La grande distribution et les groupes non financiers face aux banques :

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "La grande distribution et les groupes non financiers face aux banques :"

Transcription

1 PRECEPTA groupe Xerfi 13-15, rue de Calais Paris Tél : Télécopie : L étude de référence sur : La grande distribution et les groupes non financiers face aux banques : Quels positionnements et stratégies sur les marchés du crédit à la consommation, de l épargne et des assurances? L heure est à l innovation dans les produits financiers de la grande distribution et des acteurs non bancaires. Le lancement de cartes co-brandées, formidables supports marketing, le déploiement des réseaux à distance (Internet, m-banking ) et des stratégies multicanal mais aussi les expériences pilotes menées sur les projets de paiements sans contacts se multiplient. Enjeu majeur pour ces opérateurs : renforcer leurs positions dans les produits financiers et trouver des leviers de croissance pour compenser une conjoncture défavorable et le retournement de leur activité financière principale, le crédit à la consommation. Et bien entendu, faire face à l intensification de la concurrence sur des marchés matures. Du côté des banques, ces offensives et la menace qu elles représentent sont à prendre au sérieux. La grande distribution et les captives automobiles notamment ont en effet montré qu elles pouvaient se révéler de véritables concurrents. Si ces enseignes souffrent encore parfois d un manque de légitimité sur certains produits financiers plus sophistiqués comme l épargne elles ont en revanche réussi une percée remarquée sur le marché du crédit à la consommation. Par son analyse du jeu concurrentiel et des rapports de force entre banques et acteurs non financiers, cette étude s adresse à tous les professionnels de la vente de produits financiers. Elle offre notamment un comparatif des offres, des tarifs et des réseaux de distribution sur les 3 principaux marchés (crédit à la consommation, épargne et assurance) et un décryptage des différents modèles de développement.

2 De fait, au-delà de la densité de leur réseau de distribution, certains distributeurs ont su miser sur la cohérence en termes de prix, lisibilité et simplicité des gammes entre d une part les offres de la maison mère et d autre part les offres de produits financiers pour construire de véritables avantages concurrentiels et un modèle gagnant. Precepta montre d ailleurs que, compte tenu de cette indispensable cohérence, gage de leur succès, tous les distributeurs n ont pas fait les mêmes choix en termes de diversification de leur offre de produits financiers. Cette étude constitue ainsi un outil essentiel pour décrypter et comprendre les différents positionnements et stratégies de ces acteurs. Alors que les filiales de la distribution à dominante alimentaire comme S2P ou Banque Accord proposent des offres globales (crédit, épargne, assurances ), les captives automobiles à l instar de Credipar ou Diac ont préféré se concentrer sur les crédits et «packages auto» (financements plus services), tandis que les distributeurs spécialisés tels que Fidem ou Norrsken se focalisent sur les crédits à la consommation Souvent les choix en termes de positionnement prix divergent également selon la cible de clientèle de la maison mère. A côté de l offre, ce sont toutefois vers les réseaux de distribution, maillon essentiel de la chaîne de valeur, que les distributeurs portent leurs efforts. La commercialisation de produits financiers prend en effet du temps aux vendeurs sur leur activité principale et implique une connaissance fine des produits. La motivation des équipes, les incitations, les formations aux produits et aux discours de vente sont de ce fait déterminantes. Et là encore, l enjeu est de taille pour les groupes de la distribution. Rappelons en effet que les lieux de vente constituent le premier canal de distribution des crédits à la consommation et plus encore des crédits revolving. Les structures financières des distributeurs doivent néanmoins continuer de se construire une courbe d expérience face aux banques. Ces dernières ont en effet l avantage en termes de gestion des risques, d industrialisation des process, d exploitation des outils CRM Les filiales communes entre banques et distributeurs témoignent de ce besoin de partage des savoir-faire. De fait, plus que des concurrents, les acteurs sont ainsi souvent également des partenaires des banques. Cetelem est ainsi le premier associé des distributeurs. Rares sont d ailleurs les acteurs à être totalement autonomes. Même S2P, la filiale de Carrefour est encore en partie détenue par Cetelem. Il faut dire que trois des grandes filiales de la distribution sont passées sous le contrôle (ou co-contrôle pour Cofinoga) des banques depuis Dernière en date : Cofidis rachetée par le Crédit Mutuel fin octobre. Grâce à cette analyse complète et opérationnelle, PRECEPTA met à la disposition des dirigeants du secteur un véritable outil pour organiser et hiérarchiser l information, stimuler la réflexion et préparer les décisions. Nous sommes à votre disposition pour vous apporter des compléments d information concernant cette étude de référence dont vous trouverez ci-joint la présentation. Pour la recevoir, il vous suffit de nous retourner le bon de commande au verso de la plaquette après l avoir complété. Nathalie Morteau Directrice d études PRECEPTA

3 La grande distribution et les acteurs face aux banques : Quels positionnement et stratégies sur les marchés du crédit à la consommation, de l épargne et des assurances? Analyser les grands facteurs de mutations (technologiques, réglementaires ) Appréhender les stratégies de diversification vers des offres bancaires Comparer les mix marketing des distributeurs non financiers Décrypter les modèles de coopétition avec les banques Identifier les forces et faiblesses des distributeurs non financiers La meilleure synthèse pour stimuler la réflexion et préparer les décisions ; 250 pages d analyses et d informations, en toute indépendance. Des entretiens en face à face avec des dirigeants et experts de la profession ont été menés. Ils ont été complétés par l accès systématique à toutes les bases de données accessibles au sein du groupe Xerfi. Ces travaux de recueils d informations, d entretiens en face à face et d analyse ont nécessité 6 mois d investigation. Les travaux d études ont été coordonnés par Nathalie Morteau, directrice de Precepta. PRECEPTA, STIMULATEUR DE STRATEGIES Les experts sectoriels de PRECEPTA ont pour vocation d apporter aux dirigeants d entreprises des analyses stimulantes pour élaborer leurs décisions. Les études sont réalisées avec la plus grande rigueur professionnelle, une indépendance d esprit totale, la volonté de clarifier et d aiguillonner la réflexion stratégique. PRECEPTA a accumulé plus de 20 ans d expérience dans l analyse des stratégies d entreprise et de leur environnement concurrentiel. Son intégration dans le groupe Xerfi en 2004 lui a permis de renforcer ses moyens d investigation et d accéder aux meilleures sources de données. Le groupe Xerfi, leader français des études sur les secteurs et les entreprises, apporte aux décideurs les analyses indispensables pour surveiller l évolution des marchés et de la concurrence, décrypter les stratégies et les performances des entreprises, en France comme à l international. Le site xerfi.com met ainsi en ligne le plus vaste catalogue d études sur les secteurs et les entreprises.

