Les méthodes d analyse des pièces de monnaies anciennes

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les méthodes d analyse des pièces de monnaies anciennes"

Transcription

1 Les méthodes d analyse des pièces de monnaies anciennes Maryse Blet-Lemarquand Pendentif avec monnaie kouchane I er s. ap. J.-C. Coll. privée CNRS, IRAMAT, Centre Ernest-Babelon ; 3D rue de la Férollerie ; F Orléans cedex 2 lemarquand@cnrs-orleans.fr

2 Présentation du laboratoire Recherches pluridisciplinaires appliquées aux matériaux archéologiques (archéomatériaux) Développement de méthodes non destructives de caractérisation des archéomatériaux Application à l'étude de problèmes historiques et archéologiques

3 Monnaies et minerais Verres et céramiques Pigments et colorants Outillage lithique (obsidienne)

4 Plan de l exposé Les principales méthodes d analyse élémentaire des pièces de monnaies développées à Orléans La diversité des alliages monnayés et présentation d une des techniques employées pour modifier leur aspect Le dosage des éléments-traces : intérêt historique L or du Brésil dans l économie française

5 Spécificités des méthodes d analyse Valeur artistique et historique des pièces de monnaie méthodes non destructives ou employant des microprélèvements Hétérogénéité de certains alliages (corrosion, présence de plusieurs phases) méthodes «globales» ou analysant une partie représentative de l ensemble Monnaie sassanide en argent de Shapur Ier ( ap. J.-C.) Bronze de Marseille Coupe observée à la loupe binoculaire

6 Monnaie indienne en argent Monnaie à poinçons multiples, empire maurya ( av. J.-C.) Coupe polie Observation à la loupe binoculaire

7 Couche corrodée (cuivre oxydé) Ag = 80% ; Cu = 20% Alliage «sain» Ag = 62% ; Cu = 38% Coupe polie Etude au microscope électronique à balayage

8 Spécificités des méthodes d analyse Grand nombre d éléments à «doser», présents en tant que majeurs, mineurs ou à l état de traces méthodes multi-élémentaires et sensibles Écu d'or de Louis IX (saint Louis), 1270?

9 Méthodes d analyse élémentaire développées au laboratoire Méthodes d activation : AP (activation protonique) ANRC (activation avec des neutrons rapides de cyclotron) Pupitre de commande du cyclotron du CERI (CNRS d Orléans) Méthode LA-ICP-MS Laser Ablation Inductively Coupled Plasma Mass Spectrometry

10 Dispositif expérimental d irradiation aux protons Barre porte-échantillons Ligne de faisceau

11 Dispositif expérimental d irradiation aux neutrons Cible de béryllium Passeur automatique rotatif Porte-échantillons

12 Méthodes d activation Analyse en deux étapes : 1. irradiation avec des neutrons ou des protons 2. mesure du rayonnement gamma émis par la monnaie Château de plomb Salle de spectrométrie gamma

13 Méthodes d activation Atouts Méthodes non destructive Méthodes multi-élémentaires et sensibles : une quinzaine d éléments dosés, du % à la fraction de ppm (1 ppm = 0,0001 %) Inconvénients Méthodes longues, fastidieuses (radioactivité)

14 Méthode LA-ICP-MS Laser Ablation Inductively Coupled Plasma Mass Spectrometry Monnaies en place dans la cellule d ablation pour analyse par LA-ICP-MS

15 Schéma de principe d un ICP-MS couplé à l ablation laser

16 Méthode LA-ICP-MS Micro-prélèvement réalisé par un laser (diamètre < 0,1 mm ; 0,02 mg env.) et analyse de la matière par spectrométrie de masse Atouts Méthode quasi non destructive Méthode multi-élémentaire et sensible : un grand nombre d éléments dosés, du % à la fraction de ppm Méthode rapide (10 à 20 monnaies par jour) Inconvénients Nécessité de posséder des matériaux de référence Méthode ponctuelle : variation de la composition d une analyse à l autre pour certains ors

17 Caractère non destructif des analyses Tranche de la monnaie juste après l analyse : impacts laser Tranche de la monnaie après nettoyage

18 Méthode LA-ICP-MS Micro-prélèvement réalisé par un laser (diamètre < 0,1 mm ; 0,02 mg env.) et analyse de la matière par spectrométrie de masse Atouts Méthode quasi non destructive Méthode multi-élémentaire et sensible : un grand nombre d éléments dosés, du % à la fraction de ppm Méthode rapide (10 à 20 monnaies par jour) Inconvénients Nécessité de posséder des matériaux de référence Méthode ponctuelle : variation de la composition d une analyse à l autre pour certains ors

19 Résultat de l analyse d une monnaie d or de Trajan ( après J.-C.) Eléments dosés (teneurs en %): Au Ag Cu Pb Sn Sb Fe Ca Ru Pt 99,79 0,15 0,003 0,002 0,0006 0,0002 0,048 0,007 <0, ,0029 Hg Pd Zn As Ti 0,0029 0,0006 0,0006 0, ,0001 BnF FG 529

20 Le monnayage en or arverne : chronologie relative à partir de données typologiques et analytiques (I er siècle avant J.-C.) S. Nieto, «La place du monnayage arverne dans les monnayages gaulois du centre et du sud de la Gaule aux II e et I er siècles avant J.-C.», thèse de doctorat de Université de Paris IV-Sorbonne, sous la dir. de J.-P. Martin, 2003.

