PATRIMOINE ARCHÉOLOGIQUE ET SYSTÈME D INFORMATION GÉOGRAPHIQUE
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- Jean-Claude Nolet
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1 PATRIMOINE ARCHÉOLOGIQUE ET SYSTÈME D INFORMATION GÉOGRAPHIQUE par Thierry Lorho Direction régionale des affaires culturelles de Bretagne, Service régional de l archéologie Campus de Beaulieu, avenue Charles Foulon, Rennes thierry.lorho@culture.gouv.fr Contrairement à ce que son nom pourrait laisser paraître, la carte archéologique nationale n est pas un document figé. En premier lieu, cet inventaire du patrimoine archéologique, riche de plus de sites à ce jour, est en progression constante tant par la qualité de son information que par le nombre d entités archéologiques qu il contient. De plus, informatisé depuis la fin des années 70, il a franchi une nouvelle étape avec l arrivée de PATRIARCHE (PATrimoine ARCHEologique). Cette application nationale qui est un Système d information géographique (SIG) a modifié la manière d appréhender les sites archéologiques en facilitant leur représentation spatiale. Le SIG avec ses propriétés de base de données géographiques et ses capacités d analyse spatiale est parfaitement complémentaire des missions fondamentales de la carte archéologique nationale. Que ce soit dans la mise en place des réponses aux documents de gestion et d aménagement du territoire, l orientation des stratégies de prescriptions archéologiques des SRA (Services régionaux de l archéologie), la mise en place de programmes de recherche thématiques multiscalaires, l élaboration de cartes de potentialité ou la diffusion de cette information patrimoniale. Après avoir précisé la notion de SIG et détaillé les missions de la carte archéologique, nous passerons en revue, à travers différents exemples, les champs d application de la cartographie numérique dans le domaine du patrimoine archéologique. Contrary to what its name might seem, the national archaeological map is not a static document. Firstly, this inventory, rich archaeological heritage of more than sites so far, is steadily increasing for both the quality of the information and the number of archaeological entities it contains. In addition, computerized since the late 70s, it entered a new phase with the arrival of PATRIARCHE (PATrimoine ARCHEologique). This national application, which is a Geographic Information System (GIS), has changed the way of understanding the archaeological sites by providing a spatial representation. This GIS application with its properties of geographic data base and its spatial analysis capabilities is perfectly complementary to the fundamental tasks of the national archaeological map. Whether in the responses to document management and territory planning, orientation strategies of the regional services of archeology, implementation of thematic programs for multiscalar research, preparation of potentiality maps or diffusion of these patrimonial information. In this talk, after having clarified the concept of GIS and detailed the tasks of the archaeological map, we will review, through various examples, the framework of numeric mapping in the field of archaeological heritage. Les systèmes d information géographique Définition, propriétés et usages L acronyme SIG possède de nombreuses définitions selon que sont privilégiés le logiciel et ses fonctionnalités ou le système d information et ses principes, l aspect fonctionnel ou technologique (Denègre, 2004). Une définition généralement admise par les archéologues est : «Système informatisé permettant, à partir de diverses sources, de rassembler (collecter) et d organiser, de gérer, de modéliser (modélisation spatiale, structuration spatiale), d analyser et de combiner (analyse spatiale), de simuler (simulation spatiale, scenarii), d élaborer et de présenter des informations localisées géographiquement afin de contribuer à la connaissance de l espace» (Pirot, 2004). Plus simplement, les SIG possèdent deux caractéristiques principales. La première est que l information géographique qu ils gèrent est positionnée dans l espace. Ce géoréférencement est rendu possible par l association de chaque couche d information avec un système de projection, le système Lambert, et un système de mesure, le système métrique pour la France. Ainsi le SIG a la possibilité d extraire les propriétés géométriques de chaque élément constitutif de la cartographie (coordonnées, longueur, surface), qu il s agisse de points, de lignes ou de polygones, de tronçons de voirie ou de parcelles cadastrales. Il va donc gérer la position individuelle de chacun de ces éléments dans l espace, mais aussi leur position les uns par rapport aux autres (calcul de distance) tout comme leur superposition. La seconde caractéristique est que chaque élément de la cartographie va pouvoir être renseigné, décrit par des attributs qui lui sont associés via un lien sémantique. Des vestiges archéologiques pourront être caractérisés par une nature ou une chronologie. L exploitation d un SIG consiste à combiner, successivement et dans un ordre choisi par l utilisateur, des interrogations sur la composante cartographique CFC (N 220- Juin 2014) 39
