Victor Tutugoro, 2 ième vice-président de la province Nord

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1 Thème 3. Activité extractive et ruralité : les liens entre activité extractive et ruralité dans une perspective de développement durable Le point de vue des collectivités Victor Tutugoro, 2 ième vice-président de la province Nord L'intervention que je vais faire au nom de la province Nord se déclinera sur trois rubriques : les constats et les enjeux, les principales politiques actuelles et leurs évolutions souhaitées vers davantage de durabilité. L usine du Nord focalise aujourd hui l attention lorsque l on parle de la mine. C est surtout ce secteur qui a fondé les perspectives de décollage de la province Nord lorsque nous avons décliné nos politiques publiques provinciales en La mine et l industrie sont bien évidement centrales dans la construction des orientations générales. On entend souvent : «elle donne le ton et le tempo», «elle induit tout le reste», etc. Toute l idée est alors d être volontariste - sinon ça ne se fait pas naturellement - pour décupler les impacts positifs attendus et maîtriser les impacts négatifs. Ces politiques publiques ont donc orienté l'action provinciale sur deux axes : Le soutien à l'investissement structurant adossé à l'usine du Nord ; L'organisation de la répartition des induits de ces pôles structurants envers le reste du territoire provincial. La logique globale d intégration du secteur minier dans les enjeux provinciaux est aussi recherchée à des échelles plus locales. C'est le cas à Tiébaghi, à Poum ou à Canala. Il faut également différencier les «gros» projets sur lesquels la province a une influence directe, des sites de moindre ampleur sur lesquels la province n a qu un rôle d accompagnement dans les cadres de ses compétences. De ce fait les interventions et les discussions dans le groupe de travail réuni pour écrire cette présentation, ont tourné essentiellement autour du Koniambo et sur deux niveaux : L'accueil du complexe industriel impliquant directement les compétences provinciales ; L'accompagnement public de ce projet en synergie avec les communes de VKP et notamment en matière d'aménagement et d'infrastructure.

2 La question du temps est aussi très présente et peut se décliner en deux grandes problématiques : Comment adopter une vision sur le long terme (qui est jugée indispensable pour ne pas préparer des bombes à retardement, sociales, économiques et environnementales) et répondre à toutes les préoccupations immédiates et très prenantes de cette période de décollage? Comment profiter et faire profiter au mieux les acteurs locaux de la phase de construction, et en même temps anticiper l accompagnement de la phase d exploitation? Comment gérer l articulation entre ces deux phases, sachant que les problématiques sont très différentes et que les bonnes décisions pour gérer la première peuvent être préjudiciable à la bonne gestion de la seconde? Constats et enjeux La dimension politique du secteur minier Le projet Koniambo est éminemment politique ; l accord de Bercy est symbolique de cette dimension. La communication sur cette dimension politique est ancienne et se maintient. De même, si les politiques publiques en matière minière sont déclinées sous le secteur économique, leur mise en œuvre dans ce cadre ne prend pas seulement en compte l'aspect économique, mais aussi l'impact social et environnemental. Le projet politique de rééquilibrage est aussi très surveillé. La vigilance est grande et le restera, tant de la part du monde économique que des coutumiers, en interne et en externe. La dimension territoriale L usine du Nord a une dimension territoriale affirmée. L idée est bien de ne pas rester dans une logique d enclave et d appréhender l usine dans toutes ses conséquences pour toute la population provinciale. Cette vision est obligatoire aussi parce qu il y a du monde autour. Les allers et retours entre la mine et l agriculture, mais aussi l artisanat, sont connus et ont impacté l histoire de la province ; la mine happe la main-d œuvre. Il faudra gérer ces articulations pour maîtriser les déséquilibres potentiels, et cela à l échelle du territoire tout entier. Les principaux leviers Les points focalisant l attention sont : L emploi direct, indirect, induit, avec des enjeux différents pour la phase de construction - emplois directs et indirects - et pour la phase d exploitation - emplois induits ; La croissance démographique liée au pôle métallurgique avec ses effets économiques d entraînement, à condition de réorienter les flux dans la province et non plus vers Nouméa ; La structuration des marchés pour exploiter les nouveaux débouchés potentiels et pérenniser le tissu économique de la province. Les impacts négatifs attendus Les impacts environnementaux de la gestion des sites miniers sont bien sûrs très présents. Un gros dossier concerne les méthodes d exploitations et des techniques employées et leurs impacts. La province a bien conscience que ses interventions sur la nature

