Calcul de dose périphérique dans un fantôme voxélisé par Monte Carlo pour un Linac 6MV
|
|
- Serge Langevin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Calcul de dose périphérique dans un fantôme voxélisé par Monte Carlo pour un Linac 6MV A. Joosten 1, F. Levi 2, S. Baechler 1, R.-O. Mirimanoff 3, F. Bochud 1, R. Moeckli 1 1 Institut universitaire de Radiophysique Appliquée 2 Unité d Épidémiologie du Cancer et Registres Vaudois et Neuchâtelois des Tumeurs, Institut Universitaire de Médecine Sociale et Préventive (IUMSP) 3 Département de Radio-oncologie, CHUV, Lausanne
2 Radiothérapie des cancers: généralités (I) 30-40% de la population développe un jour un cancer 50% des patients reçoivent de la radiothérapie Principe de ttt en RT et gammes de doses rencontrées:
3 Radiothérapie des cancers: généralités (II) Optimisation des doses en RT actuellement: Contrôle local de la tumeur (au niveau du PTV) Limitation des effets déterministes aux OAR (intérieur des faisceaux) Cancers secondaires radio-induits (=effets stochastiques) Mis en évidence par de nombreuses études épidémiologiques Etude de seconds cancers après cancer sein, col utérus, testicule, Hodgkin, cancers pédiatriques divers, prostate Pas pris en compte dans l optimisation d un plan de ttt à l heure actuelle
4 Seconds cancers après RT cancers pédiatriques: localisation par rapport au volume irradié (Diallo et al., IJROBP, 2009)
5 Seconds cancers après RT cancers pédiatriques: dosimétrie des seconds cancers (Diallo et al., IJROBP, 2009)
6 Relation dose-risque de cancer: état actuel des connaissances Essentiellement basée sur la Lifespan Study (LSS) Excès de carcinomes et de leucémies mis en évidences, mais pas sarcomes Temps de latence: Carcinomes: ans Leucémies: pic à 5-7 ans Forte dépendance du risque sur l âge d exposition Relation linéaire dose-risque entre 100 mgy et 2 Gy. Risque de cancer mortel 5%/Gy Etude LSS: Base des modèles de risque actuels Base de la radioprotection
7 Applicabilité des résultats LSS en RT? Conditions d irradiation différentes: LSS RT Particules: (g,n) g/rx Irradiation: Aiguë Fractionnée (20-35) Distribution de dose: Homogène Inhomogène Dose reçue: 0-2 Gy 0 70 Gy
8 Compatibilité risque dérivé LSS vs risque seconds cancers après RT Little a comparé le risque dans 65 études seconds cancers après RT avec des sousgroupes de la LSS (IJROBP, 2001). Résultats mitigés Risques plus bas dans les cohortes médicalement exposés. Différences attribuées: Prédominance de la mort cellulaire sur les mutations aux hautes doses Réduction du risque par le fractionnement Taux naturel de cancer plus élevé dans cohortes RT que dans cohorte LSS réduction du risque relatif
9 Données hautes doses (>2 Gy) Relativement peu de données Excès de sarcomes, cancers rectum Pas observés dans la LSS Autres mécanismes de carcinogenèse Effets déterministes inflammation cancer rectum angiosarcome (lié aux lymphoedèmes) poumons (?) vessie (?)
10 Données hautes doses (>2 Gy) (Sachs et Brenner, PNAS, 2005) (Meadows et al, J Clin Oncol, 2009) Relation dose-risque complexe et spécifique à l organe en question!
11 Relation dose risque de cancer: synthèse des connaissances actuelles Même pour la RT???? (Hall, IJROBP, 2006)
12 Problématique des cancers radioinduits en RT Fonction dose-risque mal connue pour patients RT Peu d études épidémiologiques stratifient le risque en fonction de la dose Pour quantifier le risque en fonction de la dose, il faut une dosimétrie dans le champs et en dehors des champs Dosimétrie dans le champs: TPS OK Hors champs («Dose périphérique»): TPS pas OK Monte Carlo Intérêt actuel pour les basses doses à cause des nouvelles technologies (IMRT, Tomo, Cyber-knife) Etalement et/ou augmentation des basses doses aux organes sains Quel impact sur le risque de cancer radio-induit?
