Supply chain environmental uncertainties management : analysing the gap between theory and practice
|
|
- Anne Pinard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Supply chain environmental uncertainties management : analysing the gap between theory and practice Salomée Ruel To cite this version: Salomée Ruel. Supply chain environmental uncertainties management : analysing the gap between theory and practice. domain shs.gestion; shs.gestion. Array, <NNT : 2013GRENG007; 2013GRENG007>. <tel > HAL Id: tel Submitted on 26 May 2014 HAL is a multi-disciplinary open access archive for the deposit and dissemination of scientific research documents, whether they are published or not. The documents may come from teaching and research institutions in France or abroad, or from public or private research centers. L archive ouverte pluridisciplinaire HAL, est destinée au dépôt et à la diffusion de documents scientifiques de niveau recherche, publiés ou non, émanant des établissements d enseignement et de recherche français ou étrangers, des laboratoires publics ou privés.
2 THÈSE Pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L UNIVERSITÉ DE GRENOBLE Spécialité : Sciences de Gestion Arrêté ministériel : 7 août 2006 Présentée par Salomée RUEL Thèse dirigée par Pr. Karine EVRARD SAMUEL préparée au sein du Laboratoire CERAG dans l'école Doctorale Sciences de Gestion Maîtrise des incertitudes de l environnement de la chaîne logistique : une analyse au regard du décalage entre théorie et pratique Thèse soutenue publiquement le 29 août 2013, devant le jury composé de : Mme Nathalie FABBE-COSTES Professeur des Universités, Aix-Marseille Université, Rapporteur M. Jean-Fabrice LEBRATY Professeur des Universités, Université Lyon 3, Rapporteur Mme Marie-José AVENIER Directeur de Recherche CNRS, CERAG, Université Grenoble Alpes, Président de jury M. Christophe QUIQUEMPOIX Vice Président Purchasing, Schneider Electric, Grenoble, Suffragant
3
4 L université n entend donner aucune approbation ni improbation aux opinions émises dans les thèses : ces opinions doivent être considérées comme propres à leurs auteurs. 3
5 4
6 Remerciements REMERCIEMENTS «L inconnu est autour de nous à chaque moment. C est là que tu dois rechercher la connaissance.» Frank Herbert Alors que je peinais, j ai souvent envisagé le moment où j esquisserais ces quelques remerciements. J y suis enfin parvenue, alors je savoure Mes remerciements les plus sincères s adressent, premièrement, à ma directrice de thèse, le Professeur Karine Evrard Samuel. Elle m a accompagnée durant ces longues, difficiles mais passionnantes années de labeur. Pendant ces cinq années de collaboration (en comptant l année de Master Recherche MSICL), Karine Evrard Samuel a expérimenté avec patience et humour l ensemble de mes humeurs : de l incompréhension à l enthousiasme, en passant par le désespoir, la joie et l attention. Ce travail de thèse résulte en grande partie de nos échanges stimulants et riches, des remises en question successives mais aussi de notre fructueuse collaboration avec trois articles publiés et un quatrième à paraître. Merci encore, et j espère que cette collaboration se poursuivra dans les années à venir Aux membres du jury, j adresse mes remerciements pour le temps et l attention accordés à mon travail de recherche. Professeurs Nathalie Fabbe-Costes et Jean-Fabrice Lebraty, je suis très honorée de pouvoir vous présenter ma thèse et que vous ayez accepté de la rapporter. Le Professeur Marie-José Avenier m a apportée durant ces années un soutien infaillible alors que très tôt j affrontais de lourds questionnements quant à la démarche de ma recherche loin d un habituel raisonnement hypothético-déductif qu aucun n aura réussi à m imposer! Enfin, le plaisir de retrouver, après tant d années, Christophe Quiquempoix, jadis mon manager chez Hewlett-Packard. Les années de travail doctoral apportent de nombreuses occasions de présenter ses recherches auprès des membres de son laboratoire. J exprime ici ma reconnaissance envers les membres du CERAG qui ont commenté les articles et les avancements de thèse avec un regard critique me permettant ainsi d éviter des pièges, franchir des barrières pour afin atteindre des voies plus clémentes. Mes remerciements également au personnel du CERAG pour leur soutien lors de mes brefs passages au laboratoire. Un clin d œil à ma «co-doctorante», Dorsaf, pour la bonne humeur et les discussions passionnées lors de mes venues, pour cette communication et ce premier article ensemble et pour ceux à venir Je dois au Groupe Sup de Co La Rochelle le financement de ma thèse. Je remercie la direction de m avoir soutenue dès ma première année de thèse. Ce soutien s est, au fil du temps, transformé en confiance avec un nombre grandissant de responsabilités accordées au sein de l école. Je livre ici une pensée à tous ceux avec qui je collabore au quotidien et qui m ont adressé régulièrement des messages de motivation. Enfin, je n oublierai pas mes étudiants qui me suivent et m interrogent sur l évolution de mon travail doctoral, qui ont la curiosité de lire certaines de mes publications et qui font preuve d une grande
7 Remerciements empathie alors qu eux-mêmes rédigent leur mémoire de recherche appliquée! Ils sont nombreux à m avoir ouvert leur «réseau» pour la partie empirique de ma thèse. Cette thèse n aurait pas été possible sans les nombreux professionnels qui se sont rendus disponibles pour répondre à mes questions et me faire visiter leurs entreprises, qui m ont envoyée des documents internes et qui ont accepté de relire mes synthèses des cas. Ma reconnaissance est immense. Une thèse c est aussi l opportunité d effectuer une multitude de rencontres. Parmi les plus marquantes sont celles des séminaires de formation du CEFAG de la FNEGE. La promotion 2011 aura tenu ses promesses tant en termes de travail que de franches rigolades! Je vous salue tous, ceux qui ont déjà soutenu et ceux qui s y apprêtent. A Camille, Olga et Julie : quel bonheur que de vous connaître! Je remercie les organisateurs, les Professeurs Xavier Lecocq et Cédric Lesage, et la FNEGE de m avoir sélectionnée bien que n étant qu une simple «pousse-palettes». Le CEFAG m a permis de m envoler pour passer cinq semaines au sein de l «agility center» de l Université de Liverpool où j ai pu profiter d un environnement propice à la réflexion au côté du Dr. Andrew A.C. Lyons. Certains n auront pas hésité à mettre la main à la pâte et à relire ma thèse. Mes sincères remerciements à Stéphane, Julie, Majdi, Mathieu, Cécile, Julien, Mahdi, Nathalie, Cyril et Jérémy pour le temps consacré à traquer les erreurs de syntaxe et d orthographe. Le plus grand relecteur fut mon papa avec qui nous avons organisé les 2*8 : moi en équipe de jour pour la rédaction, lui en équipe de nuit pour la relecture! Merci papapou! Je n oublierai jamais mes amis dont la présence et la bonne humeur furent indispensables pour compenser les moments solitaires à travailler sur la thèse. Aux amis grenoblois, Kadeja, Franceline, Lucie, Stéphane, Cyril : merci pour tout et en particulier pour vos canapés! Aux amis rochelais les plus proches, Cyril, Damien, David, Delphine, Jérôme, Mathieu, Pierre, Sara, merci de m avoir épaulée et divertie! Il serait trop long de tous vous mentionner, mais en pensée je n oublie aucun d entre vous. A ma petite sœur, Fiona, dont l éclatante intelligence fut depuis mon plus jeune âge un de mes moteurs : il s agissait d être «au niveau»! Je lui souhaite de soutenir une brillante thèse au printemps A mes parents, ma vie, mon tout. Je souhaite leur témoigner toute ma reconnaissance pour leur soutien plein d amour. Ils m ont donné le goût de la persévérance, du challenge et de la justice. Savaient-ils qu un jour j entreprendrai une thèse? J en doute tant ce monde leur est apparu mystérieux au départ! Cependant, ils m ont appris une chose essentielle qui m a été utile tous les jours lors de ces années de thèse : penser par moimême. Il n existe pas suffisamment de mots pour décrire ce qu ils m apportent au quotidien alors je leur dédie cette thèse de près de mots! A mes parents
