Une activité salariée en marge du premier cycle universitaire? Temps de travail, type d activité et impact sur les parcours d études

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1 N 13 Mai 2013 Une activité salariée en marge du premier cycle universitaire? Temps de travail, type d activité et impact sur les parcours d études Université François-Rabelais de Tours Directeur de l édition : Loïc Vaillant Impression : Imprimerie de l Université ISSN Tirage en 300 exemplaires Résumé : Dans le cadre du suivi pendant cinq ans des entrants en première année en septembre 2008, des enquêtes successives de l OVE de Tours - auprès des inscrits comme auprès des sortants - ont permis de cumuler un certain nombre de données sur l activité rémunérée exercée par les étudiants. Le très grand intérêt de cette démarche réside dans la possibilité d agréger les données des enquêtes par questionnaires aux données pédagogiques et administratives de l établissement : l activité salariée est-elle alors un facteur influant sur la réussite aux examens, la non-réinscription, la réorientation? Cette publication nous permet de faire le point sur cette dimension encore assez méconnue, du moins dans les études des établissements universitaires. Les principaux résultats que nous vous présentons montrent tout d abord qu en première année, les étudiants ont une représentation assez erronée de la probabilité qu ils ont d exercer une activité rémunérée. Toujours en première année, la plus grande part de l activité rémunérée étudiante se situe dans le secteur scolaire, périscolaire ou lié à l enfance (baby-sitting, animation, soutien scolaire, surveillant ). On note une influence du genre, de la discipline d études, du type de diplôme visé, et de l obtention d une mention au bac, qui ne se dément pas au fil des années de premier cycle. Enfin, la question de l effet sur les parcours d études se joue, semble-t-il, en particulier autour de la question de la quotité de travail : de façon très significative, les étudiants exerçant une activité moins de huit heures par semaine sont en particulier plus souvent «diplômés en trois ans» que ceux qui ne travaillent pas en marge de leurs études. Ce résultat, analysé dans un premier temps par le croisement entre temps de travail et notre «typologie provisoire des parcours en licence», est confirmé par des analyses multivariées complémentaires qui montrent effectivement un léger impact de l activité rémunérée sur certains types de parcours d études. L activité rémunérée en première année Entre prévision en début d année et réalité de l activité au fil des mois. Entre juillet et octobre 2008, dans le cadre d'une enquête diffusée à tous les étudiants au moment de leur inscription en première année (toutes filières confondues), environ 16% des étudiants envisageaient concrètement de travailler pendant la semaine universitaire la question portait uniquement sur le temps de la semaine d'études, en-dehors des congés scolaires. 30% déclaraient ne pas encore savoir s ils travailleraient ou non en marge de leurs études, mais un quart d entre eux envisageait quand même quelques heures d activité hebdomadaires. Et 53% n envisageaient aucune activité salariée. Or, quelques mois plus tard, une seconde enquête permet de vérifier qu en moyenne 25% des étudiants ont effectivement travaillé en première année en : 21,5% moins de 8 heures par semaine, 3% au-delà de 8h/semaine (étudiants observés ici strictement en formation initiale). Dans le détail, ce décalage de quelques points entre la prévision d activité en septembre 2008 et la réalité de l activité réalisée en mai 2009 reflète des écarts assez diversifiés. D une part, contrairement à ce qu on aurait pu attendre, ce décalage ne concerne pas que les étudiants travaillant seulement quelques heures, mais bien l ensemble des étudiants, et 1 Sur ces 25% d étudiants ayant exercé une activité rémunérée en à l université de Tours, quelques données ont déjà été publiées. Cf. "l'activité rémunérée en première année", in : Info Flash OVE Tours n 1, Février 2010, en ligne sur Focus méthodologique : la comparaison «prévisions / activité salariée réalisée» Les données sur l activité salariée utilisées dans cette étude proviennent de quatre enquêtes différentes : l une à l entrée de l établissement (prévision d activité), les autres aux printemps 2009, 2010 et 2011 (activité salariée réalisée). Après analyse des parcours au fil de la licence (entre 2008 et 2011), il apparaît que l enquête menée au printemps 2009 «Vos conditions de vie en 1ère année» - a reçu un assez faible taux de réponse de la part des non réinscrits l année suivante (14% de taux de réponse des non réinscrits contre 30% pour les réinscrits). Les «non réinscrits» en septembre 2009 sont sans doute déjà désinvestis de leur projet à l université de Tours au printemps 2009, peut-être même ont-ils déjà abandonné la formation Des vérifications statistiques ont été effectuées pour vérifier l impact de ce faible taux de réponse sur les données recueillies sur la première année : 1. Dans l enquête initiale «projet à l entrée de l université», les étudiants qui seront l année suivante «non réinscrits après 1 an» semblent prévoir en moyenne une activité salariée plus importante que les autres étudiants pour l année universitaire qui démarre : 19,5% d étudiants prévoyaient une activité salariée et 49% n en prévoyaient pas pour cette première année universitaire, contre respectivement 16% et 53% quand on exclut les réponses des sortants. 2. Conserver ou exclure les réponses des sortants après un an ne montre aucune incidence sur l activité salariée effectivement réalisée en première année en marge des études (puisqu ils ont peu répondu à l enquête de mai 2009) : ce sont 25% des étudiants en moyenne qui déclarent cette activité salariée au cours de leur 1ère année, activité qui peut être de seulement quelques heures. 3. Afin de mieux saisir le rapport entre prévision et réalisation, ce sont les réponses «hors sortants après 1 an» qui sont conservées et commentées dans la première partie de cette étude. 1 Observatoire de la Vie Etudiante, Université François-Rabelais