13 But du projet Développement d une base de données de distributions de doses des différents cas de cancers du sein rencontrés Distributions de doses pré-calculées par Monte Carlo Calcul de dose pour n importe quel cas par interpolation des matrices de dose à partir de quelques paramètres simples Utilité Dosimétrie rétrospective et prospective pour études épidémiologiques Impact sur le risque de modèles dose-risque non-linéaires pour distribution de doses inhomogène?
14 Quels paramètres? Comment définir les matrices de dose standard? Quels sont les paramètres importants? 2 types de paramètres: Morphologiques Techniques Afin de définir les paramètres importants 139 dossiers de patientes ont été étudiés Cancers du sein traités entre 1978 et 2000 au CHUV par RT Toutes les patientes ont développé un second cancer Analyse statistique des paramètres numériques
15 Résultats (I) En modélisant un Linac 6 MV et un Co-60, 95% des faisceaux de photons peuvent être reconstruits. AP sus-clave-axill 85% des traitements consistent en une combination de 5 champs: CMI Tan int/ext CTE CTI PA axill Sternal AP et PA
16 Résultats (II): exemple de la variabilité des paramètres Poids Angle du gantry pour champs AP Répartition du poids avec fits gaussien et lognormal Distribution de l'angle du gantry pour un champs AP fréquence normalisée Lognormal fit Gaussian fit Féquence absolue Fit gaussien poids Fit log normal [min, max]=[42.5, 104] norm = 65.4; norm = 12.8; Angle du gantry [ ]
17 Résultats (III) Les principaux paramètres retenus sont: Poids Taille Latéralité ca sein Bonnet du sein Après mastectomie Après tumorectomie Type de machine (Linac 6MV ou Co-60) Tailles des champs Dose par champs Paramètres morphologiques Paramètres techniques
18 Résultats (IV) Définition des matrices de doses: Type de machine (2 possibilités) Latéralité cancer (2 possibilités) Type de champs (5 possibilités) Facteurs de correction appliquées sur ces matrices: Taille champs Taille patiente
19 Modélisation Monte Carlo de la tête du LINAC Primus de Siemens BEAMnrc Y: Mâchoires X: MLC Modèle MC validé pour dosimétrie dans le champs Validité pour la dosimétrie hors champs??
20 Mesures dose hors champs x y
21 Paramètres de mesures et de simulations Mesures SSD = 100 cm, prof de mesure: 2 cm et 10 cm Champs 5x5, 10x10, 15x15, 20x20 Monte Carlo PCUT = 10 kev, ECUT = 700 kev (= ) ESTEPE = 0.25 «Directional Bremsstrahlung Splitting» Brem splitting number = 1000, FS=40 cm à 100 cm de la source Nb d histoires: entre et
22 Mesures vs MC pour champs 10x10 à 10cm de profond Profil sous mâchoires (dir Y) Profil sous MLC (dir X)
23 Sources de dose périphérique Sources de dose en périphérie: Diffusé interne du patient constant Diffusé des collis «Diffusé de la tête» dépend Fuites de la tête du linac en question Importance relative des différentes sources à la dose? Séparation des composantes de la dose périphérique? Dans Monte Carlo: «marquer» les particules qui passent par les collis (en rouge) et les éliminer de la simulation
24 50cm Contributions du diffusé interne et du diffusé de la tête BLEU: dose totale MC ROUGE: particules qui sont passées par les régions correspondant aux mâchoires/mlc exclues Élimination du diffusé de la tête et des fuites Reste le diffusé interne
25 Calcul de dose par Monte Carlo trop spécifique à une machine? Diffusé de la tête contribue de manière significative à la dose en périphérie Contribution qui dépend de la géométrie du linac! Monte Carlo utilisé dans le cadre d études épidémiologiques Patients inclus dans les études ont été traités sur différentes machines Modèle Monte Carlo d un linac X6 spécifique généralisable comme modèle générique? Evaluation de la variabilité de la dose en périphérie
26 Comparaison de la dose en périphérie pour différents linacs Mesures de profils dans une cuve d eau pour des champs 5x5,10x10,15x15,20x20 à 2 cm et 10 cm de profond