4 L étude de référence : Avril pages L étude la plus complète pour comprendre les défis à relever, les perspectives ainsi que le contexte concurrentiel des distributeurs non financiers de produits et services financiers. Un document exceptionnel qui comprend trois niveaux d information : 1. une «synthèse exécutive» qui tire tous les enseignements de 6 mois d enquêtes, d analyses et d entretiens avec des dirigeants du secteur ; 2. une analyse et un décryptage des stratégies des opérateurs ; 3. une somme exceptionnelle d informations quantitatives sur les distributeurs non financiers de produits et services financiers. La grande distribution et les acteurs face aux banques Quels positionnements et stratégies sur les marchés du crédit à la consommation, de l épargne et des assurances? 1. SYNTHESE EXECUTIVE Destiné aux décideurs, ce document est volontairement concis, et met en relief les principaux enseignements à tirer de l étude. Il a été conçu comme un document de travail pour stimuler la réflexion et préparer la prise de décision. 2. LE CONTEXTE DE MARCHÉ : Comprendre les défis et saisir les opportunités 2.1. Les fondamentaux du business Les distributeurs de produits et services financiers L offre de produits et services financiers Les parts de marché estimées 2.2. Les grands facteurs de mutations : l analyse Pestel Résister à la crise financière et économique Répondre aux évolutions des comportements des consommateurs Maîtriser les nouvelles technologies : optimisation marketing et baisse des coûts Relever les défis d une distribution multicanale - Etre offensif sur Internet et miser sur le web call back - Participer à l émergence du m-banking : les expériences de paiement sans contact - Passer d un modèle multicanal en silo à un modèle intégré Evaluer les menaces et opportunités réglementaires - Les mesures sur le crédit à la consommation - Le co-branding : un état des lieux - Le Sepa 2.3. Les distributeurs face aux arbitrages des consommateurs Les déterminants de la consommation (démographie, inflation.) Les arbitrages des ménages en période de crise ou de ralentissement : enseignement des tendances passées Les prévisions 2010 de consommation 2.4. Le marché des produits financiers : prévisions Les déterminants de la demande Les crédits à la consommation ( ) Les moyens de paiement ( ) Les flux et encours des placements des ménages ( ) L assurance vie ( ) Les assurances dommages ( ) Les prévisions 2010 : les marchés porteurs 3. LE MIX MARKETING : Comparer les positionnements 3.1. Analyser les offres de produits financiers Les objectifs des distributeurs non financiers et la nature de leur offre Les déterminants de leurs stratégies de diversification bancaire Leurs stratégies marketing et leur segmentation clients Les degrés de diversification de leur offre bancaire La profondeur de leurs gammes de produits financiers Les offres produits et les modèles de développement - Les «offres émancipées» - L «offre globale» des distributeurs alimentaires - Les «offres de crédit conso» des distributeurs spécialisés - Les «packages auto» des captives automobiles - Les «offres cartes» des partenaires Les comparaisons d offres des principaux intervenants - Les cartes - Les crédits à la consommation - Les produits d épargne 3.2. Comparer les forces et faiblesses des réseaux de distribution La distribution sur les lieux de vente : la nécessaire motivation des réseaux Les sites Internet Synthèse : les forces et faiblesses de la distribution des principaux intervenants 3.3. Evaluer les grilles tarifaires Les positionnements prix des acteurs : vue d ensemble Les comparaisons de tarifs (taux des crédits, cartes) 3.4. La communication Les problématiques d image et la crise financière La communication des grands distributeurs 4. ANALYSE CONCURRENTIELLE : Décrypter les modèles de coopétition avec les banques 4.1. Mesurer la pression concurrentielle La typologie des intervenants Les nouveaux entrants Les rachats de spécialistes par les banques Le palmarès des acteurs Les acteurs face aux banques 4.2. Analyser les rapports de force avec les banques : concurrents ou partenaires? Les modalités de développement : vue d ensemble - Partenariats, JV et captives autonomes - Liens capitalistiques et mise en commun de la production Les modalités de développement et offres produits Les partenaires vs concurrents : la toile des liens financiers Les avantages et inconvénients des : - captives indépendantes - sociétés communes - partenariats 4.3. Identifier les forces et faiblesses des acteurs Synthèse : les atouts des groupes Comparaison des avantages concurrentiels : - Le crédit à la consommation - L épargne 5. LES MONOGRAPHIES Les monographies présentent les chiffres clés (encours, production, résultats ) et le positionnement marketing de l offre de produits financiers des distributeurs. Sont notamment présentés les éléments du mix marketing Les filiales de la distribution - Banque Accord - Banque Casino - Laser Cofinoga - S2P - Monabanq 5.2. Les filiales ou sociétés communes de la distribution spécialisée - Alsolia - Fidem - Norrsken 5.3. Les captives automobiles - Crédipar - Diac - FGA Capital 5.4. Les autres partenaires - Air France - Bouygues Telecom - Nouvelles Frontières - Orange - SFR - SNCF - Total 6. ANNEXES La consommation des ménages par postes (détail) Les français et Internet