2 ce quelle que soit la quotité de travail qu ils aient envisagé au préalable. Ainsi, alors que plus de la moitié des étudiants interrogés (54%) déclarait ne pas avoir l'intention de travailler, c est environ 1/5ème d'entre eux qui a finalement travaillé quelques heures par semaine ; quelques étudiants ont même travaillé au-delà de 15 heures hebdomadaires. Sur l'ensemble des étudiants qui déclaraient «ne pas savoir» s'ils auraient une activité salariée (31%), un tiers a eu une activité de moins de 8 heures par semaine. Parmi ceux qui déclaraient qu'ils travailleraient quelques heures (9%), la moitié ne l'a pas fait du tout. Et parmi ceux qui pensaient travailler au-delà d'un mi-temps (moins de 3% de l ensemble des étudiants), on observe qu'un tiers a travaillé dans les faits moins de 8 heures par semaine, et que 40% n'ont finalement pas travaillé du tout. Ces écarts sont donc un premier indicateur intéressant du décalage entre ce qu imaginent les entrants en 1ère année de leur future vie étudiante et les événements ou décisions qui la ponctuent effectivement au fil de l année. licence, trois composantes sont surreprésentées dans la prévision par les étudiants à la fois d une future activité salariée mais aussi dans le fait qu ils ne savent pas se prononcer au moment de l inscription. Une seule de ces composantes est finalement surreprésentée dans la phase de réalisation de l activité salariée, l UFR Arts et Sciences Humaines, avec presque 40% de salariés en 1ère année. La majorité des filières de la composante confirme cette tendance dans les deux enquêtes, et de façon particulièrement importante en Psychologie (45%) et en Sociologie (41%). Les deux autres composantes où les étudiants étaient très significativement plus nombreux que la moyenne à prévoir une activité salariée sont l UFR Lettres Langues et l UFR Droit Economie et Sciences Sociales. En Lettres-Langues, la déclaration d intention de la première enquête est confirmée par les résultats de la seconde enquête - mais sans surreprésentation des modalités - avec une proportion moyenne de 30% d étudiants effectivement salariés. En Droit, Economie et Sciences Sociales, si les étudiants des quatre disciplines de licence envisageaient effectivement d exercer une activité salariée, il semble que les D autre part, le décalage entre prévisions et réalités semble dépendre également des filières pédagogiques. Tout d abord le type de diplôme choisi Licence, DUT ou diplôme de santé - montre un réel impact sur l activité salariée, influant dans le même sens sur les prévisions et sur l activité réelle en licence. Ainsi, les étudiants en parcours licence sont à la fois plus nombreux que les inscrits en santé ou en DUT à prévoir une activité salariée (26% en licence contre 4,2% en santé et 12% en DUT), et à la fois plus nombreux à l avoir effectivement menée, presque 30% (cf. graphique 1). En revanche, si les étudiants de santé sont très peu nombreux à travailler effectivement en marge de leurs études (10%), ce sont 27% d étudiants en DUT qui exercent finalement une activité au cours de leur 1ère année (contre 12% seulement à le prévoir, cf. graphique 2). En lien avec le constat pour les étudiants de 2 Observatoire de la Vie Etudiante, Université François-Rabelais

3 étudiants de Géographie et de Sciences économiques se soient finalement ravisés, puisqu ils ne sont plus respectivement que 18% et 15% à l exercer en première année, selon une quotité pour tous strictement inférieure à huit heures par semaine. Les relations entre caractéristiques individuelles et activité salariée en 1 ère année (genre, âge, qualité du bac). L analyse du lien entre caractéristiques individuelles et activité salariée montre des résultats assez marqués. Sur le plan du genre, on observe qu être un garçon ou une fille n a aucune influence sur l anticipation d un travail : garçons et filles se situent exactement dans la moyenne, soit 16% de déclarants d une future activité salariée dans l année, et 53% déclarant qu ils n en auront pas. Mais en revanche le genre exerce un véritable effet sur la mise en place de l activité salariée en tant que telle : très significativement, ce sont les filles qui l exercent en plus grand nombre au fil de l année. Observées indépendamment des inscrites en santé, c est presque un tiers des filles qui travaillent au moins quelques heures par semaine en marge de leurs études de 1 ère année. Elles sont particulièrement surreprésentées en Psychologie et en DUT Techn. de Commercialisation Agroalimentaires. Les garçons sont, pour l ensemble de l établissement, moins d un quart