Les systèmes équins des régions Centre, du Massif central et de Poitou-Charentes
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- Edgar Ducharme
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1 Les systèmes équins des régions Centre, du Massif central et de Poitou-Charentes Repères techniques et économiques de l année 2010 A. Laurioux - IFCE RÉFÉrences - Réseau Économique de la Filière Équine Juin 2012
2 Sommaire Introduction Résultats techniques et économiques de l année Caractéristiques des groupes - Reproduction et systèmes fourragers - Commercialisation des équins - Produits - Charges opérationnelles - Charges de structure - Critères économiques Caractérisation des systèmes suivis - Elevages de chevaux de sport - Elevages de chevaux de trait - Poneys-club - Centres - - Ecuries de pensions sport - Ecuries de pensions loisir LEXIQUE SAU u Surface agricole utile UMO u Unité de main-d œuvre SFP u Surface fourragère principale SP u Surface pastorale ST u Surface totale Nb Eq u Nombre d équins PAC u Politique Agricole Commune UGB u Unité gros bétail, correspond à une consommation de fourrages grossiers à kg de matière sèche par an (1 cheval adulte de club = 0,65 UGB) NPK u Azote - Phosphore -Potassium ha u Hectare tms u Tonne de matière sèche, taux de matière sèche pris pour la paille et le foin 85% EBE* u Excédent brut d exploitation PB u Produit brut MB u Marge brute 2 Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes * L EBE correspond à la différence entre le total des produits et celui des charges opérationnelles et de structure (hors amortissements et frais financiers). Cette somme doit permettre à l éleveur de vivre, de rembourser ses annuités et d autofinancer une partie de ses investissements.
3 Introduction Après trois années de suivis menés auprès de 250 exploitations équines dans 17 régions françaises, le Réseau Equin National a été reconduit en 2011 pour les trois prochaines campagnes ( ) grâce au soutien financier du Fonds Éperon, du Ministère de l Agriculture, des régions, des Conseils des Chevaux, des Chambres d Agriculture et de l Institut de l Elevage. Si des premières références technico-économiques par système de production ont pu être élaborées, elles méritent d être consolidées pour expliciter la variabilité inter individuelle et inter annuelle des données observées. Avec l arrivée de nouvelles régions dans le dispositif, de nouveaux systèmes de production devront être analysés. À cela s ajoute la nécessité d identifier des marges de progrès pour les exploitations déjà en place. Effectivement l objectif premier de ce réseau, est de disposer de repères technico-économiques fiables pour orienter et conseiller des jeunes souhaitant se lancer dans cette activité. Il est aussi important d identifier des marges de manœuvre pour optimiser les résultats économiques de ces structures afin d assurer leur durabilité. Ce dispositif s est donc étendu en 2011 à 22 régions et l objectif est de suivre 300 exploitations par près d une cinquantaine d agents des Chambres d Agriculture et des Conseils des Chevaux. Un redimensionnement des dispositifs régionaux a du être effectué afin de répartir le nombre de fermes financées par région. C est pour cette raison que certains réseaux équins ont vu leur nombre d exploitations financées revu à la baisse, c est le cas des régions Limousin et Poitou-Charentes. Les réseaux équins des quatre régions ont donc été reconduits pour trois ans. Deux nouveaux groupes ont été intégrés à cette synthèse, les poneys clubs et les écuries de pensions de chevaux de loisir. Dans les autres systèmes des changements d exploitations ont été effectués. Au vu des résultats observés en systèmes sport les années précédentes, nous avons renouvelé certaines exploitations, en orientant notre choix vers des systèmes qui diversifiaient leurs activités équines pour plus de viabilité économique. Cette synthèse présente les résultats de 56 exploitations suivies par 10 ingénieurs de chambre d Agriculture : 13 exploitations en Limousin, 16 en Auvergne, 15 en Poitou-Charentes et 12 exploitations en région Centre. Une diversité de systèmes est suivie dans le cadre de ces réseaux : des élevages de chevaux de sport, de chevaux de trait, des centres, des poneys-club, des fermes, des écuries de pension loisir et de sport. Des systèmes sont cialisés dans l activité équine tandis que d autres associent cette activité à un autre atelier agricole (bovins viande, ovins viande, bovins lait, cultures pérennes ). Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes 3
4 Schéma de répartition des systèmes étudiés Types d exploitations (dominante) Degré de cialisation Systèmes de production Régions Spécialisés (8) ÉLEVAGES ET AUTRES ACTIVITÉS (26) l UMO : 1,6 dont 0,1 salariée l ST : 40 ha l 26 équidés Chevaux de sport (8) 4 en Centre 4 en Limousin l UMO : 1,6 dont 0,2 salariée l ST : 87 ha l 26 équidés Diversifiés (18) l UMO : 1,7 dont 0,2 salariée Chevaux de sport (4) 4 en Centre l ST : 112 ha l 26 équidés Chevaux de trait (14) 2 en Poitou-Charentes 8 en Auvergne - 4 en Limousin Spécialisés (23) Poney-Club (4) 3 en Poitou-Charentes 1 en Limousin ÉTABLISSEMENTS ÉQUESTRES (29) l UMO : 2,5 dont 0,8 salariée l ST : 23 ha Centre équestre (9) Ferme équestre (3) 5 en Auvergne 2 en Limousin 1 en Limousin 1 en Auvergne 1 en Poitou-Charentes l 36 équidés sport (4) 4 en Poitou-Charentes l UMO : 2,4 dont 0,7 salariée l ST : 30 ha Diversifiés (6) loisir (3) Ferme équestre (3) 3 en Centre 2 en Auvergne- 1 en Limousin l 36 équidés l UMO : 2,1 dont 0,2 salariée l ST : 54 ha l 35 équidés sport (3) 3 en Poitou-Charentes 4 Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes
5 Résultats 2010 Cette synthèse regroupe les résultats technico-économiques de 55 1 exploitations équines suivies sur la campagne 2010 dans les régions Limousin, Auvergne, Centre et Poitou-Charentes. Il est important de préciser que ces exploitations ont été sélectionnées selon plusieurs critères : le professionnalisme et la rentabilité de la structure, la représentativité de l exploitation par rapport au système étudié, la reconnaissance de l exploitation par ses pairs, l accessibilité aux documents comptables ainsi que la disponibilité et l intérêt de l exploitant pour ces travaux. En fait, il s agit de résultats technico-économiques plutôt supérieurs à ce qui est le plus fréquemment observé sur le terrain mais accessibles après quelques années d activité. Effectivement, l élaboration de références technico-économiques nécessite de s appuyer sur le fonctionnement d entreprises en rythme de croisière et viables économiquement. Nous disposons aujourd hui de trois années d observations sur plusieurs systèmes étudiés 2, ce qui nous permettra de comparer une partie des résultats 2010 aux précédentes données. Ces résultats technico-économiques 2010 ont fait l objet de présentations aux différentes journées régionales organisées en 2012, le 15 mars en Poitou-Charentes, le 22 mars en Limousin et le 24 mai en Auvergne. D autres thématiques ont été étudiées de façon plus approfondie à ces journées comme les démarches liées à installation en équin et l accès aux aides, la gestion du pâturage et la connaissance des différents marchés. Un travail actuellement mené en Poitou-Charentes, sur les facteurs clés de réussite des écuries de pensions sport, sera prochainement publié. Nous entreprenons cette année dans le cadre d une enquête nationale, une étude sur les coûts et pratiques sanitaires des exploitations du réseau. Cette analyse a pour objectif de comprendre la variabilité des coûts sanitaires, identifier les principales pathologies rencontrées et leur fréquence d apparition. Elle permettra de repérer les stratégies et actions mises en œuvre par l exploitant pour gérer le sanitaire de son troupeau. Les résultats de cette analyse seront présentés à la prochaine journée REFErences nationale à Paris en (1) 1 exploitation n a pu être intégrée à l analyse car elle était seule dans son groupe (2) «Les Systèmes Équins de la région Centre Repères techniques et économiques de l année 2007» - Octobre 2009 «Les Systèmes Équins de la région Centre, du Massif Central et de Poitou-Charentes Repères techniques et économiques de l année 2008» - Septembre 2010 «Les Systèmes Équins des régions Centre, du Massif Central et de Poitou-Charentes Repères techniques et économiques de l année 2009» - Mai 2011 Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes 5
6 Caractéristiques des groupes Élevages Établissements Spécialisés Diversifiés Spécialisés Diversifiés Trait Poney club Centre Ferme équestre équestre sport loisir Ferme équestre sport Caractéristiques des exploitations SAU (ha) UMO totales 1,6 2,3 1,5 2,2 2,8 3,2 2,2 1,4 2,8 1,3 dont UMO familiales 1 1,6 1,3 1,4 1,3 1,3 1, ,3 dont UMO salariées 0,1 0,4 0,1 0,5 1,1 1,4 0,4 0 0,4 0 dont UMO bénévoles 0,5 0,3 0,1 0,3 0,4 0,5 0,5 0,4 0,4 0 Surface Fourragère Principale (SFP) (ha) dont SFP en herbe (ha) SFP réservée aux équins (ha) Surface en grandes cultures (ha) Effectifs d équins présents (en nbre) Nbre d'équins présents/exploitation (en propriété ou non) dont chevaux de selle dont poneys dont chevaux de trait dont ânes Répartition des catégories d équidés % d équins en reproduction (juments-étalons) % de poulains (naissance à trois ans) % d équins de quatre ans et plus % de chevaux en retraite 27% 25% 57% 4% 5% 5% 4% 8% 23% 7% 47% 45% 40% 7% 13% 7% 22% 15% 29% 21% 23% 28% 2% 87% 77% 85% 72% 76% 48% 71% 3% 2% 1% 2% 5% 3% 2% 1% 0% 1% Effectifs d animaux (en UGB) Total UGB en propriété Total UGB présents sur l exploitation % d UGB équins présents /total UGB présents % UGB équins pris en pension /total UGB équins présents 100% 56% 21% 100% 100% 100% 100% 100% 38% 100% 34% 14% 1% 19% 41% 33% 69% 63% 1% 27% Caractéristiques fourragères Chargement corrigé (3) (UGB/ha) Quantité de fourrages utilisée (tms) dont % de fourrages achetés Fertilisation minérale par ha d'herbe 0, % % , % , % % , % , % , % , % , % Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes (3)Chargement corrigé : chargement corrigé à partir des mouvements d animaux (mise et prise en pension) et des fourrages (achats, ventes et variation de stocks)
7 ÉLEVAGES ET AUTRES ACTIVITÉS Trait UMO : 1,9 ST (ha) : 84 Nb équins : 29 UMO : 1,5 ST (ha) : 105 Nb équins : 24 Élevages de chevaux de sport : des selle-français et anglo-arabe élevés et valorisés pour la compétition de saut d obstacles Il s agit très souvent d une production principale mais aussi d une activité de diversification d exploitations céréalières ou d élevages bovins viande. Les éleveurs valorisent eux-mêmes leurs chevaux ou les mettent en pension à l extérieur. La majorité des éleveurs de l échantillon développe des prestations de pensions (pensions hébergement, élevage) qui semblent nécessaire à l équilibre financier de l entreprise. Élevages de chevaux de Trait : - des Bretons, Comtois, Percherons et Ardennais élevés en complémentarité d un autre atelier herbivore Cet élevage familial, de tradition, naisseur de poulains, est conduit en plein air intégral. Ces chevaux valorisent souvent des parcelles peu utilisées par les autres ateliers. Commercialisés principalement pour la viande, quelques