8
9 Sommaire SOMMAIRE REMERCIEMENTS... 5 SOMMAIRE... 8 INTRODUCTION GENERALE L incertitude en sciences de gestion Un environnement des chaînes logistiques incertain Positionnement épistémologique et mode de raisonnement Du problème empirique à la question de recherche Organisation et chronologie de la recherche principale Enoncé des enjeux et des intérêts de la recherche Principaux résultats Enoncé de la structure de la thèse...30 PARTIE 1 : DE L EMERGENCE DE LA QUESTION DE RECHERCHE A LA REVUE DE LA LITTERATURE ASSOCIEE CHAPITRE 1 : ETUDE EXPLORATOIRE SUR LES IMPACTS D UNE CRISE SUR DES CHAÎNES LOGISTIQUES Hewlett-Packard : une étude de cas exploratoire concernant l impact d une crise sur une chaîne logistique Etude de cas exploratoire chez Hewlett-Packard...47 CHAPITRE 2 : DES CAPACITES DYNAMIQUES POUR REPONDRE AUX INCERTITUDES DE L ENVIRONNEMENT DES CHAINES LOGISTIQUES Stratégie d entreprise : approche basée sur les ressources et capacités dynamiques Manager la chaîne logistique pour gérer les incertitudes de l environnement...96 PARTIE 2 : DE LA METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE AUX RESULTATS EMPIRIQUES CHAPITRE 3 : DEMARCHE METHODOLOGIQUE Protocole de recherche Méthodologie Mise en œuvre de la méthodologie CHAPITRE 4 : PRESENTATION DES ETUDES DE CAS Alpha, PME du secteur de la chimie Bêta, PME du secteur de la papeterie Gamma, entreprise internationale du secteur de l électricité Delta, entreprise internationale du secteur de l électricité Epsilon, groupe du secteur de l agroalimentaire Iota, groupe du secteur des emballages PARTIE 3 : VARIATIONS AUTOUR DE LA CONNAISSANCE THEORIQUE ET EMPIRIQUE EN MANAGEMENT DE LA CHAINE LOGISTIQUE CHAPITRE
10 Sommaire ANALYSES AUTOUR DU MANQUE DE CONNAISSANCE EN MANAGEMENT DE LA CHAÎNE LOGISTIQUE EN ENTREPRISE Analyse intra cas : barrières au développement des capacités dynamiques Résultats et discussion de l analyse inter cas : focalisation sur le manque de connaissance272 CHAPITRE L INCERTITUDE, MOTEUR D EFFETS DE MODE Ecart entre littérature et pratique De l existence d effets de mode en management de la chaîne logistique Synthèse sur l objet «incertitude» CONCLUSION GENERALE Rappels des objectifs de la recherche Synthèse des résultats Apports de la recherche Limites Voies de recherche futures REFERENCES TABLE DES ANNEXES ANNEXES TABLE DES FIGURES TABLE DES TABLEAUX LISTE DES ABREVIATIONS ET ACRONYMES TABLE DES MATIERES
11 10
12 Introduction générale INTRODUCTION GENERALE «Chacun a ses philosophies, qu il soit ou non conscient du fait, et nos philosophies ne valent pas grand-chose. Cependant l impact de nos philosophies sur nos actions et nos vies est souvent dévastateur. Ainsi, tenter d améliorer par la critique nos philosophies devient une nécessité.» Karl Popper 1. L incertitude en sciences de gestion «La rhétorique de la crise empêche de saisir les recompositions à l'œuvre au sein de la société française. En filigrane des mutations contemporaines, on peut pourtant saisir le modèle d'une société incertaine, prise entre la généralisation d'un principe d'autonomie et une demande de sécurité accrue.» (Kokoreff et Rodriguez, 2004) L incertitude pour les entreprises présente de multiples facettes. Elle génère des questionnements au quotidien et remet perpétuellement en cause la manière de gérer, de diriger l entreprise afin de garantir sa pérennité dans un contexte de compétition globalisée. L incertitude affecte les entreprises en touchant à leurs résultats (Chenhall et Morris, 1986), à leurs processus de prise de décision (Duncan, 1972) ou à leur structure (Lawrence et Lorsch, 1967). Plusieurs définitions de l incertitude ont été apportées. Il faut distinguer trois catégories de définitions : celle qui différencie l incertitude du risque, celle qui rend ces deux notions synonymes, et enfin celle qui considère l incertitude comme un manque d informations. Knight (1921) conçoit l incertitude comme l incapacité d affecter une probabilité à l occurrence d un évènement. Le risque, quant à lui, existe lorsque les hommes sont capables d accorder une probabilité à un évènement. Dans cette même lignée, Govindarajan (1984) et Hartman (2000) estiment que l incertitude représente une
13 Introduction générale situation dans laquelle l exercice de prévision des évènements est impossible. Une seconde définition n accorde pas une telle différence entre l incertitude et le risque. Herring (1983) considère même ces deux notions comme étant synonymes pour des questions pratiques. L incertitude est la résultante d une difficulté à prévoir. La troisième catégorie de définitions se dresse autour du manque d information : le manque d information est générateur d incertitude (Daft et Lengel, 1986 ; Galbraith, 1973), la non fiabilité des informations est également un facteur d incertitude (Atkinson et al., 2006). Notre thèse s intéresse au domaine de l incertain et non pas du risque. Les risques dans les chaînes logistiques ont été plus fréquemment étudiés que l incertitude. En effet, le domaine du tactique rend possible des recherches plus proches du terrain : elles furent les préoccupations premières dans ce domaine de recherche. Les préoccupations stratégiques ne sont que plus récentes. Enfin, puisque l incertitude est la résultante d une difficulté à prévoir, nous différencions également l incertitude de l imprévisibilité. Notre thèse n étudie pas des variables telles que l éclatement d un conflit ou d une guerre, ni même qu une catastrophe météorologique. 2. Un environnement des chaînes logistiques incertain Selon Rices (1963) l environnement d une organisation est composé de dimensions internes et externes. Parmi les dimensions internes se trouve par exemple l influence que peuvent exercer certains groupes de salariés d une organisation sur cette même organisation. Duncan (1972) définit l environnement d une organisation en s appuyant sur les facteurs externes et internes comme Rices (1963). Pour Duncan (1972) l environnement est «l ensemble des facteurs physiques et sociaux qui sont directement pris en compte dans les processus de décision des individus dans l organisation». L environnement externe peut être considéré comme l ensemble des facteurs pertinents qui n appartiennent pas à l organisation. Certains auteurs ne s appuient que sur les facteurs externes pour appréhender l environnement (Govindarajan, 1984 ; Atkinson et al., 2006), alors que d autres intègrent les facteurs internes et externes (Kren et Kerr, 1993 ; Manolis et al., 1997).
