LA MISE EN PLACE D APPLICATIONS WEBSIG AU SEIN DE L AGENCE D URBANISME POUR LE DEVELOPPEMENT DE L AGGLOMERATION LYONNAISE

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1 MASTER 2 SIG ET GESTION DE L ESPACE UNIVERSITE JEAN MONNET SAINT-ETIENNE 2011/2012 RAPPORT DE STAGE-PARCOURS PROFESSIONNEL LA MISE EN PLACE D APPLICATIONS WEBSIG AU SEIN DE L AGENCE D URBANISME POUR LE DEVELOPPEMENT DE L AGGLOMERATION LYONNAISE Adeline Joao Agence d Urbanisme de Lyon, service SIG Durée du stage : mars à août 2012 Thierry Joliveau Maxence Prouvot Eric Favier Responsable Master 2 SIG Responsable SIG et 3D Responsable Master 2 UJM, Saint-Etienne Agence d Urbanisme, Lyon ENISE, Saint-Etienne 0

2 REMERCIEMENTS Par ces quelques lignes, je tiens à remercier toutes les personnes qui m ont permis d aller au bout de la mission qui m a été confiée pendant ces six mois. Je tiens tout d abord à remercier Monsieur Olivier Frérot, Directeur de l Agence d Urbanisme ainsi que Monsieur Patrick Brun, Responsable du pôle «connaissances et représentations» pour leur accueil au sein de l Agence d urbanisme. Un grand merci à Maxence Prouvot, responsable SIG & 3D et maître de stage, pour son suivi et ses conseils, sa disponibilité et pour m avoir accordé sa confiance tout au long du stage. Mes remerciements vont ensuite à Marc Lauffer, chargé d études SIG pour ses conseils techniques en matière de SIG. J adresse aussi un grand merci à l équipe informatique sans qui je n aurais pu développer mes applications cartographiques. Mes remerciements s adressent aussi à toutes les personnes que j ai pu contacter ou rencontrer pour répondre à mes interrogations au cours du stage et me permettre d avancer. Je tiens aussi à adresser un merci tout particulier aux cartographes, Philippe Capel, Julien Vincent et Jean-François Laurent pour leur accueil chaleureux et pour la bonne humeur présente au cours de ces six mois de stage. Un dernier remerciement à Thierry Joliveau, tuteur universitaire et responsable avec Eric Favier du Master 2 «SIG et Gestion de l Espace» pour avoir répondu à toutes mes questions, ainsi qu à l ensemble des professeurs et intervenants pour la formation reçue et l enrichissement acquis pendant cette année. 1

3 SIGLES AD : Active Directory ADEME : Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie AJAX : Asynchronous JavaScript And XML API : Application Programming Interface (Interface de Programmation d'application) BD : Base de Données DREAL : Direction Régional de l Environnement, de l Aménagement et du Logement ETL: Extract Transform Load FME: Feature Manipulation Engine GDB: GéoDataBase MAJ : Mise A Jour PLU : Plan Local d Urbanisme POS : Plan d Occupation des Sols REST: REpresentational State Transfer SDE: Spatial Database Engine SIG : Système d Information Géographique SQL : Structured Query Language SGBD : Système de Gestion de Base de Données SOAP : Simple Object Access Protocol SOC : Server Object Container SOM : Server Object Manager 2

4 INTRODUCTION Ce rapport représente le travail que j ai élaboré au cours des six mois de stage au sein de l Agence d Urbanisme pour le Développement de l Agglomération Lyonnaise. Ce travail s inscrit dans un contexte d avancée des nouvelles technologies de l information et de la communication. En effet, l information géographique acquise sur le territoire par le biais des nouvelles technologies est de plus en plus valorisée et doit être partagée par le plus grand nombre 1. Cette valorisation se traduit notamment par la mise en place de cartographies dites «interactives» qui s appuient sur des solutions SIG serveur. Comme dit précédemment les technologies actuelles du Web ont fait évoluées les pratiques, le Web étant sans cesse en mouvement. Et c est cette course contre la montre qui a fait jaillir de nouveaux besoins. Par ailleurs, les Systèmes d'informations Géographiques ne sont pas connus pour leurs définitions propres mais plutôt pour leurs utilités au quotidien par la visualisation de l'information géographique grâce à des viewers 3 tels que Google Maps 4. Cette apparition des services cartographiques a révolutionné les usages de la carte et la perception du monde. Auparavant, la principale diffusion de la carte se trouvait sur du support papier. Maintenant les professionnels et les usagers ont trouvé des besoins et des intérêts aux applications cartographiques et cet engouement a augmenté le nombre de données spatiales. La multiplication des applications cartographiques montre que l'information géographique est devenue prioritaire par rapport à n'importe quel autre type de données alphanumériques. C est dans ce contexte marqué par une montée en puissance de la technologie Web 2.0 que mon stage prend place au sein de l Agence d Urbanisme. L idée principale est que j apporte un regard et des conclusions sur la mise en œuvre d un tel outil. Le principal objectif étant de réaliser des tests et de mettre en place une application WebSIG qui soit opérationnelle et dont la méthodologie puisse être réutilisée pour pouvoir, par la suite, développer des applications impliquant les utilisateurs, les développeurs et les professionnels de la géomatique et répondant aux demandes des utilisateurs de SIG. 1 Référence à la directive INSPIRE. 2 Web 2.0 : Applications Riches et interfaces modernes se «disputent» pour recueillir le maximum d'utilisateurs. Les blogs et les communautés se créent... 3 Viewer : Programme rendant possible la visualisation de l'image sur un écran. 4 Geospat, SIG 3.0,

5 La première partie présente donc la structure d accueil, le contexte et les missions du stage. La seconde partie consiste en une réflexion en amont sur la restructuration, l optimisation et la sécurisation des données dans le SGBD Entreprise de l Agence d Urbanisme avec la rédaction des procédures associées, étape primordiale avant toute mise en place d un WebSIG. La troisième et dernière partie porte sur les tests effectués sur deux générateurs d applications, le comparatif des deux applicatifs et la réalisation de l application cartographique. 4

6 TABLE DES MATIERES REMERCIEMENTS... 1 SIGLES... 2 INTRODUCTION... 3 TABLE DES MATIERES... 5 PARTIE 1 : PRESENTATION DE LA STRUCTURE D ACCUEIL ET CONTEXTE DU STAGE La structure d accueil : L Agence d Urbanisme pour le Développement de l Agglomération Lyonnaise Présentation de l Agence Les missions de l Agence Le SIG au sein de l Agence d Urbanisme Les débuts du SIG Les missions du SIG au sein de l Agence Les changements opérés Le choix d ESRI Les objectifs visés Moyens informatiques actuels à disposition Le contexte et la mission du stage Le contexte du stage La mission et les objectifs du stage PARTIE 2 : REFLEXION, STRUCTURATION ET OPTIMISATION DES DONNEES DE L AGENCE Un SGBD pour une structuration et une sécurisation des données Les données SIG à l Agence Microsoft SQL Server Authentification, définition et gestion des privilèges La question de l authentification La création des comptes et la gestion des privilèges La réorganisation des données de l Agence d urbanisme La technologie ArcSDE Qu est-ce que ArcSDE? Comment la technologie ArcSDE est-elle incluse dans ArcGIS Server? La connexion à une Géodatabase Enterprise (ArcSDE) Réflexions et décisions autour des données vecteurs et rasters

7 La question de la capacité des serveurs Un répertoire dédié aux projets et aux études PARTIE 3 : TEST ET MISE EN ŒUVRE D APPLICATIONS WEBSIG Les applications Webmapping Définition Exemples Réalisation cartographique sous ArcMap La création La publication Présentation d ArcGIS Server Stockage et droits d accès Les différents services existants La question des fonds cartographiques La mise en cache Les services en ligne : ArcGIS Online /Bing maps/géoportail Paramétrage de l application ArcOpole Studio et Flex Builder : les 2 générateurs d applications Flex Présentation d ArcOpole Studio Présentation d ArcGIS Viewer for Flex Builder Comparatif des fonctionnalités et choix d un applicatif Exemple concret d application Préconisations, retours d expérience CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE SITOGRAPHIE LISTE DES TABLEAUX LISTE DES FIGURES ANNEXES

8 PARTIE 1 : PRESENTATION DE LA STRUCTURE D ACCUEIL ET CONTEXTE DU STAGE 7

9 1.1. La structure d accueil : L Agence d Urbanisme pour le Développement de l Agglomération Lyonnaise Présentation de l Agence Créée en 1978, l Agence d'urbanisme pour le développement de l agglomération Lyonnaise est une association de loi Elle regroupe, des partenaires à vocation d intérêt général: collectivités territoriales, Etat, Syndicats mixtes, chambres consulaires Ensemble, ils définissent le programme de travail et conduisent des politiques d'aménagement et d'urbanisme à l'échelle de la métropole lyonnaise dont les territoires se développent et s'étendent au-delà des limites administratives du Grand- Lyon. Figure 1: l aire métropolitaine lyonnaise en Rhône-Alpes Source : Agence d urbanisme de Lyon,2011 La mise en commun des actions que mène l Agence est sa principale vocation. L Agence diffuse donc, pour le compte de tous ses membres, les connaissances et les études qu elle produit sur les territoires, les projets et les acteurs. Les réalités de l aire 8

10 métropolitaine ont mené l Agence à élargir et consolider son partenariat avec 35 partenaires en Voici ci-dessous une carte recensant quelques-uns des partenaires de l Agence et leurs périmètres d action: Figure 2 : les partenaires de l Agence d urbanisme de Lyon et leurs périmètres d action Source : Site internet de l Agence d urbanisme de Lyon, 2011 A l heure actuelle, l Agence d urbanisme emploie un peu moins d une centaine de personnes pour s'occuper de différentes missions. Ce personnel est réparti dans les différents services techniques et administratifs dont l organisation est présentée cidessous : 9

11 Adeline Joao La mise en place d applications WebSIG - Rapport de stage de Master 2 «SIG et Gestion de l Espace» Figure 3 : organigramme des services Source : Agence d urbanisme de Lyon, 2012/Auteur : Adeline Joao Mon stage s est déroulé au sein du pôle «connaissances et représentations» au service SIG «Base SIG et 3D» Les missions de l Agence L'Agence d'urbanisme pour le Développement de l'agglomération Lyonnaise réalise, pour ses partenaires, des analyses territoriales, mène des réflexions sur les stratégies urbaines et aide les collectivités dans leur prise de décision. La mission d intérêt général confiée à l Agence est de contribuer, par ses travaux, à l harmonisation des politiques publiques (article L121-3 du Code de l urbanisme). Sollicitée tant sur la planification métropolitaine que sur les projets locaux, l Agence veille à les articuler dans ses études. Ancrée à l origine sur l agglomération lyonnaise, l Agence accueille aujourd hui les acteurs métropolitains et régionaux mais elle exporte aussi son savoir-faire à l international. 10

12 L Agence publie certaines de ces études à travers son site internet 5. Elle traite de thématiques diverses et variées telles que l environnement, les déplacements/transports, l habitat, la planification, le patrimoine, l économie, la culture, la politique de la ville qui font de l Agence une structure entièrement polyvalente. Couplée aux deux autres agences d'urbanisme présentes en Rhône-Alpes (Grenoble et Saint-Étienne), elles engagent également des réflexions pour la DREAL (Direction Régional de l Environnement, de l Aménagement et du Logement), le Conseil régional et l'ademe (Agence de l'environnement et de la Maîtrise de l'energie) Le SIG au sein de l Agence d Urbanisme Les débuts du SIG L année 1997 est marqué par l arrivée du SIG pour répondre à la révision du POS (Plan d Occupation des Sols) appelé aujourd hui PLU (Plan Local d Urbanisme). Dès lors, l ouverture de partenariats est engagé et l Agence débute avec deux postes comportant MAPINFO PROFESSIONAL, logiciel de SIG. Suivant un objectif de démocratisation de l outil auprès des chargés d études ce n est pas moins de 40 utilisateurs qui ont été formés Les missions du SIG au sein de l Agence Actuellement, il y a 8 personnes dédiées à l alimentation et à la production du SIG. Des utilisateurs dits «viewer» (consultation seulement) aux développeurs (sur MapBasic), l Agence comprend tout le panel de pratiques du SIG. L intervention transversale (dans l ensemble des études de l Agence) fait que la mission d administration du SIG est devenu de plus en plus importante au fil des années. Contrainte par les possibilités du logiciel «historique», contrainte par l obsolescence de l architecture de fichiers propriétaires, cette mission nécessitait un changement important pour accéder à de nouvelles technologies et ainsi gagner en efficacité et en réactivité Les changements opérés En juin 2011, un changement s est donc opéré puisque l Agence d urbanisme a décidé de passer de MAPINFO PROFESSIONAL à ARCGIS en changeant ses logiciels et en les complétant avec la suite ESRI pour pouvoir réaliser des applications web,phénomène grandissant et dans lequel ESRI, pilier dans le monde du SIG, investit et développe des outils géomatiques pour être au plus près des besoins des utilisateurs. 5 Site internet : 11

13 Avant il n existait donc pas de réelle architecture au sein du service SIG d où: Un manque de structuration des données Un manque de visibilité Un partage de données difficile Une diffusion difficile Figure 4 : vers la mise en place d une infrastructure Client/Serveur à l Agence d urbanisme Désormais, la configuration vers laquelle souhaite se tourner l Agence d urbanisme, à savoir la mise en place d une infrastructure client/serveur, permettra une plus grande sécurité des données, un accès aux données par plus de clients et une diffusion des données plus aisée Le choix d ESRI Le passage à ARCGIS après 15 années d utilisation de MAPINFO PROFESSIONAL marque donc un bouleversement tant sur les pratiques que sur les méthodes de travail et il va permettre la mise en place d une architecture technique mais aussi organisationnelle. Nous allons décrire les caractéristiques du SIG bureautique nouvellement installé ArcGIS Desktop. ArcGIS Desktop propose 3 niveaux de licences : ArcView, ArcEditor et ArcInfo. Les fonctionnalités sont croissantes d ArcView à ArcInfo. L Agence d Urbanisme a choisi trois licences flottantes d ArcView et une licence flottante d ArcEditor. Les principales fonctionnalités d'arcgis Desktop, selon le niveau de licence sont: 12