21 Exemples de monnaies en or frappées par les Arvernes

22 Groupe 1 : titre moyen = 91 % Groupe 2 : titre moyen = 71 % Ag (%) Cu (%) Groupe 3 : titre moyen = 51 % A Groupe 4 : titre moyen = 41 % Imitations du statère de Philippe II de Macédoine, hors groupe 1 VERCINGETORIXS Au (%)

23 Les monnaies de bronzes de Marseille Cité fondée au VI e siècle av. J.-C. Frappe de monnaies d argent Monnaie d argent archaïque au type d Auriol (490/470 avant J.-C.) Frappe de monnaies de bronze à partir du dernier quart du III e siècle av. J.-C.

24 Les monnaies de bronzes de Marseille Classement des monnaies de bronzes en catégories (poids / dimensions) Grands bronzes ou bronzes lourds ( av. J.-C.) Moyens bronzes ( av. J.-C.) Petits bronzes ( av. J.-C.) Subdivision des catégories en séries (symboles / lettres) Bronzes lourds ( av. J.-C.) Séries 1, 2 et 3

25 Les «bronzes lourds» de Marseille % Sn % Pb Série 1 3 à 6 % inf. à 0,2 % 50 Série 2 4 à 9 % inf. à 0,2 % 45 5 Série 3 a) 4 à 12 % inf. à 0,5 % Série 3 b) Diminution Hausse à 5 % jusqu à 25 % % Sn % Pb Série Série Série 3 a) Série 3 b) % Cu

26 Autres exemples d alliages employés pour fabriquer des monnaies Laiton (alliage cuivre-zinc) Empire romain (sesterces et dupondii) Cupro-nickel (alliage cuivre-nickel) Rois indo-grecs et rois gréco-bactriens Sesterce d Auguste

27 Autres exemples d alliages employés pour fabriquer des monnaies Alliages cuivre-plomb Inde du sud et Sri Lanka Monnaie Pandyas Inde du Sud, II e s. av. J.-C.- I er s. ap. J.-C.- Plomb Chine, Sri Lanka Zinc Monnaie légendée Sri Lanka, II e s. av. J.-C. Vietnam

28 Recréation d un procédé d argenture des monnaies d imitation de Postume ( après J.-C.) A. Deraisme, «Apport de la physique à l étude du faux-monnayage du III e siècle après J.-C.», thèse de l Université d Orléans, sous la dir. de J.-N. Barrandon, 2005.

29 Monnaies d argent (antoniniens) étudiées Monnaie officielle de Postume frappée dans l atelier de Trèves Imitation frappée dans «l atelier II» Imitation trouvée sur le site archéologique de Châteaubleau (Seine-et-Marne)

30 100% 95% Antoniniens officiels Antoniniens d'imitation 90% % Cu 85% 80% 75% 70% 0% 5% 10% 15% 20% 25% % Ag

31 Antoninien officiel Image MEB, mode électrons rétrodiffusés, au cœur de la monnaie.

32 Antoninien d imitation issu de l atelier II Argenture : 21 % d Ag 1 % de Pb 78 % de Cu Cœur : 3 % d Sn 2 % de Pb 95 % de Cu

33 Recréation des argentures cylindre de cuivre recouvert d une feuille d argent pur (0,05 mm) creuset en graphite charbon de bois pour limiter l oxydation de l échantillon. four électrique montant jusqu à 1200 C Etude de deux paramètres température et temps de cuisson dans le four Echantillon avant enfournement

34 Comparaison des microstructures Recréation à 950 C et t = 4 min Ag = 28 % et Cu = 72 % Echantillon archéologique Ag = 24 % et Cu = 76 %

35 Du point de vue de la composition : Ce qui correspond le mieux aux échantillons archéologiques : T = 950 C 1000 C t = 4 min et plus Argenture contenant 25 % d argent

36 Sur les traces de l'or brésilien dans le monnayage français au XVIII e siècle

37 Minerai d or d Ouro Preto Amérique du Sud au XVIII e siècle (ateliers monétaires en noir)

38 Au (%) Ag (%) Pd (%) Pépite près de Sabara 85,98 4,17 9,85 Pépite de Taguaril (Minas Gerais) 91,06 8,12 Pépites analysées par la Monnaie de Rio 88,9 92,00 11,1 7,3 Source : de Launay (1895). Compositions de pépites d or provenant du Brésil

39 Teneur moyenne : 1115 ppm Teneur moyenne : 13 ppm Evolution de la teneur en palladium dans les monnaies frappées au Brésil et au Portugal entre 1450 et 1800.