14 Introduction générale L environnement des entreprises est une source d incertitude. En effet, la multitude des dimensions composant l environnement des organisations implique un nombre important de facteurs à analyser pour espérer prévoir les évènements qui peuvent s y produire. Otley (1978) voit l environnement à partir de son hostilité, c est-à-dire par la difficulté de l entreprise à atteindre les objectifs qu elle s était fixée dans celui-ci. L incertitude environnementale représente donc l incertitude à atteindre ses objectifs dans un environnement imprécis. Selon Duncan (1972), l environnement peut être simple ou complexe selon le nombre de facteurs pris en compte lors d une prise de décision. Il précise également que l environnement peut être vu comme statique ou dynamique selon le degré de variation des facteurs à prendre en compte entre deux cycles de prise de décision. Plus il est complexe et dynamique, plus il est incertain. Les incertitudes ont des conséquences néfastes sur les entreprises. Par exemple, lorsque l incertitude augmente, des augmentations de coûts de transaction ou des comportements opportunistes peuvent apparaître (Manolis et al., 1997). Les entreprises doivent ainsi essayer de limiter l incertitude qui les entoure afin d être moins vulnérables. Par conséquent elles doivent essayer d obtenir plus d informations (Daft et Lengel, 1986). Notre thèse s intéresse à la gestion des incertitudes de l environnement des chaînes logistiques et s articule dans le champ de recherche en science de gestion nommé management de la chaîne logistique (supply chain management). Celui-ci est défini comme étant le management des relations en amont et en aval, avec des fournisseurs et des clients, dans le but de délivrer une valeur supérieure au client aux moindres coûts pour l ensemble des entreprises membres de la chaîne logistique (supply chain) (Christopher, 1992). Aitken (1998) décrit la chaîne logistique comme un réseau d organisations connectées et mutuellement interdépendantes qui travaillent ensemble de manière coopérative dans le but de contrôler, gérer et améliorer les flux physiques et informationnels des fournisseurs jusqu aux clients finaux. Les travaux de Simchi-Levi et al. (2007) définissent le management de la chaîne logistique comme un éventail d approches utilisées pour intégrer efficacement les fournisseurs, les fabricants, les entrepôts et les magasins dans le but que la marchandise soit produite et distribuée dans les bonnes quantités, aux bons endroits, au moment voulu, afin de minimiser les coûts globaux pour cette chaîne tout en répondant au taux de service requis.
15 Introduction générale Depuis de nombreux mois, le monde occidental fait face à une succession de crises (financière, économique, sociale) sans précédent qui se combine à un environnement qui reste hautement compétitif, notamment sous la pression d une croissance constante de la demande dans les pays émergents, comme les BRIC (Brésil, Russie, Inde et Chine). Cette situation renforce le manque de visibilité de la demande à une échelle internationale et la raréfaction de certaines matières premières provoquant ainsi de fortes incertitudes. Dans ce contexte, les entreprises sont non seulement en compétition, mais le nouvel enjeu réside dans la confrontation des chaînes logistiques (Christopher, 1992). La définition du management de la chaîne logistique de Simchi-Levi et al. (2007) soulève de nombreux problèmes étudiés par les auteurs ; ceux-ci abordent les risques et incertitudes existant dans toutes les chaînes logistiques (prévisions non fiables de la demande des consommateurs ; ponctualité des temps de transport, temps d indisponibilité des machines et des véhicules, etc ). Simchi-Levi et al. (2007) précisent que dans l industrie, les tendances récentes sont l externalisation, les achats dans les pays à bas coûts et le lean manufacturing. Le tout ayant pour unique but de minimiser les coûts de la chaîne logistique, les risques et les incertitudes ne font qu augmenter. Notre thèse s intéresse aux incertitudes et leur impact sur la gestion des chaînes logistiques. Van der Vorst et Beulens (2002) définissent le concept d incertitude de la chaîne logistique comme se référant aux situations de prise de décision, dans lesquelles le preneur de décision ne sait pas exactement quoi décider dans la mesure où il n est pas conscient des objectifs, soit par manque d informations (ou de compréhension) sur la chaîne logistique ou son environnement, soit par manque d informations sur les capacités du processus. Évidemment, l environnement incertain des chaînes logistiques explique que la gestion de l incertitude dans les chaînes logistiques soit un objet de recherche fréquemment abordé dans la littérature académique, par exemple : Wilding (1998), Mason-Jones et Towill (1998 et 2000), Prater et al. (2001), Tsiakis et al. (2001), Lee (2002), Van der Vorst et Beulens (2002), Gupta et Maranas (2003), Santoso et al. (2005) ou encore Guillen et al. (2005). Le monde professionnel s intéresse également à l incertitude dans les chaînes logistiques avec des articles ou encore des dossiers spéciaux publiés dans des magazines. Par exemple, sur le site internet de Supply Chain Magazine, en tapant «incertitude» dans le moteur de recherche, 109 articles liés apparaissent. L édition de janvier/février 2013 de Supply Chain Magazine présente une tribune de Stéphane Crosnier, responsable de l activité transformation des opérations chez Accenture France,
16 Introduction générale intitulée «Préparer ses Supply Chains à l imprévisible». Stéphane Crosnier y revient sur plusieurs facteurs rendant l environnement incertain comme la volatilité des marchés (et son impact notamment sur les cours des matières premières), le raccourcissement des cycles de vie des produits, la vulnérabilité de certains maillons de la chaîne logistique ou encore les fluctuations sur les devises. Stéphane Crosnier conclut sa chronique en remettant en cause l intégration des chaînes logistiques, qui, par le passé, était vue comme la manière d optimiser les chaînes logistiques : «l intégration, maître mot des dernières années, et qui faisait hier la force des Supply Chains, n est aujourd hui plus suffisante pour répondre aux contraintes d un environnement en constante évolution et peut même devenir un point faible. Et les entreprises peuvent se demander dans quelle mesure précisément elles sont vulnérables à cette volatilité devenue maintenant permanente et de quelle manière la structure de leurs chaînes logistiques leur permet d y faire face». 