uns d entre eux sont vendus pour l élevage ou le loisir. - des Traits Mulassiers et des Mules Poitevines élevés cifiquement en région Poitou-Charentes et vendus principalement pour le travail et le loisir Très peu représentés dans notre échantillon, ces élevages sont soit cialisés soit complémentaires à un atelier (céréales, bovins viande). Ces animaux sont commercialisés à des prix plus élevés que les autres chevaux de trait. Poneys-club Centres UMO : 2,5 ST (ha) : 18 Nb équins : 38 ÉTABLISSEMENTS ÉQUESTRES Écuries de pension sport UMO : 3 ST (ha) : 54 Nb équins : 43 UMO : 1,7 ST (ha) : 24 Nb équins : 30 Centres et poneys-club : des écoles d équitation cialisées dont les activités principales sont l enseignement et les pensions Des entreprises de services utilisatrices de main-d œuvre salariée où chaque équidé doit être générateur de produits. Si certains utilisent des chevaux et des poneys pour leur activité d enseignement, d autres fonctionnent majoritairement avec des poneys. Afin d étudier le nouveau groupe poneyclub, nous l avons volontairement dissocié des centres. : des exploitations en zone rurale offrant une gamme de services diversifiés, adaptés et attachés à un territoire Il s agit d exploitations cialisées ou avec un autre atelier agricole (bovins viande, grandes cultures, cultures pérennes), utilisant des surfaces plus importantes et orientées vers le tourisme (randonnée, pensions, restauration, hébergement ). Écuries de pensions travail : un système positionné sur la valorisation des chevaux et le coaching des cavaliers en concours de sauts d obstacles et concours complet Ce système cialisé ou combiné à une autre activité (atelier céréalier ou établissement équestre) se consacre à la valorisation des jeunes chevaux et des chevaux de propriétaires qui pratiquent également la compétition. Écuries de pension loisir UMO : 1,4 ST (ha) : 42 Nb équins : 28 Écuries de pensions loisir : un système de prestations de services orienté vers les activités de loisir proposant des pensions hébergement, de l enseignement et du travail du cheval Ces exploitations cialisées proposent des pensions au pré ou au box à des particuliers qui pratiquent de l équitation plutôt orientée loisir. Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes 7
8 Reproduction et systèmes fourragers Conduite de la reproduction Élevages Établissements cialisé diversifié Trait diversifié Poneys Chevaux PONEYS Nombre moyen de femelles mises à la reproduction par élevage Nombre total de femelles mises à la reproduction dans le groupe Nombre d'avortements Nombre de poulinages Nombre de poulains morts avant sevrage Nombre de poulains sevrés Âge des poulains au sevrage Performances reproduction Taux de gestation Taux d'avortement Taux de mortalité avant sevrage Taux de productivité numérique Taux de premier poulinage Techniques de reproduction utilisées Monte naturelle en liberté Monte naturelle en main Insémination artificielle en frais Insém. artificielle en réfrigérée ou transportée Insémination artificielle en congelé Transfert d embryons Périodes de poulinages (7/29)* (11/29)* mois 6-7 mois 6-7 mois 6-8 mois 6-7 mois 77% 75% 86% 75% 91% 15% 22% 7% 0% 14% 17% 14% 7% 11% 4% 54% 50% 74% 66% 75% 0% 7% 20% 22% 8% 0% 0% 34% 45% 0% 11% 54% 66% 45% 50% 9% 0% 0% 0% 9% 9% 4% 0% 0% 13% 66% 42% 0% 10% 28% 5% 0% 0% 0% 0% avril-juin mars-juillet janv-juin avril-septembre avril-juin Systèmes fourragers et pratiques d alimentation P SFP équine (ha/ugb ) Qtité de fourrages utilisée (tms/ugb) dont foin (tms/ugb) Élevages Établissements Spécialisés Diversifiés Spécialisés Diversifiés Trait Poney club Centre Ferme équestre équestre sport loisir Ferme équestre sport 1,6 1,1 0,9 0,9 0,9 0,9 0,8 2,3 1,2 0, Quantité de concentrés distribuée (tonnes/ugb) 1,39 0,9 0,07 1,16 1 1,32 1,37 0,99 0,21 1,25 SFP : surface fourragère principale SP : surface pastorale * Nombre d établissements ayant fait saillir une ponette (7/29) ou une jument (11/29) 8 Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes
9 Conduite de la reproduction Malgré l arrivée de nouvelles exploitations dans le groupe, le nombre de juments saillies se maintient globalement en 2010 dans les élevages de sport et de trait. En sport, 5 juments sont saillies en moyenne chaque année contre 12 en trait. En revanche, les résultats de reproduction des élevages de chevaux de sport sont en baisse en 2010 avec un taux de productivité moyen de 52% contre 61% en moyenne les trois dernières années. Le taux d avortement de 19% en 2010, conforte nos observations des années précédentes (18%). Les techniques de monte utilisées sont inchangées puisque c est l insémination qui domine principalement et plus particulièrement en congelé. En revanche, les traits confirment les bons résultats observés les années précédentes avec un taux de productivité numérique de 74% contre 76% sur les trois dernières années. Les taux d avortement et de mortalité en 2010 sont conformes à ce qui a été observé précédemment de l ordre de 7% et 11% pour la mortalité. Généralement, les éleveurs utilisent la monte naturelle en main (2/3) et en liberté avec leurs étalons. Systèmes fourragers et pratiques d alimentation Le niveau de chargement corrigé 3 des élevages de chevaux de sport et de trait est conforme à celui observé ces deux dernières années de l ordre de 0,8 UGB/ha. Ces systèmes sont relativement autonomes en fourrages avec seulement 20% des fourrages achetés. Les établissements, à l exception des écuries de pension loisir, ont un niveau de chargement plus élevé d environ 1,4 UGB/ha. Ce sont les écuries de pensions sport