DOLLARAMA INC. RAPPORT DE GESTION Le 10 juin 2010

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1 DOLLARAMA INC. RAPPORT DE GESTION Le 10 juin 2010 Le présent rapport de gestion daté du 10 juin 2010 vise à aider le lecteur à comprendre Dollarama inc. (la «Société»), son contexte commercial, ses stratégies, son rendement et ses facteurs de risque. Il doit être lu en parallèle avec nos états financiers consolidés et les notes y afférentes pour le trimestre terminé le 2 mai 2010 et avec nos états financiers consolidés vérifiés et les notes y afférentes pour les exercices terminés le 31 janvier 2010 (l «exercice 2010») et le 1 er février Notre monnaie de fonctionnement et de présentation est le dollar canadien. Les renseignements financiers ont été préparés conformément aux PCGR du Canada. Certaines mesures présentées dans ce rapport de gestion n ont pas de définition normalisée prescrite par les PCGR du Canada. Lorsque ces mesures sont présentées, elles sont définies de manière à permettre au lecteur de faire un rapprochement avec la mesure conforme aux PCGR du Canada la plus pertinente. Il est peu probable que ces mesures puissent être comparées à des mesures similaires présentées par d autres sociétés. Constitution de la Société La Société est devenue un émetteur assujetti en octobre Elle détient indirectement, par l intermédiaire de ses filiales, la totalité des participations dans Dollarama S.E.C. et dans Dollarama Corporation, qui exploitent collectivement l entreprise Dollarama. Les termes «Société», «nous», «notre» et «nos» font référence à la Société prise collectivement avec ses filiales consolidées. Énoncés prospectifs Hormis l information de nature rétrospective incluse aux présentes, les énoncés du présent rapport de gestion sont de nature prospective. Les énoncés prospectifs sont assujettis à des risques et à des incertitudes connus et inconnus, y compris ceux qui sont décrits ailleurs dans le présent rapport de gestion. Les énoncés prospectifs sont fondés sur les estimations et les hypothèses de la Société à la lumière de son expérience et de sa perception des tendances historiques, de la conjoncture et des développements futurs prévus, ainsi que d autres facteurs qu elle croit pertinents et raisonnables dans les circonstances, mais rien ne garantit que ces estimations et hypothèses sont exactes. Certaines hypothèses à l égard des obligations découlant de réclamations, des avantages sociaux futurs, des impôts sur les bénéfices, de l écart d acquisition et des actifs incorporels constituent des facteurs importants dont il est tenu compte pour préparer les énoncés prospectifs et les attentes de la direction. Plusieurs facteurs pourraient faire en sorte que nos résultats, notre degré d activité, nos réalisations ou notre rendement réels, ou les événements ou développements futurs, diffèrent sensiblement de ceux exprimés de façon implicite ou explicite par les énoncés prospectifs, notamment les facteurs suivants, lesquels sont décrits plus en détail dans la rubrique sur les facteurs de risque : augmentations futures des frais d exploitation et du coût des marchandises, impossibilité de renouveler notre marchandise aussi souvent qu auparavant, augmentation des coûts ou interruption du flux de marchandises importées, perturbation dans le réseau de distribution, mauvaise conjoncture générale de l économie, niveau d endettement élevé, incapacité de générer des flux de trésorerie suffisants pour servir l ensemble de la dette de la Société, capacité de la Société de contracter d autres dettes, restrictions importantes imposées par la facilité de crédit garantie de premier rang (la «facilité de crédit») et l acte relatif à nos billets de premier rang à intérêt reporté et à taux variable (les «billets à intérêt reporté»), risque relatif aux taux d intérêt lié au taux d endettement variable, absence de garantie que notre stratégie de lancement de produits dont le prix varie entre 1,00 $ et 2,00 $ sera maintenue avec succès, acceptation par le marché de nos marques maison, incapacité d obtenir de la capacité supplémentaire pour les centres d entreposage et de distribution en temps opportun, conditions climatiques ou fluctuations saisonnières, concurrence dans le secteur du détail, dépendance envers la capacité à obtenir des prix et d autres modalités concurrentielles de la part des fournisseurs, incapacité de renouveler les baux de nos magasins, de nos entrepôts et de notre centre de distribution ou de trouver d autres emplacements ou des baux à des conditions favorables, interruptions des systèmes de technologie de l information, impossibilité de réaliser la stratégie de croissance avec succès, incapacité de réaliser la croissance prévue du chiffre d affaires et du bénéfice d exploitation, diminution des stocks, respect des règlements environnementaux, incapacité d attirer et de conserver des employés qualifiés, départ de hauts dirigeants, fluctuation de la valeur du dollar canadien par rapport au dollar américain, litiges, réclamations en responsabilité du fait des produits et rappels de produits, coûts inattendus liés à notre

