Observateur Indépendant au suivi et au contrôle des infractions forestières au Cameroun
|
|
- Aline Lefebvre
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Observateur Indépendant au suivi et au contrôle des infractions forestières au Cameroun Financement 10è FED EuropeAid/125055/D/SER/CM n comptable 10 ACP CM.02 Ministère Ministère de l Economi10 de FED l Economie, de la Planification et de l aménagement du Territoire ANALYSE DU RECOUVREMENT DES TAXES ET DES REDEVANCES FORESTIERES AU CAMEROUN (MAI, JUIN 2013) TERMES DE REFERENCE Yaoundé, le 15 Avril
2 1. Contexte et justification L analyse de l impact du contrôle forestier est indissociable de celle du niveau de recouvrement des taxes et des redevances forestières. L application de la législation et de la réglementation forestière concerne celle des dispositions relatives à la fiscalité forestière et au recouvrement des recettes provenant des amendes et dommages-intérêts consécutifs à la sanction des infractions forestières commises par les exploitants forestiers. D une part, la fiscalité forestière établit des taxes et redevances que les exploitants forestiers doivent verser au trésor public dans le cadre de leurs activités forestières. Le contrôle fiscal forestier assure l application ou le respect de ces exigences dans les activités forestières. D autre part, en leur qualité d officiers de police judiciaire à compétence spéciale, les Contrôleurs forestiers établissent des procès-verbaux de constat des infractions forestières lors des missions de contrôle forestier sur le terrain. La répression de ces infractions forestières conduit à l évaluation et à l administration des amendes et des dommages-intérêts auxquels les exploitants forestiers contrevenants doivent s acquitter, sous peine d autres sanctions administratives ou pénales définies dans la loi forestière, le Code pénal et le Code de procédure pénale. Depuis le lancement de la phase actuelle du Projet Observateur Indépendant, le 27 janvier 2010, peu d attention a été accordée au processus, aux modalités et au niveau de recouvrement des taxes et redevances forestières établies dans la fiscalité forestière et des amendes et dommages-intérêts consécutifs à la répression des infractions forestières commises par les exploitants forestiers. Il s avère nécessaire de mener une étude sur cette question, d évaluer et d analyser le pourcentage de recouvrement des taxes et redevances forestières établies dans la fiscalité forestière et des amendes et dommages-intérêts consécutifs à la répression des infractions forestières commises par les exploitants forestiers. C est dans ce cadre que s inscrit la présente consultation. 2. Objectifs visés et résultats attendus 2.1. Objectif général L objectif général de la consultation est d analyser le processus, les modalités, le niveau et le pourcentage de recouvrement des taxes et des redevances forestières établies dans la fiscalité forestière et des amendes et dommages-intérêts consécutifs à la répression des infractions forestières commises par les exploitants forestiers, de dégager les leçons nécessaires et de faire des propositions pour l amélioration de la gouvernance forestière au Cameroun. 2
3 2.2. Objectifs spécifiques La consultation vise trois (04) objectifs spécifiques : 1. Collecter et analyser la documentation juridique relative au recouvrement des taxes et des redevances forestières établies dans la fiscalité forestière et des amendes et dommages-intérêts consécutifs à la répression des infractions forestières commises par les exploitants forestiers ; 2. Faire une présentation générale de l organisation et du déroulement du processus de recouvrement des taxes et des redevances forestières établies dans la fiscalité forestière et des amendes et dommages-intérêts consécutifs à la répression des infractions forestières commises par les exploitants forestiers ; note MV : on parle du processus dans sa théorie (selon les textes de lois) ou dans sa pratique? ou comparaison entre les 2? notamment aspects communication et collaboration entre les administrations concernées 3. Evaluer le niveau et le pourcentage de recouvrement des taxes et des redevances forestières établies dans la fiscalité forestière et des amendes et dommages-intérêts consécutifs à la répression des infractions forestières commises par les exploitants forestiers ; 4. Dégager les leçons de l étude et formuler des propositions pour l amélioration du processus de recouvrement et la gouvernance forestière au Cameroun. 3. Résultats et produits attendus 3.1. Résultats attendus Quatre (04) résultats sont attendus de la présente consultation : 1. la documentation juridique relative au recouvrement des taxes et des redevances forestières établies dans la fiscalité forestière et des amendes et dommages-intérêts consécutifs à la répression des infractions forestières commises par les exploitants forestiers est collectée et analysée ; 2. L organisation et le déroulement du processus de recouvrement des taxes et des redevances forestières établies dans la fiscalité forestière et des amendes et dommages-intérêts consécutifs à la répression des infractions forestières commises par les exploitants forestiers sont présentés et analysés ; 3. Le niveau et le pourcentage de recouvrement des taxes et des redevances forestières établies dans la fiscalité forestière et des amendes et dommages-intérêts consécutifs à la répression des infractions forestières commises par les exploitants forestiers sont évalués et analysés ; 3