5 Tableaux et matrices : la source d information la plus complète sur la stratégie des distributeurs dans les produits financiers 1. Le contexte de marché T1 Les établissements financiers face à une crise de grande ampleur T2 Les tensions sur le refinancement s apaisent (Euribor) T3 La demande des ménages inquiets se réduit fortement (critères d octroi et demande de crédits) T4 Les mutations du consommateur ont accélérées par la crise T5 mais les réponses des acteurs sont insuffisantes sur «la dimension sociale» T6 Les technologies ont favorisé l émergence du néomarketing de produits et services financiers T7 Les souscriptions Internet de produits financiers des utilisateurs réguliers T8 La technologie NFC au service du m- banking T9 Les 3 grands enjeux du multicanal T10 Passer d un modèle en «silo» à un modèle intégré T11 Les stratégies des acteurs click and mortar pour adresser les deux marchés sur Internet T12 Les menaces et opportunités liées aux grandes évolutions réglementaires récentes T13 Le co-branding n a pas bouleversé e paysage des cartes en France T14 Les enjeux liés aux cartes co-brandées par acteurs T15 Les principales étapes du projet SEPA T16 Arbitrage des ménages en période de crise ou de ralentissement T17 La démographie ( ) T18 L endettement des ménages ( ) T19 L inflation ( ) T20 La consommation des ménages : prévisions 2010 T21 Les enseignements des tendances passées T22 Les crédits nouveaux à la consommation ( ) T23 Les encours de crédits à la consommation ( ) T24 La répartition des crédits à la consommation des établissements de crédit par type de produit en 2008 T25 L évolution de la production de crédit des établissements spécialisés ( ) T26 La répartition des crédits à la consommation des établissements spécialisés par type de produit en 2008 T27 Le montant des transactions par jour ( ) T28 La répartition du montant et du nombre des transactions en 2008 T29 Les émissions de cartes ( ) T30 Les flux de placements par destination ( ) T31 Les principaux marchés de l assurance : les marchés porteurs T32 L'évolution des cotisations en assurances décès, accident, maladie ( ) T33 L'évolution des cotisations en assurance automobile ( ) T34 L évolution des cotisations en assurance automobile des particuliers ( ) T35 L'évolution des cotisations en assurance automobile (particuliers et entreprises) ( ) T36 Les prix à la consommation en assurance automobile ( ) T37 L inflation de l assurance automobile T38 L'évolution annuelle des prix en assurance automobile ( ) T39 L'évolution des cotisations en assurance MRH ( ) T40 L'évolution des cotisations en assurance MRH ( ) T41 Les prix à la consommation en assurance MRH ( ) T42 L inflation de l assurance MRH T43 L'évolution annuelle des prix en assurance MRH ( ) 2. Le mix marketing T44 Le chiffre d affaires financé par le crédit à la consommation dans quatre secteurs d activité en 2007 T45 L offre de produits financiers des acteurs T46 Des stratégies de diversification des captives liées à la nature des achats et à la fréquence des contacts avec la maison mère T47 La segmentation clients financiers des opérateurs T48 Les objectifs stratégiques par segment de clientèle T49 Les degrés de diversification des acteurs T50 L étendue et profondeur de l offre : une multiplicité de modèles T51 Les cinq grands modèles de développement et d offres produits T52 Les «offres émancipées» T53 «L offre globale» des captives de la distribution alimentaire T54 Les «offres crédit conso» des distributeurs spécialisés T55 «Les packages auto» des captives automobiles T56 Les «cartes des opérateurs» T57 T58 T59 T60 T61 T62 T63 T64 T65 T66 T67 T68 T69 T70 T71 T72 T73 T74 T75 T76 T77 T78 T79 T80 T81 Les lieux de vente en tête des ouvertures de compte de crédit renouvelable La répartition des ouvertures de compte de crédit renouvelable en nombre par canal d entrée en contact en 2007 La répartition des demandes d ouvertures de compte de crédit renouvelable en nombre par canal d entrée en contact en 2007 Les positionnements prix des acteurs Les tarifs des crédits revolving Les tarifs des prêts personnels Les taux des crédits à la consommation Les prix des cartes 3. Analyse concurrentielle Les opérateurs Le palmarès des acteurs Le palmarès des acteurs bancaires Les captives indépendantes, joint venture vs partenariats : La mise en commun de la production détermine les liens capitalistiques avec les banques Les modalités de développement ne sont pas corrélées à la nature de l offre Cetelem : le premier «associé» des acteurs Les avantages et inconvénients des captives autonomes Les avantages et inconvénients des filiales communes Les avantages et inconvénients des partenariats Synthèse : les atouts des groupes La chaîne de valeur en crédit à la consommation Les avantages concurrentiels en crédit à la consommation Les forces et faiblesses des acteurs non bancaires en crédit à la consommation La chaîne de valeur des produits d épargne et de placements Les avantages concurrentiels de la banque de détail selon les maillons de la chaîne de valeur Les forces et faiblesses des acteurs en crédit à la consommation T82 T83 T84 T85 T86 T87 T88 T89 T90 T91 T92 T93 T94 T95 T96 T97 T98 T99 T100 T101 T102 T103 T104 T105 T106 T107 T108 T109 T110 T111 T112 T113 T114 T115 T116 T117 T118 T119 T120 T121 T122 T123 T124 T125 T126 T127 T128 T Les Monographies Banque Accord Banque Casino Laser Cofinoga S2P Monabanq Alsolia Fidem Norrsken Crédipar Diac FGA Capital Air France Bouygues Telecom Nouvelles Frontières Orange SFR SNCF Total 5. Annexes Les arbitrages des ménages en période de crise ou de ralentissement Le marché de la bijouterie-horlogerie a jusqu à présent plutôt mal résisté aux périodes de repli ou de ralentissement de la consommation La consommation des ménages en biens et services pour la personne Le «faire soi-même» (bricolage) et le «faire-faire» (services domestiques) ont porté les dépenses de consommation consacrées à la maison La consommation des ménages en équipements et services pour la maison Les dépenses allouées à l utilisationentretien des véhicules La consommation des ménages en automobile Le transport et l hôtellerie de tourisme font partie des postes de loisirs les plus exposés aux arbitrages de consommation des Français en période de ralentissement économique La consommation des ménages en culture, loisirs et vacances Les internautes en France : les données clés Le taux d équipement en ordinateur à domicile La proportion de personnes ayant accès à un ordinateur sur son lieu d étude ou de travail Le nombre de personnes équipées d un ordinateur connecté à Internet Le nombre de personnes connectées à Internet à leur domicile le sexe l âge le diplôme la profession le revenu le lieu de résidence La proportion de personnes disposant d une connexion Internet à haut débit Le nombre d abonnements à Internet en accès haut débit La fréquence de connexion à Internet Le temps passé par visiteur unique sur Internet Les utilisations d Internet La part des acheteurs en ligne Le nombre d acheteurs en ligne et d internautes La confiance des internautes Le profil des acheteurs en ligne Les comportements avant achat Informations complémentaires Contact : Contact : Frank Benedic fbenedic@xerfi.fr

6 Principaux opérateurs analysés ou cités dans l étude (*) Principaux opérateurs analysés dans l étude (*) Les filiales de la distribution BANQUE ACCORD BANQUE CASINO LASER COFINOGA S2P MONABANQ Les filiales ou JV de la distribution spécialisée ALSOLIA FIDEM NORRSKEN Les captives automobiles CREDIPAR DIAC FGA CAPITAL Les partenaires AIR FRANCE BOUYGUES TELECOM NOUVELLES FRONTIERES ORANGE SFR SNCF TOTAL Autres sociétés de la distribution citées dans l étude (*) BANQUE CHABRIERES BANQUE EDEL BANQUE REVILLON COMPAGNIE DE GESTION DES PRETS CREALFI MENAFINANCE GE MONEY BANK PAYPAL Les filiales des banques de crédit conso. CETELEM COFINOGA COFIDIS FINANCO FINAREF FRANFINANCE SOFINCO Groupes cités dans l étude (*) 3 SUISSES ALAIN AFFLELOU CDISCOUNT.COM ANDRE AUCHAN BUT CARREFOUR CASINO CORA DARTY DECATHLON EBAY GEANT GENERAL ELECTRIC IKEA INTERMARCHE MR BRICOLAGE PIER IMPORT PEUGEOT QUELLE RENAULT SHELL SPEEDY Les grandes banques BANQUE POPULAIRE BNP PARIBAS CAISSE D EPARGNE CREDIT AGRICOLE CREDIT MUTUEL-CIC SOCIETE GENERALE Compagnies et mutuelles d assurance AGF AIG AXA CNP JURIDICA L EQUITE MAAF MMA SURAVENIR (*) Liste non exhaustive

Les internautes face aux services financiers

Les internautes face aux services financiers Les internautes face aux services financiers Banque, Finance, Assurance & Crédit en ligne 4 4ème baromètre des comportements multicanaux des internautes pour la gestion, la recherche d information et la

Plus en détail

Année Bancaire 2007 - Executive summary

Année Bancaire 2007 - Executive summary Année Bancaire 2007 - Executive summary Les banques françaises relativement épargnées dans un marché bancaire mondial secoué par la crise Des conséquences limitées des subprimes sur les résultats Partie

Plus en détail

Banque, Finance, Assurance & Crédit en ligne : Les internautes face aux services financiers

Banque, Finance, Assurance & Crédit en ligne : Les internautes face aux services financiers Banque, Finance, Assurance & Crédit en ligne : Les internautes face aux services financiers ème baromètre des comportements multicanaux des internautes pour la gestion, la recherche d information et la

Plus en détail

Les acteurs français du crédit à la consommation : maturité ou nouvel élan? Étude - Janvier 2005. Banque et Finances

Les acteurs français du crédit à la consommation : maturité ou nouvel élan? Étude - Janvier 2005. Banque et Finances Les acteurs français du crédit à la consommation : maturité ou nouvel élan? Étude - Janvier 2005 Banque et Finances 1 SOMMAIRE PANORAMA DU MARCHÉ FRANÇAIS CLÉS D'ÉVOLUTION LE MARCHÉ AMÉRICAIN COMME REPÈRE

Plus en détail

Les banques en ligne et les services bancaires par internet modèle économique et évolution des plaintes de consommateurs de 2008 à 2012