3. Positionnement épistémologique et mode de raisonnement 3.1.Positionnement épistémologique L épistémologie exerce un regard critique sur la démarche générale de recherche. Elle s interroge sur ce qu est la science en discutant de la nature, de la méthode ou de la valeur de la connaissance (Girod-Séville et Perret, 1999). Le nombre de paradigmes épistémologiques augmente lorsque l on passe des sciences de la nature aux sciences de l artificiel. En effet, dans les matières de recherche scientifiques, la tradition empiriste implique que l étude d un phénomène soit réalisée par un chercheur qui se veut totalement indépendant. Ses observations visent à établir des lois universelles qui ellesmêmes rendront la prédiction d évènements possible. Un seul paradigme existe : le paradigme épistémologique positiviste. L augmentation du nombre de paradigmes correspond également à une séparation de moins en moins claire entre le chercheur et l objet de ces sciences. Les trois paradigmes les plus souvent énoncés en sciences de gestion sont : le positivisme, l interprétativisme et le constructivisme. De nombreux chercheurs actuels en sciences de gestion s interrogent sur l intérêt à rendre compte d un positionnement épistémologique lorsqu un chercheur entreprend une
17 Introduction générale recherche en sciences de gestion. Ainsi, entre 2010 et 2011, le Libellio d Aegis a été le lieu d un débat entre Hervé Dumez et Marie-José Avenier quant à l intérêt de ce positionnement. En s appuyant principalement sur les travaux de Popper (1969 et 1979), Dumez (2010) critique les raccourcis empruntés pour définir des paradigmes et ceux effectués par les chercheurs lors de l énoncé du positionnement. Il estime que dans une recherche qualitative, il faut combiner des éléments avancés dans les différents paradigmes. Il suggère aux doctorants de répondre ainsi à la question «quelle est votre posture épistémologique?» : «Je ne pense pas que l on puisse identifier trois postures épistémologiques qui seraient le positivisme, le constructivisme et l interprétativisme, qui auraient le statut de paradigmes, et qui seraient donc antinomiques entre elles. J ai adopté une approche épistémologique qui retient différents éléments relevant de ces traditions philosophiques : Je suis constructiviste au sens de Bachelard et Popper, c est-à-dire que j ai cherché à construire un problème scientifique en tant que tension entre savoir et non-savoir. Pour cela, je me suis appuyé(e) sur une revue de littérature afin de dresser l état de ce savoir et de ce non-savoir, en relation avec la recherche et la construction de données permettant de résoudre cette tension. Je suis positiviste mais il serait plus juste de dire empiriste logique au sens où je retiens du Cercle de Vienne deux choses : 1. J ai cherché à éliminer de ma démarche les propositions, expressions, concepts, dénués de signification, c està-dire non susceptibles d être vrais ou faux. [ ] 2. J ai cherché à être empiriste logique en un second sens, dans la mesure où j ai tenté d élaborer un réel cadre analytique, rigoureux et cohérent [ ] qui soit susceptible [ ] d être confronté à un matériau empirique. J ai recherché obstinément cette imbrication étroite du cadre théorique et du matériau empirique permettant une réelle discussion scientifique. Je suis interprétativiste au sens de Popper (et dans la lignée de Dilthey et Weber), dans la mesure où je m intéresse au sens donné par les acteurs à la situation dans laquelle ils se trouvent, à leurs interprétations. [ ]». En réponse à ce premier article, Avenier (2011) argumente que «méthodologie sans épistémologie n est que ruine de la réflexion». Dans la critique de cet article, Avenier (2011) explique tout d abord, avec des illustrations, que «la question de la posture épistémologique n est pas dénuée de sens» mais aussi que le seul cadre Poppérien de Dumez (2010) peut être critiqué au regard de l existence d un éventail plus large de
18 Introduction générale référentiels. Elle défend ainsi l idée de l existence des paradigmes épistémologiques. Un troisième article a ensuite été publié par Dumez (2011) revenant sur des points d accords et de désaccords avec la réponse d Avenier (2011). Le point de désaccord principal est pour Dumez (2011) : «un chercheur, pour moi, n a pas à se positionner dans un paradigme épistémologique reposant sur des hypothèses fondamentales sur l origine des connaissances qu il faudrait expliciter. Je considère que la notion de paradigme est ici utilisée hors de son champ d application légitime (s il y en a un, c est celui de l analyse de la science par Kuhn, or on est très loin de Kuhn lorsqu on parle de paradigme épistémologique, comme j ai essayé de le montrer). Si l on m explique que je ne m intéresse qu à des questions épistémiques, très en deçà des questions fondamentales de l épistémologie, cette remarque réchauffe mon cœur de chercheur étant donné ma méfiance toute wittgensteinienne pour les questions dites fondamentales. Bien plus, je revendique le fait de n avoir pas à me poser de questions épistémologiques en termes de paradigmes, parce que ces questions m apparaissent conduire à des nœuds philosophiques dont Wittgenstein a essayé de nous faire sortir. Et je revendique la même chose pour les doctorants à mon sens, il faut qu ils se posent des questions épistém(olog)iques sur leur démarche, mais pas plus [ ]». À la lecture de ce débat, nous comprenons tout d abord que le questionnement autour de l intérêt de la justification d une posture épistémologique est de haut vol («haute épistémologie» pour Dumez, 2011) et qu il «brouille plutôt les cartes» (selon les termes de Avenier, 2011). Ce débat, certainement inachevable, a d ailleurs repris lors de la conférence de l AIMS en 2012 entre Hervé Dumez et Véronique Perret et a été retranscrit par Bastianutti et Perezts (2012) dans le Libellio D Aegis. Il a donné lieu à une réponse de Avenier et Thomas (2012) dans cette même revue et une nouvelle réponse de Dumez (2012) dans le même numéro. Ensuite, au regard des diverses interrogations que nous avons rencontrées pendant notre travail de thèse, nous décidons de suivre le conseil de Dumez (2011) qu il formule à destination des doctorants : «si vous avez besoin de cohérence dans votre démarche, besoin de vous interroger sur les fondements de votre approche, vous avez compris qu il y a des chercheurs, spécialistes d épistémologie qui estiment qu il existe des paradigmes cohérents et fermés par rapport auxquels vous pouvez vous positionner». Nous ressentons, en effet, ce besoin.