40 Teneur moyenne : 20 ppm Evolution de la teneur en palladium dans les monnaies françaises entre 1680 et 1785.

41 Calcul de la fraction d or «brésilien» dans les monnaies françaises du XVIII e s. Fraction d'or «brésilien» = (x - 20) / 1115 avec x : teneur en palladium (ppm) 20 : teneur moyenne en palladium dans l or français au XVIl e s : teneur moyenne en palladium dans l'or brésilien. Exemple numérique : Monnaie contenant 580 ppm de palladium Part d or «brésilien» = (580-20) / 1115 = 0,5 = 50%

42 Pourcentage d or «brésilien» dans le monnayage français de 1700 à 1785 (moyennes décennales).

43 Excédent commercial de la France avec le Portugal en millions de livres Calcul des économistes (d'après les balances de paiements) , TOTAL 13, ,2-34,8 7,9-8, Calcul résultant de l interprétation de la teneur en palladium TOTAL 212

Dr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch

Dr Berdj Haroutunian, 5, Chemin Gottret ch-1255 VEYRIER tél 00 41 (0)22 784-01-18 www.haroutunian.ch E-mail : berdj@haroutunian.ch 1 L UTILISATION DU PLOMB EN DENTISTERIE : MYTHE OU REALITE Dr Berdj HAROUTUNIAN, Genève Le plomb ne devrait en principe pas être utilisé en dentisterie car il n est pas considéré comme un oligo-élément

Plus en détail

Commission juridique et technique

Commission juridique et technique Autorité internationale des fonds marins ISBA/9/LTC/3 Commission juridique et technique Distr. limitée 29 avril 2003 Français Original: anglais Neuvième session Kingston, Jamaïque 28 juillet-8 août 2003

Plus en détail

Application à l astrophysique ACTIVITE

Application à l astrophysique ACTIVITE Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.

Plus en détail

Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive.

Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Lucas DEMBINSKI Christian CODDET, Cécile LANGLADE Université de Technologie de Belfort-Montbéliard

Plus en détail

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE

THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules

Plus en détail

Viandes, poissons et crustacés

Viandes, poissons et crustacés 4C la Tannerie BP 30 055 St Julien-lès-Metz F - 57072 METZ Cedex 3 url : www.techlab.fr e-mail : techlab@techlab.fr Tél. 03 87 75 54 29 Fax 03 87 36 23 90 Viandes, poissons et crustacés Caractéristiques

Plus en détail

Sophie Guézo Alexandra Junay

Sophie Guézo Alexandra Junay Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences

Plus en détail

GRILLE TARIFAIRE 2014. Service Exceptionnel. Expertise en Analyse.

GRILLE TARIFAIRE 2014. Service Exceptionnel. Expertise en Analyse. GRILLE TARIFAIRE 2014 Service Exceptionnel. Expertise en Analyse. .COM Bienvenue chez Accurassay La version 2014 de notre Grille Tarifaire vous fournit une mise à jour de l étendue de nos services et de

Plus en détail

Principe de fonctionnement des batteries au lithium

Principe de fonctionnement des batteries au lithium Principe de fonctionnement des batteries au lithium Université de Pau et des pays de l Adour Institut des Sciences Analytiques et de Physicochimie pour l Environnement et les Matériaux 22 juin 2011 1 /

Plus en détail

P17- REACTIONS NUCLEAIRES

P17- REACTIONS NUCLEAIRES PC A DOMICILE - 779165576 P17- REACTIONS NUCLEAIRES TRAVAUX DIRIGES TERMINALE S 1 Questions de cours 1) Définir le phénomène de la radioactivité. 2) Quelles sont les différentes catégories de particules

Plus en détail

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1

BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on

Plus en détail

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :

Chapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices : Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur

Plus en détail

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure

IR Temp 210. Thermomètre infrarouge. Des techniques sur mesure IR Temp 210 Thermomètre infrarouge Contenu 1. Spécifications...26 2. Touches et affichages...28 3. Utilisation...30 4. Entretien...31 5. Elimination des piles et de l appareil...31 6. Tableau de facteur

Plus en détail

Mesures in situ et sur site

Mesures in situ et sur site Mesures in situ et sur site Avantages de la mesure in-situ pas de perturbation du milieu pas d échantillonnage (prélèvement, conditionnement, stockage) mesure en temps réel Senseurs chimiques Biocapteurs

Plus en détail

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard

ACCREDITATION CERTIFICATE. N 1-1663 rév. 5. Satisfait aux exigences de la norme NF EN ISO/CEI 17025 : 2005 Fulfils the requirements of the standard Convention N 2393 Section Laboratoires ATTESTATION D ACCREDITATION ACCREDITATION CERTIFICATE N 1-1663 rév. 5 Le Comité Français d'accréditation (Cofrac) atteste que : The French Committee for Accreditation

