contribution de Stefan Odermatt, page 3

4 - Formulation d'exigences sociales minimales ("social standards") afin de ne pas prendre uniquement en compte les préceptes fondamentaux de l'agriculture biologique, mais aussi des principes sociaux et éthiques pour permettre aux producteurs, aux distributeurs et aux transformateurs d'obtenir des prix justes. - Engagement total pour l'interdiction des OGM dans l'agriculture. BIO SUISSE ne ménagera pas ses efforts pour l'acceptation de l'initiative STOP OGM. Défi n 1: le lait bio Le dernier rapport laitier de BIO SUISSE prévoit que les paysannes et paysans bio produiront en 2004 environ 186 millions de kg de lait bio, soit 7 % de plus qu'en La demande augmentera de 6 %, ce qui correspond à un total approximatif de 170 millions de kg. Courons-nous le risque de nous retrouver face à une surproduction? Tel n'est pas le cas. Pour assurer l'approvisionnement régulier du marché pendant toute l'année, une offre légèrement excédentaire est nécessaire. Le problème ne réside pas tant dans la production totale, sinon dans les importantes variations saisonnières. En effet, les exploitations bio produisent beaucoup de lait en hiver et au printemps et nettement moins en été et en automne. Ces variations s'expliquent par le rythme même de la nature. En été, les vaches sont sur les alpages et leur lait sert à la fabrication du fromage d'alpage, un produit saisonnier. Jusqu'en automne, la quantité de lait produite diminue. En hiver, elles mettent bas, leur production augmente et au printemps elles donnent beaucoup de lait grâce à une alimentation à base d'herbe fraîche. Dans l'agriculture biologique, qui est basée à 90 % sur le fourrage naturel, les variations saisonnières de la production sont au moins deux fois plus élevées que dans l'agriculture conventionnelle. Le grand défi pour l'agriculture biologique consiste précisément à atténuer les fluctuations de la production. Le rapport laitier prévoit une croissance de la production de lait bio de 4 % en 2005 et de seulement 2 % en La raison fondamentale de ce fléchissement de la croissance réside dans le fait qu'un nombre inférieur d'exploitations biologiques se trouvent actuellement en phase de reconversion. Par l'adoption de sévères directives relatives à la production, c'est-à-dire par une orientation stricte sur la qualité dans l'élevage des vaches laitières, BIO SUISSE veille à ce que l'offre Conférence de presse annuelle, le mardi 23 mars 2004 contribution de Stefan Odermatt, page 4

5 n'échappe pas à tout contrôle. De strictes prescriptions relatives à l'utilisation des engrais, l'interdiction des taureaux issus de transferts d'embryons, l'obligation pour les éleveurs d'acheter leurs animaux à des éleveurs bio, l'interdiction du dresse-vache électrique, la limitation de l'utilisation de fourrage concentré, la suppression totale à moyen terme de la part d'aliments conventionnels autorisée (aujourd'hui 10 %) ou le recours à l'homéopathie dans les étables sont les mesures de qualité les plus récentes. D'autre part, nous exigeons des entreprises de transformation de dissocier le lait bio du lait conventionnel et de verser un juste dédommagement correct pour le supplément de travail occasionné par la production de lait bio. Le nombre nettement plus faible d'exploitations en reconversion en 2004 est aussi un signal d'alarme. Des prix trop bas peuvent être à l'origine d'un approvisionnement insuffisant du marché bio dans un avenir proche. Nous maintenons notre exigence fondamentale: le supplément de travail exigé par la production de lait bio doit être compensé par une juste différence de prix par rapport au lait conventionnel. Le fourrage bio et le mode d'élevage font toute la différence pour le lait bio Les vaches doivent être nourries à 90 % au minimum avec du fourrage biologique et à 90 % au minimum avec du fourrage naturel. BIO SUISSE interdit les aliments à base de protéines ou de graisses animales, le recours à des additifs chimiques de synthèse ainsi que l'administration prophylactique de médicaments chimicothérapeutiques. Les besoins spécifiques de l'espèce sont pris en considération. Pendant la période de végétation, les animaux sortent au minimum 26 jours par mois (à titre d'exception 20 jours par mois) sur les champs et disposent ainsi de possibilités suffisantes pour s'ébattre et se livrer à leurs activités de prédilection. En hiver, les animaux doivent sortir au minimum 13 jours par mois. Les conditions pour un lait de grande qualité sont un élevage adapté à l'espèce et l'affouragement naturel des animaux. La haute proportion d'herbes odorantes dans les pâturages de montagne donne un lait bio à la saveur caractéristique, légèrement épicée. Conférence de presse annuelle, le mardi 23 mars 2004 contribution de Stefan Odermatt, page 5

6 Défi n 2: la viande bio L'élevage représente un aspect important de la notion de cycle naturel telle qu'elle est comprise en agriculture biologique. Les animaux bio nous ravitaillent en lait, en viande, en œufs, mais fournissent aussi du purin et du fumier pour l'amendement des champs et des prairies bio. A l'instar du lait et du fromage, la viande fait aussi nécessairement partie de l'assortiment bio. Pour des raisons topographiques la Suisse est un pays de montagnes et de prairies l'élevage revêt une signification primordiale pour l'agriculture helvétique. Et la production de viande gagnera encore en importance pour les exploitations biologiques de la zone alpine et/ou des régions excentrées. Aujourd'hui, la situation est paradoxale sur le marché de la viande. D'une part, nous avons enregistré en 2003 une forte croissance pour la vente de bêtes de boucherie bio (en particulier des bovins, très importants pour l'agriculture bio, cf. graphique 18). De l'autre, des goulets d'étranglement dans la distribution de viande bio empêchent le développement de tout le secteur. La commercialisation de la viande bio représente donc une préoccupation essentielle pour BIO SUISSE et un important défi à relever. Conférence de presse annuelle, le mardi 23 mars 2004 contribution de Stefan Odermatt, page 6

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