La Radiothérapie asservie à la Respiration Le Sein N rma rma Helic Heli a c l a CT 4D CT Irradiation du sein gauche Irradiation 3D vs 4D estimate
|
|
- Jean-Claude Carbonneau
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La Radiothérapie asservie à la Respiration Importance des mouvements respiratoires Philippe Giraud Service d Oncologie Radiothérapie, Hôpital Européen Georges Pompidou, 70 Paris Université Paris Descartes Courtesy of Yusuf Erdi, Gig Mageras, Sadek Nehmeh, Ken Rosenzweig, Ellen Yorke -MSKCC Radiothérapie de précision? Le Sein Normal Helical CT D CT Respiration libre Inspiration maximale Irradiation du sein gauche D vs D estimate of organ dose SDX Volume Standard DVH SDX RL RL % Actual D-DVH DVH? % Tolerance Dose Dose
2 Simplifying D contouring - two phases planning? Example of tumor hysteresis CTV end-expirationexpiration ITV Set up end-inspiration Courtesy VUMC Amsterdam Contrôle de la respiration du patient Blocage volontaire : SDX (Dyn R) Blocage volontaire : SDX (Dyn R)
3 Synchronisation respiratoire Market available Resp. Monitoring Systems Spirometer Anzai Chest belt Courtesy Dyn R - Toulouse- France Varian RPM IR Camera Courtesy Anzai-Medical - Tokyo-Japan Vision RT Camera Courtesy Varian Medical Systems Palo Alto USA Courtesy Vision RT London - UK Varian Real-time Position Management (RPM) Retrospective Gating D CT Image Acquisition Marqueurs On/Off Station de contrôle accélérateurs Cine Retrospective D Respiration Waveform from RPM Respiratory Gating System Inhalation Retrospective Gating D CT Image Acquisition Image acquired signal to RPM system Exhalation Inspiration max Expiration max X-ray on Inspiration st couch position nd couch position rd couch position Expiration st nd rd
4 Phase Compression Acquisition «Prospective» Respiration Waveform from RPM Respiratory Gating System Inhalation Exhalation Scan Scan Scan CT Scan Axial scan trigger, st couch position Axial scan trigger, nd couch position Axial scan trigger, rd couch position Phase movie loop Compressed Average Dosimétrie Compressed MIP ITV (maximum intensity pixel) Gated CT for Un-Gated Treatment Inhalation Exhalation ITVD Draw target volume with precise motion information Treatment has increased likelihood to include the target during dose delivery Inhalation Gated CT for Gated Treatment Exhalation Define Treatment Threshold Varian Real-time Position Management (RPM) Tracking : Cyberknife
5 phase phase phase phase 0 Time (seconds) phase Tracking : Tomothérapie Système Rapid Arc Spirometer Reading (liter) Evaluation médico-économique économique de la radiothérapie conformationnelle asservie à la respiration (RAR) comparée à la radiothérapie conformationnelle (RTC) dans les cancers du poumon et du sein 0 Centres (CAC, CHU, PSPH) Type d étude : - Multicentrique, Médico-économiqueéconomique - Prospective : ans d inclusion dinclusion + ans de suivi = ans -Comparative : RAR vs Radiothérapie «classique» Poumon et sein Résultats à 8 mois 668 patients inclus Budget global : euros Objectifs principaux : - Evaluation médico-économique économique : Connaître avec le plus de précision possible le coût de la RAR, le comparer àcelui des techniques conventionnelles - Développer et harmoniser les techniques de RAR - Mesurer des paramètres cliniques et dosimétriques Nombre total d'inclusions seins 6 poumons RTC seins 8 RAR seins 9 RTC poumons RAR poumons stratégies : - Blocage respiratoire ABC et SDX -Synchronisation RPM Critère de jugement principal : Toxicité 0 Aiguës (RTOG) : /semaine Tardives (SOMA LENT) :, 6,, 8, mois EFR et TDM : 6,, mois