2 et/ou sur la composante attributaire au sein d une même couche d information géographique mais également en croisant plusieurs d entre elles. Le résultat de ces combinaisons de requêtes sera exprimé sous la forme de cartes. Leur utilisation peut s envisager selon deux approches : soit dans une perspective d inventaire et de gestion d information spatialisée et elles sont considérées comme des bases de données géographiques, soit pour répondre à des interrogations dans le cadre de problématiques, et dans ce cas il s agit d outils d aide à l analyse et à la décision. SIG et archéologie : Pourquoi? L archéologue collecte des informations qui sont par nature spatialisées et il a pour habitude de les restituer sous la forme de cartes et de plans. L usage des SIG en archéologie est donc parfaitement justifié et ceci d autant plus qu au-delà des opérations de tris et de calculs statistiques sur ces données thématiques et leur représentation cartographique, ils offrent la possibilité de les replacer dans leur contexte environnemental. Le site archéologique n est donc plus considéré comme une simple concentration de vestiges en un point donné de la carte mais comme faisant partie intégrante du paysage. Le SIG permet une représentation multiscalaire des sites archéologiques, favorisant leur mise en relation au sein d une même aire d étude. La gestion administrative de ce patrimoine tout comme l étude des dynamiques de peuplement et des phénomènes de déplacements dans un espace géographique donné est grandement facilitée. Nous pouvons aller dans certains cas jusqu à une modélisation de ces systèmes sociaux-environnementaux et la réalisation de cartes de potentialités de présence de vestiges. La troisième partie de notre article propose à travers une série d exemples d illustrer ces différents usages. Toutefois, il nous semble nécessaire, préalablement, d évoquer la question de la carte archéologique nationale qui occupe une place centrale dans la production, la gestion et la diffusion de cette information patrimoniale spatialisée tant dans le domaine de la protection patrimoniale que dans son exploitation scientifique. La carte archéologique Les services régionaux de l archéologie Les services régionaux de l archéologie (SRA) sont, avec les services des Monuments historiques (MH) et les services territoriaux de l architecture et du patrimoine (STAP) un des trois services constituant les pôles patrimoniaux des directions régionales des affaires culturelles (DRAC).Leurs missions se déclinent selon cinq grands axes : - la gestion du patrimoine archéologique qui recouvre l instruction des projets d utilisation du sol (permis de construire, autorisations de travaux, etc.) ; la gestion des fouilles archéologiques préventives et programmées à travers l élaboration de prescriptions et leurs contrôles scientifiques et techniques ; la gestion des protections associées aux sites archéologiques (zonages élaborés dans le cadre des plans locaux d urbanisme (PLU), zonages de présomption de prescriptions archéologiques (ZPPA), ) ; - la coordination de la recherche archéologique sur le territoire régional à travers la mise en place de programmes collectifs de recherche, de sondages archéologiques et de prospections diachroniques ou thématiques ; - la diffusion et la valorisation de la recherche réalisée sur le territoire régional ; - la gestion des archives générées par l activité archéologique dans la région (archives de fouilles, rapports d opérations archéologiques, mobiliers archéologiques) ; - la réalisation de l Inventaire du patrimoine archéologique. Ces deux dernières missions sont dévolues spécifiquement à la carte archéologique. La carte archéologique La notion de «carte archéologique» fait son apparition assez tôt puisque dans le décret du 13 septembre 1945, il est indiqué que les directions des Antiquités ont pour mission la mise à jour de «la carte des gisements et des fouilles». Toutefois, ce n est qu en 1975 que l Inventaire prend une dimension nationale avec sa mise en œuvre confiée aux services des fouilles et antiquités, ancêtres des services régionaux de l archéologie. Aujourd hui, les cartes archéologiques se sont étoffées au sein des SRA. Elles assurent toujours le récolement, la hiérarchisation et l enregistrement de l ensemble de la documentation archéologique pour l enrichissement de l Inventaire national. Il s agit, pour l essentiel, de notes manuscrites, d éléments de bibliographies anciennes et de rapports de fouilles archéologiques. La conservation de ces archives et leur mise à la disposition de la communauté des chercheurs et du grand public, selon les règles définies par la loi, font également partie de ces attributions. Elle joue aussi un rôle important dans les relations entre le SRA et les prospecteurs amateurs et autres érudits locaux dans le cadre des découvertes fortuites notamment. Enfin, elle contribue fortement à la définition des zones de protection de ce patrimoine. La carte archéologique n est donc pas un document figé, elle correspond à un état des connaissances et est en constante évolution au fur et à mesure de l enrichissement de l Inventaire national. De la qualité 40 CFC (N 220- Juin 2014)