Plus en détail

Dosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS

Dosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS Dosage des métaux lourds (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) dans les sols par ICP-MS Analysis of heavy metals (As, Cd, Cr, Cu, Ni, Pb, Zn et Hg) in soils by ICP-MS Nicolas ALSAC Eurofins Environnement

Plus en détail

Une entreprise innovante

Une entreprise innovante Une entreprise innovante Morphosis est une société spécialisée dans l extraction des métaux rares et précieux issus des déchets informatiques, électroniques et Telecom. Nous faisons d une obligation réglementaire

Plus en détail

LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES

LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement

Plus en détail

Dossier Médias Année 2011

Dossier Médias Année 2011 Dossier Médias Année 2011 Mise à jour le 25 avril 2012 Association LUERN Association Loi 1901 enregistrée le 12 août 2008 et reconnue d Intérêt Général le 8 octobre 2008 Siège Social : Maison du Patrimoine

Plus en détail

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique

Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Atelier : L énergie nucléaire en Astrophysique Elisabeth Vangioni Institut d Astrophysique de Paris Fleurance, 8 Août 2005 Une calculatrice, une règle et du papier quadrillé sont nécessaires au bon fonctionnement

Plus en détail

Série limitée Classe C 250 CDI BlueEFFICIENCY Prime Edition

Série limitée Classe C 250 CDI BlueEFFICIENCY Prime Edition Série limitée Classe C 250 CDI BlueEFFICIENCY Prime Edition Mercedes-Benz France amorce en octobre 2008 le début de la commercialisation de la Classe C 250 CDI, sous la forme d une série limitée baptisée

Plus en détail

Défi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK

Défi Transition énergétique : ressources, société, environnement ENRS Projet Exploratoire PALEOSTOCK Des traitements thermiques de matériaux lithiques du paléolithique destinés à faciliter leur taille, aux prétraitements adaptés à leur usage en stockage thermique haute température. Contexte «Stockage»

Plus en détail

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs

Rappels sur les couples oxydantsréducteurs CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation

Plus en détail

EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES

EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES Questionnaire EXERCICES SUPPLÉMENTAIRES SCP 4010-2 LE NUCLÉAIRE, DE L'ÉNERGIE DANS LA MATIÈRE /263 FORME C Version corrigée: Équipe sciences LeMoyne d'iberville, septembre 2006. QUESTION 1 (5 pts) 1. La

Plus en détail

Catalogue Informatique - Clés USB Stylos

Catalogue Informatique - Clés USB Stylos Catalogue Informatique - Clés USB Stylos Grossiste Chinois Import Votre grossiste en ligne Edition 06/07/2015 Higoods Co. Ltd. Room 1001 Chuangxin Building,Chuangye Garden Minzhi Streets, Longhua District

Plus en détail

Extrait du catalogue

Extrait du catalogue Extrait du catalogue Tarif Public 26/08/2015 www.revendeurs.rmngp.fr Document non contractuel Réunion des musées nationaux et du Grand Palais des Champs-Élysées 254-256, rue de Bercy - 75577 Paris cedex

Plus en détail

Impacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie?

Impacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie? Impacts de l'informatique : ressources, énergie, déchets ; que nous révèlent les analyses de cycle de vie? 8 juin 2010 Journée InTech (INRIA) Françoise Berthoud Francoise.Berthoud@grenoble.cnrs.fr Groupe

Plus en détail

RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT

RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT RÔLES DE LA MICROSTRUCTURE ET DE LA COMPOSITION MINERALOGIQUE DE SOLS ARGILEUX DU BASSIN DE PARIS SUR LEUR SENSIBILITE AU RETRAIT - GONFLEMENT ROLES OF MICROSTRUCTURE AND MINERALOGICAL COMPOSITION OF CLAY

Plus en détail

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1 Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada

Plus en détail

BALAIS Moteur (charbons)

BALAIS Moteur (charbons) BALAIS Moteur (charbons) 1/ Rôle a) Pour les machines électriques comportant des bagues (alternateur moteur asynchrone) : moteur universel Les balais doivent maintenir un contact constant avec la bague

Plus en détail

Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon

Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon Centre d'expertise en analyse environnementale du Québec MA. 200 Mét. 1.2 Détermination des métaux : méthode par spectrométrie de masse à source ionisante au plasma d argon 2014-05-09 (révision 5) Comment

Plus en détail

DELTA. Technologie XRF portable pour les applications PMI

DELTA. Technologie XRF portable pour les applications PMI Analyseur à fluorescence X DELTA Technologie XRF portable pour les applications PMI Identification des métaux et des alliages Contrôle et assurance qualité Sécurité et entretien Analyse exceptionnelle

Plus en détail

ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey

ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey ECO-PROFIL Production Stratifié HPL mince fabriqué par Polyrey Août 2009 modifié Avril 2013 1 : Feuille décor imprimée ou teintée dans la masse, imprégnée de résine mélamine 2 : Surface de protection imprégnée