Les banques en ligne et les services bancaires par internet modèle économique et évolution des plaintes de consommateurs de 2008 à 2012 N 15 Juin 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix Les banques en ligne et les services bancaires

Plus en détail

I. Les entreprises concernées et l opération

I. Les entreprises concernées et l opération RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 10-DCC-172 du 29 novembre 2010 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Crédit Foncier et Communal d Alsace et de Lorraine Banque par la société Crédit Mutuel

Plus en détail

EXPERTISE SYSTÈME D INFORMATION GÉOGRAPHIQUE

EXPERTISE SYSTÈME D INFORMATION GÉOGRAPHIQUE EXPERTISE SYSTÈME D INFORMATION GÉOGRAPHIQUE Juin 2009 Sommaire La société L offre spécialisée SIG DATACEP, filiale du Groupe Altran Altran, innover pour ses clients Un groupe Chiffres Groupe Le groupe

Plus en détail

Les internautes face aux services financiers

Les internautes face aux services financiers Les internautes face aux services financiers 6ème baromètre des comportements multicanaux des internautes dans l univers de la banque, finance, assurance et crédit Mai 2013 Contexte 2013 Un consommateur

Plus en détail

Les Français jugent leurs assureurs

Les Français jugent leurs assureurs Les Français jugent leurs assureurs Présentation du 15 Mars 2002 Marie-Laurence GUÉNA Directeur Département Banques / Assurances TAYLOR NELSON SOFRES S.A 16, rue Barbès - 92129 Montrouge cedex - FRANCE

Plus en détail

ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020

ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020 Jean-Louis DELPÉRIÉ Directeur ENJEUX ET PERSPECTIVES DU MODÈLE DE BANCASSURANCE NON-VIE À L AUNE DES ANNÉES 2020 Antoine FOURNIER Directeur LES DEUX DERNIÈRES DÉCENNIES ONT VU L ÉMERGENCE EN FRANCE DES

Plus en détail

La stratégie bancaire des grands distributeurs par Damien Guermonprez - Avril 2008 -

La stratégie bancaire des grands distributeurs par Damien Guermonprez - Avril 2008 - La stratégie bancaire des grands distributeurs par Damien Guermonprez - Avril 2008 - L arrivée de la grande distribution dans le monde de la banque s est faite progressivement. On peut distinguer trois

Plus en détail

nouveaux talents CSC recrute à l ESSEC * DE L EXPÉRIENCE. DES RÉSULTATS.

nouveaux talents CSC recrute à l ESSEC * DE L EXPÉRIENCE. DES RÉSULTATS. nouveaux talents CSC recrute à l ESSEC * DE L EXPÉRIENCE. DES RÉSULTATS. * REPÈRES CSC, leader mondial du conseil et des services liés à la transformation des entreprises et aux technologies de l information

Plus en détail

POUR UN DÉVELOPPEMENT RESPONSABLE DU CRÉDIT RENOUVELABLE EN FRANCE

POUR UN DÉVELOPPEMENT RESPONSABLE DU CRÉDIT RENOUVELABLE EN FRANCE POUR UN DÉVELOPPEMENT RESPONSABLE DU CRÉDIT RENOUVELABLE EN FRANCE Rapport réalisé par Athling Management pour le Comité Consultatif du Secteur Financier (CCSF) DÉCEMBRE 2008 Les résultats, les appréciations

Plus en détail

Évolution des réseaux sociaux dans la banque (US et France) et place dans la distribution multicanale

Évolution des réseaux sociaux dans la banque (US et France) et place dans la distribution multicanale conseil organisation management Réussir ensemble Évolution des réseaux sociaux dans la banque (US et France) et place dans la distribution multicanale Salon e-commerce, Paris, 14 septembre 2011 csa consulting

Plus en détail

Protection du budget. Prévoyance

Protection du budget. Prévoyance L offre CACI Forte de son expertise acquise sur son cœur de métier historique, l assurance, Caci a développé une gamme complète de produits d assurance à tination de ses partenaires et de leurs clients

Plus en détail

groupesolucom Devenez architecte d infrastructure

groupesolucom Devenez architecte d infrastructure groupesolucom Devenez architecte d infrastructure Sommaire Le Groupe SoluCom en bref 2 Une approche globale des Infrastructures de Système d Information 6 Un Groupe structuré pour mener des projets complexes

Plus en détail

Le téléphone occupe une place croissante dans la stratégie relation client des sites Internet transactionnels

Le téléphone occupe une place croissante dans la stratégie relation client des sites Internet transactionnels Communiqué de presse Le téléphone occupe une place croissante dans la stratégie relation client des sites Internet transactionnels Paris, le 18 octobre 2010 CCA International, la Fédération du e-commerce

Plus en détail

Journée Investisseurs - 4 octobre 2004

Journée Investisseurs - 4 octobre 2004 Journée Investisseurs - 4 octobre 2004 1 Sommaire Cetelem, un atout majeur de BNP Paribas François Villeroy de Galhau L activité de Cetelem en France Yves Gaudin Le développement International de Cetelem

Plus en détail

Assurance automobile : défis et perspectives des compagnies d assurances

Assurance automobile : défis et perspectives des compagnies d assurances Assurance automobile : défis et perspectives des compagnies d assurances Une analyse de fond des forces en présence et des impacts en matière de développement pour les compagnies d assurances Un écosystème

Plus en détail

Note partielle sur le E-Commerce

Note partielle sur le E-Commerce Note partielle sur le E-Commerce (Centrée sur le marché de l habillement ; source : IFM 2011) 1. Remarques générales ; quelques définitions et orientations 1. Les Pure Player Il s agit du commerce en ligne

Plus en détail

Solution pour les Banques

Solution pour les Banques Solution pour les Banques DÉFINITION La solution Bdoc Suite pour les banques de Business Document vous permet de traiter efficacement vos courriers clients : Offres de prêts personnalisées, Propositions

Plus en détail

Dossier de presse Contact presse Aude Ballade 05 49 37 87 80 aude.ballade@banques-en-ligne.fr D ossier de Presse Banques-en-ligne.fr - Février 2010 1

Dossier de presse Contact presse Aude Ballade 05 49 37 87 80 aude.ballade@banques-en-ligne.fr D ossier de Presse Banques-en-ligne.fr - Février 2010 1 Dossier de presse Contact presse Aude Ballade 05 49 37 87 80 aude.ballade@banques-en-ligne.fr Dossier de Presse Banques-en-ligne.fr - Février 2010 1 SOMMAIRE Qu est-ce qu une banque en ligne? 3 Les avantages

Plus en détail

repensez votre courrier transactionnel pour une nouvelle expérience clients

repensez votre courrier transactionnel pour une nouvelle expérience clients repensez votre courrier pour une nouvelle expérience clients La force du courrier papier en quelques chiffres 97 % des Belges relèvent leur boîte aux lettres tous les jours. 83 % ouvrent toujours le courrier

Plus en détail

CREDIT A LA CONSOMMATION : L EXPERIENCE FRANÇAISE. LES SPECIALISES, DES PIONNIERS QUI DURENT

CREDIT A LA CONSOMMATION : L EXPERIENCE FRANÇAISE. LES SPECIALISES, DES PIONNIERS QUI DURENT CREDIT A LA CONSOMMATION : L EXPERIENCE FRANÇAISE. LES SPECIALISES, DES PIONNIERS QUI DURENT Jean-Claude NASSE Délégué Général de l Association Française des Sociétés Financières A la différence de ce