3 de cet inventaire archéologique et de l organisation de la documentation d une manière générale dépend le bon déroulement de l ensemble des missions du SRA. La loi de 2001 sur l archéologie préventive réaffirme cela en disant qu «avec le concours des établissements publics ayant des activités de recherche archéologique et des collectivités territoriales, l État dresse et met à jour la carte archéologique nationale. Cette carte rassemble et ordonne pour l ensemble du territoire national les données archéologiques disponibles. Dans le cadre de l établissement de la carte archéologique, l État peut définir des zones où les projets d aménagement affectant le sous-sol sont présumés faire l objet de prescriptions archéologiques préalablement à leur réalisation» (Article L du code du patrimoine). Ainsi, l Inventaire national est une mission de l État, ce qui en fait un document de référence homogène à l échelle du territoire indépendamment de ses contributeurs. La carte archéologique est aussi un document à portée administrative dont le contenu a une incidence sur les procédures d archéologie préventive notamment. Les SIG et la carte archéologique La carte archéologique : un inventaire informatisé L informatisation de l Inventaire national a réellement débuté en 1978 avec l arrivée de l application SIGAL (Système informatisé de gestion des données archéologiques), à la suite de laquelle se sont succédé SIGAL 2 en 1988, DRACAR (DRAC Archéologie) en 1991 et SCALA en Cette dernière offrait la possibilité d avoir une représentation cartographique des sites inventoriés dans DRACAR, mais restait extrêmement limitée (Chailloux, 2003). Un véritablement tournant dans ce processus d informatisation de la carte archéologique nationale a été opéré avec le déploiement en région de l application PATRIARCHE à la fin de l année En effet, il s agit cette fois d un véritable SIG. Sa structuration est organisée autour d un tronc commun constitué de trois ensembles géoréférencés que sont les entités archéologiques, les opérations archéologiques (sondages, diagnostics, fouilles) et les protections. Trois tables régionales viennent s y associer en région. Il s agit des données géo-administratives, des sources documentaires et du répertoire. Les principales évolutions liées à cette nouvelle architecture sont triples. La notion d entité archéologique se substitue à celle du site archéologique. Le site est un lieu géographique qui recèle une concentration de vestiges alors que l entité est un ensemble cohérent de vestiges portant une unité fonctionnelle et/ou chronologique (villa/antique, abbaye médiévale, dolmen néolithique, ). Sa localisation est implicite à travers son géoréférencement. Ensuite la création des entités, des opérations et des protections peut se faire directement à partir de la composante cartographique de l application, engendrant automatiquement de l information spatialisée. Information qui pourra donc faire l objet d analyse spatiale directement dans l application nationale ou dans tout autre logiciel de SIG après exportation. Enfin PATRIARCHE est la seule application qui gère simultanément de l information archéologique spatialisée et les sources documentaires qui lui sont associées, autorisant ainsi une plus grande palette de traitement de l information patrimoniale. Mise en application PATRIARCHE, en dotant d une composante spatiale le patrimoine archéologique recensé dans l Inventaire national (fig.1), a profondément modifié la manière d appréhender ce dernier, aussi bien dans le cadre de la réalisation des missions de la carte archéologique que dans son exploitation à travers des programmes de recherche. C est ce que nous allons présenter dans cette troisième partie, avec une série d exemples qui couvrent un large spectre des modes d utilisation de cette information patrimoniale tant à travers les thématiques traitées et les échelles d analyse qu avec l application utilisée, PATRIARCHE ou un autre logiciel de SIG après exportation des données. Établissement des documents de gestion et d aménagement du territoire : le cas des plans locaux d urbanisme (PLU) L objectif de la réponse de la DRAC Bretagne- SRA au porter à connaissance ou à la révision du plan local d urbanisme est de transmettre à la municipalité et aux services instructeurs les éléments de connaissance du patrimoine archéologique de la commune et les propositions de protections qui lui sont associées. Ces protections correspondent très majoritairement à des ZPPA. Elles permettront au SRA de recevoir les dossiers d aménagement du sol et de mettre en place des mesures conservatoires autour du site concerné, même s il est souvent trop tard, ou de mettre en œuvre, le cas échéant un diagnostic archéologique préalablement aux projets d aménagement. L élaboration de ce document se fait directement avec PATRIARCHE. Elle consiste dans un premier temps à homogénéiser l information archéologique, issue de plus de 30 ans de saisie, en procédant à son géoréférencement, à la mise à jour des références des parcelles concernées tout comme de l ensemble des informations renseignant ces entités (fig. 2). La deuxième étape correspond à la définition, à l échelle cadastrale, des zones de protections demandées. La procédure de porter à connaissance se termine par l élaboration de cartes (fig. 3) et de listes des zones proposées destinées à la municipalité et aux services instructeurs, et qui accompagnent le courrier de réponse au porté à connaissance de la DRAC Bretagne, SRA. CFC (N 220- Juin 2014) 41
4 Figure 1 : Carte de répartition des entités enregistrées dans Patriarche pour la région Bretagne Figure 2 : Carte archéologique de la commune de Plouguerneau (29) au 17/12/ CFC (N 220- Juin 2014)
5 Figure 3 : Carte de répartition des zones proposées par le SRA dans le cadre du Porté à connaissance de la commune de Plouguerneau Figure 4 : Tableau d assemblage des 38 dalles constituant l Atlas CFC (N 220- Juin 2014) 43
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