Prise en charge psychosociale du trouble de stress post traumatique(tspt) et de la douleur fantôme
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- Martin Beaudry
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1 Prise en charge psychosociale du trouble de stress post traumatique(tspt) et de la douleur fantôme Gilles Dupuis, Ph.D. Laboratoire d Études en psychologie de la santé et qualité de vie (LEPSYQ) lepsyq@er.uqam.ca Université du Québec à Montréal La reproduction en tout ou en partie de ce matériel est permise à des fins éducationnelles seulement. Aucun avantage financier ne doit être retiré de son usage. Copyright Dupuis
2 Plan (jour 1): TSPT (AM) Introduction générale Organe vs patient dans sa globalité Représentation mentale du problème chez le patient Trouble de Stress Post traumatique (TSPT) Description Conséquences Détection Comment distinguer le TSPT de d autres d problèmes Entrevue rapide pour usage durant l intervention l de première ligne Organigramme décisionnel Prise en charge ponctuelle et référence: rôle de la psychoéducation Permettre de mieux connaître les symptômes cognitifs et affectifs Comprendre à quoi ils servent et normaliser Comprendre les réactions de l environnementl Faire comprendre à l environnement l social de la victime les réactions actuelles Préparer à une démarche thérapeutique (PM) Impact du TSPT dans la vie Discussion de cas et mécanismes de référence PAUSE 2
3 Horaire Début: ± 9:15 Pause: 11:00-11:30 Reprise: 11:30 13:45 Lunch: 14:00 14:50 Reprise: 15:00 17:00 X 3
4 Plan (jour 2): Douleur fantôme (AM) Introduction: La douleur fantôme dans l histoirel Douleur et religion Représentation mentale de la douleur Caractéristiques cliniques de la douleur fantôme: Types et mécanisme Évolution temporelle Fréquence du problème avec ou sans TSPT Rôle de l encodage, l du traitement des signaux et de l imagel corporelle i.e. représentation neurocognitive du schéma corporel Théorie du portillon Rôle des émotions et des cognitions Modèles de développement des incapacités Évaluation globale Techniques psychologiques de contrôle de la douleur Rôle de la psychoéducation dans la gestion de la douleur Imagerie mentale Relaxation Hypnose PAUSE (PM) Comment est décrite la douleur par les patients et pratique de certaines techniques 4
5 Organe vs patient dans sa globalité Écouter la représentation que se fait le patient de sa situation ou de son problème au niveau des Causes Conséquences Émotions Traitements 5
6 Exemple d un d patient amputé Jeune patient d une d vingtaine d annéesd Entrevue d environ d min Ce type de questionnement peut se réaliser lors de rencontres pour traitement kiné ou ajustement de la prothèse. Quelques notes peuvent être prises à la suite des rencontres pour résumer les propos. 6
7 Organe vs patient Qu est-ce qui se passe dans le corps et la tête d un d patient?????? Fils du terroir, de Souleyman Sy 7
8 Mauvaises mines copyright Dupuis 2005 Compte (conte) rendu d uned rencontre avec une victime (Léeboon!,..Amoon na fi Daa na am.) 8
9 Ay gueut you rééy té nioul, nioul té xolaywa soré té ngéér Ay gueut,, ay gueut you xaléléga Nélaw thi dissayou sayoutiiss Ay gueut you réér thi niak yakar De grands yeux noirs, noirs et hagards Des yeux, des yeux dont la jeunesse Meurent sous le fardeau de la tristesse Des yeux perdus dans le désespoir. 9
10 Kanam gou yémé, andak Tarou gou tass thi ngagou Euleuk gou soxor Kanam gou rétanga xeum Thi niak mbékté ak mbeuguél Mélni kepparou goudi da ngath roukh ga Un visage délicat, fin D une beauté élégante Ravagé par un destin D une cruauté lancinante. Visage au sourire évanoui Sans joie et sans flamme Comme si les ombres de la nuit L avait vidé de son âme. 10
