1 Introduction de la nouvelle nomenclature des activités (nace rev. 2)

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "1 Introduction de la nouvelle nomenclature des activités (nace rev. 2)"

Transcription

1 PASSAGE A LA NOUVELLE NOMENCLATURE DES ACTIVITES (NACE REV. 2) ET ADAPTATION DES SOURCES ET DES METHODES UTILISEES DANS LES COMPTES DETAILLES DE SEPTEMBRE Introduction de la nouvelle nomenclature des activités (nace rev. 2) 1.1. Généralités Les classifications des activités et des produits font l objet d une révision périodique. Celle-ci s avère nécessaire parce que la structure économique des pays évolue, modifiant ainsi la composition de certains agrégats dans les comptes nationaux (ventilés par branche d activité et/ou par produit). La NACE 2008 remplace désormais la nomenclature NACE La nomenclature des activités revue NACE rév. 2 1 (NACE 2008) comprend moins de détails qu auparavant en ce qui concerne l industrie, mais plus de détails pour ce qui est de la construction et des branches d activité de services. Nombre de branches d activité dans la NACE 2003 section intitulé NACE 2 NACE 3 NACE 4 NACE 5 A_B agriculture, sylviculture et pêche C_E industries extractives, industrie manufacturière, production et distribution d électricité, de gaz et d eau F construction G_P services total Nombre de branches d activité dans la NACE 2008 section intitulé NACE 2 NACE 3 NACE 4 NACE 5 A_B agriculture, sylviculture et pêche C_E industries extractives, industrie manufacturière, production et distribution d électricité, de gaz et d eau, assainissement F construction G_T services total Les niveaux d agrégation utilisés dans les comptes nationaux publiés jusqu en 2010 (NACE 2003) et ceux publiés à partir de 2011 (NACE 2008) sont les suivants: NACE 2003 NACE 2008 domaine A6 A10 comptes trimestriels A17 A21 non utilisé dans les comptes nationaux (sections de la NACE) A31 A38 comptes détaillés estimations de l année précédente (t-1) A60 A64 comptes détaillés estimations t-2 et antérieures branche SUT (# 125) branche SUT (# 135) niveau de compilation des agrégats par branche d activité Le contenu des différents niveaux d agrégation selon les termes de la NACE 2008 figure en annexe. 1 Le classement le plus détaillé des branches d activité qui est utilisé ici est la NACE à 4 chiffres. Pour la Belgique, la NACE-bel 2008, établie par la DGSIE, est compatible, même si cette dernière classification fournit des détails supplémentaires (spécification des branches d activité à 5 chiffres). La NACE-bel 2008 est la transposition en Belgique du règlement (CE) n 1893/2006 du Parlement européen et du Conseil du 20 décembre 2006 établissant la nomenclature statistique des activités économiques NACE rév. 2. 1

2 1.2. Passage a la nace Conversion automatique de la nace 2003 a partir du répertoire 2008 Les estimations pour l année 2009 sont réalisées directement dans la NACE Pour ce faire, toutes les unités (sociétés, indépendants, ASBL, etc.) reprises dans le répertoire 2009 devaient disposer d un code NACE (à 5 chiffres) selon la nouvelle classification. Pour les entreprises existantes (présentes dans le répertoire 2008), la NACE 2008 a été attribuée sur la base de la NACE Les relations possibles entre l ancienne et la nouvelle NACE 2 sont énumérées ci-dessous: si, lors du passage de la NACE 2003 à la NACE 2008, il existait, pour les codes, une relation «1 1» ou «N 1», une conversion automatique était effectuée à partir de l ancien code NACE; si, lors du passage de la NACE 2003 à la NACE 2008, il existait, pour les codes, une relation «1 N», la méthode suivante était appliquée: le code NACE 2008 de l entreprise concernée dans la Banque - Carrefour des Entreprises a constitué le point de départ; si le code NACE renseigné dans la Banque Carrefour des Entreprises faisait partie des codes NACE 2008 appartenant à «N», celui-ci était appliqué; si le code NACE renseigné dans la Banque Carrefour des Entreprises ne faisait pas partie des codes NACE 2008 appartenant à «N», le code NACE préférentiel était choisi. Ce dernier est le code NACE le plus générique au sein de «N». La relation «1 N» est illustrée ci-après au moyen d un exemple: NACE 2003 intitulé NACE 2008 intitulé Autres formes d édition en ligne Édition de livres Édition de répertoires et de listes d adresses en ligne Édition de répertoires et de fichiers d'adresses Autres formes d édition en ligne Édition de journaux Autres formes d édition en ligne Édition de revues et de périodiques Édition de bases de données en ligne Autres activités d'édition Autres formes d édition en ligne Autres activités d'édition Autres formes d édition en ligne Édition de jeux électroniques Autres formes d édition en ligne Édition d'autres logiciels Édition en ligne de musique à télécharger Édition musicale Émission de programmes de radio par vidéo Diffusion de programmes radio Émission de programmes de télévision par vidéo Programmation de télévision et télédiffusion Conception de la structure et du contenu des banques de données Programmation informatique * Activités connexes aux banques de données * Traitement de données, hébergement et activités connexes Portails de recherche sur vidéo Portails Internet (*) est le code NACE 2008 préférentiel correspondant au code NACE Le code NACE (activités connexes aux banques de données) est réparti, dans la nouvelle NACE, entre 13 branches d activité à 5 chiffres. Ces activités relèvent, dans la NACE 2008, de 5 branches d activité différentes (58, 59, 60, 62, 63). Si le code NACE 2008 renseigné dans la Banque Carrefour des Entreprises classées actuellement sous le code NACE dans le répertoire 2008 concerne l une des 13 branches d activité [58110, 58120, 58130, 58140, 58190, 58210, 58290, 59203, 60100, 60200, 62010, 63110, 63120, la NACE attribuée est celle de la Banque Carrefour des Entreprises. Si la NACE selon la Banque Carrefour des Entreprises ne correspond à aucune de ces 13 catégories, l entreprise se voit attribuer la NACE préférentielle (63110). 2 La DGSIE a établi une table de correspondance entre les nomenclatures NACE 2003 et NACE

3 Pour les nouvelles entreprises (figurant dans le répertoire 2009 mais non dans le répertoire 2008), le code NACE 2008 selon la Banque Carrefour des Entreprises a été retenu Correction des codes nace erronés dans le répertoire 2009 Le passage à la NACE 2008 a été mis à profit pour améliorer, le cas échéant, la qualité des codes NACE dans le répertoire. Avant de réaliser la conversion automatique, les codes NACE des entreprises figurant dans le répertoire 2008 ont été contrôlés afin d identifier de possibles incohérences en les confrontant à des souspopulations externes (recensement agricole, entreprises participant à l enquête sur la production industrielle [prodcom]). De plus, la NACE adaptée utilisée par l ONSS à partir de 2010 pour les entreprises de titresservices a été anticipée, la NACE d entreprises atypiques actives dans la branche SUT 3 a été corrigée et la population d entreprises relevant de l ancien code NACE (autres services aux entreprises) a été réduite 4. Ainsi, le code NACE de plusieurs milliers d entreprises a pu être corrigé (au niveau NACE à 2 chiffres). L importance relative des branches d activité dans l économie s en trouve modifiée. Tableau 1 Redistribution de la valeur ajoutée entre les branches d activité à la suite des corrections des codes NACE (2008, millions d euros) S11 S124 S15 agriculture, sylviculture et pêche (A) industries extractives (B) industrie manufacturière (C) production et distribution d électricité, de gaz, de vapeur et d air conditionné (D) 1 1 production et distribution d eau; assainissement, gestion des déchets et dépollution (E) construction (F) commerce; réparation de véhicules automobiles et de motocycles (G) transports et entreposage (H) hébergement et restauration (I) 0 0 information et communication (J) -8-8 activités financières et d assurance (K) activités immobilières (L) -6-6 activités spécialisées, scientifiques et techniques (M) activités de services administratifs et de soutien (N) enseignement (P) santé humaine et action sociale (Q) arts, spectacles et activités récréatives (R) 7 7 autres activités de services (S) total total S11: sociétés non financières S124: auxiliaires financiers S15: institutions sans but lucratif au service des ménages La correction de codes NACE a conduit, dans certains cas, à une révision des codes sectoriels: ainsi, en 2008, 97 millions d euros de valeur ajoutée sont passés de S124 à S11 (sociétés non financières qui étaient reprises à tort sous le code NACE «secteur financier») et 56 millions d euros de valeur ajoutée sont passés de S15 à S11 (écoles internationales qui sont désormais considérées comme producteurs marchands). Les principaux transferts s observent entre d une part l industrie et la construction, qui gagnent du terrain, et d autre part les services administratifs, le commerce (de gros) et les activités financières, qui reculent Il s agit d entreprises ayant une activité principale dans une autre branche d activité que celle qui est renseignée dans le tableau des ressources et des emplois, ce qui révèle un code NACE erroné dans le répertoire. Si la Banque Carrefour des Entreprises renseigne un code NACE plus spécifique pour ces entreprises, c est celui-là qui est attribué. La valeur ajoutée dans l agriculture étant estimée de manière exogène, les corrections NACE n'ont pas d incidence sur celle-ci. Les entreprises qui disparaissent de l agriculture (et qui apparaissent par exemple dans l'industrie alimentaire et dans le commerce de produits agricoles) sont responsables de l augmentation (de 38 millions d euros) de la valeur ajoutée totale. 3