6 Reproductibilité des Différents Dispositifs scanners avec AR Groupe Sein Volume T Volume Pulm Reproductibilité des Différents Dispositifs scanners avec AR Volume pulmonaire total Groupe Poumon ABC SDX RPM Les cancers du sein patientes évaluables 6% seins gauches % RAR (88% SDX) Compliance : 97% Les cancers du sein : RAR vs RTC POUMON V :, vs 6,6 %, p<0,000 V 7 :,8 vs,8 %, p<0,000 D max : 9,7 vs, Gy, p<0,000 D m :,9 vs, Gy, p<0,00 Volume Pulm V Les cancers du sein : RAR vs RTC V 0 COEUR 0 : 0, vs 0, %, p<0,0 Dose max V 0 D max :, vs,6 Gy, p<0,000 D m :,86 vs, Gy, p<0,000 Les cancers du sein : RAR vs RTC CŒUR : Sein Gauche vs Sein Droit 9 seins gauches et 8 seins droits Pas de différence entre groupes RAR vs RTC V 0, V, V 7, D m et D max Pulmonaires : idem MAIS pour le Cœur : D max diminuée Gy pour SG Vs Gy pour SD (p < 0,000) 6
7 Les cancers du sein : SDX vs ABC vs RPM Toxicité Pulmonaire V 7 Les cancers du sein : SDX vs ABC vs RPM Toxicité Cardiaque Survies globale et spécifique Volume Pulm Les cancers du poumon 0 patients évaluables % RAR (78% SDX) Compliance : 98% Les cancers du poumon : RAR vs RTC V 0 POUMON 0 :,8 vs 6, %, p<0,000 V : 8,8 vs, %, p<0,000 V 7 :,8 vs, %, p<0,000 D m :,8 vs,6 Gy, p<0,000 Volume Pulm V Les cancers du poumon : RAR vs RTC Vol Card COEUR V 0 D m V 0 0 : 8, vs, %, p<0,000 D max max :, vs, Gy, p<0,000 D m : 0,9 vs, Gy, p<0,000 Les cancers du poumon : RAR vs RTC OESOPHAGE V 0 :,6 vs, %, p<0,000 OL 0 : 6,6 vs 7, %, p<0,000 D m :, vs, Gy, p<0,000 D max : 8, vs 9, Gy, p<0,000 V 0 OL 0 D m 7
8 Les cancers du poumon : Toxicités aigues Epithélites : idem Oesophagites : idem Cardiaques : idem Pulmonaires : 8 % RTC vs 6 % RAR, p = 0,0 Les cancers du poumon : Toxicités tardives Pulmonaires : - à 6 mois : 9% RTC vs 8% RAR, (p<0,0) [G [ : 8, vs 0,%] - EFR à mois : tendances DLCO : -66 RTC vs -7% RAR VEMS : - RTC vs -,6% RAR CV : -6,8 RTC vs -,% RAR Les cancers du poumon : Toxicités tardives Les cancers du poumon : Efficacité Oesophagiennes : -Grade : 9% RAR vs 8% RTC (p = 0,0) -Grade : 9% RAR vs 7 % RTC (p = 0,0) Cardiaques: NS Cutanées : NS Les cancers du Poumon : SDX vs ABC vs RPM POUMON Volume Pulm Volume pulmonaire : +00 ml en moyenne ABC : 0 ± 06 ml SDX : 0 ± 6 ml RPM : 06 ± 60 ml p<0,0000 Les cancers du Poumon : SDX vs ABC vs RPM POUMON V V 0 0 : ABC : 9,6 % SDX :,8 % RPM : 7,9 % p=0,0 V : ABC :,8 % SDX : 8,9 % RPM : % p = 0,007 D moy moy : ABC :, Gy SDX :,9 Gy RPM :, Gy 8
9 Les cancers du Poumon : SDX et ABC vs RPM POUMON & COEUR V 0 : ABC + SDX :, % RPM : 7,9 % ; p < 0,000 V : ABC + SDX : 8, % RPM :,9 % ; p < 0,000 D moy : D m : ABC + SDX :,6 Gy RPM :, Gy ; p = 0,0 ABC + SDX : 0,8 Gy RPM :, Gy ; p < 0,000 V 0 : ABC + SDX : 8 % RPM :,6 % ; p < 0,000 Coûts : - RAR : augmentation des coûts de 7 % à 06 % - Les séances d irradiation représentent la majorité du coût total (entre 7 et 88 %) -SDX et ABC : 6 pour le poumon 996 pour le sein - RPM : 807 pour le poumon et 0 pour le sein - Mobilise des ressources supplémentaires au niveau de la préparation et de l éducation Conclusion : - Importance des mouvements respiratoires (lobes moy et inf) - Bonne faisabilité et reproductibilité de la RAR -Sein : -Poumon : - Surcoût : protection pulmonaire protection cardiaque pour le sein gauche protection du sein controlatéral protection pulmonaire, cardiaque et œsophagienne tendance à la réduction de la toxicité clinique systèmes en Blocage Inspiratoire > Synchronisation matériels et humains 9
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux. Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux
Evaluation péri-opératoire de la tolérance à l effort chez le patient cancéreux Anne FREYNET Masseur-kinésithérapeute CHU Bordeaux Je déclare n avoir aucun conflit d intérêt en lien avec cette présentation
Plus en détailVOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules
VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers
Plus en détailMETHODOLOGIE POUR ACCROITRE LE POOL DE DONNEURS PULMONAIRES
METHODOLOGIE POUR ACCROITRE LE POOL DE DONNEURS PULMONAIRES Marc STERN Groupe de Transplantation Pulmonaire Hôpital Foch Aucun conflit d intérêt à déclarer Le greffon pulmonaire Bien rare et insuffisant:
Plus en détailLe donneur en vue d une transplantation pulmonaire
Le donneur en vue d une transplantation pulmonaire Nicola Santelmo Chirurgie Thoracique Groupe de Transplantation Pulmonaire de Strasbourg Hôpitaux Universitaires de Strasbourg Coordinateur: Pr Gilbert
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailMonitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD
Monitoring du SDRA Simple ou compliqué? Jean-Christophe M Richard, MD PhD Emergency and Pre-Hospital divisions SAMU 74 INSERM UMR 955 Eq13 REVA: European Network on Mechanical Ventilation CONFLICTS OF
Plus en détailGroupe 1 somnovni 12/12/14
Recommandations HAS 2014! Pas encore parues indications VNI! Indication VNI en cas d une hypoventilation alveolaire = Hypercapnie : " PtCO2 nocturne > 50 mmhg " Et/ou d une PaCO2 diurne > 45 mmhg! Cas
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailAssurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires et implications pratiques
Cours nationaux de radiothérapie Cours de DES d Oncologie-Radiothérapie Société Française des jeunes Radiothérapeutes Oncologues Lille, 5 au 7 mars 2015 Assurance de qualité en radiothérapie Aspects réglementaires
Plus en détailSADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)
SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation
Plus en détailInfiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé. Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009
Infiltrats pulmonaires chez l immunodéprimé Stanislas FAGUER DESC Réanimation médicale 16-17 septembre 2009 Complications pulmonaires en onco-hématologie (Mokart et al Chest 2003) ~ 20 % des patients ~
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailTrajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro. Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR Trajectoire de la clientèle MPOC Trois-Rivières métro Dr François Corbeil Pneumologue CSSSTR-CHAUR-CHR
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailPARIS ROISSY CHARLES DE GAULLE
GPS 2 34 1 E 49 0 46 N GPS* 2 56 56 E 49 0 12 N Votre contact / Your contact: et / and: Accueil : Cabines téléphoniques publiques Reception: Public telephone kiosks Navette Shuttle AÉROPORT DE TT CAR TRANSIT
Plus en détailW i r e l e s s B o d y S c a l e - i B F 5 T h a n k y o u f o r p u r c h a s i n g t h e W i r e l e s s B o d y S c a l e i B F 5. B e f o r e u s i n g t h i s u n i t f o r t h e f i r s t t i m
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailCancer colo-rectal : situation belge
Cancer colo-rectal : situation belge J.-L. Van Laethem, MD, PhD Unité d'oncologie digestive Département médico-chirurgical de Gastro-entérologie Pas de conflit d intérêt déclaré Cancer du colon 7000 nouveaux
Plus en détailÀ TÉLÉCOPIER AU 1-877-913-5920
BON DE COMMANDE N o de CLIENT : DATE : VENDU À : LIVRÉ À : A/S : CODE POSTAL TÉLÉPHONE : ( ) FAX : ( ) CODE POSTAL COURRIEL : N o DE COMMANDE : TRANSPORTEUR : AUTORISÉ PAR : DATE D EXPÉDITION / / Renseignements
Plus en détailMieux dans ses bronches, mieux dans sa tête. mieux dans sa vie!