11 Ay gueut you rééy té nioul, nioul té xolaywa soré té ngéér Ay gueut,, ay gueut you xaléléga Nélaw thi dissayou sayoutiiss Ay gueut you réér thi niak yakar De grands yeux noirs, noirs et hagards Des yeux, des yeux dont la jeunesse Meurent sous le fardeau de la tristesse Des yeux perdus dans le désespoir. 11
12 Yaram wou natal wa toumbouranké Siditt ya noye té deugéér Yaram wou fééss ak yakar Yaram wou bin ndo ndo taagat yaram Passpass boumou ték bakan na Bouniou damma ndigueu ga Thi soubeu gou anndeu ak lérayyou diannteu Nour thi aiybi nitt Un corps dessiné avec finesse Aux muscles souples et forts Un corps plein de promesses Un corps taillé pour le sport. Une volonté faite d airain À qui on aurait brisé les reins Par un ensoleillé matin, Noyé par la bêtise des humains. 12
13 Ay gueut you rééy té nioul, nioul té xolaywa soré té ngéér Ay gueut,, ay gueut you xaléléga Nélaw thi dissayou sayoutiiss Ay gueut you réér thi niak yakar De grands yeux noirs, noirs et hagards Des yeux, des yeux dont la jeunesse Meurent sous le fardeau de la tristesse Des yeux perdus dans le désespoir. 13
14 Yayaki rakk you doundou nguir mome, Thi liguéyyou soubam ak goudém Fééss guirgou né aki waréff Touskarék way mboko Niou légui mouy niak yakar Ngir dal thi mome niak katan Touké thi wayou togne you nioudoul métital Mère et sœurs s vivant par lui, De son travail du matin à la nuit. Joug quotidien de responsabilités Dont il savait si bien s acquitter. Détresses de personnes chères Pour qui désormais il désespère Coupable d uned incapacité Aux vils auteurs jamais châtiés. 14
15 Ay gueut you rééy té nioul, nioul té xolaywa soré té ngéér Ay gueut,, ay gueut you xaléléga Nélaw thi dissayou sayoutiiss Ay gueut you réér thi niak yakar De grands yeux noirs, noirs et hagards Des yeux, des yeux dont la jeunesse Meurent sous le fardeau de la tristesse Des yeux perdus dans le désespoir. 15
16 Niambar gou teukh, méér mou tarr, Fayounéne, gou mounoul néék Ngoye tha ay daak you nékoul Mouthiou roukh ga té bayioul xéél Bayioul mouk nofflay Di rééy xoll ndanka ndanka, Waxtou guinaw waxtou Rage sourde, colère dévorante, Vengeance vaine, impossible, Accrochée à d inexistantes cibles Qui telle une mort cruelle et lente Ronge l âl âme autant que l esprit Ne laissant jamais de répit Tuant petit à petit le cœur, Heure, après heure, après heure. 16
17 Ay gueut you rééy té nioul, nioul té xolaywa soré té ngéér Ay gueut,, ay gueut you xaléléga Nélaw thi dissayou sayoutiiss Ay gueut you réér thi niak yakar De grands yeux noirs, noirs et hagards Des yeux, des yeux dont la jeunesse Meurent sous le fardeau de la tristesse Des yeux perdus dans le désespoir. 17
18 Dieummeu diou diééx thi tiss Dawko ndanka ndanka ay xarit You tanneu xalélé Ngathe bamou nguiss séne alal, Lou waral niou léén koy diappé? Bou oubékoba ya mome toor Dian gueun mandi méénma Bala takoussan biko laxall. Abîme infinie de tristesse Fuie peu à peu par les amis Qui préfèrent, de la jeunesse, En extraire avidement les fruits. Et pourquoi leur en tenir rigueur? Quand s ouvre s toute grande la fleur Mieux vaut du nectar s enivrer Avant que le soir ne l aitl fanée. 18
19 Wanté bodé dox thi kaw gueul Tank ak toor da gni wékékou Thia dina déésé paxi bakan Lou doul doom ak déé thi lou mouy noyi Mais quand on marche sur une mine Jambe et fleur se font arracher Et il ne reste pour les narines Que la cendre et la mort à humer. 19
20 Ay gueut you rééy té nioul, nioul té xolaywa soré té ngéér Ay gueut,, ay gueut you xaléléga Nélaw thi dissayou sayoutiiss Ay gueut you réér thi niak yakar De grands yeux noirs, noirs et hagards Des yeux, des yeux dont la jeunesse Meurent sous le fardeau de la tristesse Des yeux perdus dans le désespoir. 20
21 Représentation mentale de la situation Causes: avoir marché sur la mine Conséquences: Ne plus pouvoir être le support familial Ne plus pouvoir jouer au foot Ne pourra plus jamais faire de sport Ne pourra plus travailler Ne pourra plus être attirant pour une femme Ses amis ne le comprennent plus Ne plus fréquenter ses amis Il s isoles 21