Plus en détail

Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées

Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi. Les solutions envisagées Polissage des Miroirs d Advanced Virgo : un nouveau défi Les solutions envisagées Laurent PINARD Responsable Technique Laboratoire des Matériaux Avancés - Lyon 1 Plan de l exposé Introduction Virgo, les

Plus en détail

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX

Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX Chapitre n 6 MASSE ET ÉNERGIE DES NOYAUX T ale S Introduction : Une réaction nucléaire est Une réaction nucléaire provoquée est L'unité de masse atomique est une unité permettant de manipuler aisément

Plus en détail

Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments

Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments .Un préalable indispensable : Caractérisation des sédiments / Connaissance de l impact environnemental Projet CaPMoS : Capteurs Passifs et Outils de Monitoring des Sédiments Claire Alary (Mines Douai)

Plus en détail

Comparer des prix. Comparer des gains. Prix du gazole dans deux stations service. Comparer des salaires entre pays. Encadrer des salaires

Comparer des prix. Comparer des gains. Prix du gazole dans deux stations service. Comparer des salaires entre pays. Encadrer des salaires Comparer des prix Prix du gazole dans deux stations service Voici des prix affichés du gazole dans deux stations service : 1,403 e/l dans la première et 1,51 e/ L dans la seconde. 1. Quelle est la station

Plus en détail

Ecole d été des spectroscopies d électrons.

Ecole d été des spectroscopies d électrons. Lundi 08 juin 2015 16h00 16h30 Principe et fondements de la technique - Les interactions photon-matière, l émission des photoélectrons - l analyse chimique par XPS Jean-Charles DUPIN Appareillage et instrumentation

Plus en détail

Exercices sur le chapitre «Probabilités»

Exercices sur le chapitre «Probabilités» Arnaud de Saint Julien - MPSI Lycée La Merci 2014-2015 1 Pour démarrer Exercices sur le chapitre «Probabilités» Exercice 1 (Modélisation d un dé non cubique) On considère un parallélépipède rectangle de

Plus en détail

5 >L énergie nucléaire: fusion et fission

5 >L énergie nucléaire: fusion et fission LA COLLECTION > 1 > L atome 2 > La radioactivité 3 > L homme et les rayonnements 4 > L énergie 6 > Le fonctionnement d un réacteur nucléaire 7 > Le cycle du combustible nucléaire 8 > La microélectronique

Plus en détail

T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur?

T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? T4 Pourquoi éteindre les phares d une voiture quand le moteur est arrêté? Comment fabriquer une pile? un accumulateur? Pour ce module, sont proposés et présentés des phases de recherche documentaire, de

Plus en détail

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses)

Interprétation de l'affleurement 3: a: argilites compactes, b: niveaux oxydés, a: argilites shistées, riches en charbon (bitumineuses) L' approche de la complexité; Un exemple de démarche en classe de seconde. Bulletin officiel spécial n 4 du 29 avril 2010 L approche de la complexité et le travail de terrain Le travail de terrain est

Plus en détail

IMAGINEZ UNE NOUVELLE FACON DE PEINDRE!

IMAGINEZ UNE NOUVELLE FACON DE PEINDRE! #THISISABSTRACT Elle a développé des tubes de peinture pour de Staël, et créé le pastel à l huile pour Picasso, Sennelier est une référence pour les artistes depuis 1887, date à laquelle Gustave Sennelier

Plus en détail

Chapitre 1: Les métaux et leurs utilisations

Chapitre 1: Les métaux et leurs utilisations Chapitre 1: Les métaux et leurs utilisations 1. Depuis quand utilise-t-on les métaux? 1) Le seul métal qui existe à l état natif est l or. 2) Les métaux obtenus à partir de minerais sont l argent, le cuivre,

Plus en détail

Origine du courant électrique Constitution d un atome

Origine du courant électrique Constitution d un atome Origine du courant électrique Constitution d un atome Electron - Neutron ORIGINE DU COURANT Proton + ELECTRIQUE MATERIAUX CONDUCTEURS Électrons libres CORPS ISOLANTS ET CORPS CONDUCTEURS L électricité

Plus en détail

5.1 5.2 MENUISERIE METALLIQUE 5_200 1

5.1 5.2 MENUISERIE METALLIQUE 5_200 1 code uts résumé 5.1 5.2 MENUISERIE METALLIQUE 5_200 1 U PORTE DE PASSAGE EN ACIER GALVANISÉ LAQUÉ D UN VANTAIL ET VINYLES DÉCORATIFS P.1.1.A (et "s", "*", "s*") 22 5_200 2 5_200 3 Fourniture et pose de

Plus en détail

de suprises en surprises

de suprises en surprises Les supraconducteurs s de suprises en surprises titute, Japan hnical Research Inst Railway Tech Julien Bobroff Laboratoire de Physique des Solides, Université Paris-Sud 11 & CNRS Bobroff 2011 Supra2011

Plus en détail

Marquage laser des métaux

Marquage laser des métaux 62 Colorer Marquage laser des métaux TherMark Produit à base aqueuse pour un nettoyage rapide. Appliquer une fine couche de produit sur le métal, laisser sécher moins de 2 minutes et graver au laser. L

Plus en détail

L Institut National des Sciences Mathématique et de leurs. Premiers éléments d un bilan à deux ans.