Mieux dans ses bronches, mieux dans sa tête mieux dans sa vie! Pathophysiologie BPCO: Le cercle vicieux du déconditionnement VEMS Déconditionnement Dyspnée Immobilité Dépression Isolement social impairment
Plus en détailL observation des aspects non techniques d une simulation
L observation des aspects non techniques d une simulation Dr François LECOMTE Praticien Hospitalier Urgences SMUR UMJ CHU Cochin Hôtel Dieu Université Paris Descartes francois.lecomte@cch.aphp.fr Mettre
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailUtilisation de la radiothérapie stéréotaxique d ablation pour le traitement du cancer du poumon non à petites cellules
Utilisation de la radiothérapie stéréotaxique d ablation pour le traitement du cancer du poumon non à petites cellules Guide de pratique clinique du Comité de l évolution des pratiques en oncologie Juin
Plus en détailComment évaluer. la fonction contractile?
Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie
Plus en détailRôle de l ARCl. V Grimaud - UE recherche clinique - 18 mars 2011. Définitions
Rôle de l ARCl 1 Définitions ARC : Assistant de Recherche Clinique TEC : Technicien d Étude Clinique Promoteur : Personne physique ou morale qui prend l initiative de la recherche Investigateur principal
Plus en détailOutil de suivi du monitoring
Outil de suivi du monitoring SETHI Suivi des Études Thérapeutiques Internationales EC1 Trial Manager d ORIAM Sandrine BARRAUD Attaché de Recherche Clinique Valérie FAUBEAU Attaché de Recherche Clinique
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailVincent Péters. Président du GT TICS du SNITEM. Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France
Vincent Péters Directeur Affaires Réglementaires de BIOTRONIK France Président du GT TICS du SNITEM 5 juillet 2013 Colloque industries du numérique et Santé+ Autonomie Contexte Plus de 60 ans Cardiologues
Plus en détailEdna Ekhivalak Elias Commissioner of Nunavut Commissaire du Nunavut
SECOND SESSION THIRD LEGISLATIVE ASSEMBLY OF NUNAVUT DEUXIÈME SESSION TROISIÈME ASSEMBLÉE LÉGISLATIVE DU NUNAVUT GOVERNMENT BILL PROJET DE LOI DU GOUVERNEMENT BILL 52 PROJET DE LOI N o 52 SUPPLEMENTARY
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailUn centre de simulation : pourquoi et comment? Conférence Management, CHU Toulouse Anne-Claude Allin 9 avril 2014
Un centre de simulation : pourquoi et comment? Conférence Management, CHU Toulouse Anne-Claude Allin 9 avril 2014 Plan de présentation 2 Vous avez dit simulation? La simulation est une technique d enseignement
Plus en détailLes groupes de données de projection d intensité générés par TumorLOC peuvent être inversés de gauche à droite
-1/7- Systèmes concernés Description du problème Les produits concernés sont les suivants : l application TumorLOC sur les systèmesbrilliance CT Big Bore EBW, GEMINI LXL, GEMINI TF 16, GEMINI TF 64, GEMINI
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD
ANRS-FUNDED RESEARCH IN THE DEVELOPING WORLD Brazil Burkina Faso (Bobo Dioulasso) Cambodia (Phnom Penh) Cameroon (Yaounde) Côte d Ivoire (Abidjan) Senegal (Dakar) Vietnam (Ho Chi Minh City) South Africa,
Plus en détailEntretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC
Entretiens Pharmaceutiques en Oncologie : Où en sommes nous en 2014, au CHPC 2éme Journée des Infirmiers de Basse-Normandie Jeudi 9 Octobre 2014 Florence BANNIE, Pharmacien CHPC, CHERBOURG Déclarations
Plus en détailPET/CT et Sarcoïdose. Daniel O Slosman
PET/CT et Sarcoïdose Daniel O Slosman Objectifs (PET-FDG) Rappel technique (SPECT vs. PET) Rappel biologique (Radiotraceurs et FDG) Investigations scintigraphiques (Ga-67 vs autres) Utilité clinique du
Plus en détailSession plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438