3 entraîneront des effets sur l'environnement ; l idée est alors de maîtriser au mieux ces changements pour en atténuer les effets. Les risques de concurrence par des personnes extérieures sont très importants. On aura des retombées, mais certaines ne pourront pas bénéficier aux gens du Nord. Et même dans les secteurs où le Nord est présent, l arrivée de nouveaux acteurs concurrentiels est déjà à l œuvre. L accroissement démographique comporte aussi des risques forts, surtout sociaux, ce qui peut entraîner des conflits entre les communautés, amener de la délinquance, perte de pouvoir du monde coutumier, etc. Les effets plus difficiles à appréhender sont les effets plus diffus de long terme, les dommages collatéraux peu visibles à court terme, notamment sur l organisation sociale et l environnement. Il faut avoir des outils pour observer ces risques diffus. Principales politiques actuelles Depuis le début, notamment en 2004 et 2005, la communication, en particulier par Falconbridge, est très forte sur les dimensions politique et territoriale du projet. Cette communication s est, du reste, faite en se focalisant un peu trop sur le seul projet Koniambo, et pas sur les autres sites miniers de la province. Les études d impacts, y compris sur les aspects sociaux, ont été nombreuses, plus de 10, dont l étude d impact environnemental et l étude Ineris prônant 44 recommandations. Elles ont dépassé largement ce qui est prévu légalement. Le comité Koniambo regroupant les différentes institutions concernées - a été créé très tôt, suivi par un comité environnemental et par l organisation de KNS, avec un service des relations externes important ; un observatoire participatif des impacts sociaux est en construction. Ce projet a été le premier à être aussi encadré et discuté. La gestion du projet par rapport aux communautés et notamment aux coutumiers est spécifique, du fait des choix initiaux et de la dimension politique et territoriale de l usine. Le phénomène des chefferies minières n est pas présent dans le Nord, en tout cas, pour le moment, pas dans la zone VKP. L attention a été forte sur l implication ou du moins sur l approbation des coutumiers. L accord initial (le procès-verbal de 2002 à Voh) a été fait avant que tout ne démarre. Même si des remises en cause de ce procès-verbal émergent, ça a été globalement bénéfique. Les synergies entre acteurs économiques, industriels, institutions, partenaires consulaires, coutumiers, se sont mises en place pour maximiser l implication et la participation des acteurs économiques locaux, sur le principe d un cercle concentrique : VKP, province Nord, Nouvelle-Calédonie et extérieur. Pour le dragage du chenal le même effort d explication a été conduit. Cependant on voit que les accords avec le prestataire ne sont pas tous respectés, d où des grincements. Cette communication peut être préjudiciable et amplifier les mécontentements si les promesses ne sont pas tenues. Pour l instant, les gens sont moins attentifs à cause du décollage et de toutes les possibilités d emploi, mais cette situation va se renverser et la vigilance sur les aspects environnementaux devrait s intensifier. C est un projet longuement négocié avec les coutumiers, qui les a rendus acteurs, avec en plus la promesse d une implication forte dans la gestion des impacts. L implication vient aussi du fond : les coutumiers perçoivent l importance politique du projet pour porter le discours indépendantiste. La mine étant un argument central du rééquilibrage, les relations avec les communautés ne se passent pas comme dans le Sud. Ce travail et cette vision sont globalement payants jusqu à présent, mais ils imposent aussi des efforts particuliers parce que les attentes sont fortes et que la vigilance sera grande.