L Institut National des Sciences Mathématique et de leurs. Premiers éléments d un bilan à deux ans. L Institut National des Sciences Mathématique et de leurs Interactions (INSMI) : Premiers éléments d un bilan à deux ans. 1. Mise en place de l INSMI Au CNRS, l année 2009 a été une année de transition

Plus en détail

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E

LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON - A L G A D E LA RADIOACTIVITE NATURELLE RENFORCEE CAS DE LA MESURE DU RADON Sylvain BERNHARD - Marion DESRAY - A L G A D E Membre de l UPRAD, Union Nationale des Professionnels du Radon LES EXPOSITIONS PROFESSIONNELLES

Plus en détail

Plans de travail et tablettes de fenêtre

Plans de travail et tablettes de fenêtre Plans de travail et tablettes de fenêtre Une solution idéale pour le mobilier et l aménagement intérieur Surface solide et de très haute qualité Hygiéniques et faciles à nettoyer Diverses variantes au

Plus en détail

Ondes gravitationnelles de basses fréquences et relativité

Ondes gravitationnelles de basses fréquences et relativité Ondes gravitationnelles de basses fréquences et relativité numérique Jérôme Novak LUTH : Laboratoire de l Univers et de ses THéories CNRS / Université Paris 7 / Observatoire de Paris F-92195 Meudon Cedex,

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge

Plus en détail

pro-part Ficha técnica Applications recommandées Matériaux Supports

pro-part Ficha técnica Applications recommandées Matériaux Supports Ficha técnica pro-part Profilé décoratif pour revêtements céramiques, permet de remplacer la traditionnelle frise décorative en céramique. Convient à la finition des angles et des transitions entre carreaux

Plus en détail

CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION :

CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : OJECTIFS : 1/ Evaluer le degré des connaissances acquises nécessaires à l administration des médicaments à diluer. 2/ Evaluer les capacités

Plus en détail

Bureaux de Luxe : Bureaux de Direction

Bureaux de Luxe : Bureaux de Direction Bureaux de Luxe : Bureaux de Direction - Bureaux de Style - Made in France - Page 02 à 32 - Bureaux de Style - Made in Italie - Page 33 à 49 - Fauteuils de Bureau Page 50 à 54 BESOIN D INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES?

Plus en détail

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation

- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour

Plus en détail

OCEANE Machine de brasage double vague

OCEANE Machine de brasage double vague Information générale Un concept de machine qui offre une performance remarquable, machine spécialement conçue pour les petites et moyennes séries, idéal pour toutes les exigences de production. Tout le

Plus en détail

Équivalence masse-énergie

Équivalence masse-énergie CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en

Plus en détail

Codage d information. Codage d information : -Définition-

Codage d information. Codage d information : -Définition- Introduction Plan Systèmes de numération et Représentation des nombres Systèmes de numération Système de numération décimale Représentation dans une base b Représentation binaire, Octale et Hexadécimale

Plus en détail

Un diplôme cohabilité avec l université de Lyon 2, une formation supérieure unique en communication.

Un diplôme cohabilité avec l université de Lyon 2, une formation supérieure unique en communication. Un diplôme cohabilité avec l université de Lyon 2, une formation supérieure unique en communication. Le master 2 est singulier dans son déroulement et ses formes d'enseignement. Il permet de travailler

Plus en détail

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,

Physique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -, Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

Où sont-elles? Presque partout

Où sont-elles? Presque partout Les puces Vision historique Fabrication Les circuits numériques Les microprocesseurs Les cartes à puces Les puces d identification Controverses Questions Les puces Où sont-elles? Presque partout Où ne

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

FiveGo. FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous. Economique & fiable L accès mobile au monde du ph

FiveGo. FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous. Economique & fiable L accès mobile au monde du ph FiveGo FiveGo Appareils portables ph mv / Redox Conductivité TDS Teneur en sel Oxygène dissous Economique & fiable L accès mobile au monde du ph FiveGo 5 x 5 arguments pour FiveGo ph, conductivité et oxygène

Plus en détail

L'ENTREPRISE À L'ŒUVRE

L'ENTREPRISE À L'ŒUVRE L'ENTREPRISE À L'ŒUVRE Rapprocher la culture et le monde du travail en offrant aux salariés une rencontre au quotidien avec l art, tel est le but de L Entreprise à l œuvre, opération organisée sous l égide

