ULTRAFILTRATION NANOFILTRATION
|
|
- Stanislas Lecours
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ULTRAFILTRATION NANOFILTRATION N 18 et 19 TP 3 ème Année Chimie CAP, Octobre 2005 sur la base des documents de l'ups ATELIER INTER UNIVERSITAIRE DE GENIE DES PROCEDES 5 Rue Paulin Talabot TOULOUSE Cedex 1 - Tel : Fax : AIGEP@ensiacet.fr
2 I. Principe des procédés à membranes I.1. Présentation L ultrafiltration et la nanofiltration sont des opérations unitaires de séparation en phase liquide. Cette séparation a lieu par perméation d un liquide sous l action d un gradient de pression a travers une membrane permsélective. Cette membrane permsélective joue un rôle de barrière qui permet le transfert de certaines molécules ou particules et qui en retient d autres. L exclusion par la membrane est basée sur la taille des molécules et ou particules (exclusion stérique), sur leur charge (exclusion électrostatique), ou encore sur le caractère hydrophile et hydrophobe. Suivant la gamme de sélectivité de la membrane, on considère différentes opérations (voir Techniques de l Ingénieur J2790 fig. 1). Au cours des travaux pratiques, vous mettrez en œuvre une opération de nanofiltration et une opération d ultrafiltration. L ultrafiltration utilise des membranes microporeuses (taille des pores de 1 à 100 nanomètre = 10-9 m = 10 A) qui retient fortement des composés dont la masse molaire est supérieure à g/mol (on dit que le seuil de coupure de la membrane est de 100 kda 1 Dalton= 1 g/mol). La membrane laisse donc passer les petits solutés (eau, sels, sucres, petits composés organiques) et retient les matières en suspensions (colloïdes...). La nanofiltration est un procédé plus récent qui utilise des membranes permettant la séparation de composés dont la taille est de l ordre du nanomètre et la masse molaire de l ordre de 300 à 1000 g/mol. La permsélectivité de ce type d opération est très sensible à la présence de charge sur les solutés. I.2. Paramètres opératoires Dans les deux opérations, on travaille le plus couramment avec un écoulement de fluide continu tangentiellement à la membrane pour limiter l accumulation de matière à la surface (colmatage) qui est le principal phénomène antagoniste à la séparation. L opération de filtration tangentielle fait intervenir un courant d alimentation qui se sépare dans le module de filtration en un courant contenant les espèces retenues par la membrane le rétentat et un courant qui passe à travers la membrane le perméat -. alimentation rétentat perméat - 2 -
3 Rétentat Perméat Pompe module de filtration De façon simplifiée, un banc de filtration «par batch» est composé : d un réservoir qui permet d alimenter via une pompe le module de filtration duquel sort un courant filtré (le perméat) et un courant concentré en matière retenue par la membrane (le rétentat). La pression permettant la perméation dans le module de filtration est assurée par une vanne de contre-pression sur le courant rétentat. Si l espèce valorisable est retenue par la membrane, le banc de filtration est utilisé pour concentrer le rétentat (ex concentration de jus de fruit). Au contraire si le produit valorisable est dans le perméat (ex : potabilisation d eau ou extraction de principe actif pharmaceutique dans un moût de fermentation), la solution à traiter est envoyée dans le module de filtration jusqu à ce que l on obtienne un volume déterminé de perméat. Paramètre Signification Relation pression force agissante de l opération définie par la PA + P transmembranaire moyenne des pressions alimentation, P A, et PTM = R Pp 2 (PTM) rétentat, P R, à laquelle on soustrait la pression du compartiment perméat, P P. Flux de perméation productivité du procédé défini par le débit de Q perméation divisé par la surface membranaire. J = P S Il représente aussi la vitesse du fluide perpendiculaire à la surface de la membrane. taux de rejet (ou taux de retention) Perméabilité de la membrane au solvant, L p sélectivité du procédé : un taux de rejet de 1 signifie que le soluté est parfaitement retenu par la membrane (la concentration dans le perméat c p =0) alors qu un taux de rejet de 0 correspond à un soluté non retenu, concentration identique dans le perméat c p et le rétentat c R (c p =c R ). paramètre intrinsèque de la membrane décrivant sa résistance hydraulique, R m, vis à vis du solvant : (en m.s -1.Pa -1 ou l.h -1.m -2.bar -1 ) Taux de conversion fraction de liquide qui traverse la membrane R =1 cp cr PTM J = LpPTM = Rm Qp Y = QA I.3. Mécanismes de transfert Au cours de l utilisation la matière retenue par la membrane s accumule (phénomène de polarisation de concentration expliqué par l étude du transfert de masse vers la membrane) réduisant ainsi le flux de perméation et donc la productivité du procédé (loi de filtration transfert de solvant à travers la membrane). Transfert de solvant à travers la membrane Lors de la filtration de soluté, l accumulation de soluté à la surface de la membrane réduit le flux de perméation. Deux phénomènes peuvent expliquer cette réduction : l existence d une différence de pression osmotique π qui conduit à un flux de solvant du compartiment dilué au compartiment concentré (opposé au flux de perméation). la présence d un dépôt sur la membrane qui se traduit par une résistance hydraulique supplémentaire, R c. De façon générale, la loi de filtration suivante permet de tenir compte de ces phénomènes : PTM π J = R m + R c - 3 -