à exercer un travail rémunéré, les plus nombreux à l exercer se retrouvant plutôt en AES ou en Histoire Archéologie. Il est ici intéressant de constater que les étudiantes, majoritaires dans l exercice annuel de l activité rémunérée, n ont pas du tout conscience au moment de leur entrée à l université de la probabilité qu elles ont d exercer cette activité, même de quelques heures par semaine. Les variables dites «sociales» jouent également un rôle dans la caractérisation du travail salarié, mais plutôt sur la représentation qu en ont les étudiants. En début d année, ils sont en effet très significativement plus nombreux à penser qu ils vont exercer une activité salariée même réduite quand d une part ils sont boursiers, quand d autre part le chef de famille exerce la profession d ouvrier ou est «sans activité». Et les étudiants sont au contraire particulièrement plus nombreux que la moyenne à déclarer qu ils n auront pas d activité salariée au cours de l année quand le chef de famille détient le statut de profession libérale ou de cadre supérieur. Or, après quelques mois de vie étudiante, il s avère que les étudiants boursiers sont à peine plus nombreux que les autres à exercer effectivement une activité salariée alors qu ils étaient beaucoup plus nombreux que les autres à en faire la déclaration préalable. Sur le plan de la catégorie socio-professionnelle des parents, la seule catégorie d origine socioprofessionnelle pour laquelle finalement les étudiants sont effectivement plus nombreux à travailler (mais pour moins de 8 heures par semaine) est la catégorie des employés. On observe donc encore ici un assez puissant décalage entre les représentations sociales des étudiants préalables à l entrée de l établissement et les réalités de la vie étudiante. Et même si les données montrent qu effectivement les enfants de cadres supérieurs sont légèrement moins nombreux à travailler en marge de leurs études que les enfants d ouvriers (respectivement 21% et 26%), le travail salarié de quelques heures par semaine n est finalement pas seulement l apanage des catégories socioprofessionnelles dites «plus fragiles». Cette dimension de décalage entre les représentations sociales qu ont les futurs étudiants d eux-mêmes à la rentrée et la réalité de leur vie étudiante quelques mois après se retrouve dans l analyse du lien entre série / type de bac et le travail salarié. De premières caractéristiques apparaissent tout d abord dans la comparaison entre les titulaires de bacs généraux. L effet des bacs généraux est observé indépendamment des inscrits en santé qui, comme on l a vu, sont dans les faits très peu concernés par l activité salariée. Ceci exclut donc un certain nombre de bacs S. Pourtant, il subsiste une différence nette entre les étudiants titulaires de bac S restants et les titulaires de bac ES et L. Les premiers sont très sous représentés parmi les étudiants prévoyant l activité en début d année. Pourtant, au printemps 2009 ils se rapprochent très nettement de la proportion de ceux qui exercent cette activité moins de huit heures par semaine, et ce n est finalement que parmi ceux qui travaillent au-delà de 8h par semaine que les titulaires d un bac S sont significativement moins nombreux que la moyenne. Inversement, donc, les titulaires de bac ES et L, nettement plus nombreux que les bacs S à prévoir au début de l année une activité salariée supplémentaire, sont en fait à peine plus nombreux que la moyenne à l exercer. Ces trois types de bacheliers ont donc au moment de l inscription une représentation relativement erronée de la probabilité qu ils ont de travailler en marge de leurs études en première année. Ce décalage est également perceptible chez les titulaires d autres titres d accès à l université. Ainsi, les étudiants titulaires d un bac «techno» sont très significativement plus nombreux que les autres à prévoir une activité salariée future, et on les retrouve également proches des titulaires de «bacs pro» et d équivalences / bacs étrangers dans le fait qu ils ne savent pas encore se prononcer sur cette hypothèse au moment de leur inscription. Or, au printemps 2009, ni les uns ni les autres ne se retrouvent très éloignés de la moyenne de l activité salariée réalisée, ayant donc moins souvent que prévu mis en place cette activité salariée. La question de l âge des étudiants à l entrée de l établissement montre également de son côté un effet significatif sur la prévision de l activité rémunérée. En effet, ce sont en moyenne des étudiants plus âgés que les autres qui, en septembre 2008, prévoient cette activité salariée en début d année. Fortement corrélée à l âge au bac dans de nombreuses études sur la 3 Observatoire de la Vie Etudiante, Université François-Rabelais