cialisés qui sont les plus chargées avec 3,2 UGB/ha. Les quantités de fourrages achetées dans ces structures sont supérieures aux élevages 36% en moyenne, de 16 à 56% suivant les systèmes. > Quantités d aliments distribuées par UGB et par an en fonction des systèmes de production 3,50 Qtité de fourrages utilisée (en tms par UGB) Qtité de concentrés distribuée (en tonnes/ugb) SFP équine (en ha/ugb ) 2,50 3,00 2,3 2,00 Quantité distribuée (tms ou t/ugb) 2,50 2,00 1,50 1,00 0,50 1,6 1,1 0,9 0,9 0,9 0,9 1,2 0,8 0,8 1,50 1,00 0,50 SFP (UGB/ha) 0,00 c. div. Trait div. Poneys club c. Centres c. c. Ferme div. sport. sport div. loisir c. 0,00 Elevages Etablissements (3)Chargement corrigé : chargement corrigé à partir des mouvements d animaux (mise et prise en pension) et des fourrages (achats, ventes et variation de stocks) Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes 9
10 Commercialisation des équins Nombre de transactions Prix moyen ( ) Prix médian ( ) Prix minimum ( ) Prix maximum ( ) Élevages de chevaux de sport (SF,AA) Poulains de 2 ans Poulains de 3 ans Chevaux de 4-6 ans Chevaux de 7 ans et plus Jument vide Écuries de pensions Achats (SF, SBS) Poulains de 3 ans Chevaux de 4-6 ans Chevaux de 7 ans et plus Ventes (SF, AA) Poulains de 3 ans Chevaux de 4-6 ans Chevaux de 7 ans et plus Établissements Achats (SF, CS) Poneys Chevaux Ventes (PO, OI, AA, AR, MER, CS) Poneys Chevaux Élevages de chevaux de trait (COMT, ARD, PER, BR, POIT) Poulains maigres < 12 mois (PER) (ARD) Pouliches 1 an (COMT) (POIT) Poulains mâles (PER) (ARD) Poulains finis (BR) 830 (OIT) Lexique des races AA : Anglo-arabe OI : Origine inconnue AR : Arabe ONC : Origine non constatée CO : Connemara PO : Poney CS : Cheval de selle SE : Selle étranger MER : Merens SF: Selle français SBS : Chevaux de Belge W : Welsh 10 Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes
11 Ventes de 2010 Au regard des prix observés en 2010, nous confortons nos observations de l année précédente sur la baisse des prix des chevaux. En sport, le prix médian des chevaux de 4 à 6 ans est de en 2010 contre en 2009 et en Dans les écuries de pension sport, les cavaliers achètent des chevaux à des prix plus bas, les prix médians sont de pour un cheval de 4 à 6 ans en 2010 contre en 2009 et pour les chevaux de 7 ans et plus contre en Ils revendent ces chevaux valorisés également à des prix moins élevés pour un cheval de 4 à 6 ans et pour les chevaux de 7 ans et plus. Néanmoins, on observe comme les années précédentes une variabilité des prix un peu moins prononcée qu en 2009 (de 750 à ) puisque les prix s échelonnent de 500 à En établissement équestre, les prix d achat observés sont conformes à nos premières observations de l ordre de 700 pour un poney et pour un cheval. En trait, les prix de vente des poulains finis de moins de 12 mois sont en baisse, 830 en 2010 contre 960 en Le prix des poulains maigres de moins de 12 mois se stabilise à 560. Ventes de chevaux de sport de 2008 à 2010 À l occasion des journées régionales REFErences, a été présenté le bilan des ventes de chevaux de sport sur les trois dernières campagnes étudiées au sein des élevages de chevaux de sport et des écuries de pensions valorisation de jeunes chevaux pour la compétition de saut d obstacles et de concours complet. Au final 165 prix de ventes de chevaux de sport essentiellement des Selle français et quelques Anglo-arabe ont été analysés. Si l objectif des éleveurs et des cavaliers est de vendre des chevaux de bon voire très bon niveau à des prix élevés, seuls 17% des chevaux sont vendus à et plus dont 3% à plus de En fait, un cheval sur deux est vendu à moins de dont plus d un tiers à moins de Ceci s explique en partie par les aléas liés à la production des chevaux mais aussi à la conjoncture économique qui n est pas toujours favorable au commerce. > Répartition des prix moyens de ventes observés de 2008 à Prix moyen Prix médian Poulains de 2 ans et moins (18) * Poulains de 3 ans (36) Cheval de 4 ans (42) Cheval de 5 ans (19) Cheval de 6 ans (20) Cheval de 7 ans (27) * Nbre de prix de vente étudié par catégorie d âge Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes 11
12 Zoom sur les écoles d équitation Des établissements d enseignement en zone rurale 13 centres et poneys-club sont suivis dans le cadre de ce réseau. Il s agit d établissements centrés sur l apprentissage de savoirs et de savoir-faire en lien avec la pratique traditionnelle de l équitation en compétition ou non. A l exception d un établissement, ils sont tous situés en milieu rural. > Taille des établissements (nb de licenciés) 15% 8% 39% <100 licenciés licenciés licenciés 38% >200 licenciés Qui fonctionnent avec différents types d équidés Si certains exploitants privilégient les activités avec des poneys (baby poney, pony games ) d autres utilisent deux types de cavalerie des poneys et des chevaux afin d élargir leur clientèle et d accompagner plus longtemps leurs cavaliers dans leur progression. On remarque tout de même que tous les établissements ont une part de poneys importante pour le bon fonctionnement de leur structure. > Effectifs et types d équidés d enseignement par établissement Nbre d équidés * A B C D E F G H J K L M Nombre moyen de poneys de club à l'année Nombre moyen de chevaux de club à l'année Total clients *Etablissements suivis dans les réseaux Nbre de clients Avec diverses stratégies commerciales > Heures vendues par UMO et par an > Heures vendues par client et par an A* B C D E F G H I J K L <100 licenciés licenciés licenciés >200 licenciés A B C D E F G H I J K L *Etablissements suivis dans les réseaux Le nombre d heures vendues par UMO ou par client impacte fortement sur le résultat économique des établissements. Les graphiques ci-dessus représentent le nombre d heures vendues en 2010, par an et par établissement. Les structures C-H sont de grande taille (>200 licenciés), les structures A-B-F-K-L ont un nombre de licenciés compris entre 100 et 150 licenciés et les plus petites structures D-E-I-J ont moins de 100 licenciés. Malgré des situations très contrastées certaines structures parviennent à maximiser le nombre d heures vendues grâce à une stratégie commerciale efficace. 12 Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes
13 Produits Élevages Établissements Spécialisés Diversifiés Spécialisés Diversifiés Trait Poney club Centre Ferme équestre équestre sport loisir Ferme équestre sport Produit total ( ) Produit total/umo totale ( ) dont ventes ou produits dont ventes ou produits équins dont achats d animaux extérieurs dont achats d équins dont variation d inventaire totale dont variation d inventaire équin dont total des aides perçues % des aides totales/produit brut total dont total des aides équines % 20% 40% 2% 6% 5% 1% 5% 32% 8% Détail des produits de l exploitation ( ) Total des produits herbivores dont produits des équins % produit équin/produit total % 40% 9% 95% 92% 95% 98% 95% 43% 86% a Total des produits végétaux % des produits végétaux/produit total dont produits des grandes cultures dont produits de la SFP Total des produits des autres activités Autres produits non affectables % 28% 13% 0% 0% 0% 2% 2% 5% 5% Détail du produit équin ( ) Produit total des équins dont ventes des équins (achats déduits) dont gains, primes... dont pensions dont produits de reproduction (saillies, frais de mise en place...) dont enseignement dont randonnée dont hébergement/restauration Autres produits des équins (dont variation d inventaire) Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes 13
14 > Répartition des produits équins par système Ventes des équins Gains, primes Produits reproduction (nette des achats) Enseignement Randonnées Hébergement/restauration Autres produits des équins (dont variation d'inventaire) div Trait div Poneys club Centres sport loisir div sport div Elevages Etablissements Quelque soit le système étudié, le produit équin est assez diversifié. En élevage, à part en trait, les ventes de chevaux ne représentent qu un quart du produit brut total, ce sont les prestations de services (pensions, enseignement, coaching) qui dominent, ce qui semble nécessaire pour dégager un revenu. Les établissements sont des entreprises qui commercialisent également une diversité de produits. Enseignement et pensions représentent 86% du produit dans les écoles d équitation, poneys-club et centres. Les fermes proposent, en plus, d autres prestations plus liées à l accueil de touristes avec des randonnées comprenant ou non l hébergement et la restauration (36% du produit). Concernant les écuries de pensions, les produits des écuries de loisir proviennent essentiellement des pensions tandis ce qu en sport, nous trouvons plus de prestations liées à l enseignement, au coaching de cavaliers et à la vente de chevaux valorisés. 14 Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes
15 Charges opérationnelles Élevages Établissements Spécialisés Diversifiés Spécialisés Diversifiés Trait Poney club Centre Ferme équestre équestre sport loisir Ferme équestre sport Total UGB présents dont UGB équins présents Charges opérationnelles totales ( ) soit en % du produit total Marge brute globale exploitation ( ) soit en % du produit total Marge brute de l'atelier équin en /UGB EQ Charges opérationnelles atelier équin ( ) Charges opérationnelles atelier équin ( /UGB équins présents) Frais d alimentation des équins Frais d alimentation des équins ( /UGB équins présents) Frais d élevage des équins Frais d élevage des équins ( /UGB équins présents) Frais vétérinaire des équins Frais vétérinaire des équins ( /UGB équins présents) % 29% 28% 25% 28% 30% 39% 26% 25% 30% % 71% 72% 75% 72% 70% 61% 74% 75% 70% Frais de maréchalerie des équins Frais de maréchalerie des équins en /UGB équins présent Divers (valorisation, commercialisation mise en pension, assurances, autres...) Divers ( /UGB équins présents) Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes 15
16 > Répartition des charges opérationnelles en fonction des systèmes (en ) Divers Frais de maréchalerie Frais vétérinaire Frais d'élevage Frais d'alimentation div Trait div Poneys club Elevages Centres sport loisir Etablissements div sport div Ce sont les écoles d équitation, les fermes et les écuries de pension sport cialisés qui ont un niveau de charges opérationnelles le plus élevé, de à / UGB. Elles sont constituées principalement des frais divers 48% qui correspondent aux frais de valorisation, de commercialisation et de restauration/hébergement et des frais d alimentation près de 30% des charges. Malgré un nombre d équidés moins élevé (26 contre 38 en moyenne dans les structures précédentes) et un chargement plus faible (0,5 contre 1,5 UGB/ha), le niveau des charges opérationnelles des élevages de sport cialisés reste élevé de /UGB. La moitié de ces charges est lié aux frais d alimentation et aux frais d élevage, plus particulièrement ceux concernant la mise à la reproduction des juments. Les autres charges correspondent aux frais de valorisation et de commercialisation des chevaux vendus. On remarque comme les années précédentes que les structures mixtes ont des niveaux de charges moindres, et particulièrement concernant les frais d alimentation. Très souvent ces exploitants optimisent la valorisation du pâturage, produisent une partie de leur fourrages et ont recours plutôt à des aliments concentrés traditionnels 4. > Répartition des charges opérationnelles en fonction des systèmes (en %) 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Divers Frais de maréchalerie Frais vétérinaire Frais d'élevage Frais d'alimentation div Trait div Poneys club Elevages Centres sport 16 Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes loisir Etablissements div sport div (4) Quelles pratiques d alimentation dans les élevages de sport de la région Centre- Des marges de manœuvre pour diminuer les frais d alimentation- Nov 2010