14 Figure 5 : Principales fonctionnalités d'arcgis Desktop, selon le niveau de licence Auteur : Adeline Joao ArcView représente le premier des trois niveaux fonctionnels d ArcGIS Desktop. Il comporte une suite d applications : ArcMap, ArcCatalog, ArcToolbox et ModelBuilder. C est une boîte à outils SIG puissante pour l utilisation des données, leurs représentations et les analyses spatiales. ArcEditor offre les mêmes fonctionnalités qu ArcView auxquelles viennent s ajouter des fonctions avancées de mise à jour. Il permet en outre de créer et de gérer tous les types de géodatabases : géodatabases personnelles, fichiers et ArcSDE (voir figure 7 p19). ArcEditor inclut une copie de «Microsoft SQL Server Express». Aucun administrateur SGBD (Système de Gestion de Base de Données) n est donc requis. Cependant l Agence d Urbanisme a préféré investir dans le SGBD «Microsoft SQL Server 2008 R2» (non inclus dans ArcGIS Desktop et payant) et ce pour plusieurs raisons notamment le fait qu il permet une totale gestion des données (pas obliger de passer par ArcGIS Desktop pour gérer les données) et que la taille n est pas restreinte contrairement à «Microsoft SQL Server Express «(seulement 4 Go pour «Microsoft SQL Server Express»). (Voir partie p20 pour plus de détails sur Microsoft SQL Server). Cette mise en oeuvre du SGBD et le fait d y accéder par ArcSDE facilite la mise à jour et la maintenance des données dans un contexte multi-utilisateurs avec une gestion complète de versions dans ArcEditor. En outre, les cartes, les données et les métadonnées créées avec ArcGIS Desktop peuvent être partagées par de nombreux utilisateurs par l intermédiaire de services SIG sur le 13

15 Web par le biais d ArcGIS Server autre produit tiré de la solution ESRI dans lequel l Agence a investi pour pouvoir être autonome lors de la réalisations d applications cartographiques. La nécessité de ce logiciel sera abordé dans la partie 3 «Test et mise en œuvre d applications WebSIG»p Les objectifs visés Cette mutation vers une solution plus complète va permettre à l Agence de proposer de nouvelles choses à ces partenaires. C est un projet qui est à l initiative du service SIG et qui revêt une double dimension technique et humaine. Les objectifs à atteindre sont: éviter les redondances / doublons / incohérences des données sécuriser les données mutualiser les données faire des propositions et mettre en œuvre des solutions pour faciliter le partage et l accès aux données Moyens informatiques actuels à disposition En terme de moyens matériels, le service informatique a mis en place deux serveurs : l un est un serveur virtuel dédié au SIG et l autre est un serveur physique dédié aux bases de données. Ce sont sur ces serveurs que l installation des logiciels a été faite. Voici un tableau récapitulatif des logiciels présents à l Agence dont certains ont été installés durant mon stage : Tableau 1 : Logiciels informatiques à disposition à l Agence Logiciels de SIG ArcGIS Desktop 10.0 : 3 licences ArcVIEW et 1 licence EDITOR (installé en juin 2011) MAPINFO 7.0 : 25 licences Logiciels de SGBD Microsoft SQL Server 2008 R2(Management Studio) POSTGRE/ POSTGIS Applicatifs ArcOpole studio (version installé en juin 2011). Version (installé en juin 2012). Version 2.2. sortie en juillet 2012 ArcGIS Viewer for Flex Builder (installé en mai 2012) serveur web IIS. Version 3.0 en juin Logiciels de cartographi e/ infographie Adobe Design Premium CS5 Logiciels «installés» pendant le stage IGNMap 2.0 (installé en avril 2012) Fiddler (installé en juin 2012) Autres ETL : FME version datant de 2007 ER Mappper : ECW Compressor

16 2012 ArcGIS Server 10 SP3 plateforme java (installé en juin 2011) ArcSDE 10 SP2 pour SQL Server (installé en juin 2011) QGIS Auteur :Adeline Joao Google earth Google Sketchup 7 Pour accueillir ces logiciels il a donc été mis en place un serveur virtuel pour ArcGIS Desktop 10.0, Arcgis Server, ArcOpole studio et un serveur physique pour Microsoft SQL Server 2008 R2 et ArcSDE 10 SP3 pour SQL Server Le contexte et la mission du stage Le contexte du stage Dans le cadre d une amélioration de l accès aux informations auprès de ses partenaires, l Agence d urbanisme de Lyon a décidé de mettre en place une géodatabase sur SQL Server. Ce dispositif devant constituer, à terme, le socle de l architecture des données spatiales pour en améliorer la structuration et l accès. Cette nouvelle organisation devra se traduire par la mise en place de services à destination des utilisateurs en interne (outils de consultation des données, applications dédiées «métiers») et des partenaires externes (consultation WebSIG, Atlas, etc) La mission et les objectifs du stage La mission consiste donc en une exploration et la mise en œuvre du socle des futurs applications tant en terme de structuration que d optimisation des données entreposées (proposition d architecture d application, opportunité de mise en place d un portail de consultation de données). La présentation d une application cartographique simple est attendue. Celle-ci devant servir de base au développement des outils nouvellement installés. Une optimisation et une structuration de la base de données en vue d'une utilisation pour des applications WEB sont attendues, le but étant d amener un éclairage sur les possibles des solutions ESRI. L aspect technique du stage se trouve dans l optimisation et la structuration de la base de données en vue d une utilisation pour des applications WEB (mapping et services) : c'est-à-dire qu à partir des données stockées, il faudra construire des applications «exemples». 15

17 Au final, les besoins de l agence d urbanisme sont : Mettre des cartes dynamiques à disposition de l Agence Ouvrir l accès à l information géographique Diffuser sur le web des cartes et des fonctionnalités SIG, de manière à améliorer la productivité de l organisation, à communiquer des éléments vitaux et à engager les décideurs. Voici donc les étapes pour la mise en place de l application WebSIG : 1. Dans un premier temps, l organisation des données de l Agence et leur structuration a dû être repensé Mise en place d'une sécurité/authentification des géodatabases dans SQL Server par l'intermédiaire de réunions avec le service informatique et de mails échangés avec le support d ESRI. 2. La deuxième étape a consisté à construire la carte test que nous avons publié dans ArcGIS Server. 3. La troisième étape a porté sur le choix du générateur d'application (ArcOpole Studio ou ArcGIS Viewer for Flex Builder) grâce aux tests effectués participation au forum SIG ESRI à Lyon le 29 mai 2012 : atelier sur ArcOpole Studio. 4. Les paramétrages de l'application et les tests ont été établi pendant cette quatrième étape. 5. La cinquième étape a été consacrée à la réalisation d une application fonctionnelle. Voici ci-dessous le planning retranscrit sur les six mois de stage : Figure 6 : planning de ces six mois de stage Auteur : Adeline Joao 16

18 Cette première partie nous a permis de présenter la structure et le service dans laquelle j ai effectué mon stage et cela nous a permis de cerner les enjeux et les objectifs du stage par rapport aux changements récents qui ont été faits. La deuxième partie va donc être consacrée à l étape qui prévaut en amont de toute réalisation d application Web à savoir une sécurisation et une organisation rigoureuse et fonctionnelle des données. 17

19 PARTIE 2 : REFLEXION, STRUCTURATION ET OPTIMISATION DES DONNEES DE L AGENCE 18

20 2.1. Un SGBD pour une structuration et une sécurisation des données Pour rappel, l Agence d urbanisme s est doté il y a un an des solutions ESRI pour remplacer à terme la solution de PITNEY BOWES. L installation des logiciels suivants a été faite en juin 2011: ArcGIS Desktop 10 SP2, ArcGIS Server 10 SP2, ArcSDE 10 SP2 pour SQL Server (aujourd hui le SP3 est installé), Microsoft SQL Server 2008 R2 et le générateur d applications Arcopole Studio (aujourd hui la version datant de mars 2012 est installée mais une nouvelle version est sortie en juillet 2012, la 2.2) Les données SIG à l Agence Les différentes données sont contenues dans des géodatabases définies comme des «conteneurs» utilisés pour stocker un ensemble de jeux de données. Il existe trois types de géodatabases (voir la figure ci-dessous): 1. Géodatabases personnelles. 2. Géodatabases fichiers (davantage recommandées que les géodatabases personnelles). 3. Géodatabases ArcSDE 6. Figure 7 : comparaison des trois types de géodatabases Auteur : Adeline Joao 6 ArcSDE : technologie qui permet d implémenter, de stocker et de gérer des géodatabases dans un SGBDR multi utilisateurs plus d explications dans la partie «la technologie ArcSDE»,p

21 A l Agence d urbanisme, les données de référentiels et les données des différentes études sont contenues dans des géodatabases fichiers, des géodatabases personnelles ou dans des dossiers qui se trouvent sur les postes des géomaticiens en local ou accessibles en réseau. Avant la mise en place du SGBD Microsoft SQL Server 2008 R2 il n existait donc pas de plateforme permettant de regrouper les données dans un environnement commun. L arrivée de SQL Server va donc permettre de réorganiser, structurer et sécuriser les données. L Agence a choisi la solution SQL Server Entreprise qui comporte le maximum de fonctionnalités, on se situe donc dans le type de géodatabase ArcSDE (figure 7). Par ailleurs, les données étant principalement au format.tab de Mapinfo, il a fallu les transformer en shape (.shp) qui est un format reconnu par ArcGIS pour pouvoir les utiliser, ceci grâce à l ETL spatial FME 7. Le passage d une solution logicielle à une autre n est donc pas aussi simple. Toute la méthodologie doit être repensée, le fonctionnement n étant plus le même. La réorganisation des données dans une géodatabase permettra de : stocker un large éventail de types de données dans un emplacement centralisé ; appliquer des règles et des relations complexes aux données ; définir des modèles relationnels géométriques avancés (par exemple les modèles topologiques et les réseaux géométriques) ; préserver l'intégrité des données spatiales ; travailler dans un environnement permettant les accès et les modifications multiutilisateurs ; adapter la capacité de la solution de stockage Microsoft SQL Server Pour pouvoir mieux gérer ses données, l Agence a donc choisi Microsoft SQL Server qui est un SGBD relationnel et transactionnel développé et commercialisé par Microsoft. Il permet de stocker et de gérer ces données en les modifiant et en les mettant à jour. L agence dispose de la dernière version de SQL Server à savoir Microsoft SQL Server 2008 R2. Installé en juin 2011, il est composé de Microsoft SQL Server Management Studio, nouvel environnement intégré dans Microsoft SQL Server, qui permet de configurer, de gérer, d'administrer et de développer tous les composants de SQL Server. Les avantages d un SGBD réside dans : Le partage de fichiers (question de l interopérabilité) ; Le stockage d un volume de données important ; 7 FME : outil d Extraction, Transformation et Chargement des données géographiques vectorielles et images. 20

22 Le mode Recovery (la base de données permet d enregistrer les modifications, pas de perte de données si coupure de réseau ou plantage d ordinateur) ; La disponibilité de la base de données/du serveur ; La réplication d une seconde base de données sur une autre machine (au cas où ) ; L interopérabilité. «Stocker de l information géographique dans un système de gestion de base de données permet l interopérabilité» Le choix de Microsoft SQL Server s est fait avant tout parce que : Accessibilité en data depuis Access voire Excel (connexion aux données de l équipe statistique de l Agence à moyen terme) ; Le service informatique a une connaissance du SGBD SQL Server ; ArcSDE a d abord été développé pour SQL Server puis porté sur Oracle et POSTGRE ; Le système informatique est en full Microsoft (IIS pour le web, SharePoint, active directory pour les droits etc.) donc l intégration est très complète ; Le logiciel SIG est client de la base de données. En choisissant SQL Server, la configuration est donc plus «native». A l installation du logiciel, deux géodatabases ont été créées dans une seule instance de SQL Server : une BD RASTER et une BD VECTEUR. Si l on se place dans le schéma tiré du site de l aide en ligne d ArcGIS (modifié pour être replacé dans notre contexte), nous avons bien les deux bases de données contenues dans l instance SQL Server : Figure 8 : Les deux géodatabases dans l instance de SQL Server RASTER VECTEUR Source : site de l aide en ligne d ArcGIS r000000/ 21

23 Dans cette configuration-là, si l on se place dans ArcGIS Desktop plus précisément dans ArcCatalog et que l on souhaite se connecter à une base de données, les connexions clients peuvent se faire à une géodatabase à la fois. En effet, lorsque l on se connecte à une géodatabase dans une instance SQL Server, on ne peut pas interroger les informations d'une autre géodatabase sur cette instance via cette même connexion. Ce qui implique la création de comptes de connexion pour chaque base de données mais ce point sera précisé dans les parties suivantes Authentification, création et gestion des privilèges La question de l authentification Il existe deux sortes d authentification pour se connecter au serveur SQL comportant les deux bases de données (figure 9): L authentification Windows (active directory) L authentification mixte (SQL Server) Le mode d'authentification Windows active l'authentification Windows et désactive l'authentification SQL Server. La connexion SQL Server est liée à un utilisateur (ou groupe) Windows. Quand un utilisateur se connecte par le biais d'un compte d'utilisateur Windows, SQL Server valide le nom et le mot de passe du compte à l'aide du jeton du principal Windows du système d'exploitation. Autrement dit, l'identité de l'utilisateur est confirmée par Windows. SQL Server ne demande pas le mot de passe et n'effectue pas de validation d'identité. Le mode d authentification mixte active à la fois l'authentification Windows et l'authentification SQL Server. La sécurité SQL Server consiste à utiliser une connexion basée sur un nom d'utilisateur et un mot de passe. Lors de l'utilisation de l'authentification SQL Server, les connexions créées dans SQL Server ne sont pas basées sur des comptes d'utilisateurs Windows. Le nom d'utilisateur et le mot de passe sont créés à l'aide de SQL Server et stockés dans SQL Server. Les 22

24 utilisateurs qui recourent à l'authentification SQL Server doivent fournir leurs informations d'identification (nom de connexion et mot de passe) à chaque fois qu'ils se connectent. Figure 9 : Les deux modes d authentification à SQL Server Auteur : Adeline Joao Après beaucoup de lectures sur le sujet, plusieurs tests et discussions avec le service informatique et des experts en administration de base de données le choix s est porté sur l authentification mixte. Le problème de l authentification Windows étant que le compte SOC 9 ne peut pas aller chercher un user de domaine AD (Active Directory) qui n est pas situé sur le même serveur. Il ne peut passer que par des users crée dans SQL Server et se trouvant sur le serveur en local. Par conséquent, nous avions, au tout départ, créé des groupes dans l AD qui ne pouvaient donc pas être reporté dans SQL Server. Nous avons donc repensé notre organisation et privilégié le mode d authentification mixte. 9 Compte SOC : compte crée à l installation de ArcGIS Server qui autorise ou non certains droits. 23

25 Voici les avantages de l'authentification mixte (SQL Server) : Permet à SQL Server de prendre en charge des applications anciennes ou tierces qui nécessitent l'authentification SQL Server ; Permet de prendre en charge des environnements contenant des systèmes d'exploitation mixtes, où tous les utilisateurs ne sont pas authentifiés par un domaine Windows ; Permet de prendre en charge des applications Web où les utilisateurs créent leur propre identité ; Permet aux développeurs de logiciels de distribuer leurs applications en utilisant une hiérarchie d'autorisations complexe, basée sur des connexions SQL Server connues et prédéfinies La création des comptes et la gestion des privilèges Une fois l authentification choisie, il convient de s occuper de la création des users au SGBD et de la gestion des privilèges accordés aux users. Cette étape doit se faire le plus tôt possible pour des questions de : Sécurité (protection contre les attaques) Protection (empêcher les utilisateurs d'effectuer certaines actions) Confidentialité (restreindre l'accès à certaines données) Nous retrouvons la procédure de création des comptes de connexion dans SQL Server en annexe 1 p73. Le schéma ci-dessous reprend la démarche pour élaborer une sécurisation des données sous SQL Server. Les comptes de connexion font référence à la base de données VECTEUR. Au départ, nous avions aussi crée des comptes de connexion relatifs à la base de données RASTER mais nous ne les avons pas pris en compte, car la BD RASTER doit être supprimée d où la non explication de la création des comptes de connexion pour la BD RASTER. Les raisons sont expliquées dans la partie réflexions et décisions autour des données vecteurs et rasters p29. 24