4 1.2.3 Elaboration des séries dans la nace 2008 a partir de 1995 L'analyse économique requiert évidemment la mise à disposition de séries plus longues dans la NACE C'est à cet effet qu'il a été procédé à l'élaboration de données rétrospectives à partir de 1995, et ce en deux phases: la conversion des séries des anciens répertoires en séries de la NACE 2008 au niveau A64, conformément à la NACE Les variables disponibles par entreprise (statistiques du marché du travail et investissements) ont fait l'objet d'une conversion par entreprise, les variables individuelles ayant été ensuite agrégées en branche d'activité A64. Les variables disponibles uniquement par branche d'activité (valeur ajoutée) ont fait l'objet d'une conversion d'une ancienne branche d'activité SUT en une nouvelle branche d'activité A64; la rétropolation des corrections de la NACE/adaptations du secteur institutionnel dans le répertoire 2009: ainsi, la correction de la NACE (et, dans certains cas, l'adaptation du code sectoriel institutionnel) apportée au répertoire 2009 a également été répercutée dans le passé, d'où, en principe, l'absence de rupture entre 2009 et les années antérieures. 2 Adaptations des sources et des methodes 2.1 Adaptations dans l'optique production Agriculture (partim aménagement des paysages) L'analyse a montré que la valeur ajoutée réalisée dans l activité 0141 de la NACE 2003 («services annexes à l'agriculture; aménagement des paysages») est actuellement fortement sous-estimée. La production était jusqu à présent alignée sur les dépenses des ménages (source: enquête sur le budget des ménages), en supposant que la consommation intermédiaire s'élevait à 20 % de la production. Il convenait d'améliorer cette méthode dans la mesure où ces entreprises ne travaillent pas exclusivement pour les particuliers (mais aussi pour d'autres entreprises et pour les administrations publiques) et la consommation intermédiaire peut aussi être estimée directement. À l'avenir (nouvelle nomenclature), cette activité ne sera plus reprise dans l'agriculture, mais dans une branche des services (code 813 de la NACE: services d'aménagement paysager). La valeur ajoutée de cette NACE est (à partir de 2009) estimée au moyen de sources utilisées dans la plupart des autres branches d'activité (combinaison des comptes annuels et de la TVA), engendrant ainsi une valeur ajoutée beaucoup plus élevée, d'où l'apparition d'une rupture si la série restait en l'état pour les années précédentes ( ). Il a donc été décidé d'établir, pour la période , des données rétrospectives comparables à l'estimation relative à l'année 2009: les chiffres concernant l'agriculture sont diminués des montants du code 0141 de la NACE, estimés à l'aide de l'enquête sur le budget des ménages; la période du code 813 de la NACE 2008 (code 0141 de la NACE 2003) est estimée à l'aide de la TVA. Parallèlement, l'incidence de cette révision a été répercutée dans l'optique dépenses. Le fichier «fournisseurs» de la TVA nous indique la part du chiffre d'affaires facturée aux autres entreprises 6. Nous supposons que 15 % est facturé aux administrations publiques. Le reste constitue des ventes aux 6 Ces dépenses ont déjà été intégrées dans les comptes comme consommation intermédiaire et/ou investissements des sociétés et des indépendants. 4

5 particuliers. Ces dépenses finales supplémentaires ont été réparties sur la consommation des ménages (entretien de jardins) et leurs investissements (aménagement de jardins et d allées, etc.). Étant donné que la révision de la valeur ajoutée des codes 0141/813 de la NACE n'est pas aussi importante que celle de l'optique des dépenses y afférente, il a également fallu procéder à un arbitrage limité pour l'optique de la production (où la valeur ajoutée du commerce de gros a été revue légèrement à la baisse) et pour celle des dépenses (où la consommation des ménages a été revue légèrement à la hausse). Au bout du compte, le PIB des années définitives dépasse de 0,13 % à 0,17 % son niveau antérieur Sylviculture et pêche À partir de 2009, ces branches font appel par défaut aux comptes annuels et à la TVA pour estimer la valeur ajoutée au lieu de sources et d'hypothèses spécifiques. Au vu de l'incidence limitée de ce changement sur la valeur ajoutée, seuls les chiffres de 2008 ont été adaptés, les séries demeurant inchangées Révision de l'estimation de la valeur ajoutée des membres d'une unité tva sans comptes annuels (2009) Les membres d'unités TVA sans comptes annuels se voient désormais attribuer une catégorie spécifique dans le répertoire. Il n'est plus possible d'estimer leur valeur ajoutée grâce au chiffre d'affaires TVA lequel n'est plus disponible : à partir de 2009, celle-ci est estimée au départ de la masse salariale déclarée à l'onss. Ce changement de méthode a un effet négatif sur la valeur ajoutée (-230 millions d'euros en 2009). Les années précédentes n ont pas l'objet d'une adaptation Reclassement de répresentants fiscaux avec salaires/emploi en tant que succursales belges d'entreprises étrangères dans le répertoire 2009 À partir de 2009, les unités qui, sur base des informations administratives, sont cataloguées comme des représentants fiscaux mais qui possèdent une activité effective en Belgique (parce qu'elles font état de salaires/emploi à l'onss) sont considérées de facto comme des succursales d'entreprises étrangères (sans comptes annuels). Leur valeur ajoutée n'est plus estimée sur la base des salaires mais, dans la plupart des cas, sur la base du chiffre d'affaires TVA. Pour 2008, l'incidence de ce changement de méthode sur la valeur ajoutée se chiffre à +150 millions d'euros. Les années précédant 2009 n ont pas fait l'objet d'une adaptation Recours systematique aux enquêtes structurelles en l'absence de comptes annuels en 2009 Les sociétés disposant d'une enquête structurelle valable, quoique sans comptes annuels, se voient désormais attribuer une catégorie spécifique dans le répertoire (à savoir la catégorie E1 si ce sont de grandes entreprises et la catégorie E2 si ce sont des PME) 7. Leur valeur ajoutée est désormais directement déduite de l'enquête et non plus estimée indirectement au moyen du chiffre d'affaires TVA ou des salaires déclarés à l'onss. En 2009, 300 entreprises étaient dans ce cas, soit une valeur ajoutée globale de millions d'euros selon l'enquête structurelle. L'incidence de l'amélioration de cette méthode sur la valeur ajoutée n'est pas connue, en raison de l'indisponibilité de l'estimation alternative (via la TVA ou l'onss). Les années précédant 2009 n ont pas fait l'objet d'une révision Optimalisation du traitement des comptes annuels déposés par les unités classées en s123 et s124 A partir de 2009, le traitement des données des comptes annuels déposés à la Centrale des bilans par les entreprises financières des secteurs S123 (autres intermédiaires financiers à l exclusion des sociétés d assurance et des fonds de pension) et S124 (auxiliaires financiers) et l estimation des agrégats comptables (production, consommation intermédiaire et valeur ajoutée) qui s y rapportent se font dans l application déjà utilisée pour traiter les données comptables des sociétés non financières. Ce changement permet une amélioration et une plus grande systématisation des procédures d estimation pour les secteurs S123 et S124, 7 Dans la pratique, il s agit dans la plupart des cas de succursales belges de sociétés étrangères qui ne sont pas tenues légalement de déposer des comptes auprès de la Centrale des Bilans. Ces sociétés figurent toutefois dans l échantillon de l enquête structurelle. 5