17 Charges de structure Élevages Établissements Spécialisés Diversifiés Spécialisés Diversifiés Trait Poney club Centre Ferme équestre équestre sport loisir Ferme équestre sport Caractéristiques des exploitations Charges de mécanisation ( ) SAU (ha) UGB présents Carburants et lubrifiants Entretien et achats petit matériel Amortissement matériel Travaux par tiers Crédit/bail Charges de bâtiment et foncier ( ) Fermage, impôts fonciers et loc. précaire Amélioration et entretien des terres Entretien bâtiments Amortissement bâtiments + installations Location Charges de main-d'œuvre ( ) MSA Salaires + Charges salariales Frais financiers (LMT, CT, agios) ( ) Charges diverses ( ) Frais financiers (LMT) Frais financiers (CT et agios) Eau Electricité Assurances Frais de gestion et fournitures Transports et déplacements Autres charges (autres amortissements) Total des charges de structures ( ) soit en % du produit total Charges de struct. hors amort et FF soit en % du produit total % 63% 57% 58% 59% 53% 67% 68% 48% 41% % 34% 36% 40% 45% 43% 47% 42% 34% 28% Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes 17
18 > Répartition des charges de structure de l exploitation (en ) Charges diverses Frais financiers (LMT, CT, et agios) Charges de main d'œuvre Charges de bâtiment et de foncier Charges de mécanisation 0 div Trait div Poneys club Elevages Centres sport loisir div sport div Etablissements Quel que soit le système, les frais de mécanisation représente un poids important (de 20 à 50%) des charges de structure et ceci est d autant plus vrai en système mixte. En fait, la présence d un autre atelier agricole entraîne très souvent un besoin en matériel plus important ce qui entraîne des frais d entretien et d amortissement plus élevés. Ce poste comprend également les frais de carburant qui ne cessent d augmenter avec les fluctuations du prix du pétrole. La main-d œuvre est un poste aussi important surtout dans les écoles d équitation puisqu elle représente près d un tiers des charges de structure. Généralement, ces structures fonctionnent avec 2,5 UMO dont 0,8 UMO salariés. Les élevages ainsi que les écuries de pension sont des structures plutôt familiales et n ont pratiquement pas recours à de la main-d œuvre salariée. > Répartition des charges de structure de l exploitation (en %) Charges diverses Frais financiers (LMT, CT, et agios) Charges de main d'œuvre 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Charges de bâtiment et de foncier div Trait div Poneys club Elevages Charges de mécanisation Centres sport loisir div sport div Etablissements 18 Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes
19 Critères économiques Élevages Établissements Spécialisés Diversifiés Spécialisés Diversifiés Trait Poney club Centre Ferme équestre équestre sport loisir Ferme équestre sport Excédent Brut d'exploitation ( ) à à à à à à à à à à EBE / UMO familiale EBE/UGB en EBE / produit en % 5% 37% 35% 35% 27% 27% 14% 32% 41% 42% > Résultats économiques globaux des différents systèmes de production (en ) Produit total Charges opérationnelles Charges structure EBE/UMO * div Trait div Poneys club Elevages * Le chiffre indiqué correspond à l EBE/UMO Centres sport loisir Etablissements div sport div Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes 19
20 Élevages de chevaux de sport Le cheval est soit une activité principale soit un atelier de diversification d une autre production agricole, bovins viandes et céréales principalement. Si le produit équin représente 86% du produit total des systèmes cialisés, il ne s élève qu à 40% en système diversifié. Les produits équins, dans les deux cas, sont constitués en moyenne des ventes de chevaux (25%), des pensions (35%) et des prestations d enseignement (12%). Toutes les exploitations ne proposent pas l ensemble de ces activités. Les résultats économiques 2010 des systèmes cialisés sont faibles, comme les années précédentes, avec un EBE moyen de /UMO mais cela cache une très grande A. Laurioux - IFCE disparité entre les exploitations. En fait, trois exploitations sur huit parviennent à dégager un EBE supérieur à /UMO. Il s agit très souvent de structures qui proposent des prestations de pensions (élevage, reproduction, travail). Les structures en plus grande difficulté sont celles qui se limitent aux produits de ventes des chevaux, qui sont très aléatoires d une année sur l autre. En système diversifié, les résultats sont supérieurs, avec un EBE moyen de /UMO, mais surtout lié à la présence d un autre atelier (bovins viande, céréales, centre équestre). Les quatre exploitations ont un EBE supérieur à /UMO. Les charges opérationnelles des systèmes cialisés sont aussi élevées que celles des établissements, près de /UGB et constitués principalement des frais d alimentation, de reproduction et de valorisation. En système diversifié, ces charges se limitent à /UGB. La très grande variabilité de ces différentes