4 4. Les leçons nécessaires pour l amélioration du recouvrement des taxes et des redevances forestières établies dans la fiscalité forestière et des amendes et dommages-intérêts consécutifs à la répression des infractions forestières commises par les exploitants forestiers et la gouvernance forestière au Cameroun sont dégagées. b. Produits attendus Un seul produit est attendu de cette consultation : le rapport général de l étude présentant, de manière claire et précise, les quatre (04 ) résultats attendus de l étude présentés ci-dessus. 5. Lieu et durée de l étude La consultation sera réalisée à Yaoundé et dans les cinq (05) principales régions forestières du Cameroun. Elle couvrira une période de 30 jours ouvrables, y compris une réunion de restitution des résultats de l étude à Yaoundé. En outre, l expert participera à un atelier organisé par l OI ayant pour objectif la présentation des résultats des études réalisées en L expert viendra y présenter les résultats de son analyse. 6. Profil de l Expert La consultation sera réalisée par un Expert junior Juriste ou Fiscaliste, ayant une bonne capacité d analyse des cas de contentieux fiscal forestier et son impact sur la gestion durable des forêts, les recettes de l Etat et la gouvernance forestière. Le Consultant travaillera, de manière étroite, avec la Brigade Nationale de Contrôle Forestier et la Cellule Juridique du Ministère des Forêts et de la Faune (MINFOF), le Programme de Sécurisation des Recettes Forestières (PSRF) du Ministère chargé des Finances, l Equipe AGRECO-OI, la Direction des Forêts, la Sous-Direction de la Fiscalité Forestière, les Délégations Régionales du MINFOF, les structures locales du Programme de Sécurisation des Recettes Forestières (PSRF) dans les cinq (05) principales régions forestières du pays, la Cellule d Appui à l Ordonnateur National du Fonds Européen de Développement (FED) et la Délégation de l Union Européenne. Les qualifications, les compétences et l expérience requises sont : - Avoir une formation universitaire au moins du niveau de Master en droit ou en fiscalité ; - Avoir une bonne connaissance en matière d exploitation forestière, de fiscalité forestière et de contrôle fiscal forestier au Cameroun ; 4
5 - Avoir une connaissance générale de la législation et de la réglementation forestière Camerounaise ; - Avoir une connaissance générale de l outil informatique ; - Lire et parler les deux (02) langues officielles du Cameroun (l anglais et le français). 7. Rapports Dans les 07 jours suivant la signature du contrat, un plan de travail détaillé et un document d analyse de la documentation juridique relative au contrôle fiscal forestier, à l organisation, à la gestion et au suivi du contentieux fiscal forestier est remise. Dans les 14 jours suivant la signature du contrat, un draft du rapport de l étude est remis. Sept (07) jours après l atelier de restitution des résultats de l étude de Yaoundé, le rapport final de l étude est remis au Projet OI-AGRECO-CEW. 8. Prestations de l expert : Collecte et analyse de la documentation : Expert Juriste ou Fiscaliste : 1 Total : 05 jours ouvrables Elaboration du draft du rapport de l étude, avec des missions dans les régions : Expert Juriste ou Fiscaliste : 1 Total : 20 jours ouvrables Réunion de restitution et rédaction du rapport final et participation à l atelier organisé par l OI : Expert Juriste ou Fiscaliste : 1 Total : 05 jours ouvrables Total de jours de Mission : 30 jours ouvrables. 9. Calendrier de mission Le Consultant proposera un calendrier détaillé de réalisation de la consultation, en concertation avec l Equipe de l OI-AGRECO-CEW, la Brigade Nationale de Contrôle Forestier, la Cellule Juridique du Ministère des Forêts et de la Faune (MINFOF), la 5
6 Direction des Forêts, la Sous-Direction de la Fiscalité Forestière et le Programme de Sécurisation des Recettes Forestières (PSRF) du Ministère chargé des Finances, la Cellule d Appui à l Ordonnateur National du Fonds Européen de Développement (FED) et l Union Européenne. 6
Forum sur la Gouvernance de l'internet en Afrique Centrale : Douala Cameroun, du 29 au 31 Mai 2012
Forum sur la Gouvernance de l'internet en Afrique Centrale : Douala Cameroun, du 29 au 31 Mai 2012 Instruments juridiques de protection des infrastructures et de la vie privée des citoyens contre les cyber
Plus en détailAtelier de réflexion et de validation du projet du système de veille/observatoire des réformes foncière et forestière au Cameroun
Atelier de réflexion et de validation du projet du système de veille/observatoire des réformes foncière et forestière au Cameroun AKONO du 30 au 31 Juillet 2015 Termes de Références Introduction Au Cameroun,
Plus en détailPROPOSITION POUR LA MISE EN PLACE D UN SYSTEME DE TRACABILITE DES BOIS CIRCULANT SUR LE TERRITOIRE NATIONAL
REPUBLIQUE DU CAMEROUN Paix-Travail-Patrie MINISTERE DES FORETS ET DE LA FAUNE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION DES FORETS REPUBLIC OF CAMEROON Peace - Work Fatherland - MINISTRY OF FORESTRY AND WILDLIFE
Plus en détailTable des matières ANNEXES
2 Table des matières AVANT-PROPOS... CONTRIBUTIONS... LISTE DES ABRÉVIATIONS ET ACRONYMES... 1 INTRODUTION... 1.1 Objectifs du Guide... 1.2 Destinataires du Guide... 1.3 Présentation du Guide... 2 APPROCHES
Plus en détailLa réforme de l administration fiscale au Cameroun
Conférence sur la mobilisation des recettes fiscales dans les pays en développement Washington, 17-19 avril 2011 La réforme de l administration fiscale au Cameroun Alfred Bagueka ASSOBO Introduction (02)
Plus en détail1 er CONGRES DES FORETS COMMUNALES DE LA COMIFAC Présentation des initiatives en cours au CAMEROUN
1 er CONGRES DES FORETS COMMUNALES DE LA COMIFAC Présentation des initiatives en cours au CAMEROUN Par: NTI MEFE Solomon Maire de la Commune de Djoum Secrétaire Général ACFCam 1- REPERES CHRONOLOGIQUES
Plus en détailFormations et diplômes. Rapport d'évaluation. Master Droit privé. Université Bordeaux. Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A)
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Master Droit privé Université Bordeaux Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes Pour le HCERES, 1 Didier Houssin, président En vertu
Plus en détailL'AGENT IMMOBILIER. Attention : les cartes professionnelles déjà délivrées restent valables jusqu à leur date d expiration.