19 Introduction générale Nous justifions le positionnement épistémologique de notre recherche en nous appuyant principalement sur les travaux de Avenier (2012). Avenier (2012) explique la justification des connaissances dans quatre paradigmes épistémologiques : le positivisme et le post positivisme, regroupé sous le sigle «PEP» : paradigme épistémologique positiviste, le réalisme critique (PERC), le constructivisme, nommé «PECP» : paradigme épistémologique constructiviste pragmatique, et l interprétativisme (PEI). Selon Avenier (2012) il s agit d examiner les questions de méthodologie de recherche dans un cadre épistémologique afin d être capable d établir des «connaissances valables» (Piaget, 1967). Notre thèse s inscrit dans le paradigme réaliste critique tel que décrit par Avenier (2012). Les travaux de Bhaskar (1978, 1979, 1998a, 1998b, 1998c et 1998d) sont à l origine de ce paradigme épistémologique. De nombreux auteurs ont ensuite contribué à développer ce paradigme, comme par exemple Tsoukas (1989 et 2000) en management. Pour Avenier (2012) il y a trois traits majeurs au PERC : la priorité est donnée aux hypothèses ontologiques, c est-à-dire concernant la nature des situations à connaître (sachant que les paradigmes épistémologiques ne contiennent pas nécessairement d hypothèses d ordre ontologique) : «Il existe un réel en soi indépendant de l attention que peut lui porter un humain qui l observe. Le réel est organisé en trois domaines stratifiés» (Avenier et Gavard-Perret, 2012). Les phénomènes sociaux diffèrent des phénomènes naturels, ils sont difficiles à mesurer ; il existe une séparation entre les objets de la connaissance (le monde réel) et la connaissance qui est un construit social ; la réalité est organisée de manière verticale en trois niveaux ontologiques : le réel (un monde composé d objets complexes dont des structures et des mécanismes générateurs), l effectif (les évènements se produisant) et l empirique (niveau observable directement, et non pas objectivement, par les individus). Le connaissable est l observation des évènements qui se produisent dans l effectif. Le connaissable appartient donc au domaine de l empirique. L analyse
20 Introduction générale scientifique cherche à comprendre le réel à travers deux niveaux préalables. Ainsi, les compréhensions du réel sont empreintes de l imagination que le chercheur se fait des liens entre les trois niveaux de la réalité (hypothèse d ordre épistémique). Ainsi, dans le PERC tout comme dans le PEP, on pose qu il existe un réel tel qu il est luimême (hypothèse ontologique). Cependant, dans le PERC le réel n est pas considéré comme observable directement et objectivement contrairement à la vision du réel dans le PEP. En effet, l hypothèse d ordre ontologique du PEP est : «l existence d un réel stable et indépendant de l attention que peut lui porter un observateur qui le décrit» et l hypothèse épistémique est que ce réel est connaissable (Avenier, 2012). Notre thèse, inscrite dans le PERC, suppose donc qu un réel existe mais que le chercheur ne puisse observer que le domaine empirique de la réalité et non pas le réel en lui-même. Ainsi, toute conclusion formulée sur le réel sera emprunte d une forme de subjectivité et il n est pas possible d établir de règles de causalité fermes comme dans le PEP. Ainsi, dans le PERC «à chaque fois que A se produit, B tend à survenir» (Avenier, 2012). Selon David (2004), Mingers (2006), Locke (2010) et Avenier (2012) le raisonnement abductif est bien adapté au PERC dans la mesure où l abduction permet d émettre des conjonctures possibles sur les phénomènes observés. Les conjonctures doivent ensuite être soumises aux tests empiriques (Bahskar, 1998d). Ainsi, une boucle induction/abduction/déduction est formée : tout d abord, comme dans le PEP, il s agit d identifier des régularités sur le terrain en comparant les données empiriques (induction) ; puis, le chercheur, en mobilisant les informations dont il dispose (même si elles sont hétérogènes), peut énoncer les conjonctures sur les causes possibles (abduction, cf. 3.2), notamment en prenant appui sur des allers-retours entre terrain et théorie ; enfin, tout comme dans le PEP, un test empirique de type expérimentation permet de clore le système (déduction). Avenier (2012) précise que «la phase déductive ne consiste pas à déduire de façon automatique des évènements à observer, mais à s assurer que les mécanismes générateurs imaginés sont bien explicatifs de l ensemble des évènements observés». Les trois phases de la boucle sont enchâssées dans des boucles itératives : les allersretours de la théorie au terrain.
Système de diffusion d information pour encourager les PME-PMI à améliorer leurs performances environnementales
Système de diffusion d information pour encourager les PME-PMI à améliorer leurs performances environnementales Natacha Gondran To cite this version: Natacha Gondran. Système de diffusion d information
Plus en détailLa voix en images : comment l évaluation objectivée par logiciel permet d optimiser la prise en charge vocale
La voix en images : comment l évaluation objectivée par logiciel permet d optimiser la prise en charge vocale Stéphanie Perriere To cite this version: Stéphanie Perriere. La voix en images : comment l
Plus en détailNotes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence
Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence Gwenole Fortin To cite this version: Gwenole Fortin. Notes de lecture : Dan SPERBER & Deirdre WILSON, La pertinence. 2006.
Plus en détailIntroduction à la méthodologie de la recherche
MASTER DE RECHERCHE Relations Économiques Internationales 2006-2007 Introduction à la méthodologie de la recherche geraldine.kutas@sciences-po.org Les Etapes de la Recherche Les étapes de la démarche Etape
Plus en détailsentée e et soutenue publiquement pour le Doctorat de l Universitl
Du rôle des signaux faibles sur la reconfiguration des processus de la chaîne de valeur de l organisation : l exemple d une centrale d achats de la grande distribution française Thèse présent sentée e
Plus en détailConcevoir des supply chains résilientes
Concevoir des supply chains résilientes Karine Evrard Samuel CERAG UMR 5820 Université de Grenoble, France Définition de la résilience appliquée aux supply chains La résilience est la capacité à revenir
Plus en détailPRÉSENTATION GÉNÉRALE
PRÉSENTATION GÉNÉRALE Cadrage institutionnel : Arrêté du 27 août 2013 fixant le cadre national des formations dispensées au sein des masters «métiers de l enseignement, de l éducation et de la formation»
Plus en détailCompte-rendu de Hamma B., La préposition en français
Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français Badreddine Hamma To cite this version: Badreddine Hamma. Compte-rendu de Hamma B., La préposition en français. Revue française de linguistique appliquée,
Plus en détailSynthèse «Le Plus Grand Produit»
Introduction et Objectifs Synthèse «Le Plus Grand Produit» Le document suivant est extrait d un ensemble de ressources plus vastes construites par un groupe de recherche INRP-IREM-IUFM-LEPS. La problématique
Plus en détailSylvie Guessab Professeur à Supélec et responsable pédagogique du Mastère Spécialisé en Soutien Logistique Intégré des Systèmes Complexes
Préface Toute personne est un jour confrontée à devoir prendre une décision, qu il s agisse de l étudiant qui réfléchit à son orientation académique, du chercheur qui doit privilégier une option scientifique
Plus en détailAPPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP
Résumé du rapport de recherche destiné au Centre Alain Savary, INRP APPRENDRE LA CHIMIE EN ZEP Martine Méheut, Olivier Prézeau INRP, Centre Alain Savary Apprendre la chimie en ZEP Résumé 1 Dans une perspective
Plus en détailComptabilité à base d activités (ABC) et activités informatiques : une contribution à l amélioration des processus informatiques d une banque
Comptabilité à base d activités (ABC) et activités informatiques : une contribution à l amélioration des processus informatiques d une banque Grégory Wegmann, Stephen Nozile To cite this version: Grégory
Plus en détailI. LE CAS CHOISI PROBLEMATIQUE
I. LE CAS CHOISI Gloria est une élève en EB4. C est une fille brune, mince avec un visage triste. Elle est timide, peureuse et peu autonome mais elle est en même temps, sensible, serviable et attentive
Plus en détailProblématique / Problématiser / Problématisation / Problème
Problématique / Problématiser / Problématisation / PROBLÉMATIQUE : UN GROUPEMENT DE DÉFINITIONS. «Art, science de poser les problèmes. Voir questionnement. Ensemble de problèmes dont les éléments sont
Plus en détailLa Chaire Accenture Strategic Business Analytics de l ESSEC
La Chaire Accenture Strategic Business Analytics de l ESSEC La création de nouvelles opportunités par l analyse des données Dans le monde numérique actuel, l analyse des données est au cœur des réseaux
Plus en détailSciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION
Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information
Plus en détailL indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne
L indice de SEN, outil de mesure de l équité des systèmes éducatifs. Une comparaison à l échelle européenne Sophie Morlaix To cite this version: Sophie Morlaix. L indice de SEN, outil de mesure de l équité
Plus en détailUne étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris
Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif
Plus en détailIl y a trois types principaux d analyse des résultats : l analyse descriptive, l analyse explicative et l analyse compréhensive.