26 Figure 10 : La mise en place d une sécurisation des données dans SQL Server (Authentification mixte) Auteur : Adeline Joao La première étape consiste donc en la création des comptes de connexion. La deuxième étape permet d insérer les comptes de connexion dans des rôles en leur attribuant des privilèges et la troisième étape permet d attribuer les schémas aux comptes de connexion, schémas qui comportent les objets d une base de données. Gérer les privilèges sur les données : Une fois les comptes de connexion créés, nous allons devoir nous préoccuper des droits accordés ou non aux utilisateurs sur les données. Les privilèges peuvent être définis dans SQL Server ou dans ArcGIS. Cette étape est particulièrement importante dans la mise en place d une sécurisation des données. Cette gestion des droits/privilèges sur les données peut se faire dans ArcGIS (licence ArcEditor indispensable) ou dans ArcCatalog (licence ArcEditor indispensable). En annexe 2 p80 est expliquée la procédure pour la gestion des privilèges La réorganisation des données de l Agence d urbanisme Une fois les comptes de connexion crées et les privilèges atribués, nous allons devoir nous occuper de la réorganisation des données. 25

27 La technologie ArcSDE Qu est-ce que ArcSDE? L Agence d urbanisme s est dotée d une technologie appelée «ARCSDE 10» qui permet d implémenter, de stocker et de gérer des géodatabases dans un SGBDR multi utilisateurs. Elle gère aussi la géométrie des bases de données relationnelles (implémentation du type spatial ESRI connu sous le nom de ST_Geometry). Les avantages de cette technologie sont : -le stockage et la gestion importante de données ; -le support de modèles de données personnalisés (topologie poussée) ; -la gestion des accès ; - la réplication ; - l archivage d historique ; -la gestion d utilisateurs simultanés ; - la mise à jour versionnée et non versionnée des géodatabases; -l accès aux données par plusieurs utilisateurs sans duplication de la donnée Comment la technologie ArcSDE est-elle incluse dans ArcGIS Server? ArcSDE, qu'on appelle aussi service, serveur d'applications ou architecture à trois niveaux, achemine les données spatiales entre les applications SIG et une géodatabase figure 11). La technologie ArcSDE est intégrée à ArcGIS Server 11 afin que les utilisateurs puissent déployer leurs géodatabases dont le contenu et les transactions sont gérés par ArcSDE. Figure 11 : Architecture ArcSDE à trois niveaux Source : ESRI France 10 SDE : Spatial Database Engine 11 ArcGIS Server: serveur SIG complet et intégré (voir partie 3) 26

28 En effet, ArcGIS Server inclut des fonctions ArcSDE complètes qui peuvent s adapter aux très nombreux utilisateurs et aux géodatabases très volumineuses. L Agence ayant privilégié la technologie ArcSDE Enterprise pour les géodatabases, c est donc un ArcGIS Server Enterprise qui a été mis en place (pour une définition d ArcGIS Server voir partie 3, présentation d ArcGIS Server p43). Avec ArcGIS Server Enterprise, il faut disposer de sa propre licence SGBD voilà pourquoi l Agence d urbanisme est passée par l installation du SGBD SQL Server dont nous avons pu voir la gestion et l administration dans les parties précédentes. Avec le niveau Enterprise, ArcSDE peut prendre en charge toute taille de base de données pour un nombre d utilisateurs illimité et s exécute sur tous les types d ordinateurs, quel que soient leur puissance et leur configuration La connexion à une Géodatabase Enterprise (ArcSDE) Il existe deux types de connexion à une Géodatabase Enterprise : La connexion par serveur d application La connexion directe La connexion par le serveur d'application utilise les processus giomgr 12 et gsrvr 13 qui vont avoir en charge l'exécution des requêtes SQL et le traitement des opérations spatiales. Dans le cas de la connexion directe, l'équivalent du processus gsrvr est encapsulé dans l'application cliente qui est connectée à la Géodatabase (figure 11). Cela veut dire que lorsqu'un client effectue une connexion directe sur la Géodatabase à partir d'arcmap ou d'arccatalog, c'est la machine de ce client qui traite toutes les opérations spatiales liées aux manipulations de l'utilisateur sur les données de la Géodatabase. Dans le cas de la connexion via le serveur d'application, c'est le serveur SIG (ArcGIS Server) qui réalise ces opérations. 12 Le processus giomgr : chaque service ArcSDE est doté d'un processus giomgr. Ce processus écoute les demandes de connexion des applications utilisateur, engendre des processus gsrvr et nettoie les processus utilisateur déconnectés. Le giomgr ne peut pas démarrer si une licence de serveur valide n'a pas été installée. 13 Le processus gsrvr : le processus giomgr engendre un processus gsrvr pour chaque application connectée au service ArcSDE. Le processus gsrvr est dédié à une connexion mono-utilisateur ou à une connexion d'application. Il communique avec la base de données de la part de l'application connectée. Le processus gsrvr répond aux requêtes et modifie les demandes que l'application envoie à la base de données. 27

29 Le schéma ci-dessous résume les deux architectures : Figure 12 : Les deux types de connexion à une GDB Source : site d arcorama Le type de connexion n'est donc qu'un choix d'architecture, il est important de préciser qu'il n'a absolument aucune conséquence sur les possibilités fonctionnelles ni sur les capacités de choisir tel ou tel type de stockage spatial dans le SGBD. Pour nous connecter aux géodatabases de SQL Server à l Agence, nous établissons, pour notre part, une connexion directe. Voici concrètement comment se passe la connexion à une géodatabase : Il faut se positionner dans ArcCatalog et disposer des informations suivantes pour se connecter à une géodatabase ArcSDE (figure 12): Le SGBD utilisé pour la géodatabase, Le nom du serveur du SGBD, Le type de connexion à utiliser : directe ou service ArcSDE (à l agence nous passons par une connexion directe car c'est le type de connexion recommandé par ESRI pour la majorité des architectures), Le nom de la base de données qui gère la géodatabase Le nom et le mot de passe de connexion à la géodatabase (car choix de l authentification mixte). 28

30 Figure 13 : Connexion à une géodatabase Source : ESRI France Certaines des informations sont fournies à l installation. Il faut bien les conserver. La procédure est expliquée en détail dans l annexe 3 p86. Cette connexion est faite pour : les administrateurs SIG les utilisateurs SIG Elle permet aux différents utilisateurs de pouvoir consulter, modifier, ajouter des données dans le SGBD. Les différents comptes de connexion que nous avons créés précédemment permettent de prendre en compte tous les types d utilisateurs que ce soit de la personne novice en SIG à la personne expérimentée Réflexions et décisions autour des données vecteurs et rasters Au départ, SQL Server comprenait une BD VECTEUR et une BD RASTER (Bases de Données créées lors de l installation du logiciel): chacune d elles contenait des données de référentiel qui leur sont propres. Mon travail a consisté en une réflexion et une réorganisation des données présentes et des données à ajouter. Pour réorganiser au mieux les données et optimiser au mieux le SGBD, nous avons donc dans un premier temps choisi d insérer les données dite référentiel dans les géodatabases du SGBD Entreprise. Une fois les comptes de connexion crées sous SQL Server et la connaissance de la démarche pour se connecter à une GDB (géodatabase), nous sommes donc passés au 29

31 chargement des données dans les BD VECTEUR et BD RASTER du SGBD Entreprise à partir de ArcCatalog Nous établissons donc une connexion aux Géodatabases ArcSDE situées sur le serveur SQL en cliquant sur «ajouter une connexion à une base de données spatiales»: Pour la BD VECTEUR nous rentrons le compte de connexion suivant «REFV» (authentification mixte): Pour la BD RASTER nous ajoutons une nouvelle connexion et rentrons le compte de connexion «REFR» (authentification mixte). Voici le résultat pour les deux géodatabases : 30

32 Dans la BD VECTEUR, après plusieurs réflexions, importations et supressions nous avons décidé de classer les données en les incluant dans des jeux de classes d entités pour une meilleure structuration. Pour créer un jeu de classes d entités, il faut cliquer droit sur une géodatabase nouveau jeu de classe d entités : Ensuite nous importons les données dans chaque jeu de classes d entités : 31

33 Nous avons donc structuré ces données de la façon suivante : Les données de référentiels sont classées dans les jeux de classes d entités suivants: -BDTOPO_L GEOFLA_L BDPARCELLAIRE 16 -CORINELANDCOVER 17 (importation plus tard) -SPOTTHEMA 18 (importation plus tard) -PERIMETRES (importation plus tard) Le jeu de classes d entités PERIMETRES va comporter les tables qui vont être mises à jour tous les ans. Voici le résultat : Remarque : Attention, il est impossible de charger deux fois la même donnée dans un jeu de classe d entités (à moins de la nommer différemment). Si une donnée a été chargée dans le mauvais jeu de classes d entités il faut la supprimer et la réimporter dans le bon jeu de classes d entités. 14 BD TOPO : base de données vecteur de référence. (source: site de l IGN). 15 GEOFLA : description de l'ensemble des unités administratives du territoire national. (source: site de l IGN). 16 BD PARCELLAIRE : fournit l'information cadastrale numérique, géoréférencée et continue sur l'ensemble du territoire français. Elle est réalisée à partir de l'assemblage du plan cadastral dématérialisé. (source: site de l IGN) 17 CORINE LAND COVER : base de données géographique européenne d occupation biophysique des sols. (source: site du développement durable) 18 SPOT THEMA : base de données d'occupation des sols à l'échelle des agglomérations destinée aux professionnels de l aménagement du territoire. Cette base de données vectorielles, disponible sur la France métropolitaine et déclinée en 29 et 46 classes, est réalisée à partir d'interprétation d'images SPOT 1 à 5 ou équivalent, d une résolution de 2.5 à 20m. (source: site astrium-geo.com) 32

34 La donnée se charge en prenant le nom de la base de données (VECTEUR), le nom du compte de connexion (REFV) et le nom attribué à la classe d entités (voir figure 10). Quant aux rasters qui sont pourtant des référentiels, après chargement dans la base de données RASTER nous nous sommes rendus compte qu ils prenaient énormément de place et avaient entrainé la saturation du serveur du fait des ajouts et suppressions des données particulièrement lourdes et longues à charger. Après réflexions, tests d intégrations des rasters sous forme de mosaic datasets dans la base de données RASTER qui leur était dédiée, il a été pris comme décision de les «sortir» du SGBD SQL Server et de les intégrer dans un répertoire dédié aux données autres que référentiel La question de la capacité des serveurs L espace accordé aux données est un élément essentiel dans la mise en place d une telle architecture. A l Agence, il a été mis en place deux serveurs : un serveur SQL dédié au SGBD où se trouvent Microsoft SQL Server 2008 R2 et ArcSDE 10.0 et un serveur ArcGIS où sont installés ArcGIS Desktop 10.0, ArcGIS Server 10.0, le serveur Web et ArcOpole Studio La saturation du serveur SQL a provoqué des questionnements quant à la place consacrée aux données à la fois sur le serveur SQL et sur le serveur ArcGIS. Au mois d août 2012, la base de données VECTEUR compte 23 Go de données. Après discussion avec un expert ESRI intervenu le 23 mai 2012 à l Agence pour validation de notre démarche au niveau des bases de données et discussions avec le responsable du service informatique, il a été décidé d allouer un espace de 150 Go pour la base de données contenues sur le serveur SQL et de 1 To dédié aux données non incluses dans un SGBD. En effet, ces données seront placées sur le serveur ArcGIS mais les 1 To seront tout de même alloués au serveur SQL car le serveur ArcGIS va pointer sur le serveur SQL lorsqu il va chercher la donnée (même si la donnée est visible sur le serveur ArcGIS) Un répertoire dédié aux projets et aux études Pour améliorer encore la gestion des données, lors de l installation des logiciels ESRI en juin 2011, l expert SIG a créé un répertoire dédié nommé «DATA» sous C:\dans lequel il est préconisé de charger la donnée qui n est pas considérée comme «référentiel» à savoir : - les géodatabases fichiers 33

35 -les mxd 19 des projets (service de carte pour publication sur le web) -les fichiers.lyr (regroupés dans des dossiers spécifiques) Lors de la création de mes applications, j ai donc procédé soit par la création d un simple mxd si les données se trouvent dans SQL Server ou bien j ai créé un répertoire spécifique dans lequel on retrouve la géodatabase fichier et le mxd associé). C est donc dans ce répertoire ayant une capacité de 1 To que les référentiels RASTERS seront placés. Cette deuxième partie, assez technique, nous a permis de rendre compte de la démarche que nous avons mise en place pour mieux organiser et sécuriser les données de l Agence. La troisième et dernière partie concerne la mise en œuvre de l application Web cartographique après les différents tests effectués sur les générateurs d applications. 19 Mxd : correspond à l extension lorsque l on enregistre un projet dans Arcmap (ex : projet.mxd) 34

36 PARTIE 3 : TEST ET MISE EN ŒUVRE D APPLICATIONS WEBSIG 35

37 3.1. Les applications Webmapping Définition La cartographie interactive sur Internet 20, également connue sous son terme anglophone de «webmapping ou webgis» est un genre cartographique né au début des années 1990 sous l'impulsion de progrès réalisés dans le cadre des Technologies de l'information et de la Communication. Il s'agit donc d'un outil de mise à disposition de cartes et de données géographiques sur un réseau (Internet, Intranet) et permettant leur visualisation en interne ou en externe (le grand public). La cartographie interactive se situe donc à l'interface de trois disciplines que sont la géographie, l'informatique et le Web (figure 13). Figure 14: la cartographie interactive à l interface de trois disciplines Source : Peterson M. P. et al, 2003 Le SIG, quant à lui, reste une plaque tournante dans la création et la diffusion de l'information géographique, cependant, il s'oriente de plus en plus vers le Webmapping type WebSIG ce que souhaite développer l Agence d urbanisme. Elle s est donc équipée d ArcGIS Server qui gère les services de cartes et qui inclut une application de cartographie sur le Web prête à l emploi s exécutant dans un navigateur Web (voir partie présentation d ArcGIS Server p43). Elle s est aussi équipée d ArcOpole 20 SYCOPARC 40, «La diffusion de l information géographique du Parc naturel régional des Vosges du Nord», décembre 2010, 8p. ( dossier pdf) 36