27 Effet de la taille de champs sur la variabilité de la dose périphérique
28 Influence de la direction de mesure sur la dose périphérique (I) Jusqu à 20% d écart sur la dose selon la direction de mesure
29 Influence de la profondeur sur la variabilité de la dose périphérique
30 Synthèse des résultats (I) La variabilité de la dose périphérique augmente Avec la diminution de la taille de champs La distance du bord du champs La diminution de la profondeur de mesure Le rapport entre dose max et dose min mesurées varie entre 1.15 et 2.1 (écarts de 15% >100%) selon la taille de champs et la profondeur de mesure
31 Synthèse des résultats (II) Monte Carlo est dans la variabilité des machines mesurées dans les 20 cm du bord du champs Monte Carlo a tendance à sous-doser Pour des petits champs À des distances >20 cm du bord du champs Modèle incomplet, i.e. manque de matériel diffusant autour des composantes centrales du linac Implications: Modèle Monte Carlo OK pour ttt conventionnels (grands champs) Grandes erreurs pour ttt IMRT «step-and-shoot» (somme de petits segments de faisceaux)
32 Calcul de dose dans un fantôme humain réaliste CT dédié corps entier d une patiente souffrant d un carcinome du sein. Taille et poids dans la moyenne. Contourage des organes suivants: Cerveau, parotide G/D, sous-max G/D, pharynx, larynx, thyroïde, œsophage, sein G, poumon G/D, cœur, sternum, cotes, moelle, estomac, foie, pancréas, rein G/D, rate, colon des/tran/asc, sigmoïde, rectum, vessie, utérus, canal anal
33 Création d un fantôme voxélisé CTcreate Taille voxels: 5x5x5 mm 3
34 Simulations Traitement 4-champs Tan ext (25 Gy) Tan int (25 Gy) Sternal (50 Gy à 3cm) AP (50 Gy à 3cm prof) Nombre d histoires Entre et Exemple: champs AP ( histoires)
35 Distribution de dose pour champs AP
36 Distribution de dose pour champs AP
37 Distribution de dose en dehors du champs AP
38 Doses aux organes? Obtention des doses aux organes: Export des contours DICOM du TPS Programme C++: Extraction des contours par organes du fichier DICOM Algorithme qui détermine si un point (x,y) est dans contour ou non Coordonnées des centres des voxels extraits des fichiers Monte Carlo
39 Extraction des doses des volumes contourés Algorithme OK Doses extraites: problème. Décalage des systèmes de coordonnées?
40 Merci pour votre attention
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailSimulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE
Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE
CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des
Plus en détailCorrection TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu
Correction TP 7 : L organisation de la plante et ses relations avec le milieu (TP multiposte : groupes de 4 élèves qui se répartissent sur les 4 postes une fois chaque poste travaillé, un bilan sera établi
Plus en détailLigne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D
Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:
Plus en détailAssurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires et implications pratiques
Cours nationaux de radiothérapie Cours de DES d Oncologie-Radiothérapie Société Française des jeunes Radiothérapeutes Oncologues Lille, 5 au 7 mars 2015 Assurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires
Plus en détailfacilitez-vous la vie avec Ray Technologie avancée pour le Confort
Dose réduite - Scan ultra-rapide - Tube x-ray pulsé - Plusieurs modes de balayage partielles 3 détecteurs exclusifs - Procédure fiable - Aucun risque de dommage - Longue durée de vie Mise à niveau facile
Plus en détailResolution limit in community detection
Introduction Plan 2006 Introduction Plan Introduction Introduction Plan Introduction Point de départ : un graphe et des sous-graphes. But : quantifier le fait que les sous-graphes choisis sont des modules.