2 programme d assurance actuel, protection des marques de commerce et autres droits exclusifs, catastrophes naturelles, risques liés à la protection des données des cartes de crédit et de débit des clients, structure de société de portefeuille, influence des actionnaires actuels, volatilité du cours des actions ordinaires de la Société (les «actions ordinaires»), absence d intention de payer des dividendes en trésorerie et ventes futures d actions ordinaires par les actionnaires actuels. Ces facteurs ne sont pas censés représenter une liste exhaustive des facteurs susceptibles d avoir une incidence sur nous; toutefois, ils devraient être étudiés attentivement. Les énoncés prospectifs décrivent nos attentes en date du 10 juin 2010, et nous n avons pas l intention et nous déclinons toute obligation d actualiser ou de réviser ces énoncés prospectifs à la lumière de nouveaux éléments d information, d événements futurs ou pour quelque autre motif, sauf si nous y sommes tenus en vertu de la loi. Les énoncés prospectifs contenus dans le présent rapport doivent être lus à la lumière de la présente mise en garde. Mesures conformes aux PCGR et hors PCGR Sauf indication contraire et comme il est indiqué dans les présentes, toutes les données relatives aux états financiers contenues dans le présent rapport ont été établies selon les principes comptables généralement reconnus du Canada (les «PCGR»). Les états financiers consolidés de Dollarama inc. ont été dressés conformément aux PCGR du Canada. Le présent rapport fait référence à certaines mesures hors PCGR. Ces mesures ne sont pas conformes aux PCGR du Canada, elles n ont pas de signification normalisée prescrite par les PCGR du Canada et ne sont donc pas susceptibles de se prêter aux comparaisons avec des mesures similaires présentées par d autres entreprises. Elles sont plutôt fournies en tant que supplément aux mesures conformes aux PCGR du Canada pour permettre de mieux comprendre les résultats d exploitation de la Société du point de vue de la direction. Par conséquent, elles ne doivent pas être prises en compte isolément ni remplacer l analyse de notre information financière présentée selon les PCGR du Canada. Nous avons recours à des mesures hors PCGR, notamment le BAIIA, pour fournir aux investisseurs une mesure supplémentaire de notre rendement d exploitation et ainsi mettre en évidence les tendances dans nos activités de base que les seules mesures conformes aux PCGR du Canada ne permettraient pas nécessairement de faire ressortir. Par ailleurs, nous croyons que les analystes en valeurs mobilières, les investisseurs et d autres parties intéressées s appuient fréquemment sur des mesures hors PCGR pour évaluer les sociétés émettrices. La direction a aussi recours à des mesures hors PCGR pour faciliter les comparaisons du rendement d exploitation d une période à l autre, établir les budgets d exploitation annuels et évaluer notre capacité à prendre en charge le service futur de notre dette, nos dépenses en immobilisations et nos besoins en fonds de roulement. Les mesures hors PCGR ne sont pas des informations présentées en conformité avec les PCGR du Canada. Par exemple, une partie ou la totalité des mesures hors PCGR ne tiennent pas compte a) de nos dépenses en trésorerie ou de nos besoins futurs au titre des dépenses en immobilisations ou des engagements contractuels, b) des variations de nos besoins en fonds de roulement ou de nos besoins de liquidités à cet égard, c) de l importante charge d intérêts ou des besoins de liquidités liés aux paiements d intérêts et de capital sur notre dette et d) des versements d impôts qui représentent une réduction des liquidités à notre disposition. Nous considérons les éléments exclus du calcul des mesures hors PCGR comme des éléments non récurrents et moins pertinents aux fins de l évaluation de notre rendement, mais certains de ces éléments pourraient survenir à nouveau et ainsi réduire les liquidités à notre disposition. Se reporter à la rubrique «Principales informations financières consolidées» pour obtenir la définition des mesures hors PCGR utilisées et présentées par la Société ainsi qu un rapprochement de ces mesures avec les mesures conformes aux PCGR les plus directement comparables. À notre avis, la présentation des mesures hors PCGR décrites précédemment est appropriée. Cependant, ces mesures hors PCGR comportent des limitations importantes en tant qu outils d analyse, et elles ne doivent pas être examinées isolément ni remplacer l analyse de nos résultats présentés selon les PCGR du Canada. En raison de ces limitations, nous nous appuyons principalement sur nos résultats présentés selon les PCGR du Canada et nous utilisons les mesures hors PCGR à des fins complémentaires seulement. En outre, il est possible que d autres entreprises calculent les mesures hors PCGR différemment. Ces mesures ne peuvent donc pas nécessairement être comparées avec des mesures similaires présentées par d autres entreprises. Faits nouveaux Clôture du placement secondaire de ses actions ordinaires et clôture simultanée de l option de surallocation Le 28 avril 2010, la Société a conclu dans le cadre d une prise ferme le placement secondaire qu elle avait annoncé antérieurement. Elle a simultanément conclu l option de surallocation aux termes de laquelle ses actionnaires Bain Dollarama (Luxembourg) One S.à.r.l., Stéphane Gonthier et une entité contrôlée par Larry Rossy (collectivement, les «actionnaires vendeurs») ont vendu au total actions ordinaires (dont ont été vendues dans le cadre de l exercice intégral de l option de surallocation) au prix de 24,60 $ l action, pour un produit brut total de $ pour les actionnaires vendeurs. Dollarama n a tiré aucun produit de ce 2

3 placement. Aperçu La Société, qui comptait 611 magasins Dollarama au 2 mai 2010, est le plus important exploitant de magasins à un dollar au Canada, et le nombre de magasins de notre réseau est plus de quatre fois supérieur à celui de notre plus proche concurrent au Canada. Nous sommes la seule entreprise à exploiter un nombre important de magasins à l échelle du pays et nous poursuivons notre expansion dans toutes les provinces canadiennes. Nos magasins ont une superficie moyenne d environ pi 2 et ils proposent un éventail choisi de marchandises de valeur attrayante, notamment des articles de marque maison et de marques nationales. Nous proposons une vaste gamme de biens de consommation et de marchandises générales d usage courant et de bonne qualité, de même que des produits saisonniers. Nos produits de qualité sont vendus soit individuellement, soit en lots, à des prix fixes variant de 1,00 $ à 2,00 $, à l exception de certaines friandises qui sont vendues à 0,69 $. Tous les magasins appartiennent à la Société, ce qui nous permet d offrir une expérience de magasinage uniforme. Pratiquement tous les magasins sont situés dans des endroits achalandés comme des galeries marchandes et des centres commerciaux, que ce soit dans des régions métropolitaines, dans des villes de taille moyenne ou dans des petites villes. Notre stratégie consiste à faire progresser le chiffre d affaires, le résultat net et les flux de trésorerie en utilisant notre position de premier exploitant de magasins à un dollar au Canada et à offrir un grand éventail d articles attrayants d usage courant à une large clientèle. Nous visons à maintenir et à améliorer continuellement l efficience de nos activités. Nos produits sont vendus soit individuellement, soit en lots, à des prix fixes de 0,69 $ (certaines friandises), de 1,00 $, de 1,25 $, de 1,50 $ et de 2,00 $. Avant février 2009, la totalité de nos produits étaient vendus à 1,00 $, à l exception de certaines friandises qui étaient vendues à des prix plus bas. Le 2 février 2009, nous avons lancé une nouvelle gamme de produits à des prix fixes de 1,25 $, de 1,50 $ et de 2,00 $, permettant d élargir l éventail proposé aux clients. Faits saillants du premier trimestre terminé le 2 mai 2010 Le chiffre d affaires du premier trimestre terminé le 2 mai 2010 a progressé de 14,1 % par rapport à celui du premier trimestre terminé le 3 mai 2009, en raison essentiellement de l ouverture de 37 nouveaux magasins depuis la fin du premier trimestre terminé le 3 mai 2009 (facteur contrebalancé par la fermeture de trois magasins), et celui des magasins comparables a augmenté de 8,6 % pour le trimestre. La croissance du chiffre d affaires des magasins comparables provient d une hausse de 1,9 % du nombre de transactions et d une progression de 6,6 % du montant moyen des transactions. Le résultat net s est chiffré à 22,5 M$ pour le trimestre terminé le 2 mai 2010, contre 11,1 M$ pour le premier trimestre terminé le 3 mai Éléments ayant une incidence sur nos résultats d exploitation Chiffre d affaires Nous constatons nos ventes au moment où le client paie sa marchandise et en prend possession. Toutes les ventes sont finales. Notre chiffre d affaires est composé du chiffre d affaires des magasins comparables et du chiffre d affaires des nouveaux magasins. Le chiffre d affaires des magasins comparables constitue une mesure de l augmentation ou de la diminution, en pourcentage, des ventes enregistrées par les magasins ouverts depuis au moins 13 mois d exercice complets comparativement à la période correspondante de l exercice précédent. Le chiffre d affaires des magasins agrandis et celui des magasins délocalisés sont également inclus dans le chiffre d affaires des magasins comparables. Les principaux moteurs du chiffre d affaires des magasins comparables sont les variations du nombre de transactions et le montant moyen des transactions. Pour accroître le chiffre d affaires des magasins comparables, nous mettons l accent sur une offre de marchandises diversifiées de bonne qualité à des prix attrayants dans des magasins bien aménagés, uniformes et faciles d accès. Généralement, le dernier trimestre de l exercice présente un niveau d activité plus élevé et dégage des résultats supérieurs à celui des trois premiers trimestres. Pour consulter les données afférentes aux huit derniers trimestres, se reporter au sommaire des résultats trimestriels consolidés. Notre chiffre d affaires subit l incidence défavorable de l inflation et d autres facteurs liés au ralentissement économique qui influent sur les dépenses de consommation au Canada où nous vendons nos marchandises. 3