CANCERS DIGESTIFS Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: 38/435 Poster présentations: 87/1438 The TME Trial after a Median Follow-up of 11 Years C. A. Marijnen et Al, Leiden,
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailThe impacts of m-payment on financial services Novembre 2011
The impacts of m-payment on financial services Novembre 2011 3rd largest European postal operator by turnover The most diversified European postal operator with 3 business lines 2010 Turnover Mail 52%
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailSuivi post-professionnel après exposition à l amiante
AUDITION PUBLIQUE Suivi post-professionnel après exposition à l amiante TEXTE COMPLET Avril 2010 1 Les recommandations et synthèse des recommandations sont téléchargeables sur www.has-sante.fr Haute Autorité
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailAccréditation des laboratoires de ais
Accréditation des laboratoires de biologie médicale m français ais Hélène MEHAY Directrice de la section Santé Humaine Cofrac 52 rue Jacques Hillairet 75012 Paris Journée FHF Centre 30 juin 2015 1 L accréditation
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLe No.1 de l économie d énergie pour patinoires.
Le No.1 de l économie d énergie pour patinoires. Partner of REALice system Economie d énergie et une meilleure qualité de glace La 2ème génération améliorée du système REALice bien connu, est livré en
Plus en détailMonitoring elderly People by Means of Cameras
Nuadu project Technologies for Personal Hearth Seminar, June 4th, 2009 Monitoring elderly People by Means of Cameras Laurent LUCAT Laboratory of Embedded Vision Systems CEA LIST, Saclay, France 1 Summary
Plus en détailL alimentation. du patient. paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse
L alimentation du patient greffé de moelle osseuse Quelle nourriture? Quel contenant? Quel environnement de préparation paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse
Plus en détailTélésanté et parcours de soins
Télésanté et parcours de soins Dr Pierre Simon Président de la Société Française de Télémédecine (SFT-Antel) JetSan, Compiègne, 28 mai 2015 La santé connectée, aujourd hui et demain Les outils supports
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailSenTec. Système de monitorage continu non invasif de la PtcCO 2, de la SpO 2 et du pouls DOCUMENT À DESTINATION DES
SenTec Système de monitorage continu non invasif de la PtcCO 2, de la SpO 2 et du pouls DOCUMENT À DESTINATION DES professionnels Mesure transcutanée de la PCO2 avec le m Le système SenTec permet un monitorage
Plus en détailMédicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014
Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement
Plus en détailBILAN projet DIABSAT 2010-2011. Diabétologie par Satellite
BILAN projet DIABSAT 2010-2011 Diabétologie par Satellite 1 OBJECTIFS Développer et évaluer 3 services de télémédecine assistés par satellite Volet 1 : Education à la nutrition et promotion de l activité
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailLa physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique
La physique médicale au service du patient: le rôle de l agence internationale de l énergie atomique Ahmed Meghzifene Chef de la Section Dosimétrie et Physique Médicale, Division de la Santé Humaine, Dept
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailConflits d intérêts. Partage des plateaux techniques innovants plateforme d échange 23/03/2011
Conflits d intérêts Partage des plateaux techniques innovants plateforme d échange Guy Kantor et AQUILAB : Stic stéréotaxie Projet commun INCa P2E (2007 à 2010) Focus group Artiview Projets conseil régional