4 population étudiante, la variable «obtention ou non d une mention au bac» montre également son impact sur la réalisation de l activité rémunérée : les étudiants l ayant exercé sont effectivement surreprésentés parmi ceux qui n ont pas obtenu de mention au bac. Sur le plan de la nationalité, notons que le fait d être français ou étranger n a aucune incidence sur la réalisation de l activité : les étudiants étrangers sont seulement plus nombreux à ne pas se prononcer à l entrée de l établissement sur une possible activité salariée au cours de l année. La nature de l activité rémunérée au fil des années d études Nature et temps d exercice en première année. D emblée, deux proportions caractérisent précisément la population des étudiants salariés en première année : 87% d entre eux travaillent moins de huit heures par semaine, et 40% déclarent une seule et unique activité rémunérée. Les autres cumulent au minimum deux, et jusqu à trois activités pour 17% d entre eux. L'activité exercée le plus souvent par les étudiants en première année est le baby-sitting, pour quelques heures par semaine. Deuxième modalité la plus souvent choisie, «autres activités» indique tout les activités rémunérées n avaient pas toutes été répertoriées dans l enquête, Alors que cette déclaration concerne presque 40% des individus, s impose in fine ici la réalité des nouveaux «petits jobs» qui se démultiplient de la même manière que se démultiplient les «services à la personne». Exemples d activités salariées «nouvelles» et non encore répertoriées par nos questionnaires, on peut être «vélotaxi», «tuteur référent en résidence universitaire», même s il est possible que nous en ayons oublié, comme celle du travail en usine. La troisième modalité la plus souvent citée concerne les activités «serveur, vendeur, téléopérateur, caissier». Choisie par environ un tiers des étudiants salariés, cette modalité nous permet d appréhender la dimension «quotité de travail supérieure à huit heures hebdomadaires». L analyse montre en effet que les étudiants qui exercent les fonctions de "serveur, vendeur, téléopérateur, caissier" sont très significativement surreprésentés parmi ceux qui travaillent au-delà de huit heures par semaine : alors qu en moyenne, 13% des étudiants salariés travaillent au-delà de ces huit heures, les "serveur, vendeur, téléopérateur, caissier" sont 28% à le faire. Or, dans le même temps presque deux tiers d entre eux déclarent au minimum une seconde activité. Concernant une autre modalité de travail, cette quotité «au-delà de huit heures par semaine» est également surreprésentée chez les étudiants exerçant une activité «antérieure à juillet 2008». Toujours contre 13% en moyenne, ce sont ici 42% des déclarants qui exercent leurs activités pour plus de huit heures par semaine, dont plus de la moitié (25%) vont au-delà même de quinze heures hebdomadaires. Or, comme dans le cas précédent, pratiquement tous déclarent cette activité antérieure à 2008 dans le cadre d une seconde activité. Il semble donc que ce soit bien le cumul des activités qui crée cette quotité de travail supérieure à huit heures hebdomadaire, dont on verra plus loin comment elle impacte les parcours d études. Rappelons ici que les étudiants que nous observons sont tous inscrits en formation initiale, et ne sont donc théoriquement pas appelés à alterner études et activité professionnelle comme cela pourrait être le cas pour des stagiaires de formation continue ou des étudiants en apprentissage. Indiquons également que les modalités «serveur, vendeur» et «activité antérieure à 2008» sont souvent également associées dans les déclarations des étudiants à la modalité «autres activités». Le graphique 3 montre que les activités des champs scolaire (soutien) et périscolaire (animation) concernent 28% des étudiants qui s y répartissent par moitié. Champ proche par l activité mais non par la proportion, seulement 3% des étudiants salariés se déclarent «surveillants». Les dernières activités se répartissent entre des contrats agricoles - dans une région dont certains territoires sont effectivement assez ruraux - et des contrats administratifs ou du secteur hospitalier. Pour l ensemble de ces dernières activités, en-dehors de celles du secteur hospitalier, les étudiants déclarent très majoritairement une activité inférieure à huit heures hebdomadaires. L évolution de l activité rémunérée au fil des années d études. Après 25% en moyenne d étudiants salariés en première année en , au cours de leur deuxième année passée à l'université (qu'ils aient ou non validé leur première année), l'activité salariée se renforce : ce sont plus de 33% des étudiants réinscrits qui exercent une activité d au moins quelques heures par semaine en Et l année suivante, la montée en charge de cette activité continue, puisqu au cours de cette troisième année passée à l'université, ce sont maintenant 38% des étudiants qui déclarent avoir occupé un job en parallèle de leurs études 2. Afin de vérifier ces proportions, une analyse rétrospective a alors été menée, en agrégeant l ensemble des réponses recueillies lors des différentes enquêtes 3. L analyse longitudinale de ces nouvelles données montre que parmi l ensemble des étudiants de la cohorte, plus d un tiers d entre eux a exercé une ou plusieurs activités rémunérées au fil des trois années passées à l université. Précisément, 25% ont travaillé une seule année sur les trois, les trois quarts ayant exercé au cours de leur troisième année universitaire ( ). 11,5% ont travaillé deux années (les trois quarts de façon consécutive en et ). Et c est moins de 2% des étudiants encore en études en qui ont exercé des activités rémunérées sans interruption entre 2008 et Enfin, notons que les caractéristiques individuelles qui semblent avoir une influence sur l activité salariée sont presque les mêmes que celles observées en première année : les garçons 2 Les 25% de salariés en première année concernent l ensemble de la cohorte, y compris les parcours Santé et DUT. Quand on ne conserve que les réponses des étudiants en parcours Licence, c est bien 30% des étudiants qui ont travaillé en première année, et jusqu à 42% après leur troisième inscription à l université. 3 Suivi de la cohorte des entrants en 1ère année en 2008 : en dehors de l enquête «Projet à l entrée» (qui avait recueilli 70% de taux de réponse), ce sont 47% des étudiants qui ont répondu au moins à l une des trois enquêtes thématiques (annuelles diffusées aux inscrits) ou à l une des quatre enquêtes «sortants». 4 Observatoire de la Vie Etudiante, Université François-Rabelais