Plus en détail

Rencontres des décideurs informatiques de l Isère

Rencontres des décideurs informatiques de l Isère Charles Lacoste Consulting en quelques mots o 25 ans d expérience dans l IT o de 2004 à 2013, DSI du groupe Roset o depuis février 2013, Président de Charles Lacoste Consulting DSI externalisé, à temps

Plus en détail

Les clés du succès en e commerce

Les clés du succès en e commerce E COMMERCE Sommaire Le fil conducteur de notre approche Les clés du succès Générer du chiffre d affaires Les caractéristiques d un projet e-commerce L approche multicanal Les données connues et celles

Plus en détail

Notre métier, l assurance emprunteur

Notre métier, l assurance emprunteur Notre métier, l assurance emprunteur Caci, la filiale du groupe Crédit Agricole Assurances spécialisée en assurance des emprunteurs (ADE), est aujourd hui un acteur de premier plan en France et en Europe,

Plus en détail

Groupe Stockage & Sauvegarde. François Dessables

Groupe Stockage & Sauvegarde. François Dessables Groupe Stockage & Sauvegarde François Dessables Groupe Stockage : Agenda Objectifs du groupe de travail Stockage Retours d'expérience et bonnes pratiques Prochains thèmes 2010 et 2011 Groupe Stockage :

Plus en détail

La vision 360 pour gérer tous les financements

La vision 360 pour gérer tous les financements La vision 360 pour gérer tous les financements Votre spécialiste de tous les métiers du financement Du 1 er contact commercial jusqu à la gestion comptable Quelle que soit la taille de votre entreprise

Plus en détail

Baromètre Image des Assureurs

Baromètre Image des Assureurs Contacts : Alain RENAUDIN / Frédéric ALBERT Shanghai Paris Toronto Buenos Aires 2005-5 édition www.ifop.com Baromètre Image des Assureurs Introduction 1 Les objectifs et la méthodologie Cette 5ème édition

Plus en détail

BNP Paribas. Renforcement du Leadership Européen de Cetelem dans le Crédit à la Consommation. 29 mars 2005

BNP Paribas. Renforcement du Leadership Européen de Cetelem dans le Crédit à la Consommation. 29 mars 2005 BNP Paribas Renforcement du Leadership Européen de Cetelem dans le Crédit à la Consommation 29 mars 2005 1 Plan de la présentation Une opportunité unique Cofinoga: un acteur majeur du crédit à la consommation

Plus en détail

Agir Pour Notre Avenir

Agir Pour Notre Avenir Agir Pour Notre Avenir Politique de Développement Durable de Generali FAIRE 12 juin 2008 Generali, 2ème assureur généraliste en France 2ème assureur généraliste en France 6 millions de clients 560 000

Plus en détail

Relations banques et clients Fidélité, vous avez dit fidélité?

Relations banques et clients Fidélité, vous avez dit fidélité? Relations banques et clients Fidélité, vous avez dit fidélité? 4 e édition Avril 2014 Sommaire Baromètre Confiance 2014 : statu quo Fidélité clients : mythe ou réalité? 2 Relations banques et clients édition

Plus en détail

La réputation des entreprises se joue-t-elle sur les réseaux sociaux?

La réputation des entreprises se joue-t-elle sur les réseaux sociaux? La réputation des entreprises se joue-t-elle sur les réseaux sociaux? Principaux résultats de l étude TNS SOFRES Top Com muriel.humbertjean@tns-sofres.com Réseaux Sociaux vs. Real Life 3 sources La plus

Plus en détail

L E S É C H O S D E. Le modèle des groupes bancaires. d investissement et Banque de détail est-il terminé?

L E S É C H O S D E. Le modèle des groupes bancaires. d investissement et Banque de détail est-il terminé? N 10-1/5 Atterrissage de la Banque d investissement & Décollage en force de la Banque de détail : quel plan de vol pour les Groupes bancaires et pour leur branche Banque de détail? Dans le contexte actuel,

Plus en détail

BANQUES SUR INTERNET 2012 LE DIGITAL AU CŒUR DES NOUVELLES STRATÉGIES CLIENT

BANQUES SUR INTERNET 2012 LE DIGITAL AU CŒUR DES NOUVELLES STRATÉGIES CLIENT CONFÉRENCE LE 13 MARS À PARIS BANQUES SUR INTERNET 2012 LE DIGITAL AU CŒUR DES NOUVELLES STRATÉGIES CLIENT 4 formations associées ( - Paris) Avec le concours de Partenaires médias Applications et sites

Plus en détail

CWT Meetings & Events L agence internationale d événements

CWT Meetings & Events L agence internationale d événements CWT Meetings & Events L agence internationale d événements Amérique du Nord 2 pays 500 staff 4 750 events 375 000 participants CWT Meetings & Events Paris, HQ Amérique du Sud 6 pays 95 staff 900 events

Plus en détail

Banque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale

Banque de détail. Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale Banque de détail Dynamiser votre réseau de distribution et accroître son efficacité commerciale L évolution de l environnement et les enjeux dans la Banque de détail CENTRES D'APPELS Intensification du

Plus en détail

Kit Média 2014 www.geneanet.org

Kit Média 2014 www.geneanet.org Mis à jour le 15 mars 2014 Kit Média 2014 www.geneanet.org La référence de la généalogie, le réseau familial! Vous cherchez vos consommateurs? Ils sont ICI! (la preuve page 7) Arnaud Cuissot arnaud.cuissot@geneanet.org

Plus en détail

Automatisation et CRM

Automatisation et CRM Automatisation et CRM Adoption de la technologie des agents virtuels Etude VirtuOz 2010 Synopsis... 2 Les principales motivations de mise en place du canal Agent Virtuel... 2 Adoption des Agents Virtuels...

Plus en détail

Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête

Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête Des chiffres pour comprendre : les investissements dédiés à la Conquête Afin de mieux comprendre les enjeux liés à la conquête, il est souhaitable de connaître l importance des dépenses réalisées en la

Plus en détail

Chapitre 2 : Analyser le marché Séquence 5. L'analyse de la concurrence

Chapitre 2 : Analyser le marché Séquence 5. L'analyse de la concurrence Terminale STG Mercatique Chapitre 2 : Analyser le marché Séquence 5. L'analyse de la concurrence Document 1: Parts de marché des grandes marques de céréales pour petits déjeuners. Travail 1 : a. vous caractérisez

Plus en détail

Premier réseau de franchises. «Assurances & Crédits» Un concept innovant de distribution de produits d assurances et de crédits à la consommation

Premier réseau de franchises. «Assurances & Crédits» Un concept innovant de distribution de produits d assurances et de crédits à la consommation Premier réseau de franchises «Assurances & Crédits» Un concept innovant de distribution de produits d assurances et de crédits à la consommation Contacts Kaélia Relations Presse APRIL GROUP Karine Berthier

Plus en détail

n Forum Banques sur Internet

n Forum Banques sur Internet ii forum_banques2010cr_mise en page 1 05/01/10 15:56 Page2 Inscription ForumBenchmark Cocher les évènements choisis n Forum Banques sur Internet Le 16 mars 2010 n Formation Ecrire pour le Web (banque)