22 Représentation mentale de la Émotions situation Dépression Dévalorisation Colère Absence de trouble de stress post traumatique Traitement Pense que la prothèse ne pourra jamais lui redonner une vrai mobilité Quoi faire (à voir plus loin) 22
23 Modèle d auto d régulation: Représentation mentale de la maladie 1a 1b 2a 2b 3a 3b Adaptation du modèle de Leventhal et al. (2003), Coutu et al. (2002) 23
24 Représentation mentale de la maladie Aigu Évolution Cyclique du problème Chronique Durée du traitement Conséquences de la condition Affectives Cognitives comportements Perception de la condition médicale Diagnostic et Manifestations Affectives Cognitives comportements Causes probables Attentes relatives à l efficacité du traitement Perception de contrôle Attente d efficacité Perception et réalité Adaptation de Leventhal et al. (2003) 24
25 Modèle d auto d régulation: Représentation mentale de la maladie 1a 1b 2a 2b 3a 3b Adaptation du modèle de Leventhal et al. (2003), Coutu et al. (2002) 25
26 Trouble de stress post traumatique (TSPT) Description 26
27 Critères de la présence d un d TSPT A- EXPOSITION À UN ÉVÉNEMENT TRAUMATIQUE A1: avoir vécu comme victime ou témoin un événement au cours duquel quelqu un un ou soi a subi: Blessure grave, Menace de mort, Menace à l intégrité l physique, Mort. A2: Avoir ressenti: Peur intense Impuissance Horreur 27
28 Critères de la présence d un d TSPT B- L ÉVÉNEMENT TRAUMATIQUE EST CONSTAMMENT REVÉCU B1 souvenirs répétitifs et envahissants de l él événement (images, pensées, perceptions) provoquant sentiment de détresse B2 rêves répétitifs et pénibles de l él événement provoquant un sentiment de détresse B3 impressions soudaines comme si l él événement allait se reproduire (flash-back) B4 Sentiment de détresse intense lorsque: présence d indicesd (interne ou externe) rappelant l él événement, de près ou de loin B5 Réactions physiologiques (ex: palpitations) lorsque mis en présence d indice d (interne ou externe) rappelant l él événement, de près ou de loin 28
29 Critères de la présence d un d TSPT B- Exemples B1 «J ai constamment des images de l él événement Je ne peux m empêcher m d y d y penser» B2 «je me réveille en sueurs après des rêves dans lesquels je revois des scènes de l événement» B3 «Parfois j entends j des bruits (ou je sens des odeurs) comme ceux qui étaient présents lors de l événement» B4 «Quand je repasse au même endroit ou à des endroits semblables, je me sens en détresse» B5 «Quand je vois des scènes qui ressemblent à l événement, j ai j des sueurs et des palpitations» 29
30 Critères de la présence d un d TSPT C- Évitement persistants des stimuli associés au traumatisme et émoussement de la réactivité générale C1 efforts pour éviter: Pensées, sentiments ou conversations associées au traumatisme C2 efforts pour éviter: activités, endroits, gens éveillant souvenirs liée au traumatisme C3 incapacité de se rappeler 1 aspect important du trauma C4 réduction de: Intérêt pour des activités importantes ou De la participation à ces activités C5 sentiment de détachement pour autrui (devenir étranger) C6 restrictions des affects C7 sentiment d avenir d bouché 30
31 Critères de la présence d un d TSPT C- Exemples C1 «je me force pour ne pas y penser» C2 «je me trouve des excuses pour ne pas rencontrer les gens qui étaient là en même temps que moi» C3 «Je ne peux pas me rappeler ce que j ai j fait après l explosion de la mine» C4 «Ça a ne me tente plus d aller d rencontrer mes amis. Je me retire et ne veux voir personne.» C5 «Je me sens seul même avec mes amis.» C6 «J ai de la difficulté à exprimer de l affection l aux personnes que j aimej» C7 «Je pense que je ne pourrai plus jamais vivre une vie normale.» 31