38 Studio, un générateur d application (voir partie pour la présentation d ArcOpole Studio p55). L'information géographique tend à se démocratiser sous l'effet des nouvelles technologies et du Web, mais également sous la pression législative puisque se basant sur ces progrès, le partage de données entre structures doit être favorisé (Directive INSPIRE). L Agence d urbanisme profite donc des progrès réalisés en participant directement au développement de ces nouvelles technologies Transmettre un message cartographique correct Que ce soit sur une carte ou dans une application webmapping, la transcription de l information géographique est d une importance capitale. Comme toute forme de communication, le langage cartographique s appuie sur des principes de sémiologie graphique. Nous allons donc aborder quelques exemples concrets d applications cartographiques portant sur différentes thématiques : Thématique environnementale Figure 15 : les tempêtes tropicales aux Etats-Unis Source : (application réalisée avec ArcGIS Viewer For Flex Builder) Cette application simple met en évidence les zones à fort risques de tempêtes tropicales aux Etats-Unis. Elle localise en temps réelle les ouragans récents et ceux qui sont en activité. 37

39 Figure 16 : Application «Solar Boston» Source : (application réalisée avec ArcGIS Viewer For Flex Builder) La ville de Boston, capitale du Massachussetts, a déployé une application web du nom de «Solar Boston» accessible au public et permettant de répondre à une problématique environnementale d économie d énergie et de développement durable. Thématique de l eau : Figure 17: Les zones d inondations au Kansas (Etats-Unis) Source : (application réalisée avec ArcGIS Viewer For Flex Builder) 38

40 Au Kansas une application a été développé pour montrer les zones à fort risque d inondation. Elle permet d informer la population d un éventuel risque. Thématique des déplacements Figure 18 : La mobilité dans le canton de Genève Source : réalisée avec ArcGIS Viewer For Flex Builder) Cette application nous permet de savoir entre autre, l état du trafic au jour le jour puisque des mises à jours sont faites tous les jours, ainsi que de localiser les différents parkings et connaître les travaux effectués. Figure 19 : Le réseau TCL à Lyon Source : (application réalisée par actigraph) 39

41 Cette application interactive rend «ludique» une recherche d itinéraire au sein de Lyon. Elle est simple, intuitive et permet de communiquer des informations précises à l utilisateur. Ces exemples d applications nous montrent la diversité des thématiques qu un SIG peut traiter. Voici quelques fonctionnalités au service des utilisateurs que l on retrouve toujours dans une application WebSIG : Navigation, déplacements et zooms sur les cartes ; Localisation ; info-bulles et identification des entités ; outils de sélection et de requêtes spatiales. La mise à jour des géodatabases ArcSDE sur le Web (ajout d entités, fractionnement, mises à jour d attributs ) n est pas une fonctionnalité que l on retrouve dans des applications grands publics étant donné que le but premier est de faire passer une information, aider à la compréhension. Au final, les applications créés au cours de mon stage devront être simple d utilisation, avoir une navigation intuitive et être accessible au plus grand nombre (avec des restrictions d accès pouvant être accordées à certaines catégories de personnes). Pour pouvoir construire une telle application, il convient de réfléchir aux données à organiser et à paramétrer pour obtenir un tel résultat. C est ce que nous allons voir dans la deuxième sous-partie Réalisation cartographique sous ArcMap Dans toute démarche de réalisation d une application WebSIG, il y a trois étapes à respecter:«concevoir-servir-consommer» : Figure 20 : les 3 étapes d une application WebSIG Source : ESRI 40

42 1. Concevoir : ArcGIS Desktop fournit tous les outils indispensables aux conceptions cartographiques La réalisation de la carte s effectue avec ArcMap. 2. Servir : publier, diffuser les données géographiques/attributaires afin de pouvoir les distribuer à tous les utilisateurs de l information Publication du document ArcMap (mxd) dans ArcGIS Server. 3. Consommer : utiliser un service cartographique dans divers générateurs d applications tels qu ArcGIS Server, ArcOpole Studio ou ArcGIS Viewer For Flex Builder. Voici ci-dessous la procédure de diffusion des ressources SIG de l Agence : Figure 21: Diffusion de ressources SIG sur le Web Auteur :Adeline Joao Il faut donc dans un premier temps créer la carte, ensuite la diffuser puis elle pourra être utilisée dans une application Web. A noter que pour la publication, nous avons hésité entre deux générateurs d application pour finalement privilégier ArcOpole Studio au regard des différents tests effectués. Mais ceci sera abordé dans une prochaine partie Création Avant de commencer réellement la future application cartographique qui devra être fonctionnelle et servira de point de départ à d autres applications, je me devais d effectuer des tests de réalisation cartographique avec les différents logiciels et ce pour rendre compte de la difficulté ou non de mettre en place un tel projet. 41

43 ArcGIS Desktop 10.0 va donc nous permettre de créer notre carte qui sera ensuite hébergée sur un serveur pour permettre sa publication puis son utilisation. Voici la carte «test» réalisée avec ArcGIS que je vais par la suite publier : Figure 22 : Carte «test» prête à être publiée Auteur :Adeline Joao J ai inséré tout type d éléments (échelle de zoom, toponymes, analyses thématiques, données prises dans le SGBD, données prises dans le dossier DATA ) afin de voir comment tout cela été traité dans les générateurs d application. Avant toute publication, il faut bien penser que la carte doit être «finie» dans Arcmap. En effet, mieux vaut éviter les allers-retours entre le générateur d application et la carte (pour effectuer des modifications comme par exemple ajouter une analyse thématique) et ce pour éviter des déconvenues qui peuvent affecter l application et les paramétrages associés. Tout bug nécessitant de procéder à la création d une nouvelle application. La réalisation en tant que telle de la carte n a pas posé de problème, c est lors de la deuxième étape (la publication de la carte) que les soucis sont apparus. Nous allons donc voir comment se passe la publication du service de carte crée. 42

44 Publication Présentation d ArcGIS Server ArcGIS Server est un serveur SIG complet (figure 23). Il a été installé en même temps que les autres logiciels de la gamme ArcGIS Desktop en juin 2011 sur le serveur ArcGIS. Il permet d héberger les différents services crées à partir d Arcmap. Figure 23 :ArcGIS Server : un SIG complet orienté serveur Source : ESRI France ArcGIS Server prend en charge la gestion des données géographiques, la cartographie, le géotraitement, l analyse spatiale, les mises à jour et d autres fonctions SIG. Il peut être utilisé pour créer des applications SIG pouvant être déployées sur le Web et gérées de manière centralisée. Il permet la prise en charge de plusieurs utilisateurs et l accès à de nombreuses fonctions SIG. Il permet donc de diffuser de l information géographique afin de prendre de meilleures décisions. En effet, de nombreuses structures utilisent ArcGIS Server pour diffuser sur le Web des cartes et des fonctionnalités SIG, de manière à améliorer la productivité de l organisation, à communiquer des éléments vitaux et à engager les décideurs. 43

45 A qui s adresse Arcgis Server? Les géomaticiens utilisent ArcGIS Server pour publier et promouvoir leurs travaux sur le Web. Les développeurs d applications utilisent ArcGIS Server pour créer des applications dynamiques et conviviales qui tirent le meilleur parti des technologies Web courantes, telles qu AJAX 21, SOAP 22, REST 23 ainsi que les APIs : Javascript, Flex et Silverlight. ArcGIS Server fournit une architecture de développement d applications à la fois pour les environnements Java et.net. Les utilisateurs finaux utilisent les applications et les services Web d ArcGIS Server pour chercher une information, apporter des éléments à une carte ou bien encore pour appuyer leur discours. Les niveaux fonctionnels d ArcGIS Server ArcGIS Server propose trois niveaux de fonctionnalité : Basic, Standard et Advanced. Pour répondre le mieux possible aux besoins de la gestion de données géographiques et des utilisateurs de serveur, les trois niveaux d ArcGIS Server intègrent la technologie ArcSDE (voir partie la technologie ArcSDE p26). 21 AJAX : la technologie Ajax permet de communiquer de manière asynchrone avec un serveur (elle, envoie des requêtes au serveur HTTP pour récupérer uniquement les données nécessaires). Cette communication asynchrone permet donc de recharger uniquement les «parties actives» d une page web. Son exploitation requiert l utilisation du langage Javascript et des langages php ou XML. 22 SOAP : Cette technologie en XML permet la transmission de messages entre objets distants, ce qui veut dire qu'elle autorise un objet à invoquer des méthodes d'objets physiquement situés sur un autre serveur. Le transfert se fait le plus souvent à l'aide du protocole HTTP, mais peut également se faire par un autre protocole, comme SMTP. Utiliser SOAP via HTTP facilite la communication et évite les problèmes de proxys et pare-feu par rapport à des technologies plus anciennes. SOAP décrit la manière dont les applications doivent communiquer entre elles, certains considèrent que le couplage reste fort entre le serveur et ses clients. Une modification de l'api implique ainsi une évolution côté client, contrairement à une architecture orientée ressources telle que REST. 23 REST :«REST évoque» l'image du fonctionnement d'une application Web bien construite : un réseau de pages Web où l'utilisateur progresse dans l'application en cliquant sur des liens (transition entre états) ce qui provoque l'affichage de la page suivante (représentant le nouvel état de l'application) à l'utilisateur qui peut alors l'exploiter" Roy T. Fielding. REST est un style d architecture et l information de base, dans une architecture REST, est appelée ressource. 44

46 Figure 24 : Les trois niveaux de fonctionnalités d ArcGIS Server Source : PDF «qu est-ce que ArcGIS 3.0, «Applications SIG serveur : ArcIMS, ArcGIS Server et ArcGIS Image Server» Basic : cette version offre aux utilisateurs un serveur SIG complet pour la gestion des données spatiales. Elle permet essentiellement d organiser et de gérer des jeux de données géographiques à l'aide de la technologie ArcSDE. Standard : cette version offre aux utilisateurs un serveur SIG complet pour la gestion et la visualisation des données spatiales (cartographie). Elle inclut des services de cartographie 2D, de rendu 3D (globe), ainsi qu un ensemble de fonctionnalités connexes, telles que le géocodage, le répertoire géographique et le routage. Les développeurs d applications accèdent aux composants (objets, contrôles et services Web) pour créer des solutions destinées aux environnements Java et.net. Tous les aspects de la version Basic sont inclus dans la version Standard. Advanced : cette version offre aux utilisateurs un serveur SIG complet pour la gestion des données spatiales, la cartographie, la visualisation 3D, la mise à jour depuis un navigateur, le géotraitement, l analyse spatiale et la modélisation. Tous les aspects des versions Basic et Standard sont inclus dans la version Advanced. La version Advanced inclut des composants à plusieurs niveaux permettant aux développeurs de créer et déployer des applications et des services Java et.net dans des environnements bureautiques, nomades, Smart Client, navigateurs Web et d entreprise. L Agence d urbanisme a privilégié le niveau de fonctionnalité standard. (voir l annexe 4 p87 pour plus de précisions). Les niveaux de capacité du serveur : Chaque version fonctionnelle d ArcGIS Server propose deux niveaux d utilisation qui définissent la capacité. 45

47 Ces niveaux sont les suivants : -ArcGIS Server Workgroup : Il inclut le moteur de base de données Microsoft SQL Server Express pour la prise en charge des géodatabases. Il supporte un maximum de 10 utilisateurs connectés. La limite de SQL Server Express est de 4 Go de données et à une mémoire limitée à 1Go. -ArcGIS Server Enterprise (figure 25): ArcGIS Server Enterprise inclut ArcSDE, mais l utilisateur doit cependant acquérir un SGBD. L Agence a privilégié ce niveau de capacité du serveur en choisissant le SGBD SQL Server 2008 R2. Ce niveau supporte un nombre illimité d utilisateurs. Figure 25: ArcGIS Server Enterprise Choix de l Agence d urbanisme Source : PDF «qu est-ce que ArcGIS 3.0, «Applications SIG serveur : ArcIMS, ArcGIS Server et ArcGIS Image Server» Les points clés d ArcGIS Server Un SIG orienté serveur Un logiciel incluant des outils de gestion de base de données géographiques (technologie ArcSDE) Publication de services SIG (très riches fonctionnellement) Construction d applications Administration du serveur SIG 46

48 Des applications cartographiques web plus riches, plus rapides Une plateforme de développement puissante Conforme aux standards et aux normes OGC, ISO, W3C La publication La procédure de publication est expliquée dans l annexe 5 p Stockage et droits d accès Une fois le mxd constitué, il faut le publier et cela implique un stockage de ce mxd. Par défaut, le mxd est stocké dans un endroit spécifique où le logiciel ArcGIS Server possède les droits d accès, de lecture et d écriture. Lorsque tous les composants d'arcgis Server sur un ordinateur ont été installés, un répertoire de serveur par défaut de chaque type a été créé à un emplacement spécifié pendant la post-installation du serveur SIG permettant de stocker le résultat de la publication du projet (.mxd). L'emplacement par défaut est C:\arcgisserver. Les répertoires de serveur Ces répertoires de serveur représentent des répertoires physiques sur le serveur virtuel ArcGIS dédié au stockage et à l enregistrement de certains types d'informations. Il existe cinq types de répertoire de serveur : cache, index, tâches, sortie et entrée. Tableau 2: Les répertoires de serveur Répertoires répertoire de cache (arcgiscache) Description/fonctions Stocke les caches de tuiles pré-affichées que les services de carte ou de globe peuvent utiliser pour optimiser la vitesse d'affichage. 47

49 répertoire d'index (arcgisindex) répertoire de tâches (arcgisjobs) répertoire en entrée (arcgisinput) répertoire en sortie (arcgisoutput) Stocke les index d'information utilisés par les services de recherche. Stocke les fichiers utilisés par les services de géotraitement. Les services de géotraitement nécessitent en principe une certaine quantité d'espace pour enregistrer des fichiers temporaires et stocker des informations sur les tâches en cours. Utilisé lorsque vous publiez des services de carte à l'aide de la barre d'outils Publication de services de carte dans ArcMap. Pour chaque service que vous publiez, un dossier qui contient un fichier de définition de service de carte (.msd) est placé dans le répertoire en entrée. Ce fichier est nécessaire à l'exécution du service. Réservé aux fichiers temporaires requis par le serveur. Ils sont requis pour les services de géotraitement, recommandés pour les services de géocodage, et facultatifs pour les services de carte et d'imagerie. Lorsque vous créez un service de carte ou modifiez ses propriétés, vous pouvez choisir le répertoire serveur en sortie qu'il utilisera. Si vous sélectionnez «Aucun», l'accès aux cartes de type image s'effectue via des données MIME. Les répertoires de tâches de serveur et les répertoires de serveur en sortie stockent des fichiers temporaires et peuvent être nettoyés à intervalle spécifié. Il n'existe aucun mécanisme de nettoyage pour les répertoires serveur de cache, d'index ou en entrée, car les fichiers contenus dans ces répertoires sont supposés être toujours disponibles. L architecture d ArcGIS Server En plus de ces répertoires, ArcGIS Server a créé des comptes SOM (Server Object Manager) et SOC (Server Object Container) à l installation. La post-installation attribue au compte SOC l'accès aux répertoires et établit le cache virtuel, l'index, les tâches et répertoires en sortie correspondants. Le compte SOM permet de gérer le système et de jouer le rôle de filtre en recevant, acceptant et dirigeant les requêtes vers le compte SOC qui reçoit et traite ces requêtes. Dans le cas de l Agence, tous les composants architecturaux du système sont sur la même machine virtuelle. Voici le schéma qui récapitule cela : 48