4 Dans le cas de l ultrafiltration (filtration de suspensions colloïdales), la pression osmotique π peut être négligée (voir techniques de l ingénieur J2790-9) alors que dans le cas de la nanofiltration de petites molécules il n y a pas de dépôt (R c =0). Rappel : La pression osmotique d un soluté à la concentration molaire C (mol/m3) peut s estimer la loi de Van t Hoff, π = CRT (voir techniques de l ingénieur J2790-7) Transfert de soluté vers la membrane (voir phénomène de polarisation sur techniques de l ingénieur J pour la nanofiltration et phénomènes de colmatage sur techniques de l ingénieur J pour l ultrafiltration) I.4. Configurations de fonctionnement Au cours de la séance, nous utiliserons deux unités de filtration fonctionnant «par batch». Différentes configurations de fonctionnement peuvent être envisagées. Recyclage du perméat Le perméat peut être ou non recyclé dans le réservoir. Le perméat recyclé dans le réservoir permet de conserver une concentration en soluté constante et donc de déterminer de façon sure les caractéristiques de fonctionnement de la membrane (taux de rejet, colmatage). Ce mode de fonctionnement ne permet cependant pas de produire de perméat et donc ne correspond pas à un mode de fonctionnement industriel (ce mode est équivalent à un taux de reflux total en distillation qui permet la caractérisation d une colonne). Recyclage du concentrat De la même façon, le concentrât peut être plus ou moins recyclé vers le réservoir. Si le courant rétentat est coupé en sortie de module, on dit qu on fonctionne en filtration frontale (ce mode de fonctionnement est utilisé par exemple pour la potabilisation par membrane de l eau application pour laquelle le colmatage est faible). S il existe un courant de rétentat, on fonctionne en filtration tangentielle. Dans les manipulations présentes, nous fonctionnerons toujours en filtration tangentielle. D autre part, on peut recycler plus ou moins le rétentat vers le réservoir en rajoutant une boucle de recyclage dans l installation. Les deux bancs de filtration permettent d aborder les deux modes de fonctionnement. Le recyclage partiel du rétentat permet une réduction de la consommation énergétique mais induit une surconcentration dans la boucle de recyclage (voir comparaison sur un exemple numérique sur TI J ) Concentration et diafiltration Au cours de la séparation, l élimination du perméat provoque une augmentation de concentration de la solution à traiter. La concentration peut être recherchée dans certaines applications (ex : concentration du jus de fruit). Solvant Q p Recyclage Perméat Q p module de filtration Pompe d alimentation Pompe de circulation Fonctionnement en diafiltration
5 Dans d autre cas, on utilise la séparation par membrane pour extraire d une solution une petite molécule (ex : extraction d un produit actif pharmaceutique d un moût de fermentation). Dans cette optique, la concentration se montre rapidement limitante en engendrant des viscosités de rétentat importante qui peuvent même rendre impossible la circulation du rétentat par la création de bouchons dans les membranes. Pour continuer à extraire les molécules, on peut recourir à des étapes de diafiltration. Ce mode de fonctionnement consiste à injecter un volume de solvant dans le réservoir identique à celui retiré dans le perméat. La concentration dans la boucle de filtration reste alors constante et permet donc de continuer l extraction des molécules. Procédé continu ou «par batch» Les deux bancs de filtration fonctionnent «par batch». Le banc d ultrafiltration est cependant très proche d un étage utilisé en filtration continue. (Voir techniques de l ingénieur J ) II. OBJECTIFS DU T.P. Au cours de ces travaux pratiques, vous séparerez un mélange aqueux comportant de la matière en suspension (particules d argiles) et des matières dissoutes (molécules de colorant ou sucre). La séparation de la matière en suspension des molécules s effectuera par ultrafiltration. La nanofiltration vous permettra ensuite de séparer les différentes molécules. La séparation de tels mélanges représente des enjeux industriels dans de très nombreux domaines : Environnement avec la potabilisation d une eau de rivière comportant de l argile et des matières organiques (pesticides) ou le traitement d effluent industriel L agro-alimentaire avec la concentration de jus de fruits comportant de la pulpe et des sucres ou l extraction de protéines du lactosérum. L industrie papetières avec le traitement de liqueur noire comportant de la lignine et des colorants La biotechnologie avec la séparation de moût de fermentation comportant de la biomasse et des produits actifs pharmaceutiques La séance de travaux pratiques doit permettre d appréhender la technologie liée à la mise en œuvre de ces opérations, d en comprendre le fonctionnement, de faire fonctionner les installations, d identifier les paramètres de conduite, et d en évaluer les potentialités en tant qu opérations de séparation. II.1. L ultrafiltration L ultrafiltration permet de séparer les petites molécules (perméat) des matières en suspensions (rétentat). Outre le résultat proprement dit de séparation par ultrafiltration, il est possible d approfondir