4 Coût des marchandises vendues Le coût des marchandises vendues comprend principalement le coût des stocks de marchandises et les frais de transport (variables et proportionnels aux volumes de ventes), les frais d occupation des magasins et les frais d exploitation des centres d entreposage et de distribution. Le cas échéant, nous constatons les escomptes consentis par les fournisseurs selon nos volumes d achats. Ces escomptes sont comptabilisés en tant que réduction du coût d achat des marchandises, ce qui a pour effet de réduire le coût des marchandises vendues. Auparavant, comme nous exploitions des magasins à un dollar vendant des produits à des prix fixes, l augmentation des charges d exploitation et du coût des marchandises pouvait avoir une incidence négative sur nos résultats d exploitation puisque cette augmentation ne pouvait être répercutée sur les prix des marchandises vendues à nos clients. La seule manière d atténuer l incidence de la hausse des coûts par unité était de revoir la conception des produits fabriqués directement par nos fournisseurs étrangers. Bien que de nouvelles hausses des coûts puissent avoir une incidence défavorable sur nos résultats, la grille de prix nous assure une plus grande marge de manœuvre pour composer rapidement avec la hausse des coûts. Nous arrivons habituellement à réduire le coût des marchandises vendues en nous approvisionnant davantage auprès de fournisseurs étrangers à bas prix. Pour l exercice 2010, nos achats effectués directement auprès de fournisseurs étrangers se sont élevés à 53,4 % du total de nos achats. Bien que nous continuions de nous approvisionner majoritairement en Chine, nous avons entrepris d accroître nos achats auprès d autres fournisseurs étrangers au cours des deux derniers exercices, notamment en Inde, en Indonésie, en Thaïlande, en Turquie et au Vietnam. Par conséquent, le coût des marchandises vendues fluctue en fonction du cours du dollar canadien par rapport à certaines devises. Plus particulièrement, la majorité de nos produits importés proviennent de Chine et sont payés en dollars américains. Par conséquent, le coût des marchandises vendues est sensible aux fluctuations du renminbi chinois par rapport au dollar américain et à celles du dollar américain par rapport au dollar canadien. Bien que nous concluions des contrats de change à terme en vue de couvrir une partie de notre exposition à la fluctuation du dollar américain par rapport au dollar canadien, nous ne réalisons aucune opération de couverture relativement à la fluctuation du renminbi chinois par rapport au dollar américain. Les frais de livraison et de transport constituent également une composante importante du coût des marchandises vendues. Lorsque le prix du carburant augmente, les frais de livraison et de transport augmentent aussi parce que les transporteurs répercutent généralement cette augmentation sur les tarifs imposés aux usagers. Étant donné la grande volatilité du prix du carburant, il est difficile de prévoir les suppléments de carburant que nous pourrions nous voir imposer par nos transporteurs comparativement aux trimestres précédents. Les frais d occupation sont tributaires des charges de location de base. En général, nous estimons être en mesure de négocier les modalités de nos baux à des conditions commerciales favorables en raison de l achalandage accru que génèrent souvent nos magasins dans les galeries marchandes et les centres commerciaux. Nous contractons généralement des baux pour des durées de dix ans, avec option de reconduction pour une ou plusieurs périodes additionnelles de cinq ans. Frais généraux, frais d administration et charges d exploitation des magasins Les frais généraux, frais d administration et charges d exploitation des magasins (les «frais généraux») sont composés des coûts de la main-d œuvre (essentiellement variables et proportionnels aux volumes de ventes des magasins) et des coûts de l entretien des magasins, des salaires et des charges sociales des employés du siège social et des membres de l équipe de direction des magasins, des charges d administration des bureaux, des honoraires et d autres charges connexes, qui sont tous essentiellement fixes. Bien que le salaire horaire moyen de nos employés soit plus élevé que le salaire minimum, une augmentation de celui-ci pourrait avoir une incidence considérable sur les charges salariales, à moins que cette incidence soit compensée par un gain de productivité et une réduction de coûts. Nous prévoyons que les frais d administration augmenteront à mesure que nous étendons notre infrastructure pour répondre aux besoins créés par la croissance de la Société. Depuis le 2 novembre 2009, les frais généraux, frais d administration et charges d exploitation des magasins ne tiennent plus compte des frais de gestion trimestriels de 0,75 M$ payables aux fonds conseillés par Bain Capital Partners, LLC (ces fonds étant désignés par «Bain Capital» dans le présent rapport de gestion) aux termes de sa convention de gestion. La convention de gestion a été résiliée à la clôture du PAPE de la Société au troisième trimestre de l exercice Stratégie de mise en marché Afin de continuer à proposer à nos clients des produits de plus grande valeur et de meilleure qualité, nous avons entrepris, depuis le 2 février 2009, de présenter un assortiment additionnel de produits à des prix variant de 1,00 $ à 2,00 $. Bien que la majorité de nos produits continuent d être vendus à 1,00 $, ce nouvel assortiment de 4

5 produits vendus à des prix pouvant atteindre 2,00 $ a permis d accroître la gamme de marchandise que nous proposons. Facteurs économiques et facteurs propres au secteur ayant une incidence sur la Société Nous exerçons nos activités dans le secteur de la vente au détail, un secteur extrêmement concurrentiel sur le plan des prix, de l emplacement des magasins, de la qualité de la marchandise, de la gamme de produits et de leur présentation, de la régularité des stocks et du service à la clientèle. Nous livrons concurrence à d autres magasins à un dollar, aux magasins à prix modiques et à escompte et aux grandes surfaces au Canada. Ces détaillants exploitent des magasins dans de nombreux emplacements où nous sommes aussi présents, et bon nombre d entre eux consacrent des efforts importants à la publicité et au marketing. En outre, nous livrons concurrence à certaines autres entreprises pour les meilleurs emplacements où installer nos magasins et pour attirer et conserver un personnel qualifié. Tout comme les autres entreprises du secteur de la vente au détail, nous prévoyons que certains facteurs, dont ceux décrits ci-après, mais sans s y limiter, continueront d exercer une pression sur l environnement dans lequel nous exerçons nos activités : le coût des marchandises, la récession et l instabilité économique à l échelle mondiale, le niveau d endettement des consommateurs et leurs tendances d achat, les conditions économiques défavorables, les taux d intérêt, la volatilité du marché, les préférences des consommateurs, le taux de chômage, le coût de la main-d œuvre, l inflation, la fluctuation des taux de change, le prix du carburant, les conditions météorologiques, les catastrophes, la concurrence et le coût de l assurance. Tout dépendant de la conjoncture, les dépenses à la consommation pourraient reculer en raison de certains facteurs économiques, notamment le taux de chômage. Le recul du niveau de confiance des consommateurs et des dépenses à la consommation pourrait également avoir une incidence défavorable sur notre chiffre d affaires. 5