50 Figure 26 : architecture d ArcGIS Server Source : ESRI France Le compte SOC doit au moins disposer d'un accès en lecture aux ressources SIG (cartes, localisateurs, données) que les services requièrent pour effectuer leurs tâches. Cela inclut toutes les données référencées dans la ressource. Par exemple, pour publier un document ArcMap en tant que service, toutes les données contenues dans le document ArcMap doivent être dans des emplacements sur lesquels le compte SOC possède des autorisations soit en utilisant des données provenant: -des connexions ArcSDE (données contenues dans SQL Server), -des chemins d'accès locaux aux cartes source et aux données (données contenues dans des sous-dossiers du répertoire DATA). A l Agence, un répertoire spécifique a été dédié pour les projets (mxd) et les géodatabases fichiers sur le serveur ARCGIS, c est le dossier DATA (voir partie 2 : un répertoire dédié aux projets et aux études p33). Il a fallu donner les droits d accès au compte SOC pour que la donnée soit publiable. Je tiens à préciser que nous n avions pas connaissance de ces informations, d où des problèmes rencontrés lors de la publication de mon service de carte. Il a donc fallu que je me documente et que je contacte le support d ESRI pour pouvoir résoudre ce problème. Dans tous les cas, la meilleure façon d agir est de ne pas disperser la donnée mais de la conserver dans un seul et même endroit pour éviter d accorder les droits au compte SOC pour chaque dossier (trop fastidieux et risque de mauvaise organisation). Par ailleurs, il y a un autre élément à ne pas oublier : l ajout des utilisateurs dans les groupes agsadmin et agsusers (groupes crées lors de l installation d ArcGIS Server) Web ADF (Application Developer Framework): Composants permettant de développer des applications et des services Web. 49

51 Les groupes d'utilisateurs agsadmin et agsusers spécifient les privilèges dont un utilisateur disposera lorsqu'il se connectera localement au serveur SIG. Ces groupes sont donc créés automatiquement sur la machine SOM lors de l installation d ArcGIS Server, mais il nous revient de les remplir. Il faut ajouter dans le groupe agsadmin quiconque devra administrer le serveur. Ensuite, il faut aussi ajouter dans le groupe agsusers quiconque utilisera le serveur SIG Les différents services existants Il existe de nombreux de types de services SIG pouvant être publiés sur ArcGIS Server. Nous n avons évoqué que le service de carte (le plus utilisé) mais d autres services existent et peuvent être publiés comme par exemple : Figure 27 : Types de services pouvant être publiés sur ArcGIS Server Auteur : Adeline Joao Pour une liste plus complète, voir l annexe 6 «Les différents services d ArcGIS Server»p91. Pour mon application test nous avons publié deux services de carte. 50

52 La carte a donc été réalisé avec des données vectorielles cependant une application comporte toujours un fond cartographique (donnée raster) La question des fonds cartographiques Pour les fonds cartographiques (rasters), nous avions le choix entre utiliser les données de l Agence ou bien utiliser des services de carte en ligne La mise en cache Les orthophotos étant très lourdes et donc longues à charger à l affichage, il est nécessaire de passer par une mise en cache pour accélérer la vitesse d affichage. Définition La mise en cache de carte est une méthode très efficace pour accélérer l'exécution des cartes publiées sur ArcGIS Server. Lorsque nous créons un cache de carte, le serveur dessine la carte entière à différentes échelles et stocke des copies des cartes de type image (figure 27). Le serveur peut ensuite distribuer ces images chaque fois qu'un utilisateur en fait la demande. Pour ArcGIS Server, la distribution d'une image mise en cache se révèle bien plus rapide que l'affichage de la carte à chaque fois que quelqu'un le demande. Autre avantage de la mise en cache : la quantité de détails de l'image n'affecte pas la vitesse à laquelle le serveur peut distribuer la copie. Figure 28 : Les caches de cartes Source : ESRI France 51

53 Pourquoi mettre en cache les cartes? Avec la mise en cache, le seul moment où les performances sont suscitées pour l'affichage de la carte est lorsque l on crée le cache. Car sa création peut prendre du temps. Toutefois, les avantages de la mise en cache compensent la durée de création du cache. Voici les principaux avantages liés à la mise en cache : Performance : l'apparition de la carte est rapide. Qualité : avec la mise en cache, les performances ne sont pas affectées par le niveau de détail de la carte Un cache est juste un ensemble d'images et le serveur peut renvoyer une image mise en cache plus ou moins aussi rapidement que n'importe quelle autre image mise en cache. (La procédure pour réaliser un cache de carte se trouve sur le centre d aide et de ressources d ArcGIS 25.) Au départ, nous souhaitions utiliser les orthophotos de la BD Ortho mais la vitesse d affichage étant trop lente, nous aurions donc dû crée un cache pour ces orthophotos. Cependant, comme ArcGIS Online et Bing Maps offrent des fonds de carte «prêt à l emploi», très facile à intégrer et déjà mis en cache, nous avons privilégié cette solution plus simple et plus efficace. De plus, nous nous sommes rendu compte que les orthophotos de la BD Ortho étaient trop«dégradées» ce qui ne rendait pas le résultat très esthétique. Ci-joint un extrait de la BD Ortho du département du Rhône où l on distingue une différence très nette de couleurs entre les dalles: Source : BD Ortho, Agence d Urbanisme / 52

54 Les services en ligne : Arcgis Online /Bing Maps/ Géoportail Aucune publication de service de carte n est nécessaire, les fonds cartographiques étant disponibles à travers les services en ligne accessibles par les générateurs d application. Les fonds de carte ArcGIS Online : Fonds de carte disponibles : Nous avons la possibilité d ajouter des fonds de carte d Arcgis Online dans le générateur d application ArcOpole Studio lors du paramétrage de l application (ajouter le serveur arcgis online avec l url: Projection : Services de carte dynamiques : Les données sur ArcGIS Online sont publiées en Web Mercator (sytème de projection). Par conséquent, comme nous avons réalisé une carte avec des données dans des systèmes de projection différents (RGF93) cela a comme répercussion de faire une reprojection à la volée du MapService (=service de cartes vue figée de la carte). Ce MapService est dit «dynamique» ce qui signifie que nous pouvons utiliser les MapServices avec les données ArcGIS Online. A noter que les performances ne seront pas optimales puisqu'à chaque requête (zoom panoramique par exemple), l'api demandera à ArcGIS Server de lui envoyer les données dans un autre système de coordonnées que celui dans lequel le service est publié. Services de carte en services cachés : Il faut préciser que si nous publions des services de carte en services cachés, la seule possibilité sera de changer le système de projection dans le mxd, de publier un nouveau service en WGS84 puis de recalculer un cache dans ce système de projection. Dans cette configuration, les données pourront se superposer. A noter que pour superposer deux MapServices cachés, ceux-ci doivent partager la même structure de tuilage (mêmes tailles de tuiles, mêmes échelles,...). Pour cela, au moment de générer le nouveau cache, il faut utiliser l'option "charger une structure de tuilage depuis...". Remarque : Concernant l utilisation de ses propres fonds de carte Arcgis Online crées à partir du site officiel) : Il faut savoir qu il n'est pas possible de les utiliser dans des applications créées avec ArcOpole Studio. 53

55 Les fonds de carte Bing Maps : Le générateur d application ArcOpole Studio ne prend pas en compte les fonds Bing Maps en revanche ces fonds sont disponibles sur l API ArcGIS Viewer for Flex Builder. A noter qu ArcGIS Server met à disposition une clé Bing Maps. Les fonds de carte du Géoportail : Les fonds de carte sont disponibles pour tous les utilisateurs ArcGIS depuis fin 2011 (à condition de disposer d une licence ArcGIS et de ArcGIS Server). Construite en partenariat avec l IGN, les conditions d accès à ces services sont complètement alignées sur les conditions d'accès au Géoportail de l IGN. Sans aucun Plug-In ou Add-In, les utilisateurs d'arcgis (Desktop, Server et Mobile) peuvent accéder aux couches du Géoportail (celles qui sont la propriété de l IGN) : Orthophoto, BD Parcellaire, Scans (25 et autres), différents thèmes de la BD Topo,... Pour bon nombre d utilisateurs ArcGIS du secteur public, c est un moyen d accéder très simplement et gratuitement aux données du RGE en ligne. Techniquement, les flux du Géoportail sont publiés en tant que services web ArcGIS Server. Ceci veut dire que l on y accéde comme pour n'importe quel autre service web ArcGIS. Autrement dit, pour accéder aux flux du Géoportail de l'ign, i faut se connecter au serveur SIG de la plateforme de services web d'esri France en spécifiant l'identifiant et le mot de passe fournit par ESRI France. Nous avons la possibilité d ajouter des fonds de carte du Géoportail dans le générateur d application ArcOpole Studio lors du paramétrage de l application (ajouter le serveur du Géoportail avec l url: Une fois la carte publiée, il va donc falloir la paramétrer dans un générateur d application. Une grande partie de mon stage a consisté à tester deux générateurs d application. L un ayant des fonctionnalités que l autre n a pas ou bien l un et l autre se complétant il a fallu que je fasse des tests pour prendre une décision quant au générateur le plus adapté par rapport au projet Paramétrage de l application ArcOpole Studio et Flex Builder : les 2 générateurs d applications Flex 54

56 Présentation d ArcOpole Studio A la fin de l année 2010, ESRI France a mis gratuitement à disposition de ses utilisateurs un générateur d applications Flash pour son logiciel ArcGIS Server : ArcOpole Studio qui est un template gratuit (il faut avoir ArcGIS Server pour qu il fonctionne). Cet outil permet aux administrateurs SIG/géomaticiens de créer leurs propres applications web cartographiques et ce de manière très simplifiée étant donné qu aucune ligne de code n est rentrée. Le but étant «d animer la communauté rassemblant des professionnels du SIG au sein des collectivités locales, et susciter des projets collaboratifs 26». ArcOpole Studio a donc été installé en juin 2011 avec la version et la mise à jour a été faite en mai 2012 (version ). Une nouvelle version est sortie le 20 juillet Ce générateur est donc régulièrement amélioré, mis à jour environ tous les six mois grâce aux commentaires/remarques que font remonter les utilisateurs sur le forum officiel du site : Voici un aperçu de l application Web paramétrée sous ArcOpole Studio : Figure 29 : Résultat de l application Web paramétrée avec ArcOpole Studio Source : données et logiciels de l Agence d urbanisme de Lyon/ Auteur : Adeline Joao 26 Site d ArcOpole Studio : 55

57 Présentation d ArcGIS Viewer for Flex Builder Flex est une technologie qui permet aux administrateurs/géomaticiens possédant ArcGIS Server de développer et déployer des «applications fluides, interactives et d une grande richesse dans l environnement Flex d Adobe». 27 Apparu fin 2008 et supporté par ESRI, Flex Builder permet aux développeurs de combiner du contenu SIG provenant de services web d ArcGIS Server avec tout autre contenu web et de l afficher dans une interface rapide, riche et dynamique. Les applications développées peuvent être déployées à travers le Web ou sur des postes bureautiques. L utilisateur final dispose d un environnement interactif pour consulter des cartes, rechercher et localiser des informations, identifier des objets mais aussi exécuter des analyses spatiales complexes, le tout via une interface web conviviale et dynamique. Le développement d application ArcGIS for Flex ne nécessite pas l installation d ArcGIS Server sur le poste de développement. Seul un accès à ArcGIS Server via une URL est requis. Pour utiliser l API, il faut disposer de la plus récente version de Flash player. Flex Builder est disponible en 2 versions : 1. Prêt à l utilisation : il n y a pas besoin de connaissances particulières en programmation. Il faut juste adapter les fichiers XML à ce que l on souhaite avoir comme rendu (services web, images et textes). Cette version nous permet d être fonctionnel très rapidement. Lien de téléchargement : 2. Open Source : il faut télécharger le code et le travailler à l aide de notre environnement de développement Flex (Flash Builder 4 ou autre). Cette option permet d adapter le code source pour obtenir exactement le résultat recherché. Lien de téléchargement : Voici un aperçu de l application Web paramétrée sous ArcGIS Viewer for Flex Builder : 27 Citation tirée du site de SIG la Lettre : 56

58 Figure 30 : Résultat de l application Web paramétrée avec ArcGIS Viewer for Flex Builder Source : données et logiciels de l Agence d urbanisme de Lyon/ Auteur : Adeline Joao De plus, des widgets 28 sont à disposition des utilisateurs sur le site officiel de téléchargement de l API et sont fournis par des développeurs ce qui fait la diversité d applications Web possibles. L administrateur/le géomaticien peut vraiment créer une application en prenant les commandes contrairement à ArcOpole Studio qui reste un générateur peu modulable. 28 Widget : Cette contraction des mots «windows» et «gadgets» décrit un petit outil, composant de l interface graphique, à partir duquel l utilisateur peut exécuter une tâche complexe par une ergonomie simple et selon une logique définie dans le code du programme. 57

59 Comparatif et choix d un applicatif La comparaison s est effectuée sur différents paramètres. Voici le tableau présentant les résultats : Tableau 3 : comparatif des deux générateurs d applications ArcOpole Studio et ArcGIS Viewer For Flex Builder Générateurs Paramètres Présentatio n Description Naissance Installation et MAJ ArcOpole Studio Générateur d applications Flash pour ArcGIS Server (technologie Flex). Développé par la communauté ArcOpole (ESRI France) fin Facilité d installation et de MAJ (=Mise A Jour) en suivant la documentation d ArcOpole Studio. Lien pour télécharger : %c3%a9n%c3%a9rateurdapplications/tabid/117/def ault.aspx Fonctio nnalité présen te/abse nte (P ou A) Param étrage: Facilité / difficul té / / / / / + ArcGIS Viewer For Flex Builder Application de cartographie interactive pour ArcGIS Server construite avec l API Flex. Développé par ESRI US (soutenu par ESRI France) fin Facilité d installation. Attention, ne pas oublier : -de rajouter le fichier crossdomain.xml dans «C://programFiles(x86)/ArcGIS/Se rver10.0/java/manager/web_output» -d accorder les droits d écriture dans le dossier C://inetpub. Lien pour télécharger : Fonctio nnalité présen te/abse nte (P ou A) Param étrage: Facilité / difficul té / / / / / ++ Technologie / configuratio n Programma tion Outils métiers Configurati on des widgets Aucune connaissance en programmation nécessaire. / ++ Aucune connaissance en programmation nécessaire. / + Outils métiers «cadastre» et «PLU» pouvant s inclure dans le générateur. Fonction de configuration inexistante. / A Fonction de développement de widgets inexistante. / P + Outils inexistants. A / Configuration des widgets possible dans le fichier config.xml. Possibilité de développer ses propres widgets (compétences de développeur requises). P