32 Critères de la présence d un d TSPT D- Présence de symptômes neurovégétatifs D1 Difficulté à s endormir s ou sommeil interrompu D2 Irritabilité ou accès de colère D3 Hyper vigilance D4 Réaction de sursaut exagérée 32
33 Critères de la présence d un d TSPT D- Exemples D1 «je me réveille au milieu de la nuit et ne peux me rendormir» D2 «Tout le monde me tape sur les nerfs. Je ne tolère presque plus rien.» D3 «J oublie plein de choses. Quand je lis, je perd le fil souvent.» D4 «Je suis toujours en train de surveiller ce qui se passe. Je suis toujours en alerte. Je peux pas me détendre.» D5 «Au moindre bruit, je sursaute très fort.» 33
34 Critères de la présence d un d TSPT E- La durée des symptômes BCD est d und mois ou plus F- Détresse importante: souffrance significative ou modification importante du fonctionnement social, professionnel ou dans d autres d domaines importants. Moins de 3 mois, on parle de TSPT aigu et 3 mois ou plus de TSPT chronique. 34
35 En résumé le TSPT comprends A Événement traumatique B Reviviscences C Évitement et émoussement D Hyper activation E Durée d un d mois F Détresse significative A1 menace à sa vie ou intégrité physique A2 peur intense et impuissance 1 des 5 symptômes possibles 3 des 7 symptômes possibles 2 des 5 symptômes possibles Durée min. symptomatique Détresse et séquelles dans sphères significatives 35
36 TSPT Conséquences 36
37 Ce qui accompagne habituellement le TSPT ANXIÉTÉ: généralisée Panique Phobie sociale Phobie spécifique DÉPRESSION SUICIDE Séquelles physiques TSPT ABUS ET DÉPENDANCE: Alcool drogues DIFFICLUTÉES RELATIONNELLES Manque de Désir sexuel Difficultés professionnelles Dysthymie 37
38 TSPT Détection 38
39 Comment distinguer le TSPT de d autresd problèmes: État de stress aigu TSPT et symptôme de stress aigu (ESA) A Événement traumatique A1 menace à sa vie ou intégrité physique A2 peur intense et impuissance Dans ESA il y a en plus, un minimum de 3 symptômes dissociatifs (ex: se sentir loin des autres, étranger, etc.), B Reviviscences Au moins 1 des 5 symptômes possibles C Évitement et émoussement 3 des 7 symptômes possibles DANS ESA, AU MOINS UN D ÉD ÉVITEMENT D Hyperactivation DANS ESA, UN SEUL 2 des 5 symptômes possibles DANS ESA, AU MOINS UN SYMPTÔME D HYPER D ACTIVATION E Durée minimale d un d mois symptomatique DANS ESA, DURÉE MOINS D UN D MOIS F Détresse et séquelles des sphères significatives PAS DANS ESA, 39
40 Comment distinguer le TSPT de d autresd problèmes: Phobie spécifique TSPT et phobie spécifique: B4 Sentiment de détresse intense lorsque: présence d indiced (interne ou externe) rappelant l él événement, de près ou de loin B5 Réactions physiologiques (ex: palpitations) lorsque mis en présence d indice d (interne ou externe) rappelant l él événement, de près ou de loin C Évitement persistants des stimuli associés au traumatisme et émoussement de la réactivité générale Cependant dans le cas des phobiques: Les peurs et les évitements ne sont pas reliées à un événement traumatique. 40
41 Comment distinguer le TSPT de d autresd problèmes: Trouble panique TSPT et Trouble panique avec agoraphobie (TPA) B4 Sentiment de détresse intense lorsque: présence d indice d (interne ou externe) rappelant l él événement, de près ou de loin B5 Réactions physiologiques (ex: palpitations) lorsque mis en présence d indice (interne ou externe) rappelant l él événement, de près ou de loin C Évitement persistants des stimuli associés au traumatisme et émoussement de la réactivité générale efforts pour éviter: activités, endroits, gens éveillant souvenirs liée au traumatisme Cependant dans le cas des TPA: Les attaques de panique ne sont pas associées à une expérience traumatique ou à son souvenir l agoraphobie est liée à la peur de faire des attaques de panique et non à la peur d éd éléments reliés au traumatisme 41