L ANALYSE ET L INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS Une fois les résultats d une investigation recueillis, on doit les mettre en perspective en les reliant au problème étudié et à l hypothèse formulée au départ:
Plus en détailMEMOIRE POUR UNE HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES
UNIVERSITE DE BOURGOGNE MEMOIRE POUR UNE HABILITATION A DIRIGER DES RECHERCHES Discipline : Sciences de Gestion Matière : Finance Candidate : Aurélie SANNAJUST Fonction : Maître de Conférences à l Université
Plus en détailL innovation dans l entreprise numérique
L innovation dans l entreprise numérique Toutes les entreprises ne sont pas à l aise avec les nouvelles configurations en matière d innovation, notamment avec le concept d innovation ouverte. L idée de
Plus en détailSur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile
Sur le grossissement des divers appareils pour la mesure des angles par la réflexion d un faisceau lumineux sur un miroir mobile W. Lermantoff To cite this version: W. Lermantoff. Sur le grossissement
Plus en détailMéthodes de recherches et rédaction des mémoires
1 Méthodes de recherches et rédaction des mémoires Matériel de cours Institut des hautes études en administration publique (IDHEAP) Février 1999 Daniel Schneider TECFA, Faculté de Psychologie et des Sciences
Plus en détailManuel de recherche en sciences sociales
Résumé de QUIVY R; VAN CAMPENHOUDT L. 95, "Manuel de recherches en sciences sociales", Dunod Cours de TC5 du DEA GSI de l intergroupe des écoles Centrales 11/2002 Manuel de recherche en sciences sociales
Plus en détailRecherches collaboratives et constructivisme pragmatique : éclairages pratiques
Recherches collaboratives et constructivisme pragmatique : éclairages pratiques Aura Parmentier Cajaiba, Maître de conférences Université Nice Sophia Antipolis Marie-José Avenier, Directrice de recherche
Plus en détailMASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS
MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours
Plus en détailGestion du capital humain : savoir exploiter les big data
Gestion du capital humain : savoir exploiter les big data Enquête ADP 2015 auprès des responsables de la gestion du capital humain d entreprises internationales TABLE DES MATIÈRES Synthèse... 3 Introduction
Plus en détailLa littératie numérique est-elle vraiment une littératie? Pour quelle raison se soucie-t-on de la définition de la littératie numérique?
Tiré de Adult Literacy Education, un article de blogue écrit par David J. Rosen, D.Ed. http://davidjrosen.wordpress.com/2013/01 TEACH Magazine, disponible en version imprimée et numérique, est la plus
Plus en détailLe Crédit-bail mobilier dans les procédures collectives
Aimé Diaka Le Crédit-bail mobilier dans les procédures collectives Publibook Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook
Plus en détailLe management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse
Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence Synthèse SYNTHESE L incertitude est une donnée intrinsèque à la vie de toute organisation. Aussi l un des principaux défis pour la direction
Plus en détailOrganisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive
Organisation de dispositifs pour tous les apprenants : la question de l'évaluation inclusive Transcription et traduction de la communication de Verity DONNELLY colloque Éducation inclusive, la question
Plus en détailLA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE :
LA PROFESSIONNALISATION DU COACHING EN ENTREPRISE : DECRYPTAGE ET TEMOIGNAGE Le coaching en entreprise est souvent source de questionnement sur différents aspects : quelles populations concernées? Dans
Plus en détailQu est-ce qu une problématique?
Fiche méthodologique préparée par Cécile Vigour octobre 2006 1 Qu est-ce qu une problématique? Trois étapes : 1. Définition de la problématique 2. Qu est-ce qu une bonne problématique? 3. Comment problématiser?
Plus en détailANNEXE 2 : Liste des questions entre le directeur et l étudiant
ANNEXE 2 : Liste des questions entre le directeur et l étudiant LES QUESTIONS PROPRES À L ÉTUDIANT 4 Ai-je bien identifié mes besoins de formation et d'encadrement et les objectifs que je désire atteindre
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailstatique J. Bertrand To cite this version: HAL Id: jpa-00237017 https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237017
Quelques théorèmes généraux relatifs à l électricité statique J. Bertrand To cite this version: J. Bertrand. Quelques théorèmes généraux relatifs à l électricité statique. J. Phys. Theor. Appl., 1874,
Plus en détailSection des Unités de recherche. Rapport d évaluation. Unité de recherche : Institut d histoire du temps présent (IHTP) du CNRS
Section des Unités de recherche Rapport d évaluation Unité de recherche : Institut d histoire du temps présent (IHTP) du CNRS Mars 2009 Section des Unités de recherche Rapport d'évaluation Unité de recherche
Plus en détailNormes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014
Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er
Plus en détailEst-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49
Est-ce que les parents ont toujours raison? Épisode 49 Fiche pédagogique Le thème du 49 e épisode dirige l attention sur une question fondamentale lorsqu il s agit de développer la pensée des enfants,
Plus en détailCONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE. Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs!
CONSEILS POUR LA REDACTION DU RAPPORT DE RECHERCHE Information importante : Ces conseils ne sont pas exhaustifs! Conseils généraux : Entre 25 et 60 pages (hormis références, annexes, résumé) Format d un
Plus en détailP RO - enfance. Plateforme Romande pour l accueil de l enfance
P RO - enfance Plateforme Romande pour l accueil de l enfance Rapport de la phase d analyse 1. Résumé Le présent document contient la description du déroulement et des résultats de la phase d analyse des
Plus en détailEXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE
EXAMEN CRITIQUE D UN DOSSIER TECHNIQUE (Préparation : 5 heures -- Exposé et Questions : 1 heure) Rapport établi par : P.J. BARRE, E. JEAY, D. MARQUIS, P. RAY, A. THIMJO 1. PRESENTATION DE L EPREUVE 1.1.
Plus en détailRédiger et administrer un questionnaire
Rédiger et administrer un questionnaire Ce document constitue une adaptation, en traduction libre, de deux brochures distinctes : l une produite par l American Statistical Association (Designing a Questionnaire),
Plus en détailISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009
REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.