le phénomène de colmatage des membranes par dépôt en expérimentant : l effet de la pression transmembranaire sur le flux de perméation et l apparition d un flux limite qui ne peut pas être dépassé quelque soit la pression l influence de la vitesse de circulation sur le colmatage des membranes. On peut ainsi déterminer le flux de perméation en fonction de la consommation d énergie qui permettrait à un industriel connaissant la valeur du perméat de choisir des conditions de fonctionnement optimum. a) Procédures pour l utilisation du banc d ultrafiltration IMPORTANT : Ne jamais démarrer la pompe d alimentation sans avoir vérifié l ouverture de la vanne sur la ligne rétentat La pression dans le circuit doit toujours être inférieure à 5 bars. Veiller à ce que les pompes ne fonctionnent jamais à vide
6 - Remplissage Remplir le réservoir. Ouvrir la vanne rétentat. Allumer la pompe d alimentation. Ouvrir la purge haute pour remplir la boucle de circulation (on peut légèrement fermer la vanne rétentat pour que le remplissage soit plus rapide). Fermer la purge haute. - Vidange Arrêter les pompes. Ouvrir les purges basses puis la purge haute. Vider le réservoir. Allumer la pompe d alimentation puis de circulation pendant 5 secondes pour compléter la vidange. Arrêter les pompes. - Filtration Après remplissage de la boucle de filtration, allumer la pompe d alimentation puis de circulation. Ouvrir la vanne d alimentation en eau du réseau de l échangeur. Régler le débit de circulation en agissant sur la pompe de circulation. Faire de même pour le débit d alimentation. Pour régler la pression, agir sur la fermeture de la vanne sur la ligne rétentat. - Décolmatage par contre pression (à effectuer en présence de l enseignant) Mettre la ligne perméat à l égout. Ouvrir la vanne sur la ligne perméat. Ouvrir la vanne sur l eau du réseau alimentant la partie perméat du module d ultrafiltration (décolmatage UF). Fermer la vanne sur la ligne perméat en veillant à ce que la pression dans le perméat ne dépasse pas 2 bars. Avec un balayage tangentiel de la membrane (pompe circulation en marche) un décolmatage par contre pression de 30 secondes est suffisant. b) Manipulations - Perméabilité à l eau Remplir l installation avec de l eau du réseau Réaliser des filtrations pour un débit de circulation de 1 m3/h et 4 pressions comprises entre 0 et 2 bars. Vidanger l installation. Calculer la perméabilité de la membrane - Filtration d une suspension d argile Préparer la suspension à filtrer (exemple : 20 l d une suspension d argile à 0,5 g/l à partir d une suspension mère en utilisant de l eau distillée pour la dilution). Remplir l installation avec cette suspension et la faire circuler sans pression transmembranaire dans l installation. Faire un prélèvement de 10 ml dans le réservoir. Réaliser des filtrations pour différentes conditions de pressions, de débit de circulation et de débit d alimentation. Lorsque le débit de perméation est stable, faire des prélèvements dans la boucle de circulation, dans le réservoir et dans le perméat et relever les valeurs du flux de perméation, du débit de circulation et du débit de rétentat. Analyser la concentration en argile par turbidimétrie - Rinçage (prévoir 20 minutes) Rincer le circuit de filtration en alimentant le réservoir avec de l eau de réseau tout en rejetant le rétentat dans l égout, sans filtration (5 min) au départ puis ensuite en filtrant à 1 bars avec une vitesse de circulation de 1 m 3 /h (15 min). c) Exploitation des résultats Vanne rétentat Pompe d alimentation Perméat Pompe de circulation Purge haute module de filtration Purges basses - 6 -
7 Présenter l évolution du flux en fonction du gradient de pression transmembranaire, et en fonction de la vitesse de recirculation. Présenter l évolution du taux de rejet en fonction du gradient de pression transmembranaire, et en fonction de la vitesse de recirculation. Conclure II.2. LA NANOFILTRATION L étape précédente a permis de mettre en évidence les conditions optimales de fonctionnement d une unité d ultrafiltration. Dans la suite de la démarche de dimensionnement, il est nécessaire d établir la courbe présentant l évolution du flux en fonction du facteur de concentration volumique. Cette courbe sera établie au cours de la nanofiltration d une solution contenant du sucre et du chlorure de sodium. Ce TP permettra donc de mettre en évidence les propriétés de séparation des membranes de nanofiltration. a) Procédures d utilisation du banc de nanofiltration IMPORTANT : Ne jamais démarrer la pompe sans avoir vérifié l ouverture de la vanne V22 et V23 Le débit de la pompe doit toujours être inférieur à 1000 l/h. La pression dans le circuit doit toujours être inférieure à 10 bars. Veiller à ce que la pompe ne fonctionne jamais à vide. En fin d expérience, laisser la membrane sous eau en fermant les vannes en amont et aval du module de nanofiltration. b) Manipulations - Détermination de la perméabilité de la membrane à l eau Vérifier l ouverture des vannes V22 et V23. Régler la pompe à un débit compris entre 100 et 800 l/h. Par fermeture de la vanne V22, fixer des pressions transmembranaires de 2 à 10 bars. Pour chacune des pressions, relever le débit de perméat après stabilisation. Calculer la perméabilité de la membrane - Séparation de petites molécules par nanofiltration