charges nous suggère que des marges de manœuvre sont envisageables pour les limiter et ainsi augmenter le revenu des exploitants. Élevages de chevaux de trait Le cheval de trait (Comtois, Breton, Ardennais, Percheron ) est une activité de diversification à un atelier principale (bovins viande, bovins lait, céréales). La part du produit équin est proche de ce que l on a observé en 2009, en moyenne (555 /UGB équin présent), soit 9% du produit total de l exploitation. Ce produit équin est constitué de près de 36% des ventes d équidés et de 20% de primes (races menacées, primes concours ). Ce produit est limité mais les charges opérationnelles de cet atelier restent les plus faibles de tous les systèmes étudiés, soit 162 /UGB équin présent. Les principaux postes de charges sont les frais vétérinaires et les frais F. Launay- IFCE d élevage (identification, reproduction..). Au final, ce système dégage un EBE de près de /UMO en moyenne, ce résultat est fortement lié à l autre atelier présent sur la structure (bovins viande, bovins lait, céréales). Dans ces structures, le cheval de trait apporte une réelle valeur ajoutée en optimisant le fonctionnement de l entreprise (valorisation des surfaces, complémentarité des ateliers ). 20 Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes
21 Centres Parmi les établissements, les centres cialisés étaient jusqu en 2009 les structures dégageant les meilleurs niveaux d EBE par unité de main-d œuvre. Ce n est plus le cas en Avec le renouvellement des exploitations, d autres systèmes de production (fermes et pensions) dégagent de meilleurs niveaux d EBE. Par contre, c est le groupe le plus stable, tant dans les résultats économiques que dans leur fonctionnement. Les activités d enseignement et de pension restent majoritaires pour ces exploitations, avec respectivement 56% du produit pour l enseignement et 25% pour les pensions. Ces exploitations continuent de conforter un produit par la diversité de leurs prestations, avec une Macé O. dominante enseignement-pension qui représentent près de 80 % de leur chiffre d affaires. Leurs niveaux de charges opérationnelles sont stables, avec /UGB, que l on peut répartir grossièrement avec 1/3 de charges dédiées à l alimentation, 1/3 des charges pour les frais d élevage, les frais vétérinaires et de maréchalerie, et enfin 1/3 de frais divers (frais de valorisation, commercialisation, hébergement restauration ). Avec les fermes, c est le système qui emploie le plus de main-d œuvre salariée ce qui représente un tiers des charges de structure. Poneys clubs Il s agit d exploitations intégrées au dispositif pour la première année, c est pour cette raison que nous l avons étudié à part du système centre équestre afin d identifier d éventuelles différences de fonctionnement. Ce sont des exploitations cialisées fonctionnant avec 2/3 de poneys dont les produits principaux sont, comme pour les centres, l enseignement (64%) et les pensions (19%). Seule une exploitation sur les 4, ne propose pas de pension et ne participe pas non plus à des compétitions sportives. Ces structures fonctionnent avec un peu moins de main-d œuvre qu en centres 2,2 UMO dont 0,5 UMO salariées. Le Drogoff V. En termes de résultats économiques, même si le système poney-club a un produit brut total inférieur à celui des établissements ( contre ), les EBE des deux systèmes sont relativement proches /UMO en poney-club contre /UMO en centre équestre. Les charges opérationnelles de ces exploitations sont légèrement inférieures à celles des centres /UGB contre /UGB, ceci étant lié surtout aux frais de maréchalerie, d élevage et d alimentation. Effectivement, souvent, seuls les poneys de compétitions sont ferrés à l inverse des chevaux qui le sont systématiquement. En alimentation, les pratiques varient très fortement entre une alimentation essentiellement à l herbe avec un affouragement hivernale ou une alimentation en box à partir de concentrés et de fourrages achetés. Si nous pensions trouver de réelles différences concernant la conduite de ces poneys et par conséquent le niveau des charges opérationnelles observé, ceci n a pas forcément était démontré au vu des différentes stratégies des exploitants concernant le mode d alimentation et de valorisation de leurs poneys. En fait, les charges opérationnelles de ces exploitations varient de 800 à /UGB. Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes 21
22 Equestres Les fermes présentent un produit global parmi les plus élevés. Il est de pour les structures cialisées et de pour les structures diversifiées. On retrouve respectivement dans ce produit des prestations d enseignement (35% et 20%), de pensions (17% et 5%), de randonnées (14% et 7%) et d hébergement-restauration (18% et 14%). Les charges opérationnelles des systèmes cialisés sont élevées de l ordre de /UGB contre 560 /UGB en système diversifié. Les principaux postes de charge sont les frais d alimentation et les frais divers nécessaires à l organisation des activités (hébergement, restauration, commercialisation..). Cette situation s explique à la fois par une conjoncture économique difficile qui perdure et qui amène des coûts de production élevés mais aussi, concernant l alimentation, par une moins bonne valorisation des surfaces, surtout chez les structures cialisées. F. Launay- IFCE Ainsi les charges alimentaires sont plus limitées chez les structures diversifiées qui valorisent au mieux leurs surfaces et diminuent ainsi l achat d aliments extérieurs. Les charges de structure sont proches de celles observées en centres. Les charges de mécanisation restent