Plus en détail

LA COLLECTE DE DÉPÔTS, UNE ACTIVITÉ STRATÉGIQUE POUR RCI BANQUE. 2012 : 893 MILLIONS D ENCOURS A FIN DÉCEMBRE POUR LE LIVRET ZESTO

LA COLLECTE DE DÉPÔTS, UNE ACTIVITÉ STRATÉGIQUE POUR RCI BANQUE. 2012 : 893 MILLIONS D ENCOURS A FIN DÉCEMBRE POUR LE LIVRET ZESTO 1 LA COLLECTE DE DÉPÔTS, UNE ACTIVITÉ STRATÉGIQUE POUR RCI BANQUE. 2012 : 893 MILLIONS D ENCOURS A FIN DÉCEMBRE POUR LE LIVRET ZESTO Le 16 février 2012, RCI Banque a lancé en France le livret d épargne

Plus en détail

3 e. 4 e. Notre métier, vous protéger, vous et vos projets. Caci (Crédit Agricole Creditor Insurance),

3 e. 4 e. Notre métier, vous protéger, vous et vos projets. Caci (Crédit Agricole Creditor Insurance), Caci Notre métier, vous protéger, vous et vos projets Caci (Crédit Agricole Creditor Insurance), la filiale du groupe Crédit Agricole Assurances spécialisée en assurance des emprunteurs (ADE), est un acteur

Plus en détail

Le succès du multicanal intégré en assurance auto Séminaire innovation CHEA 5 mai 2011

Le succès du multicanal intégré en assurance auto Séminaire innovation CHEA 5 mai 2011 Le succès du multicanal intégré en assurance auto Séminaire innovation CHEA 5 mai 2011 Véronique Brionne Marilyn Faugas Karine Paul Jean-Christophe Boccon-Gibod Sommaire 1. Pourquoi avons-nous choisi Progressive?

Plus en détail

Alain Sanjaume FAUT-IL CRAINDRE LE CIBLAGE COMPORTEMENTAL? Reach the moving targets.

Alain Sanjaume FAUT-IL CRAINDRE LE CIBLAGE COMPORTEMENTAL? Reach the moving targets. Alain Sanjaume FAUT-IL CRAINDRE LE CIBLAGE COMPORTEMENTAL? 1 Marketing comportemental off-line: la prose de Mr Jourdain Ces techniques marketing sont rentrées dans les mœurs CRM, bases de données client

Plus en détail

La Région des Pays de la Loire se dote d un fonds souverain régional pour le financement des PME

La Région des Pays de la Loire se dote d un fonds souverain régional pour le financement des PME La Région des Pays de la Loire se dote d un fonds souverain régional pour le financement des PME DOSSIER DE PRESSE Communiqué de presse.................................. p.2 et 3 Bilan des P2RI en Pays

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Contacts presse Stéphanie BERTRAND s.bertrand@learning-crm.com 01 53 56 75 75

DOSSIER DE PRESSE. Contacts presse Stéphanie BERTRAND s.bertrand@learning-crm.com 01 53 56 75 75 Contacts presse Stéphanie BERTRAND s.bertrand@learning-crm.com 01 53 56 75 75 Philippe RIVERON p.riveron@learning-crm.com 01 53 56 75 31 / 06 19 52 03 46 DOSSIER DE PRESSE Sommaire LEARNING CRM 3 1.1 Présentation

Plus en détail

pour Les internautes et le e-commerce

pour Les internautes et le e-commerce pour Les internautes et le e-commerce Octobre 2009 Sommaire 1 - La méthodologie 2 - Les résultats de l'étude A Les perceptions du commerce en ligne B Les achat sur Internet t et la qualité de service C

Plus en détail

CALENDRIER DES RDV CCIMP DES TIC 1 ER SEMESTRE 2011

CALENDRIER DES RDV CCIMP DES TIC 1 ER SEMESTRE 2011 DATE HORAIRE LIEU THEME 27 JANVIER 2011 9h 10h30 Show Room Exploitez les logiciels libres dans votre entreprise Découvrez les opportunités offertes par les logiciels libres pour gérer votre entreprise

Plus en détail

Observatoire de l e-tourisme. Sommaire

Observatoire de l e-tourisme. Sommaire 2 Sommaire Présentation de Next Content... 9 Nos activités... 9 NC Etudes... 9 NC Event... 10 NC Factory... 11 NC Formation... 12 NC Conseil... 13 Qui sommes-nous?... 13 L Observatoire des décideurs de

Plus en détail

Présentation des résultats 2006. 15 mars 2007

Présentation des résultats 2006. 15 mars 2007 Présentation des résultats 2006 15 mars 2007 Préambule Le intègre dans son périmètre la création de Natixis intervenue le 17 novembre. Les données financières présentées sont issues des comptes pro forma

Plus en détail

Marché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux

Marché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux Marché de l épargne-retraite en France : état des lieux, perspectives et enjeux Décembre 2003 Etude disponible le 15 décembre 2003 Les objectifs Traiter les questions de fond -réglementation, fiscalité,

Plus en détail

Des savoir faire qui s appuient sur 4 piliers majeurs

Des savoir faire qui s appuient sur 4 piliers majeurs Des savoir faire qui s appuient sur 4 piliers majeurs Donner une vision, orienter et piloter les réalisations Conduire l équipe vers l excellence Développer les compétences Identifier les talents et les

Plus en détail

Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino

Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino Septembre 2012 / TBI&LMO / BPE 2ENT18 Chiffre d affaires de Casino unité : million d euros / Source : Casino 40 000 34 361 NAF rév.2, 2008 : Chiffres clés 2011 47.11CDEF 47.91B 30 000 20 000 20 390 22

Plus en détail

Cas n COMP/M.5222 - SOFINCO / BANCO POPOLARE / DUCATO / AGOS. RÈGLEMENT (CE) n 139/2004 SUR LES CONCENTRATIONS

Cas n COMP/M.5222 - SOFINCO / BANCO POPOLARE / DUCATO / AGOS. RÈGLEMENT (CE) n 139/2004 SUR LES CONCENTRATIONS FR Cas n COMP/M.5222 - SOFINCO / BANCO POPOLARE / DUCATO / AGOS Le texte en langue française est le seul disponible et faisant foi. RÈGLEMENT (CE) n 139/2004 SUR LES CONCENTRATIONS Article 6, paragraphe

Plus en détail

PORTAGE SALARIAL PROCÉDURE RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE GARANTIE DES SALAIRES ASSURANCE RAPATRIEMENT LÉGISLATION RÉFÉRENCES

PORTAGE SALARIAL PROCÉDURE RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE GARANTIE DES SALAIRES ASSURANCE RAPATRIEMENT LÉGISLATION RÉFÉRENCES 1 2 3 4 5 6 7 8 PORTAGE SALARIAL p3 PROCÉDURE p4 RESPONSABILITÉ CIVILE PROFESSIONNELLE p4 GARANTIE DES SALAIRES p5 ASSURANCE RAPATRIEMENT p5 LÉGISLATION p6 VENTORIS p6 RÉFÉRENCES p7 1 - INTÉGREZ LE PORTAGE

Plus en détail

Quelques points de repère Facts & Figures sur l Innovation dans l Assurance et la Protection Sociale. Rencontres

Quelques points de repère Facts & Figures sur l Innovation dans l Assurance et la Protection Sociale. Rencontres Quelques points de repère Facts & Figures sur l Innovation dans l Assurance et la Protection Sociale 15 èmes Rencontres Saint-Malo les 13 et 14 novembre 2014 - V1.10 au 16 novembre 2014 - Facts & Figures

Plus en détail

LE DISPLAY RÉVOLUTION. De l achat d espace publicitaire classique à la gestion d audience ciblée. Janvier 2012 LIVRE BLANC ACXIOM.