6 Principales informations financières consolidées Les principales informations financières consolidées au 2 mai 2010 et au 3 mai 2009 qui suivent sont tirées de nos états financiers consolidés et des notes y afférentes. Périodes de 13 semaines terminées les (en milliers de dollars, sauf les montants par action et le nombre d actions) 2 mai mai 2009 Données tirées de l état des résultats Chiffre d affaires $ $ Coût des marchandises vendues Bénéfice brut Charges : Frais généraux, frais d administration et charges d exploitation des magasins Amortissement Total des charges Bénéfice d exploitation Charge d intérêts sur la dette à long terme Charge d intérêts sur les montants à payer aux actionnaires Perte (gain) de change sur les instruments financiers dérivés et la dette à long terme (7 505) Résultat avant impôts sur les bénéfices Charge d impôts sur les bénéfices Résultat net $ $ Résultat net de base par action ordinaire... 0,31 $ 0,26 $ Résultat net dilué par action ordinaire... 0,30 $ 0,26 $ Nombre moyen pondéré d actions en circulation de la période De base (en milliers) Dilué (en milliers) Autres données Croissance du chiffre d affaires... 14,1 % 15,5 % Croissance du chiffre d affaires des magasins comparables 1)... 8,6 % 7,5 % Marge brute 2)... 34,3 % 33,4 % Frais généraux normalisés, en pourcentage du chiffre d affaires 3) 4)... 19,8 % 20,5 % BAIIA normalisé 3) $ $ BAII normalisé 3) $ $ Marge du BAII normalisé 3) 4)... 12,3 % 10,7 % Dépenses en immobilisations $ $ Nombre de magasins 5) Superficie moyenne des magasins (en pieds carrés bruts) 5) Au (en milliers de dollars) 2 mai janvier 2010 Données tirées du bilan Trésorerie et équivalents $ $ Stocks de marchandises Immobilisations corporelles Total de l actif Total de la dette 6) Dette nette 7) ) Un magasin comparable s entend d un magasin ouvert depuis au moins 13 mois complets par rapport à la même période de l exercice précédent, y compris les magasins délocalisés et agrandis. 2) La marge brute correspond au bénéfice brut en pourcentage du chiffre d affaires. 3) Le présent rapport contient des renvois au BAII normalisé, au BAIIA normalisé et aux frais généraux normalisés, collectivement appelés les «mesures hors PCGR». Le «BAII normalisé» correspond au bénéfice d exploitation établi selon les PCGR du Canada, ajusté au titre des frais non récurrents. Le «BAIIA normalisé» correspond au BAII normalisé plus l amortissement. Les «frais généraux normalisés» correspondent aux frais généraux d administration et de vente établis selon les PCGR du Canada, ajustés au titre des frais non récurrents. 6

7 Périodes de 13 semaines terminées les (en milliers de dollars) 2 mai mai 2009 Le tableau suivant présente un rapprochement du bénéfice d exploitation et du BAII normalisé : Bénéfice d exploitation $ $ Ajouter les frais non récurrents : Frais de gestion a) b) BAII normalisé $ $ Marge du BAII normalisé... 12,3 % 10,7 % Le tableau suivant présente un rapprochement du BAII normalisé et du BAIIA normalisé : BAII normalisé $ $ Ajouter l amortissement BAIIA normalisé $ $ Marge du BAIIA normalisé... 14,5 % 12,9 % Le tableau suivant présente un rapprochement des frais généraux et des frais généraux normalisés : Frais généraux $ $ Déduire les frais non récurrents a) b)... (750) Frais généraux normalisés $ $ Frais généraux normalisés, en pourcentage du chiffre d affaires... 19,8 % 20,5 % Le tableau suivant présente un rapprochement du BAIIA normalisé et des flux de trésorerie liés aux activités d exploitation : BAIIA normalisé $ $ Charge d intérêts sur la dette à long terme, après amortissement des coûts d émission d instruments d emprunt et des intérêts capitalisés... (5 617) (14 208) Charge d intérêts sur les montants à payer aux actionnaires, après intérêts capitalisés (337) Perte de change en trésorerie sur les instruments financiers dérivés et la dette à long terme c)... (7 838) (2 000) Charge d impôts exigibles... (6 047) (5 826) Intérêts implicites payés... (27) (345) Incitatifs à la location reportés Allocations reçues du propriétaire et charges de location reportées Amortissement des allocations reçues du propriétaire et charges de location reportées... (390) (321) Rémunération à base d actions Frais de gestion a)b)... (750) Autres... (1) Variation des éléments hors trésorerie du fonds de roulement Flux de trésorerie liés aux activités d exploitation $ $ a) Rend compte des frais de gestion engagés et payés ou payables à Bain Capital, exception faite des menues dépenses. b) La convention de gestion a été résiliée au moment du premier appel public à l épargne de la Société. c) Représente la portion en trésorerie de la perte (du gain) de change sur la dette à long terme et la variation de la juste valeur des instruments financiers dérivés. 4) La marge du BAII normalisé correspond au BAII normalisé (voir la note 3) divisé par le chiffre d affaires. Les frais généraux normalisés exprimés en pourcentage du chiffre d affaires correspondent aux frais généraux normalisés (voir la note 3) divisés par le chiffre d affaires. 5) À la fin de la période. 6) Le total de la dette comprend la partie à court terme de la dette à long terme, la dette à long terme avant les coûts d émission d instruments d emprunt et les escomptes, ainsi que les instruments financiers dérivés liés à la dette à long terme. 7) La dette nette correspond au total de la dette (voir la note 6), moins la trésorerie et ses équivalents. 7

8 Résultats d exploitation Comparaison du premier trimestre terminé le 2 mai 2010 et du premier trimestre terminé le 3 mai 2009 Chiffre d affaires Pour le trimestre terminé le 2 mai 2010, nous avons réalisé un chiffre d affaires de 311,9 M$, soit une augmentation de 14,1 % par rapport au trimestre terminé le 3 mai La croissance du chiffre d affaires est principalement attribuable à l ajout d un nombre net de 34 magasins depuis la clôture du premier trimestre terminé le 3 mai 2009 et à l augmentation de 8,6 % du chiffre d affaires des magasins comparables par suite de hausses de 1,9 % du nombre de transactions et de 6,6 % du montant moyen des transactions. Le lancement de notre nouvelle gamme d articles à 1,25 $, à 1,50 $ et à 2,00 $ a été réalisé progressivement au premier trimestre de l exercice Nous estimons que ces nouveaux prix ont une incidence positive sur notre chiffre d affaires, augmentant à la fois le nombre de transactions et le montant moyen des transactions. La superficie totale de nos magasins en pieds carrés a augmenté de 7,1 %, passant de 5,6 millions au 3 mai 2009 à 6,0 millions au 2 mai Coût des marchandises vendues Le coût des marchandises vendues a progressé de 22,7 M$, soit 12,4 %, passant de 182,2 M$ pour le trimestre terminé le 3 mai 2009 à 204,9 M$ pour le trimestre terminé le 2 mai Notre marge brute a été portée à 34,3 % du chiffre d affaires, contre 33,4 % pour le trimestre terminé le 3 mai 2009, en raison surtout de la réduction des frais de transport, de gains d efficacité en matière de logistique ainsi que de la diminution de la provision pour pertes sur marchandises. Frais généraux, frais d administration et charges d exploitation des magasins Les frais généraux ont augmenté de 5,0 M$, soit 8,9 %, passant de 56,8 M$ pour le trimestre terminé le 3 mai 2009 à 61,8 M$ pour le trimestre terminé le 2 mai 2010, en raison surtout de l ajout d un nombre net de 34 nouveaux magasins depuis le 3 mai 2009 et de l augmentation des salaires des employés des magasins. Les frais généraux, en pourcentage du chiffre d affaires, ont diminué pour s établir à 19,8 % pour le trimestre terminé le 2 mai 2010, contre 20,8 % pour le trimestre terminé le 3 mai 2009, alors que nous avions enregistré une inefficience du personnel des magasins liée au lancement de notre nouvelle grille de prix. Amortissement La dotation à l amortissement a augmenté de 0,7 M$, passant de 6,0 M$ pour le trimestre terminé le 3 mai 2009 à 6,7 M$ pour le trimestre terminé le 2 mai 2010, en raison surtout des nouveaux magasins ouverts. Charge d intérêts sur la dette à long terme La charge d intérêts a diminué de 9,0 M$, passant de 15,4 M$ pour le trimestre terminé le 3 mai 2009 à 6,4 M$ pour le trimestre terminé le 2 mai 2010, du fait surtout du remboursement de l emprunt à terme A en cours aux termes de la facilité de crédit et du rachat, le 17 novembre 2009, des billets subordonnés de premier rang à 8,875 % en circulation échéant en 2012 d un montant en capital de 200,0 M$ US (les «billets subordonnés de premier rang à 8,875 %»). Charge d intérêts sur les montants à payer aux actionnaires La charge d intérêts sur les montants à payer aux actionnaires est passée de 6,9 M$ pour le trimestre terminé le 3 mai 2009 à néant pour le trimestre terminé le 2 mai 2010 du fait de la conversion partielle de cette dette en actions et du remboursement du solde du montant à payer aux actionnaires le 16 octobre