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailRapport du projet CFD 2010
ISAE-ENSICA Rapport du projet CFD 2010 Notice explicative des différents calculs effectués sous Fluent, Xfoil et Javafoil Tanguy Kervern 19/02/2010 Comparaison des performances de différents logiciels
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailConflits d intérêts. Partage des plateaux techniques innovants plateforme d échange 23/03/2011
Conflits d intérêts Partage des plateaux techniques innovants plateforme d échange Guy Kantor et AQUILAB : Stic stéréotaxie Projet commun INCa P2E (2007 à 2010) Focus group Artiview Projets conseil régional
Plus en détailComprendre la radiothérapie
OCTOBRE 2009 Comprendre la radiothérapie collection guides de référence La radiothérapie externe La curiethérapie les effets secondaires La surveillance Mieux vivre la radiothérapie La sécurité et la qualité
Plus en détailVOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules
VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailChapitre 3. Les distributions à deux variables
Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailMesures de PAR. Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse
Densité de flux de photons utiles pour la photosynthèse Le rayonnement lumineux joue un rôle critique dans le processus biologique et chimique de la vie sur terre. Il intervient notamment dans sur les
Plus en détailSolution logicielle pour le pilotage et l ERM. Journées d études IARD 26 mars 2010 2 mars 2010
Présentation d ERMS Solution logicielle pour le pilotage et l ERM Journées d études IARD 26 mars 2010 2 mars 2010 Sommaire 1 Présentation d ACTUARIS 2 Les problématiques rencontrées 3 Présentation d ERMS
Plus en détailFig. 1 Le détecteur de LHCb. En bas à gauche : schématiquement ; En bas à droite: «Event Display» développé au LAL.
LHCb est l'une des expériences installées sur le LHC. Elle recherche la physique au-delà du Modèle standard en étudiant les mésons Beaux et Charmés. L accent est mis entre autres sur l étude de la violation
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailLe suivi de la qualité. Méthode MSP : généralités
Le suivi de la qualité La politique qualité d une entreprise impose que celle maîtrise sa fabrication. Pour cela, elle doit être capable d évaluer la «qualité» de son processus de production et ceci parfois
Plus en détailCORRECTION URGENTE SUR LES DISPOSITIFS MÉDICAUX NOTIFICATION DE SÉCURITÉ AUX UTILISATEURS
Objet : Produit concerné : Référence / identifiant FSCA : Date de la notification : Type d'action : Erreur de calcul des champs IMRT comportant plusieurs groupes de chariots avec le AAA Algorithme analytique
Plus en détailApplication DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT
ATELIER PROJETS REGIONAUX DEMONSTRATION Application DCC Réseau ONCOLIE --- Application DMI Réseau Gérontologique de Baumes Les Dames ---- Application RAPID Réseau RAPIDFR-NAT 1 I. CONTEXTE L Agence Régionale
Plus en détailCapacité d un canal Second Théorème de Shannon. Théorie de l information 1/34
Capacité d un canal Second Théorème de Shannon Théorie de l information 1/34 Plan du cours 1. Canaux discrets sans mémoire, exemples ; 2. Capacité ; 3. Canaux symétriques ; 4. Codage de canal ; 5. Second
Plus en détailLa dosimétrie physique, mesurer pour optimiser
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La dosimétrie physique, mesurer pour optimiser Pr Didier PAUL Faculté de Médecine, Service de Médecine
Plus en détailLES ESCALIERS. Du niveau du rez-de-chaussée à celui de l'étage ou à celui du sous-sol.
LES ESCALIERS I. DÉF I NIT I O N Un escalier est un ouvrage constitué d'une suite de marches et de paliers permettant de passer à pied d'un niveau à un autre. Ses caractéristiques dimensionnelles sont
Plus en détailSession plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438
CANCERS DIGESTIFS Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: 38/435 Poster présentations: 87/1438 The TME Trial after a Median Follow-up of 11 Years C. A. Marijnen et Al, Leiden,
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailSytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif
Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Un système simple et évolutif Scanner Ceph - Temps d'exposition : minimum 4 sec - Mode HD Fonction de prévisualisation Décidez ainsi immédiatement
Plus en détailMédecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride
Médecine Nucléaire : PET-scan et imagerie hybride Benjamin GEISSLER Centre d d Imagerie Nucléaire St-Etienne, Roanne, Le Puy en Velay 1967 2007 Principes Spécialit cialité médicale (1950) Radiologie Radiothérapie
Plus en détailComment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER
Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +
Plus en détailManuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques
Titre : TTLV100 - Choc thermique dans un tuyau avec condit[...] Date : 02/03/2010 Page : 1/10 Manuel de Validation Fascicule V4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Document : V4.25.100
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailAnalyse stochastique de la CRM à ordre partiel dans le cadre des essais cliniques de phase I
Analyse stochastique de la CRM à ordre partiel dans le cadre des essais cliniques de phase I Roxane Duroux 1 Cadre de l étude Cette étude s inscrit dans le cadre de recherche de doses pour des essais cliniques
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailProcessus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF
ASSISTANT DEPUTY MINISTER (FINANCE AND CORPORATE SERVICES) SOUS-MINISTRE ADJOINT (FINANCES ET SERVICES DU MINISTÈRE) Processus de validation des coûts à l appui de l attestation par l DPF Allan Weldon!