4 Par ailleurs, si la province s est engagée et peut raisonner dans le long terme - avec des temporalités proches des habitants et un regard sur l après construction, voire sur l aprèsusine - l industriel partenaire peut plus facilement changer d option et ses objectifs s en tiennent nécessairement à la vie de l usine. L équilibre se joue aussi avec une multinationale ayant sa stratégie propre. C est pour cela aussi que l action volontariste dans l actionnariat est très importante. Les outils de gestion et d intervention Le schéma minier complète très utilement le travail du comité Koniambo, mais pour l instant, il s agit surtout de chartes édictant des bonnes conduites, de documents de bonnes intentions. L efficacité de ces outils n a pas encore été testée ; ils vont dans la bonne voie, mais il faudra être attentif à leur capacité à arbitrer. Le plan d action économique et le Codev cherche à accroître la production agricole sur des filières données, pour profiter au maximum des marchés attendus. L idée est de ne pas augmenter en concentrant trop - tant sur les exploitations que sur les produits - mais que le plus de monde puisse en profiter. Là encore, la province souhaite répondre à la fois aux besoins de l usine dans sa phase de construction, mais en pensant aussi à la phase d exploitation. Les marchés et produits sont différents pour ces deux phases. C est la seconde qui compte, en créant par exemple des internats ou des pôles urbains. Dans tous les cas, l amélioration de la qualité et surtout de la régularité des productions, pour répondre à une logique industrielle et urbaine de la demande, est au cœur des préoccupations. Les Ogafs cherchent aussi à aller dans le sens de profiter des nouvelles opportunités sur la côte Ouest pour lancer des projets agricoles sur la côte Est. Le problème ici est que ces objectifs ne sont pas forcément partagés par les gens ; un décalage a pu intervenir entre les objectifs affichés, notamment par exemple pour le Gapce, et les aspirations réelles des agriculteurs. L idée est d alterner les politiques et de laisser le choix aux gens de se professionnaliser ou non. Ainsi, pour la pêche, la réglementation et les efforts de structuration cherchent à préserver la capacité de ceux qui n ont que cela pour profiter au mieux des effets attendus de l usine. Mais cela n exclut pas d encourager des pratiques plus traditionnelles ou vivrières, en leur permettant de mieux maîtriser l arrivée de l usine, dans le respect de leurs modes de vie. Dans cet ordre d idée, les centres de tri sont pensés pour aider les agriculteurs à atteindre des marchés qu ils auraient du mal à intégrer seuls, et pour les aider à lutter contre l organisation passée des marchés dominés par les colporteurs. Mais des conflits d intérêts interviennent, qui soulèvent bien la question du niveau d interventionnisme souhaitable : pas assez ouvre la concurrence dans des conditions défavorables, trop est un frein à l initiative privée. Sur les autres secteurs, l effort se porte sur la diversification, avec la création de zones artisanales et d infrastructures d appui par les sociétés d économie mixte, et le soutien au BTP. L appui aux entreprises naissantes est aussi prioritaire, même si c est difficile. L idée est ici de partir de ce que les gens savent déjà faire et de les accompagner progressivement pour qu ils soient concurrentiels. La difficulté réside dans le fait que la préférence des diplômés va à l administration et au salariat plus qu à l entreprise. Il faut alors proposer davantage de choix crédibles et laisser les gens choisir. Il est également difficile de penser à l avenir, sachant que les marchés s ouvrent sur l usine et qu ils deviennent prioritaires. Les entrepreneurs ont alors du mal à se projeter dans la période d exploitation qui marquera un changement d activités.