9 Perte (gain) de change sur les instruments financiers dérivés et la dette à long terme La perte de change sur les instruments financiers dérivés et la dette à long terme s est établie à 0,1 M$ pour le trimestre terminé le 2 mai 2010, comparativement à un gain de change de 7,5 M$ sur les instruments financiers dérivés et la dette à long terme pour le trimestre terminé le 3 mai Ce gain de 7,5 M$ découlait surtout de l incidence de l appréciation du dollar canadien par rapport au dollar américain sur nos billets à intérêt reporté, lesquels ne faisaient pas l objet d une couverture au cours du trimestre terminé le 3 mai 2009, tandis qu au cours du trimestre terminé le 2 mai 2010, la totalité de la dette en dollars américains a fait l objet d une couverture, rendant ainsi moins volatile l incidence de la variation du taux de change sur les instruments financiers dérivés et la dette à long terme. Charge d impôts sur les bénéfices La charge d impôts sur les bénéfices a augmenté de 7,1 M$, passant de 2,4 M$ pour le trimestre terminé le 3 mai 2009 à 9,5 M$ pour le trimestre terminé le 2 mai 2010, en raison surtout de la rentabilité accrue de la Société. Le taux d imposition réglementaire fédéral-provincial s est établi à 30,2 % et à 32,2 %, respectivement, pour les trimestres terminés le 2 mai 2010 et le 3 mai Pour le trimestre terminé le 3 mai 2009, notre taux d imposition effectif a surtout été tributaire de l augmentation de valeur non déductible des montants à payer à certains actionnaires de la Société ainsi que des gains et pertes de change qui n étaient imposables qu à 50 %. Résultat net Le résultat net a progressé de 11,3 M$, passant de 11,1 M$ pour le trimestre terminé le 3 mai 2009 à 22,5 M$ pour le trimestre terminé le 2 mai L augmentation du résultat net découle surtout de la croissance du chiffre d affaires et de la marge ainsi que de la diminution de la charge d intérêts. Sommaire des résultats trimestriels consolidés Exercice Exercice Exercice (en milliers de dollars) T1 T4 T3 T2 T1 T4 T3 T2 Données tirées de l état des résultats : Chiffre d affaires $ $ $ $ $ $ $ $ Coût des marchandises vendues 1) Frais généraux, frais d administration et charges d exploitation des magasins 1) Amortissement Total des charges Bénéfice d exploitation Autres charges : Charge d intérêts sur la dette à long terme Charge d intérêts sur les montants à payer aux actionnaires Perte (gain) de change sur les instruments financiers dérivés et la dette à long terme (7 785) (21 329) (7 505) Résultat avant impôts sur les bénéfices (22 245) Charge (économie) d impôts sur les bénéfices (38) Résultat net $ $ $ $ $ $ (22 207) $ $ 1) Certaines charges ont été reclassées dans le coût des marchandises vendues et dans les frais généraux, frais d administration et charges d exploitation des magasins après le troisième trimestre de l exercice Les chiffres présentés antérieurement et les résultats historiques ont été recalculés en conséquence. 9

10 Situation de trésorerie et ressources en capital Flux de trésorerie Flux de trésorerie liés aux activités d exploitation Les flux de trésorerie provenant des activités d exploitation ont progressé pour atteindre 31,4 M$ pour le trimestre terminé le 2 mai 2010, comparativement à 16,6 M$ pour le trimestre terminé le 3 mai Cette augmentation des flux de trésorerie liés aux activités d exploitation est principalement attribuable à la hausse de la rentabilité et à la variation des éléments hors trésorerie du fonds de roulement, qui a représenté un apport de 4,4 M$ pour le trimestre terminé le 2 mai 2010, contre 3,1 M$ pour le trimestre terminé le 3 mai Les mesures proactives d optimisation du fonds de roulement continuent d avoir un effet positif sur les flux de trésorerie, comme l illustre la réduction des stocks de marchandises. Flux de trésorerie liés aux activités d investissement Au cours du trimestre terminé le 2 mai 2010, les flux de trésorerie liés aux activités d investissement ont progressé pour atteindre 9,4 M$, contre 8,1 M$ pour le trimestre terminé le 3 mai Pour atténuer davantage le risque lié à la dette existante à la suite du remboursement des billets subordonnés de premier rang à 8,875 % au cours de l exercice 2010, nous avons modifié nos conventions de swap, ce qui a entraîné des sorties de fonds nettes de 3,0 M$ au cours du trimestre terminé le 2 mai Les achats d immobilisations corporelles ont reculé de 1,7 M$ pendant cette période en raison surtout du moins grand nombre de nouveaux magasins ouverts et des besoins en capital moindres à l égard de l affichage et des enseignes liés à la nouvelle grille de prix que nous avons lancée au cours du trimestre terminé le 3 mai Pendant le trimestre terminé le 2 mai 2010, 9 magasins ont été ouverts, comparativement à 13 magasins ouverts au cours du trimestre terminé le 3 mai Flux de trésorerie liés aux activités de financement Les flux de trésorerie provenant des activités de financement pour le trimestre terminé le 2 mai 2010 se sont élevés à 0,7 M$, contre des flux de trésorerie affectés aux activités de financement de 7,9 M$ pour le trimestre terminé le 3 mai Au cours du trimestre terminé le 2 mai 2010, la Société a émis des actions ordinaires totalisant 1,3 M$ et effectué des versements de capital trimestriels prévus de 0,6 M$ sur l emprunt à terme B aux termes de la facilité de crédit. Au cours du trimestre terminé le 3 mai 2009, les flux de trésorerie affectés aux activités de financement ont été principalement attribuables aux versements de capital trimestriels prévus de 7,2 M$ sur l emprunt à terme A aux termes de la facilité de crédit et aux versements de capital trimestriels prévus de 0,7 M$ sur l emprunt à terme B. Situation de trésorerie La Société a toujours généré des flux de trésorerie d exploitation suffisants pour financer sa stratégie de croissance prévue et assurer le service de sa dette. La direction prévoit qu il continuera d en être ainsi car, au cours des trois exercices précédents, les nouveaux magasins ont enregistré un délai de récupération moyen du capital inférieur à deux ans pour la totalité des décaissements (y compris les dépenses en immobilisations et les stocks) liés à l ouverture d un nouveau magasin. De plus, au 2 mai 2010, la Société avait de la trésorerie et des équivalents en caisse totalisant 115,7 M$ ainsi qu un montant de 73,6 M$ disponible aux termes d une facilité de crédit renouvelable, qui lui procurent une plus grande souplesse pour combler des besoins imprévus en matière de liquidités, le cas échéant. Notre capacité à effectuer les paiements en capital prévus, à payer les intérêts sur les dettes, à refinancer celles-ci ou à financer les dépenses en immobilisations prévues dépendra de notre rendement futur, lequel sera, dans une certaine mesure, tributaire de la conjoncture économique, de facteurs d ordre financier, de la concurrence, des lois, du cadre réglementaire et d autres facteurs qui échappent à notre volonté. Compte tenu des activités que nous menons actuellement, nous croyons que les flux de trésorerie provenant de nos activités d exploitation ainsi que les montants dont nous disposons aux termes de notre facilité de crédit nous permettront de combler nos besoins en liquidités futurs. Nos hypothèses concernant ces besoins pourraient se révéler 10