Mettre 5L d eau dans la cuve. Faire circuler l eau afin d éliminer l air. Préparer 10 d une solution mère contenant du sucre et du NaCl afin qu amenée à 15L, cette solution soit à 30g/L en sucre et 1g/L en NaCl. Remplir le réservoir d alimentation avec cette solution. Faire circuler la solution (vanne V22 ouverte) et prélever un échantillon de la solution d alimentation. Régler la pompe et la pression aux conditions opératoires indiquées sur la fiche de suivi de manipulation. Pour concentrer la solution, récupérer le perméat dans une éprouvette graduée. Mesurer le temps pour recueillir chaque litre de perméat, et prélever un échantillon de perméat et de solution d alimentation. Mesurer le volume total de perméat recueilli et prélever un échantillon. La composition en sucre est déterminée en Degré Brix (%) par réfractométrie, et la concentration en sel par conductivité en ms/cm (voir courbe d étalonnage en annexe 1)
8 - Nettoyage (prévoir 30 minutes) Rincer le circuit de filtration en alimentant le réservoir avec de l eau de réseau tout en rejetant le rétentat dans l égout le rétentat, sans filtration (5 min) au départ puis ensuite en filtrant à 5 bars (15 min). Laisser le module sous eau en présence de 1 % massique de bisulfite de sodium. c) Exploitation des résultats Présenter l évolution du flux au cours du temps, et en fonction du facteur de concentration volumique. Estimer la pression osmotique de la solution. Présenter l évolution du taux de rejet, des deux composés, au cours du temps, et en fonction du facteur de concentration volumique. Vérifier le bilan en sucre et en sel. Conclure
9 III. DONNEES TECHNOLOGIQUES SUR LES PILOTES Le banc de nanofiltration est équipé de membranes composites (voir techniques de l ingénieur J2796-8) de Filmtec (Dow Chemical) NF dans un module spiralé (J ) avec 2.2 m 2 de surface. Les caractéristiques des différents éléments du banc sont consignées dans le classeur technique. Le banc d ultrafiltration est équipé de 2 modules tubulaires à membrane céramique KERASEP 01B (Rhodia eco service à 7 canaux. La surface membranaire est de 0,155 m2. Les cahiers (Techniques séparatives à membranes : I Considérations théoriques J 2790 & II Technologie et applications J 2796) des techniques de l ingénieur sont un support très intéressant de ces manipulations
10 ANNEXE 1 Courbe d étalonnage de la conductivité en fonction de la concentration en sel Titre du graphique Conductivité en µ S/cm 4,2 3,9 3,6 3,3 3 2,7 2,4 2,1 1,8 1,5 1,2 0,9 0,6 0, ,1 0,2 0,3 0,4 0,5 0,6 0,7 0,8 0,9 1 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 1,6 1,7 1,8 1,9 2 2,1 Concentration de chlorure de sodium en g/l
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes?
La séparation membranaire : comment maintenir la performance des membranes? Alfa Arzate, ing., Ph.D. Journées Acéricoles Hiver 2010 OBJECTIF DE LA PRÉSENTATION L objectif premier de cette présentation
Plus en détail(aq) sont colorées et donnent à la solution cette teinte violette, assimilable au magenta.»
Chapitre 5 / TP 1 : Contrôle qualité de l'eau de Dakin par dosage par étalonnage à l'aide d'un spectrophotomètre Objectif : Vous devez vérifier la concentration massique d'un désinfectant, l'eau de Dakin.
Plus en détailSite : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 2003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ
Site : http://www.isnab.com mail : mennier@isnab.fr SUJET ES - session 003 Page 1 68-(7(6VHVVLRQ LE JUS E FRUIT 35(0,Ê5(3$57,(%LRFKLPLHSRLQWV L'analyse d'un jus de fruit révèle la présence d'un composé
Plus en détailPROCÉDÉS DE SÉPARATION MEMBRANAIRE ET LEUR APPLICATION DANS L INDUSTRIE ALIMENTAIRE
Siège social et station expérimentale 142, Rang Lainesse Saint-Norbert d Arthabaska Québec G0P 1B0 Téléphone : (819) 369-4000 Télécopieur : (819) 369-9589 REVUE DE LITTÉRATURE PROCÉDÉS DE SÉPARATION MEMBRANAIRE
Plus en détailTD-SEC MODE OPÉRATOIRE
TD-SEC MODE OPÉRATOIRE RESPONSABLE : Marlène LEJARS SUPPLÉANT : Christine BRESSY Modifications : Version v01 Version v02 (ajout page 7, b) temps de solubilisation) Version v03 (ajout p7, 4.a) concentrations
Plus en détailDPGF - LOT 3 - CVC / PLOMBERIE
4, rue Dolorès Ibarruri DPGF - LOT 3 - CVC / PLOMBERIE L entreprise a la responsabilité de prévoir les bonnes quantités de fourniture pour la réalisation des travaux : - faire les métrés et renseigner
Plus en détailPARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER
ANNEXE COMPETENCES A LA CARTE DE LA BRANCHE EAU PARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER 2010 Page 1 /14 26/02/2010 OPTION MAINTENANCE
Plus en détailLes rencontres de l Agence de l eau Clermont Ferrand 10 janvier 2012. TECHNIQUES D EPURATION Dispositifs agréés Abdel LAKEL, CSTB
Les rencontres de l Agence de l eau Clermont Ferrand 10 janvier 2012 TECHNIQUES D EPURATION Dispositifs agréés Abdel LAKEL, CSTB 1 Dispositifs agréés Typologie et principe Procédés à écoulement saturé
Plus en détailThermorégulateurs Easitemp 95 et 150 eau. La solution compacte & économique
Thermorégulateurs Easitemp 95 et 150 eau La solution compacte & économique Thermorégulateurs Easitemp 95 et 150 Eau Easitemp définit un nouveau standard pour les thermorégulateurs. Un concept innovant,
Plus en détailTechnique de mesure de particules dans la pratique. De la théorie à l application.