60 Positionne ment des widgets Gestion des accès aux applications Widgets fixes (sinon il faut les configurer dans le fichier de configuration mais complexe) P - Possibilité de positionner les widgets à l endroit voulu à l affichage (configuration dans le fichier config.xml de l appli). P + Gestion des droits d accès des utilisateurs. P ++ Pas de gestion des droits d accès Fonction inexistante. A / ArcGIS Online Serveur cartographi que Zoom sur la zone d étude au chargement Fonds cartographi ques Possibilité d ajouter le serveur carto d ArcGIS online. (url: Possibilité de zoomer sur la zone concernée au chargement. (il faut noter les coordonnées en bas à gauche et en haut à droite et les rentrer dans le fichier client.xml) Possibilité d ajouter plusieurs fonds de carte et de jouer sur la transparence des fonds. P Possibilité d ajouter le serveur carto d ArcGIS online et les fonds Bing Maps. (url: Possibilité de zoomer sur la zone concernée au chargement. (étirer un cadre sur la zone) Possibilité d ajouter plusieurs fonds de carte en modifiant le fichier config.xml de l application : <basemaps> <layer url=" Street_Map/MapServer" label="rues" visible="true" type="tiled"/> <layer url=" Imagery/MapServer" label="vue aérienne" visible="false" type="tiled"/> <layer url=" Topo_Map/MapServer" label="topographie" visible="false" type="tiled"/> </basemaps> Pas de possibilité de mettre les fonds de carte en transparence. P Fonctionnali tés Impression Flux GeoRSS Sauvegarde sous format pdf. ++ Impression directe (pas de sauvegarde dans un dossier). ++ Choix de la mise en page (portrait/paysage): gabarits P P + Choix de la mise en page (portrait/paysage). que l on peut créer. ++ Présence de la légende dans la carte. + Pas de légende. A / Oui mais -Soit il faut le créer (complexe) Widget inexistant. A / -Soit tous les liens ne fonctionnent pas même en utilisant cette astuce qui est d ajouter P -- avant l adresse du flux RSS dans le fichier de config georss.xml. Localisateur Paramétrage dans ArcOpole (il faut avoir des couches P - Simplicité du localisateur (paramétrage déjà effectué), P ++ 59

61 Fiches attributaire s/ infobulles ayant un champ commun pour pouvoir faire une jointure et établir une gradation dans la recherche : ex : région département commune) Possibilité d afficher les informations attributaires de la couche pour avoir plus de renseignements. Requêtes Simplicité pour le paramétrage des requêtes. P ++ Rechercher Widget inexistant. A / Géosignets Dessiner Création de géosignets par l admin en amont dans ArcGIS mais aussi possibilité de créer ses propres géosignets dans l application. Simplicité de l outil qui permet de dessiner avec la possibilité de faire un buffer à partir de la surface dessinée. Remarque : -chaque dessin peut être effacé indépendamment des autres. -création automatique d une géonote pour chaque surface dessinée. Simplicité de l outil qui permet de mesurer des distances et des surfaces. outil très précis. P ++ Widget inexistant. A / P ++ P ++ Requêtes un peu plus complexes (paramétrage dans le fichier config.xml du widget). Outil qui permet de faire des requêtes (paramétrer dans le fichier config.xml du widget). Création de géosignets par l admin en amont dans le Flex Builder mais aussi possibilité de créer ses propres géosignets dans l application. Simplicité de l outil qui permet de mesurer des longueurs/surfaces Remarque : si l on veut effacer un dessin, tous les autres dessins seront effacés aussi. P - P - P ++ P ++ Possibilité de mesurer des distances avec le widget Mesurer P ++ P ++ «dessiner». Légende Oui, simplicité, pas de paramétrage à faire. P ++ Oui, simplicité, pas de paramétrage à faire. P ++ Diagramme Possibilité d afficher des diagrammes, histogrammes - Widget inexistant. A / P s (paramétrage assez complexe). Géotraitem Il faut créer l outil de géotraitement en amont dans Il faut créer l outil de géotraitement en amont dans P - P - ents ArcGIS et le publier sur ArcGIS Server. ArcGIS et le publier sur ArcGIS Server. Extraction Widget inexistant. A / A paramétrer en amont dans ArcCatalog. P - de données Mise à jour Possibilité de mettre à jour les données à partir de l application. P + Widget inexistant. A / Temps Widget inexistant. A / Possibilité de faire une application temporelle. P Enregistrer ++ Oui, simplicité du widget. P Widget inexistant. A / son projet Documents Oui, ne doivent pas dépasser un certain poids. P + Widget inexistant. A / - 60

62 associés Droits d accès Paramétrable pour chaque utilisateur (login +mot de passe). P ++ Non paramétrable (site ouvert à tous). A / TOTAL Facilité/difficulté : Facile ++ Assez facile + Assez complexe - Complexe - - P : 17 A : 6 ++ : 13 + : 6 - : : 0 P : 16 A : 8 ++ : 11 + : 3 - : : 2 En testant les deux générateurs nous nous sommes confrontés à quelques difficultés. Nous évoquons ces difficultés et des remarques dans l annexe 7 «ArcOpole Studio et Flex Builder : Problèmes /remarques» p92. Choix de l applicatif : Après comparatif, ArcOpole Studio semble plus complet que Flex Builder sur les fonctionnalités les plus courantes dans une application et le paramétrage semble plus aisé. Cependant, il n y a pas un générateur dépassant l autre, chacun d eux ayant des caractéristiques que l autre n a pas et tous deux se complétant sur certaines fonctionnalités. En revanche, d après mes recherches et constats, la différence réside dans le fait qu ArcOpole Studio est un générateur «formaté» en ce sens que l utilisateur est maitre du fond mais pas de la forme contrairement à l API Flex Builder qui donne une certaine liberté à l utilisateur. ArcOpole Studio semble plus destiné à un usage en interne (gestion des accès aux applications) et pour réaliser des applicatifs métiers tandis que l API Flex Builder est, à mon sens, plus utilisée pour des applications à destination du grand public (d où l importance de ces API sur le net : voir partie sur la présentation de quelques applications Web p37). Nous avons donc privilégié ArcOpole Studio pour construire l application WebSIG. 61

63 3.4. Exemple concret d application Après la réflexion sur les stratégies à mettre en œuvre pour réorganiser et sécuriser l ensemble des données ainsi que les tests concernant les différentes fonctionnalités des deux générateurs d applications, nous sommes passés en phase de production concrète avec le choix de partir sur une étude que Maxence Prouvot a produit (concernant toute la partie SIG). Cette étude stratégique évoque les dynamiques interrelationnelles entre Lyon et le sud de la Saône-et-Loire par le diagnostic des grandes dynamiques socioéconomiques. L application va donc comprendre un certains nombres de cartes thématiques relatant l étude et mettant en avant ces dynamiques d une manière visuelle. L étude comprend près d une cinquantaine de cartes thématiques cependant nous avons décidé de nous préoccuper de sept thématiques, ne souhaitant pas charger l application mais en revanche pouvoir disposer de toutes les fonctionnalités de base. Etape 1 : la réalisation sous ArcGIS Le choix a été fait de réaliser deux services de cartes, l un concernant le cadre d étude et comprenant les fonds de carte vecteur et l autre concernant les analyses thématiques. Le service de carte «cadre d étude» : Figure 31 : Service de carte «cadre d étude» Auteur : Adeline Joao 62

64 Le service de carte «analyse thématiques» : Figure 32 : Service de carte «analyse thématiques» Auteur : Adeline Joao J ai fait le choix de superposer deux services de carte de façon à faire la distinction entre le «général (cadre d étude) et ce qui touche au sujet «analyses thématiques». Pour la carte comportant les analyses thématiques, celles-ci étaient déjà réalisées cependant les données utilisées se trouvaient dans différents dossiers et le compte SOC n avait pas accès aux données (donc publication impossible) il a donc fallu procéder à une réorganisation des données et recréer les analyses thématiques. Etape 2 : la publication La publication n a pas fonctionné du premier coup car tout n a pas été pensé. C est en ayant des erreurs que l on a pu comprendre ce qui n allait pas et les corriger. Pour que la publication soit possible, il faut vérifier un certains nombres de points : -quels types de données? (données vecteur, tables attributaires ) Si au moment de la publication une table attributaire a été laissée dans la table des matières, il se peut que la publication ne fonctionne pas, il faut donc l enlever si c est le cas. 63

65 -où sont les données? (le compte ArcGISSOC a-t-il les droits d accès?) Pour éviter cela, il a donc fallu créer un dossier contenant les données de l étude dans le dossier DATA pour que la publication soit possible : création d un répertoire «APPLI_MACON» dans lequel j ai inséré deux sous-dossiers «DONNEES_MAXENCE» (données brutes de l étude) et «DONNEES_APPLICATION» (dans lequel j ai réorganisé les données de l étude en créant une géodatabase et dans lequel j insère les mxd); GDB Une fois ces points vérifiés, nous pouvons publier les services de cartes dans ArcGIS Server : Etape 3 : le paramétrage dans ArcOpole Studio La procédure de paramétrage de l application est expliquée à l annexe 8 «Procédure de paramétrage de l application dans ArcOpole Studio»p100. Voici le résultat de l application Web cartographique une fois le paramétrage terminé : 64

66 Figure 33 : résultat de l application cartographique sous ArcOpole Studio Auteur :Adeline Joao L application est simple et facile à appréhender et c est l objectif premier du service SIG de l Agence d urbanisme. Le but étant que les informations principales soient dans l application de façon à ce qu un maximum de personnes puisse l utiliser et faire appel à l application dès lors qu ils souhaitent obtenir une information, imprimer une cartographie pour appuyer leur discours. Le géomaticien/l administrateur SIG «réalise» la carte tandis que l utilisateur «fait parler» la carte Préconisations, retours d expériences Au cours des six mois de stage, nous avons rencontré des difficultés que nous nous devions de résoudre pour pouvoir avancer dans le projet. J ai donc répertorié dans l annexe 9 «Préconisations, retours d expériences»p104, les conseils et les préconisations qui m ont été fournis au gré de mes discussions et recherches au cours de ce stage. 65

67 CONCLUSION Le besoin de décloisonner l'accès aux données est apparu et avec lui la nécessité de rendre les SIG interopérables. Le Web a donc permis d impulser une nouvelle voie de développement des SIG par la multiplication des applications cartographiques, véritable plus-value au niveau du numérique et permettant réellement de démocratiser l information géographique. Ces applications rendent le territoire plus dynamique et mettent en avant un certains nombres de données et d informations accessibles pour les utilisateurs. Cette mise en place d applications cartographiques au sein de l Agence d urbanisme va donc permettre d offrir aux utilisateurs le droit de pouvoir consommer les services des applications d ArcGIS Server pour visualiser et explorer les données à diverses échelles : locale, communale, départementale... Aussi, cela leur permet de collaborer par l ajout de commentaires sur la carte et cela leur donne la possibilité d imprimer leurs propres cartographies qui pourront appuyer leur discours et aider à la prise de décision. L'intérêt de ce travail a donc résidé, avant tout, dans la démarche qu'il a fallu adopter pour atteindre les objectifs. En effet, ce stage m a permis de réaliser un projet du début jusqu à la fin et ce avec des logiciels que je ne connaissais pas pour la plupart. Il a donc fallu que je me les approprie et que je fasse beaucoup de recherches/ de lectures pour en comprendre les tenants et les aboutissants. Même si je n ai pas pu travailler sur toutes les fonctionnalités des logiciels je pense notamment à SQL Server, je suis désormais capable de gérer des bases de données sur un tel logiciel. Ce qui m a réellement plu c est de pouvoir me confronter à des difficultés et d arriver au bout du projet en ayant dû suivre une certaine méthodologie. Un tel projet prend du temps dans sa conception mais finalement, l'application a pu être livrée au terme de la mission et répond aux exigences techniques exprimées par l Agence d urbanisme. La perspective prévue est de poursuivre le développement d applications et ce, pour permettent une gestion améliorée des données, une exploitation facilitée des informations et répondre aux besoins des différents services. 66

68 BIBLIOGRAPHIE ESRI France, Introduction à ArcGIS SERVER version 10 (Aspect SGBD), support de cours et exercices pratiques, ESRI France, Introduction à ArcGIS SERVER version 10 (Aspect web), support de cours et exercices pratiques, LAURANCIN Bertrand, Installation ArcSDE 10 SP2 pour SQL SERVER-Création des utilisateurs de base de données, AURBA LYON, Esri France, 10 juin 2011, 63p. FAYEAUX Clément, «Mise en place du serveur cartographique ArcGIS Server», Rapport de stage,2009, 64p. PDF «qu est-ce que ArcGIS 3.0, «Applications SIG serveur : ArcIMS, ArcGIS Server et ArcGIS Image Server» PUMAIN Denise et BEGUIN Michèle, La représentation des données géographiques ; statistique et cartographie, Revue de géographie alpine, 1995, vol. 83, n 1, p SYCOPARC 40, «La diffusion de l information géographique du Parc naturel régional des Vosges du Nord», décembre 2010, 8p. ZANIN Christine et TREMELO Marie-Laure, Savoir faire une carte : Aide à la conception et à la réalisation d'une carte thématique univariée, éditions Belin, 2003, 200p. SITOGRAPHIE Site de l Agence d urbanisme pour le Développement de l Agglomération Lyonnaise Site de l IGN Citation tirée du site de SIG la Lettre 67

69 Introduction à Microsoft SQL SERVER Cours gratuit sur la sécurité de base de données sous SQL Server Sécurité SQL Server Aide ArcGIS Server 10 ex.html#/na/ / Site d ArcOpole tions/tabid/117/default.aspx Description d ArcOpole Studio tions/tabid/117/default.aspx Aide en ligne pour le générateur ArcGIS Viewer for flex Builder wer_for_flex/01m / Exemples d'applications ArcGIS Server en Flex Communiqué sur le lancement de l API Flex pour Arcgis Exemple d une application cartographique faite avec l API Flex Builder Site de l aide en ligne d ArcGIS concernant le service de cache ex.html#/na/ / 68

70 LISTE DES TABLEAUX Tableau 1 : Logiciels informatiques à disposition à l Agence Tableau 2: Les répertoires de serveur Tableau 3 : comparatif des deux générateurs d applications ArcOpole Studio et ArcGIS Viewer For Flex Builder