L'AGENT IMMOBILIER L'agent immobilier est un intermédiaire intervenant dans les opérations d achat, de vente, d échange, de sous-location ou de location de maisons, appartements, fonds de commerce, terrains.
Plus en détailCommunauté de Communes du Val de l Ailette LA TAXE DE SEJOUR GUIDE D APPLICATION
Communauté de Communes du Val de l Ailette LA TAXE DE SEJOUR GUIDE D APPLICATION PRÉSENTATION Pourquoi la taxe de séjour sur tout le territoire du Val de l Ailette? La Communauté de Communes du Val de
Plus en détailCabinet Mandessi Bell
Droit des Affaires des Pays d Afrique f r a n c o ph o n e Cabinet Mandessi Bell Ohada Legis www.ohadalegis.com Aujourd hui plus que jamais, un franc investi doit l être dans la sécurité Le Cabinet Mandessi
Plus en détailPROGRAMME DES COURS DE FRANÇAIS JURIDIQUE. Année 2012
PROGRAMME DES COURS DE FRANÇAIS JURIDIQUE Année 2012 La Maison du droit propose, à nouveau en 2012, un programme d enseignement approfondi contenant des modules théoriques et pratiques. Ces cours sont
Plus en détailLa saisie-contrefaçon Présentation générale
SciencesPo Master Droit Économique, Spécialité Propriété Intellectuelle Assurer la preuve (2/6), Présentation générale Isabelle ROMET Paris Lyon www.veron.com Plan 1. Les textes 2. Principes généraux 3.
Plus en détailSYNTHÈSE DES PRINCIPALES CONCLUSIONS DE L AUDIT ÉCONOMIQUE ET FINANCIER DU SECTEUR FORESTIER AU CAMEROUN
SYNTHÈSE DES PRINCIPALES CONCLUSIONS DE L AUDIT ÉCONOMIQUE ET FINANCIER DU SECTEUR FORESTIER AU CAMEROUN Le secteur forestier au Came - roun a connu des changements importants ces dernières an - nées,
Plus en détailDROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES. Droit européen des affaires. www.univ-littoral.fr
DROIT, ÉCONOMIE & GESTION MASTER DROIT DES AFFAIRES Droit européen des affaires www.univ-littoral.fr OBJECTIFS DE LA FORMATION Spécialisation en Droit européen et français des Affaires COMPETENCES VISEES
Plus en détailVu la loi n 11/011 du 13 juillet 2011 relative aux Finances Publiques ; Vu la loi n 13/007 du 22 janvier 2013 portant habilitation du Gouvernement ;
ORDONNANCE-LOI N 13/003 DU 23 FEVRIER 2013 PORTANT REFORME DES PROCEDURES RELATIVES A L ASSIETTE, AU CONTROLE ET AUX MODALITES DE RECOUVREMENT DES RECETTES NON FISCALES Le Président de la République, Vu
Plus en détailRapport de la Table Ronde sur le Soutien Juridique en République du Congo
Avril 2013 Rapport de la Table Ronde sur le Soutien Juridique en République du Congo Brazzaville, 27 mars 2013 Table des matières I - INTRODUCTION... 3 II - TRAVAUX DE LA TABLE RONDE... 4 II.1. La session
Plus en détailAvant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi
Avant projet de texte légal portant régime de l intégration du genre dans les politiques nationales de croissance et de l emploi Préambule Le Cameroun a révisé son DSRP i 2003 en lui adressant une direction
Plus en détailAnnée Universitaire 2013-2014. 1 ère année de Master Droit Mention Droit Privé 1 er semestre. 1 er SEMESTRE 8 matières CM TD COEFF ECTS.