42 Comment distinguer le TSPT de d autresd problèmes: trouble obsessionnel-compulsif TSPT et Trouble obsessionnel-compulsif(toc) B L ÉL ÉVÉNEMENT TRAUMATIQUE EST CONSTAMMENT REVÉCU B1 souvenirs répétitifs et envahissants de l él événement (images, pensées, perceptions) provoquant sentiment de détresse B3 impressions soudaines comme si l él événement allait se reproduire (flash-back) Cependant dans le cas des TOC: Les pensées intrusives non reliées à un traumatisme passé Pensées intrusives ressenties comme étant inappropriées 42
43 Comment distinguer le TSPT de d autresd problèmes: trouble d anxiété d généralisé TSPT et trouble d anxiété d généralisé (TAG) D Présence de symptômes neurovégétatifs D1 Difficulté à s endormir s ou sommeil interrompu D2 Irritabilité ou accès de colère D3 Hyper vigilance D4 Réaction de sursaut exagérée Cependant dans le cas des TAG: Absence de trauma originel Absence de symptômes de reviviscence ou d éd évitement Les inquiétudes des TAG sont reliées à des préoccupations de la vie quotidienne Les inquiétudes du TAG sont présentes depuis au moins 6 mois 43
44 Comment distinguer le TSPT de d autresd problèmes: dépression majeure TSPT et dépression: C4 réduction de: Intérêt pour des activités importantes ou De la participation à ces activités C5 sentiment de détachement pour autrui (devenir étranger) C6 restrictions des affects C7 sentiment d avenir d bouché D1 Difficulté à s endormir s ou sommeil interrompu D3 Hyper vigilance Dépression majeure: Il n y n y a pas de symptôme d éd évitement ou de reviviscence 44
45 TSPT Détection Entrevue rapide pour usage durant l intervention de première ligne 45
46 Ku ndóbin rey sa maam, foo séénati lu ñuul daw. Si un grand calao tue ton grand-père, tu te sauveras dès que tu verras quelque chose de noir Ne jamais oublier que les personnes qui ont subi un traumatisme sévère ne sont pas que blessées physiquement. Elles peuvent être brisées psychologiquement donc fragile. MANIPULEZ AVEC SOIN! 46
47 Questions clés Dans votre histoire clinique, notez l él événement qui a mené à l amputation. l (A) Dire: Je sais que certaines personnes ont de la difficulté à en parler. Cela est normal. J aimerais J vous demander comment vous êtes vous senti lors de l él événement, mais si vous ne voulez pas en parler tout de suite, on en parlera plus tard ou une autre fois. (A) Si la personne accepte de dire comment elle s est senti demandez, si elle ne vous l a l a pas dit: Avez-vous eu peur de mourir (A) Si la personne semble hésitante, n insistez n pas et passez aux questions suivantes. 47
48 Questions clés Comment s est s passé votre semaine avec votre mari (ou avec vos amis, frères, sœurs, s enfants, père ou mère)? Avez-vous le goût de les voir? (C) Avez vous le goût de faire des activités avec eux. (C) Avez-vous de la difficulté à leur exprimer votre affection? (C) Avez-vous tendance à éviter de voir ceux qui vous parle de ce qui vous est arrivé ou encore les endroits qui vous le rappelle? (C) 48
49 Questions clés Avez vous bien dormi cette semaine? (D) Avez-vous l impression l d avoir d les nerfs à vif, qu un un rien vous irrite? (D) Vous sentez-vous tendu, incapable de relâcher, à sursauter pour un rien et pour tout? (D) Avez-vous l impression l de toujours être sur vos gardes? (D) Avez-vous souvent la tête ailleurs avec de la difficulté à vous concentrer sur les choses (lire, regarder un film, etc.) (D) 49
50 Questions clés Vous vous sentez vous triste? Avez-vous souvent le goût de pleurer? (F) Cela fait combien de temps que vous vous sentez ainsi? (E) Pensez-vous que c est c dû à l accident? l Avez-vous l impression l avoir oublié des éléments de l accident? (C) Est-ce que le souvenir de l accident l vous reviens parfois en tête? (B 1 -B 3 ) Quand cela vous arrive, vous sentez-vous anxieux, paniqué, avec des palpitations? (B 4 -B 5 ) Cherchez-vous à le chasser de votre tête? (C) Est-ce qu il vous arrive de le revivre en rêve? (B) Avez-vous eu peur de mourir quand cela s est s produit (retour à A si non répondu en A) Avez vous l impression l que depuis l accident, l votre avenir est bouché? (C) 50