11 inexactes, et les fonds auxquels les sources précitées nous donnent accès pourraient ne pas être suffisants pour nous permettre d assurer le service de la dette et de pourvoir au règlement de toute charge imprévue. La facilité de crédit est assortie de diverses clauses restrictives qui, sous réserve de certaines exceptions d importance, limitent notre capacité et celle de nos filiales restreintes de faire notamment ce qui suit : procéder à des investissements et à des prêts; engager des dépenses en immobilisations; contracter, prendre en charge ou autoriser d autres dettes, garanties ou privilèges; réaliser des fusions, des acquisitions, des ventes d actifs ou des opérations de cession-bail; déclarer des dividendes, faire des paiements relatifs à des participations en actions ou racheter de telles participations; changer la nature des activités; effectuer certaines opérations avec des sociétés affiliées; conclure des ententes limitant les distributions des filiales; et rembourser d avance ou racheter certains titres d emprunt. La facilité de crédit oblige Groupe Dollarama S.E.C. à se conformer, sur une base trimestrielle, à certaines clauses restrictives de nature financière, dont une qui impose un ratio minimal de couverture des intérêts et une autre qui fixe un ratio maximal de levier financier ajusté en fonction des contrats de location. En date du 2 mai 2010, la Société respectait toutes les clauses restrictives de nature financière. Dépenses en immobilisations Les dépenses en immobilisations du trimestre terminé le 2 mai 2010 se sont établies à 6,4 M$, ce qui a été atténué par les allocations reçues du propriétaire de 0,9 M$, contre un montant de 8,1 M$ pour le trimestre terminé le 3 mai 2009 atténué par les allocations reçues du propriétaire de 1,3 M$. La baisse des dépenses pour le trimestre terminé le 2 mai 2010 résulte principalement du moins grand nombre de magasins ouverts et besoins en capital moindres à l égard de l affichage et des enseignes liés à la nouvelle grille de prix que nous avons lancée au cours du trimestre terminé le 3 mai Dettes et engagements Obligations contractuelles et engagements commerciaux Le tableau ci-dessous résume nos principales obligations contractuelles (en milliers de dollars) en date du 2 mai 2010, y compris nos ententes hors bilan et nos engagements. (en milliers de dollars) Total Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5 Par la suite Obligations contractuelles Crédit-bail Obligations liées à des contrats de location-exploitation 1) $ $ $ $ $ $ $ Emprunts à long terme Facilité de crédit Billets à intérêt reporté Paiements d intérêts obligatoires 2) Obligations contractuelles $ $ $ $ $ $ $ Engagements Lettres de crédit et garanties $ $ $ $ $ $ $ Engagements $ $ $ $ $ $ $ Obligations contractuelles et engagements $ $ $ $ $ $ $ 1) Représentent les loyers annuels de base, compte non tenu des loyers conditionnels, des frais d entretien des aires communes, des impôts fonciers et d autres charges payées au propriétaire, éléments qui, ensemble, équivalent à environ 40 % de nos charges locatives. 11

12 2) Selon les taux d intérêt présumés sur les montants exigibles en vertu de la facilité de crédit, et compte tenu, le cas échéant, du taux de change en vigueur. Dans le cas des swaps, les paiements d intérêts obligatoires correspondent aux paiements en vertu de ces swaps. Pour ce qui est des billets à intérêt reporté, nous avons tenu compte des taux applicables en vigueur. Nous n avons pas à verser d intérêts en trésorerie avant l échéance de ces billets. Opérations entre apparentés Résiliation de la convention de gestion La convention de gestion datée du 18 novembre 2004 entre la Société et ses filiales, d une part, et Bain Capital, d autre part, a été résiliée le 16 octobre 2009 à la suite du PAPE. Dans le cadre de la résiliation, nous avons versé à Bain Capital des honoraires non récurrents totalisant 5,0 M$. Baux immobiliers À l heure actuelle, nous louons 18 magasins, 4 entrepôts et notre centre de distribution auprès d entités contrôlées par Larry Rossy aux termes de baux à long terme. Les charges locatives associées à ces baux conclus avec des apparentés sont établies selon les conditions du marché et représentaient des montants totaux d environ 2,5 M$ pour le trimestre terminé le 2 mai Obligations hors bilan Outre nos engagements au titre de contrats de location-exploitation et les lettres de crédit et garanties indiquées à la rubrique «Obligations contractuelles et engagements commerciaux», nous ne sommes assujettis à aucune obligation hors bilan. Conventions comptables et estimations cruciales Lorsqu elle dresse les états financiers, la direction doit faire des estimations et formuler des hypothèses qui ont une incidence sur les montants des actifs et des passifs présentés, sur les actifs et les passifs éventuels à la date des états financiers et sur les produits et les charges présentés pour la période. Nous analysons nos estimations en continu, en fonction des renseignements historiques et de différentes autres hypothèses qui, selon nous, sont raisonnables compte tenu des circonstances. Les résultats réels peuvent différer de ces estimations. Évaluation des stocks de marchandises L évaluation des stocks de marchandises en magasin est réalisée selon la méthode de l inventaire au prix de détail au coût (moyenne pondérée) ou à la valeur de réalisation nette, si celle-ci est inférieure. Selon la méthode de l inventaire au prix de détail, la valeur des stocks de marchandises est convertie au coût en appliquant un ratio du coût moyen sur le prix de vente. Les stocks de marchandises au centre de distribution ou dans les entrepôts et les stocks en transit en provenance des fournisseurs et sont comptabilisés au moindre du coût et de la valeur de réalisation nette, selon la moyenne pondérée de la valeur choisie. Les stocks de marchandises comprennent les articles démarqués selon la meilleure estimation de la direction quant à leur valeur de réalisation nette, lesquels sont inclus dans le coût des marchandises vendues dans la période au cours de laquelle la démarque a été établie. Nous estimons notre provision pour démarque en fonction de plusieurs facteurs, notamment, mais sans s y limiter, la quantité de produits à rotation lente ou hors-saison en stock, les statistiques historiques en matière de démarque et les plans de marchandisage futurs. La précision de nos estimations est tributaire de nombreux facteurs dont certains sont indépendants de notre volonté, notamment l évolution de la conjoncture et des tendances d achat des consommateurs. Par le passé, nos estimations relatives aux démarques n ont pas différé considérablement des résultats réels à cet égard. Immobilisations corporelles Les immobilisations corporelles sont constatées au coût. Elles sont amorties sur leur durée de vie utile estimative de la manière suivante : i) le matériel informatique et les véhicules sont amortis selon la méthode de l amortissement dégressif à taux constant à 30 %; et ii) le matériel des magasins et des entrepôts, les logiciels et les améliorations locatives sont amortis selon la méthode de l amortissement linéaire sur 8 ou 10 ans, sur 5 ans et sur 12