Année Universitaire 201-2014 1 ère année de Master Droit Mention Droit Privé 1 er semestre 1 er SEMESTRE 8 matières CM TD COEFF ECTS Unité 1 1 TD obligatoire Droit civil (les Sûretés) Unité 2-1 TD au choix
Plus en détailLe Parlement Wallon a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit :
Le Parlement Wallon a adopté et Nous, Gouvernement, sanctionnons ce qui suit : CHAPITRE I er. Dispositions générales et définitions Article premier Le présent décret règle, en application de l article
Plus en détailContrat de création d un site web
http://www.droitbelge.net infos@droitbelge.net Contrat de création d un site web Auteur: Me Frédéric Dechamps, avocat AVERTISSEMENT Ce document est une version d évaluation du contrat. Il a pour seul objectif
Plus en détailComité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale
1 Comité sectoriel de la sécurité sociale et de la santé Section sécurité sociale CSSS/14/010 DÉLIBÉRATION N 14/006 DU 14 JANVIER 2014 RELATIVE À LA COMMUNICATION DE DONNÉES À CARACTÈRE PERSONNEL À L ADMINISTRATION
Plus en détailCirculaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C
Secret de la défense nationale Circulaire de la DACG n CRIM 08-01/G1 du 3 janvier 2008 relative au secret de la défense nationale NOR : JUSD0800121C Textes source : Articles 413-5, 413-7, 413-9 à 413-12,
Plus en détailRAPPORT DE L OBSERVATEUR INDEPENDANT N 077 / OI / REM
Observateur Indépendant au Contrôle et Suivi des Infractions Forestières B.P. 11317 Tel/Fax: (237) 22 20 10 92 Yaoundé - Cameroun RAPPORT DE L OBSERVATEUR INDEPENDANT N 077 / OI / REM Mission conjointe
Plus en détailCOMMENT PREPARER AU MIEUX SON CONTRÔLE TVA?
COMMENT PREPARER AU MIEUX SON CONTRÔLE TVA? PIERRE-FREDERIC NYST Avocat fiscaliste au Barreau de Namur Avenue Cardinal Mercier, 46 5000 NAMUR Téléphone : +32 (0)81 23 13 93 Télécopie : +32 (0)81 23 13
Plus en détailExpert principal 1: Chef d'équipe, coordonnateur de projet (expert senior)
1.1.1 Experts principaux Ces termes de référence définissent les profils requis pour les experts principaux. Le soumissionnaire doit fournir une déclaration d'exclusivité et de disponibilité pour les experts
Plus en détailOBJET : GERER LES CESSIONS ET LES OPPOSITIONS DANS BFC
DOMAINE DEPENSE PROCESSUS REGLEMENT OBJET : GERER LES CESSIONS ET LES OPPOSITIONS DANS BFC date N de version Auteur Stade Novembre 2006 0 C.BRETELLE Transmis le 12 janvier 2007 DEFINITIONS ET PRINCIPALES
Plus en détailRECUEIL DE LEGISLATION. S o m m a i r e PROFESSIONELS DU SECTEUR DES ASSURANCES
MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 2697 1623 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 129 110 22 22 juillet mai 2009 2013 S o m m a i r e PROFESSIONELS
Plus en détailSEMINAIRE DE FORMATION DES ACTEURS DES TRANSPORTS ROUTIERS ET DE LA SECURITE ROUTIERE EN ZONE CEMAC Douala, 10-14 juin 2013
SEMINAIRE DE FORMATION DES ACTEURS DES TRANSPORTS ROUTIERS ET DE LA SECURITE ROUTIERE EN ZONE CEMAC Douala, 10-14 juin 2013 Rôle du transport routier de marchandises et de voyageurs dans le développement
Plus en détailContrat d'association sans mise en commun des honoraires
Contrat d'association sans mise en commun des honoraires Entre les soussignés : 1) nom, prénom, qualification professionnelle, adresse privée, matricule national, code médecin 2) etc. il a été convenu
Plus en détailStatuts de la Mutuelle Des Inspecteurs Et Officiers Des Douanes Du Cameroun TITRE I DISPOSITIONS GENERALES CHAPITRE I
Statuts de la Mutuelle Des Inspecteurs Et Officiers Des Douanes Du Cameroun 1 TITRE I DISPOSITIONS GENERALES CHAPITRE I DE LA DENOMINATION ET DU SIEGE Article 1 : La Mutuelle créé entre les Inspecteurs
Plus en détailMaster Droit pénal, sciences criminelles et criminologie appliquée
Master Droit pénal, sciences criminelles et criminologie appliquée Enquête menée auprès des diplômés 2009, 30 mois après l obtention du diplôme En 2009, 2 étudiants ont obtenu un master «Droit pénal, sciences
Plus en détailLE STATIONNEMENT DES GENS DU VOYAGE DROITS ET DEVOIRS DES MAIRES. Etienne COLSON, avocat au barreau de Lille - Mars 2009 -
LE STATIONNEMENT DES GENS DU VOYAGE DROITS ET DEVOIRS DES MAIRES 1 INTRODUCTION Définition «gens du voyage» => une notion imprécise Seule définition légale = «personnes dont l habitat traditionnel est
Plus en détailNous constatons de nos jours
LA RESPONSABILITE DES DIRIGEANTS DE SOCIETES par Me Jean Brucher Nous constatons de nos jours que l internationalisation et la globalisation des problèmes relatifs à l activité des entreprises ainsi que
Plus en détailTRIBUNAL DE POLICE ET SANCTIONS PENALES : PEINES PRINCIPALES, SUBSIDIAIRES & ACCESSOIRES
TRIBUNAL DE POLICE ET SANCTIONS PENALES : PEINES PRINCIPALES, SUBSIDIAIRES & ACCESSOIRES Adrien MASSET Avocat Professeur U.Lg Le 26.01.2012 Jeune Barreau de Verviers Voir notre étude in Chronique de droit
Plus en détailBarème des quotes-parts pour les contributions des États Membres au budget ordinaire en 2015
L atome pour la paix Conférence générale GC(58)/7 15 août 2014 Distribution générale Français Original : anglais Cinquante-huitième session ordinaire Point 12 de l ordre du jour provisoire (GC(58)/1, Add.1
Plus en détailN 3038 ASSEMBLÉE NATIONALE PROJET DE LOI
N 3038 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 QUATORZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le 19 août 2015. PROJET DE LOI ratifiant l ordonnance n 2015-380 du
Plus en détailCONVENTION DE STAGE - Master 2 en Sciences Biomédicales Cosmétologie FACULTE DE PHARMACIE
CONVENTION DE STAGE - Master 2 en Sciences Biomédicales Cosmétologie FACULTE DE PHARMACIE ENTRE : 1. L Université Libre de Bruxelles, institution universitaire dotée de la personnalité juridique en vertu
Plus en détaill L immense majorité des condamnations concernent des délits
Prévention de la récidive et individualisation des peines Chiffres-clés Juin 2014 Les condamnations En 2012, environ 900 000 infractions ont donné lieu à environ 600 000 condamnations pénales prononcées
Plus en détailARRETE n 333 CM du 10 avril 2006 portant fixation du tarif des huissiers en matière civile et commerciale. (JOPF du 20 avril 2006, n 16, p.