71 LISTE DES FIGURES Figure 1: l aire métropolitaine lyonnaise en Rhône-Alpes... 8 Figure 2 : les partenaires de l Agence d urbanisme de Lyon et leurs périmètres d action... 9 Figure 3 : organigramme des services Figure 4 : vers la mise en place d une infrastructure Client/Serveur à l Agence d urbanisme Figure 5 : principales fonctionnalités d'arcgis Desktop, selon le niveau de licence Figure 6 : planning de ces six mois de stage Figure 7 : comparaison des trois types de géodatabases Figure 8 : les deux géodatabases dans l instance de SQL Server Figure 9 : les deux modes d authentification à SQL Server Figure 10: la mise en place d une sécurisation des données dans SQL Server (Authentification mixte) Figure 11 : architecture ArcSDE à trois niveaux Figure 12 : les deux types de connexion à une GDB Figure 13 : connexion à une géodatabase Figure 14: la cartographie interactive à l interface de trois disciplines Figure 15 : les tempêtes tropicales aux Etats-Unis Figure 16 : application «Solar Boston» Figure 17: les zones d inondations au Kansas (Etats-Unis) Figure 18 : la mobilité dans le canton de Genève Figure 19 : le réseau TCL à Lyon Figure 20 : les 3 étapes d une application WebSIG Figure 21: diffusion de ressources SIG sur le Web Figure 22 : carte «test» prête à être publiée Figure 23 :ArcGIS Server : un SIG complet orienté serveur Figure 24 : les trois niveaux de fonctionnalités d ArcGIS Server Figure 25: ArcGIS Server Enterprise Figure 26 : architecture d ArcGIS Server Figure 27 : types de services pouvant être publiés sur ArcGIS Server Figure 28 : les caches de cartes Figure 29 : résultat de l application Web paramétrée avec ArcOpole Studio Figure 30 : résultat de l application Web paramétrée avec ArcGIS Viewer for Flex Builder Figure 31 : service de carte «cadre d étude» Figure 32 : service de carte «analyse thématiques» Figure 33 : résultat de l application cartographique sous ArcOpole Studio

72 ANNEXES 71

73 Annexe 1 : Procédure pour la création des comptes de connexion sous SQL Server pour une sécurisation des données Annexe 2 : Procédure pour la gestion des privilèges sous ArcGIS Desktop 10.0 (licence ArcEditor) Annexe 3 : Connexion aux géodatabases ArcSDE Annexe 4 : Fonctions clés d ArcGIS Server Annexe 5 : La publication d un service de carte Annexe 6 : Les différents services d ArcGIS Server Annexe 7 : ArcOpole Studio et Flex Builder : Problèmes /remarques Annexe 8 : Procédure de paramétrage de l application dans ArcOpole Studio Annexe 9 : Préconisations, retours d expériences

74 ANNEXE 1: Procédure pour la création des comptes de connexion sous SQL Server pour une sécurisation des données Dans SQL Server : 1. Vérifier dans les propriétés du serveur le mode d authentification : Connexion en authentification mixte 2. Créer les 3 comptes de connexion suivants.. REFV (pour les référentiels VECTEUR) : tous les droits ETUV (pour les données VECTEUR des chargés d étude) : chargement, suppression, modification de ses données. VIEWER (tous les utilisateurs) : lecture seule des données. Exemple avec la création du compte de connexion «REFV» : Aller dans «sécurité»»connexion» «nouvelle connexion» 73

75 . en utilisant l authentification SQL Server : (Décocher «conserver la stratégie du mot de passe»). 3. Le mapper à la BD VECTEUR et le placer dans un rôle de BD (possibilité de placer le compte de connexion dans un rôle directement à partir des bases de données) : 74

76 Nous placons ce compte de connexion dans le rôle «db_owner» (ce rôle signifie que le compte REFV a tous les droits statut d administrateur). 4. Créer le schéma correspondant dans la BD VECTEUR: Pour créer un schéma grâce à SQL Server, il suffit de déployer tous les noeuds jusqu à sécurité, d afficher le menu contextuel (clic droit) du noeud schéma et de sélectionner Nouveau schéma. Une nouvelle fenêtre apparait. 75

77 Remarque : Attention, le nom du schéma doit être le même que le nom du compte de connexion. Les schémas permettent une gestion plus aisée des privilèges d utilisation des objets. Un utilisateur est mappé sur un schéma dès sa création, obligatoirement. Mais si aucun nom de schéma n est précisé, alors l utilisateur sera mappé sur dbo par défaut. Les schémas servent essentiellement à faciliter le partage d information entre les utilisateurs mappés sur ce schéma. 5. Attribuer le schéma REFV au user «REFV» de la BD VECTEUR : 76

78 Précisez dans un premier temps le nom de l utilisateur de base de données (REFV) et dans un second temps, la connexion serveur (REFV) à lui associer. A partir de cette fenêtre, il est, entre autres, possible d attacher des schémas (REFV) à cet utilisateur ainsi que des rôles de base de données (db_owner). L utilisateur «REFV» de la BD VECTEUR est fonctionnel! Procéder de la même façon pour le compte de connexion «ETUV» en changeant un des paramètres de l étape 3: Ne pas le placer dans un rôle de BD car aucun des rôles ne correspond à ce que l on souhaite faire donc nous allons lui attribuer des droits pour faire certaines actions sur les données et lui en restreindre d autres en procédant comme suit : Aller dans les propriétés de la BD (ici VECTEUR pour «ETUV») autorisations 77

79 Et cocher les droits que vous décidez de lui attribuer. Pour ETUV nous lui accordons les droits suivants :se connecter, créer une procédure, créer une table, créer une vue (CREATE PROCEDURE,CREATE TABLE,CREATE VIEW). Pour le compte de connexion «VIEWER» : Etape 3 : le mapper à la BD VECTEUR et le laisser dans le rôle «public» par défaut. Etape 4 : créer et attribuer le schéma VIEWER. Dans ArcCatalog: 1. Vérification de la connexion aux bases de données : Nous établissons une connexion à la géodatabase VECTEUR ArcSDE situées sur le serveur (cliquer sur «ajouter une connexion à une base de données spatiales»): 78

80 Par exemple, le compte de connexion «REFV» souhaite se connecter en tant qu admin à la base de données VECTEUR (authentification mixte) : Il suffit de se connecter avec le login et mot de passe du compte de connexion de SQL Server et la connexion est établie. Remarque : -vous pouvez modifier le nom de la base de données : «VECTEUR.sde» en «BD_VECTEUR.sde» par exemple. -Attention, il est possible de modifier/ajouter des données seulement avec la licence ArcEditor. 79

81 ANNEXE 2: Procédure pour la gestion des privilèges sous ArcGIS Desktop 10.0 (licence ArcEditor) Cette gestion peut se faire avec arctoolbox ou arccatalog : Dans Arctoolbox : Sélectionner la boîte à outils «modifier les privilèges» : Dans Arccatalog : Il faut se connecter à la base de données VECTEUR avec le login admin «REFV» car ce login ayant tous les privilèges, c est lui qui pourra accorder ou non des droits aux autres comptes de connexion vis-à-vis des données. Ensuite cliquer droit sur un des jeux de classes d entités privilèges 80

82 On obtient la même fenêtre que par la méthode «arctoolbox» : C est donc par cette fenêtre que la gestion des privilèges se fait. 81

83 Il faut dans un premier temps rentrer le jeu de données (classe d entités, jeu de classe d entités) sur lequel des privilèges vont être accordés. Ensuite il faut entrer l utilisateur concerné par le privilège. La troisième case permet d établir ou de modifier les privilèges d'accès d'un utilisateur sur les jeux de données ArcSDE, les classes d'entités autonomes ou la table en entrée. Concernant les privilèges nous avons le choix entre AS IF, GRANT et REVOKE 29. Les utilisateurs concernés sont VIEWER et ETUV, REFV étant considéré comme un administrateur. AS IF GRANT REVOKE Afficher (VIEW) (Etablit les privilèges d'affichage de l'utilisateur). Aucune modification apportée aux privilèges d'affichage existants de l'utilisateur. Si l'utilisateur a des privilèges d'affichage, il en bénéficie toujours. Si l'utilisateur n'a pas de privilèges d'affichage, il continue à ne pas en bénéficier. Permet à l'utilisateur d'afficher des jeux de données. Supprime tous les privilèges utilisateur pour afficher des jeux de données. Modifier (EDIT) Aucune modification apportée aux privilèges de mise à jour Permet l'utilisateur à de Supprime les privilèges de mise à

84 (Etablit les privilèges de mise à jour de l'utilisateur). existants de l'utilisateur. Si l'utilisateur a des privilèges de mise à jour, il en bénéficie toujours. Si l'utilisateur n'a pas de privilèges de mise à jour, il continue à ne pas en bénéficier. Il s'agit du paramétrage par défaut. mettre à jour les jeux de données en entrée. jour de l'utilisateur. L'utilisateur peut toutefois afficher le jeu de données en entrée. Concernant l utilisateur VIEWER, nous lui accordons (=GRANT) le privilège Select sur toutes les couches dont le propriétaire est REFV. L utilisateur connecté en VIEWER peut donc visualiser les couches sans pouvoir : Les modifier (message d erreur ne peux pas modifier la couche): 83

85 Les supprimer («delete» est en grisé) : En créer (seul l admin a ce droit): Concernant l utilisateur ETUV, nous lui révoquons le privilège de visualisation pour chaque jeu de classes d entités : 84

86 Ceci fonctionne mise à part pour les jeux de classes d entités «BD_TOPO» et «GEOFLA» car les procédures stockées empeche la manipulation. En revanche, les utilisateurs malgré qu ils puissent voir les couches ne peuvent pas les modifier ni les supprimer. En revanche, il peut importer et supprimer ses propres données (classe d entités, table, raster) en cliquant droit sur la géodatabase import : 85

87 ANNEXE 3: Connexion aux géodatabases ArcSDE Procédure: Développez le nœud Connexions aux bases de données dans la fenêtre d ArcCatalog. 1. Double-cliquez sur Ajouter une connexion à une base de données spatiales. La boîte de dialogue Connexion à une base de données spatiales s'affiche. 2. Saisissez le nom du serveur sur lequel est installé le SGBD dans la zone Serveur. 3. En connexion directe : les informations à saisir dans la zone texte sont : Connexion directe à une sde:sqlserver:<instance_serveur_sql> géodatabase dans <instance_serveur_sql> est le nom de l'instance de Microsoft SQL Server SQL Server à laquelle vous vous connectez. Votre administrateur doit vous fournir ces informations. Les informations concernant le Compte que vous fournissez dépendent du type de connexion que vous utilisez pour vous connecter à la base de données. 4. Connexion avec un utilisateur de base de données, cliquez sur Authentification de la base de données, saisissez le nom d'utilisateur de base de données dans la zone de texte Nom d'utilisateur, puis le mot de passe de l'utilisateur de la base de données dans la zone de texte Mot de passe. 5. Cliquez sur Test de connexion pour vérifier que les informations saisies sont correctes et que la base de données est disponible pour les connexions. Si la connexion fonctionne, cliquez sur OK pour fermer la boîte de dialogue Connexion à une base de données spatiales. Un nouveau fichier de connexion est créé sous le nœud Connexions aux bases de données dans l'arborescence du catalogue. 86

88 ANNEXE 4: Fonctions clés d ArcGIS Server 87

89 ANNEXE 5: La publication d un service de carte Concrètement, la publication se passe de la façon suivante : Une fois la carte finie dans Arcmap, il faut ajouter un serveur ArcGIS (dans ArcCatalog) : Voici le résultat : aller dans la barre d outils «Publier services de carte» et cliquer sur : Analyser la carte Il faut d abord analyser la carte pour voir s il y a des erreurs. Erreurs qui peuvent nous empêcher de publier la carte. Voici comment se présente la barre d outils : 88

90 Résultat de l analyse Description ce sont des messages à titres d information, ils n empechent pas la publication. ce sont des messages à titres de prévention, ils n empechent pas la publication. ce sont des messages informant des erreurs contenues dans la carte. Tant qu une erreur existe, la publication est IMPOSSIBLE. 2. Publication d un service de carte sur ArcGIS Server Il faut remplir : -Le nom du serveur ArcGIS -Le nom que l on souhaite donner au service de carte -Choisir le dossier dans lequel nous souhaitons publier le service de carte. Remarque : Le service doit toujours être publié dans un dossier sous peine que la publication ne fonctionne pas. La publication peut aussi se faire dans ArcCatalog en cliquant droit sur le.mxd «publier sous le serveur ArcGIS». Voici le résultat dans ArCatalog : 89

91 La publication peut aussi se faire par l intermédiaire du dossier contenu dans le serveur : Cliquer droit sur le dossier ajouter un nouveau service 90

92 ANNEXE 6 : Les différents services d ArcGIS Server Source : site en ligne d ArcGIS ( 91

93 ANNEXE 7: ArcOpole Studio et Flex Builder : Problèmes /remarques ArcOpole Studio : Personnalisation de l application : L'interface de l'application générée par arcopole Studio est décrite dans un skin. Un skin est un concept introduit par la dernière version de Flex qui permet de dissocier les aspects fonctionnels d'une application de sa présentation. Nous avons la possibilité d'entièrement modifier le look de nos applications en modifiant ce skin. Pour cela, il faut avoir des connaissances en Flex et il faut qu ArcOpole fournisse les sources du skin par défaut à partir duquel nous pourrons dériver notre propre skin. Ce code source ainsi qu'un minimum de documentation est disponible en envoyez un mail à l'adresse suivante : contact@arcopole.fr. Afficher des images: Créer un dossier dans lequel sont contenues les images et le placer dans C :DATA. (C:\DATA\APPLI_MACON\DONNEES_APPLICATION\IMAGES) Dans ArcGIS, créer un champ «IMAGES» dans la couche où l on souhaite voir apparaitre les images et y inséré le lien correspondant à la localisation de chaque photo contenue dans le dossier «IMAGES» : Dans Arcopole studio, créer une fiche attributaire et y insérer le champ «IMAGES» en choisissant d afficher les images : 92

94 Voici le résultat dans l application: Documents associés : Pour pouvoir accéder aux documents associés avec ArcOpole Studio, il faut disposer d'un MapService et d'un Feature Service intégrant des données supportant les documents associés. Cela impose que les données en question soient stockées dans une géodatabase professionnelle (ORACLE, SQL Server,...). Activer les pièces jointes 93

95 Il faut activer les pièces jointes sur les couches que l on souhaite 30 : 1. Dans la fenêtre Catalogue ou dans ArcCatalog, cliquez avec le bouton droit sur la classe d'entités à laquelle vous souhaitez ajouter des pièces jointes, pointez sur Pièces jointes, puis cliquez sur Créer des pièces jointes. ArcGIS ajoute une nouvelle table pour contenir les fichiers joints et une classe de relations pour gérer la liaison entre les entités et leurs pièces jointes. 2. Pour supprimer tous les fichiers joints et supprimer la table et la classe de relations qu'arcgis a créé lorsque vous avez activé la fonctionnalité des pièces jointes, cliquez sur Supprimer des pièces jointes. Ajout de pièces jointes aux entités Nous pouvons ajouter et mettre à jour des pièces jointes pendant une session de mise à jour à l'aide de la fenêtre Attributs ou de la fenêtre de la table. Remarque : Pour ajouter des pièces jointes, la fonctionnalité d'ajout de pièces jointes doit être prise en charge sur la classe d'entités. Etapes : 1. Cliquez sur le menu Editeur dans la barre d'outils Editeur, puis sur Ouvrir une session de mise à jour. Vous pouvez utiliser la fenêtre Attributs ou la fenêtre de la table pour ajouter des pièces jointes. 2. Pour utiliser la fenêtre Attributs, procédez comme suit : a. Cliquez sur l'outil Mise à jour dans la barre d'outils Editeur, puis sur l'entité. b. Cliquez sur le bouton Attributs dans la barre d'outils Editeur. c. Cliquez sur le bouton Ouvrir le gestionnaire des pièces jointes représentant un trombone. valeurs d'attribut. juste au-dessus de la grille des 3. Pour utiliser la fenêtre de la table, cliquez avec le bouton droit sur la cellule grise à gauche de l'enregistrement de l'entité à laquelle vous souhaitez ajouter des pièces jointes et cliquez sur Ouvrir le gestionnaire des pièces jointes. 30 help.arcgis.com/fr/arcgisdesktop/10.0/help/index.html#//001t000003vt