Plus en détailThème 2 : Cycle de vie des projets d innovation: ambigüité, incertitude, production de savoir et dynamisme
Thème 2 : Cycle de vie des projets d innovation: ambigüité, incertitude, production de savoir et dynamisme Serghei Floricel Dans l introduction nous avons mentionné que les projets d innovation suivent
Plus en détailEvaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010
Evaluation des cursus «Information & Communication» 2009-2010 RAPPORT FINAL DE SYNTHÈSE Université Catholique de Louvain (UCL) Comité des experts : M. Pascal LARDELLIER, président Mme Martine SIMONIS,
Plus en détailCyril HÉDOIN 12bis Grande Rue 51430 TINQUEUX 28 ans
cyril.hedoin@univreims.fr www.rationalitelimitee. wordpress.com Cyril HÉDOIN 12bis Grande Rue 51430 TINQUEUX 28 ans Tel : 03 26 91 87 20 Port : 06 26 96 75 28 Maître de conférences en sciences économiques
Plus en détail2013-2015 Attachée Temporaire d Enseignement et de Recherche Institut d Administration des Entreprises Université de Toulouse 1 Capitole.
Adresse personnelle : NEGRE Emmanuelle 5 rue Rivals 31000 Toulouse Née le 25/06/1987, 27 ans FRANCE 06.76.79.01.31 emmanuelle.negre@ iae-toulouse.fr Fonctions 2013-2015 Attachée Temporaire d Enseignement
Plus en détailquelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI?
LA GOUVERNANCE DES PME-PMI Gérard CHARREAUX Professeur de Sciences de Gestion à 1 Université de Bourgogne, Dijon PREAMBULE Il est probable que vous vous interrogez sur l'apport des recherches en matière
Plus en détailAujourd hui, pas un seul manager ne peut se dire à l abri des conflits que ce soit avec ses supérieurs, ses collègues ou ses collaborateurs.
MANAGERS : COMMENT PRENEZ-VOUS EN CHARGE LES CONFLITS? AUTO-EVALUEZ-VOUS! Dans un contexte économique morose et qui perdure, nous sommes confrontés à un grand nombre de difficultés et de frustrations.
Plus en détailCHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)
CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag
Plus en détailAutonomie et fragilités de la recherche académique Financements sur projet et reconfigurations du travail scientifique
L irrésistible ascension du capitalisme académique 18-19 avril 2013 Autonomie et fragilités de la recherche académique Financements sur projet et reconfigurations du travail scientifique Julien Barrier
Plus en détailConcours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels»
Concours 2008 / 2009 externe et interne réservé d ingénieurs des services culturels et du patrimoine, spécialité «services culturels» Le présent rapport a pour objet de donner une appréciation générale
Plus en détailSondage sur la volonté d améliorer la gouvernance
Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance Ce Sondage sur la volonté d améliorer la gouvernance a été adapté, avec la permission de Quantum Transformation Technologies, de son Governance & Managerial
Plus en détailUn écrivain dans la classe : pour quoi faire?
Un écrivain dans la classe : pour quoi faire? Entretien avec Philippe Meirieu réalisé pour l ARALD - Quel est votre sentiment sur la présence des écrivains dans les classes? Il me semble que ce n est pas
Plus en détailACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ
INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre
Plus en détailLE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE
LE PROBLÈME DE RECHERCHE ET LA PROBLÉMATIQUE Un problème de recherche est l écart qui existe entre ce que nous savons et ce que nous voudrions savoir à propos d un phénomène donné. Tout problème de recherche
Plus en détailMASTER RECHERCHE MEDIATIONS DES SCIENCES. Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET. Histoire et Philosophie des Sciences. Année 2007/2008
Année 2007/2008 Domaine LETTRES ET SCIENCES HUMAINES MASTER RECHERCHE Mention HISTOIRE, PHILOSOPHIE ET MEDIATIONS DES SCIENCES Spécialité Histoire et Philosophie des Sciences Unités de Formation et de
Plus en détailÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE
ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE Le présent document reflète le travail d organismes de réglementation membres du CCRRA. Les opinions qui y sont exprimées ne doivent
Plus en détailChapitre 2 LE CAS PRATIQUE
Chapitre 2 LE CAS PRATIQUE Demande de conseil. Le cas pratique est un exercice juridique qui, à l instar d une personne se trouvant en situation de litige avec autrui, demande conseil. C est un exercice
Plus en détailPrimaire. analyse a priori. Lucie Passaplan et Sébastien Toninato 1
Primaire l ESCALIER Une activité sur les multiples et diviseurs en fin de primaire Lucie Passaplan et Sébastien Toninato 1 Dans le but d observer les stratégies usitées dans la résolution d un problème
Plus en détailDESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues
DESCRIPTEURS NIVEAU A2 du Cadre européen commun de référence pour les langues ACTIVITÉS DE COMMUNICATION LANGAGIÈRE ET STRATÉGIES Activités de production et stratégies PRODUCTION ORALE MONOLOGUE SUIVI
Plus en détailProtection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes
Protection des renseignements personnels, publicité ciblée et médias sociaux : Ampleur du problème : certaines observations déconcertantes Avner Levin * * Professeur agrégé et directeur, Privacy and Cyber
Plus en détailUniversité de Haute Alsace. Domaine. Sciences Humaines et Sociales. MASTER Mention Éducation, Formation, Communication UHA, ULP, Nancy 2
Centre Universitaire de Formation des Enseignants & des Formateurs Laboratoire Interuniversitaire de Sciences de l Education et de la Communication Université de Haute Alsace Domaine Sciences Humaines
Plus en détailI/ Présentation de notre association et de notre programme
GUIDE ENSEIGNANTS INTERVENTION EN CLASSE D UN ENTREPRENEUR 1. Présentation de notre association et de notre programme 2. Le contenu de l intervention de l entrepreneur 3. La préparation de l intervention
Plus en détailINTRODUCTION. Master Management des Ressources Humaines de l IAE de Toulouse Page 1
LES FICHES OUTILS RESSOURCES HUMAINES L évaluation 360 Feed-back INTRODUCTION Aujourd hui les ressources humaines sont considérées par les entreprises comme un capital. La notion de «capital humain» illustre
Plus en détailProjet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives
Projet de Loi no 98 Loi modifiant la Loi sur l assurance médicament et d autres dispositions législatives Présentation à la Commission des affaires sociales Ordre des pharmaciens du Québec 28 mai 2002
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailLA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES?