1 ARRETE n 333 CM du 10 avril 2006 portant fixation du tarif des huissiers en matière civile et commerciale. (JOPF du 20 avril 2006, n 16, p. 1324) Le Président de la Polynésie française, Sur le rapport
Plus en détailUNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 2012/2017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL
UNIVERSITE DE TOULON UFR FACULTE DE DROIT REGLEMENT D EXAMEN ANNEE 01/017 LICENCE DROIT MENTION DROIT GENERAL Les présentes règles s inscrivent dans le cadre réglementaire national défini par les tetes
Plus en détailLISTE DES DIPLOMES REQUIS Recrutement des Inspecteurs du recouvrement 50 e promotion
LISTE DES DIPLOMES REQUIS Recrutement des Inspecteurs du recouvrement 50 e promotion Les URSSAF recrutent dans les filières administration et gestion des entreprises, comptabilité, droit et ressources
Plus en détailOFFRE DE CONSULTANCE Volet Gouvernance judiciaire à l Est de la RDC
OFFRE DE CONSULTANCE Volet Gouvernance judiciaire à l Est de la RDC «Consultant en suivi-évaluation et élaboration d outils de suivi-évaluation pour le programme PARJ-E «Uhaki Safi» Profil recherché: Objectif
Plus en détailLOI N 2006-01 portant Code des Postes
REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi LOI N 2006-01 portant Code des Postes EXPOSE DES MOTIFS Le secteur postal connaît actuellement des mutations liées notamment aux avancées technologiques,
Plus en détailCHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES
CHAPITRE V SELECTION DES CONSULTANTS ET D AUTRES PRESTATAIRES DE SERVICES Méthode de sélection: les dispositions qui suivent s appliquent lorsqu elles ne sont pas contraires à celles préconisées dans les
Plus en détail10èmes Rencontres Mondiales du Logiciel Libre. NANTES, Le 7 Juillet 2009
10èmes Rencontres Mondiales du Logiciel Libre NANTES, Le 7 Juillet 2009 Les principes généraux : enjeux, approche partenariale... 2 Des enjeux financiers et qualitatifs les coûts de papier, d édition et
Plus en détailSTATUT DE LA MUTUELLE NATIONALE DE L ENSEIGNEMENT DE TUNISIE
STATUT DE LA MUTUELLE NATIONALE DE L ENSEIGNEMENT DE TUNISIE STATUT www.mnetpourtous.com Page 1/16 STATUT www.mnetpourtous.com Page 2/16 ART 1 (Disposition Obligatoire ) STATUTS DE LA MUTUELLE NATIONALE
Plus en détailCongo. Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Congo
Loi règlementant l exercice de la profession de commerçant en République du Loi n 19-2005 du 24 novembre 2005 Titre 1 - Dispositions générales Art.1.- La présente loi définit les conditions d exercice
Plus en détailFIN-NET. La résolution extrajudiciaire des litiges transfrontaliers dans le domaine des services financiers. Guide du consommateur
FIN-NET La résolution extrajudiciaire des litiges transfrontaliers dans le domaine des services financiers Guide du consommateur FIN-NET La résolution extrajudiciaire des litiges transfrontaliers dans
Plus en détailPOLYNESIE FRANÇAISE - AGENCES DE VOYAGES - REGLEMENTATION DE LA LICENCE
POLYNESIE FRANÇAISE - AGENCES DE VOYAGES - REGLEMENTATION DE LA LICENCE Polynésie française : la chronique juridique des notaires TEXTES Délibération n 87-138 AT du 23 décembre 1987 (JOPF du 7 janvier
Plus en détailen 21 ou 30 jours à Buea au Cameroun! C A L E N D R I E R E T C O U T S D E S S E J O U R S L I N G U I S T I Q U E S P O U R L A N N E E 2 0 1 4
en 21 ou 30 jours à Buea au Cameroun! C A L E N D R I E R E T C O U T S D E S S E J O U R S L I N G U I S T I Q U E S P O U R L A N N E E 2 0 1 4 NOS OFFRES POUR L ANNEE 2014: L ANGLAIS POUR ADULTES NOUVEAU
Plus en détailSociété Marocaine d assurance à l exportation CONSORTIUM D EXPORTATION. jeudi 12 janvier 2012 1
Société Marocaine d assurance à l exportation CONSORTIUM D EXPORTATION jeudi 12 janvier 2012 1 La SMAEX Un outil d accompagnement des Consortiums d exportation dans un monde en profonde mutation 2 Conséquences
Plus en détailMaster Mention Management Domaine : Sciences Juridiques, Economiques et de Gestion Spécialité Professionnelle Ingénierie des Ressources Humaines (IRH)
Master Mention Management Domaine : Sciences Juridiques, Economiques et de Gestion Spécialité Professionnelle Ingénierie des Ressources Humaines (IRH) RESPONSABLES : mention Management : Martine BRASSEUR,
Plus en détailHabiter. Le travail illégal FICHE 15