Plus en détail

CERAMIQUES COMMUNES DU 1er S. : cinq fosses découvertes à Langres (Haute-Marne)

CERAMIQUES COMMUNES DU 1er S. : cinq fosses découvertes à Langres (Haute-Marne) S.F.E.CAG., Actes du Congrès de Lezoux, 1989. Martine JOLY Stéphane LEVEQUE CERAMIQUES COMMUNES DU 1er S. : cinq fosses découvertes à Langres (Haute-Marne) 1. CIRCONSTANCES DE LA DECOUVERTE La construction

Plus en détail

Microscopies Électroniques

Microscopies Électroniques Microscopies Électroniques M2 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission

Plus en détail

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand

Quelques liens entre. l'infiniment petit et l'infiniment grand Quelques liens entre l'infiniment petit et l'infiniment grand Séminaire sur «les 2» au CNPE (Centre Nucléaire de Production d'électricité) de Golfech Sophie Kerhoas-Cavata - Irfu, CEA Saclay, 91191 Gif

Plus en détail

INFO SOUDAGE LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR

INFO SOUDAGE LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT, CLASSEMENT, APPLICATIONS & AVANTAGES Cet article passe en revue le principe de fonctionnement du soudage

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

ÉVALUATION EN FIN DE CM1. Année scolaire 2014 2015 LIVRET DE L'ÉLÈVE MATHÉMATIQUES

ÉVALUATION EN FIN DE CM1. Année scolaire 2014 2015 LIVRET DE L'ÉLÈVE MATHÉMATIQUES ÉVALUATION EN FIN DE CM1 Année scolaire 2014 2015 LIVRET DE L'ÉLÈVE MATHÉMATIQUES NOM :....... Prénom :....... Né le :./../ École :............ Classe : Domaine Score de réussite NOMBRES ET CALCUL GÉOMÉTRIE

Plus en détail

Quand les métaux arrivent en ville. Enjeux et stratégies pour les matières premières critiques.

Quand les métaux arrivent en ville. Enjeux et stratégies pour les matières premières critiques. Parole d experts Quand les métaux arrivent en ville. Enjeux et stratégies pour les matières premières critiques. Panel d experts autour de Prof. Eric PIRARD, ULg - GeMMe Avec le soutien de : Les déchets

Plus en détail

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.

1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples. Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste

Plus en détail

S informer sur. Les assemblées générales des sociétés cotées en bourse

S informer sur. Les assemblées générales des sociétés cotées en bourse S informer sur Les assemblées générales des sociétés cotées en bourse Autorité des marchés financiers Les assemblées générales des sociétés cotées en bourse Sommaire Quelle différence entre AGO et AGE?

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

Le GPS, la téléphonie mobile et les alertes intelligentes au service de la santé et de votre famille.

Le GPS, la téléphonie mobile et les alertes intelligentes au service de la santé et de votre famille. Le GPS, la téléphonie mobile et les alertes intelligentes au service de la santé et de votre famille. Symposium sur les Créneaux d'excellence québécois et les Pôles de compétitivité français Québec Mercredi

Plus en détail

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur

Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Compétence 3-1 S EXPRIMER A L ECRIT Fiche professeur Nature de l activité : Réaliser 3 types de productions écrites (réécriture de notes, production d une synthèse de documents, production d une argumentation)

Plus en détail

Musée temporaire. Le jeu

Musée temporaire. Le jeu Musée temporaire Le jeu Bienvenue à la Banque nationale de Belgique! La Banque nationale de Belgique n est pas une banque comme les autres Par exemple, tu ne peux pas y ouvrir de compte bancaire : seules

Plus en détail

Banques de prêt Exemples avec prix indicatifs 2012/04

Banques de prêt Exemples avec prix indicatifs 2012/04 Exemples avec prix indicatifs 2012/04 SBD SSB 2 Un système modulaire qui s adapte à (presque) toutes les situations. Le système de bande de prêt SSB est issu de la gamme meno3 et a été élaboré et complété

Plus en détail

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013 LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz

Plus en détail

PMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable

PMI-MASTER Smart. PMI portatif. Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable PMI portatif PMIP Le premier spectromètre par émission optique ARC / SPARK réellement portable ORTABI Trois possibilités de transport...... pour répondre à vos besoins Portabilité et commodité Grâce à

Plus en détail

La place du charbon dans le mix électrique

La place du charbon dans le mix électrique La place du charbon dans le mix électrique Présentation au colloque 7 février 2008 Gérard Mestrallet, PDG de SUEZ «Les nouveaux débouchés du charbon : quels risques pour le changement climatique?» Outline

Plus en détail

Canada-Inde Profil et perspective

Canada-Inde Profil et perspective Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information

Plus en détail

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA

Professeur Eva PEBAY-PEYROULA 3-1 : Physique Chapitre 8 : Le noyau et les réactions nucléaires Professeur Eva PEBAY-PEYROULA Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Finalité du chapitre