LE DISPLAY RÉVOLUTION. De l achat d espace publicitaire classique à la gestion d audience ciblée. Janvier 2012 LIVRE BLANC ACXIOM. LIVRE BLANC ACXIOM LE DISPLAY EN PLEINE RÉVOLUTION De l achat d espace publicitaire classique à la gestion d audience ciblée Janvier 2012 Frédéric GRELIER Directeur Europe développement produits Acxiom

Plus en détail

Conférence débat E-commerce et stratégie de vente Multi-canal : Enjeux et Retours d expériences Mardi 2 octobre 2012

Conférence débat E-commerce et stratégie de vente Multi-canal : Enjeux et Retours d expériences Mardi 2 octobre 2012 Conférence débat E-commerce et stratégie de vente Multi-canal : Enjeux et Retours d expériences Mardi 2 octobre 2012 Quelques données chiffrées sur le E-commerce en France (Source - Fevad Médiamétrie 2012)

Plus en détail

Quel avenir pour les déplacements régionaux? La billettique intégrée. Nathalie AMIEL DIRECTION DELEGUEE TER PACA INTERMODALITE, BILLETTIQUE

Quel avenir pour les déplacements régionaux? La billettique intégrée. Nathalie AMIEL DIRECTION DELEGUEE TER PACA INTERMODALITE, BILLETTIQUE Quel avenir pour les déplacements régionaux? La billettique intégrée Nathalie AMIEL DIRECTION DELEGUEE TER PACA INTERMODALITE, BILLETTIQUE Sommaire La billettique : généralités La billettique interopérable

Plus en détail

Ma tablette et moi. Guide à l usage des élèves et des parents

Ma tablette et moi. Guide à l usage des élèves et des parents Ma tablette et moi Guide à l usage des élèves et des parents Tu viens de recevoir une tablette tactile pour travailler dans ton établissement scolaire et à la maison... La question de la sécurité est très

Plus en détail

Délibération au Conseil Municipal du lundi 20 février 2012

Délibération au Conseil Municipal du lundi 20 février 2012 Délibération au Conseil Municipal du lundi 20 février 2012 19 Charte projet ''services mobiles sans contact''. Dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie de développement de l économie numérique,

Plus en détail

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015

LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LE COMMERCE DE DÉTAIL EN RÉGION NORD-PAS DE CALAIS Situation et Perspectives AVRIL 2015 LES ÉTABLISSEMENTS 31 748 COMMERCES EN REGION LE COMMERCE DE DÉTAIL, REPRÉSENTE 1/3 DES ÉTABLISSEMENTS DE LA RÉGION

Plus en détail

BAROMÈTRE INTERNET 2010 vs 2009

BAROMÈTRE INTERNET 2010 vs 2009 BAROMÈTRE INTERNET 2010 vs 2009 9 February 2011 LA MESURE DU MEDIA INTERNET - IAB-SRI-KANTAR PÉRIMÈTRE DE LA PIGE KANTAR MEDIA SUR LE WEB Tous les formats display incluant : bannières liens contextuels

Plus en détail

Banques en ligne : où faut-il souscrire?

Banques en ligne : où faut-il souscrire? Banques en ligne : où faut-il souscrire? Par Léa Billon pour VotreArgent.fr, publié le 11/07/2013 Les banques en ligne séduisent d'abord par leurs services à moindre coût, voire gratuits. Leurs livrets

Plus en détail

Les caractéristiques du secteur bancaire français

Les caractéristiques du secteur bancaire français Les caractéristiques du secteur bancaire français Fiche 1 Objectifs Découvrir le poids du secteur bancaire en France et ses intervenants Prérequis Aucun Mots-clefs Produit intérieur brut (PIB), organismes

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

Demand Response, une brique importante du Smart Grid

Demand Response, une brique importante du Smart Grid Emplacement Co-branding Demand Response, une brique importante du Smart Grid Colloque OSE, 29/09/2011 SAS au capital de 854 000 euros Un modèle qui a fait ses preuves Energy Pool, Agrégateur de capacités

Plus en détail

Usages innovants au service du client. Valentin Auvinet vauvinet@mobilfactory.fr M-forum AWT 2010 Golf d Hulencourt

Usages innovants au service du client. Valentin Auvinet vauvinet@mobilfactory.fr M-forum AWT 2010 Golf d Hulencourt Usages innovants au service du client Valentin Auvinet vauvinet@mobilfactory.fr M-forum AWT 2010 Golf d Hulencourt Présentation de Mobil factory 3 ans d expérience sur le commerce et le mobile, 15 personnes,

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE

COMMUNIQUÉ DE PRESSE COMMUNIQUÉ DE PRESSE Le Crédit Mutuel Arkéa annonce son intention de rejoindre Paylib, aux côtés de BNP Paribas, La Banque Postale et Société Générale. De gauche à droite : Frédéric COLLARDEAU (Directeur

Plus en détail

La distribution : vue à la TV Les résultats du 1er janvier au 9 septembre 2007 (semaine 36)

La distribution : vue à la TV Les résultats du 1er janvier au 9 septembre 2007 (semaine 36) La distribution : vue à la TV Les résultats du 1er janvier au 9 septembre 2007 (semaine 36) La famille distribution-vad se classe en 7 e position des annonceurs de la TV hertzienne. Elle totalise 5,7 %

Plus en détail

Consumer. Fiche Synthètique. Journey. Enquête sur les parcours d achat Secteur Fournisseurs d accès à internet (FAI)

Consumer. Fiche Synthètique. Journey. Enquête sur les parcours d achat Secteur Fournisseurs d accès à internet (FAI) Fiche Synthètique Consumer Journey Enquête sur les parcours d achat Secteur Fournisseurs d accès à internet (FAI) Juillet 2013 1 Le secteur des télécommunications a subi des modifications qui ont permis

Plus en détail

Les experts du changement comportemental

Les experts du changement comportemental Les experts du changement comportemental Nos consultants Vos interlocuteurs La triple compétence des consultants IFAS : Des professionnels de haut niveau soumis à un système de supervision rigoureux. 1.