FICHE 15 Habiter Le travail illégal Sont interdits par la loi : > le travail dissimulé : absence de déclarations obligatoires, de remises de bulletin de paie, dissimulation d heures de travail ; > le prêt
Plus en détail29 Dhou El Hidja 1431 5 décembre 2010 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 74
10 29 Dhou El Hidja 1431 Vu le décret exécutif n 91-311 du 7 septembre 1991, complété, relatif à la nomination et à l agrément des comptables publics ; Vu le décret exécutif n 08-04 du 11 Moharram 1429
Plus en détailManuel pratique d Observation Indépendante
Manuel pratique d Observation Indépendante Financé par la ligne budgétaire Environnement / Forêts tropicales, Commission Européenne DFID, NC-IUCN et Banque Mondiale PRCTG Observation Indépendante de la
Plus en détailPER I TURISTI STRANIERI: GUIDARE IN ITALIA. Documents normalement demandés pour conduire une voiture de location en Italie:
Location de voitures Documents normalement demandés pour conduire une voiture de location en Italie: - Permis de conduire en cours de validité, obtenu depuis au moins 1 an, donnant l'autorisation de conduire
Plus en détailLa majorité, ses droits et ses devoirs. chapitre 7
La majorité, ses droits et ses devoirs chapitre 7 Si le 18 e anniversaire véhicule souvent l idée de plus d indépendance, il est aussi le moment de la majorité légale, assortie d un certain nombre de droits
Plus en détailLe marché de la formation professionnelle continue de La Réunion en 2011
Le marché de la formation professionnelle continue de La Réunion en 2011 L activité des organismes de formation de La Réunion Service Régional de Contrôle de la Direction des Entreprises, de la Concurrence,
Plus en détailDéclaration IPP 2013. Conférence de presse. Koen Geens. Carlos Six. 30 avril 2013 North Galaxy. Ministre des Finances
Déclaration IPP 2013 Koen Geens Ministre des Finances Carlos Six Administrateur général de la Fiscalité Conférence de presse 30 avril 2013 North Galaxy Lignes de force > S Libre choix du citoyen 1,5 million
Plus en détailla gestion ATELIER DE FORMATION ATELIER DE ET DU DROIT ET DE LA RCA Jet
Projet GCP/RAF/441/GER «Renforcement de la sécurité alimentaire en Afrique centrale à travers la gestion durable des produits forestiers non ligneux» ATELIER DE FORMATION : ATELIER DE FORMATION SUR L'INTEGRATION
Plus en détailVILLE DE MONTRICHARD MARCHES PUBLICS PRESTATIONS D'ASSURANCES ACTE D ENGAGEMENT. Lot 2 Responsabilité civile
MARCHES PUBLICS PRESTATIONS D'ASSURANCES ACTE D ENGAGEMENT Lot 2 Responsabilité civile Personne publique VILLE DE MONTRICHARD Pouvoir Adjudicateur VILLE DE MONTRICHARD Personne habilitée à fournir des
Plus en détailLoi n 1.162 du 7 juillet 1993 relative à la participation des organismes financiers à la lutte contre le blanchiment de capitaux
PRINCIPAUTÉ DE MONACO Loi n 1.162 du 7 juillet 1993 relative à la participation des organismes financiers à la lutte contre le blanchiment de capitaux RAINIER III PAR LA GRACE DE DIEU PRINCE SOUVERAIN
Plus en détailMise à jour 31.12.2014 (1) FAQ n 9 : Mesures de contrôle. Moyens de preuve. Prescription. Sanctions
Mise à jour 31.12.2014 (1) FAQ n 9 : Mesures de contrôle. Moyens de preuve. Prescription. Sanctions Cette FAQ n 9 vise tout d abord à esquisser un bref aperçu des règles générales qui s appliquent à tous
Plus en détailExécution des décisions judiciaires Portugal
Exécution des décisions judiciaires Portugal 3. Objet et nature des mesures d exécution 3.1. Quels types de biens peuvent être soumis à l exécution? Sont soumis à l exécution tous les biens du débiteur
Plus en détailFormulaire de demande de plan de consolidation en diversité
Ministère de la Région de BruxellesCapitale Territoriaal Pact(e) territorial Diversité en Région de BruxellesCapitale La politique de diversité en entreprise ne s arrête pas après l élaboration d un plan
Plus en détailPLAN STATISTIQUE AUTOMOBILE DU QUÉBEC Définitions
PLAN STATISTIQUE AUTOMOBILE DU QUÉBEC Définitions Juillet 2014 N/Réf. : 930.01 Le Groupement des assureurs automobiles agit à titre d agence autorisée par l Autorité des marchés financiers. Ce document
Plus en détailTDR pou la mise en œuvre d une station GLIN au Cameroun