6 au départ de sources d information qui restent inchangées. Les méthodes d estimation sont ainsi devenues davantage similaires à celles prévalant pour les sociétés non financières, tout en veillant à maintenir la prise en compte de spécificités propres aux sociétés financières. Rappelons que, dans un premier temps, les variables comptables sont agrégées afin d obtenir des agrégats administratifs ; ensuite, une série de corrections est appliquée pour rendre des agrégats conformes aux concepts du SEC Le recours à l application pour les secteurs S123 et S124 a été l occasion d introduire des améliorations dans les procédures d estimation au niveau du passage en concept SEC, soit par l introduction de nouvelles corrections, soit par l utilisation de nouvelles sources pour certaines corrections existantes. L absence de résultats selon l ancienne méthodologie et la nouvelle méthodologie pour une année témoin ne permet pas de quantifier l impact de ces améliorations d ordre méthodologique sur l estimation de la valeur ajoutée des secteurs S123 et S124. Il devrait toutefois être relativement limité Inclusion dans le répertoire 2009 des asbl deposant des comptes annuels mais sans declaration a la tva ou l onss Ces unités sont incluses pour la première fois dans le répertoire La marge brute (comme approximation de la valeur ajoutée) de ces unités s'élève à 50 millions d'euros Recours systématique aux comptes annuels des asbl classées en s11 et s15 à partir de 2009 Les ASBL qui déposent des comptes annuels se voient désormais attribuer une catégorie spécifique dans le répertoire: les ASBL qui présentent un schéma complet (catégorie H1); les ASBL qui présentent un schéma abrégé mentionnant le produit des ventes et les achats (catégorie H2); les ASBL qui présentent un schéma abrégé ne mentionnant pas le produit des ventes et les achats (catégorie H3); pour ces populations, la production, la consommation intermédiaire et la valeur ajoutée 8 sont estimées à l'aide des comptes annuels, et non plus à l'aide de données d'enquête ou de méthodes indirectes (estimation sur la base des salaires); les ASBL qui ne doivent pas déposer de comptes annuels (catégorie H4). Pour cette population, la valeur ajoutée est estimée au moyen des salaires (en s'appuyant sur la structure de H2 + H3). Dans le secteur S15, le recours à cette nouvelle source donne des chiffres considérablement plus élevés pour la production et la consommation intermédiaire. En revanche, la modification de la valeur ajoutée n'est que marginale. Dans le secteur S11, par contre, la valeur ajoutée des branches d'activité comportant une part importante d'asbl subit bel et bien une influence. L'incidence précise n'est pas connue, car il n y a pas eu d année transitoire d application des deux méthodes. L'année 2008 a été quelque peu lissée et les années précédant 2008 ont été maintenues inchangées Methode d'estimation adaptee pour les pme qui ne mentionnent pas leur chiffre d'affaires et leurs achats dans les comptes annuels (2009) Le chiffre d'affaires et les achats sont des mentions facultatives dans les schémas abrégés des comptes annuels. De moins en moins d'entreprises les remplissent (en 1995, elles étaient encore 45 % à le faire; en 2008, moins de 20 %). Les informations (chiffre d'affaires et achats) de cette population en régression (cat B1) ne seront dès lors plus utilisées comme base d'extrapolation pour les comptes annuels sans chiffre d'affaires et achats (cat B2). 8 La marge brute, qui est une approximation de la valeur ajoutée, est toujours disponible dans les deux schémas. 6

7 Dans la catégorie B2, le chiffre d'affaires est désormais repris directement des déclarations TVA, et les achats sont déduits par solde (la valeur ajoutée étant toujours connue). Cette méthode adaptée a toutefois des répercussions sur l'estimation de la valeur ajoutée des PME sans comptes annuels (cat. B3) puisque celle-ci dépend de la structure B1 + B2. 7

8 La situation est illustrée ci-après. Avant révision (a) S11_branche d'activité xyz B1+B2 A1 A2 B1 B2 C1 C2 B3 total +C1+C2 % produit d'exploitation consommation de biens et services ,1 valeur ajoutée ,9 Après révision (b) S11_ branche d'activité xyz B1+B2 A1 A2 B1 B2 C1 C2 B3 total +C1+C2 % produit d'exploitation consommation de biens et services ,5 valeur ajoutée ,5 Révision (b)-(a) S11_ branche d'activité xyz A1 A2 B1 B2 C1 C2 B3 total produit d'exploitation consommation de biens et services valeur ajoutée A1: schémas complets A2: grandes entreprises sans comptes annuels B1: schémas abrégés avec chiffre d'affaires et achats (et marge brute >0) B2: schémas abrégés sans chiffre d'affaires et achats (et marge brute >0) C1: schémas abrégés avec chiffre d'affaires et achats (et marge brute < 0) C2: schémas abrégés sans chiffre d'affaires et achats (et marge brute < 0) B3: PME sans comptes annuels Avant révision cat B2: le produit d'exploitation (chiffre d'affaires) et les achats sont extrapolés à l aide de B1 (B1g_B2/B1g_B1 = 4). cat B3: produit d'exploitation = chiffre d'affaires selon TVA; les achats sont déterminés sur la base du ratio achats/chiffre d'affaires de B1+B2+C1+C2=65,1%. Après révision cat B2: produit d'exploitation = chiffre d'affaires selon TVA, les achats sont déterminés par solde (la valeur ajoutée ne change pas). cat B3: produit d'exploitation = chiffre d'affaires selon TVA; les achats sont déterminés sur la base du ratio achats /chiffre d'affaires de B1+B2+C1+C2= 56,5%. L'incidence globale sur la valeur ajoutée peut être estimée à +340 millions d'euros et est répartie sur l'ensemble des branches d'activité. Les années antérieures à 2009 n ont pas fait l'objet d'une révision Estimation des tantièmes versés par les pme ne déposant pas de comptes annuels depuis 2009 Les tantièmes sont considérés comme de la consommation intermédiaire pour la société qui les verse et comme une production pour les administrateurs/gérants. Jusqu'à présent, il n'était tenu compte des tantièmes que pour les PME déposant des comptes annuels. Depuis 2009, une estimation des tantièmes versés par les entreprises ne déposant pas de comptes annuels est également réalisée. Il en résulte une augmentation de la consommation intermédiaire et une diminution de la valeur ajoutée (- 150 millions d'euros). Les années antérieures à 2009 n ont pas été adaptées. 8

9 Reclassement du revenu des services de logement Avant la révision, le loyer imputé (loyer fictif pour les propriétaires) et le loyer effectif (pour les bailleurs) étaient traités différemment: le loyer imputé était traité dans le compte sectoriel des ménages comme un excédent d'exploitation et le loyer effectif comme un revenu mixte. Ce traitement n'est pas conforme au SEC95 puisqu'un revenu mixte ne peut être perçu que par des entreprises-personnes physiques (entreprises indépendantes) et que les ménages qui donnent un logement en location ne peuvent pas être considérés comme des entrepreneurs. Cette anomalie a été corrigée, entraînant une augmentation de l'excédent d'exploitation en S14 et une diminution du revenu mixte (lié à la mise en location de logements) du même montant. Il n'y a pas d'incidence sur la valeur ajoutée. Les séries ont été adaptées à partir de Tableau 2 Reclassement du revenu mixte brut (B3g) en excédent brut d'exploitation (B2g) dans le secteur S14 (millions d'euros) B2g B3g Apercu des différents points Tableau 3 Incidence de la révision de la valeur ajoutée par article (avant 2008) (*) (millions d'euros) Données rétrospectives 1 incidence des corrections NACE dans l'agriculture 40 N 2 adaptation des sources et des méthodes dans la sylviculture et la pêche -40 N 3 intégration dans le répertoire des asbl avec comptes annuels mais sans déclaration à la TVA et à l'onss 50 N 4 adaptation de la catégorie (sources et méthodes) pour les représentants fiscaux avec salaires 150 N 5 adaptation des sources et des méthodes pour les PME sans chiffre d'affaires et achats 340 N 6 estimation des tantièmes dans les PME ne déposant pas de comptes annuels -150 N 7 adaptation de la catégorie (sources et méthodes) pour les membres d'une unité TVA sans comptes annuels -230 N 8 adaptation des sources et des méthodes dans la branche d'activité «entretien de l'espace naturel» 800 Y 9 utilisation des comptes annuels des asbl en S15 n.a. N 10 utilisation des comptes annuels des asbl en S11 n. N 11 utilisation des enquêtes structurelles pour les sociétés sans comptes annuels n. N 12 reclassement du revenu mixte dans l'excédent d'exploitation (services de logement) 0 Y Total (à l'exclusion des points 10 et 11) 960 (*) Approximations 2.2. Adaptations dans l'optique dépenses Dans les comptes des administrations publiques, les investissements des administrations locales ont fait l'objet d'une révision à partir de l'année Il a été décidé de ne pas répercuter ces adaptations dans l'optique de la production (par exemple dans la construction), parce que l'on présume que son estimation est fiable. L on procède à l'écriture inverse dans la variation des stocks. Le transit de gaz a été évalué et éliminé des chiffres des importations et exportations de biens. Les dépenses de consommation des ménages et leurs investissements en logement ont été revus à la hausse, compte tenu des dépenses supplémentaires respectivement pour l'entretien et l'aménagement de jardins, d'allées, etc. 9