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailHADRONTHERAPIE PAR IONS CARBONE
HADRONTHERAPIE PAR IONS CARBONE Annexes au rapport préliminaire Février 2010 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La Plaine CEDEX Tél. : 01 55 93 70
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailSWISSTRANSPLANT. Fondation nationale suisse pour le don et la transplantation d organes. Fondée en 1985. Informations : Tel.
SWISSTRANSPLANT Fondation nationale suisse pour le don et la transplantation d organes Fondée en 1985 Informations : Tel. 0800 570 234 2 2 Historique de la transplantation rénale Evénements marquants Dates
Plus en détailEMPLOI DU TEMPS du 4 ème SEMESTRE
EMPLOI DU TEMPS du 4 ème SEMESTRE 2 ème Année Licence Filière : Automatique 8h30-10h00 10h05-11h35 12h30 14h00 14h05 15h35 Cours TS Cours SALC TD SALC TP SALC Cours SALC Cours LCS Adda Benkoceir TD LCS
Plus en détailEléments de méthodologie générale de montage des projets structurants
Atelier DGCIS du 26 décembre 2010 Eléments de méthodologie générale de montage des projets structurants Contacts CMI : Philippe BASSOT Roberto BOLELLI Ce document constitue le support d une présentation
Plus en détailDe la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I)
De la physico-chimie à la radiobiologie: nouveaux acquis (I) Collaboration: - Laboratoire de Radiotoxicologie et Oncologie (L. Sabatier) CEA, DSV - Laboratoire de Génotoxicité et Modulation de l Expression
Plus en détailL ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS
L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l
Plus en détailBIOPSIE de MOELLE OSSEUSE
BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailIntroduction : Essais de phase I
Schéma de recherche de dose dans les essais de phase I : comparaison par simulations dans un cadre temporel A Doussau 1,2, MC Le Deley 3, B Asselain 1, G Vassal 3, X Paoletti 1 1 - Institut Curie, 2 -
Plus en détailPropagation sur réseau statique et dynamique
Université de la Méditerranée UFR Sciences de Luminy Rapport de stage informatique pour le Master 2 de Physique, Parcours Physique Théorique et Mathématique, Physique des Particules et Astroparticules.
Plus en détailRADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE
RADIOTHÉRAPIE EXTRACRÂNIENNE EN CONDITIONS STÉRÉOTAXIQUES Classement CCAM : 17 code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITE AIDEA 2008. Sommaire
Sommaire 1. Introduction 2. Attentes exprimées 3. Les questions fréquentes 4. Les statistiques 5. Les enquêtes 6. Retours et témoignages 7. Evaluations et indicateurs Notre MISSION : Informer, Conseiller
Plus en détailMaster IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-2010 Fiche de TP
Master IMA - UMPC Paris 6 RDMM - Année 2009-200 Fiche de TP Préliminaires. Récupérez l archive du logiciel de TP à partir du lien suivant : http://www.ensta.fr/~manzaner/cours/ima/tp2009.tar 2. Développez
Plus en détailProjet L1, S2, 2015: Simulation de fourmis, Soutenance la semaine du 4 mai.