13 la durée des baux, respectivement. Les immobilisations corporelles sont soumises à un test de dépréciation lorsque des événements ou des changements de situations donnent à penser que leur valeur comptable pourrait ne pas être recouvrable. Écart d acquisition et nom commercial L écart d acquisition et le nom commercial ne sont pas assujettis à l amortissement et sont soumis à des tests de dépréciation annuellement, ou plus fréquemment si des événements ou circonstances donnent à penser que ces actifs ont subi une moins-value. La moins-value est évaluée en comparant la juste valeur de l unité d exploitation connexe et sa valeur comptable. Lorsque la valeur comptable de l unité d exploitation est supérieure à sa juste valeur, nous mesurons l ampleur de la moins-value selon une méthode similaire à celle de la répartition du prix d acquisition, et tout excédent de la valeur comptable par rapport à la juste valeur implicite de l écart d acquisition est porté aux résultats de la période au cours de laquelle la moins-value est identifiée. Certains événements futurs pourraient faire en sorte que nous identifiions des indicateurs de moins-value et que l écart d acquisition comptabilisé par la Société ait subi une perte de valeur. Toute moins-value ainsi identifiée serait portée en résultat. Moins-value des actifs à long terme Les actifs à long terme font l objet d un test de dépréciation lorsque des événements ou des changements de situations donnent à penser que leur valeur comptable pourrait ne pas être recouvrable. Les facteurs qui, de notre avis, pourraient donner lieu à un test de dépréciation incluent, sans s y limiter, les tendances négatives marquées dans le secteur ou l économie en général et les pertes actuelles, historiques ou prévues qui illustrent des pertes continues. La moins-value est mesurée en comparant, d une part, la valeur comptable d un actif et, d autre part, les flux de trésorerie nets non actualisés futurs que l on prévoit tirer de son utilisation, conjugués à sa valeur résiduelle. Si des actifs sont réputés avoir subi une moins-value, cette dernière est évaluée, puis constatée en fonction de l excédent de la valeur comptable sur la juste valeur des actifs en question. Les estimations relatives à la juste valeur de ces actifs comprennent des hypothèses quant aux conditions futures dans lesquelles nous exercerons nos activités et l état du secteur du détail. Si les flux de trésorerie réels diffèrent des flux de trésorerie prévus par la direction, des radiations additionnelles pourraient s avérer nécessaires. Contrats de location-exploitation Nous constatons les charges de location et les incitatifs à la location reçus des propriétaires selon la méthode linéaire sur la durée des baux. Tout écart entre la charge calculée et le montant réellement payé est porté au bilan dans les incitatifs à la location reportés. Prises de position comptables récentes Modifications comptables mises en œuvre Modifications futures de conventions comptables Regroupements d entreprises, états financiers consolidés et participations ne donnant pas le contrôle Les chapitres 1582, «Regroupements d entreprises»; 1601, «États financiers consolidés», et 1602, «Participations ne donnant pas le contrôle», du Manuel de l Institut Canadien des Comptables Agréés ont été publiés en remplacement des anciens chapitres 1581, «Regroupements d entreprises», et 1600, «États financiers consolidés», et un nouveau chapitre est consacré à la comptabilisation d une participation ne donnant pas le contrôle dans une filiale. Ces chapitres sont l équivalent au Canada des normes IFRS 3, Regroupements d entreprises (janvier 2008), et IAS 27, États financiers consolidés et individuels (janvier 2008). Le chapitre 1582 s applique aux regroupements d entreprises dont la date d acquisition se situe dans le premier trimestre ouvert à compter du 31 janvier L adoption anticipée est permise. Les chapitres 1601 et 1602 s appliquent aux états financiers consolidés intermédiaires et annuels des exercices ouverts le 31 janvier L adoption anticipée de ces normes est permise. La Société évalue actuellement l incidence de ces nouvelles normes. 13

14 Normes internationales d information financière («IFRS») En février 2008, le Conseil des normes comptables («CNC») a confirmé que les IFRS remplaceront les PCGR du Canada à compter de 2011 pour les entreprises ayant une obligation publique de rendre des comptes. Le basculement des PCGR du Canada actuels aux IFRS s appliquera à la Société pour l exercice ouvert le 31 janvier Les premiers états financiers de la Société en IFRS porteront sur l exercice se terminant le 29 janvier 2012 et comprendront des chiffres correspondants et le bilan d ouverture au 1 er février À compter du premier trimestre de l exercice se terminant le 29 janvier 2012, la Société présentera des informations financières consolidées non vérifiées établies selon les IFRS, y compris le bilan d ouverture à la date de transition et les chiffres correspondants pour La Société continue d évaluer l incidence de l adoption des IFRS en 2011 sur la présentation de son information financière. Aucune modification importante n a été apportée au projet de basculement aux IFRS depuis le dépôt de notre rapport annuel le 8 avril Informations quantitatives et qualitatives au sujet du risque de marché Risque de change Toutes nos ventes sont libellées en dollars canadiens, mais nous augmentons de façon constante nos achats de marchandises auprès de fournisseurs étrangers à bas prix, notamment en Chine, au Brésil, en Inde, en Indonésie, à Taïwan, en Thaïlande et en Turquie. Pour l exercice 2010 jusqu à ce jour, cet approvisionnement direct auprès de fournisseurs étrangers représente plus de 50 % de nos achats. Par conséquent, nos résultats d exploitation sont influencés par la variation des taux de change par rapport au dollar canadien. Plus particulièrement, la majorité de nos produits importés proviennent de Chine et sont payés en dollars américains. C est pourquoi le coût des marchandises vendues subit l incidence de la fluctuation du renminbi chinois par rapport au dollar américain et du dollar américain par rapport au dollar canadien. Nous utilisons des contrats de change à terme pour atténuer le risque de fluctuations du dollar américain par rapport au dollar canadien. La majorité des contrats de change à terme ne sont utilisés que pour la gestion du risque et sont désignés comme instruments de couverture d achats de marchandises précis prévus. Nous évaluons que, en l absence de notre programme de gestion du risque de change, toute dépréciation de 0,01 $ du dollar canadien par rapport au dollar américain ferait baisser le bénéfice d exploitation annuel avant impôts d un montant d environ 2,0 M$. Le caractère saisonnier de nos achats influencerait la répartition trimestrielle de cette variation. Nous examinons périodiquement les instruments financiers dérivés que nous utilisons pour couvrir notre exposition aux fluctuations des devises afin de nous assurer que ces instruments sont très efficaces pour atténuer ou modifier le risque de change associé à l élément couvert. En outre, la majeure partie de notre dette est libellée en dollars américains. Ainsi, une baisse du taux de change entre le dollar canadien et le dollar américain réduirait les fonds que nous pouvons affecter au service de notre dette libellée en dollars américains. En l absence de couverture de change sur notre dette libellée en dollars américains, un recul de un cent du dollar canadien par rapport au dollar américain ferait augmenter la dette de 4,5 M$ CA et les intérêts débiteurs connexes non actualisés, de 0,5 M$ CA sur la durée résiduelle jusqu à l échéance. Comme l exige la convention régissant la facilité de crédit, nous avons conclu des swaps de devises et de taux d intérêt dont les échéances correspondent à celle de la dette sous-jacente afin d atténuer notre exposition aux risques de fluctuation des taux de change et des taux d intérêt liés à nos emprunts à terme libellés en dollars américains et portant intérêt à un taux lié au TIOL. Par ailleurs, nous avions conclu des swaps de devises dans le but d atténuer notre exposition aux fluctuations des taux de change liés à nos billets subordonnés de premier rang à 8,875 %. À l origine, ces swaps étaient admissibles à la comptabilité de couverture. Cependant, la Société ayant exercé son option de remboursement anticipé relative aux billets subordonnés de premier rang à 8,875 % le 16 octobre 2009, les swaps de devises ne sont plus admissibles à la comptabilité de couverture à compter de cette date. 14