Technique de mesure de particules dans la pratique. De la théorie à l application. Page 3 Page 3 Page 3 Page 4 Page 4 1 Introduction au comptage optique de particules 1.1 Principes physiques 1.1.1 Occultation
Plus en détailFICHE 1 Fiche à destination des enseignants
FICHE 1 Fiche à destination des enseignants 1S 8 (b) Un entretien d embauche autour de l eau de Dakin Type d'activité Activité expérimentale avec démarche d investigation Dans cette version, l élève est
Plus en détailSIGMA C est le résultat qui compte
SIGMA C est le résultat qui compte L avenir depuis 1918 L avance technologique grâce au concept breveté SIGMA: fermeture hermétique, pressurage en position de remplissage, extraction verticale, surface
Plus en détailHepatex CR. Le panneau à flux laminaire de référence
Hepatex CR Le panneau à flux laminaire de référence Hepatex CR Le panneau à flux laminaire de référence APPLICATIONS Conditionnement de l'air Energie Salle Propre Industriel Données clés u Efficacité de
Plus en détailLES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.
L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,
Plus en détailEtude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau
Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine
Plus en détailpka D UN INDICATEUR COLORE
TP SPETROPHOTOMETRIE Lycée F.BUISSON PTSI pka D UN INDIATEUR OLORE ) Principes de la spectrophotométrie La spectrophotométrie est une technique d analyse qualitative et quantitative, de substances absorbant
Plus en détailTP 3 diffusion à travers une membrane
TP 3 diffusion à travers une membrane CONSIGNES DE SÉCURITÉ Ce TP nécessite la manipulation de liquides pouvant tacher les vêtements. Le port de la blouse est fortement conseillé. Les essuie tout en papier
Plus en détailT H È S E. Docteur. l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (AgroParisTech) Camille SAGNE.
T H È S E pour obtenir le grade de Docteur de l Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l Environnement (AgroParisTech) Spécialité : Génie des Procédés présentée et soutenue publiquement par
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailPRÉPARATEURS D EAU CHAUDE SANITAIRE INDÉPENDANTS
BPB-BLC /BEPC /B /FWS PRÉPARATEURS D EAU CHAUDE SANITAIRE INDÉPENDANTS BPB : Préparateurs ecs indépendants Performance, capacité de à litres BLC : Préparateurs ecs indépendants Confort, capacité de à litres
Plus en détailPompes à carburant électriques
Page 1/8 Pompes à carburant électriques Récapitulatif du produit pour une utilisation universelle PRODUCT INFORMATION Véhicule/application Produit N PIRBURG voir catalogue/cd TecDoc Pompe à carburant électrique
Plus en détailAnalyse & Medical. Electrovannes miniatures
Analyse & Medical Electrovannes miniatures Introduction Technologies d analyse Les vannes et les procédés utilisés pour les analyses dans les laboratoires ou les industries ne sont pas en contact direct
Plus en détailQuels matériaux biosourcés pour l automobile d aujourd hui et celle de demain? Dr Stéphane DELALANDE Direction des Matériaux et Procédés Innovation
Quels matériaux biosourcés pour l automobile d aujourd hui et celle de demain? Dr Stéphane DELALANDE Direction des Matériaux et Procédés Innovation Plan Introduction Les challenges de l industrie automobile
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailMÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE
MÉTHODE DE DÉSEMBOUAGE DE CIRCUITS DE CHAUFFAGE (Radiateurs et planchers chauffants) Brevet de désembouage N 0116861 EURO FILTR'EAUX 18/22 RUE D ARRAS - F 92000 NANTERRE TÉL. : (33) 01 30 94 37 60 FAX
Plus en détailLE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS
LE FILTRE A PARTICULES : SES PROBLEMATIQUES ET NOS SOLUTIONS 1. NOTIONS DE BASE 2. CAUSES POSSIBLES DE DYSFONCTIONNEMENT 3. POURQUOI NETTOYER PLUTÔT QUE CHANGER? 4. METHODOLOGIE D APPLICATION FAP-NET (réf.
Plus en détailMANUEL D INSTALLATION ET DE MISE EN SERVICE SOMMAIRE. Fonction. Avertissements Gamme de produits Caractéristiques techniques
8/FR www.caleffi.com Groupes de transfert pour installations solaires Copyright Caleffi Séries 8 9 MANUEL D INSTALLATION ET DE MISE EN SERVICE SOMMAIRE Fonction Avertissements Gamme de produits Caractéristiques
Plus en détailUTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage
UTILISATION DES SÉDIMENTS VALORISÉS : exemple de la plate-forme expérimentale SOLINDUS pour le pré-traitement des produits de dragage Dr H. Bréquel, Responsable département Recherche 1 1 /20 CONTEXTE ET
Plus en détailDTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour
Plus en détailSP. 3. Concentration molaire exercices. Savoir son cours. Concentrations : Classement. Concentration encore. Dilution :
SP. 3 Concentration molaire exercices Savoir son cours Concentrations : Calculer les concentrations molaires en soluté apporté des solutions désinfectantes suivantes : a) Une solution de 2,0 L contenant
Plus en détail33-Dosage des composés phénoliques
33-Dosage des composés phénoliques Attention : cette manip a été utilisée et mise au point pour un diplôme (Kayumba A., 2001) et n a plus été utilisée depuis au sein du labo. I. Principes Les composés
Plus en détailEconomies en stérilisation: l eau ou l électricité?