Plus en détail

Observatoire des courtiers d assurance. Point 0 - Avril 2011

Observatoire des courtiers d assurance. Point 0 - Avril 2011 Observatoire des courtiers d assurance Point 0 - Avril 2011 APRIL Courtage Un réseau de 11 sociétés grossistes spécialistes. Une large gamme de plus de 140 produits sur tous les segments de marché et toutes

Plus en détail

Décision n 12-DCC-163 du 29 novembre 2012 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Natixis Financement par le groupe BPCE

Décision n 12-DCC-163 du 29 novembre 2012 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Natixis Financement par le groupe BPCE RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 12-DCC-163 du 29 novembre 2012 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Natixis Financement par le groupe BPCE L Autorité de la concurrence, Vu le dossier

Plus en détail

Bien plus qu un financement

Bien plus qu un financement Bien plus qu un financement Vous souhaitez étendre votre activité, accroître vos ventes? Vous avez des projets d investissement? Ensemble, on peut accélérer votre développement Vous êtes constructeur ou

Plus en détail

Cabinet CAPTEO PRESENTATION GENERALE. Octobre 2012 CAPTEO 2012 1

Cabinet CAPTEO PRESENTATION GENERALE. Octobre 2012 CAPTEO 2012 1 Cabinet CAPTEO PRESENTATION GENERALE Octobre 2012 1 Identité du Cabinet CAPTEO Cabinet de Conseil en Stratégie, en Organisation et en Management exclusivement dédié à la Finance Notre expertise La Banque

Plus en détail

Piloter le contrôle permanent

Piloter le contrôle permanent Piloter le contrôle permanent Un cadre règlementaire en permanente évolution L évolution des réglementations oblige les institutions financières à revoir leur dispositif de contrôle Secteur bancaire CRBF

Plus en détail

Expert en assurance et marketing connecté

Expert en assurance et marketing connecté Expert en assurance et marketing connecté Édito Disons-le clairement : la vente à distance d assurance a mauvaise presse. Le grand public l assimile à une vente forcée de produits, peu utilisés car vite

Plus en détail

Cas n COMP/M.5605 - CREDIT MUTUEL/ MONABANQ. RÈGLEMENT (CE) n 139/2004 SUR LES CONCENTRATIONS

Cas n COMP/M.5605 - CREDIT MUTUEL/ MONABANQ. RÈGLEMENT (CE) n 139/2004 SUR LES CONCENTRATIONS FR Cas n COMP/M.5605 - CREDIT MUTUEL/ MONABANQ Le texte en langue française est le seul disponible et faisant foi. RÈGLEMENT (CE) n 139/2004 SUR LES CONCENTRATIONS Article 6, paragraphe 1, point b) NON-OPPOSITION

Plus en détail

Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes

Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes Bulletin Officiel de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes N 2 bis du 2 avril 2009 C2008-77 / Lettre du ministre de l économie, de l industrie et de l emploi du 28 octobre

Plus en détail

Rapport de surveillance des régies publicitaires

Rapport de surveillance des régies publicitaires Rapport de 16 juin 2011 Marque étudiée : V1 Date de création : 16/06/11 17:33 Page 1 sur 12 Note importante : Les informations présentées sont celles détectées par le système de recherche, sur le réseau

Plus en détail

Performance 2010. Eléments clés de l étude

Performance 2010. Eléments clés de l étude Advisory, le conseil durable Consulting / Operations Performance 2010 Eléments clés de l étude Ces entreprises qui réalisent deux fois plus de croissance. Une enquête sur les fonctions ventes et marketing.

Plus en détail

CARTES INNOVANTES 2013

CARTES INNOVANTES 2013 ÉTUDE PUBLI-NEWS CARTES INNOVANTES 2013 8 e édition identifie pour vous les tendances majeures en matière de cartes bancaires innovantes n Une couverture mondiale : 500 cartes bancaires «pures», co-brandées

Plus en détail

L autopartage en France à l horizon 2015 Potentiel de croissance, forces en présence et modèles de développement

L autopartage en France à l horizon 2015 Potentiel de croissance, forces en présence et modèles de développement L autopartage en France à l horizon 2015 Potentiel de croissance, forces en présence et modèles de développement L engouement autour du projet Autolib et l ampleur pris par le phénomène à l étranger ont

Plus en détail

EXPÉRIENCE CLIENT. Baromètre des secteurs assurances et mutuelles

EXPÉRIENCE CLIENT. Baromètre des secteurs assurances et mutuelles EXPÉRIENCE CLIENT Saison 2 # Baromètre des secteurs assurances et mutuelles Etude réalisée par INIT Marketing pour Akio Software en mai 2014 sur un échantillon représentatif de la population française

Plus en détail

Baromètre 2013 des Assurances Dommages

Baromètre 2013 des Assurances Dommages Baromètre 2013 des Assurances Dommages (3 ème édition) 2 Analyse stratégique du marché et Mise en perspective V1.01 au 31 juillet 2013 Facts & Figures 69 avenue André Morizet 92100 Boulogne Billancourt

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Sommaire

DOSSIER DE PRESSE. Sommaire DOSSIER DE PRESSE Sommaire COMMUNIQUE FICHE 1 : Présentation des outils de simulation FICHE 2 : Prise en compte des nouvelles dispositions législatives (loi Tepa) FICHE 3 : Les services d assistance et

Plus en détail

Intégrer le webmarketing à sa stratégie d entreprise

Intégrer le webmarketing à sa stratégie d entreprise # Webmarketing Le mercredi 16 avril 2014 Intégrer le webmarketing à sa stratégie d entreprise # E-marketing # Marketing 2.0 # Net Marketing # Marketing digital # Cyber Marketing Marketing : «Ensemble des

Plus en détail

Offre IDALYS. Le conseil couvrant tous les aspects métiers du commerce digital. Mai 2013

Offre IDALYS. Le conseil couvrant tous les aspects métiers du commerce digital. Mai 2013 Offre IDALYS Le conseil couvrant tous les aspects métiers du commerce digital Focus sur : 1. Équilibre entre CA et Fraude 2. Étude d opportunité e-wallets Mai 2013 IDALYS - Sommaire 1 Présentation d IDALYS

Plus en détail

SOLUTION DE GESTION COMMERCIALE POUR IMPRIMEURS

SOLUTION DE GESTION COMMERCIALE POUR IMPRIMEURS SOLUTION DE GESTION COMMERCIALE POUR IMPRIMEURS ENJEU: PRODUCTIVITÉ ET EFFICACITÉ COMMERCIALE DES BESOINS, UNE SOLUTION Pour un imprimeur de petite ou moyenne taille, le devisage est complexe o Chaque

Plus en détail

Master Marketing du Produit & Innovation par les Services MPIS

Master Marketing du Produit & Innovation par les Services MPIS Master Marketing du Produit & Innovation par les Services MPIS Objectifs de la formation Le Master MPIS vise à former de futurs cadres aptes à adapter les produits en fonction des exigences des clients

Plus en détail

Une offre performante, la clé du succès Techniques Marketing pour PME, TPE et Indépendant

Une offre performante, la clé du succès Techniques Marketing pour PME, TPE et Indépendant Les clés de la Réussite Une offre performante, la clé du succès Techniques Marketing pour PME, TPE et Indépendant E-learning 14 heures Tarif : 490 Le manque d approche Marketing pénalise les petites structures.

Plus en détail

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires

Plus en détail

LA ROUMANIE en bref. Mars - Avril 2014

LA ROUMANIE en bref. Mars - Avril 2014 LA ROUMANIE en bref Mars - Avril 2014 Une économie dynamique 7ème pays de l UE en termes de population 2ème dans l Europe Centrale et orientale PRINCIPAUX INDICATEURS Population : 19 millions habitants

Plus en détail

Cas n COMP/M.5432 - CREDIT MUTUEL / COFIDIS. RÈGLEMENT (CE) n 139/2004 SUR LES CONCENTRATIONS

Cas n COMP/M.5432 - CREDIT MUTUEL / COFIDIS. RÈGLEMENT (CE) n 139/2004 SUR LES CONCENTRATIONS FR Cas n COMP/M.5432 - CREDIT MUTUEL / COFIDIS Le texte en langue française est le seul disponible et faisant foi. RÈGLEMENT (CE) n 139/2004 SUR LES CONCENTRATIONS Article 6, paragraphe 1, point b) NON-OPPOSITION

Plus en détail