96 4. Cliquez sur le bouton Ajouter, recherchez le fichier que vous souhaitez ajouter, puis cliquez sur Ajouter. Lorsqu'un fichier est joint, celui-ci est stocké dans la table de la géodatabase et n'est plus lié au fichier source d'origine. Si vous mettez à jour le fichier source, vous devez ajouter de nouveau le fichier. 5. Une fois que la pièce jointe a été ajoutée, vous pouvez effectuer les opérations suivantes : Pour ouvrir la pièce jointe, double-cliquez dessus ou cliquez sur Ouvrir. La pièce jointe s'ouvre dans l'application Windows par défaut correspondant au type de fichier. Si aucune application par défaut n'a été spécifiée, vous êtes invité à choisir l'application à utiliser lors de l'ouverture du fichier. Pour enregistrer une copie d'un fichier sur disque, cliquez sur Enregistrer sous et accédez à l'emplacement où vous souhaitez enregistrer le fichier. Pour enregistrer une copie de tous les fichiers joints sur disque, cliquez sur Enregistrer tout et accédez au dossier (ou créez le dossier) dans lequel vous souhaitez enregistrer les pièces jointes. Pour supprimer une pièce jointe, cliquez sur Supprimer. Le fichier est supprimé de la géodatabase. Si vous avez besoin d'accéder plus tard au fichier, vous devez ajouter le fichier à nouveau à partir du disque. 6. Cliquez sur OK. Ensuite, si une des couches en question est dans un MXD qui est publié sur ArcGIS Server ET si l on active la capacité "Feature Access" sur le MapService, nous pourrons : 1. Ajouter la fonctionnalité de Documents Joints dans une application arcopole Studio qui utilise le MapService en question 2. Gérer les droits d'accès aux documents joints en revenant dans l'onglet "Données" sur la couche en question. Géonotes : Pour la version , la transparence des géonotes n'est pas reprise dans l'impression. Emprise de départ chargement application : En ajoutant la variable defaultextent la ligne suivante dans le fichier client.xml de l'application concernée, celle-ci zoomera à l'endroit indiqué : 95

97 La série de chiffres correspond à Xmin, Ymin, Xmax, Ymax soient les coordonnées des points Bas-Gauche et Haut-Droit de la zone sur laquelle il faut zoomer. A l'ouverture, l'application zoome sur cette étendue. Pour trouver les bonnes coordonnées je me suis rendue sur le site du géoportail de l IGN où j ai sélectionné les coordonnées dans un système Mercator en mètres (puisque les données de l application sont reprojetées en Web Mercator): Etendue sélectionnée Dans le cas de l appli : Xmax : Ymax : Xmin :78000 Ymin :

98 Résultat : Extensions géotraitements et copyright : Il faut ajouter ces lignes dans le fichier client.xml de l application: <service id="externallibrairiesloader"> <module>extensions/extensioncopyright.swf</module> <module>extensions/extensiongeotraitement.swf</module> </service> Gabarits d impression: Le nouveau moteur d impression s appuie sur des gabarits d impression qui sont créés avec ArcMap. Ces gabarits sont stockés sur le serveur. Répertoire de stockage des gabarits : Par défaut, il faut déposer les fichiers MXD dans le répertoire de votre installation /WEB-INF/printTemplates/. Chemin d accès au fichier d autorisation d impression sur les serveurs sécurisés : Par défaut, le fichier stockant les informations de connexion aux serveurs externes délivrant des MapServices ArcGIS Server sécurisés est /WEB- INF/orionConfig/PrintAuth.xml. 97

99 Problèmes de légende/géosignets : Réinstallation de la version après la MAJ du mois de juin pour régler le problème. Apparition d un message d erreur au chargement d arcopole : ceci est du au cache des navigateurs web. Pour remédier à cela il a fallu réinitialiser Internet Explorer (options internet avancés réinitialiser) et vider les caches se trouvant dans : C:\Users\joaoad\AppData\Local\Temp C:\Users\joaoadAppData\Local\Microsoft\Windows\Temporary Internet Files\ (Options Internet Général historique de navigation paramètres afficher les objets les supprimer). Malgré une réinstallation complète l erreur persiste Problème des accents : ArcOpole studio ne supporte pas les accents. La requête ne retourne aucun résultat si le résultat recherché comporte un accent. Bug d ArcOpole : La requête envoyée encode les caractères spéciaux mais ils ne sont pas décodés côté serveur. ArcGIS Server cherche donc les communes qui s'appellent 27Albon%2Dd%27%27Ard%C3%A8che%27 au lieu de "Albo-sur-Ardèche" Solution : installé la version de MAJ de juillet La question des alias : Pour un bon affichage des noms dans les fiches attributaires et infobulles il faut changer le nom des alias dans Arcmap car ce sont eux qui sont pris en compte à l affichage. Navigateur Web : Si l application ne se lance pas sur Internet Explorer, Google Chrome ou bien Mozilla Firefox il faut vider le cache pour chacun de ces navigateurs. 98

100 Flex Builder : 1. Accorder les droits au répertoire flexviewer : Il faut que l administrateur SIG ait les droits d écriture et de lecture sur le dossier «flexviewer». 2. Problème de crossdomain.xml Pour accéder aux données situées sur le serveur ArcGIS il faut insérer un fichier xml (pour la version 10.0 d ArcGIS) dans : C:\Program Files (x86)\arcgis\server10.0\java\manager\web_output Dans ArcGIS 10.1 le fichier est déjà inséré. <?xml version="1.0"?> <!DOCTYPE cross-domain-policy SYSTEM " <cross-domain-policy> <site-control permitted-cross-domain-policies="all"/> <allow-access-from domain="*"/> </cross-domain-policy> 99

101 ANNEXE 8: Procédure de paramétrage de l application dans ArcOpole Studio 1. L application ArcOpole Studio se lance à partir de cet url : Ensuite il faut entrer le compte de connexion : 4. Puis il faut créer une nouvelle application : 5. Pour «appeler» les services de carte dans ArcOpole Studio il faut dans l onglet «données» «ajouter un serveur arcgis» et rentrer le nom du serveur ArcGIS dans l url : 100

102 6. Pour «appeler» les fonds cartographiques d ArcGIS Online, il faut «ajouter un serveur arcgis» et rentrer le nom du serveur ArcGIS Online dans l url : Voici ce que l on obtient en sélectionnant les services de cartes souhaités à l affichage: 101

103 7. Ensuite vient le choix des fonctionnalités présentes dans l application : 8. Puis le paramétrage des données : 102

104 Paramétrage où nous avons la possibilité d attribuer une fiche attributaire, une infobulle et une requête par données. 103

105 ANNEXE 9 : Préconisations, retours d expériences MICROSOFT SQL SERVER MANAGEMENT STUDIO SAUVEGARDER LA BASE DE DONNEES Il faut sauvegarder les.ldf et les.mdf de chaque base de données. (Situés sur le serveur SQL dans D:\ARCGIS\MSSQL\Data) A noter que le.ldf renvoie au journal de transactions. LE JOURNAL DES TRANSACTIONS Durant les phases de tests, nous avons rencontré un problème au niveau du serveur qui a été saturé du fait des multiples ajouts et suppression de données dans les bases de données VECTEUR et RASTER (BD RASTER qui existait au départ). En effet, le journal de transactions contient l'ensemble des transactions exécutées sur la base de données. Il faut imaginer que toutes les requêtes réalisant des écritures sont stockées dans ce journal avant même que les données soient inscrites sur le disque. De plus, un certain nombre d'opérations systèmes génère aussi des écritures dans le journal. 104

106 Par conséquent, toutes les modifications effectuées sur la base de données génèrent des transactions et font donc grossir les fichiers du journal de transactions. Il est donc normal que ce fichier grossisse au fil de l'activité de la base de données. Seulement sans aucunes actions de la part de l'administrateur de base de données, le journal grossira à l'infini ce qui n a aucun avantage sauf en cas de perte des disques où sont situées les données, où ces anciennes transactions pourront se révéler précieuses. C'est là que rentre en ligne de compte, la sauvegarde du journal de transactions. Cette sauvegarde peut être intéressante en cas de perte de fichier, et par extension en cas de perte disque ou de crash serveur sévère. Sans les transactions seules les sauvegardes complètes sont disponibles, or la restauration à un point fixe dans le temps expose à une perte systématique de données. Sauvegarder régulièrement le journal de transactions, permet donc de libérer de l'espace à l'intérieur des fichiers LDF. Cela ne changera rien à la taille des fichiers en eux même, mais permet la réutilisation de l'espace interne des fichiers LDF. Il existe trois modes de récupération des bases de données au niveau de la sauvegarde et de la restauration qui sont directement liées au mode de configuration défini au niveau de chaque base de données : Le mode de récupération simple :le journal est utilisé uniquement pour garantir la persistance des opérations apportées sur les données. Il est tronqué lors de chaque point de synchronisation. Le mode de récupération complet : toutes les transactions sont consignées dans le journal et y restent enregistrées même après le point de synchronisation. La perte de données est réduite. C est le mode de récupération par défaut défini au niveau des bases de données utilisateur. Le mode de récupération journalisé en bloc : c est un mode de récupération avancé où les informations relatives aux transactions et certaines opérations affectant les données (création d index) sont enregistrés dans le journal. La base de données était donc en mode de récupération «complet» au moment de sa création et l import et la suppression de données dans la base ont fait grandir le journal ce qui a finit par provoqué la saturation du serveur. En effet, la suppression ne signifie pas libération d espace dans la base, bien au contraire le journal enregistre chaque action qui est faite. C est pourquoi nous l avons passé en mode simple pour une plus grande aisance dans l utilisation de la base. 105

107 REDUIRE LA BASE DE DONNEES Pour la réduire il faut aller cliquer droit sur la base de données Tâches réduire fichiers 106

108 ARCGIS DESKTOP 10 VERSIONNEMENT/HISTORISATION Le versionnement est déconseillé, il faudrait plutôt partir sur l historisation. Le versionnement Voici un schéma présentant le versionnement : Auteur : Adeline Joao 107

109 Le versionnement est une méthode lourde au niveau de la gestion. L historisation Le mécanisme d'historisation permet de conserver les mises à jour réalisées dans la version DEFAULT. Pour les autres versions, les modifications sont historisées lors du «postage» de celles-ci dans la version DEFAULT. L'historisation se met donc en place uniquement sur des classes d'entités versionnées. il faut donc inscrire la couche comme versionnée : Cliquer sur ok sans cocher la case. Ensuite nous allons archiver (=historiser) la couche (ici le jeu de classes d entités) : 108

110 Une fois que la classe d'entités est enregistrée comme étant historisée, une table dédiée est créée (portant le nom de la classe d'entité avec _H à la fin) dans laquelle seront stockées toutes les mises à jour ainsi que les dates correspondantes. Dans ArcMap, pour accéder à un état antérieur de la Géodatabase, il suffit de se placer sur l'onglet "Source" dans la table des matières. Via la commande "Change Version" du menu contextuel, on pourra alors basculer sur une version "Historical". Deux choix sont alors à votre disposition: 1) utiliser des repères chronologiques (historical markers) 2) spécifier interactivement une date dans le passé 109

111 1) Travailler avec des repères chronologiques L'usage des repères chronologiques permet de retrouver rapidement la date de l'événement sur lequel on veut se positionner (Option 1). Pour cela, il faudra créer préalablement des "Historical Markers". Pour cela il faut afficher la barre d'outils "Geodatabase History" : Puis il faut cliquer sur le dernier bouton pour afficher le gestionnaire de repères chronologiques : Nous pouvons alors créer autant de repères chronologiques en tout point du passé, du présent ou du futur. A noter que les informations sur le filtre date/heure sont stockées dans le fichier *.lyr si l on sauvegarde la couche dans un fichier de couche. 2) Travailler sans les repères chronologiques Si l on ne souhaite pas définir de repères chronologiques, on peut spécifier une date et heure quelconque pour définir la vue souhaitée (Option 2). Par exemple, on pourra demander à voir l'état de la couche au 7 août 2012 à 10h19. Cette date/heure pourra être changée à tout moment dans le document ArcMap. Tout comme avec les repères chronologiques, les informations sur le filtre date/heure sont stockées dans le fichier *.lyr si l on sauvegarde la couche dans un fichier de couche. 07/08/ :19 :55 3) Travailler directement avec la table d'historisation 110

112 Si on le souhaite, plutôt que d'afficher une vue de la couche filtrée sur une date/heure, on peut afficher directement la table d'historisation (table *_H). Cette table contiendra tous les états des entités créées, modifiées et supprimées. Pour afficher la table d'historisation, il faut cliquer sur le deuxième bouton de la barre d'outils "Geodatabase History" après avoir sélectionné la couche en question dans la table des matières. DESINSCRIRE LA COUCHE (OU JEU DE CLASSES D ENTITES) COMME VERSIONNE : Dans ArcCatalog, utiliser la commande«unregister as versioned». Supprimer les changements qui ont eu lieu sur la couche : Utiliser le «Compress database» 111

113 GENERER DES VUES D ENSEMBLE POUR UNE MOSAÏQUE Manipulation sous ArcEditor : Dans arccatalog, cliquer droit sur la mosaïque générer les aperçus. (build overviews) Ne pas confondre : Catalogue : Dalles séparées Mosaïque : une image (génère une pyramide) OUTIL DE GEOTRAITEMENT Outil de géo-traitement pour générer des données thématiques : Exemple avec la couche «COMMUNES» : Il faut copier-coller la couche «COMMUNES» dans la même base de données VECTEUR en sélectionnant «geometry» dans la dernière colonne (si le copier-coller ne fonctionne pas il faut vérifier que les services de carte sont arrêtés) : 112

114 Ensuite il faut construire le Model Builder : géotraitement model builder 1-Jointure avec la table des ZE (zone d emplois) : 113

115 2-fusion du résultat obtenu : Pour enregistrer le Model Builder : Model Save 114

116 Pour exporter le model builder en tant que script python: Model export to python script LE CHARGEMENT DES DONNEES Peut-on charger plusieurs fois la même donnée dans une base de données? Réponse : Oui mais il faut lui attribuer un nom différent : LES ENSEMBLES DE DEFINITION Si nous affectons un ensemble de définition à une couche contenue dans le SGBD gardet-elle cet ensemble de définition? 115

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