5 sont significativement moins nombreux que les jeunes femmes à avoir exercé une activité rémunérée, et l activité est plus souvent exercée par des étudiants plus âgés ou qui n ont pas obtenu de mention de bac. En revanche, on n observe ici aucune influence du type de bac obtenu, ni du fait d avoir été boursier au fil du parcours universitaire. Quelle place les activités salariées prennent-elles au fil des ans dans le développement de «compétences complémentaires»? Dans le cadre du travail salarié exercé en première année, quand on leur pose la question d une production possible de "compétences complémentaires en vue de pistes d'emplois possibles», la majorité des étudiants salariés y répondent par la négative (57% des étudiants ont répondu «non, pas vraiment»). Mais cette opinion varie clairement en fonction du moment où la question est posée puisqu à cette même question sur l activité exercée deux ans plus tard, cette absence de compétences complémentaires n est plus le fait que de 40% des étudiants salariés, tandis que le reste des étudiants salariés se répartissent par moitié entre «oui, je le souhaite», et «oui, peut-être» 4. Approfondissant l analyse, on observe que les opinions divergent également selon la nature et le temps hebdomadaire dévolu à l activité. Par exemple, en première année, le souhait des étudiants d avoir réellement développé des «compétences complémentaires» apparaît très significativement lié à l'activité "serveur, vendeur, caissier, téléopérateur». Ici, des entretiens menés avec certains étudiants salariés nous permettent d affirmer que les étudiants expriment un sentiment véritablement positif, qui prend appui d une part sur la reconnaissance de leur employabilité par une entreprise, d autre part sur une indépendance financière qui contribue au sentiment d une plus forte emprise sur le réel. Pourtant, cette question des compétences distinctes de celles fournies par la formation universitaire peut également être traduite négativement à travers le thème de l enlisement. On croise ici les analyses de Vanessa Pinto 5, dont les travaux sur le salariat étudiant ont montré qu un «effet d'enlisement» était possible quand l activité salariée, sans lien avec les études suivies, prenait peu à peu le pas sur ces études, et en particulier quand cette activité contribuait fortement au développement d une indépendance financière. Or c'est bien ce que nous avons observé précédemment : les «serveurs, vendeurs, téléopérateurs, caissiers» en première année sont très significativement plus nombreux que la moyenne parmi les étudiants salariés au-delà de huit heures par semaine. Cette quotité de travail, associée au sentiment de développement de nouvelles compétences, révèle donc ici l hypothèse d un apport particulier : cet ensemble ne contribuerait pas seulement à un complément financier, mais pourrait prendre davantage de poids, comptant à la fois dans l organisation budgétaire des conditions de vie, mais également sur un choix possible de non poursuite des études au profit d une activité perçue comme plus rapidement rémunératrice. Dans le cas d un arrêt ultérieur des études ainsi mis en place, l opinion positive exprimée par les étudiants lors de notre enquête sur ces «nouvelles compétences» se transformera-t-elle au fil des années en un sentiment de dépit autour du fait de ne pas avoir poursuivi de projet universitaire? Zoom sur le travail salarié en première année des étudiants quittant l établissement l année suivante Les résultats de l'enquête menée auprès des non réinscrits après une première année (taux de réponse d'environ 50%) montrent que la proportion d'étudiants qui étaient salariés l année précédente est la même parmi eux que parmi les étudiants réinscrits à l'université, soit 25%. Mais alors que pour les étudiants salariés réinscrits, moins d'un cinquième exerçaient en première année universitaire une activité au-delà de huit heures hebdomadaires, on trouve inversement parmi les salariés sortants plus de 80% ayant exercé au-delà de huit heures par semaine l année précédente. Ce travail salarié préalable à la sortie de l établissement montre alors un effet important sur l absence de poursuite d études après cette sortie. Ainsi, alors qu en moyenne 37% des sortants après une inscription ne poursuivent pas d études après avoir quitté l université de Tours, c est le cas de plus de la moitié des sortants précédemment salariés. Mais attention aux conclusions hâtives! Une analyse affinée de la poursuite d études ou non à la sortie de l établissement en fonction de la quotité de travail exercée montre que l absence de poursuite d études est principalement le fait d étudiants ayant exercé au-delà de huit heures, voire au-delà de quinze heures par semaine : ils sont en effet respectivement 43% et 62% à ne pas poursuivre d études. Et c est tout au contraire un effet positif sur la poursuite d études - après la sortie - qui est observé lorsqu il y a eu une faible quotité de travail en première année : quand l activité salariée en première année était inférieure à huit heures par semaine, ce sont 69% des étudiants salariés sortants qui prennent une inscription dans un autre établissement (contre 62% en moyenne tous sortants confondus). Ce résultat est tout à fait en cohérence avec l analyse effectuée sur la population des réinscrits l année suivante : il a été observé que l accès en 2 ème année était plus important chez les étudiants ayant travaillé moins de huit heures par semaine que chez ceux n ayant pas travaillé du tout 1. 