15 Risque de taux d intérêt Nous avons recours à des emprunts à taux variable pour financer une partie de nos activités d exploitation et de nos dépenses en immobilisations. Ces obligations nous exposent au risque de variation des versements d intérêts par suite de fluctuations des taux d intérêt. Nos emprunts à terme en cours aux termes de la facilité de crédit, qui portent intérêt à taux variable, s élèvent à environ 237,4 M$ au taux de change en vigueur le 2 mai Toute variation de 0,25 % des taux d intérêt ferait varier de 0,6 M$ la charge d intérêts liée à ces emprunts à terme. Nous avons aussi une facilité renouvelable qui nous permet d emprunter jusqu à 75,0 M$ à un taux d intérêt variable. Si la totalité du montant disponible est utilisée, toute variation de 0,25 % des taux d intérêt ferait varier de 0,2 M$ la charge d intérêts liée à la facilité renouvelable. Nous avons également des billets à intérêt reporté d environ 215,5 M$ au taux de change en vigueur le 2 mai 2010, lesquels portent intérêt à taux variable. Toute variation de 0,25 % des taux d intérêt ferait varier de 0,5 M$ la charge d intérêts liée aux billets. Instruments financiers Juste valeur marchande Nous estimons la juste valeur marchande de nos instruments financiers selon les taux d intérêt, les taux de change, le risque de crédit, la valeur marchande et le prix actuel d instruments financiers assortis de modalités similaires. À moins d indication contraire, la valeur comptable de ces instruments financiers, particulièrement celle des instruments échéant à moins de un an comme les soldes de trésorerie et d équivalents de trésorerie, les créances, les acomptes, les comptes fournisseurs et les charges à payer, se rapproche de leur juste valeur marchande. Opérations de couverture Nous utilisons les instruments financiers dérivés comme outil de gestion de l exposition aux risques de change et de taux d intérêt. Dans les cas où la comptabilité de couverture est appliquée, nous documentons la relation entre les instruments dérivés et les éléments couverts, tout comme la stratégie et les objectifs de gestion des risques poursuivis par ces opérations de couverture. Pour ce faire, nous devons jumeler les instruments dérivés à des actifs et passifs précis figurant au bilan ou à des engagements fermes ou des opérations prévues. Nous évaluons également l efficacité des instruments dérivés utilisés aux fins de couverture à contrebalancer la variation des flux de trésorerie associés aux éléments couverts. Risque de change Une partie considérable de nos flux de trésorerie et de notre dette à long terme est libellée en dollars américains. Nous concluons des contrats de change à terme de gré à gré et des swaps de devises pour atténuer les risques de fluctuation des taux de change. Les contrats à terme de gré à gré et les swaps de devises sont tous utilisés à des fins de gestion des risques et sont désignés comme des couvertures d achats futurs précis. Risque de taux d intérêt Notre exposition au risque de taux d intérêt découle principalement de nos emprunts à taux variable. Nous avons conclu des swaps visant l échange de titres d emprunt à taux variable libellés en dollars américains contre des titres d emprunt à taux variable libellés en dollars canadiens. Autres Dans les cas où un instrument financier désigné comme une couverture de flux de trésorerie est résilié ou cesse d être efficace avant son échéance, les gains et les pertes réalisés et latents connexes sont reportés dans le cumul des autres éléments du résultat étendu, puis portés en résultat à la période au cours de laquelle l opération 15

16 de couverture initiale est constatée. Si un élément couvert est cédé, frappé d extinction ou vient à échéance avant la résiliation de l instrument financier dérivé connexe, tout gain ou perte réalisé ou latent associé à cet instrument dérivé est porté en résultat. Les instruments financiers dérivés qui ne sont pas désignés comme des couvertures ou qui cessent d être efficaces avant leur échéance sont enregistrés à leur juste valeur estimative dans les actifs ou les passifs à court terme, et les variations de leur juste valeur sont portées en résultat. La juste valeur estimative est établie au moyen de modèles d évaluation qui tiennent compte des prix du marché actuels et des prix contractuels des instruments sous-jacents, de la valeur temporelle de l argent et des courbes de rendement. Pour obtenir une description détaillée des instruments financiers de la Société, se reporter à la note 6 afférente aux états financiers consolidés au 2 mai Contrôles et procédures Aucun changement apporté au contrôle interne à l égard de l information financière au cours du trimestre terminé le 2 mai 2010 n a eu, ou n est raisonnablement susceptible d avoir, une incidence importante sur notre contrôle interne à l égard de l information financière. Questions d ordre juridique Nous sommes à l occasion partie à des recours juridiques d une nature considérée comme normale dans le cadre de nos activités. Nous croyons qu aucun des recours qui nous visent actuellement, pris individuellement ou dans leur ensemble, n est important pour notre situation financière consolidée ou nos résultats d exploitation. Facteurs de risque Les facteurs de risque liés à la Société sont décrits dans son rapport de gestion annuel pour l exercice 2010, qui est disponible sur SEDAR à l adresse Informations sur les actions ordinaires négociées Les actions ordinaires sont inscrites à la Bourse de Toronto sous le symbole «DOL» et elles se négocient depuis le 16 octobre Au 2 mai 2010, la Société avait actions ordinaires émises et en circulation. En outre, il y avait actions ordinaires réservées à des fins d émission à l exercice des options sur actions. En supposant l exercice de toutes les options sur actions en cours, il y aurait actions ordinaires émises et en circulation après dilution au 2 mai

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