TDR pou la mise en œuvre d une station GLIN au Cameroun Réseau Mondial de l Information Juridique Sommaire : TDR pour la mise en œuvre d une station GLIN au Cameroun 2 ANNEXE 2 : Réseau Mondial de l Information
Plus en détailLICENCE D UTILISATION DE LA DO NOT CALL ME LIST : CONDITIONS GENERALES
LICENCE D UTILISATION DE LA DO NOT CALL ME LIST : CONDITIONS GENERALES Introduction Dans les présentes conditions, l'on entend par : - Abonné : toute personne physique ou morale qui utilise un service
Plus en détailQuantitative Reporting Templates Etats Réassurance. 28/02/2013 Auditorium de Groupama
Quantitative Reporting Templates Etats Réassurance 28/02/2013 Auditorium de Groupama 1 QRT Etats Réassurance Etat J1_Basic Cet état recense pour chaque LOB les 10 plus importants risques réassurés en facultative
Plus en détailLa sécurité routière en France Bilan de l année 2007
La sécurité routière en France Bilan de l année 2007 Hôtel de Roquelaure 18 juin 2008 Jean CHAPELON Secrétaire général de l Observatoire national interministériel de sécurité routière (ONISR) La sécurité
Plus en détailwww.univ-larochelle.fr
www.univ-larochelle.fr 2015 Culture, patrimoine "Études françaises" : "Apprendre le français à l Université de La Rochelle" Objectif : maîtriser le français écrit et oral de la vie quotidienne, atteindre
Plus en détailInscriptions au trimestre d automne 2012 : quelques observations
Inscriptions au trimestre d automne 2012 : quelques observations Légère hausse des inscriptions Au trimestre d automne 2012, 294 911 étudiantes et étudiants se sont inscrits dans les universités québécoises,
Plus en détailDemande formelle de l entreprise ou de l association économique
Demande d habilitation à remettre à ses employés, ses membres ou aux personnes qui travaillent pour ces membres les cartes de légitimation pour commerçants itinérants Demande formelle de l entreprise ou
Plus en détailLOI N 013-2013/AN BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- PORTANT REGLEMENTATION DE LA PROFESSION DE COMMERÇANT AU BURKINA FASO
BURKINA FASO IV E REPUBLIQUE ----------- ----------- UNITE-PROGRES-JUSTICE CINQUIEME LEGISLATURE ----------- ASSEMBLEE NATIONALE LOI N 013-2013/AN PORTANT REGLEMENTATION DE LA PROFESSION DE COMMERÇANT
Plus en détailLoi sur le transport de voyageurs
Projet de la Commission de rédaction pour le vote final Loi sur le transport de voyageurs (LTV) Modification du 26 septembre 2014 L Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu le message du Conseil
Plus en détailGUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE
FONDS D APPUI AUX INITIATIVES RAPPROCHEES (FAIR) GUIDE D ORIENTATION AUX ORGANISATIONS DE BASE I. Contexte/justification II. Eligibilité des actions 1 III. IV. Eligibilité des demandeurs Durée d exécution
Plus en détailLOI N 99-64 DU 15 JUILLET 1999, RELATIVE AUX TAUX D'INTERET EXCESSIFS
LOI N 99-64 DU 15 JUILLET 1999, RELATIVE AUX TAUX D'INTERET EXCESSIFS Article premier. - Constitue un prêt consenti à un taux d'intérêt excessif, tout prêt conventionnel consenti à un taux d'intérêt effectif
Plus en détailProjet d Actions pour le Renforcement de l Etat de Droit et des Associations (PAREDA) 10ème FED
République du Congo Unité-Travail-Progrès Union Européenne Projet d Actions pour le Renforcement de l Etat de Droit et des Associations (PAREDA) 10ème FED Cérémonie de Lancement de la Plateforme de Publication
Plus en détailProcédures. L extrait de casier judiciaire
Vos droits Institutions Acteurs Procédures L extrait de casier judiciaire F i c h e P r a t i q u e Qu est-ce que le casier judiciaire? Le casier judiciaire conserve les condamnations prononcées par les
Plus en détailLa Commission des Psychologues
La Commission des Psychologues UCL, le 24 octobre 2014 par Edward Van Rossen & Marie-Caroline de Mûelenaere Plan Fonctionnement Raisons d être Différences avec les fédérations professionnelles Le futur
Plus en détailTextes de référence : Table des matières
Les alternatives aux peines d'emprisonnement et le Juge d'application des peines au Niger Textes de référence :! Code pénal du NIGER, Niamey1993.! Code de procédure pénale du NIGER.! Décret n 96-069 du
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS
TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...