4 Précisons ici que cette notion de «compétences complémentaires» a bien été décrite aux répondants comme des compétences distinctes de celles produites dans le cadre universitaire, compétences qui auraient donc été développées dans un environnement extérieur à celui des études suivies ; précisons également que les questions ont été posées de manière rétrospective sur les activités exercées en première, deuxième et troisième années, dans l enquête diffusée après trois inscriptions prises l établissement. 5 Pinto V. (2010), «L emploi étudiant et les inégalités sociales dans l enseignement supérieur», Actes de la recherche en sciences sociales, n 183, pp Enfin, notons également qu'une fois déterminée, la position des étudiants vis-à-vis de la question des compétences complémentaires n'évolue que peu au fil des trois années. Ainsi, parmi les 42% qui pensaient ne pas avoir développé de compétences complémentaires en 1ère année, une très importante majorité d entre eux (85%) émettent toujours la même opinion vis-à-vis de vis-à-vis de l activité exercée en 3ème année. 5 Observatoire de la Vie Etudiante, Université François-Rabelais

6 Les effets de l activité salariée sur les parcours en licence Le thème de l enlisement nous permet une transition toute trouvée avec celui plus large des effets de l activité rémunérée sur les parcours d études. Cette analyse est permise par l élaboration d une typologie provisoire des parcours d étude au sein de l établissement, plus abondamment décrite dans une autre publication de l OVE de Tours 6. Produite au fil de quatre inscriptions entre 2008 et 2011, cette typologie permet de distinguer les «diplômés en 3 ans», les «restants objectif mention de licence», les «restants réorientés», les «parcours sélectifs poursuite d études» à l EPU, en DUT ou en santé, les «sortants après une inscription», et les «sortants après deux ou trois inscriptions» (les sortants étant à leur tour caractérisés par une poursuite d études ou non dans un autre établissement). Cette typologie est dite provisoire car au terme actuel de sa construction, s il est possible de mesurer un pourcentage de réussite en 3 ans au sein du parcours Licence, il n est pas possible de statuer définitivement : certains étudiants seront par exemple diplômés de licence en quatre ou cinq ans. Mais cette première approche permet malgré tout d observer déjà des liens significatifs avec l activité rémunérée (cf. graphique n 4 page 7). significativement moins nombreux parmi ceux n ayant travaillé que quelques heures hebdomadaire (15,3%), et au contraire très surreprésentés parmi les étudiants ayant exercé au-delà de huit heures par semaine, presque 50% (cf. «Zoom sur le travail salarié en première année des étudiants», page précédente). Enfin, un lien très significatif est également observé entre l activité salariée et les étudiants dits «sortants (sans diplôme) après trois ans» : composant 5,6% de la cohorte des Parcours licence, ils sont sous-représentés parmi les étudiants n ayant pas travaillé du tout, et sont au contraire très surreprésentés parmi ceux dont on ne connaît pas précisément le temps de travail (22% pour les sortants après 3 ans en poursuite d études, 15% pour ceux sans poursuite d études). L observation de ces divers liens contribue à bâtir l hypothèse d un impact réel du travail salarié sur les modalités des parcours d études. Souhaitant alors vérifier l existence ou non de ces «impacts», des analyses statistiques multivariées complémentaires nous informent finalement que «toutes choses égales par ailleurs», l activité rémunérée contribue très légèrement, parmi un ensemble d autres facteurs, au fait d être «diplômé en trois ans». Elle contribue également, plus fortement, au modèle explicatif de la sortie de l établissement après une inscription 9. Temps d exercice et parcours d études. Une précédente étude de l OVE avait pu approcher une première forme d influence du travail salarié en première année 7, dont l exercice pour moins de huit heures par semaine semblait faciliter l accès en deuxième année (réaffirmé ultérieurement par d autres travaux de recherche 8 ). L hypothèse alors formulée en 2010 était que «l'activité rémunérée n est pas nécessairement un obstacle à la réussite, mais pourrait constituer un indice de la capacité à l autonomie des étudiants ainsi que de leur motivation à développer des ressources économiques ou professionnelles pour se donner des moyens de mieux réussir». Prolongeant aujourd hui cette problématique, l effet positif de l activité rémunérée «moins de huit heures par semaine» - sur l obtention d un diplôme - se confirme dans l