51 TSPT Détection Organigramme décisionnel Tirée de Brillon,, P. Comment aider les victimes souffrant de stress post-traumatique (p.160) 51
52 (A) Y-a-t-il eu menace à la vie et sentiment de peur, impuissance, horreur? NON OUI Trouble d adaptation Trouble obsessif.-compulsif. ou psychotique Dépression majeure (isolement) Trouble panique + agoraphobie (évitement + crainte attaque panique) Phobie sociale ou spécifique (évitement situations sociales ou objet) Si symptômes sévères: dépression majeure ou co morbide au TSPT Trouble d anxiété généralisé si symptômes reliés au quotidien ( 6 mois) État de stress aigu (B) Reviviscences reliées à l événement ( 1 symptôme) NON NON NON OUI (C) Évitement du TSPT généralisé à plusieurs situations et peur de vivre un autre événement OUI (C) Émoussement présent depuis l événement (détachement, perte intérêt) ( 3 symptômes) OUI (D) Hyperactivation(alerte, sommeil, irritabilité depuis trauma ( 2 symptômes) NON NON (E) B, C, D 6 mois OUI OUI Simulation ou gains secondaires NON (F) Détresse significative ou impact sur sphères importantes TSPT OUI 52
53 Brillon (2005) p
54 Importance de la détection Suite aux questions, si vous jugez que l él état de la personne risque d interférer d avec l adaptation l à la prothèse, référer pour une prise en charge psychologique ou psychosociale. Il n y n y a pas de petite détresse dans le TSPT. Comme dans la querelle des deux lézards, où aucun des animaux de la ferme (le coq, le bouc, le bœuf b et le cheval) n a n a voulu s occuper s de ce petit problème, sauf le chien du maître, un petit rien peut paralyser une vie si on ne s en s occupe pas. Vous êtes sur la première ligne pour détecter ces signaux et éviter la détérioration de la condition de la personne. C est C vous que l on l va écouter si vous envoyez les bons messages. 54
55 «Ainsi, à cause de la bataille de deux petits lézards pour une mouche morte, modeste querelle dont personne ne voulut s occuper, s non seulement nos fiers amis le coq, le bouc, le bœuf b et le cheval y laissèrent la vie, mais il en résulta un incendie, et une mort qui endeuilla toute la maisonnée» p.24 55
56 TSPT Prise en charge ponctuelle et référence 56
57 Rôle de la psychoéducation dans le TSPT Permettre de mieux connaître les symptômes cognitifs et affectifs Comprendre à quoi ils servent et normaliser Se comprendre soi-même Comprendre les réactions de l environnement Faire comprendre à l environnement l social de la victime les réactions actuelles Préparer à une démarche thérapeutique 57
58 Permettre de mieux connaître les symptômes et les NORMALISER: et les NORMALISER Exemples de symptômes: J ai constamment l image l de l explosion l qui me revient en tête. Je me sens parfois bizarre, comme si j éj étais hors de la réalité. J ai toujours le goût d êd être seul. Parfois j ai j peur sans raison et je me mets à trembler. Mon entourage ne me comprend plus. J ai l impression l d êd être fou (folle). J ai l impression l que quelque chose m habite m et a pris possession de mes pensées ou de mon esprit. Réaction normale à un événement anormal L événement vécu est intense, brutal et met en danger la vie. Quiconque vivrait une telle chose aurait des réactions de ce genre. C est C un processus normal. Rassurer la personne sur le fait qu elle n est n pas en train de devenir folle. 58
59 À quoi servent les symptômes:. Que fait votre esprit quand vous chercher quelque chose ou le nom de quelqu un un ou la solution à un problème? Que se passe-t-il quand vous cherchez depuis un bout de temps et que vous ne trouvez pas???!!!? 59