LA DEFINITION DES COMPETENCES : QUEL ROLE POUR LES ASSOCIATIONS PROFESSIONNELLES? INTRODUCTION Depuis quelques années, un certain nombre d évolutions à la fois sociétales et professionnelles nous poussent,
Plus en détailMéthode universitaire du commentaire de texte
Méthode universitaire du commentaire de texte Baptiste Mélès Novembre 2014 L objectif du commentaire de texte est de décrire la structure argumentative et de mettre au jour les concepts qui permettent
Plus en détailIntroduction au datamining
Introduction au datamining Patrick Naïm janvier 2005 Définition Définition Historique Mot utilisé au départ par les statisticiens Le mot indiquait une utilisation intensive des données conduisant à des
Plus en détailLes «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques
Les «devoirs à la maison», une question au cœur des pratiques pédagogiques Parmi les trois domaines d activités proposés aux élèves volontaires dans le cadre de l accompagnement éducatif, «l aide aux devoirs
Plus en détailIntelligence d affaires nouvelle génération
Intelligence d affaires nouvelle génération Sept étapes vers l amélioration de l intelligence d affaires par l entremise de la recherche de données À PROPOS DE CETTE ÉTUDE Les approches traditionnelles
Plus en détailIODAA. de l 1nf0rmation à la Décision par l Analyse et l Apprentissage / 21
IODAA de l 1nf0rmation à la Décision par l Analyse et l Apprentissage IODAA Informations générales 2 Un monde nouveau Des données numériques partout en croissance prodigieuse Comment en extraire des connaissances
Plus en détailTENDANCES CLÉS DU MARCHÉ JURIDIQUE
PERSPECTIVE COMPLÉMENTAIRE TENDANCES CLÉS DU MARCHÉ JURIDIQUE Professeur Richard Susskind OBE Septembre 2012 Richard Susskind, 2012 L Association du Barreau canadien 865, avenue Carling, bureau 500 Ottawa
Plus en détailExemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil
Retour au sommaire Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil BIM n 05-12 février 2002 Karin BARLET ; Bonnie BRUSKY Nous vous présentions en novembre dernier les outils d étude de marché
Plus en détailDirection des bibliothèques. Sondage Ithaka S+R. Questionnaire français Université de Montréal
Direction des bibliothèques Sondage Ithaka S+R Questionnaire français Université de Montréal Décembre 2014 Modules retenus Découverte Activités de recherche numérique Compétences informationnelles des
Plus en détailLivre Blanc Oracle Novembre 2010. Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie
Livre Blanc Oracle Novembre 2010 Le Bureau des Projets (PMO) : un levier stratégique de création de valeur pour l industrie Présentation générale Les entreprises industrielles sont confrontées à un environnement
Plus en détailCNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification
Appel à commentaires Missions d examen préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Date limite de réception des commentaires : le 11 avril 2011 CNAC APPEL À COMMENTAIRES MISSIONS D EXAMEN
Plus en détail«Management et Direction de Projets»
Centrale Paris & Cegos Vos partenaires pour un nouvel élan dans votre carrière MASTERE SPECIALISE «Management et Direction de Projets» Bienvenue! René PALACIN Responsable pédagogique MS Management et Direction
Plus en détailLA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte
LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES Anne DIETRICH Frédérique PIGEYRE 2005, repères, La découverte La GRH constitue une préoccupation permanente de toute entreprise, de tout dirigeant, qu il s agisse de
Plus en détailConditions gagnantes pour démarrer sa transition Agile
Conditions gagnantes pour démarrer sa transition Agile 1 4 Les De plus en plus d organisations voient l Agilité comme une piste de solution aux problèmes auxquels elles sont confrontées. Par ailleurs,
Plus en détailLivret du Stagiaire en Informatique
Université François-Rabelais de Tours Campus de Blois UFR Sciences et Techniques Département Informatique Livret du Stagiaire en Informatique Licence 3ème année Master 2ème année Année 2006-2007 Responsable
Plus en détailIntervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché
XXIII ème Assemblée régionale Europe Erevan, Arménie 3 au 7 mai 2010 Intervention de M. de Lamotte, président de la section sur l école et son interdépendance avec le marché Section Belgique/Communauté
Plus en détailAnimer une association
FICHE PRATIQUE N 7 www.animafac.net gestion de projet Animer une association Une association vit mieux si elle est composée de plusieurs membres partageant un projet collectif. Si la loi 1901 est une loi
Plus en détailSPECIALISATIONS DU MASTER GRANDE ECOLE
SPECIALISATIONS DU MASTER GRANDE ECOLE Finance, Contrôle des Organisations Cette spécialisation se fonde sur la nécessité de prendre des décisions et/ou d organiser les différents processus au cœur de
Plus en détailLE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand
LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il
Plus en détailLe système d accréditation n est pas un système basé sur la conformité à la. de ce fait, il se différencie
Système d accreditation des organismes de formation Origine, objectifs et méthodologie du système d accréditation Carlos Capela Coordinateur du projet INOFOR - Institut pour l innovation dans la formation
Plus en détailMASTER Les pensées du projet
MASTER Les pensées du projet L ARCHITECTURE COMME DISCIPLINE EQUIPE ENSEIGNANTE Christian Blachot ingénieur, responsable de l équipe Patrick Chedal-Anglay Charles Chifflet Anne Coste -historienne Guy Depollier
Plus en détailCFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS
CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS AVANT-PROPOS 1. Le Programme des cadres dirigeants (PCD) est un programme de séminaire en résidence de quatre jours et demi à l intention des officiers
Plus en détailUn autre signe est de blâmer «une colère ouverte qui débute par le mot TU».
Le besoin de contrôler Le comportement compulsif de tout vouloir contrôler n est pas mauvais ou honteux, c est souvent un besoin d avoir plus de pouvoir. Il s agit aussi d un signe de détresse; les choses
Plus en détail2) Qu est-ce que la cohésion sociale et l inclusion?
Chantier sur la cohésion sociale et l inclusion dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés JUIN 2013 1) Mise en contexte Dans le cadre des Ateliers des savoirs partagés à Saint-Camille, 4 chantiers
Plus en détailLa B.I. au secours des Managers de transition 72
T r i b u n e Depuis quelques années, la demande d interventions ponctuelles en Supply Chain est croissante. Améliorer la gestion des flux de l entreprise, piloter un projet ambitieux de restructuration
Plus en détailGUIDE DE SOUMISSION D UN PROJET DE RECHERCHE
Direction générale adjointe Planification, qualité et mission universitaire Coordination de l enseignement et de la recherche 1250, rue Sanguinet, Montréal, QC H2X 3E7 Tél. : (514) 527-9565 / Téléc. :
Plus en détailMANUEL DU BLENDED LEARNING
MANUEL DU BLENDED LEARNING ÉDITION 2014 www.360learning.com SOMMAIRE Définition... 4 Pourquoi proposer du Blended Learning à ses clients... 5 Les phases du Blended Learning... 7 9 arguments pour vendre
Plus en détailCOMMENT PARLER DES LIVRES QUE L ON N A PAS LUS?
Né dans un milieu où on lisait peu, ne goûtant guère cette activité et n ayant de toute manière pas le temps de m y consacrer, je me suis fréquemment retrouvé, suite à ces concours de circonstances dont
Plus en détailANNEXE 4. Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information. (Module 3, partie I, section 2.5)
ANNEXE 4 Réaliser un diagnostic de sécurité Principales méthodes de collecte d information (Module 3, partie I, section 2.5) Dans les pages qui suivent, nous présentons neuf méthodes de collecte d information.
Plus en détailUniversité de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015
Université de Lorraine Licence AES LIVRET DE STAGE LICENCE 2014-2015 1 LA REDACTION DU RAPPORT DE STAGE Le mémoire ne doit pas consister à reprendre tels quels des documents internes de l entreprise ou
Plus en détailComment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie
Partie I : Séries statistiques descriptives univariées (SSDU) A Introduction Comment se servir de cet ouvrage? Chaque chapitre présente une étape de la méthodologie et tous sont organisés selon le même
Plus en détail