5 La formation Un important travail a été fait sur la formation, en particulier pour l usine du Nord. Des efforts portent spécifiquement sur la phase de construction. Les besoins de long terme ou pour la phase d exploitation sont traitées à travers les compétences provinciales en collaboration avec les autres partenaires du pays. Ces orientations sont plus difficiles à prendre, parce que les besoins sont plus difficilement indentifiables et les partenaires plus nombreux. La poursuite de l engagement dans la formation des cadres reste prioritaire, mais une attention de plus en plus forte est portée sur la formation professionnelle. Evolutions souhaitées des politiques vers davantage de durabilité Des articulations plus fortes entre les différents niveaux de décision Des études sont conduites, notamment au niveau des bassins versants sur les questions environnementales. Mais force est de constater que les communes sont les puissances publiques les plus concernées par l'exploitation. D'une part, le service Nouvelle-Calédonie en matière minière pourrait être renforcé au niveau des provinces, mais surtout, les articulations entre ces niveaux devraient être plus importantes. Cela revient aussi à renforcer et à préciser les partenariats mairie provinces - Nouvelle-Calédonie. L implication et la participation des populations Les outils de gestion actuels sont en phase de rodage, notamment le comité environnemental, qui pourrait mieux fonctionner. Il faudra aller plus loin et positionner la vigilance citoyenne comme un partenaire à part entière. C est important d une part parce que les habitants ont souvent une vision très pertinente sur les problèmes locaux. D autre part, impliquer le maximum de personnes dans l accompagnement, le suivi et le contrôle des activités minières contribue à maintenir la mine dans sa dimension globale, pour ne pas entrer dans une logique d enclave. Il faut que les opérateurs privés soient soumis au contrôle public et citoyen. Mieux anticiper l après-construction Sur la formation, des progrès sont à faire pour anticiper. On a formé des conducteurs d engin, mais ne va-t-on pas faire des déçus? Il faudra sûrement mieux faire dans cette perspective. C est aussi l idée de s engager dans l accompagnement, à cause du caractère territorial et politique de l usine. De même sur l orientation de l agriculture, les efforts doivent s intensifier et de nouvelles pistes doivent être explorées. Il faudrait notamment trancher plus clairement le rôle des secteurs privés et publics dans le développement. La transformation locale des produits devrait aussi s avérer importante et doit être un champ à mieux explorer. Outre le gain de nouveaux marchés liés à l usine et à l urbanisation, la transformation peut aussi convenir pour ceux qui ont du mal à faire de la qualité. On revient ici aussi sur le suivi. Par exemple, les programmes fruitiers mis en place récemment devraient donner des résultats en 2009 et la province n'a pas forcément de lisibilité. En ce qui concerne l emploi, les programmes ont sûrement trop privilégié l emploi sur mine. " Attention à ne pas créer des malheureux avec leurs camions " entend-on ici et là. L attention devrait alors se porter sur les nouveaux métiers attendus, mais aussi sur une meilleure valorisation de l agriculture et de l artisanat. C est dans ces secteurs que devraient aussi se jouer la gestion raisonnée des aller et retours de la main-d œuvre entre le secteur minier, notamment durant la construction, et les autres secteurs.

6 Conclusion Enfin et pour terminer, la valorisation des ressources minérales au même titre que celle de la biodiversité ne pourra réellement profiter aux citoyens de cette ruralité que si ce concept est exprimé dans les conditions historiques et sociales du pays. Penser des politiques publiques de développement, c'est d'abord saisir les enjeux de ce développement, fixer des orientations en prenant soin d'anticiper ses implications futures sur la vie des gens, sur les valeurs de la société, sur le devenir sociétal, et ainsi contextualiser les concepts afin de les réformer dans les conditions et les réalités concernées. Le sujet qui nous préoccupe ces trois jours, interpelle sur le sens que lui donne la sémantique, qui le définit comme l'ensemble des caractéristiques et des valeurs du monde rural. Or sa prise en compte dans les politiques publiques souffre de cette approche qui réduit la ruralité à sa simple fonction d'espace potentiel de production agricole marchande, reléguant l'humain, sa culture, ses valeurs et son environnement naturel au dernier rang des préoccupations. C'est cette approche réductive de l'espace rural qui a toujours exclu ce dernier des préoccupations nationales de développement, d'aménagement et de progrès. Elle sous-tend que la vie est ailleurs et notamment en ville, en zone urbaine. En ce sens, il semble urgent de rétablir dans son intégralité notre ruralité afin que nous puissions en saisir l'ensemble de ses enjeux. C'est le souhait que nous émettons au moins pour cet atelier.

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