60 À quoi servent les symptômes Le cerveau cherche à «digérer» l événement mais n y n y parvient pas. Il le «rejoue» alors continuellement pour tenter de «comprendre» mais la compréhension est rationnelle et le problème est affectif. Donc «le cerveau» est emprisonné. Cette emprisonnement génère des émotions: Colère Tristesse Impuissance Détresse 60
61 Perte d un d membre = Deuil C est un processus normal d adaptation à la perte Les phases du deuil La phase de choc La phase de désorganisation La phase de réorganisation 61
62 Processus de deuil et réorganisation Tabi cà b tên màtul à jemantu, sô vêsô degmal, lëgi nga dem Tomber dans un puits n a n a pas besoin d êd être appris, quand tu auras franchi les poutres de l orifice, l tu iras tout seul Choc désorganisation Réorganisation Prise de conscience graduelle De quelques mois à vie entière Stupeur, engourdissement, Déni, ESA Dissociation Colère Impuissance Résignation Blâme personnel Dépression Anxiété TSPT marchandage Emprisonnement dans le passé «Avant je pouvais faire ceci ou cela de telle ou telle façon.» doit changer en «maintenant, comment je pourrais le faire» 62
63 Se comprendre soi-même: intemporalité de la réaction La mémoire est comme un film. Si une scène vous a ému, apeuré ou captivé, revoir cette scène ramènera la même émotion. Un traumatisme garde toute son intensité peu importe quand il est arrivé. Il importe d expliquer d au patient qu il est normal que même après des mois et des mois, l intensité de l él émotion est toujours aussi vive. LE TEMPS NE FAIT RIEN À L AFFFAIREL Réduire aussi la tendance à se blâmer ou se culpabiliser 63
64 Le cerveau enregistre tout et peut rejouer les souvenirs avec la même intensité que lors de l él événement 64
65 Se comprendre soi-même Y a-t-il des patients qui se pensent fous ou possédés par des djinns ou autres esprits (dëmm, liggéey,, rab, ndëpp)? Les symptômes durant le sommeil (djinns) 1. Angoisse et insomnie 2. Agitation durant le sommeil 3. Les cauchemars 4. La vision d animaux d dans les rêves tels que des serpents, des chiens, des chats 5. Pousser des cris, rire ou pleurer 65
66 Se comprendre soi-même Y a-t-il des patients qui se pensent fous ou possédés par des djinns ou autres esprits? Les symptômes à l él état de veille 1. Les maux de tête fréquents, migraine 2. La distraction mentale, le malade est tout le temps absent 4. Une douleur persistante dans un membre ou dans tout le corps 5. Pensées obsessionnelles 6. Avoir la poitrine serrée à partir de la tombée de la nuit 7. Troubles de la vision (flashs, filets grisâtres, visions étranges..) Etc. Il est important de ne pas rejeter la croyance mais de tenter de l utiliser l pour orienter l intervention en y faisant participer s il s y a lieu, l entourage. 66
67 Se comprendre soi-même Chaque niveau (djinns,dëmm dëmm, liggéey, rab, ndëpp) ) fait appel à un contenu ou la communauté peut prendre une certaine part à l intervention. l (Collignon: Santé mentale: entre psychiatrie contemporaine et pratique traditionnelle. Psychopathologie Africaine, 2000, vol.xxx, p. 286) Il vaut mieux utiliser que rejeter. 67
68 Se comprendre soi-même Les idées et représentations que se font les patients au niveau des causes sont l él élément central qui donne à la personne sa compréhension de sa condition. Au Québec, les patients se font une représentation des causes qui est parfois fautive et qui mêle des éléments pseudo scientifique à des croyances populaires et qui influence l attitudel par rapport au traitement. Fluide énergétique, magnétisme, etc. Croyance en des médicaments miracles ou des traitements magiques Fatalité du destin où plus rien n est n possible (Karma) L important est de ne pas juger les croyances mais de bien connaître celles que le patient entretien afin de pouvoir s en s servir ou les modifier graduellement. 68