Plus en détail

6 ème. Rallye mathématique de la Sarthe 2013/2014. 1 ère épreuve de qualification : Problèmes Jeudi 21 novembre 2013

6 ème. Rallye mathématique de la Sarthe 2013/2014. 1 ère épreuve de qualification : Problèmes Jeudi 21 novembre 2013 Retrouver tous les sujets, les corrigés, les annales, les finales sur le site du rallye : http://sarthe.cijm.org I Stéphane, Eric et Christophe sont 3 garçons avec des chevelures différentes. Stéphane

Plus en détail

1. Laboratoire National de métrologie et d Essais (LNE) 1rue Gaston Boissier 75724 Paris Cedex sebastien.sannac@lne.fr

1. Laboratoire National de métrologie et d Essais (LNE) 1rue Gaston Boissier 75724 Paris Cedex sebastien.sannac@lne.fr IMPORTANCE DE LA PREPARATION DE L ECHANTILLON POUR UNE ANALYSE DE SPECIATION DU SELENIUM PAR HPLC-ID-ICP-MS. DETERMINATION D INCERTITUDES DU RENDEMENT D EXTRACTION AU RESULTAT SUR LA SELENOMETHIONINE.

Plus en détail

BICNanoCat. Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs. Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech

BICNanoCat. Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs. Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech BICNanoCat Bombardement Ionique pour la Création de Nano Catalyseurs Denis Busardo Directeur Scientifique, Quertech ANR BICNanoCat DAS Concerné : Énergie Environnement Appel à projets : réduction des émissions

Plus en détail

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer

Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer ÉOLIENNES OFFSHORE DU CALVADOS avril 2013 Projet de parc éolien en mer au large de Courseulles-sur-Mer Synthèse d étude relative à la protection des câbles Sommaire 1. CONTEXTE ET OBJECTIF DE L ETUDE...

Plus en détail

LES POILS ET LES CHEVEUX SONT-ILS PAREILS?

LES POILS ET LES CHEVEUX SONT-ILS PAREILS? ACTIVITÉ 3 LES POILS ET LES CHEVEUX SONT-ILS PAREILS? OBJECTIFS DE CONTENU ET D EXPÉRIMENTATION Cette activité permet aux élèves d explorer les différents aspects des poils et des cheveux. ASSUREZ-VOUS

Plus en détail

SERRURERIE SERRURERIE 2

SERRURERIE SERRURERIE 2 VERROUS DE BLOCAGE...58 VERROUS...58 SERRURES EN APPLIQUE...68 VERROUS ET SURETES HAUT ET BAS...84 SERRURES CARENEES...94 SERRURES A LARDER...99 SERRURES A LARDER HAUT ET BAS...107 SERRURES POUR MENUISERIE

Plus en détail

Variotec 150/GV. La ferrure. Domaine d'utilisation. Données spécifiques HAWA-Variotec 150/GV. Exemples de construction. Entailles du verre.

Variotec 150/GV. La ferrure. Domaine d'utilisation. Données spécifiques HAWA-Variotec 150/GV. Exemples de construction. Entailles du verre. Ferrure en construction modulaire pour portes et cloisons coulissantes élégantes en verre de 70 à 150 kg par vantail et épaisseurs de verre de 10 12,7 mm. La ferrure La ferrure HAWA- a d'exceptionnelles

Plus en détail

Principe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons. Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14

Principe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons. Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14 Principe ALARA mis en place lors de la phase de conception des cyclotrons Ch. Bouvy; J-M. Geets; B. Nactergal 11/06/14 Table des matières Société IBA Vue d ensemble Procédure Product Life Management (PLM)

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la

Plus en détail

SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile

SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement. L Epoxy facile SALLE DE BAIN, DOUCHE, PLAN DE TRAVAIL CUISINE, PISCINE... Collage et jointoiement L Epoxy facile DOMAINES D EMPLOI Recommandé pour salle de bain, douche, plan de travail cuisine, piscine, bassins thermaux,

Plus en détail

Les biens culturels :

Les biens culturels : www.cicrp.fr Imagerie scientifique Jean-Marc Vallet & Odile Guillon Journée «Contrôle non destructif» Paris - 6 octobre 2011 Les biens culturels : - Caractère unique et précieux - Notion d ancienneté,

Plus en détail

LES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie

LES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie EPREUVE COMMUNE DE TIPE 2006 partie D 5 TITRE : LES GENERATEURS ELECTROCHIMIQUES Energie, Puissance et Technologie 10 Temps de préparation : 2 h 15 Temps de présentation devant le jury : 10 minutes Entretien

Plus en détail

Défi 1 Qu est-ce que l électricité statique?

Défi 1 Qu est-ce que l électricité statique? Défi 1 Qu estce que l électricité statique? Frotte un ballon de baudruche contre la laine ou tes cheveux et approchele des morceaux de papier. Décris ce que tu constates : Fiche professeur Après avoir

Plus en détail