Projet L1, S2, 2015: Simulation de fourmis, Soutenance la semaine du 4 mai. 1 Introduction On considère une grille de 20 lignes 20 colonnes. Une case de la grille peut être vide, ou contenir une et une
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailLes atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification
Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Irène Buvat U494 INSERM CHU Pitié-Salpêtrière, Paris buvat@imed.jussieu.fr http://www.guillemet.org/irene
Plus en détailLe parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique
Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques
Plus en détailChapitre 5. Le ressort. F ext. F ressort
Chapitre 5 Le ressort Le ressort est un élément fondamental de plusieurs mécanismes. Il existe plusieurs types de ressorts (à boudin, à lame, spiral etc.) Que l on comprime ou étire un ressort, tel que
Plus en détailLe second nuage : questions autour de la lumière
Le second nuage : questions autour de la lumière Quelle vitesse? infinie ou pas? cf débats autour de la réfraction (Newton : la lumière va + vite dans l eau) mesures astronomiques (Rœmer, Bradley) : grande
Plus en détailNotes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières
Plus en détailPlus courts chemins, programmation dynamique
1 Plus courts chemins, programmation dynamique 1. Plus courts chemins à partir d un sommet 2. Plus courts chemins entre tous les sommets 3. Semi-anneau 4. Programmation dynamique 5. Applications à la bio-informatique
Plus en détailI La théorie de l arbitrage fiscal de la dette (8 points)
E : «Théories de la finance d entreprise» Master M1 Université Paris-Dauphine Thierry Granger Année Universitaire 2013/2014 Session 1 Aucun document, calculette autorisée Durée 1h30 Respecter la numérotation
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailDÉFINITION ET INSCRIPTION DE LA PRATIQUE AVANCÉE DANS LE PAYSAGE SUISSE DES SOINS INFIRMIERS
DÉFINITION ET INSCRIPTION DE LA PRATIQUE AVANCÉE DANS LE PAYSAGE SUISSE DES SOINS INFIRMIERS Marie-José Roulin Directrice adjointe des soins Hôpitaux Universitaire de Genève Cette présentation expose les
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailCICE - Présentation Accès à DS mode CICE
CICE - Présentation Accès à DS mode CICE Menu Etats / CICE (disponible uniquement avec Sage Déclarations Sociales Avancée) 2 options sont proposées : «Accès direct», c est-à-dire sans transfert de données
Plus en détailSystème de contrôle TS 970
Système de contrôle TS 970 Le système de contrôle TS 970 est fourni de manière standard. Ce système de contrôle est préparé à accueillir différents éléments de commande. Spécifications techniques du système
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailCompte-rendu Réunion générale. Grenoble, le 29 juin 2011 URBASIS
URBASIS Sismologie urbaine : évaluation de la vulnérabilité et des dommages sismiques par méthodes innovantes ANR09RISK009 URBASIS Compterendu Réunion générale Grenoble, le 29 juin 2011 Participants: J.
Plus en détailCaractéristiques des ondes
Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailSérie limitée Classe C 250 CDI BlueEFFICIENCY Prime Edition
Série limitée Classe C 250 CDI BlueEFFICIENCY Prime Edition Mercedes-Benz France amorce en octobre 2008 le début de la commercialisation de la Classe C 250 CDI, sous la forme d une série limitée baptisée
Plus en détailModélisation et étude d un système de trading directionnel diversifié sur 28 marchés à terme
Modélisation et étude d un système de trading directionnel diversifié sur 28 marchés à terme Trading system : Trend following Breakout Janvier 1996 - Janvier 2009 Etude de la performance du système Le
Plus en détailRISQUE DE CANCERS ASSOCIE AUX SCANNERS PEDIATRIQUES : COHORTE ENFANT SCANNER
RISQUE DE CANCERS ASSOCIE AUX SCANNERS PEDIATRIQUES : COHORTE ENFANT SCANNER Journy N 1, Mezzarobba M 1, Rehel JL 2, Ducou Le Pointe H 3, Aubert B 2, Laurier D 1, Bernier MO 1 Institut de Radioprotection
Plus en détailChap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE
Chap 8 - TEMPS & RELATIVITE RESTREINTE Exercice 0 page 9 On considère deux évènements E et E Référentiel propre, R : la Terre. Dans ce référentiel, les deux évènements ont lieu au même endroit. La durée
Plus en détailDistribution Uniforme Probabilité de Laplace Dénombrements Les Paris. Chapitre 2 Le calcul des probabilités