Plus en détailVoyons comment, même prisonnier de notre corps, on peut se mobiliser, communiquer et contrôler notre environnement
Voyons comment, même prisonnier de notre corps, on peut se mobiliser, communiquer et contrôler notre environnement par Guy Robert, erg Natalie Martel,erg Plan de la présentation Fonctions possibles sur
Plus en détailRecommandations professionnelles Emphysème par déficit en alpha-1 antitrypsine
Recommandations professionnelles Emphysème par déficit en alpha-1 antitrypsine I. Rationnel Le déficit en alpha-1 antitrypsine est une maladie génétique rare. On estime le nombre de patients atteints en
Plus en détailsur le réseau de distribution
EDF-R&D Département MIRE et Département EFESE 1, avenue du Général de Gaulle 92141 Clamart Impact qualité du site photovoltaïque "Association Soleil Marguerite" sur le réseau de distribution Responsable
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détail23/01/2015. Les nouvelles structures (IHU et autres) Les petites dernières : les CRC. STRUCTURES de RECHERCHE CLINIQUE RECONNUES
Les nouvelles structures (IHU et autres) 6 IHU sont labellisés en 2011 Personnes morales de droit privé, constituées en FCS (CHU). créés dans le cadre des structures labellisées à la suite des appels à
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailVyntus SPIRO. Piloté par SentrySuite
Vyntus SPIRO Piloté par SentrySuite Avec l introduction de Vyntus SPIRO, Jaeger permet une amélioration du dépistage de la fonction respiratoire. Le logiciel SentrySuite a été conçu pour faciliter la tâche,
Plus en détailFabricant. 2 terminals
Specifications Fabricant Nominal torque (Nm) 65 Minimal torque (Nm) 0,63 Coil resistance - 20 C (ohms) 20 Rated current DC (A) 1 Rotor inertia (kg.m 2 ) 2.10-3 Weight (kg) 7,20 Heat dissipation continuous
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailIMR PEC-5.51 IM V2 19/05/2015. Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES
DOSSIER D ADMISSION 1/6 Date d'admission souhaitée : Date de la demande : Date d'admission prévue avec le SRR : Date d'admission réelle : INFORMATIONS ADMINISTRATIVES ET SOCIALES Renseignements administratifs
Plus en détailSpirométrie/Débit-Volume
Programme de mesure Chapitre 11 Explications concernant le programme de mesure... 2 Définition des paramètres... 4 Lancement de programme... 6 Barre d'icônes... 8 Chargement de programmations... 9 Icônes
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailCHIFFRES CLÉS. IMport
2014 CHIFFRES CLÉS IMport La presse étrangère Magazines : des lancements réussis En volume, le marché des magazines étrangers a reculé de 7 % en 2014 par rapport à 2013, mais l augmentation moyenne de
Plus en détailMarché immobilier en Ile-de-France
Marché immobilier en Ile-de-France Contexte des marchés locatifs et de l investissement Virginie Houzé Directeur Etudes et Recherche France 18 juin 2015 Paris? Liquidité & Risque Liquidité & risque 10
Plus en détailBases physiques de l imagerie en
Bases physiques de l imagerie en Médecine Nucléaire (MN) Pr. Malika ÇAOUI Service de Médecine Nucléaire CHU International Cheikh Zaid Faculté de Médecine et de Pharmacie - Rabat- 02/12/2010 Pr. Malika
Plus en détailBill 12 Projet de loi 12
1ST SESSION, 41ST LEGISLATURE, ONTARIO 63 ELIZABETH II, 2014 1 re SESSION, 41 e LÉGISLATURE, ONTARIO 63 ELIZABETH II, 2014 Bill 12 Projet de loi 12 An Act to amend the Employment Standards Act, 2000 with
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détailLivret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil)
Livret de Présentation (Extrait du livret des patients distribué à leur accueil) Centre de Rééducation et de Réadaptation Fonctionnelles PASTEUR «Tout faire pour la personne, ne rien faire à sa place»