importantes et représentent ¼ du total des charges de structure en système cialisé et 1/3 en système diversifié. De même, les charges de main-d œuvre sont conséquentes surtout dans les structures cialisées avec des besoins élevés durant la période estivale. Elles représentent 35% du total de ces charges. Au final, les résultats économiques des fermes sont supérieurs à la plupart des systèmes de production suivis, /UMO en système cialisé contre /UMO en diversifié. Écuries de pension sport Sur les systèmes cialisés, toutes les exploitations ont vu leur EBE diminuer de 20 à 80 %. Les produits sont restés stables, ce sont les charges qui ont particulièrement augmenté entre 2009 et Les postes qui ont pénalisé les charges de structure sont les carburants, les frais d entretien du matériel, les assurances et les achats de fournitures. Les charges opérationnelles, en montant total, ont peu varié sur le système pension cialisé, seule la répartition a été modifiée. Les frais d alimentation ont diminué entre 2009 et 2010, mais en contrepartie, on observe une hausse des frais d élevage et des frais vétérinaires. La diminution de l EBE sur le système cialisé s explique aussi par la jeunesse des structures qui composent en partie l échantillon et qui doivent investir plus au quotidien pour améliorer leurs infrastructures. F. Launay- IFCE Sur les systèmes diversifiés, les structures présentes prouvent, pour la 3ème année consécutive, leur viabilité. L EBE moyen en 2010 est de contre en La maîtrise des charges est très efficace dans ce système autant sur les charges opérationnelles que sur les charges de structure. À noter que 2010 commence à annoncer dans ces systèmes pensions sport des années difficiles en nombre de jeunes chevaux à la vente et confiés au travail. 22 Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes
23 Écuries de pensions loisir Le principal produit de ces structures est logiquement la pension (86% du produit total). Peu de prestations d enseignement ou de coaching sont proposées aux propriétaires en comparaison des écuries de pensions sport. Cependant, différents types de pensions sont proposées au sein d un même établissement : cela va du logement simple à une pension au forfait «complet» comprenant le logement, le suivi sanitaire du cheval et sa sortie en paddock. Certaines exploitations ont quelques activités annexes : élevage, ventes d animaux, ventes de fourrages Ce système de pensions a un niveau de charges opérationnelles moindre qu en sport, /UGB contre Larcher C/IFCE /UGB. Les principaux postes de charge sont l alimentation (30%), les frais vétérinaires (27%) et les frais divers (19%). Les résultats économiques observés pour cette première année de suivi sont assez satisfaisant avec un EBE/UMO moyen de , soit 30% du produit brut. D une manière générale, le système pension loisir propose des prestations simples, principalement orientées vers le logement et le soin à l animal. Cet objectif est en adéquation avec le public ciblé qui recherche une prestation à moindre coût. Ainsi, ce type de système se doit d être le plus économe possible dans son fonctionnement (autonomie fourragère recommandée par exemple). La principale difficulté pour ces structures étant de proposer des prestations au juste prix et en parfaite adéquation avec la demande de leur public cible (en particulier au niveau des infrastructures disponibles). Macé O. Les systèmes équins des régions Centre, Massif central et Poitou-Charentes 23
24 Cette synthèse a été élaborée grâce à un suivi complet et régulier des ingénieurs départementaux des Chambres d Agriculture (Indre, Loir-et-Cher, Cher, Limousin, Cantal, Puy de Dôme, Haute-Loire, Allier, Charente, Charente- Maritime), à une participation active des responsables des entreprises équines et à une animation régionale de l Institut de l Elevage. Elle a présenté les principaux résultats technico-économiques des six grands systèmes suivis dans les régions Limousin, Auvergne, Centre et Poitou-Charentes sur la campagne Cette synthèse a été co-rédigée par : Réseau équin Auvergne l Estelle Delarue Chambre d Agriculture du Cantal mail : estelle.delarue@cantal.chambagri.fr tel : l Dominique Iwanczak Chambre d Agriculture de la Haute-Loire mail : diwanczak@haute-loire.chambagri.fr tel : l Yves Tinqaut Chambre d Agriculture du Puy-de-Dôme mail : y.tinquaut@puy-de-dome.chambagri.fr tel : l Catherine Tourret Chambre d Agriculture de l Allier mail : ctourret@allier.chambagri.fr tel : Réseau équin Centre l Nathalie Foisnon Chambre d Agriculture du Cher mail : n.foisnon@cher.chambagri.fr tel : l Philippe Rochais Chambre d Agriculture de l Indre mail : philippe.rochais@indre.chambagri.fr tel : l Marthe Vivant Chambre d Agriculture du Loir-et-Cher mail : marthe.vivant@loir-et-cher.chambagri.fr tel : Réseau équin Limousin l Guillaume Mathieu Chambre d Agriculture de la Corrèze mail : g.mathieu@correze.chambagri.fr tel : Réseau équin Poitou-Charentes l Sabrina Peyrille Chambre d Agriculture de la Charente mail : sabrina.peyrille@charente.chambagri.fr tel : l Jean Marie Pouget Chambre d Agriculture de la Charente Maritime mail : jean-marie.pouget@charentemaritime.chambagri.fr tel : Coordination régionale l Sophie Boyer Institut de l Élevage mail : sophie.boyer@idele.fr tel : En partenariat et avec le soutien financier de : Librairie des Haras nationaux les écuries du Bois LE PIN AU HARAS Tél : /Fax Institut de l Élevage 149, rue de Bercy PARIS CEDEX 12 Tél : /Fax Réf IE ISBN Mise en page : Magali Allié (Institut de l Elevage) A. Laurioux - HN
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