analyse croisée avec notre typologie provisoire des parcours d études en Licence. Ainsi, alors que sur l ensemble de la cohorte, 29% des étudiants du Parcours licence sont «diplômés en trois ans», ce sont de façon tout à fait significative 47% des étudiants qui sont diplômés en trois ans quand ils ont exercé en parallèle de leurs études une activité de moins de huit heures par semaine, au moins pendant une année. Les «diplômés en trois ans» sont en revanche très sousreprésentés parmi ceux qui ont exercé une activité audelà de huit heures ainsi que parmi ceux qui n ont pas travaillé du tout : le poids des diplômés parmi ces étudiants n est plus alors que respectivement de 18% et de 25%. Des liens très significatifs apparaissent aussi avec d autres modalités de parcours. Ainsi, les «sortants après une inscription», qui constituent en moyenne 35% des étudiants du Parcours licence, sont très 6 Cf. «Une typologie provisoire des parcours d études en licence», OVE Tours Actu n 14, Juin 2013, Tours , déjà cité 8 Bénédicte Froment, «Les effets du travail salarié en première année universitaire», SociologieS [En ligne], Premiers textes, mai 2012, URL : Nature de l activité et parcours d études. L analyse entre la nature des activités exercées et leurs effets sur les parcours d études est actuellement plus complexe et donc plus difficile à mettre en valeur. D une part, les activités rémunérées des étudiants continuent de se diversifier au fil des années. D autre part, comme on l a vu, ces activités sont cumulatives, la causalité à établir peut donc ne pas être univoque. Par ailleurs, sur un plan méthodologique, le recueil de ces données n a pas été homogène au fil de la cohorte, l agrégation des variables annuelles en une seule variable reconstruite pose donc une réelle difficulté. Enfin, notre typologie provisoire s appuie sur dix modalités de parcours au fil de la licence (auxquelles s ajoute quatre modalités supplémentaires quand on intègre les parcours Santé, DUT, ainsi que les nouveaux entrants en 2009 et 2010). Sur un plan méthodologique, l analyse du rapport «effectifs réels /effectifs théoriques» ne permet donc pas pour l instant d établir de lien statistique clair entre type d activité et parcours d études. Mais des pistes de relations pourraient être creusées : les étudiants «restants objectif licence» pourraient-ils être plus nombreux que 9 Les autres facteurs que nous avons pu impliquer dans l analyse de régression logistique, et qui contribuent effectivement - mais légèrement aussi - à l existence de la modalité «diplômé en trois ans» sont : la composante d entrée à l université, le fait d avoir obtenu ou non une mention au bac, l âge au bac, le fait d avoir été boursier au moins une année pendant les études, le genre, et le fait que l université ait été ou non le premier choix d orientation. Dit autrement, les résultats de l analyse confirment que notre modèle n explique que partiellement la modalité «diplômé en 3 ans» ; un certain nombre d autres facteurs, que nous n avons pas identifiés ici, sont impliqués dans les trajectoires diplômantes (exemples : motivations, conditions d études, expériences de stage, etc.). Notons que pour les modalités de parcours «sortants après une insc.» et «parcours DUT et Santé», les modèles de régression établis avec les variables décrites, «toutes choses égales par ailleurs» sont proportionnellement plus explicatifs. 6 Observatoire de la Vie Etudiante, Université François-Rabelais

7 la moyenne à avoir exercé dans l animation périscolaire? Plus généralement, les activités liées au secteur de l enfance et de la jeunesse influeraient-elles sur la poursuite d études au sein de l établissement? Sur le thème des effets «négatif», il pourrait être utile de vérifier la relation entre le fait de quitter l établissement sans diplôme et celui d avoir été «surveillant», d avoir signé des contrats agricoles (saisonniers) ou des contrats hospitaliers. Pour les sortants après trois inscriptions qui ne poursuivent pas d études, une relation semble également possible avec des contrats d intérim et le secteur de la restauration. Enfin, un peu à part, il semble que les étudiants dont l activité rémunérée est déclarée par eux «antérieure à leur inscription universitaire» pourraient se retrouver peut-être plus facilement dans un parcours de type «restants-réorientés». En conclusion. La première conclusion qui s impose est que le travail rémunéré en marge des études est une réalité sociale que les établissements d enseignement supérieur ne peuvent plus ignorer. A ce titre, rappelons que l Université de Tours, sans doute innovatrice en la matière, permet aujourd hui aux étudiants de valoriser leurs activités salariées, parmi d autres expériences, dans le cadre d un module obligatoire pour tous les étudiants de Licence, le MOBIL (Module d Orientation, de Bilan et d Insertion en Licence). Le second thème à retenir pourrait être de s interroger par rapport à la «quotité supérieure à huit heures par semaine» qui semble se constituer comme une constante dans les difficultés que rencontrent les étudiants salariés dans leurs parcours pédagogiques. A la lueur d entretiens menés avec des étudiants salariés, il semblerait que dans quelques secteurs d activité (grande distribution, restauration, etc.), certains employeurs peu scrupuleux proposent dans un premier temps aux étudiants