Plus en détailL Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu le message du Conseil fédéral du 15 avril 2015 1 arrête:
(Droit du registre du commerce) Projet Modification du L Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu le message du Conseil fédéral du 15 avril 2015 1 arrête: I 1. Le titre trentième du code des obligations
Plus en détailDÉBARDAGE & SÉCURITÉ ROUTIÈRE MAI 2012
Fiche N 8 DÉBARDAGE & SÉCURITÉ ROUTIÈRE MAI 2012 OBJET Cette fiche s'applique exclusivement au domaine public RÈGLEMENTATION DÉFINITION Un chantier de débardage (dépôt de bois, stationnement ou évolution
Plus en détailFORMULAIRE D INSCRIPTION. l Institut des juristes d entreprise
FORMULAIRE D INSCRIPTION à renvoyer à l IJE, rue des Sols 8, 1000 Bruxelles Par la présente, je souhaite poser ma candidature comme membre de l Institut des juristes d entreprise MERCI D ECRIRE EN LETTRES
Plus en détailImpacts socioéconomiques des investissements chinois en Afrique : études de cas au Cameroun et au Gabon
Réunion de concertation du PFBC sur le dialogue avec la Chine Douala, 28 janvier 2013 Impacts socioéconomiques des investissements chinois en Afrique : études de cas au Cameroun et au Gabon Samuel Assembe
Plus en détailLa Redevabilité dans le Management Universitaire Marocain: Cas des Présidents et des Chefs d Etablissements A. AGRAR ENCG/GREMS
La Redevabilité dans le Management Universitaire Marocain: A. AGRAR ENCG/G La référence centrale de la redevabilité Le principe de la corrélation entre la responsabilité et la reddition des comptes (article
Plus en détailEn devenant majeur-e, vous devenez responsable de vos actes, c est-à-dire que vous en mesurez toutes les conséquences.
3La responsabilité La responsabilité civile La responsabilité pénale La procédure judiciaire applicable La protection judiciaire pour les jeunes majeurs En devenant majeur-e, vous devenez responsable de
Plus en détailLes autorités judiciaires françaises n ont pas mis en œuvre de politique nationale de prévention dans ce domaine.
COMITE D EXPERTS SUR LE TERRORISME (CODEXTER) CYBERTERRORISME L UTILISATION DE L INTERNET A DES FINS TERRORISTES FRANCE Avril 2008 Kapitel 1 www.coe.int/gmt A. Politique Nationale 1. Existe-t-il une politique
Plus en détailLa responsabilité juridique des infirmiers. Carine GRUDET Juriste
La responsabilité juridique des infirmiers Carine GRUDET Juriste Introduction Dans notre société civile, la responsabilité est un principe juridique selon lequel chacun doit répondre des conséquences de
Plus en détailCharte de vacation. ENTRE LES SOUSSIGNES: D une part : L Ecole Supérieure de Technologie de Meknès, représentée par Monsieur le Directeur.
Charte de vacation ENTRE LES SOUSSIGNES: D une part : L Ecole Supérieure de Technologie de Meknès, représentée par Monsieur le Directeur... Et D autre part «L ENSEIGNANT Vacataire» - Monsieur (Madame):
Plus en détailREGLEMENT DE LA CONSULTATION. Procédure d appel d offres ouvert
REGLEMENT DE LA CONSULTATION Référence accord-cadre n 03-2015 Procédure d appel d offres ouvert Régie par l article 29 du décret n 2005-1742 pris en application de l ordonnance n 2005-649 du 6 juin 2005
Plus en détailRapport de statistiques de consultations citoyennes Centre de Justice de Proximité de Québec
Rapport de statistiques de consultations citoyennes Centre de Justice de Proximité de Québec Date du rapport: 13 avril 2015 Couverture du rapport: Avril 2015 Mois Nombre de consultation Avril 2015 13 Total
Plus en détailSérie Z, fonds hors format
issues de l échantillonnage (années en 0-1 et 5-6). Ces fonds, dont la constitution est prévue par les textes, sont une mémoire des exercices pratiqués à l Université, autant qu une approche de la réponse
Plus en détailLETTRE CIRCULAIRE N 2009-084
Montreuil, le 03/11/2009 ACOSS DIRECTION DE LA REGLEMENTATION, DU RECOUVREMENT ET DU SERVICE LETTRE CIRCULAIRE N 2009-084 OBJET : Loi de simplification et clarification du droit et d allègement des procédures
Plus en détailLawLex. L excellence en droit économique
LawLex L excellence en droit économique L INFORMATION DE RÉFÉRENCE en droit économique LawLex, société d édition juridique spécialisée en droit économique, offre en ce domaine les produits les plus complets,
Plus en détailDocument de stratégie d observation indépendante des activités forestières sous régime FLEGT de la société civile centrafricaine
Document de stratégie d observation indépendante des activités forestières sous régime FLEGT de la société civile centrafricaine Plateforme de la société civile centrafricaine pour la gestion durable des
Plus en détailOn the spot. Ecocertification et images satellites. Exploitation forestière tropicale au Cameroun
On the spot Ecocertification et images satellites Exploitation forestière tropicale au Cameroun Exploitation forestière tropicale au Cameroun Un nombre croissant d opérateurs forestiers s engagent dans
Plus en détailDébroussaillement obligatoire : synthèse des nouveautés du Code Forestier de juillet 2012
Débroussaillement obligatoire : synthèse des nouveautés du Code Forestier de juillet 2012 Avec la parution de l'ordonnance n 2012-92, le 26 janvier 2012, et du décret n 2012-836, le 29 juin 2012, le Code
Plus en détailCONVENTION DE COMPTE DE DEPOT EN DEVISES
La convention de compte de dépôt en devise, ci-après dénommée la «Convention», se compose des présentes Conditions Générales, des Conditions Particulières et des Conditions tarifaires applicables à la
Plus en détail