Chapitre 2 Le calcul des probabilités Equiprobabilité et Distribution Uniforme Deux événements A et B sont dits équiprobables si P(A) = P(B) Si il y a équiprobabilité sur Ω, cad si tous les événements
Plus en détailTP : Gestion d une image au format PGM
TP : Gestion d une image au format PGM Objectif : L objectif du sujet est de créer une classe de manipulation d images au format PGM (Portable GreyMap), et de programmer des opérations relativement simples
Plus en détailBienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1
Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1 La réglementation Chauffage PEB en Région de Bruxelles Capitale: aujourd hui et demain Helpdesk Chauffage PEB /EPB Verwarming 03/10/2013 2 Agenda Introduction
Plus en détailSpeechiTablet Notice d utilisation
SpeechiTablet Notice d utilisation Copyright(C) 2003-2009 Speechi Web: www.speechi.net Tel: 03-20-34-74-25 Fax: 03-20-34-74-26 E-mail: info@speechi.net Version 1.0.0 1. Introduction... 3 1.1. Contenu de
Plus en détailCorrigé des TD 1 à 5
Corrigé des TD 1 à 5 1 Premier Contact 1.1 Somme des n premiers entiers 1 (* Somme des n premiers entiers *) 2 program somme_entiers; n, i, somme: integer; 8 (* saisie du nombre n *) write( Saisissez un
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailProjet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007
Projet SENTINELLE Appel àprojets «CO 2»Déc. 2007 Philippe de DONATO Université de Lorraine/CNRS Co-auteurs: C. PRINET, B. GARCIA, H. LUCAS, Z. POKRYSZKA, S. LAFORTUNE, P. FLAMANT, F. GIBERT, D. EDOUART,
Plus en détailACTUARIAT 1, ACT 2121, AUTOMNE 2013 #4-5
ACTUARIAT 1, ACT 2121, AUTOMNE 2013 #4-5 ARTHUR CHARPENTIER 1 Un certain test médical révèle correctement, avec probabilité 0.85, qu une personne a le sida lorsqu elle l a vraiment et révèle incorrectement,
Plus en détailATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :
Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE
Plus en détailVeraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D)
Veraviewepocs 3De Le Panoramique dentaire qui répond à tous vos besoins en imagerie tridimensionnelle (3D) Thinking ahead. Focused on life. Veraviewepocs 3De Le générateur à Rayons X pour tous vos besoins
Plus en détailBases de programmation. Cours 5. Structurer les données
Bases de programmation. Cours 5. Structurer les données Pierre Boudes 1 er décembre 2014 This work is licensed under the Creative Commons Attribution-NonCommercial-ShareAlike 3.0 License. Types char et
Plus en détailGrilles acoustiques. Type NL 6/6/F/2
Grilles acoustiques Type NL //F/ Sommaire Description Description Exécutions Dimensions et poids Constructions modulaires Options Installation 5 Données techniques, type NL Données techniques type, NL
Plus en détailPhysique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale
Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale Mention : Physique et technologies des rayonnements pour l'industrie et la physique médicale Nature de la formation :
Plus en détailDON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE. Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes
DON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes Les besoins sont importants Insuffisance Organique Terminale en Tunisie Rein :
Plus en détailEmissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
Emissions des moteurs diesel : Nouveau classement par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) SNCF DRH EPIC Prévention et Santé COMPOSITION DES EMISSIONS DIESEL MELANGE COMPLEXE DE SUBSTANCES
Plus en détailParé pour e-mobility. Des solutions intelligentes pour toutes les infrastructures
Paré pour e-mobility Des solutions intelligentes pour toutes les infrastructures Bornes de recharge (HCD) 2 Accessoires pour bornes de recharge 12 Bornes de recharge murale 3 Mode d emploi de l app Smartphone
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailM06/5/COMSC/SP1/FRE/TZ0/XX INFORMATIQUE NIVEAU MOYEN ÉPREUVE 1. Mardi 2 mai 2006 (après-midi) 1 heure 30 minutes INSTRUCTIONS DESTINÉES AUX CANDIDATS
IB INFORMATIQUE NIVEAU MOYEN ÉPREUVE 1 DIPLOMA PROGRAMME PROGRAMME DU DIPLÔME DU BI PROGRAMA DEL DIPLOMA DEL BI M06/5/COMSC/SP1/FRE/TZ0/XX 22067017 Mardi 2 mai 2006 (après-midi) 1 heure 30 minutes INSTRUCTIONS
Plus en détail