n 4/ 2008 forum Economies en stérilisation: l eau ou l électricité? par Dominique Goullet, Praticien hospitalier, Stérilisation Hôpital Edouard Herriot 69437 Lyon Cedex 03 Remerciements Mr Emmanuel RICHARD,
Plus en détailFormulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire
Formulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire Annexe au formulaire de demande de prime 1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse Adresse de l installation Rue : N : Code Postal : Commune
Plus en détailComprendre et résoudre les problèmes infirmiers de l épuration extra rénale en réanimation
Comprendre et résoudre les problèmes infirmiers de l épuration extra rénale en réanimation C.Simonetti M.Castanier (Marseille) A.Moreau (Hospal France) Epuration extra rénale (EER) en réanimation 1. Améliorer
Plus en détailarium advance EDI Désionisation électrochimique parfaitement fiable Avantages Description Applications ijust
arium advance EDI Désionisation électrochimique parfaitement fiable Avantages Eau de type 2 de qualité constamment élevée grâce à la technologie EDI moderne Consommation d eau optimisée auto matique ment
Plus en détailQuestions Réponses sur les économies d énergie et la réduction des émissions de gaz polluants. F 13.200.0/05.12
Questions Réponses sur les économies d énergie et la réduction des émissions de gaz polluants. Questions et Réponses concernant les émissions de gaz polluants et la nouvelle législation 01 Quels sont
Plus en détailTPG 12 - Spectrophotométrie
TPG 12 - Spectrophotométrie Travail par binôme Objectif : découvrir les conditions de validité et les utilisations possibles de la loi de Beer-Lambert I- Tracé de la rosace des couleurs Choisir un des
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLa solution éco performante pour la sécurisation de l alimentation électrique des Datacenters à haut niveau de disponibilité
La solution éco performante pour la sécurisation de l alimentation électrique des Datacenters à haut niveau de disponibilité Alimentation Sans Interruption en liaison avec : Les échanges et besoins en
Plus en détaileat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com
eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste De plus en plus, le traitement des biodéchets
Plus en détailProjet de raccordement de la centrale de la Péribonka R-3581-2005
Projet de raccordement de la centrale de la Péribonka R-3581-2005 1 HQT-12, Document 1 Raccordement de la centrale de la Péribonka Péribonka Manouane 2 R-3581-2005, HQT-12, Document 1 Raccordement de la
Plus en détaildéveloppe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin.
alliance - développement - valorisation N/Réf : LET.A000.00.SAG.106149 développe pour vous des solutions toujours plus proches de votre besoin. Grâce à son expertise de l industrie nucléaire, le service
Plus en détailINGOLD Leading Process Analytics
INGOLD Leading Process Analytics Systèmes de Turbidité Sondes InPro 8000 Transmetteurs Trb 8300 Qualité du produit et fiabilité du procédé améliorées Productivité accrue Adaption simple du procédé Usage
Plus en détailwww.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E
www.mesureo.com A N A L Y S E U R E N L I G N E D A G V D E S B I C A R B O N A T E S D E L A L C A L I N I T E Solutions pour l analyse de l eau en ligne AnaSense Analyseur en ligne d AGV, des bicarbonates
Plus en détailL activité Datacenter de Cap Ingelec
D O S S I E R D E P R E S S E L activité Datacenter de Cap Ingelec SOMMAIRE INTRODUCTION Présentation de l entreprise et chiffres clés... 2/3 L ACTIVITÉ Datacenter Des missions d audit... 4/5 La réhabilitation
Plus en détailCONCOURS GÉNÉRAL DES LYCÉES Session 2014. Durée 5 heures. Corrigé. Poséidon au secours d Éole pour produire l énergie électrique
CONCOURS GÉNÉRAL DES LYCÉES Session 2014 Durée 5 heures Corrigé Poséidon au secours d Éole pour produire l énergie électrique Partie 1 - analyse du besoin Q 1. À l aide du diagramme FAST du document technique
Plus en détailRafraîchisseur modèle Trav-L-Cool
050203 Rafraîchisseur modèle Trav-L-Cool Guide d utilisation modèle déposé photo non contractuelle Z.A. du Hairy 67230 HUTTENHEIM www.alden.fr Avertissements La reproduction de tout ou partie de ce guide
Plus en détail«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod. ECO GESTES AU QUOTIDIEN - Mercredi du Développement Durable
«Le peu, le très peu que l on peut faire, il faut le faire quand même» Théodore Monod «La terre n appartient pas à l homme, c est l homme qui appartient à la terre» Sitting Bull L habitat est le premier
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailBallon d'eau chaude sanitaire et composants hydrauliques
ccessoires allon d'eau chaude sanitaire et composants hydrauliques Page 21 allon d'eau chaude sanitaire et composants hydrauliques allon d'eau chaude sanitaire de 3 l 155 12 9 9 8 7 555 P 3 25 215 55 5
Plus en détailCapteur à CO2 en solution
Capteur à CO2 en solution Référence PS-2147CI Boîtier adaptateur Sonde ph Sonde température Sonde CO2 Page 1 sur 9 Introduction Cette sonde est conçue pour mesurer la concentration de CO 2 dans les solutions
Plus en détailPROJET D INVERSION DE LA CANALISATION 9B ET D ACCROISSEMENT DE LA CAPACITÉ DE LA CANALISATION 9
Page 1 of 7 PROJET D INVERSION DE LA CANALISATION 9B ET D ACCROISSEMENT DE LA CAPACITÉ DE LA CANALISATION 9 RAPPORT SOMMAIRE DE L ANALYSE DES TRANSITOIRES SUR LE RÉSEAU PRINCIPAL Préparé par : Enbridge