69 Comprendre les réactions de l environnement Environnement social (parents, ami, enfants, mari, grands parents, etc.) et incompréhension de l intemporalité l du traumatisme. Il importe d expliquer d au patient qu il est normal que les autres ne le comprennent pas. Ce n est n pas parce qu il est fou ou possédé. La majorité de patients sont comme lui. Ce n est n pas parce que les autres lui en veulent ILS NE COMPRENNENT TOUT SIMPLEMENT PAS CE QUI SE PASSE Ne jamais oublier qu une une victime de TSPT peut avoir des problèmes de concentration. Rester simple dans les explications. Utiliser des images ou des histoires. Cela frappe plus l imagination. l 69
70 Faire comprendre à l environnement l social de la victime les réactions actuelles Demander à l accompagnant l ce qu il pense de la maladie du patient. Comment il se l explique. l Il est essentiel que les explications données au patient soit transmise à une personne accompagnant le patient. En même temps qu on l explique l au patient, ou sans que le patient soit là. Objectifs: Réduire l incompréhension l de l environnementl Briser l isolement, l Défaire le préjugé, les croyances Augmenter le support Demander à l accompagnant l d expliquer d aussi aux autres ce qui arrive à la victime. 70
71 Préparer à une démarche thérapeutique Expliquer que la diminution des séquelles psychologiques aidera à l adaptation l à la prothèse: Incompatibilité entre: Dépression, anxiété, insomnies, etc. et possibilité de faire les exercices avec la prothèse, de reprendre les activités quotidiennes Démarche thérapeutique = exorciser le traumatisme. Faire sortir les émotions emprisonnées. Explorer les cognitions par rapport à la prothèse et défaire les attentes et croyances fausses. Expliquer comment la prothèse pourra permettre de refaire des choses mais différemment. «Avant je pouvais faire cela ainsi.» doit changer en «maintenant, comment je pourrais le faire» 71
72 Préparer à une démarche thérapeutique Quelles sont les ressources thérapeutiques disponibles? Travailleur social Psychiatre Psychologue Tradi praticien Formation de groupe de rencontres: briser l isolement. l Formation de groupe d activités d sportives Comment accéder aux sources? Laquelle choisir? Quel est le réseau? 72
73 Marlon Shirley Chéri Blauwet en compagnie de l'éthiopien Tékélé, vainqueur d'une course en fauteuil roulant. (Photo - Vietnam Veterans of America Foundation) Association de Défense et d'etudes des Personnes Amputées ADEPA est une association représentant les amputés, son but est de promouvoir leur activités et défendre leurs intérêts Actualités pour les personnes amputées 73
74 74
75 Exercices de PM JOUR 1 Pratique de l entrevue l pour le TSPT et utilisation du questionnaire de dépistage. Sous-groupes de 7-10 (1 heure) Chaque participant aura à jouer le rôle du patient puis celui de l intervieweur. l Commentaires sur l exercice, l en plénière. Structure pour la référence des patients. Discussion en sous groupes selon les régions. (1 heure) Commentaires sur l exercice, l en plénière. 75
76 Entrevue et dépistage Feuille de route Diagnostic Questionnaire de dépistage Koumare, Diaoure et Miquel-Garcia (1992) Définition d un d instrument de dépistage des troubles psychiques. Psychopathologie Africaine, XXIV,2:
77 Questionnaire de dépistage Tiré d un d colloque international sur Médecine traditionnelle, Santé et développement, Bamako 1990) Caractéristiques Première étape de traduction su SRQ-24 en bambara, peul et dogon donno so.. Problèmes de non pertinence culturel de certains items. 2 e version plus adaptée traduite en dogon et testée 3 e version, 29 questions reformulées. 4 e version: 23 questions (peul et dogon donno so) 77
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