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailSecure Power ds la Santé. Samia HABEL ITB Country Leader
Secure Power ds la Santé Samia HABEL ITB Country Leader Contenu Marché Tendances Leviers de croissance =S= Propositions de valeur ds le segment de la Santé ITB ( APC ) propositions de valeur ds le segment
Plus en détailGAME CONTENTS CONTENU DU JEU OBJECT OF THE GAME BUT DU JEU
GAME CONTENTS 3 wooden animals: an elephant, a Polar bear and an African lion 1 Playing Board with two tree stumps, one red and one blue 1 Command Board double sided for two game levels (Green for normal
Plus en détailBill 69 Projet de loi 69
1ST SESSION, 41ST LEGISLATURE, ONTARIO 64 ELIZABETH II, 2015 1 re SESSION, 41 e LÉGISLATURE, ONTARIO 64 ELIZABETH II, 2015 Bill 69 Projet de loi 69 An Act to amend the Business Corporations Act and the
Plus en détailLiège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085
Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013
Plus en détailPrésentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech
Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech Le dispositif L Institut suisse de brainworking (ISB) est une association
Plus en détailLa formation dans tous ses états. Programme et méthode de formation continue sur la
La formation dans tous ses états Programme et méthode de formation continue sur la «Préparation des médicaments anticancéreux» Répond à (Art R 950-4 al 1 du Code du Travail) Par qui, Comment et Pourquoi.
Plus en détailDERIVES SUR ACTIONS ET INDICES. Christophe Mianné, Luc François
DERIVES SUR ACTIONS ET INDICES Christophe Mianné, Luc François Sommaire Notre activité Nos atouts La gestion du risque Conclusion 2 Notre activité 3 Les métiers Distribution de produits dérivés actions
Plus en détailLD-P PRINCIPE ECHANTILLON. Coffret référence 442660. REVISION ANNUELLE Date. Date APPLICATION
Systèmes SYNCHRON CX Mode d emploi Copyright 2007 Beckman Coulter, Inc. Lactate déshydrogénase Coffret référence 442660 Pour utilisation diagnostique in vitro REVISION ANNUELLE Revu par : Date Revu par
Plus en détailLes marchés Security La méthode The markets The approach
Security Le Pôle italien de la sécurité Elsag Datamat, une société du Groupe Finmeccanica, représente le centre d excellence national pour la sécurité physique, logique et des réseaux de télécommunication.
Plus en détailRegulation and governance through performance in the service management contract
Regulation and governance through performance in the service management contract Agathe Cohen- Syndicat des eaux d'ile-de-france Florence- séminaire du 7 et 8 février 2013 Summary 1- Key figures of SEDIF
Plus en détailSolution de ZTE ZTE CORPORATION
Solution de ZTE Solution E-Health E pour l Algérie ZTE CORPORATION Agenda Vue d ensemble sur l e-health Solution e-health intégré Vue d ensemble sur e-health Connexion du réseau Equipements médical d urgence
Plus en détailPascal Thomas, pour la Société Française de Chirurgie Thoracique et Cardio-Vasculaire.
e-mémoires de l'académie Nationale de Chirurgie, 2009, 8 (1) : 36-40 36 Recommandations de la Société Française de Chirurgie Thoracique et Cardio-Vasculaire de pratiques chirurgicales dans le traitement
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailÉpreuve d effort électrocardiographique
Épreuve d effort électrocardiographique J. Valty Diagnostic des coronaropathies. Pronostic après infarctus du myocarde. Indications particulières. Risques de l épreuve d effort? 1- Épreuve positive : segment
Plus en détailLe sevrage de la trachéotomie
Le sevrage de la trachéotomie Journée de formation «infirmière» et «kinésithérapeute» SKR. Maison de la réanimation Paris 01 / 06 / 2012 Dr G.Beduneau Réanimation Médicale CHU ROUEN gaetan.beduneau@chu-rouen.fr
Plus en détail