de contractualiser des relations de travail dans un temps partiel tout d abord léger moins de huit heures par semaine mais pourraient devenir ensuite très insistants afin que les étudiants employés élargissent leurs plages horaires de travail, sous peine de mettre fin à leur contrat. Le rôle de l établissement serait-il alors de mettre en garde les étudiants contre ces types de pratiques? Enfin, les activités rémunérées des étudiants continuant à se développer, la mise en place de nouvelles enquêtes pourrait utilement vérifier l évolution de ces dimensions et, allant plus loin encore, en affiner la connaissance : horaires de travail, ressenti sur la compatibilité avec les études, améliorations souhaitées du régime spécial d'études. Dès à présent, deux groupes de travail se sont penchés, à l'université, d'une part sur les réformes nécessaires pour améliorer les conditions d'études des étudiants bénéficiaires de ce régime spécial d'études, d'autre part sur les rythmes universitaires des étudiants. Une charte des rythmes universitaires a d ores et déjà été adoptée par le CEVU de l Université de Tours le 23 mai dernier, qui servira de cadre de référence pour l'établissement des emplois du temps à partir de la prochaine rentrée. Comité de rédaction : B. Delaunay, B. Froment Contact: benedicte.froment@univ-tours.fr Tel : Pages Web : 7 Observatoire de la Vie Etudiante, Université François-Rabelais

8 Pour en savoir plus Beffy M., Fougère D. & A. Maurel (2009), «L impact du travail salarié des étudiants sur la réussite et la poursuite des études universitaires», Économie et statistiques, n 422, pp Beduwe C. & J.-F. Giret (2004), «Le travail en cours d études a-t-il une valeur professionnelle?», Économie et Statistiques, n , pp Froment B et L. Nowik (2010), «L activité rémunérée en première année», Info Flash OVE Tours, n 1, Février 2010, Tours. Froment B. (2012), «Les effets du travail salarié en première année universitaire», SociologieS [En ligne], mai 2012, Gruel L. & B. Tiphaine (2004), «Formes, conditions et effets de l activité rémunérée des étudiants», Éducation et Formations, n 67, pp Gruel L. (2009), «Des étudiants rarement pauvres, mais», dans Gruel L., Galland O. & G. Houzel (dir.), Les Étudiants en France, histoire et sociologie d une nouvelle jeunesse, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, pp Pinto V. (2010), «L emploi étudiant et les inégalités sociales dans l enseignement supérieur», Actes de la recherche en sciences sociales, n 183, pp , Rabelaisiens 2008, les enquêtes réalisées par questionnaire : auprès des inscrits Juil.-Oct. 2008, «Votre projet à l entrée de l université» : première enquête pour cerner les conditions du choix de l entrée à l université, l existence d un projet pédagogique et la prévision des conditions de vie. Printemps 2009, «Vos conditions de vie en première année». Saison 1 des Rabelaisiens : l enquête vise à mieux connaître les conditions de logement, l activité salariée, les revenus et les aides, les pratiques alimentaires et de santé, les modes de déplacement, les types de relations à la famille. Printemps 2010, «Et votre temps libre?». La saison 2 permet de recueillir des données sur les usages culturels, la vie sportive, les engagements associatifs et les loisirs des étudiants. L enquête est également ponctuée de questions récurrentes sur les activités salariées, les revenus, les aides, le logement Printemps 2011, «Des plans pour l avenir?». L enquête thématique de la saison 3 des Rabelaisiens 2008 porte sur le processus d élaboration du projet de formation et/ou professionnel des étudiants. Formation universitaire, stages, expériences salariées, rencontres, difficultés économiques, réseaux familiaux, etc., quels sont les points d appui ou les jalons sur lesquels s élaborent les projets étudiants? Un recueil rétrospectif de données sur l activité salariée permettra de valider les données précédemment recueillies dans les enquêtes des saisons 1 et 2. auprès des sortants Février 2009, l enquête «décrocheurs», auprès des étudiants ayant quitté l université avant la fin du premier semestre de la première année. A côté de l objectif de mieux comprendre les raisons du décrochage précoce, la temporalité de l enquête a visé l interrogation des sortants très tôt après cet abandon, avant qu ils ne se désinvestissent totalement de leur expérience universitaire à Tours. Sept 2009, 2010 et 2011, (trois) «enquêtes auprès des non réinscrits à l université de Tours après une, deux ou trois inscriptions» : l objectif de chaque enquête est de mieux connaître les raisons de la sortie sans diplôme de l établissement et d appréhender la situation des «non-réinscrits» quelques mois après leur sortie de l établissement. A paraître prochainement à l OVE de Tours Froment B. et M. Gatesoupe, «Une typologie provisoire des parcours d études en licence», OVE Tours Actu, n 14, Juin 2013, Tours Fazilleau L. et B. Froment, «15% d étudiants se réorientent en premier cycle», Info Flash OVE Tours, n 4, Juillet 2013, Tours Les dernières publications de l OVE Fazilleau L. (2013), «Quel devenir en 2011 pour les diplômés 2009 de Licence professionnelle?», OVE Tours Actu, n 12, Février 2013, Tours OVE Spécial Effectifs - Université de Tours, n 9, Octobre Observatoire de la Vie Etudiante, Université François-Rabelais

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