Plus en détailSondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques
Sondes de conductivité pour applications industrielles hygiéniques Technologie à 2 ou à 4 électrodes Large plage de mesure 0,05 S/cm... 500 ms/cm process, matériaux, état de surface adaptés aux applications
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailFormulaire standardisé pour un chauffe-eau solaire
1. Coordonnées du demandeur Nom du demandeur Adresse de l installation Rue : N :. Code Postal : Commune : Age du bâtiment : - plus de 5 ans - moins de 5 ans 2. 2. Coordonnées de l installateur agréé 1
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (CCTP)
Institut National de la Recherche Agronomique Etablissement Public à caractère Scientifique et Technologique Centre INRA de LILLE CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (CCTP) Réalisation, Fourniture
Plus en détailGestion moteur véhicules légers
Module 8 Gestion moteur véhicules légers Orientation véhicules légers Diagnosticien d'automobiles avec brevet fédéral Orientation véhicules utilitaires Modules 7 à 9 Modules 10 à12 Modules 1 à 6 UPSA,
Plus en détailDomosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage
Domosol : Système solaire combiné (SSC) de production d eau chaude et chauffage Tc Le système solaire combiné (SSC) Domosol de ESE est basé sur le Dynasol 3X-C. Le Dynasol 3X-C est l interface entre les
Plus en détailCompteurs d Energie Thermique & Systèmes associés
Compteurs d Energie Thermique & Systèmes associés La juste mesure de la consommation d énergie thermique. Compteurs Compacts COMPTEUR ULTRAMAX Compteur compact et communicant d appartement pour la répartition
Plus en détailPropriétés thermodynamiques du mélange. Eau-Ammoniac-Hélium
International Renewable Energy Congress November 5-7, 2010 Sousse, Tunisia Propriétés thermodynamiques du mélange Eau-Ammoniac-Hélium Chatti Monia 1, Bellagi Ahmed 2 1,2 U.R. Thermique et Thermodynamique
Plus en détaildirect serve EN DE NI ES PT CZ SK www.moulinex.com
FR direct serve EN DE NI ES PT CZ SK www.moulinex.com 4 3 2 1 71mm 5 6 7 1 2 3 4 5 6 OK Click NO 7 8 9 150ml 10 Nous vous remercions d avoir choisi un appareil de la gamme Moulinex. CONSIGNES DE SECURITE
Plus en détailThermorégulateurs Series 5 et Series 4. Exciting technology!
Thermorégulateurs Series 5 et Series 4 Exciting technology! surveillance entièrement automatique du process menu interactif multilingue circuit fermé à l'abri du contact avec l'oxygène de l'air refroidissement
Plus en détailSANTOS espresso n 75. N 75 (Modèle Noir)
EQUIP HOTEL 2003 SANTOS espresso n 75 Machine à café professionnelle "Santos Espresso ", 1 groupe. Pompe 16 bars. Filtres : 1, 2 tasses, dosettes standards Idéal pour les bureaux, points de restauration
Plus en détailBateau à moteur PROPULSEURS. Comment choisir le propulseur adapté à vos besoins. Bateau 1 Tableau 1. Bateau 2. Bateau 4. Bateau 1. Bateau 3.
PROPULSEURS Comment choisir le propulseur adapté à vos besoins En tunnel ou rétractable? Les propulseurs en tunnel représentent une solution simple et efficace pour les bateaux à moteur et voiliers à fort
Plus en détailExemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale
Exemples d utilisation de G2D à l oral de Centrale 1 Table des matières Page 1 : Binaire liquide-vapeur isotherme et isobare Page 2 : Page 3 : Page 4 : Page 5 : Page 6 : intéressant facile facile sauf
Plus en détailPompes Pomac. Les processus hygiéniquement parfaits exigent des solutions optimisées
Pompes Pomac Les processus hygiéniquement parfaits exigent des solutions optimisées Pharmacie Biotechnologie Cosmétiques Produits alimentaires Boissons Aussi variées que vos applications : les pompes Pomac
Plus en détailTS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire. DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée
TS1 TS2 02/02/2010 Enseignement obligatoire DST N 4 - Durée 3h30 - Calculatrice autorisée EXERCICE I : PRINCIPE D UNE MINUTERIE (5,5 points) A. ÉTUDE THÉORIQUE D'UN DIPÔLE RC SOUMIS À UN ÉCHELON DE TENSION.
Plus en détailDiamètres 3" 4" 6" 8" Type de Bride PN 16 PN 16 PN 16 PN 16. Orangé-rouge (RAL 2002) Agrément CE/APSAD CE/APSAD CE/APSAD CE/APSAD
Description En général, un poste d'alarme à eau est composé de:. Un clapet d'alarme relié à un gong hydraulique.. Un ensemble de vannes et by-pass permettant l'essai du système.. Une vanne de vidange..
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailMeine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777)
1ère S Meine Flüssigkeit ist gefärbt*, comme disaient August Beer (1825-1863) et Johann Heinrich Lambert (1728-1777) Objectif : pratiquer une démarche expérimentale pour déterminer la concentration d une
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailTECHNIQUES DE BASE EN CHIMIE ORGANIQUE
TECHNIQUES DE BASE EN CHIMIE ORGANIQUE La synthèse organique suit en général le schéma suivant : Synthèse Séparation des produits Caractérisation du produit Pur? Oui Fin. Evaluation du rendement Non Purification
Plus en détaildes réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m
Equilibrage & Maintenance des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires G R K N E T E v o l u t i o n La solution
Plus en détailRAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS
RAPPORT COMPLET D'ETUDE DUALSYS 1 SITUATION DE L ÉTUDE Les données météorologiques sont des données primordiales pour le bon déroulement des calculs et pour avoir des résultats les plus proches de la réalité.