10 Les dépenses de consommation des isbl ont été revues à la baisse, étant donné que les écoles internationales ont été reclassées dans le secteur marchand et qu'un institut de recherche (qui était déjà traité dans les comptes des administrations publiques) a été retiré du S15. Pour plus de détail, se référer au point Aperçu de la révision des optiques production et dépenses pour les années définitives À la suite des adaptations précitées, le PIB depuis 1995 dépasse de 0,13 % à 0,17 % son niveau antérieur. Tableau 4 Révision du PIB dans l'optique production depuis 2000 (millions d'euros) PIB septembre PIB septembre révision du PIB Révision de la valeur ajoutée NACE autres adaptations (*) dont S (*) Ajustements de la valeur ajoutée dans le commerce de gros (arbitrage), ajustement de la valeur ajoutée en S15 (élimination des doubles comptages), révision de la valeur ajoutée en S12 (2006 et 2007: correction d erreurs). Comme il a été signalé plus haut, cette révision haussière est liée à l'ajustement à la hausse de la valeur ajoutée dans la branche d'activité «entretien de l'espace naturel». En 2006 et 2007, cet effet a été quelque peu atténué par la correction d erreurs dans les chiffres du secteur financier. Les chiffres relatifs aux années 2008 et 2009 sont également influencés par plusieurs autres éléments (notamment le remplacement des chiffres provisoires par les chiffres définitifs dans l'ensemble des branches/secteurs). Tableau 5 Révision du PIB dans l'optique dépenses depuis 2000 (millions d'euros) Dép. cons. adm. publ. (P3S13) Dép. cons. ménages (P3S14) Dép. cons. isbl non marchandes (P3S15) Formation brute de capital fixe (P51) adm. publiques (P51S13) ménages/logements (P51S14) Variation des stocks (P52) Exportations de biens (P61) Exportations de services (P62) Importations de biens (P71) Importations de services (P72) PIB La révision à la hausse de la dépense finale des ménages (dépense de consommation et investissements en logements) est liée à la révision haussière de la production (et de la valeur ajoutée) dans la branche d'activité «entretien de l'espace naturel». Les dépenses de consommation des isbl ont été ajustées à la baisse à la suite du changement de secteur des écoles internationales (qui passent de S15 à S11) et de la suppression d'une unité qui était déjà traitée dans les comptes des administrations publiques (S13). Les investissements des pouvoirs locaux (P51S13) ont été revus à partir de Cet ajustement a fait l'objet d'une écriture inverse dans la variation des stocks. Les importations et exportations de biens (P71 et P61) se modifient du même montant du fait de l'élimination du transit de gaz dans les chiffres du commerce extérieur. 10

11 3 Adaptations d autres élements de la séquence des comptes Outre l impact direct que les révisions des optiques production et dépenses ont sur la séquence des comptes des secteurs, d autres adaptations ont été apportées qui influent sur certains agrégats des comptes. 3.1 Amélioration du répertoire induisant des glissements sectoriels Révisions des rémunerations des salariés a charge des différents secteurs depuis 1995 L amélioration du répertoire 2009 a conduit au reclassement sectoriel de certaines unités (cf. point ). L incidence de ces reclassements ne s est pas limité à l estimation de la valeur ajoutée sectorielle, mais a également conduit à une révision des rémunérations des salariés (D1) à charge des différents secteurs (S11, S1124 et S15). Les rémunérations par secteur ont été adaptées depuis 1995, conformément aux principes décrits au point Effets induits dans le compte des isbl au service des ménages (s15) La révision, depuis 1995, des rémunérations à charge du secteur S15 a induit des adaptations dans d autres agrégats de la séquence du compte de ce secteur. La plupart des transactions du compte S15 sont, jusqu en 2008, calculées sur la base des résultats de l'enquête structurelle auprès des ASBL. Ces résultats sont extrapolés à l'ensemble de la population du S15 au moyen d'un coefficient de masse salariale (masse salariale de la population du S15 / masse salariale de l'échantillon de l'enquête). Dès lors, la révision de la masse salariale de l ensemble du secteur a automatiquement induit une adaptation des estimations pour d autres transactions du compte S15 depuis Parmi les transactions révisées figure la production non marchande du secteur (P13). Conformément au SEC1995, les transferts sociaux en nature (D63) et les dépenses de consommation finale (P31) des ISBL au service des ménages ont dès lors, eux aussi, été révisés sur toute la période. Ces dépenses sont en effet égales à la production non marchande du secteur augmentée d'une estimation pour les biens et services achetés sur le marché et fournis à un prix économiquement non significatif aux ménages Exploitation des comptes annuels des asbl à partir de 2009 La séquence du compte des ISBL au service des ménages (S15) a été impactée par la prise en compte, à partir de 2009, de certaines données reprises des comptes annuels déposés par les ISBL auprès de la Centrale des bilans. Ainsi, les transactions «transferts courants divers» (D.75) et «autres transferts en capital» (D.99) 9 présentent des ruptures de série en Dans la mesure où cette modification constitue une réforme fondamentale des sources utilisées et des procédures sous-jacentes à la production des estimations des agrégats de la séquence des comptes du S15, le caractère provisoire des chiffres pour les années 2009 et 2010 doit être tout particulièrement souligné. Les estimations pourraient en effet encore être améliorées dans les prochains mois. 9 Conformément au SEC1995, les legs doivent être dissociés des dons et enregistrés en transferts en capital. Cette distinction est maintenant possible grâce à l exploitation des comptes déposés par les ASBL et des transferts en capital (D9) apparaissent dans la séquence des comptes du S15 à partir de

12 3.3. Plus grande convergence avec les données de la balance des paiements de la Belgique Les «transferts courants divers» (D75) et les «autres transferts en capital» (D99) en provenance et à destination du reste du monde ont été révisés afin d assurer une meilleure concordance avec les données de la balances des paiements (BoP) de la Belgique. Cette révision a été impactée à partir de 2007, année à partir de laquelle le système de collecte de données de la BoP a été fondamentalement modifié, se basant depuis lors sur la collecte d informations via des enquêtes auprès des entreprises. Ce changement dans le mode de collecte des données de la BoP a entraîné des ruptures de séries en 2007 qui se répercutent donc aussi dans le compte du reste du monde. Notamment, toute une série de transactions, principalement entre les ménages et le reste du monde, n est plus recensé 10. Dans la mesure où les montants concernés sont plus ou moins du même ordre de grandeur du côté ressources et du côté emplois 11, l impact de ce changement reste toutefois limité sur les soldes sectoriels. Les transferts courants divers repris de la BoP (code 392, sous rubrique D7N) sont intégralement imputés aux sociétés à l exception de transactions qui explicitement impliquent les ménages. En outre, sur la base d un échantillon représentatif d ONG, les comptes nationaux (à l inverse de la BoP) tiennent compte des transferts courants entre les ONG du secteur S15 et le reste du monde Integration des séries revisées de la balance des paiements des institutions européennes Eurostat publie des données relatives aux transactions entre les institutions européennes et la Belgique (D1, D5, D61, D62, D75). Eurostat ayant révisé ses estimations à partir de 2008, certaines séries dans le compte des institutions européennes (S212) ont été adaptées. Des rétropolations ont été menées dans les comptes nationaux belges afin de présenter des séries uniformes depuis Les comptes des secteurs qui constituent les contreparties à ces transactions ont donc également été impactés. 10 Ces transactions sont de nature très hétérogène. Il peut s agir par exemple de dons entre particuliers, de transactions dans le milieu sportif de haut niveau (impliquant des clubs ou des personnes), de certaines transactions notariales à caractère international, de gains de loterie etc. A noter que la BoP continue à recenser les transferts des migrants (code 391). Ces transferts sont repris dans le compte du reste du monde. 11 Sur base d une évaluation approximative, on peut considérer que tant les emplois que les ressources qui ne sont plus recensés sont de plusieurs centaines de millions d euros. En solde, les montants en jeu sont relativement limités, se limitant à quelques dizaines de millions. 12

13 Annexe A10 Agriculture, sylviculture et pêche (A) Extraction, Industrie, énergie et eau et gestion de déchets (B, C, D et E) dont: Industrie manufacturière (C) Construction (F) Commerce, transports, hébergement et restauration (G, H et I) Information et communication (J) Services financiers (K) Activités immobilières (L) dont: Loyer imputé pour habitation propre Services aux entreprises (M et N) Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale (O, P et Q) (*) Culture, sport, loisirs et autres services (R, S, T et U) (*) Dans les comptes trimestriels, cette branche A10 sera scindée entre, d'une part, administration publique et enseignement (O et P) et, d'autre part, santé et action sociale (Q). A21 Agriculture, sylviculture et pêche (A) Extraction (B) Industrie (C) Énergie (D) Production et distribution d'eau et gestion des déchets (E) Construction (F) Commerce (G) Transports et entreposage (H) Hébergement et restauration (I) Information et communication (J) Services financiers (K) Activités immobilières (L) Services spécialisés aux entreprises (M) Location et autres services aux entreprises (N) Administration publique (O) Enseignement (P) Santé humaine et action sociale (Q) Culture, sport et loisirs (R) Autres services (S) Ménages (T) Organisations extraterritoriales (U) (*) (*) Il s'agit des entités non résidentes, ce qui explique pourquoi, en pratique, cette section est vide. 13

14 A38 Agriculture, sylviculture et pêche (AA) Industries extractives (BB) Industries alimentaires, fabrication de boissons et de produits à base de tabac (CA) Fabrication de textiles, industrie de l'habillement, industrie du cuir et de la chaussure (CB) Travail du bois, industrie du papier et du carton et imprimerie (CC) Cokéfaction et raffinage (CD) Industrie chimique (CE) Industrie pharmaceutique (CF) Fabrication de produits en caoutchouc et d'autres produits minéraux non métalliques (CG) Métallurgie et fabrication de produits métalliques, à l'exception des machines et des équipements (CH) Fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques (CI) Fabrication d'équipements électriques (CJ) Fabrication de machines et d'équipements n.c.a. (CK) Fabrication de matériels de transport (CL) Fabrication de meubles et autres industries manufacturières, réparation et installation de machines et d'équipements (CM) Production et distribution d'électricité, de gaz, de vapeur et d'air conditionné (DD) Distribution d'eau, gestion et assainissement des déchets et des eaux usées (EE) Construction (FF) Commerce de gros et de détail et réparation de véhicules automobiles et de motocycles (GG) Transports et entreposage (HH) Hébergement et restauration (II) Édition, services audiovisuels et diffusion de programmes de télévision (JA) Télécommunications (JB) Services informatiques et services d'information (JC) Activités financières et assurances (KK) Activités immobilières (LL) Activités juridiques et comptables, activités des sièges sociaux, conseil de gestion, activités d'architecture et d'ingénierie; activités de contrôle et analyse technique (MA) Recherche-développement scientifique (MB) Publicité et études de marché; autres activités spécialisées, scientifiques et techniques (MC) Services administratifs et autres activités de soutien (NN) Administration publique et défense; sécurité sociale obligatoire (OO) Enseignement (PP) Activités pour la santé humaine (QA) Action sociale (QB) Activités artistiques, récréatives et de loisir (RR) Autres services (SS) Activités de ménages en tant qu'employeurs; activités indifférenciées des ménages en tant que producteurs de biens et services pour usage propre (TT) 14

15 A64 Culture et production animale, chasse et services annexes (01) Sylviculture et exploitation forestière (02) Pêche et aquaculture (03) Activités extractives et services de soutien aux industries extractives (05-09) Industries alimentaires, fabrication de boissons et de produits à base de tabac (10-12) Fabrication de textiles, industrie de l'habillement, industrie du cuir et de la chaussure (13-15) Travail du bois et fabrication d'articles en bois et en liège, à l'exception des meubles; fabrication d'articles en vannerie et sparterie (16) Industrie du papier et du carton (17) Imprimerie et reproduction d'enregistrements (18) Cokéfaction et raffinage (19) Industrie chimique (20) Fabrication de produits pharmaceutiques de base (21) Fabrication de produits en caoutchouc et en plastique (22) Fabrication d'autres produits minéraux non métalliques (23) Métallurgie (24) Fabrication de produits métalliques, à l'exception des machines et des équipements (25) Fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques (26) Fabrication d'équipements électriques (27) Fabrication de machines et d'équipements n.c.a. (28) Construction et assemblage de véhicules automobiles, de remorques et de semi-remorques (29) Fabrication d'autres matériels de transport (30) Fabrication de meubles; autres industries manufacturières (31-32) Réparation et installation de machines et d'équipements (33) Production et distribution d'électricité, de gaz, de vapeur et d'air conditionné (35) Captage, traitement et distribution d'eau (36) Collecte et traitement des eaux usées; collecte, traitement et élimination des déchets; récupération; dépollution et autres services de gestion des déchets (37-39) Construction (41-43) Commerce de gros et de détail et réparation de véhicules automobiles et de motocycles (45) Commerce de gros, à l'exception des véhicules automobiles et des motocycles (46) Commerce de détail, à l'exception des automobiles et des motocycles (47) Transports terrestres et transport par conduites (49) Transports par eau (50) Transports aériens (51) Entreposage et services auxiliaires des transports (52) Activités de poste et de courrier (53) Hébergement; restauration (55-56) Éditions (58) Production de films cinématographiques, de vidéo et de programmes de télévision, enregistrement sonore et édition musicale; programmation et diffusion de programmes de radio et de télévision (59-60) Télécommunications (61) Programmation, conseil et autres activités informatiques; services d'information (62-63) Activités des services financiers, hors assurance et caisses de retraite (64) Assurance, réassurance et caisses de retraite, à l'exclusion des assurances sociales obligatoires (65) Activités auxiliaires de services financiers et d'assurance (66) Activités immobilières (68) Activités juridiques et comptables; activités des sièges sociaux, conseil de gestion (69-70) Activités d'architecture et d'ingénierie, activités de contrôle et analyses techniques (71) Recherche-développement scientifique (72) Publicité et études de marché (73) Autres activités spécialisées, scientifiques et techniques; activités vétérinaires (74-75) Activités de location et location-bail (77) Activités liées à l'emploi (78) 15

16 Activités des agences de voyage, voyagistes, services de réservation et activités connexes (79) Enquêtes et sécurité; services relatifs aux bâtiments, aménagement paysager; services administratifs de bureau et autres activités de soutien aux entreprises (80-82) Administration publique et défense, sécurité sociale obligatoire (84) Enseignement (85) Activités pour la santé humaine (86) Activités médico-sociales et sociales avec hébergement; action sociale sans hébergement (87-88) Activités créatives, artistiques et de spectacle; bibliothèques, archives, musées et autres activités culturelles; organisation de jeux de hasard et d'argent (90-92) Activités sportives, récréatives et de loisirs (93) Activités des organisations associatives (94) Réparation d'ordinateurs et de biens personnels et domestiques (95) Autres services personnels (96) Activités des ménages en tant qu'employeurs de personnel domestique et activités indifférenciées des ménages en tant que producteurs de biens et services pour usage propre (97-98) 16

Enquête sur le devenir des diplômés de licence professionnelle

Enquête sur le devenir des diplômés de licence professionnelle Enquête sur le devenir des diplômés de licence professionnelle Vous pouvez répondre à ce questionnaire en vous connectant sur Internet avec le code ci-contre : http://enquetes.u-bordeaux.fr/orpea/lp2012/questionnaire.htm

Plus en détail

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.

Note méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1. Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie

Plus en détail

Le score Pour un diagnostic individuel Pour une analyse de portefeuille d entreprises

Le score Pour un diagnostic individuel Pour une analyse de portefeuille d entreprises Le score Pour un diagnostic individuel Pour une analyse de portefeuille d entreprises IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

Plus en détail

Liste des variables du Fichier Activité professionnelle des individus (localisation à la zone d'emploi du lieu de travail)

Liste des variables du Fichier Activité professionnelle des individus (localisation à la zone d'emploi du lieu de travail) Liste des variables du Fichier Activité professionnelle des individus (localisation à la zone d'emploi du lieu de travail) Nom de variable ZELT Libellé Zone d'emploi du lieu de travail Précisions sur modalités

Plus en détail

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES

APPLICATION DU SCN A L'EVALUATION DES REVENUS NON DECLARES DES MENAGES 4 mars 1996 FRANCAIS Original : RUSSE COMMISSION DE STATISTIQUE et COMMISSION ECONOMIQUE POUR L'EUROPE CONFERENCE DES STATISTICIENS EUROPEENS OFFICE STATISTIQUE DES COMMUNAUTES EUROPEENNES (EUROSTAT) ORGANISATION

Plus en détail

Zone d'emploi de Lyon

Zone d'emploi de Lyon Lyon - Zone d'emploi Territoire de référence (TR): FicheOMPREL Somme des 8 zones d'emploi de la RUL Edition 2012 / 2013 Cette fiche socio-économique est générée à partir de l observatoire Baseco Rhône-Alpes

Plus en détail

Le régime de prévoyance adapté à toutes les TPE/PME

Le régime de prévoyance adapté à toutes les TPE/PME [ PRÉVOYANCE ] ENTREPRISES prévoyance modulaire Le régime de prévoyance adapté à toutes les TPE/PME prévoyance modulaire Un contrat souple et innovant Véritable contrat à la carte, Prévoyance Modulaire

Plus en détail

Statistiques Exercice 2011

Statistiques Exercice 2011 Statistiques Exercice 2011 Bénéfices Industriels et Commerciaux MISE EN GARDE AUX UTILISATEURS Les informations consignées dans ce fascicule sont communiquées à titre indicatif et ne peuvent être considérées,

Plus en détail

Statistiques Exercice 2012

Statistiques Exercice 2012 Statistiques Exercice 2012 Bénéfices Industriels et Commerciaux MISE EN GARDE AUX UTILISATEURS Les informations communiquées dans ce fascicule sont communiquées titre indicatif et ne peuvent être considérées,

Plus en détail

Les opérations et autres flux

Les opérations et autres flux Les opérations et autres flux Les nomenclatures présentées ici sont celles du Système européen des comptes 2010 (SEC 2010). Nomenclature des opérations Opérations sur produits (biens et services) (P) P.1

Plus en détail

Dépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3

Dépenses nationales totales 3.0 3.4 2.3 Chiffres clés pour l'économie belge Pourcentages de variation en volume - sauf indications contraires Dépenses de consommation finale des particuliers 2.0 2.6 1.4 Dépenses de consommation finale des pouvoirs

Plus en détail

Avant propos. Ce rapport présente les résultats de la vague 2013 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France.