Plus en détailUne production économique! Echangeur d ions TKA
Une eau totalement déminéralisée Une production économique! Echangeur d ions TKA Eau déminéralisée pour autoclaves, laveurs, analyseurs automatiques, appareils d'eau ultra pure... SYSTÈMES DE PURIFICATION
Plus en détailSécheurs par adsorption à régénération par chaleur
Sécheurs par adsorption à régénération par chaleur Des Systèmes Complets Innovants Pourquoi l air comprimé sec et propre est-il important? Dans la majorité des industries, l air comprimé est un fluide
Plus en détailA Global Solution For Green Buildings.
A Global Solution For Green Buildings. www.greenfumehood.com an product SORBONNES GREENFUMEHOOD Sécurité, performance, économies d énergie et respect de l environnement ehood m u F n e Gre tre des concen
Plus en détailConception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments
Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Olivier CORREC Mél : olivier.correc@cstb.fr Contexte des réseaux d eau sanitaire Exigences générales : o Sécuriser la consommation
Plus en détailNOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine
NOTICE TECHNIQUE SSC : Système Solaire Combiné eau chaude sanitaire / appui chauffage maison / appui eau chaude piscine «Capteur autonome eau chaude» Choix de la gamme ECOAUTONOME a retenu un capteur solaire
Plus en détailENERGIS. CHAUDIÈRE ÉLECTRIQUE - EAU CHAUDE DE CHAUFFAGE 36 À 1 400 kw
NRGIS HUIÈR ÉLTRIQU - U HU HUFFG À 00 kw Souples d utilisation, fiables et performantes, les chaudières électriques eau chaude LZ NRGIS trouvent leurs applications dans de nombreux domaines. n fonctionnement
Plus en détailLes rôles de l oxygène en phase post fermentaire
CONTRIBUTION SCIENTIFIQUE Les rôles de l oxygène en phase post fermentaire De Dominique Delteil, consultant L article a été publié sur le site Internet de l Institut Coopératif du Vin- ww.icv.fr- Flash
Plus en détailBusiness Intelligence
avec Excel, Power BI et Office 365 Téléchargement www.editions-eni.fr.fr Jean-Pierre GIRARDOT Table des matières 1 Avant-propos A. À qui s adresse ce livre?..................................................
Plus en détailInformation. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?
Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.
Plus en détailVincent SAVIGNAC. Mise en route d un Décanteur Primaire Pilote. Tests traceurs sur une installation pilote. Projet primeau
Université Laval Pavillon Adrien Pouliot Dép. Génie Civil et Génie des Eaux 1065, Avenue de la Médecine G1V 0A6 Québec, Canada Institut National des Sciences Appliquées Dép. Génie des Procédés et Environnement
Plus en détail1. CONTRAT DE MAINTENANCE
1. CONTRAT DE MAINTENANCE 1.1. Groupe électrogène Nr de contrat : Date d entrée en vigueur : Le présent contrat est conclu entre : AGENT SDMO SUD BE Contact : Téléphone Télécopie : Email : Lieu d installation
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX
ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE
Plus en détailGESTION ET ASSAINISSEMENT DES EAUX PLUVIALES Q-BIC PLUS CONNECT TO BETTER Q-BIC PLUS 1. #LesRèglesOntChangé CONNECT TO BETTER CONNECT TO BETTER
GESTION ET ASSAINISSEMENT DES EAUX PLUVIALES Q-BIC PLUS #LesRèglesOntChangé Q-BIC PLUS 1 LES NOUVELLES RÈGLES DE LA GESTION DES EAUX PLUVIALES COMMENCENT ICI Wavin Q-Bic Plus, nouveau système de rétention/infiltration
Plus en détailPrésentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC
Présentation du 04 décembre 2014 CONFERENCE POLLUTEC Retour d expérience : Exemples concrets de mises en oeuvre de solutions suite à des audits énergétiques dont celui d une Pompe A Chaleur Haute Température
Plus en détailRéduction de la pollution d un moteur diesel
AUBERT Maxime SUP B Professeur accompagnateur : DELOFFRE Maximilien SUP B Mr Françcois BOIS PAGES Simon SUP E Groupe n Réduction de la pollution d un moteur diesel Introduction L Allemand Rudolf Diesel
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détailSystèmes de transmission
Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un
Plus en détail2105-2110 mm 1695 mm. 990 mm Porte-à-faux avant. Modèle de cabine / équipage Small, simple / 3. Codage 46804211 46804311 46804511
CANTER 3S13 2105-2110 mm 1695 mm 990 mm Porte-à-faux avant 3500 3995 4985 Longueur max. de carrosserie** 2500 2800 3400 Empattement 4635 4985 5785 Longueur hors tout Masses/dimensions Modèle 3S13 Modèle
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailBIO-CEL MODULES IMMERGÉS POUR BRM
BIO-CEL MODULES IMMERGÉS POUR BRM MANUEL D UTILISATION Le spécialiste de la filtration membranaire Alting est fondée en 1998, à l issue d un «management buy out» partiel (pour le marché français) de la
Plus en détailL injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel
L injection de biométhane dans le réseau de gaz naturel Claire BRECQ GrDF - Délégation Stratégie- Régulation 10 ème Conférence sur le biogaz et le biométhane Montréal, le 24 mai 2012 Présentation de GrDF
Plus en détailCENTRALE D ACHAT DU GRAND DIJON
CENTRALE D ACHAT DU GRAND DIJON Location de fontaines à eau, et exploitation de distributeurs automatiques de denrées alimentaires sucrées et salées, boissons fraiches et/ou chaudes Cahier des Clauses
Plus en détail