Avant propos. Ce rapport présente les résultats de la vague 2013 de l'enquête Besoins en main-d'œuvre (BMO) pour la région Ile-de-France. Avant propos Ce rapport présente les résultats de la vague 2013 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France. Le champ de cette vague est le même que celui de l enquête 2012,

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

DÉPENSES PERSONELLES. S M L W Structure

DÉPENSES PERSONELLES. S M L W Structure Révisé: le 2 novembre, 2005 TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU LE MOINS ÉLEVÉ (S) (basé sur FND013.TTL) TITRE ET CODE SÉQUENTIEL AU NIVEAU MOYEN (M) (basé sur FND037.TTL) Titre et code séquentiel au niveau

Plus en détail

Les comptes nationaux et le SEC 2010

Les comptes nationaux et le SEC 2010 Les comptes nationaux et le SEC 2010 7 ème séminaire de la Banque nationale de Belgique pour enseignants en économie du secondaire Bruxelles, le 22 octobre 2014 Catherine RIGO Plan de l exposé Introduction

Plus en détail

15 Tourisme, culture et sport

15 Tourisme, culture et sport Services l Tourisme, culture et sport partie 15 Tourisme, culture et sport A Aperçu général du secteur 1 Description des activités du secteur à partir de la nomenclature Nace-Bel Il s agit des sous-secteurs

Plus en détail

Notes méthodologiques

Notes méthodologiques Notes méthodologiques SUPERFICIE Service Public Fédéral Economie, PME, Classes moyennes et Energie, Direction générale Statistique et Information économique (SPF Economie / DGSIE), Statistiques Utilisation

Plus en détail

La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux

La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux La situation financière des SNF françaises Quelques éléments de diagnostic élaborés à partir des comptes nationaux 21 novembre 2014 Gilbert Cette 1. Définitions et sources Valeur ajoutée aux coûts des

Plus en détail

Dares Analyses. publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques

Dares Analyses. publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Dares Analyses octobre 2012 N 074 publication de la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques Les salaires par secteur et par branche professionnelle en 2010 : une accélération

Plus en détail

Complétez, signez la Convention ci-après et paraphez les conditions générales,

Complétez, signez la Convention ci-après et paraphez les conditions générales, Réservé à la vente à distance C o m m e n tt s o u s c rr i rr e? Si vous n êtes pas déjà client du Crédit Coopératif 1 2 3 4 complétez la demande d'ouverture de compte veillez à bien remplir toutes les

Plus en détail

M2 Management international - Promotion 2 006

M2 Management international - Promotion 2 006 M2 Management international - Promotion 2 006 Source : nquête décembre 2008-2009-2010 auprès des diplômés de M2 promo N-2 - Contact : Observatoire Des tudiants (Agnès Binet) / ode@univ-pau.fr / 05.59.40.70.53

Plus en détail

LISTE DES CODES NACE - version 2012 Code Description

LISTE DES CODES NACE - version 2012 Code Description LISTE DES CODES NACE - version 2012 Code Description 011 Cultures non permanentes 012 Cultures permanentes 013 Reproduction de plantes 014 Production animale 015 Culture et élevage associés 016 Activités

Plus en détail

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 212 1 1 - -1-1 -2-2 -3-3 22 23 24 2 26 27 28 29 21 211 212 Série dessaisonalisée

Plus en détail

Tutoriel - flux de facturation

Tutoriel - flux de facturation 1 of 12 17.01.2007 01:41 Tutoriel - flux de facturation Le schéma ci-dessous illustre le flux de facturation classique : Lors de la création d'une facture, elle possède l'état de brouillon, ce qui veut

Plus en détail

INFORMATIONS DIVERSES

INFORMATIONS DIVERSES Nom de l'adhérent : N d'adhérent :.. INFORMATIONS DIVERSES Rubrique Nom de la personne à contacter AD Date de début exercice N BA Date de fin exercice N BB Date d'arrêté provisoire BC DECLARATION RECTIFICATIVE

Plus en détail

Chapitre 3. La répartition

Chapitre 3. La répartition Chapitre 3. La répartition 1. La répartition de la valeur ajoutée La valeur ajoutée (1) Valeur ajoutée : solde du compte de production = > VA = P CI = > Richesse effectivement créée par les organisations

Plus en détail

LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS

LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS LA CONNAISSANCE DES COMPTES FINANCIERS ET NON FINANCIERS DES ACTEURS FINANCIERS Fabrice LENGLART INSEE Comptes nationaux Bruno LONGET - Banque de France - SESOF CNIS 22 juin 2009 Plan I Place des activités

Plus en détail

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU

CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu

Plus en détail

Ainsi, les utilisateurs auront à leur disposition une série cohérente et complète portant sur la période 1974 à 2013.

Ainsi, les utilisateurs auront à leur disposition une série cohérente et complète portant sur la période 1974 à 2013. N 688 Les Tableaux Economiques d Ensemble 2002 à 2013 Introduction Nous mettons à la disposition des divers utilisateurs une nouvelle série de Tableaux Economiques d Ensemble (TEE) pour les années 2002

Plus en détail

COMMUNIQUE DE PRESSE Bruxelles 10 décembre 2012

COMMUNIQUE DE PRESSE Bruxelles 10 décembre 2012 COMMUNIQUE DE PRESSE Bruxelles 10 décembre 2012 Quel salaire pour quel travail? Les facteurs qui déterminent le salaire Combien gagne le Belge moyen? Quelles sont les professions les plus intéressantes

Plus en détail

Bas Saint-Laurent. Fiche régionale. Portrait régional de l emploi

Bas Saint-Laurent. Fiche régionale. Portrait régional de l emploi Portrait régional de l emploi (*) (*) (en milliers) Bas Saint-Laurent 200 756 habitants % du Québec 2,6 % Agriculture 3,1 Services publics 0,0 Construction 4,9 Emploi par groupe d âge (*) Bas Saint-Laurent

Plus en détail

Comptes régionaux. Note méthodologique (version : juillet 2015)

Comptes régionaux. Note méthodologique (version : juillet 2015) Comptes régionaux Répartition régionale des dépenses de consommation finale des ménages, des administrations publiques et des institutions sans but lucratif et de l épargne des ménages Note méthodologique

Plus en détail

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement

main-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d

Plus en détail

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE

ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE

Plus en détail

Étude comparative de la rémunération des fonctionnaires des institutions européennes Résumé

Étude comparative de la rémunération des fonctionnaires des institutions européennes Résumé Étude comparative de la rémunération des fonctionnaires des institutions européennes Résumé Juin 2000 1 Sommaire 1. Introduction 1 2. Méthodologie 2 2.1 Évaluation des tâches 2 2.2 Analyse des structures

Plus en détail

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu

Marketing III. Calcul du prix & Indicateurs. Contenu Calcul du prix & Indicateurs Pour la gestion économique de l'entreprise, il est essentiel que les prix des biens et services soient soigneusement calculés en tenant compte de tous les facteurs internes

Plus en détail

Royaume du Maroc المرجع :

Royaume du Maroc المرجع : المملكة المغربية Royaume du Maroc المرجع : a présente note méthodologique reprend les nouvelles recommandations internationales mises en œuvre par le Maroc, pour l établissement de la balance des paiements

Plus en détail

Cette feuille vous permet de calculer le salaire du conservateur des hypothèques pour la prise d une inscription hypothécaire d office.

Cette feuille vous permet de calculer le salaire du conservateur des hypothèques pour la prise d une inscription hypothécaire d office. Instructions pour le Livret Formados Le livret se compose d une collection de feuilles de calcul automatisées pour de nombreux actes notariés fréquents, accompagnées - le cas échéant d un décompte pour

Plus en détail

BREF Thématique L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE

BREF Thématique L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE BREF Thématique N 25 mai 2011 Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l emploi d Ile de France L EMPLOI DES SENIORS EN ILE-DE-FRANCE LES PRINCIPAUX

Plus en détail

MAC3 Balance des paiements. Présentation de l unité. novembre 2012

MAC3 Balance des paiements. Présentation de l unité. novembre 2012 MAC3 Balance des paiements Présentation de l unité novembre 2012 Remarques liminaires - Compétence et responsabilité conjointes avec la BCL. - Domaine BOP (balance of payments) en pleine mutation: => description

Plus en détail

GESTION Articles en Dépôt et des Articles rachetés en occasion:

GESTION Articles en Dépôt et des Articles rachetés en occasion: Page 1 sur 5 Droits d'auteur N 00044246 Tel : 01-61-39-18-12 AVANT PROPOS : Tous les logiciels que nous présentons sur notre site ont été créés et sont maintenus par notre service Etudes et Développements.

Plus en détail

LA FILIÈRE ÉCO-ACTIVITÉS EN ÎLE-DE-FRANCE

LA FILIÈRE ÉCO-ACTIVITÉS EN ÎLE-DE-FRANCE Monographie économique LA FILIÈRE ÉCO-ACTIVITÉS Le plan filières des éco-activités en Île-de-France, piloté par le pôle de compétitivité Advancity, est mis en œuvre en partenariat avec la Chambre de commerce

Plus en détail

En 2011, l investissement corporel brut

En 2011, l investissement corporel brut 4.1 Investissement En 211, l investissement corporel brut hors apport des entreprises des secteurs principalement marchands non financiers et non agricoles s élève à 196 milliards d euros. Il s est redressé

Plus en détail

Droits d'auteur N 00044246

Droits d'auteur N 00044246 Page 1 sur 7 Droits d'auteur N 00044246 logiciel DEVIS - SAV GENERALITES : Tel : 01-61-39-18-12 Ce logiciel répond à l'attente d'une multitude d'artisans de secteurs d'activité. (souhaitant : devis, achats,

Plus en détail

Avant propos. Ce rapport présente les résultats de la vague 2015 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France.

Avant propos. Ce rapport présente les résultats de la vague 2015 de l'enquête Besoins en main-d'œuvre (BMO) pour la région Ile-de-France. 2015 Avant propos Ce rapport présente les résultats de la vague 2015 de l'enquête "Besoins en main-d'œuvre" (BMO) pour la région Ile-de-France. Le champ de cette vague est le même que celui de l enquête

Plus en détail

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés

L empreinte carbone des banques françaises. Résultats commentés L empreinte carbone des banques françaises Résultats commentés Le cabinet de conseil Utopies et l association Les Amis de la Terre publient le 22 novembre 2010 l empreinte carbone des groupes bancaires

Plus en détail

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012

12ème. *Source : Centre d Analyse Stratégique «Les secteurs de la nouvelle croissance : une projection à l horizon 2030», Rapport n 48, janvier 2012 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2013-T1 2013-T2 2013-T3 2013-T4 2014-T1 2014-T2 2014-T3 2014-T4 Fiche Synthèse Sectorielle juillet 2015 Activités juridiques, comptables,

Plus en détail

Sync SHL version 8.15

Sync SHL version 8.15 1 van 10 16/12/2013 15:04 Sync SHL version 8.15 ADAPTATIONS AUTOMATIQUES Après l'installation du Sync 8.15 et après avoir saisi le numéro de dossier, certaines données dans ce dossier sont mises à jour

Plus en détail

SIECLE Inscription en ligne

SIECLE Inscription en ligne Services en ligne Inscription pour l entrée au lycée 13/05/2015 Diffusion nationale Guide de l utilisateur SIECLE Inscription en ligne Guide à l usage des établissements Version 15.2 Mai 2015 Services

Plus en détail

ALLOCATIONS POUR FRAIS D'EMPLOI

ALLOCATIONS POUR FRAIS D'EMPLOI 2041 GP N 50688#14 DOCUMENT POUR REMPLIR LA DÉCLARATION DES REVENUS DE 2012 Ce document n'a qu'une valeur indicative. Il ne se substitue pas à la documentation officielle de l'administration. ALLOCATIONS

Plus en détail

ABACUS AbaWebFiduciaire. Le logiciel coopératif pour la fiduciaire. Software as a Service pour les clients de la fiduciaire

ABACUS AbaWebFiduciaire. Le logiciel coopératif pour la fiduciaire. Software as a Service pour les clients de la fiduciaire ABACUS AbaWebFiduciaire Le logiciel coopératif pour la fiduciaire Software as a Service pour les clients de la fiduciaire AbaWebFiduciaire ABACUS-Software as a Service A partir de la version 2007, le logiciel

Plus en détail

ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne

ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne ENQUETE BESOIN EN MAIN-D ŒUVRE 2012 Bassin de Saint Etienne 6 804 projets de recrutement en 2012 1 Sommaire 1 L ESSENTIEL 2 LES METIERS PORTEURS 3 LES METIERS NON SAISONNIERS 4 LES METIERS DIFFICILES 5

Plus en détail

Société FORVAL GLE. Votre épargne salariale Guide de présentation

Société FORVAL GLE. Votre épargne salariale Guide de présentation Société FORVAL GLE Votre épargne salariale Guide de présentation Madame, Monsieur, Un dispositif d épargne salariale a été mis en place dans votre entreprise. Il vous permet de vous constituer une épargne

Plus en détail

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL

RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL Faits et chiffres de l aviculture CH 2.6 RENTABILITÉ ÉCONOMIQUE MODÈLES DE CALCUL 1. Généralités sur les coûts de production et la rentabilité économique Les modèles de calcul en annexe sont à interpréter

Plus en détail

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013

L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 Février 2015 - N 15.004 L EMPLOI INTERMITTENT DANS LE SPECTACLE AU COURS DE L ANNÉE 2013 En résumé : En 2013, l emploi intermittent du spectacle concerne 254 000 salariés, 111 000 employeurs relevant du

Plus en détail

données à caractère personnel (ci-après "la LVP"), en particulier les articles 31bis et 36bis ;

données à caractère personnel (ci-après la LVP), en particulier les articles 31bis et 36bis ; 1/9 Comité sectoriel pour l'autorité Fédérale Délibération AF n 19/2015 du 19 juin 2015 Objet : demande formulée par le Bureau fédéral du Plan afin de pouvoir réclamer des données à caractère personnel

Plus en détail

Unédic - Assédic. Pays du Nord

Unédic - Assédic. Pays du Nord Unédic - Assédic 2 SOMMAIRE Les principaux résultats I - Les établissements qui projettent de recruter II - Les projets de recrutement III - Les métiers faisant l'objet de projets de recrutement Annexe

Plus en détail

Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008

Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-

Plus en détail

La balance des paiements et la position

La balance des paiements et la position La balance des paiements et la position extérieure globale selon le BPM6 1. Introduction La balance des paiements de la Belgique est l état statistique qui récapitule de façon systématique les transactions

Plus en détail

Le Raid c est quoi? Comment ca marche? Les différents modes RAID :

Le Raid c est quoi? Comment ca marche? Les différents modes RAID : Le Raid c est quoi? Redundant Array of Inexpensive Disks: ensemble redondant de disques peu chers. Le RAID est une technologie qui a été dévellopée en 1988 pour améliorer les performances des unités de

Plus en détail

RAPPORT PARTICULIER N 3. Analyse économique de la fiscalité affectée et examen de son impact sur les assujettis

RAPPORT PARTICULIER N 3. Analyse économique de la fiscalité affectée et examen de son impact sur les assujettis 1 RAPPORT PARTICULIER N 3 Analyse économique de la fiscalité affectée et examen de son impact sur les assujettis Christophe WITCHITZ Inspecteur des finances Avril 2013 Ce document a été établi sous la

Plus en détail

Notice méthodologique

Notice méthodologique Version intégrale Notice méthodologique 1. Base 1.1 Publications La Banque nationale de Belgique (BNB) publie, pour le compte de l Institut des comptes nationaux (ICN), les statistiques du commerce extérieur

Plus en détail

LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun)

LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun) LA NOMENCLATURE DOUANIERE ET TARIFAIRE (Cameroun) Afin de faciliter l application du tarif extérieur commun (application des mêmes droits de douane quelque soit le point d entrée de la marchandise sur

Plus en détail

Guide de déclaration

Guide de déclaration Enquête unifiée auprès des entreprises Enquête annuelle de 2012 auprès des sièges sociaux If you would prefer receiving this document in English, please call us toll-free at: 1-800-972-9692 Guide de déclaration

Plus en détail

2.1.4. L'équilibre général des échanges

2.1.4. L'équilibre général des échanges 2.1.4. L'équilibre général des échanges La prise en compte des offres et des demandes de l'ensemble des pays participants au commerce mondial permet la détermination des prix mondiaux. L'existence d'un

Plus en détail

RELEVÉ DES TRANSACTIONS ÉCONOMIQUES AVEC DES NON-RÉSIDENTS RTE

RELEVÉ DES TRANSACTIONS ÉCONOMIQUES AVEC DES NON-RÉSIDENTS RTE RELEVÉ DES S ÉCONOMIQUES AVEC DES NON-RÉSIDENTS RTE Nomenclature générale des codes de transactions à produire par les Déclarants Directs Généraux Pour application à compter du 1 er juillet 2012 15 décembre

Plus en détail

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur

INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Université Montesquieu Bordeaux IV 1 ère année Licence AES Année universitaire 2012-2013 INTRODUCTION A LA MACROECONOMIE Séance de travaux dirigés n 4 Construction des comptes de secteur Questions préliminaires

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

Conditions générales pour la certification de systèmes de

Conditions générales pour la certification de systèmes de Page : 1 de 5 1 Généralités Le Service de Certification ESCEM propose aux entreprises de certifier leurs Systèmes de Management Qualité (SMQ), Santé Sécurité au travail (SMS) ou Environnement (SME). Les

Plus en détail

Le développement du e-commerce et ses impacts sur l'emploi. Gérard Valenduc Fondation Travail-Université asbl (www.ftu-namur.org) Prof.

Le développement du e-commerce et ses impacts sur l'emploi. Gérard Valenduc Fondation Travail-Université asbl (www.ftu-namur.org) Prof. Le développement du e-commerce et ses impacts sur l'emploi Gérard Valenduc Fondation Travail-Université asbl (www.ftu-namur.org) Prof. UCL et UNamur Plan de la présentation Qu'est-ce que l'e-commerce?

Plus en détail

!" #$#% #"& ' ( &)(*"% * $*' )#""*(+#%(' $#),")- '(*+.%#"'#/* "'") $'

! #$#% #& ' ( &)(*% * $*' )#*(+#%(' $#),)- '(*+.%#'#/* ') $' !" #$#% #"& ' ( &)(*"% * $*' )#""*(+#%(' $#),")- '(*+.%#"'#/* "'") $' &!*#$)'#*&)"$#().*0$#1' '#'((#)"*$$# ' /("("2"(' 3'"1#* "# ),," "*(+$#1' /&"()"2$)'#,, '#' $)'#2)"#2%#"!*&# )' )&&2) -)#( / 2) /$$*%$)'#*+)

Plus en détail

DEMANDE D OUVERTURE D UNE RELATION BANCAIRE

DEMANDE D OUVERTURE D UNE RELATION BANCAIRE DEMANDE D OUVERTURE D UNE RELATION BANCAIRE Chez Keytrade Bank, vous bénéficiez de 3 comptes gratuits : un compte à vue, un compte épargne et un compte-titres qui peuvent être ouverts pour maximum trois

Plus en détail

Retentissement de la réforme de l'ircantec 2008 sur la retraite des Praticiens Hospitaliers.

Retentissement de la réforme de l'ircantec 2008 sur la retraite des Praticiens Hospitaliers. Retentissement de la réforme de l'ircantec 2008 sur la retraite des Praticiens Hospitaliers. Dr Raphaël BRIOT ; Dr Jean GARRIC Syndicat National des Praticiens Hospitaliers d'anesthésie-réanimation RÉSUMÉ

Plus en détail

Inventaires des méthodes d estimation du PIB suisse

Inventaires des méthodes d estimation du PIB suisse Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la statistique OFS Economie 04 Comptes nationaux Mars 2013 Inventaires des méthodes d estimation du PIB suisse Renseignements: Fabrice Jacolet,

Plus en détail

FirstW@ve. Comptabilité financière

FirstW@ve. Comptabilité financière FirstW@ve Comptabilité financière ENVIRONNEMENT Fonctionne sous «Windows/NT» Base de données «SQL/Server» Outil de développement «MAGIC 8.3» Fonctionne en mono-poste ou multi-postes réseaux Licences nécessaires

Plus en détail

LE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES

LE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES LE CONTRÔLE INTERNE GUIDE DE PROCÉDURES Direction du développement des entreprises Préparé par Jacques Villeneuve, c.a. Conseiller en gestion Publié par la Direction des communications : janvier 1995 Réédité

Plus en détail

Compétitivité française : Quelques constats

Compétitivité française : Quelques constats Compétitivité française : Quelques constats Gilbert Cette Banque de France et Université d Aix-Marseille Gilbert Cette 1 Sommaire 1.1 Dégradation alarmante 1.2 Dégradation stoppée 1.3 En particulier vis-à-vis

Plus en détail

http://www.a2c-31.com Tableau n 3 dépenses, revenus particuliers

http://www.a2c-31.com Tableau n 3 dépenses, revenus particuliers Tableau n 3 dépenses, revenus particuliers Merci de compléter les tableaux suivants pour vous garantir un maximum d'informations en un minimum de temps à l'avenir Si possible, indiquez les dates de fin

Plus en détail

Impact économique de l industrie canadienne du camping et analyse des tendances SOMMAIRE EXÉCUTIF. www.ccrvc.ca

Impact économique de l industrie canadienne du camping et analyse des tendances SOMMAIRE EXÉCUTIF. www.ccrvc.ca Impact économique de l industrie canadienne du camping et analyse des tendances SOMMAIRE EXÉCUTIF Le camping est une belle occasion de passer du temps en famille, de créer de beaux souvenirs qui dureront

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier Pacte de responsabilité et de solidarité Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier 1 2 INTERVENTION DE MONSIEUR MICHEL JOUVENOT DIRECTEUR DE LA BANQUE

Plus en détail

Cinq zones en milieu urbain, orientées vers les services à la population

Cinq zones en milieu urbain, orientées vers les services à la population de concentration de l emploi salarié dans l aire azuréenne Cinq zones en milieu urbain, orientées vers les services à la population Situées en milieu urbain, au sein des plus grandes agglomérations du

Plus en détail

Gestion électronique des procurations

Gestion électronique des procurations Gestion électronique des procurations Table des matières Généralités... 2 1. Approuver des procurations... 4 1.1 Section «Procurations à approuver»... 4 1.2 Section «Signaux»... 6 1.3 Messages particuliers...

Plus en détail

STATISTIQUE DU COMMERCE E X T E R I E U R STATISTIQUES DU COMM- MERCE EXTERIEUR

STATISTIQUE DU COMMERCE E X T E R I E U R STATISTIQUES DU COMM- MERCE EXTERIEUR STATISTIQUE DU COMM- DU COMMERCE MERCE EXTERIEUR E X T E R I E U R Statistique du Commerce Extérieur S E R I E Statistiques du commerce extérieur I - Introduction Les statistiques des échanges commerciaux

Plus en détail

LES CRÉDITS D IMPÔT EN FAVEUR

LES CRÉDITS D IMPÔT EN FAVEUR LES CRÉDITS D IMPÔT EN FAVEUR DES ENTREPRISES Mercredi 4 février 2015 Salon des entrepreneurs Intervenants Jérôme REBISCOUL o Expert-comptable, commissaire aux comptes o Membre du Comité Innovation des

Plus en détail

FORMULAIRE lll. (Règles 26 à 30) CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c.

FORMULAIRE lll. (Règles 26 à 30) CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c. (Règles 26 à 30) FORMULAIRE lll CANADA PROVINCE DE QUÉBEC COUR SUPÉRIEURE DISTRICT DE Chambre de la famille N o - - Partie: c. Partie: ÉTAT DES REVENUS, DÉPENSES ET BILAN Je, soussigné(e), domicilié(e)

Plus en détail

Le centre de gestion a le plaisir de vous adresser les statistiques professionnelles élaborées à partir des dossiers de gestion 2013.

Le centre de gestion a le plaisir de vous adresser les statistiques professionnelles élaborées à partir des dossiers de gestion 2013. Statistiques 2013 3, rue de Lyon B.P. 531 71010 MACON CEDEX Tél. 03.85.21.90.60 Télécopie 03.85.21.90.69 E-mail : contact@cgai-macon.fr Agrément de la Direction Régionale des Impôts n 1.02.710 du 6 mars

Plus en détail

Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse

Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Synthèse // Réflexion // Une entreprise/un homme // Références Les tableaux de flux de trésorerie en règles françaises et internationales : essai de synthèse Particulièrement utiles pour évaluer la capacité

Plus en détail

Nécessité d un «électrochoc» fiscal

Nécessité d un «électrochoc» fiscal Les Analyses du Centre Jean Gol Nécessité d un «électrochoc» fiscal Janvier 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle Les analyses

Plus en détail

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte

L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte Partie 3: L Equilibre Macroéconomique en Economie Ouverte On abandonne l hypothèse d économie fermée Les échanges économiques entre pays: importants, en

Plus en détail

3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques

3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques 3. Agrégats, ratios et équilibres macroéconomiques Le calcul du PIB (1) PIB : Résultat final de l activité de production des unités productrices résidentes 3 façons de le mesurer : Par la production Par

Plus en détail

Chapitre 4 : les stocks

Chapitre 4 : les stocks Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également

Plus en détail

DÉCLARATION DES RISQUES

DÉCLARATION DES RISQUES DÉCLARATION DES RISQUES Tenant compte du fait que CM Marketing Associates Ltd accepte de conclure, à la base de gré à gré ( OTC ) des contrats financiers pour différences ( CFD ) et contrats de change

Plus en détail

culture chiffres PRODUCTION, DIFFUSION ET MARCHÉS Les entreprises du commerce du marché de l art 2009-4 François Rouet *

culture chiffres PRODUCTION, DIFFUSION ET MARCHÉS Les entreprises du commerce du marché de l art 2009-4 François Rouet * culture Secrétariat général Délégation au développement et aux affaires internationales Département des études, de la prospective et des statistiques 182, rue Saint-Honoré, 75033 Paris cedex 01 01 40 15

Plus en détail

La séquence des comptes

La séquence des comptes La séquence des comptes Comptes des institutions sans but lucratif au service des ménages I: Compte de production P.2 Consommation intermédiaire B.1b Valeur ajoutée brute P.51c Consommation de capital

Plus en détail

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE

ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations

Plus en détail

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation

SEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût

Plus en détail

Logistique et gestion de la chaîne d approvisionnement, analyse des indicateurs de rendement clés. Perspective Canada/ États-Unis

Logistique et gestion de la chaîne d approvisionnement, analyse des indicateurs de rendement clés. Perspective Canada/ États-Unis Logistique et gestion de la chaîne d approvisionnement, analyse des indicateurs de rendement clés Perspective Canada/ États-Unis Octobre 2006 Cette publication est également offerte par voie électronique

Plus en détail

Enquête Besoins en main-d'œuvre 2007. Est Francilien. Unédic - Assédic

Enquête Besoins en main-d'œuvre 2007. Est Francilien. Unédic - Assédic Enquête Besoins en main-d'œuvre 2007 Unédic - Assédic 2 SOMMAIRE Les principaux résultats I - Les établissements qui projettent de recruter II - Les projets de recrutement III - Les métiers faisant l'objet

Plus en détail